Le thermomètre
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2013 dans la catégorie Fétichisme
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Le thermomètre
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Aujourd’hui midi, poulet basquaise dans mon restaurant d’entreprise, recette avec tomates, petits pois, oignons, poivrons etc. Cela semblait bien bon. Cependant j’étais somnolente pendant le debriefing du début d’après midi, j’étais dans un autre monde lors des interventions de mes collègues, le poulet était dur à digérer. La journée de travail étant finie, je me rends sans grand enthousiasme à notre séance de yoga ( une salle est mise à la disposition des volontaires par la direction) Nous sommes une quinzaine à méditer, à nous vider le cerveau en prenant des poses parfois étranges. En position du foetus, (pour ceux qui ne connaitraient pas chercher sur google : fœtus+yoga) nous avions tous le derrière en l’air. Je ne sais pas si c’est le fait que mes cuisses appuyaient fortement sur mon ventre ballonné, toujours est-il que je ne pu retenir un pet. Pas un gros pet grassouillet, un simple petit sifflement dont l’odeur désagréable était perceptible. Je ne bougeais pas mais, même sans les voir, je savais que mes collègues souriaient hypocritement, mon plus proche voisin exprimât d’ailleurs un « pouah » de dégout. Au tableau suivant, je me relevais et dis à notre moniteur « Je pars, je rentre chez moi, je ne me sens vraiment pas bien » et mon voisin de me glisser à l’oreille « si toi tu ne te sens pas bien, nous par contre on te sent bien ». Le gougeât, il aurait pu s’abstenir d’une telle sortie.
Dans le train, j’étais nauséeuse, je ne savais pas si le poulet voulait sortir par le haut ou par le bas. C’est sur le chemin de la gare à la maison que j’ai eu la réponse, il voulait sortir par en bas et il me forçait le salaud. Pour le dire sans ambages, j’avais la chiasse.Ce n’est pas mon habitude, ce serait plutôt l’inverse, 3 ou 4 fois par ans tout au plus (voir mes autres anecdotes) Tout en pressant le pas et en serrant les fesses je repensais à cette maxime qui dit que « l’optimiste c’est celui qui pète en sachant qu’il a une gastro » et bien je n’étais pas optimiste, j’avais peur d’une catastrophe.
Voilà la maison, enfin, mais sur le trottoir mon voisin m’arrête « Ah ! Dominique, il faut que je vous vois, en effet, je veux faire crépir de mon côté notre mur mitoyen, le maçon craignant qu’il y ai des éclaboussures mettra une protection sur votre maison » moi, j’en aurais bien besoin d’une protection mais dans ma petite culotte si je veux éviter les éclaboussures, et ce ne sera pas du ciment. « Et bla bla bla et bla bla bla » il n’en finissait plus et j’allais droit au désastre devant lui s’il ne me lâchait pas la grappe. « Vous m’excuserez mais il faut que je parte, j’attends une livraison et il faut signer le bordereau de décharge » La livraison je l’avais dans le cul et la décharge était imminente.
Il fallait voir à la vitesse ou je suis rentrée. On ne se rend pas compte du nombres d’opérations à faire quand nous n’avons pas d’envie pressante : monter l’escalier du perron, trouver sa clé, ouvrir la porte, poser son manteau, se précipiter aux toilettes, fermer la porte (ce que je n’ai pas eu le temps de faire) baisser le pantalon et la culotte en relevant l’abattant des toilettes et s’avachir épuisée sur la lunette ( là j’avais levé à la fois le couvercle et le siège) tant pis, je n’ai pas eu le temps de me relever qu’un magma, d’eau sale, de compote, de gaz est venu éclabousser avec force le fond de la cuvette. Ouf, j’étais épuisée par l’effort d’avoir garder tout ça en moi.
Mon mari Daniel entra du boulôt et me trouva là sur le siège en position du Penseur de Rodin.
« Tu es déjà rentrée, ma chérie, tu as fini plus tôt ? » « Je suis malaaade, j’ai la courante, ce doit être le poulet basquaise de midi, je ne sais pas comment j’ai pu tenir jusque là. Et le voisin qui m’a bassiné avec son mur ».
« Ah ! oui, il m’en as parlé aussi, il fait bien ce qu’il veut, il est chez lui. Tu es sure de ne pas avoir de fièvre, tu as peut être attrapé un virus ou une saloperie de ce genre, tu devrais prendre ta température »
Je m’essuie car j’en avais bien besoin et me lève pour prendre le thermomètre électronique à oreille dans le meuble de la salle de bain. En jetant le PQ dans les toilettes j’ai pu constater l’ampleur de mon relachement, c’était plein de, il n’y a pas d’autre mot, purin ou nageaient les petits pois et les peaux de tomates de l’accompagnement du repas de midi. Ils étaient passés directement dans mes intestins sans s’arrêter à la case estomac, pas très ragoûtant tout ça.
