Le Voyage Initiatique de Rania. 2eme partie : La séance d'essayage
Récit érotique écrit par Habiba Kehba [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le Voyage Initiatique de Rania. 2eme partie : La séance d'essayage
Je me réveillais le lendemain matin d’assez bonne heure. Après être resté dans mon lit à me remémorer les évènements de la veille, je décidai de me lever et d’aller préparer le petit-déjeuner. Je descendis dans le salon et passai devant le canapé, et me demandais combien de parties de plaisirs avait-il pu bien accueillir. Les filles n’étaient pas encore réveillées (certainement le besoin de récupérer de leurs prouesses de la veille) et voyant qu’elles manquaient de pain, je décidais d’aller en acheter à la boulangerie que j’avais repéré la veille sur le trajet entre la gare et la maison.
La boulangerie n’était pas très loin et après avoir acheté du pain et des viennoiseries, je sortis de la boulangerie et rentrai à la maison lorsque j’entendis quelqu’un s’exclamer derrière moi :
- Wesh ma sœur, t’es du-per ou quoi ? Keske tu fous en Bretagne ?
Je me retournai pour faire face un jeune d’origine africaine, caricature typique du « mec de cité » : casquette, survet baskets, et lunettes de soleil, tout ça de marques italiennes célèbres qui avaient remplacées les survêtements à la virgule, ceux aux 3 bandes et aux crocodiles. Il était assez grand et ses muscles saillaient sous son t-shirt moulant et arborait un grand sourire.
- Je suis en vacances chez de la famille, lui répondis-je.
- Vu comment t’es sapée, ils vont te prendre pour la branche Al-Qaïda Cote d’Armor !
- Et toi, tu fais quoi ici ? T’as confondu le neuf-deux et le vingt-deux et tu t’es perdu ici ? lui dis-je d’un ton froid
- Mouhahaha c’est bon déstresse soeurette c’était pour la blague !
- Excuses-moi mais je dois y aller…
- Bon bah vas-y tarplu ce bled il est tellement p’tit que j’suis sûr qu’on va se recapter ! Bon salam tchuss !
Sans même lui dire au revoir je rebroussais chemin et rentrais à la maison, mais j’étais loin de me douter que je le reverrai très vite. De retour à la maison, j’oubliais ce type et me lançais dans la confection du petit déjeuner quand j’entendis derrière moi :
- Ouah ça sent bon !
Zohra venait de faire son entrée dans la cuisine, vêtue d’un short assez court et d’un débardeur, les cheveux en bataille et les traits tirés. Elle semblait tout de même de bonne humeur.
- C’est vrai que ça sent bon ! Ça change de ta cousine ! Elle et la cuisine, ça fait quatre !
Gaelle venait à son tour d’arriver, seulement vêtue d’un t-shirt descendant assez bas, et prit place à table en face de sa cousine.
- Parce toi, t’es MaÏté d’après toi ? lui répondit Zohra
- Non, mais je cuisine mieux que toi !
- Bah il y a pas de quoi être fière ! C’est pas très compliqué !
- Ouais j’avoue c’est pas faux… Bon c’est prêt ou quoi ?
- Oui oui voilà ! lui répondis-je en disposant les plats sur la table et en m’installant avec elles.
Durant tout le repas, je gardais mes yeux baissés sur mon assiette, pour éviter le regard de mes compagnes, de peur qu’elles y décèlent une trace de culpabilité. Je gardais le silence et les écoutait se chamailler, n’osant pas intervenir dans leur conversation. De temps à autre je les observais à la dérobée, en m’interrogeant sur la nature de leurs relations. Etaient-elles juste amies, ou amantes ? Etait-ce une expression de leur amour à laquelle j’ai pu assister la veille ou bien l’ont-elles fait juste par plaisir, juste pour s’amuser ? J’essayais de m’imaginer leur réaction si elles m’avaient surprise en train de les espionner. Auraient-elles ressenti de la colère ? Ou peut-etre m’auraient elles inviter à partager leurs jeux interdits…
- Rania tu dors ou quoi ?!? C’est ok pour toi ?
- Ah ! Euh… quoi ?
- Oula t’es à l’ouest toi ! me dit Zohra. On voulait savoir si ça te dis d’aller à la plage cet aprèm, on y rejoindra des potes ! Ça marche ?
- Euh… Oui pourquoi pas !
- Par contre Mère Térésa, t’y vas pas habillée comme ça ! Pas envie qu’on s’affiche !
