Le secrétaire épisode 2

- Par l'auteur HDS Patcache -
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Récit libertin : Le secrétaire épisode 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2003 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le secrétaire épisode 2
Suite à une annonce trouvée sur web, un chômeur se trouve pris à l'essai par une drôle de Patronne.


Je n'étais pas encore prêt de dormir, j'avais toujours mal aux mâchoires et j'avais une démarche assez particulière, ceux qui ont déjà goûté à la sodomie faite sans ménagements me comprendront.

Le déshabillage de Madame ne me prit pas beaucoup de temps, lui ôter le boléro et faire glisser sa mini-jupe et d'un geste sec elle propulsa ses escarpins au milieu de la chambre, mais le câlin qu'elle m'obligea à lui prodiguer se termina à huit heures.

Un peu à cause de moi car je n'arrivai plus à bander pour l'honorer et elle y tenait absolument, pour me récompenser, je m'en serais bien passé.

Néanmoins elle à un corps fabuleux, souple, doux, énergique et sans tabous.

Elle m'a sucé, caressé, stimulé pour que je puisse lui faire l'amour par ses deux écrins de velours, inoubliable.

(Il est vrai qu'après une nuit pareille j'ai du mal à me positionner ; j'ai enduré beaucoup de choses mais la récompense est de taille.)

Midi sonne les rideaux sont tirés de façon énergique et un délicieux fumet de café me tirent du sommeil, ou suis-je ? Qui est cette belle blonde lovée dans mes bras ? Martha me sourit et tout me revient à deux cent à l'heure.

Je n'ai plus un poil, la mâchoire me fait encore un peu souffrir et j'ai l'impression d'avoir un gouffre à la place de l'anus.

Madame se réveille, s'étire me sourit et : « Martha après notre petit déjeuner vous ferez une grosse gâterie à ma nouvelle secrétaire, elle s'est bien comportée et je lui avais promis une récompense, comme elle en pince pour vous je veux vous voir honorée. »

Martha ne cille pas elle me lance un regard un peu noir, elle non plus n'a pas été épargnée hier soir.

Je reprends des forces, café, jus d'orange, tartines de beurre avec du miel, un morceau de fromage, une tranche de jambon, ouf ! Ca commence à aller mieux, le souvenir du dîner, avoir dû manger empalé sur un gode me chatouille l'anus.

Madame se lève et s'assied dans une chauffeuse, Martha ôte son chemisier et sa mini et se glisse sur le lit. Autant Madame est blonde autant Martha est brune, on ne voit que les cheveux et les sourcils mais on voit de suite que ce sont des vraies.

Les préliminaires sont dignes d'une rencontre entre amants, tout en douceur et sensualité, les mains, les langues excitent les sens et c'est naturellement que nous faisons l'amour, avec tendresse et douceur.

Je la fais jouir une première fois avec ma langue, une deuxième avec mon sexe dans son vagin inondé et une dernière fois en la sodomisant en douceur ; c'est un regard tout autre qui se penche vers moi pour me prendre ma verge dans sa bouche.

Nos deux bracelets se mettent à vibrer en même temps : -« La récréation est finie, Martha vous me l'habillez comme hier soir mais avec un boléro noir et vous me la maquillez, je l'attends à la bibliothèque. »

Nous passons dans la salle de bains, une douche rapide et me voilà en train de me faire maquiller, elle me diminue mes sourcils, allonge mes cils, maquille mes yeux, me rase la barbe très près, me met un fond de teint et termine-le tout par un rouge à lèvres.

Je me vois dans le miroir, je suis ridicule, on dirait un vieux travesti sur le déclin.

Elle me rajoute un serre tête, il enlève un peu de ma masculinité.

Ah !! Je me tords la cheville, j'avais oublié les talons, allez on y va il ne faut pas faire attendre Madame, sinon je ne sais quelle punition elle va m'infliger.

La descente est lente et périlleuse mais j'arrive néanmoins dans la pièce ou elle m'attend.

Elle est là, debout dans une combinaison pantalon large bleue, son regard d'acier me glace, elle me regarde avancer.

-« Tourne un peu que je te voie. Bien encore un peu d'entraînement et ça ira mieux.

Tu vas sortir ma Mercedes du garage, je t'autorise à mettre tes lunettes noires, tu vas me conduire à Cannes je vais faire du shopping, tu me prends devant la maison. »

Dans le garage quatre magnifiques voitures, une Mercedes grande comme un bateau, une Porche 911, un 4x4 BMW et oui ! Ma modeste Renault.

