LE SEJOUR
Récit érotique écrit par Antares [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE SEJOUR
En préambule, je souhaite préciser que les évènements relatés dans ce récit ne sont pas fictifs. Ils se sont produits dans la deuxième moitié du mois de juin 2012. Les dialogues ne sont pas strictement identiques pour des raisons évidentes de mémorisation de l'évènement, mais sont proches à 90% d'exactitude. Les noms des personnes ne sont pas mentionnés pour raisons de confidentialité, le "garçon" de ce récit étant moi-même et la "fille" ma belle-soeur par alliance c'est à dire la soeur de ma femme. Seule la deuxième partie de ce récit est érotique et justifie sa présence sur ce site, mais il n'eût pas été souhaitable d'omettre le début de cette histoire, tant sa présence est nécessaire afin d'en bien comprendre, et surtout apprécier, le dénouement.
Tous vos commentaires seront les bienvenus. Place à cette tranche de vie qui je l'espère, vous divertira. Cordialement.
-Le séjour-
C'était un début d'été très chaud. Le temps était lourd et un soleil radieux inondait de ses faveurs le paysage magnifique de la ville de xxxxx et ses environs, ce qui était à ce moment là une exception en France. Malheureusement ce beau temps subira par la suite une certaine dégradation.
La jeune femme devait arriver en fin d'après-midi.
Le moment venu, le garçon alla la chercher en voiture à l'aéroport. La fille n'était autre que la belle soeur du garçon, et avait comme lui une trentaine d'années. Elle était rayonnante et heureuse d'avoir fait bon voyage. De nationalité étrangère, elle avait parcouru plus de 3000 km vers l'ouest pour venir passer une semaine en France chez le garçon. La femme du garçon, de la même nationalité que sa soeur, avait pour sa part fait le trajet inverse afin de rendre rendre visite à sa famille.
Dieu qu'elle fut longue à attendre, cette valise ! Lorsqu'elle se présenta enfin sur le tapis roulant, le garçon avait eu la joie de redécouvrir sa belle soeur inchangée depuis la dernière fois qu'il l'avait vue, c'est à dire 4 ans auparavant. Ainsi, elle était restée la même : un visage très pur encadré par des cheveux longs et chatains avec des yeux verts à la clareté atypique, le tout illuminé par un sourire enjoué qui faisait briller des dents très blanches. Le français dans lequel elle s'exprimait était très académique, jamais familier, tant elle l'avait appris en lisant l'aréopage des auteurs qui composent la littérature française. Mise en valeur de fort belle manière dans une robe vichy à petits carreaux bleus et blancs, elle était assez grande, 170 centimètres environ, et son corps parfaitement formé exprimait certes la beauté, mais surtout la santé.
Discuter avec la fille dans la voiture fut un délice pour le garçon : il avaient toujours été très proches malgré le peu de fois qu'ils s'étaient vus. Il ne perdait pas patience, comme avec les autres filles, à l'écouter parler car sa conversation n'était jamais futile. Elle témoignait dans ses propos d'une égalité d'humeur et d'une vraie gentillesse à l'égard de l'autre en général. Elle n'était pas hâbleuse ni effrontée et ne confondait pas, comme beaucoup de françaises, mauvais caractère et personnalité. Bien sûr, le garçon avait remarqué qu'elle ne portait pas de soutien gorge: ses seins étaient positionnés très haut sur son buste et paraissaient très fermes. Sa robe, une fois assise dans la voiture, coupait ses jambes à mi-cuisse et il estima souvent, l'air de rien, la blancheur de cette chair drue.
La fille résidait chez le garçon depuis plusieurs jours, et la conversation entre eux deux ne semblait jamais devoir s'arrêter. De quoi parlaient-ils ? De tout, mais pas de rien. Elle était scientifique de profession, et ce domaine passionnait le garçon. Mais elle disposait aussi d'un gros bagage intellectuel: d'aucuns auraient dit qu'elle avait la tête bien pleine chère à Rabelais et la tête bien faite chère à Pascal. Ces conversations duraient jusqu'à tard le soir et reprenaient le matin comme si la nuit ne les avait pas interrompues.
Alors qu'il était question, au début, de sorties diverses et de visites en tous genres de la ville et ses alentours, la fille ne s'était absentée qu'une fois, seule ; et était revenu avec un cadeau pour le garçon: une montre de marque qu'il estima immédiatement à plus de 500 euros... Bien qu'il ne fut pas matérialiste, voilà qu'il pu associer un chiffre à la gentillesse de sa belle soeur. Il en fut très touché, et lui proposa moults excurtions où il se proposait de l'amener mais elle les déclina toutes ; seule l'intéressait la perspective de rester à la maison et de parler avec lui. Il réussit toutefois à l'inviter au restaurant, cela, elle avait fini par l'accepter... mais il dût batailler pour payer la note. Ce qui était ridicule, car le garçon était bien loin d'être dans la nécessité.
Ils vivaient ainsi depuis plusieurs jours, côte-à-côte, et le garçon s'amusait de voir la garde robe de la fille changer pour des modèles de vêtements assez désuets dans lesquels elle était belle à croquer.
Cette semaine-là était, de plus, vraiment chaude, et le temps très lourd faisait préférer des tenues légères à sa belle soeur. Les divers éléments de son corps, chevilles fines, pieds sains et blancs, jambes fermes à la chair pleine, beaux bras et belles mains, nombril délicat et autre naissance des seins étaient ainsi toujours visibles en alternance pour le plus grand plaisir du garçon qui y repensait le soir ; et son sexe dressé à la faveur de la nuit attendait d'avantage, jours après jours, un contact qu'il se refusait à lui donner. Il restait parfois une heure à bander, nu sur son lit, le sexe énorme et dressé, les testicules pleines, en essayant de lire. Cet ainsi que l'avant dernière jour, il se leva le matin avec l'impression que ses couilles allaient exploser. Lui et sa belle-soeur étaient si proches mentalement, qu'il se demandait souvent si cette promiscuité la mettait, elle aussi, dans le même état. Il en eu réponse le jour même.
