Le soleil de janvier

- Par l'auteur HDS Andeus -
Récit érotique écrit par Andeus [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le soleil de janvier Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le soleil de janvier
C'est dimanche, nous sommes en janvier et il fait froid.
Cela ne décourage ma bien aimée d'arriver chez moi en fin de matinée. Elle habite à une heure de demi de voiture, trois heures de train quand elle doit laisser la voiture à sa famille, mais ça ne la décourage pas de venir. Au contraire, la frustration est une étape importante dans l'atteinte du plaisir et du bonheur. Et puis, nous sommes jeunes, 27 et 26 ans et, à ce qu'il parait, les voyages forment la jeunesse.

Il est onze heure, je l’aperçois dans un coin de la gare, je me dirige vers elle en lui faisant un signe, un grand sourire se forme sur son visage quand elle me reconnait. Elle pose un grand sac en tissu pour m'étreindre.
Je la prends dans mes bras, heureux de pouvoir la voir de nouveau après une trop longue semaine d'absence. Heureux de pouvoir sentir son parfum, dont je ne manque pas de lui glisser à l'oreille à quel point il sent bon. Heureux de pouvoir tout simplement sentir son corps contre le mien. Heureux de pouvoir partager cette journée avec cette femme dont la conversation, l'humour et les idées ne cessent de me surprendre et de m'attirer.

Relâchant enfin notre étreinte, je peux enfin la regarder plus en détail. Et je prends plaisir à voir ses collants noir qui mettent en avant ses jambes, un haut qui m'est innaccessible de part son long manteau et son écharpe, ses longs cheveux lisses, son visage maquillé, mais pas trop, laissant toujours apparaître ses jolies pommettes naturelles.

Je lui propose de prendre son sac en tissu, proposition qu'elle refuse et je suppute qu'elle a de nouveau apporté des petits cadeaux, cadeaux pour lesquels, j'en suis sûr, je devrais me faire pardonner plus tard, n'en ayant pas préparé moi-même.


Direction mon appartement, nous déposons ses affaires chez moi. L'heure que nous attendons tous les deux n'est pas encore arrivée, nous allons donc faire une petite promenade le long du ruisseau qui coule à une centaine de mètres de chez moi.
Le grand soleil incite humains, canards, chiens et chats à mettre le nez dehors. Les canards bronzent au soleil sur le petit chemin de terre, au grand dam des promeneurs et des cyclistes.
Nous trouvons un banc libre, aux abords de ce que l'on pourrait appeler une (petite) prairie. Elle se colle contre moi, glisse sa main à l'intérieur de mon manteau et la dépose sur ma poitrine. Je me tourne vivement vers elle, inquiet que quelqu'un puisse nous voir. Elle se met à rire légèrement, dépose un baiser sur ma joue. Bien malgré ma pudeur, j'entre dans son jeu (et je pense qu'elle sait que je ne peux y résister) et glisse une main sur une de ses cuisses pour la caresser.

Nous restons comme cela quelques minutes, puis elle me chuchote à l'oreille:
- "C'est bientôt l'heure."
- "En effet", dis-je simplement.

Retour à l'appartement. Il est midi, nous préparons le déjeuner. Au menu, raclette ! Charcuterie, fromage, légumes. Pendant que j'installe l'appareil, elle commence à faire cuire quelques champignons. L'appareil en place, le fromage dans les "starting blocks" aux côtés du jambon et des pommes de terre.

Je la rejoins et, la voyant de dos, je ne peux m'empêcher de me coller à elle, de placer mes bras sur son ventre tout en lui baisant le cou. Elle glousse, pose sa main libre sur les miennes puis, me dit, tout en douceur:
- "Pas encore".


Tout en déjeunant, nous adorons élaborer des scenari loufoques. Aujourd'hui, nous essayons d'imaginer ce qu'un cartel pourrait faire pour se lancer dans la trafique de choux de bruxelle si ces derniers étaient illégaux. Nous discutons aussi de notre semaine, de sa famille, dans laquelle elle a beaucoup de responsabilités. Mais ces discussions sont aussi l'opportunité parfaite pour nous séduire et nous aguicher. Une caresse par ci, lorsque l'on ramène un plat à table, un pied par là, un regard explicite...


Soudainement, le soleil s'insère dans la salle de vie. Il est treize heure. Un regard, un sourire et nous débarrassons la table, nous ne prenons même pas le temps de manger un dessert qu'elle a fait elle-même et ramené de chez elle.
Le soleil est maintenant positionné de telle manière que les bâtiments en face du notre ne le cache plus. Le salon est baigné dans des rayons réchauffant.

Pendant qu'elle termine la vaisselle, je déplace le canapé contre un mur. Je vais ensuite chercher le matelas de mon lit pour le disposer là ou se trouvait le canapé.

Elle n'a pas terminé la vaisselle. Je me colle donc, de nouveau contre elle. Lui caresse tendrement les bras et la dirige pour qu'elle dépose l'assiette et le chiffon. Elle souffle fort de plaisir. Quelques frissons apparaissent le long de ses bras.

Je la prend par la main et nous dirige vers le matelas. Une main glissée juste au dessous de son fessier, une autre dans son dos, j'approche mes lèvres des siennes, mais au dernier moment, me dirige vers son cou. Elle émet un léger "hmmm" de frustration qui me fait sourire. Je fini par la faire tomber délicatement, en l'accompagnant, sur le matelas pour l'y allonger, un geste qu'elle avait un jour qualifié de "placage amoureux du rugbyman".

