Le soir du Bac
Récit érotique écrit par Pyrène [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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Le soir du Bac
Le soir des résultats du Bac, on avait prévu avec la classe de se faire une soirée pizza-drague. On avait la perm des parents, pas tous mais presque, parce que deux profs avaient dit qu’ils viendraient avec nous : la prof de gym et celui d’histoire.
Entre garçons on s’était passé le mot : on devait venir en t-shirt short ; les filles on ne savait pas comment elles viendraient.
On avait eu le droit de passer la soirée dans la salle d’entraînement d’un club de volley, grâce à la prof de gym, trop sympa. Manu, Mathieu et Sandy devaient préparer la salle dans l’aprèm, avec des guirlandes et la sono de Mathieu.
Moi j’arrivai à 7 heures, comme prévu ; il y avait déjà presque la moitié de la classe, les mecs en short et les quatre filles déjà là en short aussi. Mehdi tenait déjà Stéphanie par la taille. L’éclairage de la salle n’était pas super, parce qu’il manquait deux néons, mais bon, c’était pas grave au contraire.
Finalement, on s’est retrouvé à 17 potes sur les 26 de la classe, et les filles étaient presque toutes en short sauf deux qui étaient en jupes. Les profs n’étaient pas encore arrivés, mais on a décidé de commencer à manger.
Après on a mis la zik. Il y avait du rock, mais aussi pas mal de slow, c’était fait exprès. On n’était pas en nombre pair, Il y avait une fille de plus que les garçons.
Les couples se formaient. Moi, j’étais avec Myriam, serré collé. On dansait un slow, et je sentais ses seins pointus contre mon torse. Il y avait à peine une lueur dans la salle, et j’en profitais pour l’embrasser à pleine bouche, en caressant ses bras nus, son cou. Je poussais mon bassin contre le sien. Elle devait sentir que je bandais, car elle poussait aussi de son côté. Je passais ma main sous son t-shirt et caressais son dos nu, l’attache de son soutif, puis je passais ma main devant pour caresser les bonnets. Je bandais à mort, et je lui dis à l’oreille : « Fais-moi plaisir toi aussi » Myriam comprit aussitôt et glissa sa main entre son bassin et le mien pour me toucher le devant du short. J’étais aux anges !
Autour de nous, c’était pareil. Stéph était avec Corinne, et il avait les mains sous sa minijupe, en train de la peloter. Elle se laissait faire en l’embrassant à pleine bouche les yeux fermés. Magali, qui était restée seule au début, sans cavalier, s’était jointe à Thomas et Bégonia. Ce sacré Thom avait deux filles rien que pour lui ; elles se collaient à lui, et de temps en temps elles se faisaient des petits bisous. Mince ! Et si elles étaient bi, ces deux garces !
C’est à ce moment-là que Bernard et Catherine, nos deux profs de l’année, entrèrent dans le gymnase. Bernard était comme nous en short et Catherine, la prof de gym, portait une minijupe bordeaux. Leur arrivée fit que les couples arrêtèrent de danser pour aller les saluer ; tous les élèves les embrassaient sans retenue, et les deux profs ne se gênaient pas pour serrer contre eux les garçons et les filles.
Lucas, un pote de la classe, se mit à lancer : « Bernard ! Cathy ! Un slow ! Un slow ! Un slow ! » On reprit tous en chœur, et nos deux profs adorés furent obligés de s’exécuter. Entre le short de Bernard et la jupette de Catherine, on n’aurait pas pu passer grand-chose tellement ils étaient collés.
Nous, on les regardait en faisant des commentaires. Certains couples s’étaient reformés, et reprenaient le slow en s’approchant du couple des profs, qui leur faisaient des petits clins d’œil.
Bernard et Cathy avaient repéré une fille et un garçon qui ne dansaient pas. Cathy invita Bob, qui ne se fit pas prier. Cathy le tenait serré contre lui, et elle avait sa joue appuyée contre la sienne. Bob était rouge pivoine, mais il était collé à la prof, qui avait descendu ses mains sur son short. Bob se risqua à descendre les siennes sur la jupe de Cathy, s’attendant à se faire engueuler, mais elle ne dit rien. On voyait bien qu’il appuyait un peu pour approcher le bassin de Cathy du sien en pressant sur ses fesses.