Comme à l'habitude, elle avait insisté pour préparer les repas et le garçon, se félicitant de l'excellence de sa belle soeur, mettait la table. Il portait un short assez lâche et n'avait pas de sous-vêtements: il sentait, à chaque mouvement du corps, le tissus rêche frotter contre son gland. Elle s'assit façe à lui. Lorsqu'ils discutaient, il ne se parlaient jamais en même temps: l'un commençait, exposait ses vues, donnait son opinion, l'autre l'écoutait jusqu'à la fin, puis donnait la sienne. Ils tombaient presque toujours d'accord et riaient souvent. Quelle était plaisante, cette entente ! Finalement très simple en son procédé, mais si originale à la pratique... Ce jour là ne fit pas exception, mais la conversation aborda un sujet plus intime au moment où sa belle soeur dit:
-- Vraiment, je ressens beaucoup de plaisir à être en ta compagnie et à parler avec toi. Je trouve qu'on est très similaires dans nos manières de penser. Je suis très triste de devoir partir déjà... dans deux jours, oui. Elle fit la grimace. Je n'ai pas beaucoup l'occasion de parler chez moi,surtout en français... elle rit.
-- Je comprends. Pareil pour moi, le français mis à part bien sûr.
-- Et puis c'est étonnant qu'on soit si proches, toi et moi. J'ai l'impression de pouvoir parler de tout.
-- C'est partagé. Je connais presque tout de toi, et ce que je connais me fait te dire que tu es vraiment ce qu'on peut appeler une belle personne. Tu ne sembles pas avoir de défauts.
Elle rit puis demanda:
-- Oh, j'en ai, crois-moi, demande à ma soeur !
-- Ah oui, et lesquels ? elle rit encore.
-- Je ne sais pas trop, mais si je n'ai pas eu de petit ami depuis 4 ans c'est bien qu'il doit y avoir certaines raisons !
-- Justement, je sais cela par ta soeur, et franchement je ne me l'explique pas. Il n'y aurait donc aucun garçon dans ton pays, à t'intéresser ? Excuse-moi de te le dire mais tu es si mignonne ! On peut même dire belle, et c'est complètement objectif. Et ton intellect ne gâche rien, au contraire. C'est dommage de rester seule comme ça... tu es trop difficile peut-être.
-- Oui, je le pense, ça et d'autres choses, les gens en général ne m'intéressent pas beaucoup...
-- Il faut peut-être que tu ailles plus vers eux, afin de mieux les découvrir... L'être humain à besoin de rapports... Même physiques, d'ailleurs ; ça doit te manquer, tu es dans la fleur de l'âge. Tu n'as pas de besoin, à ce niveau là ? Excuse moi, c'est indiscret et une réponse sur ce thème serait un peu intime... enfin ce serait quand même bizarre de n'avoir aucune envie.
Elle rit largement et répondit:
-- Oh, avec toi je peux tout dire, tu es je crois mon seul ami et même plus que cela, en tout cas pour moi.
-- Pour moi aussi.
elle reprit:
-- Oui c'est vrai que j'ai des besoins comme tout le monde, parfois ça me rend folle.
-- Et bien, il faut au moins que tu t'occupes seule de ton corps, tiens, en toute confiance je vais même te dire: moi j'ai des besoins assez ennuyeux il faut que j'éjacule au moins une fois par jour. C'est même une nécessité physique... Ce qui fait que je me masturbe presque tous les jours, enfin sauf depuis que tu es là. Excuse-moi de t'avoir raconté cela, j'ai l'impression que je peux tout te raconter.
-- Tu peux tout me dire, absolument. Moi aussi je me caresse. Mais tu peux te masturber même si je suis dans l'appartment, pourquoi tu ne l'a pas fait, cela ne me dérange pas du tout !
-- Je ne sais pas trop, ta venue a changé mon quotidien.
-- Si tu as l'habitude de le faire tous les jours, ça dois beaucoup te manquer.
-- Et bien si tu veux savoir j'ai juste l'impression que mes bourses vont éclater mais sinon ça va...
-- Mais c'est bête ça, il ne faut pas te sentir gêné parce que je suis là.
-- Et toi, tu t'es masturbée dans ta chambre depuis que tu es ici ?
-- Non.
-- Tu vois, c'est pareil. enfin peut-être que tu n'en avait pas envie.
-- Si j'en vais très envie...
-- Et bien alors pourquoi ?
-- Et bien j'avais peur que tu m'entendes ou quelque chose dans ce genre là.
-- Oh, mais tu rigoles, il ne faut pas te gêner; tu peux le faire ce soir si tu veux.
-- Pareil pour toi.
Ils rirent. Puis le garçon ajouta:
-- Tu sais tu peux avoir des orgasmes très fort, même sans partenaire. Moi j'arrive à vraiment prendre beaucoup de plaisir en me touchant. Graçe aux fantasmes. Il me suffit de penser à une situation très excitante pour moi et le plaisir peut être très fort.
-- Moi aussi ! tu penses à quoi, toi quand tu le fait ?
-- Si je te le dit, tu me diras alors à quoi, toi, tu penses ?
Elle rit :
-- Bien sûr ! Mais il faut que tu me promette de ne pas être choqué !
Le garçon leva un bras et jura sur l'honneur, ce qui fit rire encore sa belle-soeur.
-- Alors je commence... et bien mon fantasme préféré: j'imagine que je me masturbe devant une fille dont ce serait le fantasme. Voilà... à toi maintenant.
-- Et bien moi... je pense à toi... tu as promis de ne pas être choqué.
Le garçon sourit et se composa un visage tout à fait neutre. Suite à quoi, il répondit:
-- Je ne suis pas du tout choqué, et puisque tu y vas dans les confidence, et bien sache que moi aussi je pense à toi... hé oui ! On est vraiment sur la même longueur d'onde.
-- On se plait, je l'ai toujours su ! Et je fais quoi dans ton fantasme ? demanda-t-elle.
-- Et bien je me masturbe devant toi et comme dans mon fantasme, c'est le tiens de voir un garçon se masturber devant toi, tu te masturbes aussi... et moi, je fais quoi dans le tien ?
-- Tu me déshabilles, tu me touches, tu m'embrasses dans certains endroits, certaines parties de mon corps...
-- Lesquelles ?
-- Les seins, le ventre, le sexe... et puis tu me fais l'amour...
