les lendemains qui chantent
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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les lendemains qui chantent
Les lendemains qui chantent (site de : le préservatif 1 et 2)
Le lendemain matin c'était le jour du départ. Branle bas de combat pour tout loger dans la voiture.
Tous le monde essayait de caser ses affaires. Ma tante avait revêtu son petit chemisier, le fameux bermuda violet qui lui moulait bien les formes et les chaussures à hauts talons avec semelles en cordes.
« J'ai beau forcer ça rentrera jamais, c'est trop volumineux » dit-elle
« Tu parles de quoi » lui répliqua Daniel en lui appliquant une grande claque sur les fesses ; (il faut dire que c'était tentant).
« C'est pas le moment, tu ne penses qu'à ça, ma parole »
Le chemin du retour fut assez long, mon père n'empruntant jamais les autoroutes.
« Ça fait un moment qu'on roule, nous allons nous arrêter ici pour casser la croûte, il y a tout ce qu'il faut pour se détendre ».
Il y avait, en effet, une petite aire de repos sympa avec tables à l'ombre, sanitaire avec, disposés en triangle, un lavabo, une pissotière et un wc dame à la turc ( la porte étant ouverte, c'est un truc que j'ai tout de suite repéré).
Tandis que ma mère sortait la glacière (toujours son côté pratique) les hommes s'éloignèrent vers les fourrés.
Dominique, s'emparant de son grand sac sans forme, se dirigea en serrant les cuisses vers les toilettes. Je ne pus faire autrement que de la suivre discrètement (vous me connaissez). Plus elle approchait du petit coin, plus elle accélérait, ça devenait de plus en plus urgent.Je sentais, sans la voir et rien qu'à son attitude que sa vessie devait la faire souffrir.
J'arrivais au moment ou elle claquait violemment la porte de la cabine.
L'endroit m'était inconnu et il fallait rester discret. Sans trop réfléchir, je collais mon portable, en position vidéo, dans le faible interstice sous la porte de cet endroit sensé préserver l'intimité.
Je l'entendais piétiner, sans doute était-elle sur les deux reposes pieds en faïence.
« Oh non, pas ça, sacré bordel de fermeture éclair, c'est pas le moment d'être coincée, j'ai tenu jusque là, c'est pas le moment que je fasse dans ma culotte à cause de cette maudite fermeture éclair »
Elle piétinait de plus en plus belle en bougonnant.
« Ah, enfin » à peine avait elle dit cela qu'une cascade se fit entendre, je me demandais si elle avait eu le temps de s'accroupir ou si elle urinait debout, si c'était le cas je ne verrai pas grand chose sur ma vidéo, d'autant que l'appareil était orienté au jugé.
Après un grand moment de ce bruit si caractéristique des femmes qui urinent, un grand « ouf, il était temps » un gros pet, un bruit de papier, bref, les sons que profère une dame en pareille circonstance quand elle vient de se soulager.
Il était temps de remballer mon portable et de faire semblant de me rendre moi aussi aux toilettes.
Je la croisais, elle était toute guillerette et me lança :
« T'arrive trop tard mon cher auditeur, le spectacle en valait sans doute la peine. Tant pis pour toi »
Je lui lançais un sourire désabusé en me disant, on verra bien. Je jetais un coup d'oeil dans la cabine qu'elle venait de libérer, le sol était trempé, une fuite d'eau sans doute ?
Le temps de recaler la vidéo, tous me criaient déjà de venir manger. Un regard rapide sur ma prise de vue : les pieds qui trépignent, le bas des jambes qui tremblent et –merde, merde-- elle a posé son maudit sac sans forme devant elle et il bouche complètement la vue. Tant pis, c'était raté et je ne pouvais pas visionner plus loin, j'étais attendu pour casser déjeuner.
Le restant du voyage j'étais furax contre ce maudit sac.
« T'en fais une tête, on t'as volé quelque chose, t'es pas content de rentrer à la maison » me demanda mon oncle.