Cathy laissait faire et je la vis approcher ses lèvres de celles de Bob.
Elle l’emmena un peu à l’écart, et le fit asseoir sur ses genoux, enfin sur ses cuisses. Ils s’embrassaient, et Cathy caressait les cuisses de Bob à la limite de son short. D’autres « couples » avaient fait pareil, et c’était surtout les filles qui étaient sur les genoux des mecs, en train de se faire caresser les cuisses et les seins.
Bernard, lui, ne s’embêtait pas. Il était à l’autre bout de la salle, assis contre un mur, sur une poutre. Mélanie, en jupe, et Anne-Charlotte, en short, étaient à cheval chacune sur une de ses cuisses. Ils rigolaient entre eux en se faisant des petits bisous. De temps en temps, une fille, ou les deux, avec le genou, effleurait la braguette de Bernard. Il avait dû dire quelque chose aux filles, qui, ensemble, avaient relevé leurs t-shirt, lui montrant leurs soutifs. Bernard leur caressait les cuisses jusqu’à l’entrejambe et de temps en temps, effleurait les petits soutiens-gorge.
Dans la salle, plusieurs couples étaient carrément en sous-vêt et se caressaient tendrement. Les boxers des garçons étaient tendus de plaisir. Bob aussi s’était mis en boxer avec Cathy, la prof. Elle avait relevé son t-shirt et laissait mon copain lui caresser le soutif.
Je m’étais approché avec Myriam du trio Bernard, Anne-Charlotte et Mélanie. On les regardait en rigolant. J’étais à deux pas de Bernard, et quelle ne fut pas ma surprise de sentir ma main sur ma cuisse, puis entre les cuisses, sous mes couilles. Les filles étaient mortes de rire. Moi je ne savais pas où me mettre devant elles, même si cette caresse m’était agréable.
- Alors, Nicolas, on dirait que ça t’excite ?
- Oh, Monsieur, quand même
- Ben quoi, t’es trop craquant comme ça avec ton petit short. Allez, les filles, laissez-moi un peu avec Nico et Myriam
Mélanie et Anne-Charlotte nous cédèrent leurs places.
(à suivre, si ça vous intéresse)
Entre garçons on s’était passé le mot : on devait venir en t-shirt short ; les filles on ne savait pas comment elles viendraient.
On avait eu le droit de passer la soirée dans la salle d’entraînement d’un club de volley, grâce à la prof de gym, trop sympa. Manu, Mathieu et Sandy devaient préparer la salle dans l’aprèm, avec des guirlandes et la sono de Mathieu.
Moi j’arrivai à 7 heures, comme prévu ; il y avait déjà presque la moitié de la classe, les mecs en short et les quatre filles déjà là en short aussi. Mehdi tenait déjà Stéphanie par la taille. L’éclairage de la salle n’était pas super, parce qu’il manquait deux néons, mais bon, c’était pas grave au contraire.
Finalement, on s’est retrouvé à 17 potes sur les 26 de la classe, et les filles étaient presque toutes en short sauf deux qui étaient en jupes. Les profs n’étaient pas encore arrivés, mais on a décidé de commencer à manger.
Après on a mis la zik. Il y avait du rock, mais aussi pas mal de slow, c’était fait exprès. On n’était pas en nombre pair, Il y avait une fille de plus que les garçons.
Les couples se formaient. Moi, j’étais avec Myriam, serré collé. On dansait un slow, et je sentais ses seins pointus contre mon torse. Il y avait à peine une lueur dans la salle, et j’en profitais pour l’embrasser à pleine bouche, en caressant ses bras nus, son cou. Je poussais mon bassin contre le sien. Elle devait sentir que je bandais, car elle poussait aussi de son côté. Je passais ma main sous son t-shirt et caressais son dos nu, l’attache de son soutif, puis je passais ma main devant pour caresser les bonnets. Je bandais à mort, et je lui dis à l’oreille : « Fais-moi plaisir toi aussi » Myriam comprit aussitôt et glissa sa main entre son bassin et le mien pour me toucher le devant du short. J’étais aux anges !
