Le vétérinaire
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2012 dans la catégorie Plus on est
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Le vétérinaire
Il flotte un parfum de lavande sur la garrigue. Le soleil tape comme souvent chez moi.
Dès le matin en ouvrant les volets je savais qu’il allait faire chaud. Les cigales me
l’ont confirmé un moment après. La nuit déjà chaude m’a obligé à dormir nue. Ce matin,
avant d’aller préparer le petit déjeuner, j’ai regardé mon mari: il bandait comme
souvent. Je l’ai laissé à ses rêves érotiques qu’il me racontera tout à l’heure dans
la cuisine.
Je suis dans la cuisine préparant le café et le lait. Yvon arrive, vient m’embrasser
sur la bouche. Il bande encore. Je sais déjà que nous allons nous caresser juste après
avoir bu. Ça ne manque pas, dès sa dernière goutte de café au lait avalée, il m’attire
sur ses genoux. Il sais, le salaud, que j’adore quand il me pelote, qu’il passe sa
main entre mes jambes pour attraper mon bouton. Je me laisse faire pendant qu’il me
caresse lentement, je jouis toujours vite le matin. Je ne l’oublie jamais, je commence
par prendre par prendre son sexe à pleine main, comme il aime. Je fais les mouvements
qu’il aime aussi: je le branle comme il m’a appris, bien mieux que ce que je savais
faire avant lui. Je m’arrange pour venir les jambes écartées sur lui, mon dos contre
lui: je peux me faire mettre par derrière pendant qu’il caresse mes seins et que je
passe deux doigts sur ma chatte. Comme presque à chaque fois nous jouissons ensemble.
Drôle de journée d’été qui commence: il a rendez vous en ville. Il savait pourtant que
nous attendions la visite d’un vétérinaire pour voir la chienne malade. Je me
débrouillerais sans lui, pourtant j’aurai aimé qu’il soit là, c’est sa chienne après
tout.
Yvon prend sa douche pendant que je me débarbouille: il bande encore. Ca lui passera
avec le jet de la douche: il se branle je n’ai pas à intervenir. Quand je suis là il
lui arrive de me demander de le soulager, aujourd’hui il m’a oublié. Tant pis.
Il est sur le point de partir quand dans la chambre, j’ai envie de jouir encore. Je ne
peux pas le retenir: il va être en retard. Je vais me contenter seule comme souvent:
j’aime bien me masturber depuis toujours. Je caresse mes seins avant de toucher ma
chatte déjà ou encore mouillée. Quand je met deux doigts dans mon puits, je sens
encore son sperme: il a bien jouit tout à l’heure. Il est parti quand j’ai un bon
orgasme.
Je reste nue pour les travaux dans la maison, j’oublie l’heure qui passe. J’oublie le
véto. Lui n’oubli pas, il frappe à la porte et j’allais sans m’en faire, lui ouvrir
la porte. Je prends juste le temps de passer un peignoir.
- Entrez, c’est pour la chienne, Diane qui est malade.
- Je sais, votre mari me l’a dit en téléphonant. Où est la bête ?
- Derrière, je vous conduit.
Me voila comme une infirmière pour cette bête que je n’aime pas tellement. Il
l’examine sommairement pour conclure par
- Il faut que je l’emmène au cabinet pour bien l’examiner, elle ne me semble pas aller
très bien.
Il transporte l’animal dans sa voiture. Je pense qu’il va partir. J’aimerai qu’il
parte. Hélas, il s’incruste il me semble. Je lui offre un café pour la peine. Le temps
de le servir il s’installe dans le séjour. Quand je reviens le peignoir s’ouvre,
offrant à sa vue tout mon corps. Sur le moment je suis gênée. Et une boule de chaleur
envahi mon bas ventre. Je pense à la vitesse d’un éclair: et alors, il va me faire
quoi, me baiser peut-être. J’aime bien ça, et alors;
Il me regarde étonné: ce n’est pas tous les jours qu’une femme s’expose à lui. Il fait
celui qui ne voit rien. Ou il est impoli ou c’est un Tartuffe. Je m’assois en face de
lui, il ne peut plus ne pas me voir. Je croise mes jambes bien haut. Cette fois il
examine mon trésor, celui entre mes jambes. Je regarde sa braguette: il commence à
bander. Tant mieux, je l’excite encore en me touchant carrément le clitoris.
