Le voyage au Maroc en avion...
Récit érotique écrit par Mariepat17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le voyage au Maroc en avion...
Ma chérie et moi avions prévu de prendre quelques jours de vacances au Maroc, beau pays à découvrir et où nous comptions bien nous reposer quelques jours.
Embarquement à Bordeaux-Mérignac, pour un vol de deux heures à destination de Casablanca.
Nous nous présentons le jour dit à l'embarquement, le vol prévu pour durer deux heures décollait de Bordeaux à 4h30 du matin. Rien de particulier sur l'embarquement, nous passons la douane et nous dirigeons vers l'appareil. Une hôtesse, ravissante nous indique nos sièges, dans une rangée de trois fauteuils vers le milieu de l'appareil. Nous avons les places 2 et 3, la place contre le hublot étant occupée par un homme, habillé comme un homme d'affaires, d'environ une trentaine d'années, bel homme black, charmant.
J'installe Marie entre nous deux, et nous discutons un peu avec cet homme, qui se rend à Casablanca pour son travail, dans l'informatique nous dit il. Il complimente Marie sur sa tenue, petite jupe courte, chemisier blanc presque transparent qui laisse deviner son soutien-gorge bien rempli, et une veste car à 4h du matin, il fait un peu frais.
Marie rougie un peu, puis se laisse aller contre mon épaule, pendant que les hôtesses nous font leur explication habituelle sur les issues de secours, etc.... L'homme se cale dans son siège et parcours des yeux un magazine économique, mais son regard s'attarde souvent sur les jambes de ma chère et tendre, très discrètement. Je laisse faire et m'intéresse aux hôtesses qui parcourent la cabine pour s'assurer du confort de leurs passagers.
Puis vient l'annonce du décollage imminent, tout le monde attache sa ceinture et l'avion prend la piste. Décollage sans histoire, en douceur.
Après une dizaine de minutes, Marie s'est endormie contre mon épaule, 4h du matin, c'est très tôt, et elle profite du vol pour récupérer un peu. En dormant, ses jambes se sont un peu écartées, discrètement, mais suffisamment pour que je puisse poser ma main sur sa cuisse, relevant un peu sa jupe. Ses jambes sont douces et chaudes, sa respiration régulière me prouve qu'elle dort, et le voisin n'a rien perdu de mon geste.
La majorité des passagers se sont endormis, et je commence à caresser la cuisse de Marie, doucement, allant du genou au haut de sa cuisse, révélant à chaque passage un peu plus de ses cuisses, presque jusqu'à la lisière de son string, la jupe se relevant à chaque fois que j'y remonte ma main.
Notre voisin ne se cache plus pour regarder franchement et admirer. Il est plutôt bel homme, et Marie aime beaucoup jouer avec un black à l'occasion. (Vous l'aurez compris, nous sommes libertins depuis maintenant plus de dix ans)
Il me regarde, et d'un signe, je lui fais comprendre qu'il peux, s'il en a envie, caresser l'autre cuisse de Marie. Je n'ai pas besoin de lui expliquer longtemps, il pose sa main sur la cuisse droite de Marie, et commence à la caresser en douceur, câlinant son grain de peau, remontant haut sur sa cuisse, découvrant le string blanc qui cache son intimité. Puis il s'enhardit et commence à caresser le sexe de ma chérie à travers le tissu, très doucement. La respiration de ma chérie s'accélère un peu, elle se cale plus profondément contre mon épaule, et écarte un peu plus ses cuisses. Elle a perdu la notion de l'endroit et du moment, elle se laisse caresser mais elle dort encore...
La plupart des passagers près de nous dorment, et ne nous prêtent pas attention, aussi notre voisin continue à caresser le sexe et la cuisse de Marie, toujours l'air de rien, mais je remarque que son pantalon s'est enrichi d'une belle bosse, qui se profile de plus en plus.