Autour de nous, c’était pareil. Stéph était avec Corinne, et il avait les mains sous sa minijupe, en train de la peloter. Elle se laissait faire en l’embrassant à pleine bouche les yeux fermés. Magali, qui était restée seule au début, sans cavalier, s’était jointe à Thomas et Bégonia. Ce sacré Thom avait deux filles rien que pour lui ; elles se collaient à lui, et de temps en temps elles se faisaient des petits bisous. Mince ! Et si elles étaient bi, ces deux garces !
C’est à ce moment-là que Bernard et Catherine, nos deux profs de l’année, entrèrent dans le gymnase. Bernard était comme nous en short et Catherine, la prof de gym, portait une minijupe bordeaux. Leur arrivée fit que les couples arrêtèrent de danser pour aller les saluer ; tous les élèves les embrassaient sans retenue, et les deux profs ne se gênaient pas pour serrer contre eux les garçons et les filles.
Lucas, un pote de la classe, se mit à lancer : « Bernard ! Cathy ! Un slow ! Un slow ! Un slow ! » On reprit tous en chœur, et nos deux profs adorés furent obligés de s’exécuter. Entre le short de Bernard et la jupette de Catherine, on n’aurait pas pu passer grand-chose tellement ils étaient collés.
Nous, on les regardait en faisant des commentaires. Certains couples s’étaient reformés, et reprenaient le slow en s’approchant du couple des profs, qui leur faisaient des petits clins d’œil.
Bernard et Cathy avaient repéré une fille et un garçon qui ne dansaient pas. Cathy invita Bob, qui ne se fit pas prier. Cathy le tenait serré contre lui, et elle avait sa joue appuyée contre la sienne. Bob était rouge pivoine, mais il était collé à la prof, qui avait descendu ses mains sur son short. Bob se risqua à descendre les siennes sur la jupe de Cathy, s’attendant à se faire engueuler, mais elle ne dit rien. On voyait bien qu’il appuyait un peu pour approcher le bassin de Cathy du sien en pressant sur ses fesses.
Cathy laissait faire et je la vis approcher ses lèvres de celles de Bob.
Elle l’emmena un peu à l’écart, et le fit asseoir sur ses genoux, enfin sur ses cuisses. Ils s’embrassaient, et Cathy caressait les cuisses de Bob à la limite de son short. D’autres « couples » avaient fait pareil, et c’était surtout les filles qui étaient sur les genoux des mecs, en train de se faire caresser les cuisses et les seins.
Bernard, lui, ne s’embêtait pas. Il était à l’autre bout de la salle, assis contre un mur, sur une poutre. Mélanie, en jupe, et Anne-Charlotte, en short, étaient à cheval chacune sur une de ses cuisses. Ils rigolaient entre eux en se faisant des petits bisous. De temps en temps, une fille, ou les deux, avec le genou, effleurait la braguette de Bernard. Il avait dû dire quelque chose aux filles, qui, ensemble, avaient relevé leurs t-shirt, lui montrant leurs soutifs. Bernard leur caressait les cuisses jusqu’à l’entrejambe et de temps en temps, effleurait les petits soutiens-gorge.
Dans la salle, plusieurs couples étaient carrément en sous-vêt et se caressaient tendrement. Les boxers des garçons étaient tendus de plaisir. Bob aussi s’était mis en boxer avec Cathy, la prof. Elle avait relevé son t-shirt et laissait mon copain lui caresser le soutif.
Je m’étais approché avec Myriam du trio Bernard, Anne-Charlotte et Mélanie. On les regardait en rigolant. J’étais à deux pas de Bernard, et quelle ne fut pas ma surprise de sentir ma main sur ma cuisse, puis entre les cuisses, sous mes couilles. Les filles étaient mortes de rire. Moi je ne savais pas où me mettre devant elles, même si cette caresse m’était agréable.
- Alors, Nicolas, on dirait que ça t’excite ?
- Oh, Monsieur, quand même
- Ben quoi, t’es trop craquant comme ça avec ton petit short. Allez, les filles, laissez-moi un peu avec Nico et Myriam
Mélanie et Anne-Charlotte nous cédèrent leurs places.
(à suivre, si ça vous intéresse)
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