- T’inquiètes, je m’occupe de ta cousine ! Suis-moi Rania j’vais te prêter des sapes ! me dit Gaelle. Toi, Zohra, prépares des chips et d’la boisson pour emporter ça ! Au moins, ça tu peux pas le rater !
- Je t’emmerde, poufiasse !
- Moi aussi jt’aime, connasse ! lui répondit Gaelle avec un clin d’œil.
Gaelle m’emmena donc dans la salle de bain, afin de me faire essayer des tenues pour trouver celle qui me plairait.
- Vas-y déshabilles toi on va voir ce qu’on peut te trouver !
Cela m’était déjà arrivé de me déshabiller devant d’autres filles, mais cette fois, c’était différent. J’éprouvais une certaine gêne à me retrouver dévêtue devant Gaelle, sachant qu’elle avait un penchant pour les femmes. Je m’exécutais quand même, et me retrouvais juste en sous-vêtements sous le regard de mon éphémère relookeuse. Elle me donna donc plusieurs tenues à essayer, mais je les refusais une à une, sous prétexte que je les trouvais trop légères. Je me décidai enfin pour un chemisier assez léger aux manches longues et un pantalon, trop moulant à mon gout, mais qui avait l’avantage d’être assez long. Après avoir arrêté mon choix, je regardais le résultat dans le miroir et Gaelle se mit à tourner autour de moi, afin de rendre un jugement sur ma tenue. Elle passa dans mon dos puis, soudainement, m’enlaça par la taille.
Je lâchai un petit cri de surprise, alors que Gaelle resserrait son étreinte, ses mains se promenant sur mon corps. J’étais paralysé par la surprise et n’esquissait aucun mouvement pour résister. L’une de ses mains glissa sous le chemisier, puis commença à masser ma poitrine, tandis que son autre main essayait de se frayer un passage vers mon entrejambe. Dans le reflet du miroir, je pus voir l’expression du visage de ma compagne, qui exprimait un profond désir. Puis sa bouche se posa sur mon cou et elle se mit à me lécher doucement. Je me mis à trembler de plaisir et ma compagne, consciente de mon abandon, me retourna vers elle, déboutonna complètement mon chemisier et se mit à lécher ma poitrine avec convoitise. J’étais totalement sous son contrôle et j’étais prête à m’abandonner à elle. Sa main descendit vers mon vagin, de plus en plus humide et elle se mit à le caresser. De mon côté je me mis à caresser sa poitrine, mais mes gestes étaient fébriles, maladroits, comme si, inconsciemment, il restait encore des barrières qui s’érigeaient contre le fait que j’adonne à des jeux sexuels, qui plus est avec une femme.
Gaelle décida alors de me dévêtir complètement : elle baissa mon pantalon et ma culotte puis, d’un geste brusque, me plaqua contre le mur. Elle se plaqua contre moi et je sentis sa lourde poitrine s’écraser contre mon dos. Elle écarta mes jambes et je sentis sa main se balader entre mon vagin et mon anus, sans pour autant me pénétrer, tout en me murmurant à l’oreille « Tu as bien savouré le spectacle hier soir maintenant à ton tour d’y participer. » Ainsi donc, Gaelle m’avait surprise la nuit dernière ! Cepandant, je n’eus pas le temps de m’attarder sur cette information, ma partenaire ayant entrepris de me caresser le clitoris avec frénésie. Sous l’effet de ces folles caresses, je me cambrai et commençai à pousser de petits cris de plaisirs. Pendant ce temps, Gaelle frottai sa chatte contre mes fesses et je décidai de saisir sa taille et de l’attirer vers moi. Mon désir était à son comble, nos corps serrés l’une contre l’autre et je ne voyais pas le temps passer. J’étais plongé dans un océan de plaisir quand soudain…
- TÜUUUUUUUUUUUUUUUT TÜUUUUUUUUUUUUUUUT ! MAIS QU’EST-CE QUE VOUS FOUTEZ ?!? CA FAIT DIX MINUTES QUE J’VOUS ATTENDS !!!
Ce coup de klaxon avait eu l’effet d’un seau d’eau glacée et m’avait soudain sorti de ma transe. J’émergeai d’un rêve éveillé et me rendis soudain compte à quel point j’avais été loin sur les sentiers de la perversion. J’observai Gaelle, ses seins lourds à l’air et je voyais dans le reflet du miroir une jeune brune, totalement nue, le pantalon sur les chevilles, humide de mes éjaculations, et qui était toute échevelée. Et cette femme, c’était moi. Moi, la femme musulmane dans toute sa splendeur m’était abaissée à ce genre de pratique. J’en étais horrifiée.