Il va bientôt y avoir une heure que nous avons décollé, soudain Marie ouvre les yeux, le voisin retire sa main, Marie me regarde l'air de ne pas comprendre, alors je lui explique ce que j'ai fait, et ce qu'a fait son voisin de droite. Elle se tourne vers lui, lui sourit, remet sa tête contre mon épaule, et se laisse faire. Voyant cela, le jeune black repose sa main sur les cuisses de marie et recommence à la caresser. Cette fois, il glisse carrément sa main dans le string de ma princesse, et caresse son clito. Marie réagit immédiatement. Elle commence à gémir, et me demande d'attraper une couverture dans les coffres à bagages au-dessus de nous, ce que je fais immédiatement, puis je dispose la couverture sur nos genoux à tous les trois, cachant ainsi nos caresses. Marie glisse sa main sur mon sexe, qui bande à me faire mal, et je sais qu'elle fait la même chose à l'homme assis à coté d'elle. Je le vois glisser sa main sur son pantalon et l'ouvrir, pour en sortir une queue noire d'une taille impressionnante, longue, large, et bien dure. Marie s'en saisit et commence à monter et descendre le long de son engin, tout en faisant de même avec la mienne, d'une taille bien plus raisonnable.
Elle nous branle ainsi tous les deux un bon moment, les cuisses largement ouvertes. Notre voisin fais glisser son string sur ses jambes et le lui retire, étant ainsi plus à l'aise pour la câliner. Marie gémît de plus en plus, elle se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir, qui monte, qui monte....
Mais je connais ma femme, et je sais de quoi elle a envie... Elle penche la tête vers l'inconnu qui prend ses lèvres et l'embrasse profondément, glissant sa langue dans la bouche de Marie, explorant tous les recoins, suçant sa langue, et de son autre main il commence à caresser ses seins qui pointent à travers le chemisier. Il remonte la couverture vers le cou de ma belle, lui dégrafe le chemisier, et lui malaxe les seins à pleine main. Marie gémît de plus en plus, se cramponnant à ma queue qu'elle serre, et à celle de l'inconnu.
Elle se dégage et se tourne vers moi, cherchant mon accord, que je lui donne avec envie, et elle se penche sur la queue de l'homme qu'elle engloutit de ses belles lèvres. Celui ci se plaque en arrière sur son siège et se laisse sucer avec plaisir, je sais par expérience que peu d'hommes ont résisté à son traitement. Sa bouche a du mal à tout avaler, mais elle descend sur la tige profondément, avalant les deux tiers seulement, tant la queue est longue et large, tout en lui caressant les bourses gonflées avec sa main.
Puis l'homme demande à Marie d'arrêter, il n'est pas sûr de pouvoir se retenir longtemps, il se lève, et nous demande si Marie accepte de le suivre dans les toilettes de l'avion. Grand moment, jamais je n'ai laissé Marie avec un inconnu sans avoir un regard sur elle, savoir si elle va bien. Je lui demande son avis, et je comprends à ses yeux qu'elle en a envie. Elle me demande si j'accepte sans lui en vouloir, et j'accepte. Je m'écarte pour laisser passer l'homme et au passage je lui glisse dans la main un préservatif, il m'en remercie d'un regard et se dirige vers les toilettes au fond de l'appareil. Marie me roule un baiser d'enfer, me promettant de tout me raconter et me sucer à son retour Je la laisse partir...
Je la vois frapper discrètement à la porte des toilettes, qui s'ouvre, et se referme sur elle.
Je n'ose plus bouger un cil, que font ils ? que se passe t il dans ces toilettes ? Au bout d'un moment, n'en pouvant plus, je fais mine d'avoir envie d'y aller aussi et je m'approche de la porte. J'entends des soupirs, des gémissements très légers, comme murmurés, j'imagine qu'il a pris sa bouche pour éviter qu'elle ne crie je retourne à mon siège, impatient de savoir...
C'est la toute première fois qu'elle se donne sans que je ne participe, sans que je puisse la voir...
Une demi-heure plus tard, ils reviennent ensemble, l'homme passe devant moi pour se rassoir à sa place et Marie se réinstalle à mes côtés, entre nous deux. Elle prend ma bouche et m'embrasse comme jamais, passionnément, me disant qu'elle m'aime, tout en reprenant ma queue dans sa main sous la couverture. Je remarque que ses seins percent son chemisier, elle n'a plus de soutien-gorge...