« Non, non » me dit Daniel en tirant la chasse d’eau « pas le truc électronique, tu sais bien que ça ne marche jamais, fais donc ça, à l’ancienne, avec le thermomètre à mercure de l’armoire à pharmacie. Vas dans le salon, mets toi en position, j’arrive avec l’instrument ».
Dans un état second, je m’exécute et me voilà couchée sur le côté dans le canapé, le pantalon baissé, les fesses à l’air, tu parles d’un spectacle.
Mon mari entre tenant le thermomètre tel un trophée arraché à l’ennemi.
« Dans cette position, si tu étais complètement à poil, on dirait La Grande Odalisque d’Ingres ». Le voilà maintenant qui se met dans la peau d’un guide conférencier de pinacothèque ( ndlr : une pinacothèque, contrairement à ce qu’on pourrait penser, c’est une exposition de peinture, pas une chose ayant un lointain rapport avec le sexe masculin).
Il s’agenouille, m’écarte une fesse pour bien cibler ma rosette et essaie d’y enfoncer l’instrument. « aie, aie !! ça me griffe, tu me déchires, il faut lubrifier, vas chercher le tube de vaseline ».
« Il est où ?» comme tout homme qui se respecte il ne sait pas où sont rangées les affaires.
« Dans notre chambre, dans le tiroir de la table de nuit, de ton côté » et je l’entends qui remue je ne sais quoi, on dirait qu’il y a branle bas de combat dans la pièce. Il revient triomphant « il était bien dans la table de chevet mais de ton côté » et il enduit de corps gras le thermomètre et me l’enfonce dans le troufignion, on aurait dit le drapeau qui flottait sur la lune lors de la conquête spatiale en 1969. Daniel était à genoux, en extase devant mon postérieur comme un moine en prière devant le Saint Sacrement.
« Bon ça suffit, je pense que tu peux le retirer, je ne vais pas garder ça une éternité »
« 37-3, ce n’est pas de la fièvre ça, tu as dû faire une bonne indigestion, voilà tout. Mais je n’est pas trop confiance en ce vieux thermomètre, j’en est un autre, rien que pour toi » dit il en se déculottant et en présentant son braquemart bandé à souhait à l’entrée de mon petit trou.
« Tu ne vas tout de même pas m’enculer maintenant, je dois être pleine de microbes, tu pourrais attraper je ne sais quoi. Tu te vois répondant au docteur avoir chopé ça en sodomisant ta femme »
J’avais à peine fini ma phrase que je me trouvais emmanchée jusqu’à la garde, et lui triomphant « t’as vu j’ai fait cul-sec » . pas tout à fait vu la quantité de vaseline qu’il avait mis sur le thermomètre. Et il ne bougeait pas, moi, passé la surprise, je ne restais pas insensible « alors tu t’endors, tu ne remues pas » « il y a écrit : à la minute, alors j’attends que le temps soit passé et il se mit à me limer en chantonnant sa chanson favorite « Dominque-nique-nique Dominique-nique-nique » Je commençais à trouver ça bon son -un coup j’te vois- un coup j’te vois pas-. C’est alors qu’il décula aussi vite qu’il était entré et présenta sa bite sous mon nez en disant « Suces moi » « Ah ! non je ne sucerai pas ton bâton merdeux, tu te rends pas compte d’où il sort, ça va pas, non ! ». Dépité il quitta l’orifice d’entrée pour retourner à celui de la sortie, à peine deux aller retour et il inonda mon rectum de sa purée, c’est à ce moment que j’ai joui en serrant ma rondelle emprisonnant ainsi sa queue. Nous sommes restés comme ça, l’un dans l’autre, un long moment, je sentais son engin se rétracter dans mon cul jusqu’à ce qu’un pet inopiné vint chasser ce qui n’était plus un braquemard mais une petite queue pentelante.
Dans la salle de bains debout devant le lavabo il nettoyait son bout de tuyau sans forme et moi assise sur le bidet j’évacuais le lavement spermatique qu’il venait de m’administrer.
« Ton thermomètre n’est plus aussi vaillant que tout à l’heure, la température a bien baissé »lui dis je.
Si la recette du poulet basquaise vous intéresse, allez voir le site internet de marmiton.com. Les petits pois ne sont pas indispensable pour que la préparation soit bonne.