- Merde ! J’avais oublié ta cousine ! me dit Gaelle en remettant son haut ! Rhabilles toi vite faut qu’on y go ! On arrive ma Zozo ! Ta cousine a mis dix piges avant de trouver une tenue ! dit-elle à ma cousine par la fenetre de la salle de bain qui donnait sur l’entrée.
- Gaelle, jures moi que ça restera entre nous ! Je ne veux pas que ma cousine le sache ! lui demandai-je d’un ton suppliant
- T’inquiètes pas ma belle, je sais tenir ma langue ! D’ailleurs, en parlant de langue…
Soudain, elle m’embrassa de manière passionnée durant quelques secondes, puis elle quitta la salle de bain. Je me rhabillai en vitesse puis la rejoignit en bas et nous montâmes en pour rejoindre la plage.
Sur le trajet, je repensais à ce qui c’était passé entre Gaelle et moi. Le plaisir ressenti sur le coup était divin mais une vague de culpabilité m’assaillait à présent. Il me restait deux semaines à passer en Bretagne et je n’étais pas sûre d’être assez forte pour résister si jamais Gaelle revenait à la charge. Et Zohra ? Comment réagirait-elle si elle apprenait cela ? Le prendrait-elle mal ? Et si ma cousine avait les mêmes intentions que Gaelle a mon encontre ? Je commençais alors à imaginer que c’était Zohra et non Gaelle qui se mettait à me caresser, ses lèvres pulpeuses me léchant la poitrine. Je chassai soudain cette pensée, en ayant honte de moi et de ma facilité à être tombé dans le péché, ma foi ayant été balayée en moins de 24h par deux femmes fatales. Après 20 minutes de route, nous arrivâmes à la plage et c’est seulement à ce moment-là que Zohra jugea utile de me préciser :
- Bon Rania, joues pas ta coincée ni ta sainte-Nitouche (si elle savait) mais bon y aura que des mecs donc commences pas à chipoter !
- Ça va ça ira n’abuses pas y a aussi des mecs à la fac ou au quartier tranquille je leur parle pas de galères !
- Ouais bon je précise on sait jamais ! Ah bah mates ils sont déjà là c’est eux !
J’aperçus un groupe de 5 hommes et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir parmi eux, le jeune que j’avais aperçu ce matin près de la boulangerie !
Ma découverte des plaisirs interdits se poursuit et cet après-midi sur la plage sera riches en surprises et révélations.
A suivre
La boulangerie n’était pas très loin et après avoir acheté du pain et des viennoiseries, je sortis de la boulangerie et rentrai à la maison lorsque j’entendis quelqu’un s’exclamer derrière moi :
- Wesh ma sœur, t’es du-per ou quoi ? Keske tu fous en Bretagne ?
Je me retournai pour faire face un jeune d’origine africaine, caricature typique du « mec de cité » : casquette, survet baskets, et lunettes de soleil, tout ça de marques italiennes célèbres qui avaient remplacées les survêtements à la virgule, ceux aux 3 bandes et aux crocodiles. Il était assez grand et ses muscles saillaient sous son t-shirt moulant et arborait un grand sourire.
- Je suis en vacances chez de la famille, lui répondis-je.
- Vu comment t’es sapée, ils vont te prendre pour la branche Al-Qaïda Cote d’Armor !
- Et toi, tu fais quoi ici ? T’as confondu le neuf-deux et le vingt-deux et tu t’es perdu ici ? lui dis-je d’un ton froid
- Mouhahaha c’est bon déstresse soeurette c’était pour la blague !
- Excuses-moi mais je dois y aller…
- Bon bah vas-y tarplu ce bled il est tellement p’tit que j’suis sûr qu’on va se recapter ! Bon salam tchuss !
Sans même lui dire au revoir je rebroussais chemin et rentrais à la maison, mais j’étais loin de me douter que je le reverrai très vite. De retour à la maison, j’oubliais ce type et me lançais dans la confection du petit déjeuner quand j’entendis derrière moi :
- Ouah ça sent bon !
Zohra venait de faire son entrée dans la cuisine, vêtue d’un short assez court et d’un débardeur, les cheveux en bataille et les traits tirés. Elle semblait tout de même de bonne humeur.