Tout en me caressant, elle raconte : lorsqu'elle est arrivée dans les toilettes, il a vivement refermé derrière elle, et l'a entièrement déshabillée, puis il s'est déshabillé à son tour, et elle a pu, en s'agenouillant à ses pieds, le reprendre en bouche. Elle l'a sucé, aspiré, caressé ses bourses, puis il l'a faite se relever, l'a calée sur le lavabo, et, après avoir enfilé le préservatif, il a présenté son gland énorme à l'entrée de sa chatte. Il l'a caressée un peu avec le bout de sa queue, glissant sur les lèvres gonflées de désir de son sexe, puis, d'un coup de rein, l'a pénétrée profondément, longuement, et à commencé à la limer de plus en plus vite, de plus en plus fort, tout en l'embrassant à pleine bouche, lui caressant les seins à chaque pénétration., jusqu'au moment où elle se cramponne à lui en gémissant son plaisir qui vient de la transpercer, moment qu'il choisit à son tour pour se vider dans le caoutchouc qui enserre sa queue.
Les explications de ma chérie ont vite fait de me faire bander comme un âne, ma queue me fait mal tant elle est tendue, aussi ma chère épouse se penche et me prend dans sa bouche, doucement, longuement, glissant ses doigts sur ma tige et sur mes bourses, de plus en plus vite. Je remarque que notre ami inconnu, profitant de la position de marie sur ma queue, a relevé sa jupe et lui caresse le sexe d'une main, glissant sur ses lèvres, enfonçant son doigts dans son sexe trempé. Marie recommence à gémir sous la caresse douce et profonde, de plus en plus vite, et soudain elle se cambre et prend son plaisir, la jouissance la transporte encore une fois.
N'en pouvant plus je joui à mon tour sur ses mains, sur ses seins, dieu que c'est bon !
Nous nous remettons en place de façon plus correcte, les passagers dorment encore pour la plupart, quand le commandant annonce la descente sur Casablanca, terminus de notre voyage.
Après l'atterrissage, nous passons la douane, et nous nous retrouvons dans le hall de l'aéroport avec notre nouvel ami. Nous prenons un café ensemble, il nous remercie pour ce plaisir aérien, embrasse Marie sur les joues, et après nous avoir laissé ses coordonnées à Bordeaux, se dirige vers la station de taxis.
Le voyage commençait très bien...
Octobre 2016
Embarquement à Bordeaux-Mérignac, pour un vol de deux heures à destination de Casablanca.
Nous nous présentons le jour dit à l'embarquement, le vol prévu pour durer deux heures décollait de Bordeaux à 4h30 du matin. Rien de particulier sur l'embarquement, nous passons la douane et nous dirigeons vers l'appareil. Une hôtesse, ravissante nous indique nos sièges, dans une rangée de trois fauteuils vers le milieu de l'appareil. Nous avons les places 2 et 3, la place contre le hublot étant occupée par un homme, habillé comme un homme d'affaires, d'environ une trentaine d'années, bel homme black, charmant.
J'installe Marie entre nous deux, et nous discutons un peu avec cet homme, qui se rend à Casablanca pour son travail, dans l'informatique nous dit il. Il complimente Marie sur sa tenue, petite jupe courte, chemisier blanc presque transparent qui laisse deviner son soutien-gorge bien rempli, et une veste car à 4h du matin, il fait un peu frais.
Marie rougie un peu, puis se laisse aller contre mon épaule, pendant que les hôtesses nous font leur explication habituelle sur les issues de secours, etc.... L'homme se cale dans son siège et parcours des yeux un magazine économique, mais son regard s'attarde souvent sur les jambes de ma chère et tendre, très discrètement. Je laisse faire et m'intéresse aux hôtesses qui parcourent la cabine pour s'assurer du confort de leurs passagers.
Puis vient l'annonce du décollage imminent, tout le monde attache sa ceinture et l'avion prend la piste. Décollage sans histoire, en douceur.
Après une dizaine de minutes, Marie s'est endormie contre mon épaule, 4h du matin, c'est très tôt, et elle profite du vol pour récupérer un peu. En dormant, ses jambes se sont un peu écartées, discrètement, mais suffisamment pour que je puisse poser ma main sur sa cuisse, relevant un peu sa jupe. Ses jambes sont douces et chaudes, sa respiration régulière me prouve qu'elle dort, et le voisin n'a rien perdu de mon geste.
