Le secret de Sherri (1) - histoire érotique

Bonjour, avant de commencer a lire cette histoire, je tenais a vous remercier pour lire et commenter mes histoires. En revanche, l'avis des femmes blanches m'intéresse. Donc mesdames, n'hésitez pas a écrire a votre étalon noir qui vous offre une lecture pleine de plaisir. Et vous pourriez me dire ce que je peux améliorer et même pourquoi pas écrire des histoires sur vos moments de plaisir avec un noir !

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Depuis que j'ai découvert une partie du passé de ma femme que, jusqu'à présent, j'avais ignoré, le temps que nous passons ensemble semble se concentrer sur une seule chose. Ma grande découverte a été le fait que, lorsqu'elle était à l'université, Sherri avait eu des relations sexuelles avec sept hommes noirs différents sur une période de deux ans, ou du moins c'est le nombre dont elle m'a parlé. Je me suis souvent demandé s'il n'y en avait pas plus et si elle n'avait pas choisi de ne pas me parler du reste de peur que je la prenne pour une pute. Je commençais d'ailleurs à me rendre compte que c'était vrai. Quoi qu'il en soit, notre vie sexuelle avait atteint des sommets, mais tout reposait sur le fait qu'elle baisait des hommes noirs. Je dois admettre que j'appréciais l'intensité et la fréquence des rapports sexuels, mais au fond de moi, je savais que cela finirait par un désastre. Ceci n'est qu'un autre épisode d'une série d'histoires vraies qui se sont déroulées au cours de nos six derniers mois de mariage.

Sherri et moi avions décidé de partir en week-end. Nous nous sommes donc rendus dans une grande ville située à environ deux heures de chez nous et avons loué une chambre dans l'un des hôtels cinq étoiles. Après un bref repos, nous avons pris une douche et nous nous sommes préparés pour le dîner.

Après un repas assez cher, nous sommes sortis du restaurant et sommes montés dans notre SUV. Je me suis dirigé vers la partie de la ville où se trouve toute la vie nocturne. La plupart des villes en ont une. C'est la partie de la ville où l'on peut facilement trouver des voyous qui se promènent et se tiennent aux coins de rue. On y trouve également des bars et des clubs. Mon intention initiale était de trouver un bar avec un groupe et de boire quelques verres avant de retourner dans notre chambre et de passer un peu de temps ensemble. Cependant, au fur et à mesure que nous roulions, notre conversation s'est orientée vers le sujet populaire de ces derniers temps, à savoir ma femme qui baise avec des hommes noirs.

À plusieurs reprises, elle m'a demandé si je voulais vraiment la voir avec un autre homme, un Noir. Estimant que si je disais non, cela enlèverait beaucoup d'érotisme, je lui disais toujours oui. Au fond, je pensais que si je lui disais que ce n'était qu'un fantasme et que je l'utilisais uniquement pour l'exciter afin que nous fassions l'amour tous les deux, elle perdrait tout intérêt. Si elle se désintéressait, nous reviendrions à la situation antérieure, c'est-à-dire à l'absence de relations sexuelles. Je crois qu'elle faisait exactement le contraire. Au fur et à mesure que le temps passait et que j'en apprenais davantage, j'ai découvert qu'elle semblait l'utiliser pour construire un mur entre nous et, en fin de compte, pour nous séparer émotionnellement afin qu'il soit plus facile pour elle de divorcer.

Ce soir-là, alors que nous cherchions un bar ou une boîte de nuit, nous avons parlé de l'un des sept hommes noirs qu'elle avait baisés à l'université. Après quelques questions très directes de ma part, Sherri m'a raconté comment elle avait trompé son petit ami avec ce Noir en particulier. Décrivant un événement particulier, elle m'a dit qu'un jour, elle et son petit ami étaient à la maison en train de regarder la télévision. Son ami noir, que j'appellerai CL, l'a appelée et lui a demandé de venir chez lui alors qu'il savait qu'elle voyait quelqu'un d'autre.

Elle a d'abord dit qu'elle avait refusé, mais qu'il avait insisté. Elle a expliqué, plutôt fièrement, que CL savait à quel point « c'était » bon, c'est-à-dire sa chatte, et après quelques supplications de sa part, elle a accepté. Elle a dit à son petit ami qu'elle devait aller à la bibliothèque, croyez-le ou non, puis elle est partie pour l'appartement de CL. En chemin, elle s'est dit qu'elle allait seulement le sucer, mais qu'elle ne le laisserait pas la baiser. Lorsqu'elle est arrivée, il l'a immédiatement conduite sur le canapé où elle a sorti sa bite et a commencé à la sucer. Selon ses propres termes, le fait de le sucer lui a donné encore plus envie et elle a fini par le laisser la baiser. Et, oui, il a joui en elle. Quand ils ont eu fini, elle est retournée chez son petit ami qu'elle a baisé plus tard dans la soirée. Tout cela, même si j'ai trouvé excitant de l'entendre en parler et dire certaines des choses qu'elle a dites, m'a amené à m'interroger sur les motivations de ma femme et à me demander pourquoi elle se comportait comme une telle pute lorsqu'il s'agissait d'hommes noirs.