Aujourd’hui midi, poulet basquaise dans mon restaurant d’entreprise, recette avec tomates, petits pois, oignons, poivrons etc. Cela semblait bien bon. Cependant j’étais somnolente pendant le debriefing du début d’après midi, j’étais dans un autre monde lors des interventions de mes collègues, le poulet était dur à digérer. La journée de travail étant finie, je me rends sans grand enthousiasme à notre séance de yoga ( une salle est mise à la disposition des volontaires par la direction) Nous sommes une quinzaine à méditer, à nous vider le cerveau en prenant des poses parfois étranges. En position du foetus, (pour ceux qui ne connaitraient pas chercher sur google : fœtus+yoga) nous avions tous le derrière en l’air. Je ne sais pas si c’est le fait que mes cuisses appuyaient fortement sur mon ventre ballonné, toujours est-il que je ne pu retenir un pet. Pas un gros pet grassouillet, un simple petit sifflement dont l’odeur désagréable était perceptible. Je ne bougeais pas mais, même sans les voir, je savais que mes collègues souriaient hypocritement, mon plus proche voisin exprimât d’ailleurs un « pouah » de dégout. Au tableau suivant, je me relevais et dis à notre moniteur « Je pars, je rentre chez moi, je ne me sens vraiment pas bien » et mon voisin de me glisser à l’oreille « si toi tu ne te sens pas bien, nous par contre on te sent bien ». Le gougeât, il aurait pu s’abstenir d’une telle sortie.
Dans le train, j’étais nauséeuse, je ne savais pas si le poulet voulait sortir par le haut ou par le bas. C’est sur le chemin de la gare à la maison que j’ai eu la réponse, il voulait sortir par en bas et il me forçait le salaud. Pour le dire sans ambages, j’avais la chiasse.Ce n’est pas mon habitude, ce serait plutôt l’inverse, 3 ou 4 fois par ans tout au plus (voir mes autres anecdotes) Tout en pressant le pas et en serrant les fesses je repensais à cette maxime qui dit que « l’optimiste c’est celui qui pète en sachant qu’il a une gastro » et bien je n’étais pas optimiste, j’avais peur d’une catastrophe.
Voilà la maison, enfin, mais sur le trottoir mon voisin m’arrête « Ah ! Dominique, il faut que je vous vois, en effet, je veux faire crépir de mon côté notre mur mitoyen, le maçon craignant qu’il y ai des éclaboussures mettra une protection sur votre maison » moi, j’en aurais bien besoin d’une protection mais dans ma petite culotte si je veux éviter les éclaboussures, et ce ne sera pas du ciment. « Et bla bla bla et bla bla bla » il n’en finissait plus et j’allais droit au désastre devant lui s’il ne me lâchait pas la grappe. « Vous m’excuserez mais il faut que je parte, j’attends une livraison et il faut signer le bordereau de décharge » La livraison je l’avais dans le cul et la décharge était imminente.
Il fallait voir à la vitesse ou je suis rentrée. On ne se rend pas compte du nombres d’opérations à faire quand nous n’avons pas d’envie pressante : monter l’escalier du perron, trouver sa clé, ouvrir la porte, poser son manteau, se précipiter aux toilettes, fermer la porte (ce que je n’ai pas eu le temps de faire) baisser le pantalon et la culotte en relevant l’abattant des toilettes et s’avachir épuisée sur la lunette ( là j’avais levé à la fois le couvercle et le siège) tant pis, je n’ai pas eu le temps de me relever qu’un magma, d’eau sale, de compote, de gaz est venu éclabousser avec force le fond de la cuvette. Ouf, j’étais épuisée par l’effort d’avoir garder tout ça en moi.
Mon mari Daniel entra du boulôt et me trouva là sur le siège en position du Penseur de Rodin.
« Tu es déjà rentrée, ma chérie, tu as fini plus tôt ? » « Je suis malaaade, j’ai la courante, ce doit être le poulet basquaise de midi, je ne sais pas comment j’ai pu tenir jusque là. Et le voisin qui m’a bassiné avec son mur ».
« Ah ! oui, il m’en as parlé aussi, il fait bien ce qu’il veut, il est chez lui. Tu es sure de ne pas avoir de fièvre, tu as peut être attrapé un virus ou une saloperie de ce genre, tu devrais prendre ta température »
Je m’essuie car j’en avais bien besoin et me lève pour prendre le thermomètre électronique à oreille dans le meuble de la salle de bain. En jetant le PQ dans les toilettes j’ai pu constater l’ampleur de mon relachement, c’était plein de, il n’y a pas d’autre mot, purin ou nageaient les petits pois et les peaux de tomates de l’accompagnement du repas de midi. Ils étaient passés directement dans mes intestins sans s’arrêter à la case estomac, pas très ragoûtant tout ça.