- Je vous plais ainsi ?
- Ououi. Beaucoup.
- Pourquoi vous ne venez pas vers moi.
- J’ai peur de faire une bêtise.
J’en ai assez, il a peur de me caresser, de me baiser. Le mufle. Je me lève pour aller
lui présenter ma chatte sous son nez. Cette fois enfin il réagit; sa langue vient sur
mon bouton. J’accentue mon mouvement. Cette fois c’est toute ma féminité qu’il peut
lécher. Je suis en chaleur, il faut qu’il me baise maintenant. Je prend sa tête dans
mes mains, je la soulève pour qu’il vienne m’embrasser.
Nous bouchent s’embrassent comme il nous n’avions j’mais embrasser une autre personne.
Nos langues sont occupées entre elles. Il fait tomber la guenille que je porte:: je
suis nue, maintenant il peut faire de moi ce qu’il veut. Je préférerais qu’il me
baise: Yvon m’a déjà enculée ce matin. Je tripote sa queue à travers le pantalon
jusqu’au moment où il est nu. Belle bite bien dressée; il a envie de moi. Pour une
femme c’est toujours agréable de se savoir désirée. Il est debout contre moi, je sens
sa bite contre mon ventre: je la voudrais dedans
Je me lève sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur. Je prends sa pine pour la
mettre là où elle doit être. Il se laisse faire sans bouger. La seule action est qu’il
me caresse les fesses. C’est bon, pas suffisant, je pose une main sur son postérieur
et le pousse vers moi. Il comprend enfin qu’il faut me baiser.
Le voilà enfin parti pour la grande cavalcade. Il baise bien ce type. J’ai peur qu’il
jouisse trop vite. J’essaies d’ouvrir ma chatte au maximum pour retarder son
éjaculation. J’ai de la chance, je jouis eux fois avant lui qui bande toujours. Je me
souviens que mon mari ne doit pas tarder à entrer. Tant pis, il m’a souvent dit qu’il
aimerai me vois baiser une autre. Qu’il arrive vite pour voir et qu’il participe
aussi. Je suis baissée devant la queue du véto quand enfin Yvon entre. Je le crois
surpris de me voir sucer un autre homme. Je suis surtout surprise de sa réaction; il
est nu en un rien de temps. Il bande comme un âne, pose sa bite sur mon épaule: s’il
pouvait il la mettrai entre mes seins. J’arrête la fellation, j’entraine et le véto et
mon mari dans la chambre. Je connais vaguement la suite: je suis nue avec deus hommes
nus également dans une chambre.
C’est Yvon qui prend la situation en main. Il m’embrasse les seins, ma caresse
partout, suivi de peu par mon amant. Je me trouve avec deux paires de mains qui se
promènent sur mon corps: j’ai la chatte trempée: il me tarde qu’on me mette les queue
dans le ventre; je les voudrai ensemble. Le dieu des amours écoute certainement. Mon
mari me pousse sur le lit, il donne ma chatte au véto pour qu’il me suce. Encore un
bon orgasme à venir. Les deux hommes se branlent ensemble. Je ne savais pas qu’Yvon
aimait se faire astiquer le queue par un autre. Heureusement pur moi qu’il ne
jouissent pas.
Enfin le véto se couche, je vais sur lui, j’ai l’habitude avec mon mari, j’aime baiser
ainsi. J’ai la bite au fond du vagin, je commence les mouvements quand mon mari se
pose sur mon cul. Je reconnaitrais sa bite parmi des milliers d’autre tellement elle
est spéciale dans mon cul. La sentir croiser l’autre à travers mes fines parois
m’excite tellement que je jouis trois ou quatre fois. Je ne peux connaitre leur
plaisir que pare ce qu’ils disent: je suis une pute, une salope qui aime se faire
mettre, etc., etc. C’est vrai tout ça, j’aime me faire mettre, je suis salope, je ne
suis pas une pute, enfin pas encore;
Et la chienne dans tout ça, elle est guérie. Quand le véto est revenu nous avons
encore baisé en trio. Meilleur que la première fois.
