Le Trou dans les WC
Récit érotique écrit par Ventripotent [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Trou dans les WC
C’était un dimanche après-midi maussade et orageux. Le ciel grondait sa colère et déversait ses larmes sur les habitants de la ville. N’ayant rien d’autre à faire du reste de la journée, Marc proposa à sa femme et à leurs enfants de se rendre au centre commercial, histoire de tuer le temps. Tous acceptèrent la suggestion avec joie.
Même si l’endroit était non loin de la maison, il leur fallait une certaine logistique lors de leurs déplacements. En effet, sa femme mettait toujours un temps fou à se préparer et les deux garçons croyaient essentiel d’apporter l’ensemble de leurs jouets avec eux. Après plusieurs longues minutes de caprices, ils finirent enfin par quitter la maison.
Lorsqu’ils arrivèrent sur place, Marc put constater qu’il n’avait pas été le seul à avoir eu l’idée de sortir. L’endroit était bondé de voitures et ils durent patienter un long moment avant de trouver un endroit où garer la voiture. Ils venaient à peine de descendre du véhicule que les deux garçons se montrèrent déjà impatients.
— Allons à la boutique de jeux vidéo !
— Je veux aller voir les petites voitures !
Leur mère désapprouva instantanément.
— Nous irons peut-être plus tard. Nous devons d’abord vous trouver de nouvelles chaussures.
Déçus, les deux garçons soupirèrent leur mécontentement à l’unisson.
Après avoir déambulé près d’une heure de boutiques en boutiques sans rien trouver, ils finirent par se retrouver dans l’air de restaurations où une multitude de restaurants offraient plusieurs plats alléchants. Tous convinrent de s’arrêter pour y casser la croûte. Au même moment, Marc réalisa qu’une petite envie se faisait sentir.
— Chérie, je dois me rendre aux toilettes. Pourquoi ne pas nous commander quelque chose pendant mon absence ? Ensuite, nous pourrions aller acheter les chaussures pour les garçons et visiter les boutiques de jouets par la suite.
Sa femme acquiesça et les deux gamins semblaient satisfaits du plan proposé par leur père.
Alors que l’envie devint un peu plus pressante, Marc s’éloigna rapidement et finit par rejoindre la salle de bain réservé aux hommes. Même si l’endroit semblait désert, il choisit de se rendre à une cabine plutôt que d’utiliser les urinoirs. Il se sentait toujours un peu gêné de devoir faire sa besogne à la vue de tous.
S’affairant à la tâche, il entendit quelqu’un tousser dans la cabine d’à côté. Surpris de constater qu’il n’était pas seul, il se dépêcha à terminer. En activant la chasse d’eau, il constata que sur le mur de la cabine le séparant de l’autre, un trou y était creusé. Celui-ci était assez grand pour qu’il puisse voir quelqu’un bouger de l’autre côté.
Se questionnant sur l’utilité d’un tel orifice, il s’apprêtait à quitter lorsque l’individu d’à côté lui adressa la parole.
— Hey, mec ! J’ai un truc à te faire voir.
Ignorant de quoi il s’agissait, il questionna l’étranger.
— Euh, qu’est-ce que c’est ?
Pendant qu’il se demandait ce qu’un inconnu pouvait bien vouloir lui montrer dans des toilettes publiques, quelque chose sortit du trou. Un pénis d’une taille considérable se dressait à présent devant lui. Confus, il ne savait trop comment réagir.
— Putain, mais qu’est-ce que...
L’homme de l’autre côté se mit à ricaner.
— Est-ce que ça te plaît ? Tu peux toucher, si tu veux. Personne ne le saura jamais.
En d’autres circonstances, Marc aurait été outré par une telle situation. Cependant, cette fois-ci, ce n’était pas le cas. En effet, la vue de ce gros gourdin avait déclenché en lui une curiosité inattendue. Il se demandait même à présent s’il ne devait pas oser toucher comme l’avait suggéré son propriétaire. Doucement, il approcha la main et il lui empoigna le sexe.
De l’autre côté, l’homme laissa échapper un gémissement de satisfaction.
Marc aimait bien la sensation dans sa main. À la fois dur et mou, il palpait l’engin qui semblait ne pas avoir terminé de grossir pleinement.
— Alors, tu aimes ? Tu peux y goûter, si ça te dit.
Marc était hétérosexuel et il aimait sa femme plus que tout. Malheureusement pour lui, elle n’était pas friande de sexe comme il l’était. S’il en avait l’occasion, il aurait pu baiser plus d’une fois par jour. Malgré tout, il se retrouvait excité plus que jamais, ici et maintenant. Il désirait continuer.