Fin du voyage, après avoir déposé Daniel et Dominique chez eux, Nous retrouvons mon frère Steve, rentré un jour plus tôt de son stage de vacances.
Questions des parents pour savoir si tout c'était bien passé etc etc.
Une fois seuls nous nous sommes raconté nos exploits de vacances. Je lui parlais des parties de jambes en l'air de la tante, de ses envies de pisser, de mon dépucelage (voir : le préservatif 1 et 2).
« Et toi alors Steve raconte »
« Il s'est pas passé grand chose, j'étais tellement crevé le soir que je n'avais qu'une hâte aller me pieuter, la plonge c'est harassant, et pourtant c'étaient pas les filles peu farouches qui manquaient.
Mes patrons étaient sympas mais boulot-boulot. Lui un descendant de réfugiés espagnols, jaloux comme un tigre. Elle, portugaise vivant en France depuis toujours, belle femme d'une petite cinquantaine qui avait toujours un mot gentil pour nous.
Le dernier soir, j'étais resté tard devant mon évier, nous n'étions plus que tous les deux ma patronne et moi. Elle vint se frotter à moi en me disant avec son merveilleux accent portugais :
« 15 jours que tu es là et je ne t'ai jamais vu avec une fille »
Je lui répondis du tac au tac
« Je me réserve pour vous, patronne »
Fallait oser et contrairement à ce que je pouvais penser, je n'ai pas reçu la gifle bien méritée, bien au contraire ; Elle se retourna et soulevant sa jupe elle me dit en me montrant son cul enveloppé dans une grande culotte de coton :
« C'est ça qui te fait envie »
«Mais votre mari !!! »
« Il est parti à Marseille au ravitaillement et pas qu'au ravitaillement, si tu vois ce que je veux dire »
« Elle t'a montré son bout de petite culotte ou son cul de petite boulotte, c'est une contrepèterie. Continue tu m’intéresses » lui dis je.
Sans prendre le temps de m'essuyer les mains je palpais ses deux hémisphères à travers le tissu. Elle riait en se trémoussant. Baissant alors sa culotte, je libérais son gros derrière emprisonné dans ce carcan. Une vision érotique au possible, tu peux pas savoir. Un cul , certes un cul d'une femme de cinquante ans mais ferme et bien proportionné. En écartant ses deux fesses je pus voir son trou du cul : un anus plissé, légèrement boursouflé entouré à profusion de poils soyeux très noirs. Je m'apprêtais à lui faire une feuille de rose quand elle me dit en se retournant :
« Non, pas par là »
Alors à l'avant, mon vieux, tu me croiras si tu veux mais la réputation des portugaises n'est pas surfaite, une foufoune comme je n'en avais jamais vu. Tu te rappelles celle de la tante elle est pas mal fournie mais ce n'était rien à côté de celle de ma patronne ; Chez la tante c'est soyeux et bien entretenu et là le poil était plus dru que celui de sa raie des fesses et débordait de partout un vrai « tablier de sapeur ». Je ne lui voyais même pas la fente tellement elle était cachée dans cette véritable forêt vierge, enfin vierge, peut être pas tant que ça.
Elle s'est couchée sur la table les jambes pendantes la culotte aux chevilles. J'allais plonger ma tête dans cette broussaille quand passant une main derrière ma nuque elle plaqua mon visage sur sa chatte. Ses poils me piquaient, et j'allais avec ma bouche à la rencontre de sa fente. Du bout de ma langue je sentis son petit trou à pipi et aussi son grand trou béant qui se dilatait en laissant échapper sa liqueur douce amère. Ma lèvre supérieure rencontra son bouton, il était complètement dilaté et je l'avalais goulûment déclenchant chez elle des mouvements de cuisses et des gémissements. Elle poussait de petits cris, j'avais trouvé son point sensible. Le nez enfoui dans sa toison je ne pouvais que respirer par la bouche et j'avalais ses liquides intimes.
De côté, je glissais alors une main sous ses fesses pour trouver son anus, j'y enfonçais mon index.