Dès le matin en ouvrant les volets je savais qu’il allait faire chaud. Les cigales me
l’ont confirmé un moment après. La nuit déjà chaude m’a obligé à dormir nue. Ce matin,
avant d’aller préparer le petit déjeuner, j’ai regardé mon mari: il bandait comme
souvent. Je l’ai laissé à ses rêves érotiques qu’il me racontera tout à l’heure dans
la cuisine.
Je suis dans la cuisine préparant le café et le lait. Yvon arrive, vient m’embrasser
sur la bouche. Il bande encore. Je sais déjà que nous allons nous caresser juste après
avoir bu. Ça ne manque pas, dès sa dernière goutte de café au lait avalée, il m’attire
sur ses genoux. Il sais, le salaud, que j’adore quand il me pelote, qu’il passe sa
main entre mes jambes pour attraper mon bouton. Je me laisse faire pendant qu’il me
caresse lentement, je jouis toujours vite le matin. Je ne l’oublie jamais, je commence
par prendre par prendre son sexe à pleine main, comme il aime. Je fais les mouvements
qu’il aime aussi: je le branle comme il m’a appris, bien mieux que ce que je savais
faire avant lui. Je m’arrange pour venir les jambes écartées sur lui, mon dos contre
lui: je peux me faire mettre par derrière pendant qu’il caresse mes seins et que je
passe deux doigts sur ma chatte. Comme presque à chaque fois nous jouissons ensemble.
Drôle de journée d’été qui commence: il a rendez vous en ville. Il savait pourtant que
nous attendions la visite d’un vétérinaire pour voir la chienne malade. Je me
débrouillerais sans lui, pourtant j’aurai aimé qu’il soit là, c’est sa chienne après
tout.
Yvon prend sa douche pendant que je me débarbouille: il bande encore. Ca lui passera
avec le jet de la douche: il se branle je n’ai pas à intervenir. Quand je suis là il
lui arrive de me demander de le soulager, aujourd’hui il m’a oublié. Tant pis.
Il est sur le point de partir quand dans la chambre, j’ai envie de jouir encore. Je ne
peux pas le retenir: il va être en retard. Je vais me contenter seule comme souvent:
j’aime bien me masturber depuis toujours. Je caresse mes seins avant de toucher ma
chatte déjà ou encore mouillée. Quand je met deux doigts dans mon puits, je sens
encore son sperme: il a bien jouit tout à l’heure. Il est parti quand j’ai un bon
orgasme.
Je reste nue pour les travaux dans la maison, j’oublie l’heure qui passe. J’oublie le
véto. Lui n’oubli pas, il frappe à la porte et j’allais sans m’en faire, lui ouvrir
la porte. Je prends juste le temps de passer un peignoir.
- Entrez, c’est pour la chienne, Diane qui est malade.
- Je sais, votre mari me l’a dit en téléphonant. Où est la bête ?
- Derrière, je vous conduit.
Me voila comme une infirmière pour cette bête que je n’aime pas tellement. Il
l’examine sommairement pour conclure par
- Il faut que je l’emmène au cabinet pour bien l’examiner, elle ne me semble pas aller
très bien.
Il transporte l’animal dans sa voiture. Je pense qu’il va partir. J’aimerai qu’il
parte. Hélas, il s’incruste il me semble. Je lui offre un café pour la peine. Le temps
de le servir il s’installe dans le séjour. Quand je reviens le peignoir s’ouvre,
offrant à sa vue tout mon corps. Sur le moment je suis gênée. Et une boule de chaleur
envahi mon bas ventre. Je pense à la vitesse d’un éclair: et alors, il va me faire
quoi, me baiser peut-être. J’aime bien ça, et alors;
Il me regarde étonné: ce n’est pas tous les jours qu’une femme s’expose à lui. Il fait
celui qui ne voit rien. Ou il est impoli ou c’est un Tartuffe. Je m’assois en face de
lui, il ne peut plus ne pas me voir. Je croise mes jambes bien haut. Cette fois il
examine mon trésor, celui entre mes jambes. Je regarde sa braguette: il commence à
bander. Tant mieux, je l’excite encore en me touchant carrément le clitoris.