-- Et bien voilà, on se connait maintenant parfaitement, dit le garçon et par nos pensées, et par nos fantasmes, qui se rejoignent d'ailleurs. On est comme des âmes soeurs.
-- C'est normal pour un beau frère !
-- C'est normal pour une belle soeur !
-- Oui on est comme tous nus l'un devant l'autre. Et finalement c'est plaisant, j'ai beaucoup de plaisir à cette conversation, dit-elle.
-- Moi aussi, j'adore, admit-il, mais on est pas totalement tout nus l'un devant l'autre. En tout cas pas physiquement. Dommage d'ailleurs, ajouta-t-il en riant.
-- Cela ne me dérangerais encore moins, d'ailleurs, il fait très chaud... tu voudrais que j'enlève ma robe?
-- Avec grand plaisir.
La fille se leva et déboutonna sa robe qui tomba à ses pieds, qu'elle avaient nus. Elle apparut donc simplement vêtue d'une culotte blanche qui était visiblement trempée. Par suite, le tissus en était rendu transparent et délimitait avec exactitude les replis charnus de son sexe. Ses seins avaient des aréoles brunes, ce qui surpris le garçon car la peau de ce corps était d'un blanc pâle. Les tétons n'étaient en revanche pas durcis mais les seins paraissaient très durs. Une belle fille dans la fleur de l'âge, qui sentait la robustesse et le paganisme. Elle se rassit ensuite sur sa chaise.
-- Tu mouilles, ta culotte est trempée.
-- Oui, cette conversation m'a beaucoup émue.
-- Emouvoir n'est peut être pas tout à fait le mot, disons excitée plutôt !
-- Oui, c'est cela que je voulais dire.
-- En général lorsque les femmes sont excitées, le bout de leurs seins se durçi, ce n'est pas ton cas.
-- Oh, eux, ils ne deviennent durs que si je les touche, comme ça... Elle porta le doigt à son sein gauche et fit des cercles dessus avec son index. Aussitôt il se dressa, gros comme un dé à coudre.
-- Tu aimes cette sensation ? demanda-t-il, amusé.
-- Oui j'adore, je commence toujours par toucher mes seins lorsque je me masturbe. Tu veux essayer sur le deuxième ? demanda-t-elle en désigant son sein droit.
Le garçon se leva et caressa de son doigt l'aréole brune. Le bout se dressa comme une corne qu'il griffa de l'ongle plusieur fois. La fille soupira et écarta les jambes au maximum, ce qui modifia la topographie des lèvres de son sexe dont les reliefs parurent dans la transparence de la culotte trempée.
-- Comment tu trouves mes seins ?
-- Ils ont de gros bouts, cela semble te faire beaucoup de bien.
-- Très, répondit-elle. Ses joues étaient rouges et elle respirait fort. Le garçon continua de toucher sa belle soeur. elle arrêta de toucher elle-même son sein gauche et demanda à ce qu'il la touche à cet endroit aussi ; ce qu'il fit. Son érection devint immense et distendait son short.
-- J'aimerais bien que tu te déshabilles, demanda-t-elle.
Alors le garçon arrêta de toucher cette poitrine turgescente et enleva sa chemise, ensuite il dégraffa son short qu'il eu du mal à ôter tant son sexe était dressé. Le short glissa au sol et le sexe du garçon apparut à l'air libre, tel un bâton de chair. Et, comme la fille décalait sa chaise sur le côté de la table pour qu'il puisse bien la voir, il décala la sienne pour lui faire face, à un mètre d'elle. Ensuite il s'assit, le sexe dressé entre ses jambes comme un pieu.
-- Ton sexe est vraiment très épais, il est très beau, avec sa grosse tête rouge. On dirait que tes testicules vont exploser ! On dirait une balle de tennis ! J'aimerais bien que tu me montres comment tu te masturbes... et dis-moi ce que tu ressents.
-- C'est à dire, ce que je ressents ?
-- Et bien ce que t'évoque le spectacle de mon corps qui te désire, devant toi...
-- J'ai l'impression que je vais exploser, te voir comme ça en culotte ça m'excite à un point ! Et ta culotte qui moule comme ça ton sexe ! On en voit tous les contours, il est trempé !
-- Oui moi aussi je suis très excitée, répondit sa belle soeur. Elle glissa contre le dossier de sa chaise et écarta les jambes au maximum, se faisant elle écornait toujours, de ses ongles, ses tétons durçis. Puis elle écarta et rapprocha en cadence ses jambes. A chaque mouvement, sa culotte rentrait un peu plus dans les replis charnus de son sexe qui paraissait manquer d'air derrière la barrière du tissus. Ce moment dura longtemps, elle dit ensuite:
-- Alors, montre-moi comment tu te masturbes !
Le garçon s'exécuta devant sa belle soeur. Elle regardait, tout en frottant sa culotte, se touchant le corps, puis elle demanda encore:
-- Tu peux me raconter ce que tu fais ?
-- Et bien tu vois, lorsque je me masturbe, je prends comme ça mon sexe et je monte et descend, énnonça le garçon sur le ton d'une lapalissade, en contemplant le spectacle érotique qu'il avait devant lui : cette bite grosse à craquer, le volume de ce membre veineux qui roule sous sa main, les aspérités de ce gland massif, et ces couilles pleines à déborder.
-- Oui, c'est très beau, ton sexe épais est tout ce qu'on peut vouloir d'un homme.
Au bout de quelques minutes, elle se leva et s'approcha de son beau frère, puis elle dit:
-- Il y a une goutte de liqueur au bout de ton sexe. On dirait qu'il va exploser. Et si je touche, comme ça, le bout de tes pectoraux, ça te fait le même délice qu'à moi ? demanda-t-elle en le caressant.
-- Oui, c'est vraiment très bien... admit-il en éprouvant une impression de dissolution dans le plaisir de ce contact.