« Non, non » me dit Daniel en tirant la chasse d’eau « pas le truc électronique, tu sais bien que ça ne marche jamais, fais donc ça, à l’ancienne, avec le thermomètre à mercure de l’armoire à pharmacie. Vas dans le salon, mets toi en position, j’arrive avec l’instrument ».
Dans un état second, je m’exécute et me voilà couchée sur le côté dans le canapé, le pantalon baissé, les fesses à l’air, tu parles d’un spectacle.
Mon mari entre tenant le thermomètre tel un trophée arraché à l’ennemi.
« Dans cette position, si tu étais complètement à poil, on dirait La Grande Odalisque d’Ingres ». Le voilà maintenant qui se met dans la peau d’un guide conférencier de pinacothèque ( ndlr : une pinacothèque, contrairement à ce qu’on pourrait penser, c’est une exposition de peinture, pas une chose ayant un lointain rapport avec le sexe masculin).
Il s’agenouille, m’écarte une fesse pour bien cibler ma rosette et essaie d’y enfoncer l’instrument. « aie, aie !! ça me griffe, tu me déchires, il faut lubrifier, vas chercher le tube de vaseline ».
« Il est où ?» comme tout homme qui se respecte il ne sait pas où sont rangées les affaires.
« Dans notre chambre, dans le tiroir de la table de nuit, de ton côté » et je l’entends qui remue je ne sais quoi, on dirait qu’il y a branle bas de combat dans la pièce. Il revient triomphant « il était bien dans la table de chevet mais de ton côté » et il enduit de corps gras le thermomètre et me l’enfonce dans le troufignion, on aurait dit le drapeau qui flottait sur la lune lors de la conquête spatiale en 1969. Daniel était à genoux, en extase devant mon postérieur comme un moine en prière devant le Saint Sacrement.
« Bon ça suffit, je pense que tu peux le retirer, je ne vais pas garder ça une éternité »
« 37-3, ce n’est pas de la fièvre ça, tu as dû faire une bonne indigestion, voilà tout. Mais je n’est pas trop confiance en ce vieux thermomètre, j’en est un autre, rien que pour toi » dit il en se déculottant et en présentant son braquemart bandé à souhait à l’entrée de mon petit trou.
« Tu ne vas tout de même pas m’enculer maintenant, je dois être pleine de microbes, tu pourrais attraper je ne sais quoi. Tu te vois répondant au docteur avoir chopé ça en sodomisant ta femme »
J’avais à peine fini ma phrase que je me trouvais emmanchée jusqu’à la garde, et lui triomphant « t’as vu j’ai fait cul-sec » . pas tout à fait vu la quantité de vaseline qu’il avait mis sur le thermomètre. Et il ne bougeait pas, moi, passé la surprise, je ne restais pas insensible « alors tu t’endors, tu ne remues pas » « il y a écrit : à la minute, alors j’attends que le temps soit passé et il se mit à me limer en chantonnant sa chanson favorite « Dominque-nique-nique Dominique-nique-nique » Je commençais à trouver ça bon son -un coup j’te vois- un coup j’te vois pas-. C’est alors qu’il décula aussi vite qu’il était entré et présenta sa bite sous mon nez en disant « Suces moi » « Ah ! non je ne sucerai pas ton bâton merdeux, tu te rends pas compte d’où il sort, ça va pas, non ! ». Dépité il quitta l’orifice d’entrée pour retourner à celui de la sortie, à peine deux aller retour et il inonda mon rectum de sa purée, c’est à ce moment que j’ai joui en serrant ma rondelle emprisonnant ainsi sa queue. Nous sommes restés comme ça, l’un dans l’autre, un long moment, je sentais son engin se rétracter dans mon cul jusqu’à ce qu’un pet inopiné vint chasser ce qui n’était plus un braquemard mais une petite queue pentelante.
Dans la salle de bains debout devant le lavabo il nettoyait son bout de tuyau sans forme et moi assise sur le bidet j’évacuais le lavement spermatique qu’il venait de m’administrer.
« Ton thermomètre n’est plus aussi vaillant que tout à l’heure, la température a bien baissé »lui dis je.
Si la recette du poulet basquaise vous intéresse, allez voir le site internet de marmiton.com. Les petits pois ne sont pas indispensable pour que la préparation soit bonne.
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sympa pleins de détails amusants
plein d'humour en tout cas.