« Tu lui à mis un doigt dans le cul, là comme ça » demandais je éberlué à mon frère
« Ben , oui et ce n'était pas pour lui déplaire car elle poussa un cri de surprise en resserrant énergiquement son sphincter. Elle relâcha malgré tout la pression et se branlait le trou sur mon doigt.
Soudain elle lâcha un cri rauque et se mit à hurler, en portugais, sa langue natale. D'une main elle m'enfonça encore plus la tête dans son entrejambes tout le temps que dura son orgasme.
D'un air satisfait, elle s'accroupit devant moi et eut tôt fait de sortir ma bitte prête à exploser. Elle eut l'air surprise de la finesse mais surtout de la longueur de celle ci. Je ne pus tenir bien longtemps, à peine l'avait-elle avaler jusqu'à la garde que je lui envoyait la purée au fond de la gorge.
Se relevant elle me dit sa déception d'être partie trop vite, aussi bien elle que moi, mais elle était contente de notre performance.
Dommage je n'ai pas eu le temps de la pénétrer et impossible d'aller plus loin, j'étais vidé, plus que vidé. Et mon stage était fini. Ça c'est passé avant hier soir. »
« Tu vois Steve nous pensions passer des vacances ennuyeuses tous les deux et bien on c'est fourré le doigt dans l’œil. Tu sais que ton histoire m'a excité. Au fait j'avais un cadeau pour toi, mais c'est un fiasco, c'est raté. J'ai filmé Dominique dans les chiottes sur l'aire de repos à midi ».
« Comment ça, devant tout le monde » me demanda-t-il étonné
« Non, pas devant tout le monde. Quand je l'ai vu partir précipitamment vers les toilettes, je l'ai suivi et j'ai collé mon portable en mode vidéo sous la porte. Manque de pot elle avait gardé son grand sac, tu sais celui qu'elle trimballe toujours avec elle, et elle l'a posé devant elle, ce qui fait écran et résultat on ne voit rien ».
« T'es ben un peu malade d'aller filmer, sous une porte, la tante en train de pisser. Fais voir quand même »
Je sors la carte mémoire, la cale dans l'ordi, quelques clics et c'est parti.
« Déjà, la vidéo n'est pas dans le bon sens, faut se tordre le cou pour voir »
« Dans la précipitation j'ai pas pensé à tout, tu vas pas m'engueuler en plus ».
Nous visionnons ce que j'avais déjà vu, c'est à dire les jambes tremblantes, le piétinement et bien sûr le fameux sac.
« Attends, attends, regarde elle va enlever son sac, je pense que ce n'est pas si raté que ça, repart du début »me dit mon frangin
« Avant de tout voir, je vais remettre les images d'aplomb avec -virtualbud- »
Quelques manips et le tour est joué, notre chère tante était revenue dans une position normale. Bien sûr nous ne la voyions que jusqu'à la ceinture. Alors action.
Elle piétinait fébrilement sur les deux reposes pieds en jurant :
« Oh non, pas ça, sacré bordel de fermeture éclair, c'est pas le moment d'être coincée, j'ai tenu jusque là, c'est pas le moment que je fasse dans ma culotte à cause de cette maudite fermeture éclair »
Un froufrou de bermuda qui descend, un sac jeté prestement sur le côté et sa féminité nous apparut dans toute sa splendeur alors qu'elle s'accroupissait.
Elle avait bien fait de déplacer son sac car à peine en position elle pissait déjà avec la puissance d'une lance d'incendie.
Nous voyions bien son sexe dans l'épaisseur de sa toison noire et frisée. La pisse giclait à tout rompre de ce minuscule trou d'aiguille foré au milieu de son con. Le puissant jet d'urine passait bruyamment entre ses jambes et allait s'écraser loin devant elle, inondant au passage le carrelage du sol de la cabine. C'est pour ça que c'était tout mouillé par terre, je venais de tout comprendre, ce n'était pas une fuite mais une véritable résurgence. Je m'étonnais même que l'objectif de mon portable ne s'en trouva pas éclaboussé.