La majorité des passagers se sont endormis, et je commence à caresser la cuisse de Marie, doucement, allant du genou au haut de sa cuisse, révélant à chaque passage un peu plus de ses cuisses, presque jusqu'à la lisière de son string, la jupe se relevant à chaque fois que j'y remonte ma main.
Notre voisin ne se cache plus pour regarder franchement et admirer. Il est plutôt bel homme, et Marie aime beaucoup jouer avec un black à l'occasion. (Vous l'aurez compris, nous sommes libertins depuis maintenant plus de dix ans)
Il me regarde, et d'un signe, je lui fais comprendre qu'il peux, s'il en a envie, caresser l'autre cuisse de Marie. Je n'ai pas besoin de lui expliquer longtemps, il pose sa main sur la cuisse droite de Marie, et commence à la caresser en douceur, câlinant son grain de peau, remontant haut sur sa cuisse, découvrant le string blanc qui cache son intimité. Puis il s'enhardit et commence à caresser le sexe de ma chérie à travers le tissu, très doucement. La respiration de ma chérie s'accélère un peu, elle se cale plus profondément contre mon épaule, et écarte un peu plus ses cuisses. Elle a perdu la notion de l'endroit et du moment, elle se laisse caresser mais elle dort encore...
La plupart des passagers près de nous dorment, et ne nous prêtent pas attention, aussi notre voisin continue à caresser le sexe et la cuisse de Marie, toujours l'air de rien, mais je remarque que son pantalon s'est enrichi d'une belle bosse, qui se profile de plus en plus.
Il va bientôt y avoir une heure que nous avons décollé, soudain Marie ouvre les yeux, le voisin retire sa main, Marie me regarde l'air de ne pas comprendre, alors je lui explique ce que j'ai fait, et ce qu'a fait son voisin de droite. Elle se tourne vers lui, lui sourit, remet sa tête contre mon épaule, et se laisse faire. Voyant cela, le jeune black repose sa main sur les cuisses de marie et recommence à la caresser. Cette fois, il glisse carrément sa main dans le string de ma princesse, et caresse son clito. Marie réagit immédiatement. Elle commence à gémir, et me demande d'attraper une couverture dans les coffres à bagages au-dessus de nous, ce que je fais immédiatement, puis je dispose la couverture sur nos genoux à tous les trois, cachant ainsi nos caresses. Marie glisse sa main sur mon sexe, qui bande à me faire mal, et je sais qu'elle fait la même chose à l'homme assis à coté d'elle. Je le vois glisser sa main sur son pantalon et l'ouvrir, pour en sortir une queue noire d'une taille impressionnante, longue, large, et bien dure. Marie s'en saisit et commence à monter et descendre le long de son engin, tout en faisant de même avec la mienne, d'une taille bien plus raisonnable.
Elle nous branle ainsi tous les deux un bon moment, les cuisses largement ouvertes. Notre voisin fais glisser son string sur ses jambes et le lui retire, étant ainsi plus à l'aise pour la câliner. Marie gémît de plus en plus, elle se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir, qui monte, qui monte....
Mais je connais ma femme, et je sais de quoi elle a envie... Elle penche la tête vers l'inconnu qui prend ses lèvres et l'embrasse profondément, glissant sa langue dans la bouche de Marie, explorant tous les recoins, suçant sa langue, et de son autre main il commence à caresser ses seins qui pointent à travers le chemisier. Il remonte la couverture vers le cou de ma belle, lui dégrafe le chemisier, et lui malaxe les seins à pleine main. Marie gémît de plus en plus, se cramponnant à ma queue qu'elle serre, et à celle de l'inconnu.
Elle se dégage et se tourne vers moi, cherchant mon accord, que je lui donne avec envie, et elle se penche sur la queue de l'homme qu'elle engloutit de ses belles lèvres. Celui ci se plaque en arrière sur son siège et se laisse sucer avec plaisir, je sais par expérience que peu d'hommes ont résisté à son traitement. Sa bouche a du mal à tout avaler, mais elle descend sur la tige profondément, avalant les deux tiers seulement, tant la queue est longue et large, tout en lui caressant les bourses gonflées avec sa main.