Après avoir relaté ces événements, elle m'a redemandé si je voulais vraiment la voir avec un homme noir. Une fois de plus, j'ai répondu par l'affirmative. Elle s'est alors penchée vers moi et m'a chuchoté de sa voix la plus séduisante : « Et si on ramassait un Noir dans la rue et que tu me regardais le sucer ? » J'étais un peu choqué, mais comme une partie de moi ne pensait pas vraiment qu'elle le ferait, et que l'idée était excitante, j'ai dit oui.

Alors que nous passions d'un feu rouge à l'autre, j'avais l'impression que nous étions à la recherche de notre dealer local, à la recherche de notre dose. Sherri a repéré un Noir devant l'un des bars. Il était plutôt bien habillé pour un voyou. Les habituelles chaînes en or, bagues et autres trucs du genre. Elle m'a dit de me garer et d'attendre, ce que j'ai fait. Je l'ai regardée descendre du siège passager et revenir à pied vers l'homme, à environ un demi-pâté de maisons. Elle lui a parlé pendant 30 secondes au maximum, puis ils sont retournés tous les deux vers notre voiture. Alors qu'ils se dirigeaient vers notre voiture, j'ai été envahie par une excitation nerveuse. J'ai senti mon estomac se retourner à l'idée que ma femme allait sucer la bite d'un étrange homme noir devant moi.

J'imagine que l'homme a probablement pensé qu'elle cherchait à acheter de la drogue, qu'il aurait été en mesure de lui fournir, d'après son apparence. Cependant, elle a expliqué plus tard qu'elle lui avait dit d'emblée qu'elle ne cherchait pas de drogue. Elle lui avait dit que son mari aimait le sexe pervers et qu'il voulait la voir sucer un homme noir. Naturellement, elle m'en a fait porter la responsabilité. Bien sûr, à l'époque, je dois admettre que j'étais dans le coup, mais en y repensant, il est facile de voir que c'était simplement la voie de notre destruction.

Ils sont montés tous les deux sur la banquette arrière. Il m'a jeté un rapide coup d'œil et un « quoi de neuf » lorsqu'ils sont montés, puis il a reporté son attention sur elle. Manifestement, il ne s'intéressait qu'à ma femme. J'ai monté un peu le volume de la radio et j'ai atténué le son vers l'avant pour ne pas entendre leur conversation, d'une part parce qu'elle préférait cela, d'autre part parce que je le préférais.

Je me suis rendu dans un grand parking près de l'un des hôtels du centre-ville, et j'ai roulé jusqu'à l'un des niveaux supérieurs où il n'y avait pas beaucoup de voitures. Je n'en revenais toujours pas. Était-ce vraiment en train de se produire ? Allait-elle vraiment faire ça ? En reculant dans un coin, j'ai garé la voiture et j'ai jeté un coup d'œil dans le rétroviseur. Je me souviens encore de son regard. Si je devais le décrire maintenant, je dirais que c'était presque un regard de mépris. Comme si elle disait : « Tu l'as cherché, tu vas l'avoir ». Je me suis tourné de côté sur le siège pour me mettre à l'aise et j'ai regardé ma femme baisser la fermeture éclair du pantalon de l'homme noir. Il était assis au centre du siège et elle était à sa droite, ce qui me permettait de bien voir ce qui se passait. Je suis sûr qu'elle l'avait prévu ainsi.

Le moteur tournait toujours et la radio jouait toujours quand je l'ai vue mettre la main dans le pantalon de l'homme noir et en sortir une bite d'au moins 20 centimètres. Il n'était même pas encore dur. Elle a levé les yeux vers lui et lui a souri, en disant quelque chose, alors qu'elle enroulait sa main autour de sa queue et commençait à la caresser. Ils ne se sont jamais embrassés et elle n'a même pas attendu qu'il devienne à moitié dur pour se pencher et prendre la tête sombre de sa bite dans sa bouche. J'ai senti tout le sang monter à ma tête, comme si j'étais en feu. Comme on peut le ressentir au moment où l'on apprend une nouvelle terrifiante.

Tenant la tête de sa bite dans sa bouche, elle a caressé la tige dans sa main et elle a grandi. Il grandit très vite. En quelques secondes, elle était comme un roc et devait mesurer au moins 23 centimètres et être très épaisse. Le type, dont je n'ai aucune idée du nom, s'est glissé sur le siège pour que sa tête repose et qu'il puisse regarder ma femme lui sucer la bite. J'avais la bouche sèche et je sentais mon pouls battre la chamade, sous l'effet d'un mélange d'excitation, de peur et de colère jalouse. Elle a retiré sa bite de sa bouche et a fait glisser sa main le long de l'épaisse tige noire. En se penchant à nouveau, ses lèvres se sont écartées et elle m'a regardé directement avant de reprendre sa bite dans sa bouche. Je me suis demandé à quoi je devais ressembler pour elle. Qu'est-ce qu'elle imaginait que je pensais ?