Le spectacle dura moins d'une minute, la pression retomba. Le « ouff » Quelques petites giclées, le gros pet que j'avais entendu derrière la porte, (elle devait pousser car on devinait son anus qui pointait sous elle)l'essuyage minutieux. Là un brouillamini d'images impossibles à déchiffrer, je venais de reprendre mon appareil avant qu'elle s’aperçoive de ma présence.
« Ben dis donc, pour une envie de pisser, c'était une envie de pisser . On le repasse» s'exclama Steve en riant.
Nous avons regardé la séquence plusieurs fois afin de mieux la détailler et les commentaires allaient bon train. Les oreilles de notre chère tante devaient lui siffler.
« Et si nous mettions cette vidéo sur un site porno, je pense qu'il ferait bander les amateurs du genre sur toute la terre » me proposa mon frère
« Ah ! Ah ! Ah ! Et une banque du sperme pourrait recueillir des litres de foutre » lui dis je.
« Tu sais que c'est puni par la loi, ce genre de truc, vaut mieux pas et si elle tombait dessus en regardant des sites pornos, car je suis persuadé, coquine comme elle est qu'elle ne s'en prive pas. Gardons ça pour nous avec les photos que nous avons faites pendant la leçon de conduite ».
« T'as raison ne cherchons pas des histoires avec ça et Dominique ne mérite pas ça, elle est si gentille avec nous » je lui réponds
« En parlant de leçon de conduite, tu sais qu'elle va changer de voiture et j'ai entendu dire que puisque j'avais eu mon permis de conduire, elle me donnait sa vieille R5. C'est sympa et j'ai tellement de souvenirs avec cette voiture. (voir : un bel enterrement) Papa m'a envoyé un texto et nous allons la chercher après demain, si tu veux venir ». (à suivre)
Le lendemain matin c'était le jour du départ. Branle bas de combat pour tout loger dans la voiture.
Tous le monde essayait de caser ses affaires. Ma tante avait revêtu son petit chemisier, le fameux bermuda violet qui lui moulait bien les formes et les chaussures à hauts talons avec semelles en cordes.
« J'ai beau forcer ça rentrera jamais, c'est trop volumineux » dit-elle
« Tu parles de quoi » lui répliqua Daniel en lui appliquant une grande claque sur les fesses ; (il faut dire que c'était tentant).
« C'est pas le moment, tu ne penses qu'à ça, ma parole »
Le chemin du retour fut assez long, mon père n'empruntant jamais les autoroutes.
« Ça fait un moment qu'on roule, nous allons nous arrêter ici pour casser la croûte, il y a tout ce qu'il faut pour se détendre ».
Il y avait, en effet, une petite aire de repos sympa avec tables à l'ombre, sanitaire avec, disposés en triangle, un lavabo, une pissotière et un wc dame à la turc ( la porte étant ouverte, c'est un truc que j'ai tout de suite repéré).
Tandis que ma mère sortait la glacière (toujours son côté pratique) les hommes s'éloignèrent vers les fourrés.
Dominique, s'emparant de son grand sac sans forme, se dirigea en serrant les cuisses vers les toilettes. Je ne pus faire autrement que de la suivre discrètement (vous me connaissez). Plus elle approchait du petit coin, plus elle accélérait, ça devenait de plus en plus urgent.Je sentais, sans la voir et rien qu'à son attitude que sa vessie devait la faire souffrir.
J'arrivais au moment ou elle claquait violemment la porte de la cabine.
L'endroit m'était inconnu et il fallait rester discret. Sans trop réfléchir, je collais mon portable, en position vidéo, dans le faible interstice sous la porte de cet endroit sensé préserver l'intimité.
Je l'entendais piétiner, sans doute était-elle sur les deux reposes pieds en faïence.
« Oh non, pas ça, sacré bordel de fermeture éclair, c'est pas le moment d'être coincée, j'ai tenu jusque là, c'est pas le moment que je fasse dans ma culotte à cause de cette maudite fermeture éclair »
Elle piétinait de plus en plus belle en bougonnant.