La fille continua sa caresse deux minutes, où ses doigts frais frottaient les petits tétons durcis qui semblaient comme directement reliés au sexe du garçon, puis retourna s'assoir. Elle enleva sa culotte. Elle écarta les jambes et dévoila l'enchantement de son sexe qui paru telle une grosse fleur de velour brun et rouge gorgée d'une sève qui lui dégoulinait dessus. De sa main droite, elle fouillait dans les épaisseurs liquides de cette peau ; de sa main gauche elle se caressait en d'amples mouvements appuyés les seins, le ventre, l'intérieur des cuisses. Elles dit ensuite, d'une voix entrecoupée de soupirs:
-- Lorsque je me caresse toute seule, le plaisir n'est rien comparé à ça... Là c'est pornographique car tu vois mon sexe tout ouvert et malgré tout qui n'arrive pas à respirer. Toute ma peau. Tout mon corps qui veut jouir de toutes ses forces. Comment on dit "sexe" en français dans un langage vulgaire, pour le sexe d'une femme ?
-- On peut dire "chatte " c'est le plus commun, articula-t-il difficilement.
-- Et bien ma chatte est très douce et sensible et j'adore sentir mes doigts jouer avec, ça me rend folle. Et toi tu ressentirais quoi en touchant mon sexe, ma chatte ? Tu la trouverais comment ?
Il cherchait une réponse à cette drôle de question, lorqu'elle se leva et empoigna sa colonne de chair.
-- Qu'il est gros et lourd ! dit-elle. Elle faisait aller et venir sa main dessus, et lapait le liquide qui débordait du gland par moment. Il trouva sa bouche très douce. Elle plaça la main du garçon sur la pilosité peu fournie de son sexe. Il perdit ses doigts dans les méandres généreux de la peau de ce sexe féminin liquéfié par son besoin de jouissance, et elle agita son bassin de manière forcenée. Elle s'empara, de son autre main, des testicules du garçon qu'elle déclara "très lourdes aussi" et qui "devaient souffrir en l'attente de pouvoir libérer tout le sperme qu'elles contenaient".
-- Cela t'excite de parler comme ça de ce que tu ressens ? demanda le garçon.
-- Oui, beaucoup, dit-elle en souriant. Cela a commencé comme ça avec toi, en parlant, et je ne veux pas que ça s'arrête... Allonge-toi sur le tapis.
Il s'allongea sur le tapis. Elle le força à arrêter de se toucher, et lui mis les bras en croix et les jambes écartées. Ensuite, devant lui, elle s'assit par terre et recommença sa masturbation. Il voulut se satisfaire encore en la regardant mais elle s'y opposa.
-- Non, plus maintenant, tu ne dois plus te toucher. Elle resta ensuite un long moment à le regarder alors qu'elle touchait par intermittence son corps, jouait avec les cornes de ses seins, écartait ses petites lèvres en lui montrant son clitoris rose qui était tout gros et humide dans son capuchon brun, prenait des poses lascives où elle écartait ses jambes au maximum, les relevait, découvrant son anus et l'orifice rose le plus profond de son intimité..
Ensuite elle s'approcha de lui et se mit à califourchon sur sa tête. Il put ainsi goûter les saveurs de son sexe qu'elle frotta contre son visage. Elle l'empêchait toujours de se toucher et ne le touchait pas: ce fut pour lui un longue torture où il avait les couilles si gonflées et bandait si fort qu'il était presque tourniste. Elle dit:
-- Que tu es beau, j'ai envie de te manger. Comment dit-on en français lorsque le sexe de l'homme est dressé comme ça?
-- On dit "bander"...
-- Que tu bandes, que tu bandes ! s'exclama-t-elle. J'aime l'odeur de ton sexe, ajouta-t-elle, puis elle s'agenouilla devant lui, sur le côté, et se mis à pétrir son grand corps comme pour le masser et ce, durant plusieurs minutes: ses mains, rapides, semblaient partout à la fois. Elle prenait ses bras, ses épaules, ses pectoraux dont elle griffa les bouts durs, imprima la marque de son poing serré sur le ventre. Puis elle s'empara à nouveau du sexe de son beau frère qu'elle masturbait d'une manière très appuyée et lente, tout en avalant le gland et en lui malaxant les testicules.
-- J'arrive à peine à le prendre dans ma bouche ! dit-elle en redressant la tête, avant de replonger vers le sexe du garçon.
Elle lui demanda ensuite de relever les jambes et tout en faisant aller et venir sa main droite sur le sexe du garçon, elle lui enfonca un doigt dans l'anus. Le garçon, qui n'aima pas spécialement la chose, la laissa faire, mais pourtant elle s'en rendit compte:
-- Et bien, ça, ça ne te plait pas je vois ! dit-elle alors en riant. Elle frotta alors son beau visage contre le sexe du garçon et recommença à le lècher. Lui de son côté, caressait, léchait le corps et le sexe de sa belle soeur, la masturbait avec vigueur. Elle se positionna sur son bassin et il prit son sexe en main pour la pénétrer...
C'est alors que, telle une intrusion du destin, le téléphone sonna. Le répondeur se déclencha et la voix de la femme du garçon, qui était aussi celle de la soeur de la fille, se fit entendre. Elle parla de son séjour et demandait de la rappeler lorsque le garçon décrocha. Il s'en suivit l'image surréaliste du garçon qui faisait les cents pas en parlant au téléphone alors qu'il était en tenue d'Adam ; la fille, elle, était de dos et se rhabillait. Le garçon ne vit pas son visage. Elle alla ensuite dans la salle de bain. La conversation téléphonique dura une bonne partie de l'après-midi ; il en ressortit que tout allait bien du côté de la femme du garçon qu'il rassura en lui disant qu'ici aussi...
Le soir, la complicité était la même entre le garçon et sa belle soeur mais l'épisode du midi ne fut pas poursuivi. Cela sembla être comme un accord tacite entre eux deux. Plus tard, au moment de se coucher, il se firent la bise comme si de rien était.
Lorsqu'il raccompagna sa belle soeur à son avion deux jours plus tard, ils conversèrent comme si rien de tout cela n'était arrivé, et finalement, il n'était pas arrivé tant de choses physiquement. En revanche, mentalement, l'affaire avaient paru au garçon colossale. Il rentra seul chez lui, dépité que l'histoire se soit finie si tôt et finalement soulagé de ne s'être pas engagé plus avant dans l'adultère. Il était tout de même curieux que sa femme ait appelé précisément alors que tout allait basculer vers un acte charnel. Peut-être, à 3000 km de là et par les rouages invisibles de l'instinct, l'avait-elle senti.
Tous vos commentaires seront les bienvenus. Place à cette tranche de vie qui je l'espère, vous divertira. Cordialement.