Je me relève pour ouvrir un petit peu la baie vitrée qui nous inonde de lumière. Il fait frais dehors, mais les rayons du soleil sont extrêmement agréables dans ces conditions. Je me retourne et vois qu'elle installe nos deux gros coussins sous ses épaules. Nous n'avons même pas besoin de parler, je sais ce qu'elle veut.

Je m'installe à califourchon au dessus d'elle. L'intensité de son regard suffit à m'exciter au plus haut point. La tension est palpable. Je fait mine de caresser ses jambes, mais elle se relève légèrement et m'attrape par le col rapidement.
- "Viens-là toi".

Elle m'embrasse à pleine bouche pendant plusieurs secondes. Se retire légèrement pour respirer et me tirer délicatement vers elle alors qu'elle se laisse retomber sur les coussins.

Je glisse ma main sur son ventre. Le manteau a bien évidement laissé place à un épais pull. Pull qui a laissé place à une couche de tissu bien plus fine qui me permet d’apercevoir correctement sa poitrine; ni trop petite, ni trop grosse. Mais parfaitement proportionnelle au reste de son corps. Et pendant que nous en embrassons, ma main glisse lentement vers ces seins qui ne semblent que demander d'être touchés, embrassés, stimulés.

Ce petit jeu dure une minute ou deux. Je sais que ces dernières semaines n'ont pas été de tout repos pour elle, alors je décide que cette première séance, celle qu'elle apprécie le plus grâce au soleil régénérateur témoin de notre affection, lui sera tout entièrement dédié. Je l'embrasse une dernière fois puis lui susurre:
- "Installe toi entre mes jambes et détends-toi."

Je la relève doucement, retire ma chemise, m'installe à sa place, le dos relevé par les coussins et lui fait signe, en tapotant le matelas, de venir s'installer, ce qu'elle fait rapidement, non sans me faire remarquer mon excitation avec son petit rire coquin:
- "Ça ira ta troisième jambe ?"
- "Ne t'inquiète pas pour moi", lui dis-je sans même réfléchir. Je n'ai jamais su quoi vraiment lui répondre lors de ses allusions à mon anatomie, ce dont elle semble s'amuser.

Une fois correctement installée, de nouveau, un de mes bras se glisse sur son ventre, l'autre sur une de ses cuisses, mes lèvres baisent son cou et sa joue.
Je monte rapidement un peu plus haut, sur ses seins alors que mon autre main s'aventure au niveau de son bas ventre. Elle émet un petit gémissement puis enlève son haut, révélant une poitrine prisonnière d'un soutien gorge au bords noirs. Le tissu supposé couvrir sa nudité est transparent, laissant apparaître sa peau et une partie de ses mamelons. Le tout est couronné d'un petit ruban rose en forme de cœur, situé entre ses seins.
Agréablement surpris par cette vision, je ne peux m'empêcher de lui demander:
- "C'est pour moi tout ça" ?
- "Rien que pour toi", me repondit-elle avec un grand sourire.
- "T'ai-je déjà dit que tu es non seulement belle, mais aussi jolie ?"
- "Une fois ou deux, mais tu peux le faire de nouveau si tu veux".
- "Ma très chère, vous êtes une femme très jolie mais en plus très belle".

Elle rit, passe la main sur ma joue et m'embrasse. Puis, sur ma main qui est sur son sein, elle pose la sienne pour donner le ton. Enfin, elle me prend l'autre main, toujours timide sur son bas ventre, pour la faire glisser sous son collant et sa culotte, elle aussi, au toucher, légère et coquine. Elle me fait faire de délicat mouvement de mes doigts sur son clitoris. J'aime quand elle me donne le tempo, de cette manière, je ne peux que lui donner du plaisir.

Une fois le rythme de croisière atteint, elle me laisse au commande de son plaisir. Ses mains se baladent sur son corps, sur le mien. Elle gémit de plus en plus fort. Nous commençons à avoir chaud. Nous échangeons, en plus du plaisir, de la sueur, de part nos ébats et le soleil. Mais cela ne nous arrête pas. Elle commence à se crisper. J'accélère très légèrement la cadence. Une de ses mains viens prendre celle que j'ai sur son sein et me la serre fortement. Elle émet un petit cri, contracte son bassin, ferme soudainement ses jambes, me laissant à peine le temps de faire fuir mes doigts de ce colossale coup de muscles et finalement se cambre sous une vague de plaisir.

La déferlante passée, je me débarrasse d'un coussin. Elle, pantois, me laisse la déplacer tendrement sur le côté pour l'allonger sur le matelas, une tête sur le coussin. Je lui donne un petit baiser et nous restons ainsi pendant un moment. Le soleil, à notre plus grand malheur, commence à être caché par les nuages. Je me lève rapidement pour aller fermer la fenêtre. Faute de soleil, la température baisse. Elle, toujours mise à rude épreuve par l'assaut d'ocytocine, fini par se blottir contre moi.

- "Mon amour, je t'aime", dit-elle à mis voix, le tête sur mon épaule, les yeux fermés.
- "Je t'aime de ton mon cœur", lui dis-je, émus par une telle phrase, si simple et pourtant tellement importante.

Il n'est même pas quatorze heure et nous sommes ensemble jusqu'à demain matin. Ce dimanche s'annonce particulièrement bien.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
j'adore cette histoire rien que de le lire ma main a parcourue mon clito qui a durcie et j'ai vraiment mouillée comme une folle merci

Histoire Libertine
j'adore cette histoire rien que de le lire ma main a parcourue mon clito qui a durcie et j'ai vraiment mouillée comme une folle merci



Texte coquin : Le soleil de janvier
Histoire sexe : Une rose rouge
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