« Ah, enfin » à peine avait elle dit cela qu'une cascade se fit entendre, je me demandais si elle avait eu le temps de s'accroupir ou si elle urinait debout, si c'était le cas je ne verrai pas grand chose sur ma vidéo, d'autant que l'appareil était orienté au jugé.
Après un grand moment de ce bruit si caractéristique des femmes qui urinent, un grand « ouf, il était temps » un gros pet, un bruit de papier, bref, les sons que profère une dame en pareille circonstance quand elle vient de se soulager.
Il était temps de remballer mon portable et de faire semblant de me rendre moi aussi aux toilettes.
Je la croisais, elle était toute guillerette et me lança :
« T'arrive trop tard mon cher auditeur, le spectacle en valait sans doute la peine. Tant pis pour toi »
Je lui lançais un sourire désabusé en me disant, on verra bien. Je jetais un coup d'oeil dans la cabine qu'elle venait de libérer, le sol était trempé, une fuite d'eau sans doute ?
Le temps de recaler la vidéo, tous me criaient déjà de venir manger. Un regard rapide sur ma prise de vue : les pieds qui trépignent, le bas des jambes qui tremblent et –merde, merde-- elle a posé son maudit sac sans forme devant elle et il bouche complètement la vue. Tant pis, c'était raté et je ne pouvais pas visionner plus loin, j'étais attendu pour casser déjeuner.
Le restant du voyage j'étais furax contre ce maudit sac.
« T'en fais une tête, on t'as volé quelque chose, t'es pas content de rentrer à la maison » me demanda mon oncle.
Fin du voyage, après avoir déposé Daniel et Dominique chez eux, Nous retrouvons mon frère Steve, rentré un jour plus tôt de son stage de vacances.
Questions des parents pour savoir si tout c'était bien passé etc etc.
Une fois seuls nous nous sommes raconté nos exploits de vacances. Je lui parlais des parties de jambes en l'air de la tante, de ses envies de pisser, de mon dépucelage (voir : le préservatif 1 et 2).
« Et toi alors Steve raconte »
« Il s'est pas passé grand chose, j'étais tellement crevé le soir que je n'avais qu'une hâte aller me pieuter, la plonge c'est harassant, et pourtant c'étaient pas les filles peu farouches qui manquaient.
Mes patrons étaient sympas mais boulot-boulot. Lui un descendant de réfugiés espagnols, jaloux comme un tigre. Elle, portugaise vivant en France depuis toujours, belle femme d'une petite cinquantaine qui avait toujours un mot gentil pour nous.
Le dernier soir, j'étais resté tard devant mon évier, nous n'étions plus que tous les deux ma patronne et moi. Elle vint se frotter à moi en me disant avec son merveilleux accent portugais :
« 15 jours que tu es là et je ne t'ai jamais vu avec une fille »
Je lui répondis du tac au tac
« Je me réserve pour vous, patronne »
Fallait oser et contrairement à ce que je pouvais penser, je n'ai pas reçu la gifle bien méritée, bien au contraire ; Elle se retourna et soulevant sa jupe elle me dit en me montrant son cul enveloppé dans une grande culotte de coton :
« C'est ça qui te fait envie »
«Mais votre mari !!! »
« Il est parti à Marseille au ravitaillement et pas qu'au ravitaillement, si tu vois ce que je veux dire »
« Elle t'a montré son bout de petite culotte ou son cul de petite boulotte, c'est une contrepèterie. Continue tu m’intéresses » lui dis je.