Puis l'homme demande à Marie d'arrêter, il n'est pas sûr de pouvoir se retenir longtemps, il se lève, et nous demande si Marie accepte de le suivre dans les toilettes de l'avion. Grand moment, jamais je n'ai laissé Marie avec un inconnu sans avoir un regard sur elle, savoir si elle va bien. Je lui demande son avis, et je comprends à ses yeux qu'elle en a envie. Elle me demande si j'accepte sans lui en vouloir, et j'accepte. Je m'écarte pour laisser passer l'homme et au passage je lui glisse dans la main un préservatif, il m'en remercie d'un regard et se dirige vers les toilettes au fond de l'appareil. Marie me roule un baiser d'enfer, me promettant de tout me raconter et me sucer à son retour Je la laisse partir...
Je la vois frapper discrètement à la porte des toilettes, qui s'ouvre, et se referme sur elle.
Je n'ose plus bouger un cil, que font ils ? que se passe t il dans ces toilettes ? Au bout d'un moment, n'en pouvant plus, je fais mine d'avoir envie d'y aller aussi et je m'approche de la porte. J'entends des soupirs, des gémissements très légers, comme murmurés, j'imagine qu'il a pris sa bouche pour éviter qu'elle ne crie je retourne à mon siège, impatient de savoir...
C'est la toute première fois qu'elle se donne sans que je ne participe, sans que je puisse la voir...
Une demi-heure plus tard, ils reviennent ensemble, l'homme passe devant moi pour se rassoir à sa place et Marie se réinstalle à mes côtés, entre nous deux. Elle prend ma bouche et m'embrasse comme jamais, passionnément, me disant qu'elle m'aime, tout en reprenant ma queue dans sa main sous la couverture. Je remarque que ses seins percent son chemisier, elle n'a plus de soutien-gorge...
Tout en me caressant, elle raconte : lorsqu'elle est arrivée dans les toilettes, il a vivement refermé derrière elle, et l'a entièrement déshabillée, puis il s'est déshabillé à son tour, et elle a pu, en s'agenouillant à ses pieds, le reprendre en bouche. Elle l'a sucé, aspiré, caressé ses bourses, puis il l'a faite se relever, l'a calée sur le lavabo, et, après avoir enfilé le préservatif, il a présenté son gland énorme à l'entrée de sa chatte. Il l'a caressée un peu avec le bout de sa queue, glissant sur les lèvres gonflées de désir de son sexe, puis, d'un coup de rein, l'a pénétrée profondément, longuement, et à commencé à la limer de plus en plus vite, de plus en plus fort, tout en l'embrassant à pleine bouche, lui caressant les seins à chaque pénétration., jusqu'au moment où elle se cramponne à lui en gémissant son plaisir qui vient de la transpercer, moment qu'il choisit à son tour pour se vider dans le caoutchouc qui enserre sa queue.
Les explications de ma chérie ont vite fait de me faire bander comme un âne, ma queue me fait mal tant elle est tendue, aussi ma chère épouse se penche et me prend dans sa bouche, doucement, longuement, glissant ses doigts sur ma tige et sur mes bourses, de plus en plus vite. Je remarque que notre ami inconnu, profitant de la position de marie sur ma queue, a relevé sa jupe et lui caresse le sexe d'une main, glissant sur ses lèvres, enfonçant son doigts dans son sexe trempé. Marie recommence à gémir sous la caresse douce et profonde, de plus en plus vite, et soudain elle se cambre et prend son plaisir, la jouissance la transporte encore une fois.
N'en pouvant plus je joui à mon tour sur ses mains, sur ses seins, dieu que c'est bon !
Nous nous remettons en place de façon plus correcte, les passagers dorment encore pour la plupart, quand le commandant annonce la descente sur Casablanca, terminus de notre voyage.
Après l'atterrissage, nous passons la douane, et nous nous retrouvons dans le hall de l'aéroport avec notre nouvel ami. Nous prenons un café ensemble, il nous remercie pour ce plaisir aérien, embrasse Marie sur les joues, et après nous avoir laissé ses coordonnées à Bordeaux, se dirige vers la station de taxis.
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Octobre 2016
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