Toutes sont verrouillées, je ne risque pas de m'enfuir, soudain je me rappelle, mon bracelet sert à ouvrir les portes, en effet la Mercedes s'ouvre, le tableau de bord s'allume et je n'ai plus qu'à appuyer sur le démarreur pour faire rugir le moteur.

Oui, rugir, vous avez déjà conduit avec dix centimètres de talon, pas facile, je cale trois fois, mon bracelet me rappelle à l'ordre. -« Qu'est-ce que tu fais ? Tu m'as dit savoir tout conduire ! »

-« Oui Madame, mais je dois m'habituer à vos chaussures, j'arrive. »

Prudemment je m'avance, m'immobilise devant Madame, sort rapidement pour lui ouvrir la portière. Je me rends compte que je suis en mini-jupe mon action et ma précipitation ont dévoilé mon service trois pièces.

Madame s'éclate de rire ; -« Fais un peu attention, une secrètaire est plus distinguée et plus prude en public, nous allons à Cannes ! »

Une question me brûle les lèvres, mais je n'ose la poser.

Madame anticipe mon angoisse : -« Tu vas m'accompagner, nous descendrons au Noga-Hilton, un voiturier garera la voiture et nous irons toutes les deux faire les boutiques puis nous dînerons au Noga avec Jean et en fonction de son bon vouloir nous rentrerons ou nous irons chez lui. Il t'apprécie beaucoup. »

Les dès sont jetés, il va falloir que je sorte attifé de la sorte.

Je me regarde dans le rétroviseur, c'est vrai que si je rencontre quelque connaissance ils auront vraiment beaucoup de mal à me reconnaître, bah! Le ridicule ne tue pas après tout.

Nous voilà arrivées, je me gare devant l'entrée du Noga-Hilton, un des voituriers m'ouvre la portière, je sors en faisant attention à ma jupe et je retrouve Madame sur le trottoir.

-« pour les premières fois tu vas marcher à côté de moi, quand tu auras plus d'assurance tu marcheras deux pas derrière. Tu ne parle jamais, si on te parle c'est moi qui réponds. Allons-y. »

Nous voilà à dix sept heures sur la croisette, au milieu des touristes, quelques-uns uns se retournent sur notre passage, mais pas de remarques ni de scandale. Elle m'entraîne dans la rue d'Antibes, dans une rue perpendiculaire un sex. shop où nous entrons. Apparemment Madame est une cliente habituée. Elle se fait sortir tous les bijoux de seins, le vendeur lui fait remarquer que pour qu'ils tiennent ils pincent fortement le téton.

-« Oui je sais, ce n'est pas pour moi mais pour ma secrétaire, c'est en attendant qu'elle ait sa poitrine et après je les lui ferais percer et j'en mettrais des permanents fabriqués par mon bijoutier avec mon blason. »

Je commence à transpirer et à trembler, quoi ? Sa poitrine, faire percer !

Je sors de mes interrogations car Madame ouvre mon boléro et m'accroche des anneaux dorés au seins. Ca fait mal, mais une érection soulève ma jupe, Madame rit de bon coeur accompagnée du vendeur. -« Trouvez-lui un string ouvert qui puisse contenir sa virilité cachée. Car la pression ne va pas cesser et ne vas pas arrêter de s'accentuer. »

Voilà le vendeur qui revient avec une petite boîte blanche, -« J'ai exactement ce qu'il vous faut, un travesti me l'avait commandé mais il était trop cher pour lui, on glisse la verge dans cette poche, on noue ces deux liens et on les ramènes à l'arrière en passant entre les jambes et on les attaches à la ceinture du string, sa queue ne pourra pas se redresser, ça vous convient ? » Madame sourit et lui répond : -« Tout à fait, vous pouvez le lui mettre et lui expliquer ? »

-« Certainement, Madame, viens avec moi je vais te le mettre. »

Je le suis dans l'arrière salle, là d'un geste brusque il me relève la jupe, empoigne mon sexe et le glisse dans le string, il serre fort les liens qui m'arrache un cri de douleur, passe les liens entre mes jambes, ferme la ceinture du string et fait un noeud.

Ma verge et mes testicules sont plaquées dans mon entrecuisse, mon érection me fait mal.

Je rabats ma jupe et retourne dans la boutique, Madame est en train de regarder des robes, elle se retourne et émet un sifflement.

-« Très bien tu es plate comme une fille, très riche idée, je t'ai acheté deux robes et deux mini-jupes, tu ne peux pas toujours emprunter les affaires de Martha. »

Madame règle ses achats, me tends les paquets et nous repartons.