- Je vous plais ainsi ?
- Ououi. Beaucoup.
- Pourquoi vous ne venez pas vers moi.
- J’ai peur de faire une bêtise.
J’en ai assez, il a peur de me caresser, de me baiser. Le mufle. Je me lève pour aller
lui présenter ma chatte sous son nez. Cette fois enfin il réagit; sa langue vient sur
mon bouton. J’accentue mon mouvement. Cette fois c’est toute ma féminité qu’il peut
lécher. Je suis en chaleur, il faut qu’il me baise maintenant. Je prend sa tête dans
mes mains, je la soulève pour qu’il vienne m’embrasser.
Nous bouchent s’embrassent comme il nous n’avions j’mais embrasser une autre personne.
Nos langues sont occupées entre elles. Il fait tomber la guenille que je porte:: je
suis nue, maintenant il peut faire de moi ce qu’il veut. Je préférerais qu’il me
baise: Yvon m’a déjà enculée ce matin. Je tripote sa queue à travers le pantalon
jusqu’au moment où il est nu. Belle bite bien dressée; il a envie de moi. Pour une
femme c’est toujours agréable de se savoir désirée. Il est debout contre moi, je sens
sa bite contre mon ventre: je la voudrais dedans
Je me lève sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur. Je prends sa pine pour la
mettre là où elle doit être. Il se laisse faire sans bouger. La seule action est qu’il
me caresse les fesses. C’est bon, pas suffisant, je pose une main sur son postérieur
et le pousse vers moi. Il comprend enfin qu’il faut me baiser.
Le voilà enfin parti pour la grande cavalcade. Il baise bien ce type. J’ai peur qu’il
jouisse trop vite. J’essaies d’ouvrir ma chatte au maximum pour retarder son
éjaculation. J’ai de la chance, je jouis eux fois avant lui qui bande toujours. Je me
souviens que mon mari ne doit pas tarder à entrer. Tant pis, il m’a souvent dit qu’il
aimerai me vois baiser une autre. Qu’il arrive vite pour voir et qu’il participe
aussi. Je suis baissée devant la queue du véto quand enfin Yvon entre. Je le crois
surpris de me voir sucer un autre homme. Je suis surtout surprise de sa réaction; il
est nu en un rien de temps. Il bande comme un âne, pose sa bite sur mon épaule: s’il
pouvait il la mettrai entre mes seins. J’arrête la fellation, j’entraine et le véto et
mon mari dans la chambre. Je connais vaguement la suite: je suis nue avec deus hommes
nus également dans une chambre.
C’est Yvon qui prend la situation en main. Il m’embrasse les seins, ma caresse
partout, suivi de peu par mon amant. Je me trouve avec deux paires de mains qui se
promènent sur mon corps: j’ai la chatte trempée: il me tarde qu’on me mette les queue
dans le ventre; je les voudrai ensemble. Le dieu des amours écoute certainement. Mon
mari me pousse sur le lit, il donne ma chatte au véto pour qu’il me suce. Encore un
bon orgasme à venir. Les deux hommes se branlent ensemble. Je ne savais pas qu’Yvon
aimait se faire astiquer le queue par un autre. Heureusement pur moi qu’il ne
jouissent pas.
Enfin le véto se couche, je vais sur lui, j’ai l’habitude avec mon mari, j’aime baiser
ainsi. J’ai la bite au fond du vagin, je commence les mouvements quand mon mari se
pose sur mon cul. Je reconnaitrais sa bite parmi des milliers d’autre tellement elle
est spéciale dans mon cul. La sentir croiser l’autre à travers mes fines parois
m’excite tellement que je jouis trois ou quatre fois. Je ne peux connaitre leur
plaisir que pare ce qu’ils disent: je suis une pute, une salope qui aime se faire
mettre, etc., etc. C’est vrai tout ça, j’aime me faire mettre, je suis salope, je ne
suis pas une pute, enfin pas encore;
Et la chienne dans tout ça, elle est guérie. Quand le véto est revenu nous avons
encore baisé en trio. Meilleur que la première fois.
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