-Le séjour-
C'était un début d'été très chaud. Le temps était lourd et un soleil radieux inondait de ses faveurs le paysage magnifique de la ville de xxxxx et ses environs, ce qui était à ce moment là une exception en France. Malheureusement ce beau temps subira par la suite une certaine dégradation.
La jeune femme devait arriver en fin d'après-midi.
Le moment venu, le garçon alla la chercher en voiture à l'aéroport. La fille n'était autre que la belle soeur du garçon, et avait comme lui une trentaine d'années. Elle était rayonnante et heureuse d'avoir fait bon voyage. De nationalité étrangère, elle avait parcouru plus de 3000 km vers l'ouest pour venir passer une semaine en France chez le garçon. La femme du garçon, de la même nationalité que sa soeur, avait pour sa part fait le trajet inverse afin de rendre rendre visite à sa famille.
Dieu qu'elle fut longue à attendre, cette valise ! Lorsqu'elle se présenta enfin sur le tapis roulant, le garçon avait eu la joie de redécouvrir sa belle soeur inchangée depuis la dernière fois qu'il l'avait vue, c'est à dire 4 ans auparavant. Ainsi, elle était restée la même : un visage très pur encadré par des cheveux longs et chatains avec des yeux verts à la clareté atypique, le tout illuminé par un sourire enjoué qui faisait briller des dents très blanches. Le français dans lequel elle s'exprimait était très académique, jamais familier, tant elle l'avait appris en lisant l'aréopage des auteurs qui composent la littérature française. Mise en valeur de fort belle manière dans une robe vichy à petits carreaux bleus et blancs, elle était assez grande, 170 centimètres environ, et son corps parfaitement formé exprimait certes la beauté, mais surtout la santé.
Discuter avec la fille dans la voiture fut un délice pour le garçon : il avaient toujours été très proches malgré le peu de fois qu'ils s'étaient vus. Il ne perdait pas patience, comme avec les autres filles, à l'écouter parler car sa conversation n'était jamais futile. Elle témoignait dans ses propos d'une égalité d'humeur et d'une vraie gentillesse à l'égard de l'autre en général. Elle n'était pas hâbleuse ni effrontée et ne confondait pas, comme beaucoup de françaises, mauvais caractère et personnalité. Bien sûr, le garçon avait remarqué qu'elle ne portait pas de soutien gorge: ses seins étaient positionnés très haut sur son buste et paraissaient très fermes. Sa robe, une fois assise dans la voiture, coupait ses jambes à mi-cuisse et il estima souvent, l'air de rien, la blancheur de cette chair drue.
La fille résidait chez le garçon depuis plusieurs jours, et la conversation entre eux deux ne semblait jamais devoir s'arrêter. De quoi parlaient-ils ? De tout, mais pas de rien. Elle était scientifique de profession, et ce domaine passionnait le garçon. Mais elle disposait aussi d'un gros bagage intellectuel: d'aucuns auraient dit qu'elle avait la tête bien pleine chère à Rabelais et la tête bien faite chère à Pascal. Ces conversations duraient jusqu'à tard le soir et reprenaient le matin comme si la nuit ne les avait pas interrompues.
Alors qu'il était question, au début, de sorties diverses et de visites en tous genres de la ville et ses alentours, la fille ne s'était absentée qu'une fois, seule ; et était revenu avec un cadeau pour le garçon: une montre de marque qu'il estima immédiatement à plus de 500 euros... Bien qu'il ne fut pas matérialiste, voilà qu'il pu associer un chiffre à la gentillesse de sa belle soeur. Il en fut très touché, et lui proposa moults excurtions où il se proposait de l'amener mais elle les déclina toutes ; seule l'intéressait la perspective de rester à la maison et de parler avec lui. Il réussit toutefois à l'inviter au restaurant, cela, elle avait fini par l'accepter... mais il dût batailler pour payer la note. Ce qui était ridicule, car le garçon était bien loin d'être dans la nécessité.
Ils vivaient ainsi depuis plusieurs jours, côte-à-côte, et le garçon s'amusait de voir la garde robe de la fille changer pour des modèles de vêtements assez désuets dans lesquels elle était belle à croquer.
Cette semaine-là était, de plus, vraiment chaude, et le temps très lourd faisait préférer des tenues légères à sa belle soeur. Les divers éléments de son corps, chevilles fines, pieds sains et blancs, jambes fermes à la chair pleine, beaux bras et belles mains, nombril délicat et autre naissance des seins étaient ainsi toujours visibles en alternance pour le plus grand plaisir du garçon qui y repensait le soir ; et son sexe dressé à la faveur de la nuit attendait d'avantage, jours après jours, un contact qu'il se refusait à lui donner. Il restait parfois une heure à bander, nu sur son lit, le sexe énorme et dressé, les testicules pleines, en essayant de lire. Cet ainsi que l'avant dernière jour, il se leva le matin avec l'impression que ses couilles allaient exploser. Lui et sa belle-soeur étaient si proches mentalement, qu'il se demandait souvent si cette promiscuité la mettait, elle aussi, dans le même état. Il en eu réponse le jour même.
Comme à l'habitude, elle avait insisté pour préparer les repas et le garçon, se félicitant de l'excellence de sa belle soeur, mettait la table. Il portait un short assez lâche et n'avait pas de sous-vêtements: il sentait, à chaque mouvement du corps, le tissus rêche frotter contre son gland. Elle s'assit façe à lui. Lorsqu'ils discutaient, il ne se parlaient jamais en même temps: l'un commençait, exposait ses vues, donnait son opinion, l'autre l'écoutait jusqu'à la fin, puis donnait la sienne. Ils tombaient presque toujours d'accord et riaient souvent. Quelle était plaisante, cette entente ! Finalement très simple en son procédé, mais si originale à la pratique... Ce jour là ne fit pas exception, mais la conversation aborda un sujet plus intime au moment où sa belle soeur dit:
-- Vraiment, je ressens beaucoup de plaisir à être en ta compagnie et à parler avec toi. Je trouve qu'on est très similaires dans nos manières de penser. Je suis très triste de devoir partir déjà... dans deux jours, oui. Elle fit la grimace. Je n'ai pas beaucoup l'occasion de parler chez moi,surtout en français... elle rit.