En agitant le pénis de l’homme plus fermement, ce dernier se mit à gémir davantage. De plus en plus échauffé, Marc observa le gros gland rose brillant qui s’offrait à lui. Approchant la tête tout prêt, il ouvrit les lèvres et mit le gros champignon dans sa bouche.
L’étranger encouragea Marc à continuer.
— Oui, vas-y ! Suce-la !
Faisant des mouvements de va-et-vient avec la tête, la verge de l’étranger glissait aisément dans sa gueule. Il pouvait même sentir le sentir pulser.
L’homme de l’autre côté semblait prendre son pied.
— Ah, oui. C’est bon !
Marc n’avait jamais expérimenté avec un homme auparavant et encore moins avec un pur étranger. C’était peut-être pour cette raison qu’il avait franchi le pas. L’anonymat semblait faire toute la différence. Lorsqu’il aurait terminé, il n’y aurait personne qui saurait et qui pourrait le juger.
Accélérant la cadence, l’homme de l’autre côté se fit beaucoup plus bruyant.
— Ah, oui ! Attention, je vais...
Sans avertissement, la bouche de Marc s’emplit d’un liquide chaud et salé. L’étranger venait d’éjaculer plusieurs grosses goulées de sperme en lui. Il avait voulu recracher, mais le foutre de l’homme avait déjà coulé au fond de sa gorge.
Satisfait, l’étranger retira sa teub du trou. Marc l’entendit refermer sa braguette avant de quitter prestement.
— Merci, mec !
Marc se retrouva enfin seul. Il réalisait à peine ce qui venait de se passer. Il avait sucé un parfait inconnu jusqu’à la fin et avait à présent toute sa semence dans son estomac. Excité plus que jamais, il essaya tant bien que mal de se ressaisir avant de quitter à son tour. Il devait se dépêcher de rejoindre sa famille avant qu’elle ne se pose des questions sur son absence prolongée.
Une fois de retour dans l’aire de restauration, il n’eut aucune difficulté à les repérer. Ils étaient tous attablés avec une énorme pizza au centre. Sa femme, qui venait de l’apercevoir, lui envoya la main. Celle-ci le dévisagea avec surprise.
— Tu en as mis du temps ! As-tu acheté de quoi mangé, toi aussi ?
— Non, pourquoi me demandes-tu ça ?
Ne comprenant pas ce qu’elle voulait dire, sa femme continua.
— Tu as la bouche couverte d’un truc blanc.
Même si l’endroit était non loin de la maison, il leur fallait une certaine logistique lors de leurs déplacements. En effet, sa femme mettait toujours un temps fou à se préparer et les deux garçons croyaient essentiel d’apporter l’ensemble de leurs jouets avec eux. Après plusieurs longues minutes de caprices, ils finirent enfin par quitter la maison.
Lorsqu’ils arrivèrent sur place, Marc put constater qu’il n’avait pas été le seul à avoir eu l’idée de sortir. L’endroit était bondé de voitures et ils durent patienter un long moment avant de trouver un endroit où garer la voiture. Ils venaient à peine de descendre du véhicule que les deux garçons se montrèrent déjà impatients.
— Allons à la boutique de jeux vidéo !
— Je veux aller voir les petites voitures !
Leur mère désapprouva instantanément.
— Nous irons peut-être plus tard. Nous devons d’abord vous trouver de nouvelles chaussures.
Déçus, les deux garçons soupirèrent leur mécontentement à l’unisson.
Après avoir déambulé près d’une heure de boutiques en boutiques sans rien trouver, ils finirent par se retrouver dans l’air de restaurations où une multitude de restaurants offraient plusieurs plats alléchants. Tous convinrent de s’arrêter pour y casser la croûte. Au même moment, Marc réalisa qu’une petite envie se faisait sentir.
— Chérie, je dois me rendre aux toilettes. Pourquoi ne pas nous commander quelque chose pendant mon absence ? Ensuite, nous pourrions aller acheter les chaussures pour les garçons et visiter les boutiques de jouets par la suite.
Sa femme acquiesça et les deux gamins semblaient satisfaits du plan proposé par leur père.
Alors que l’envie devint un peu plus pressante, Marc s’éloigna rapidement et finit par rejoindre la salle de bain réservé aux hommes. Même si l’endroit semblait désert, il choisit de se rendre à une cabine plutôt que d’utiliser les urinoirs. Il se sentait toujours un peu gêné de devoir faire sa besogne à la vue de tous.
S’affairant à la tâche, il entendit quelqu’un tousser dans la cabine d’à côté. Surpris de constater qu’il n’était pas seul, il se dépêcha à terminer. En activant la chasse d’eau, il constata que sur le mur de la cabine le séparant de l’autre, un trou y était creusé. Celui-ci était assez grand pour qu’il puisse voir quelqu’un bouger de l’autre côté.