- C’est vrai que ça sent bon ! Ça change de ta cousine ! Elle et la cuisine, ça fait quatre !
Gaelle venait à son tour d’arriver, seulement vêtue d’un t-shirt descendant assez bas, et prit place à table en face de sa cousine.
- Parce toi, t’es MaÏté d’après toi ? lui répondit Zohra
- Non, mais je cuisine mieux que toi !
- Bah il y a pas de quoi être fière ! C’est pas très compliqué !
- Ouais j’avoue c’est pas faux… Bon c’est prêt ou quoi ?
- Oui oui voilà ! lui répondis-je en disposant les plats sur la table et en m’installant avec elles.
Durant tout le repas, je gardais mes yeux baissés sur mon assiette, pour éviter le regard de mes compagnes, de peur qu’elles y décèlent une trace de culpabilité. Je gardais le silence et les écoutait se chamailler, n’osant pas intervenir dans leur conversation. De temps à autre je les observais à la dérobée, en m’interrogeant sur la nature de leurs relations. Etaient-elles juste amies, ou amantes ? Etait-ce une expression de leur amour à laquelle j’ai pu assister la veille ou bien l’ont-elles fait juste par plaisir, juste pour s’amuser ? J’essayais de m’imaginer leur réaction si elles m’avaient surprise en train de les espionner. Auraient-elles ressenti de la colère ? Ou peut-etre m’auraient elles inviter à partager leurs jeux interdits…
- Rania tu dors ou quoi ?!? C’est ok pour toi ?
- Ah ! Euh… quoi ?
- Oula t’es à l’ouest toi ! me dit Zohra. On voulait savoir si ça te dis d’aller à la plage cet aprèm, on y rejoindra des potes ! Ça marche ?
- Euh… Oui pourquoi pas !
- Par contre Mère Térésa, t’y vas pas habillée comme ça ! Pas envie qu’on s’affiche !
- T’inquiètes, je m’occupe de ta cousine ! Suis-moi Rania j’vais te prêter des sapes ! me dit Gaelle. Toi, Zohra, prépares des chips et d’la boisson pour emporter ça ! Au moins, ça tu peux pas le rater !
- Je t’emmerde, poufiasse !
- Moi aussi jt’aime, connasse ! lui répondit Gaelle avec un clin d’œil.
Gaelle m’emmena donc dans la salle de bain, afin de me faire essayer des tenues pour trouver celle qui me plairait.
- Vas-y déshabilles toi on va voir ce qu’on peut te trouver !
Cela m’était déjà arrivé de me déshabiller devant d’autres filles, mais cette fois, c’était différent. J’éprouvais une certaine gêne à me retrouver dévêtue devant Gaelle, sachant qu’elle avait un penchant pour les femmes. Je m’exécutais quand même, et me retrouvais juste en sous-vêtements sous le regard de mon éphémère relookeuse. Elle me donna donc plusieurs tenues à essayer, mais je les refusais une à une, sous prétexte que je les trouvais trop légères. Je me décidai enfin pour un chemisier assez léger aux manches longues et un pantalon, trop moulant à mon gout, mais qui avait l’avantage d’être assez long. Après avoir arrêté mon choix, je regardais le résultat dans le miroir et Gaelle se mit à tourner autour de moi, afin de rendre un jugement sur ma tenue. Elle passa dans mon dos puis, soudainement, m’enlaça par la taille.
Je lâchai un petit cri de surprise, alors que Gaelle resserrait son étreinte, ses mains se promenant sur mon corps. J’étais paralysé par la surprise et n’esquissait aucun mouvement pour résister. L’une de ses mains glissa sous le chemisier, puis commença à masser ma poitrine, tandis que son autre main essayait de se frayer un passage vers mon entrejambe. Dans le reflet du miroir, je pus voir l’expression du visage de ma compagne, qui exprimait un profond désir. Puis sa bouche se posa sur mon cou et elle se mit à me lécher doucement. Je me mis à trembler de plaisir et ma compagne, consciente de mon abandon, me retourna vers elle, déboutonna complètement mon chemisier et se mit à lécher ma poitrine avec convoitise. J’étais totalement sous son contrôle et j’étais prête à m’abandonner à elle. Sa main descendit vers mon vagin, de plus en plus humide et elle se mit à le caresser. De mon côté je me mis à caresser sa poitrine, mais mes gestes étaient fébriles, maladroits, comme si, inconsciemment, il restait encore des barrières qui s’érigeaient contre le fait que j’adonne à des jeux sexuels, qui plus est avec une femme.