-- Je comprends. Pareil pour moi, le français mis à part bien sûr.
-- Et puis c'est étonnant qu'on soit si proches, toi et moi. J'ai l'impression de pouvoir parler de tout.
-- C'est partagé. Je connais presque tout de toi, et ce que je connais me fait te dire que tu es vraiment ce qu'on peut appeler une belle personne. Tu ne sembles pas avoir de défauts.
Elle rit puis demanda:
-- Oh, j'en ai, crois-moi, demande à ma soeur !
-- Ah oui, et lesquels ? elle rit encore.
-- Je ne sais pas trop, mais si je n'ai pas eu de petit ami depuis 4 ans c'est bien qu'il doit y avoir certaines raisons !
-- Justement, je sais cela par ta soeur, et franchement je ne me l'explique pas. Il n'y aurait donc aucun garçon dans ton pays, à t'intéresser ? Excuse-moi de te le dire mais tu es si mignonne ! On peut même dire belle, et c'est complètement objectif. Et ton intellect ne gâche rien, au contraire. C'est dommage de rester seule comme ça... tu es trop difficile peut-être.
-- Oui, je le pense, ça et d'autres choses, les gens en général ne m'intéressent pas beaucoup...
-- Il faut peut-être que tu ailles plus vers eux, afin de mieux les découvrir... L'être humain à besoin de rapports... Même physiques, d'ailleurs ; ça doit te manquer, tu es dans la fleur de l'âge. Tu n'as pas de besoin, à ce niveau là ? Excuse moi, c'est indiscret et une réponse sur ce thème serait un peu intime... enfin ce serait quand même bizarre de n'avoir aucune envie.
Elle rit largement et répondit:
-- Oh, avec toi je peux tout dire, tu es je crois mon seul ami et même plus que cela, en tout cas pour moi.
-- Pour moi aussi.
elle reprit:
-- Oui c'est vrai que j'ai des besoins comme tout le monde, parfois ça me rend folle.
-- Et bien, il faut au moins que tu t'occupes seule de ton corps, tiens, en toute confiance je vais même te dire: moi j'ai des besoins assez ennuyeux il faut que j'éjacule au moins une fois par jour. C'est même une nécessité physique... Ce qui fait que je me masturbe presque tous les jours, enfin sauf depuis que tu es là. Excuse-moi de t'avoir raconté cela, j'ai l'impression que je peux tout te raconter.
-- Tu peux tout me dire, absolument. Moi aussi je me caresse. Mais tu peux te masturber même si je suis dans l'appartment, pourquoi tu ne l'a pas fait, cela ne me dérange pas du tout !
-- Je ne sais pas trop, ta venue a changé mon quotidien.
-- Si tu as l'habitude de le faire tous les jours, ça dois beaucoup te manquer.
-- Et bien si tu veux savoir j'ai juste l'impression que mes bourses vont éclater mais sinon ça va...
-- Mais c'est bête ça, il ne faut pas te sentir gêné parce que je suis là.
-- Et toi, tu t'es masturbée dans ta chambre depuis que tu es ici ?
-- Non.
-- Tu vois, c'est pareil. enfin peut-être que tu n'en avait pas envie.
-- Si j'en vais très envie...
-- Et bien alors pourquoi ?
-- Et bien j'avais peur que tu m'entendes ou quelque chose dans ce genre là.
-- Oh, mais tu rigoles, il ne faut pas te gêner; tu peux le faire ce soir si tu veux.
-- Pareil pour toi.
Ils rirent. Puis le garçon ajouta:
-- Tu sais tu peux avoir des orgasmes très fort, même sans partenaire. Moi j'arrive à vraiment prendre beaucoup de plaisir en me touchant. Graçe aux fantasmes. Il me suffit de penser à une situation très excitante pour moi et le plaisir peut être très fort.
-- Moi aussi ! tu penses à quoi, toi quand tu le fait ?
-- Si je te le dit, tu me diras alors à quoi, toi, tu penses ?
Elle rit :
-- Bien sûr ! Mais il faut que tu me promette de ne pas être choqué !
Le garçon leva un bras et jura sur l'honneur, ce qui fit rire encore sa belle-soeur.
-- Alors je commence... et bien mon fantasme préféré: j'imagine que je me masturbe devant une fille dont ce serait le fantasme. Voilà... à toi maintenant.
-- Et bien moi... je pense à toi... tu as promis de ne pas être choqué.
Le garçon sourit et se composa un visage tout à fait neutre. Suite à quoi, il répondit:
-- Je ne suis pas du tout choqué, et puisque tu y vas dans les confidence, et bien sache que moi aussi je pense à toi... hé oui ! On est vraiment sur la même longueur d'onde.
-- On se plait, je l'ai toujours su ! Et je fais quoi dans ton fantasme ? demanda-t-elle.
-- Et bien je me masturbe devant toi et comme dans mon fantasme, c'est le tiens de voir un garçon se masturber devant toi, tu te masturbes aussi... et moi, je fais quoi dans le tien ?
-- Tu me déshabilles, tu me touches, tu m'embrasses dans certains endroits, certaines parties de mon corps...
-- Lesquelles ?
-- Les seins, le ventre, le sexe... et puis tu me fais l'amour...
-- Et bien voilà, on se connait maintenant parfaitement, dit le garçon et par nos pensées, et par nos fantasmes, qui se rejoignent d'ailleurs. On est comme des âmes soeurs.
-- C'est normal pour un beau frère !
-- C'est normal pour une belle soeur !
-- Oui on est comme tous nus l'un devant l'autre. Et finalement c'est plaisant, j'ai beaucoup de plaisir à cette conversation, dit-elle.
-- Moi aussi, j'adore, admit-il, mais on est pas totalement tout nus l'un devant l'autre. En tout cas pas physiquement. Dommage d'ailleurs, ajouta-t-il en riant.
-- Cela ne me dérangerais encore moins, d'ailleurs, il fait très chaud... tu voudrais que j'enlève ma robe?
-- Avec grand plaisir.