Se questionnant sur l’utilité d’un tel orifice, il s’apprêtait à quitter lorsque l’individu d’à côté lui adressa la parole.
— Hey, mec ! J’ai un truc à te faire voir.
Ignorant de quoi il s’agissait, il questionna l’étranger.
— Euh, qu’est-ce que c’est ?
Pendant qu’il se demandait ce qu’un inconnu pouvait bien vouloir lui montrer dans des toilettes publiques, quelque chose sortit du trou. Un pénis d’une taille considérable se dressait à présent devant lui. Confus, il ne savait trop comment réagir.
— Putain, mais qu’est-ce que...
L’homme de l’autre côté se mit à ricaner.
— Est-ce que ça te plaît ? Tu peux toucher, si tu veux. Personne ne le saura jamais.
En d’autres circonstances, Marc aurait été outré par une telle situation. Cependant, cette fois-ci, ce n’était pas le cas. En effet, la vue de ce gros gourdin avait déclenché en lui une curiosité inattendue. Il se demandait même à présent s’il ne devait pas oser toucher comme l’avait suggéré son propriétaire. Doucement, il approcha la main et il lui empoigna le sexe.
De l’autre côté, l’homme laissa échapper un gémissement de satisfaction.
Marc aimait bien la sensation dans sa main. À la fois dur et mou, il palpait l’engin qui semblait ne pas avoir terminé de grossir pleinement.
— Alors, tu aimes ? Tu peux y goûter, si ça te dit.
Marc était hétérosexuel et il aimait sa femme plus que tout. Malheureusement pour lui, elle n’était pas friande de sexe comme il l’était. S’il en avait l’occasion, il aurait pu baiser plus d’une fois par jour. Malgré tout, il se retrouvait excité plus que jamais, ici et maintenant. Il désirait continuer.
En agitant le pénis de l’homme plus fermement, ce dernier se mit à gémir davantage. De plus en plus échauffé, Marc observa le gros gland rose brillant qui s’offrait à lui. Approchant la tête tout prêt, il ouvrit les lèvres et mit le gros champignon dans sa bouche.
L’étranger encouragea Marc à continuer.
— Oui, vas-y ! Suce-la !
Faisant des mouvements de va-et-vient avec la tête, la verge de l’étranger glissait aisément dans sa gueule. Il pouvait même sentir le sentir pulser.
L’homme de l’autre côté semblait prendre son pied.
— Ah, oui. C’est bon !
Marc n’avait jamais expérimenté avec un homme auparavant et encore moins avec un pur étranger. C’était peut-être pour cette raison qu’il avait franchi le pas. L’anonymat semblait faire toute la différence. Lorsqu’il aurait terminé, il n’y aurait personne qui saurait et qui pourrait le juger.
Accélérant la cadence, l’homme de l’autre côté se fit beaucoup plus bruyant.
— Ah, oui ! Attention, je vais...
Sans avertissement, la bouche de Marc s’emplit d’un liquide chaud et salé. L’étranger venait d’éjaculer plusieurs grosses goulées de sperme en lui. Il avait voulu recracher, mais le foutre de l’homme avait déjà coulé au fond de sa gorge.
Satisfait, l’étranger retira sa teub du trou. Marc l’entendit refermer sa braguette avant de quitter prestement.
— Merci, mec !
Marc se retrouva enfin seul. Il réalisait à peine ce qui venait de se passer. Il avait sucé un parfait inconnu jusqu’à la fin et avait à présent toute sa semence dans son estomac. Excité plus que jamais, il essaya tant bien que mal de se ressaisir avant de quitter à son tour. Il devait se dépêcher de rejoindre sa famille avant qu’elle ne se pose des questions sur son absence prolongée.
Une fois de retour dans l’aire de restauration, il n’eut aucune difficulté à les repérer. Ils étaient tous attablés avec une énorme pizza au centre. Sa femme, qui venait de l’apercevoir, lui envoya la main. Celle-ci le dévisagea avec surprise.
— Tu en as mis du temps ! As-tu acheté de quoi mangé, toi aussi ?
— Non, pourquoi me demandes-tu ça ?
Ne comprenant pas ce qu’elle voulait dire, sa femme continua.
— Tu as la bouche couverte d’un truc blanc.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très excitant
Amusant, et un fantasme probablement pas si rare... Je m'attendais presque à ce qu'il reconnaisse la voix du mec du glory-hole à la table voisine, avant d'expliquer à sa femme que c'est le glaçage d'un donut acheté en passant, et qu'il n'a plus trop faim pour la pizza, en fait ^^