Sans prendre le temps de m'essuyer les mains je palpais ses deux hémisphères à travers le tissu. Elle riait en se trémoussant. Baissant alors sa culotte, je libérais son gros derrière emprisonné dans ce carcan. Une vision érotique au possible, tu peux pas savoir. Un cul , certes un cul d'une femme de cinquante ans mais ferme et bien proportionné. En écartant ses deux fesses je pus voir son trou du cul : un anus plissé, légèrement boursouflé entouré à profusion de poils soyeux très noirs. Je m'apprêtais à lui faire une feuille de rose quand elle me dit en se retournant :
« Non, pas par là »
Alors à l'avant, mon vieux, tu me croiras si tu veux mais la réputation des portugaises n'est pas surfaite, une foufoune comme je n'en avais jamais vu. Tu te rappelles celle de la tante elle est pas mal fournie mais ce n'était rien à côté de celle de ma patronne ; Chez la tante c'est soyeux et bien entretenu et là le poil était plus dru que celui de sa raie des fesses et débordait de partout un vrai « tablier de sapeur ». Je ne lui voyais même pas la fente tellement elle était cachée dans cette véritable forêt vierge, enfin vierge, peut être pas tant que ça.
Elle s'est couchée sur la table les jambes pendantes la culotte aux chevilles. J'allais plonger ma tête dans cette broussaille quand passant une main derrière ma nuque elle plaqua mon visage sur sa chatte. Ses poils me piquaient, et j'allais avec ma bouche à la rencontre de sa fente. Du bout de ma langue je sentis son petit trou à pipi et aussi son grand trou béant qui se dilatait en laissant échapper sa liqueur douce amère. Ma lèvre supérieure rencontra son bouton, il était complètement dilaté et je l'avalais goulûment déclenchant chez elle des mouvements de cuisses et des gémissements. Elle poussait de petits cris, j'avais trouvé son point sensible. Le nez enfoui dans sa toison je ne pouvais que respirer par la bouche et j'avalais ses liquides intimes.
De côté, je glissais alors une main sous ses fesses pour trouver son anus, j'y enfonçais mon index.
« Tu lui à mis un doigt dans le cul, là comme ça » demandais je éberlué à mon frère
« Ben , oui et ce n'était pas pour lui déplaire car elle poussa un cri de surprise en resserrant énergiquement son sphincter. Elle relâcha malgré tout la pression et se branlait le trou sur mon doigt.
Soudain elle lâcha un cri rauque et se mit à hurler, en portugais, sa langue natale. D'une main elle m'enfonça encore plus la tête dans son entrejambes tout le temps que dura son orgasme.
D'un air satisfait, elle s'accroupit devant moi et eut tôt fait de sortir ma bitte prête à exploser. Elle eut l'air surprise de la finesse mais surtout de la longueur de celle ci. Je ne pus tenir bien longtemps, à peine l'avait-elle avaler jusqu'à la garde que je lui envoyait la purée au fond de la gorge.
Se relevant elle me dit sa déception d'être partie trop vite, aussi bien elle que moi, mais elle était contente de notre performance.
Dommage je n'ai pas eu le temps de la pénétrer et impossible d'aller plus loin, j'étais vidé, plus que vidé. Et mon stage était fini. Ça c'est passé avant hier soir. »
« Tu vois Steve nous pensions passer des vacances ennuyeuses tous les deux et bien on c'est fourré le doigt dans l’œil. Tu sais que ton histoire m'a excité. Au fait j'avais un cadeau pour toi, mais c'est un fiasco, c'est raté. J'ai filmé Dominique dans les chiottes sur l'aire de repos à midi ».
« Comment ça, devant tout le monde » me demanda-t-il étonné
« Non, pas devant tout le monde. Quand je l'ai vu partir précipitamment vers les toilettes, je l'ai suivi et j'ai collé mon portable en mode vidéo sous la porte. Manque de pot elle avait gardé son grand sac, tu sais celui qu'elle trimballe toujours avec elle, et elle l'a posé devant elle, ce qui fait écran et résultat on ne voit rien ».
« T'es ben un peu malade d'aller filmer, sous une porte, la tante en train de pisser. Fais voir quand même »
Je sors la carte mémoire, la cale dans l'ordi, quelques clics et c'est parti.
« Déjà, la vidéo n'est pas dans le bon sens, faut se tordre le cou pour voir »
« Dans la précipitation j'ai pas pensé à tout, tu vas pas m'engueuler en plus ».
Nous visionnons ce que j'avais déjà vu, c'est à dire les jambes tremblantes, le piétinement et bien sûr le fameux sac.