La fille se leva et déboutonna sa robe qui tomba à ses pieds, qu'elle avaient nus. Elle apparut donc simplement vêtue d'une culotte blanche qui était visiblement trempée. Par suite, le tissus en était rendu transparent et délimitait avec exactitude les replis charnus de son sexe. Ses seins avaient des aréoles brunes, ce qui surpris le garçon car la peau de ce corps était d'un blanc pâle. Les tétons n'étaient en revanche pas durcis mais les seins paraissaient très durs. Une belle fille dans la fleur de l'âge, qui sentait la robustesse et le paganisme. Elle se rassit ensuite sur sa chaise.
-- Tu mouilles, ta culotte est trempée.
-- Oui, cette conversation m'a beaucoup émue.
-- Emouvoir n'est peut être pas tout à fait le mot, disons excitée plutôt !
-- Oui, c'est cela que je voulais dire.
-- En général lorsque les femmes sont excitées, le bout de leurs seins se durçi, ce n'est pas ton cas.
-- Oh, eux, ils ne deviennent durs que si je les touche, comme ça... Elle porta le doigt à son sein gauche et fit des cercles dessus avec son index. Aussitôt il se dressa, gros comme un dé à coudre.
-- Tu aimes cette sensation ? demanda-t-il, amusé.
-- Oui j'adore, je commence toujours par toucher mes seins lorsque je me masturbe. Tu veux essayer sur le deuxième ? demanda-t-elle en désigant son sein droit.
Le garçon se leva et caressa de son doigt l'aréole brune. Le bout se dressa comme une corne qu'il griffa de l'ongle plusieur fois. La fille soupira et écarta les jambes au maximum, ce qui modifia la topographie des lèvres de son sexe dont les reliefs parurent dans la transparence de la culotte trempée.
-- Comment tu trouves mes seins ?
-- Ils ont de gros bouts, cela semble te faire beaucoup de bien.
-- Très, répondit-elle. Ses joues étaient rouges et elle respirait fort. Le garçon continua de toucher sa belle soeur. elle arrêta de toucher elle-même son sein gauche et demanda à ce qu'il la touche à cet endroit aussi ; ce qu'il fit. Son érection devint immense et distendait son short.
-- J'aimerais bien que tu te déshabilles, demanda-t-elle.
Alors le garçon arrêta de toucher cette poitrine turgescente et enleva sa chemise, ensuite il dégraffa son short qu'il eu du mal à ôter tant son sexe était dressé. Le short glissa au sol et le sexe du garçon apparut à l'air libre, tel un bâton de chair. Et, comme la fille décalait sa chaise sur le côté de la table pour qu'il puisse bien la voir, il décala la sienne pour lui faire face, à un mètre d'elle. Ensuite il s'assit, le sexe dressé entre ses jambes comme un pieu.
-- Ton sexe est vraiment très épais, il est très beau, avec sa grosse tête rouge. On dirait que tes testicules vont exploser ! On dirait une balle de tennis ! J'aimerais bien que tu me montres comment tu te masturbes... et dis-moi ce que tu ressents.
-- C'est à dire, ce que je ressents ?
-- Et bien ce que t'évoque le spectacle de mon corps qui te désire, devant toi...
-- J'ai l'impression que je vais exploser, te voir comme ça en culotte ça m'excite à un point ! Et ta culotte qui moule comme ça ton sexe ! On en voit tous les contours, il est trempé !
-- Oui moi aussi je suis très excitée, répondit sa belle soeur. Elle glissa contre le dossier de sa chaise et écarta les jambes au maximum, se faisant elle écornait toujours, de ses ongles, ses tétons durçis. Puis elle écarta et rapprocha en cadence ses jambes. A chaque mouvement, sa culotte rentrait un peu plus dans les replis charnus de son sexe qui paraissait manquer d'air derrière la barrière du tissus. Ce moment dura longtemps, elle dit ensuite:
-- Alors, montre-moi comment tu te masturbes !
Le garçon s'exécuta devant sa belle soeur. Elle regardait, tout en frottant sa culotte, se touchant le corps, puis elle demanda encore:
-- Tu peux me raconter ce que tu fais ?
-- Et bien tu vois, lorsque je me masturbe, je prends comme ça mon sexe et je monte et descend, énnonça le garçon sur le ton d'une lapalissade, en contemplant le spectacle érotique qu'il avait devant lui : cette bite grosse à craquer, le volume de ce membre veineux qui roule sous sa main, les aspérités de ce gland massif, et ces couilles pleines à déborder.
-- Oui, c'est très beau, ton sexe épais est tout ce qu'on peut vouloir d'un homme.
Au bout de quelques minutes, elle se leva et s'approcha de son beau frère, puis elle dit:
-- Il y a une goutte de liqueur au bout de ton sexe. On dirait qu'il va exploser. Et si je touche, comme ça, le bout de tes pectoraux, ça te fait le même délice qu'à moi ? demanda-t-elle en le caressant.
-- Oui, c'est vraiment très bien... admit-il en éprouvant une impression de dissolution dans le plaisir de ce contact.
La fille continua sa caresse deux minutes, où ses doigts frais frottaient les petits tétons durcis qui semblaient comme directement reliés au sexe du garçon, puis retourna s'assoir. Elle enleva sa culotte. Elle écarta les jambes et dévoila l'enchantement de son sexe qui paru telle une grosse fleur de velour brun et rouge gorgée d'une sève qui lui dégoulinait dessus. De sa main droite, elle fouillait dans les épaisseurs liquides de cette peau ; de sa main gauche elle se caressait en d'amples mouvements appuyés les seins, le ventre, l'intérieur des cuisses. Elles dit ensuite, d'une voix entrecoupée de soupirs:
-- Lorsque je me caresse toute seule, le plaisir n'est rien comparé à ça... Là c'est pornographique car tu vois mon sexe tout ouvert et malgré tout qui n'arrive pas à respirer. Toute ma peau. Tout mon corps qui veut jouir de toutes ses forces. Comment on dit "sexe" en français dans un langage vulgaire, pour le sexe d'une femme ?
-- On peut dire "chatte " c'est le plus commun, articula-t-il difficilement.
-- Et bien ma chatte est très douce et sensible et j'adore sentir mes doigts jouer avec, ça me rend folle. Et toi tu ressentirais quoi en touchant mon sexe, ma chatte ? Tu la trouverais comment ?
Il cherchait une réponse à cette drôle de question, lorqu'elle se leva et empoigna sa colonne de chair.