Dans une rue perpendiculaire à la rue d'Antibes il y a un magasin de vêtements en cuir, je l'indique à Madame car elle ne le connaissait pas.

Pour moi c'est un vrai test, j'ai déjà acheté divers habits dans ce magasin tenu par le patron et sa femme.

C'est la femme qui vient s'occuper de nous, Madame essaye un tailleur pantalon et me demande d'essayer le même mais avec une jupe. Les essayages effectués madame indique à la vendeuse que nous les gardons sur nous, elle paye et nous repartons.

Ouf ! Ou ils ont été discrets ou ils ne m'ont pas reconnu, je me détends un peu.

Arrivées au Noga-Hilton ; Jean nous attendait dans le hall, ils nous complimente sur notre élégance et nous entraîne vers l'ascenseur.

-« J'ai réservé un salon nous serons plus tranquilles, c'est sa première sortie, ça se fête. »

Nous voilà attablés, je suis entre Madame et Jean qui me caresse sous la table les jambes, Madame entrouvre la veste de mon tailleur et lui montre mes bijoux, la main se fait plus entreprenante lorsqu'on lui indique l'achat du string.

Ni une ni deux, Jean remonte la fermeture éclair qui maintient la jupe droite jusqu'à la taille, soulève le pan de jupe et glisse sa main entre mes cuisses juste au moment ou le serveur vient nous apporter les menus. Je suis rouge de honte, Madame a empoigné mon bras pour que je ne puisse pas rabattre ma jupe, Jean récupère de sa main libre les menus pendant que le serveur ne se gêne pas pour me mater.

-« Il faut que tu t'y fasses, ça risque de t'arriver quelques fois que nous t'exhibions mais par contre sache que tu ne seras aimée que par nous. »

Le repas se passe sans problèmes, bien que je sois toujours cuisses nues.

Lorsque nous repartons, je conduis Madame et Jean, ils décident d'aller au Casino et me demandent de rester dans la voiture.

Quelle épreuve !

Ce n'est pas une voiture, mais des voitures qui se sont arrêtées pour me demander combien je prenais. Un calvaire, ouf ! Les voilà, je sors et leur ouvre les portières, Madame s'installe à la place du chauffeur. -« Monte avec Jean il a besoin de gâteries, je conduis pour rentrer. »

En effet à l'arrière à peine entrée, jean me déboutonne la veste et me défait la jupe, me voilà en string et escarpins.

D'emblée il se saisit de mes anneaux et les malmènes, je gémis pour me faire taire il me fait sucer son sexe déjà tendu, le repas à dû lui paraître long, il éjacule rapidement.

Le retour me valut quelques pipes profondes et un anus bien visité. Je me fais la remarque que lorsque Jean m'encule, je n'ai pratiquement plus mal.

Arrivés à la villa, Je dois montrer à Martha les achats faits et lui rendre ses affaires.

Nos bracelets vibrent, nous sommes attendus dans le bureau.

-« Je suis ravie de cette journée, si tout se passe bien dans deux mois tu seras définitivement embauché. Martha ! Pas d'objections ? Jean ? Bon si nous sommes tous d'accord Champagne. »

Le champagne aidant l'atmosphère s'est détendue et les câlins ont repris mais à quatre, une belle partie de jambes en l'air. Les femmes avec des ceintures godes, Jean et moi à qui ils avaient décidé de libérer mon sexe. Jean à été le seul à ne pas bénéficier des doubles pénétrations.

Jour après jour j'apprends à vivre en femme, avec beaucoup de sévérité de la part de Madame, mais souvent le soir elle me récompense seule dans sa chambre de ma bonne volonté.

Mes passages à la cave, pardon donjon, me font toujours frissonner, je ne sais jamais ce qu'il va m'arriver, mais ils accentuent ma docilité et ma soumission, il n'y a que Madame qui règne dans cette partie de la maison, Martha lui sert d'assistante. Il m'arrive de passer une nuit, voir une journée emprisonnée, avec des poids aux seins ou à la verge, des godes de différentes tailles pour m'élargir l'anus pour le plaisir de Jean. J'ai également goûté à la cire, à la cravache et au fouet, les moments cuisants ont été suivis par contre par beaucoup de tendresse ce qui m'a fait moins redouter ces séances.

C'est sur l'oreiller qu'elle m'avoua qu'elle avait des projets pour moi, pour ma transformation une fois les deux mois d'essais terminés et le contrat définitif signé.


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