« Attends, attends, regarde elle va enlever son sac, je pense que ce n'est pas si raté que ça, repart du début »me dit mon frangin
« Avant de tout voir, je vais remettre les images d'aplomb avec -virtualbud- »
Quelques manips et le tour est joué, notre chère tante était revenue dans une position normale. Bien sûr nous ne la voyions que jusqu'à la ceinture. Alors action.
Elle piétinait fébrilement sur les deux reposes pieds en jurant :
« Oh non, pas ça, sacré bordel de fermeture éclair, c'est pas le moment d'être coincée, j'ai tenu jusque là, c'est pas le moment que je fasse dans ma culotte à cause de cette maudite fermeture éclair »
Un froufrou de bermuda qui descend, un sac jeté prestement sur le côté et sa féminité nous apparut dans toute sa splendeur alors qu'elle s'accroupissait.
Elle avait bien fait de déplacer son sac car à peine en position elle pissait déjà avec la puissance d'une lance d'incendie.
Nous voyions bien son sexe dans l'épaisseur de sa toison noire et frisée. La pisse giclait à tout rompre de ce minuscule trou d'aiguille foré au milieu de son con. Le puissant jet d'urine passait bruyamment entre ses jambes et allait s'écraser loin devant elle, inondant au passage le carrelage du sol de la cabine. C'est pour ça que c'était tout mouillé par terre, je venais de tout comprendre, ce n'était pas une fuite mais une véritable résurgence. Je m'étonnais même que l'objectif de mon portable ne s'en trouva pas éclaboussé.
Le spectacle dura moins d'une minute, la pression retomba. Le « ouff » Quelques petites giclées, le gros pet que j'avais entendu derrière la porte, (elle devait pousser car on devinait son anus qui pointait sous elle)l'essuyage minutieux. Là un brouillamini d'images impossibles à déchiffrer, je venais de reprendre mon appareil avant qu'elle s’aperçoive de ma présence.
« Ben dis donc, pour une envie de pisser, c'était une envie de pisser . On le repasse» s'exclama Steve en riant.
Nous avons regardé la séquence plusieurs fois afin de mieux la détailler et les commentaires allaient bon train. Les oreilles de notre chère tante devaient lui siffler.
« Et si nous mettions cette vidéo sur un site porno, je pense qu'il ferait bander les amateurs du genre sur toute la terre » me proposa mon frère
« Ah ! Ah ! Ah ! Et une banque du sperme pourrait recueillir des litres de foutre » lui dis je.
« Tu sais que c'est puni par la loi, ce genre de truc, vaut mieux pas et si elle tombait dessus en regardant des sites pornos, car je suis persuadé, coquine comme elle est qu'elle ne s'en prive pas. Gardons ça pour nous avec les photos que nous avons faites pendant la leçon de conduite ».
« T'as raison ne cherchons pas des histoires avec ça et Dominique ne mérite pas ça, elle est si gentille avec nous » je lui réponds
« En parlant de leçon de conduite, tu sais qu'elle va changer de voiture et j'ai entendu dire que puisque j'avais eu mon permis de conduire, elle me donnait sa vieille R5. C'est sympa et j'ai tellement de souvenirs avec cette voiture. (voir : un bel enterrement) Papa m'a envoyé un texto et nous allons la chercher après demain, si tu veux venir ». (à suivre)
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super histoire , je n'ai pu m'empêcher de me masturber en la lisant !
Il m'est arrivé un épisode similaire un jour que je suis tombé sur ma belle-mère en train de faire pipi en forêt et je ne me suis jamais vraiment remis de ce que j'ai vu .
Il m'est arrivé un épisode similaire un jour que je suis tombé sur ma belle-mère en train de faire pipi en forêt et je ne me suis jamais vraiment remis de ce que j'ai vu .
Super histoire ,merci .Je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber en la lisant .J'ai en effet moi même vécue une aventure similaire avec ma belle-mère faisant pipi dans la nature et je ne m'en suis toujours pas remis !