-- Qu'il est gros et lourd ! dit-elle. Elle faisait aller et venir sa main dessus, et lapait le liquide qui débordait du gland par moment. Il trouva sa bouche très douce. Elle plaça la main du garçon sur la pilosité peu fournie de son sexe. Il perdit ses doigts dans les méandres généreux de la peau de ce sexe féminin liquéfié par son besoin de jouissance, et elle agita son bassin de manière forcenée. Elle s'empara, de son autre main, des testicules du garçon qu'elle déclara "très lourdes aussi" et qui "devaient souffrir en l'attente de pouvoir libérer tout le sperme qu'elles contenaient".
-- Cela t'excite de parler comme ça de ce que tu ressens ? demanda le garçon.
-- Oui, beaucoup, dit-elle en souriant. Cela a commencé comme ça avec toi, en parlant, et je ne veux pas que ça s'arrête... Allonge-toi sur le tapis.
Il s'allongea sur le tapis. Elle le força à arrêter de se toucher, et lui mis les bras en croix et les jambes écartées. Ensuite, devant lui, elle s'assit par terre et recommença sa masturbation. Il voulut se satisfaire encore en la regardant mais elle s'y opposa.
-- Non, plus maintenant, tu ne dois plus te toucher. Elle resta ensuite un long moment à le regarder alors qu'elle touchait par intermittence son corps, jouait avec les cornes de ses seins, écartait ses petites lèvres en lui montrant son clitoris rose qui était tout gros et humide dans son capuchon brun, prenait des poses lascives où elle écartait ses jambes au maximum, les relevait, découvrant son anus et l'orifice rose le plus profond de son intimité..
Ensuite elle s'approcha de lui et se mit à califourchon sur sa tête. Il put ainsi goûter les saveurs de son sexe qu'elle frotta contre son visage. Elle l'empêchait toujours de se toucher et ne le touchait pas: ce fut pour lui un longue torture où il avait les couilles si gonflées et bandait si fort qu'il était presque tourniste. Elle dit:
-- Que tu es beau, j'ai envie de te manger. Comment dit-on en français lorsque le sexe de l'homme est dressé comme ça?
-- On dit "bander"...
-- Que tu bandes, que tu bandes ! s'exclama-t-elle. J'aime l'odeur de ton sexe, ajouta-t-elle, puis elle s'agenouilla devant lui, sur le côté, et se mis à pétrir son grand corps comme pour le masser et ce, durant plusieurs minutes: ses mains, rapides, semblaient partout à la fois. Elle prenait ses bras, ses épaules, ses pectoraux dont elle griffa les bouts durs, imprima la marque de son poing serré sur le ventre. Puis elle s'empara à nouveau du sexe de son beau frère qu'elle masturbait d'une manière très appuyée et lente, tout en avalant le gland et en lui malaxant les testicules.
-- J'arrive à peine à le prendre dans ma bouche ! dit-elle en redressant la tête, avant de replonger vers le sexe du garçon.
Elle lui demanda ensuite de relever les jambes et tout en faisant aller et venir sa main droite sur le sexe du garçon, elle lui enfonca un doigt dans l'anus. Le garçon, qui n'aima pas spécialement la chose, la laissa faire, mais pourtant elle s'en rendit compte:
-- Et bien, ça, ça ne te plait pas je vois ! dit-elle alors en riant. Elle frotta alors son beau visage contre le sexe du garçon et recommença à le lècher. Lui de son côté, caressait, léchait le corps et le sexe de sa belle soeur, la masturbait avec vigueur. Elle se positionna sur son bassin et il prit son sexe en main pour la pénétrer...
C'est alors que, telle une intrusion du destin, le téléphone sonna. Le répondeur se déclencha et la voix de la femme du garçon, qui était aussi celle de la soeur de la fille, se fit entendre. Elle parla de son séjour et demandait de la rappeler lorsque le garçon décrocha. Il s'en suivit l'image surréaliste du garçon qui faisait les cents pas en parlant au téléphone alors qu'il était en tenue d'Adam ; la fille, elle, était de dos et se rhabillait. Le garçon ne vit pas son visage. Elle alla ensuite dans la salle de bain. La conversation téléphonique dura une bonne partie de l'après-midi ; il en ressortit que tout allait bien du côté de la femme du garçon qu'il rassura en lui disant qu'ici aussi...
Le soir, la complicité était la même entre le garçon et sa belle soeur mais l'épisode du midi ne fut pas poursuivi. Cela sembla être comme un accord tacite entre eux deux. Plus tard, au moment de se coucher, il se firent la bise comme si de rien était.
Lorsqu'il raccompagna sa belle soeur à son avion deux jours plus tard, ils conversèrent comme si rien de tout cela n'était arrivé, et finalement, il n'était pas arrivé tant de choses physiquement. En revanche, mentalement, l'affaire avaient paru au garçon colossale. Il rentra seul chez lui, dépité que l'histoire se soit finie si tôt et finalement soulagé de ne s'être pas engagé plus avant dans l'adultère. Il était tout de même curieux que sa femme ait appelé précisément alors que tout allait basculer vers un acte charnel. Peut-être, à 3000 km de là et par les rouages invisibles de l'instinct, l'avait-elle senti.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je me suis masturbé, truc de ouf
Merci pour vos commentaires. La suite avec la nouvelle "loin de la peau" sur ce site.
Extra ... surtout si elle est vraie. Je n'aime pas les histoires inventées et futiles.
Celle-ci est enivrante et passionnante. J'espère qu'on saura ce qu'il est advenu de toi
et de ta belle soeur ...
Celle-ci est enivrante et passionnante. J'espère qu'on saura ce qu'il est advenu de toi
et de ta belle soeur ...
j'ai moi même une belle sublime, ce n'est pas toujours simple, elle est très excitante,
a des seins superbes, mais ne semble pas très attirée par le sexe ...
a des seins superbes, mais ne semble pas très attirée par le sexe ...
??? y'a un sort magique dans cette histoire ou quoi! je la lis en boucle en me touchant
depuis que je suis levée sans arriver à faire autre chose !terrible
!pfffffffffffffffffuuuuu
depuis que je suis levée sans arriver à faire autre chose !terrible
!pfffffffffffffffffuuuuu
Sensualité et innocence mêlées. Bravo!