Je pouvais entendre ses gémissements étouffés tandis que je la regardais prendre de plus en plus de cette bite noire étrangère dans sa bouche. Ses lèvres s'élargissaient à chaque fois qu'elle descendait sur sa bite, la prenant plus profondément à chaque fois. Au bout de quelques minutes, le type a dû se sentir à l'aise dans cette situation bizarre, car il a posé sa main sur l'arrière de la tête de la jeune femme, la guidant de haut en bas sur sa queue. Ses yeux se fermaient de temps en temps et il commençait à grogner et à gémir. Bientôt, il a placé son autre main sous sa jupe. Je ne pouvais pas voir exactement ce qu'il faisait à ce moment-là, mais d'après sa réaction, j'ai deviné qu'il avait ses doigts dans sa chatte. Sherri a bavé et sucé jusqu'à ce qu'elle prenne facilement au moins 20 centimètres de sa grosse bite noire dans sa bouche chaque fois qu'elle baissait la tête. Elle retirait sa bite de sa bouche et léchait le haut et le bas de sa tige, puis l'enfonçait à nouveau rapidement dans sa gorge. C'est l'une des rares choses que je peux dire que je l'ai vue apprécier dans la vie.

Il était alors évident qu'il l'enculait avec ses doigts pendant qu'elle suçait sa bite. Elle se balançait d'avant en arrière sur sa main tandis que sa bite noire entrait et sortait de sa bouche. Après 20 bonnes minutes de fellation, il s'est tendu et a mis ses deux mains sur l'arrière de sa tête. Il lui a poussé la tête vers le bas et je pouvais voir qu'elle devait lutter pour ne pas laisser sa bite s'enfoncer si profondément qu'elle l'étouffait. Il a gémi quelque chose qui ressemblait à « Oh Putain OUI... », et a grogné quand il a commencé à éjaculer dans sa bouche. Je pouvais entendre de légers bruits de gorgées venant de sa gorge. Le visage de Sherri s'est déformé lorsqu'elle a commencé à avaler son sperme. Ce n'était pas un regard comme si elle était malheureuse, mais plutôt comme si elle devait travailler pour obtenir le résultat désiré.

On pouvait entendre le bruit de ses gorgées sur la musique et je l'ai regardée avaler une énorme quantité de sperme de la bite du Noir. Une fois qu'il a retiré ses mains de sa tête pour s'arc-bouter, elle s'est redressée pour n'avoir plus que le bout de sa bite dans la bouche. Il semblait qu'elle allait avaler tout le sperme, sans en renverser une goutte, quand elle a dû s'étouffer et tousser un peu. En toussant, une goutte de sperme s'est écoulée de sa bouche et a coulé le long de sa bite. Elle a fait glisser sa bouche sur la tige et a aspiré la goutte de sperme, puis l'a avalée. Une fois qu'il a commencé à éjaculer, il lui a fallu dix minutes de plus pour qu'elle puisse l'absorber entièrement. Lorsqu'elle eut terminé, elle se pencha et s'appuya contre la porte. Ses doigts ne sont jamais sortis d'elle. Elle a relevé sa jupe et écarté les jambes, de sorte que j'ai pu voir clairement qu'il faisait entrer et sortir trois gros doigts noirs dans la chatte de ma femme.

Elle avait la tête penchée en arrière, les yeux fermés et aucun sourire sur le visage. On aurait dit que son seul but était de l'amuser. Il n'a pas essayé de la récompenser. Il a continué à la baiser avec ses doigts, sans bouger de sa position détendue. Cependant, il la regardait au moins gémir et se tordre sur sa main tandis qu'il enfonçait trois doigts dans sa chatte. Elle me dira plus tard qu'à ce moment-là, elle l'imaginait en train de la baiser et, plus précisément, en train de jouir en elle. Je ne sais toujours pas pourquoi elle ne l'a pas fait. Peut-être qu'elle a inventé cette partie.

Quelques jets de sperme se sont mélangés à la salive qui séchait autour de sa bouche lorsqu'elle a joui avec ses doigts qui entraient et sortaient d'elle. Elle a joui très fort ! En fait, je ne l'avais vue jouir aussi fort qu'une seule fois, lorsqu'elle utilisait son gros gode noir pour la première fois. Quand elle a eu fini, j'ai rapidement mis la voiture en marche et j'ai commencé à retourner à l'endroit où nous avions pris le gars. Je ne voulais pas prolonger la période embarrassante qui allait certainement suivre, embarrassante pour moi en tout cas. Nous nous sommes arrêtés au même coin de rue et le type est sorti. Il lui a dit quelque chose du genre « merci » ou « tu es une bonne tête », mais il n'a pas pris la peine de reconnaître que j'étais là. Cela ne m'a pas vraiment surpris.

Sherri est remontée sur le siège avant et nous avons commencé à rentrer à l'hôtel. En chemin, Sherri m'a fait la fellation obligatoire et, oui, elle a avalé, mais je pouvais facilement voir qu'elle ne suçait pas ma bite avec le même enthousiasme qu'elle avait sucé les Noirs. Elle ne faisait que donner un pourboire au chauffeur.