Gaelle décida alors de me dévêtir complètement : elle baissa mon pantalon et ma culotte puis, d’un geste brusque, me plaqua contre le mur. Elle se plaqua contre moi et je sentis sa lourde poitrine s’écraser contre mon dos. Elle écarta mes jambes et je sentis sa main se balader entre mon vagin et mon anus, sans pour autant me pénétrer, tout en me murmurant à l’oreille « Tu as bien savouré le spectacle hier soir maintenant à ton tour d’y participer. » Ainsi donc, Gaelle m’avait surprise la nuit dernière ! Cepandant, je n’eus pas le temps de m’attarder sur cette information, ma partenaire ayant entrepris de me caresser le clitoris avec frénésie. Sous l’effet de ces folles caresses, je me cambrai et commençai à pousser de petits cris de plaisirs. Pendant ce temps, Gaelle frottai sa chatte contre mes fesses et je décidai de saisir sa taille et de l’attirer vers moi. Mon désir était à son comble, nos corps serrés l’une contre l’autre et je ne voyais pas le temps passer. J’étais plongé dans un océan de plaisir quand soudain…
- TÜUUUUUUUUUUUUUUUT TÜUUUUUUUUUUUUUUUT ! MAIS QU’EST-CE QUE VOUS FOUTEZ ?!? CA FAIT DIX MINUTES QUE J’VOUS ATTENDS !!!
Ce coup de klaxon avait eu l’effet d’un seau d’eau glacée et m’avait soudain sorti de ma transe. J’émergeai d’un rêve éveillé et me rendis soudain compte à quel point j’avais été loin sur les sentiers de la perversion. J’observai Gaelle, ses seins lourds à l’air et je voyais dans le reflet du miroir une jeune brune, totalement nue, le pantalon sur les chevilles, humide de mes éjaculations, et qui était toute échevelée. Et cette femme, c’était moi. Moi, la femme musulmane dans toute sa splendeur m’était abaissée à ce genre de pratique. J’en étais horrifiée.
- Merde ! J’avais oublié ta cousine ! me dit Gaelle en remettant son haut ! Rhabilles toi vite faut qu’on y go ! On arrive ma Zozo ! Ta cousine a mis dix piges avant de trouver une tenue ! dit-elle à ma cousine par la fenetre de la salle de bain qui donnait sur l’entrée.
- Gaelle, jures moi que ça restera entre nous ! Je ne veux pas que ma cousine le sache ! lui demandai-je d’un ton suppliant
- T’inquiètes pas ma belle, je sais tenir ma langue ! D’ailleurs, en parlant de langue…
Soudain, elle m’embrassa de manière passionnée durant quelques secondes, puis elle quitta la salle de bain. Je me rhabillai en vitesse puis la rejoignit en bas et nous montâmes en pour rejoindre la plage.
Sur le trajet, je repensais à ce qui c’était passé entre Gaelle et moi. Le plaisir ressenti sur le coup était divin mais une vague de culpabilité m’assaillait à présent. Il me restait deux semaines à passer en Bretagne et je n’étais pas sûre d’être assez forte pour résister si jamais Gaelle revenait à la charge. Et Zohra ? Comment réagirait-elle si elle apprenait cela ? Le prendrait-elle mal ? Et si ma cousine avait les mêmes intentions que Gaelle a mon encontre ? Je commençais alors à imaginer que c’était Zohra et non Gaelle qui se mettait à me caresser, ses lèvres pulpeuses me léchant la poitrine. Je chassai soudain cette pensée, en ayant honte de moi et de ma facilité à être tombé dans le péché, ma foi ayant été balayée en moins de 24h par deux femmes fatales. Après 20 minutes de route, nous arrivâmes à la plage et c’est seulement à ce moment-là que Zohra jugea utile de me préciser :
- Bon Rania, joues pas ta coincée ni ta sainte-Nitouche (si elle savait) mais bon y aura que des mecs donc commences pas à chipoter !
- Ça va ça ira n’abuses pas y a aussi des mecs à la fac ou au quartier tranquille je leur parle pas de galères !
- Ouais bon je précise on sait jamais ! Ah bah mates ils sont déjà là c’est eux !
J’aperçus un groupe de 5 hommes et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir parmi eux, le jeune que j’avais aperçu ce matin près de la boulangerie !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique! À quand la suite??
Bien
c'est pour quand la suite
Je veux la suite !!!! J'adore