Le vrai plaisir, enfin

- Par l'auteur HDS Titoinou44 -
Récit érotique écrit par Titoinou44 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le vrai plaisir, enfin Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Le vrai plaisir, enfin
L’histoire que je vais vous raconter est celle de ma première fois avec un homme.
Je n’avais que 18 ans à l’époque, et ça faisait déjà un bon moment que je fantasmais à l’idée de coucher avec un homme. Je me masturbais très souvent en regardant des photos et vidéos gay, je rêvais d’avoir un sexe d’homme dans la bouche, et dans mon anus, je voulais m’offrir, ça me provoquait à chaque fois une excitation terrible, incontrôlable. Je n’avais quasiment jamais touché un homme avant ce fameux soir, j’avais juste masturbé un copain qui un soir dormait à la maison, mais rien de plus.
Je vivais chez mes parents, étant encore au lycée, nous étions en plein mois de Juillet, et ce soir-là, mes parents n’étaient pas là, je me retrouvais donc seul chez moi.
Je m’étais mis à l’aise (tout nu) devant mon pc, et commençais à me branler en regardant des photos d’hommes nus, et en tchatant sur un site de rencontre gay.
Après plusieurs discussions sans intérêt, j’entame un tchat avec Bertrand, 42 ans, qui vivais à 20mn de chez mes parents. Je lui explique être de plus en plus attiré par les hommes, mais que je n’ai encore jamais franchi le cap. Et il se propose rapidement de venir me voir, et de me laisse décider ensuite si je souhaite aller plus loin, ce qui me met en confiance, j’accepte sa proposition. Nous avons échangé nos numéros de portable, et convenus d’un lieu de rendez-vous, 30 mn plus tard.
Au bout de 20 mn, je suis sorti de chez moi pour me rendre au point de rendez-vous, nous étions au beau milieu de la nuit, il n’y avait personne dehors. Soudain mon portable s’est mis à vibrer, c’était Bertrand qui m’appelait. Au bout de quelques secondes, j’ai fini par décrocher, la voix tremblante :Oui allo ?
Antoine ?
OuiC’est Bertrand, tu vas bien ?
Oui merci, un peu stressé, mais ça vaJe suis content que tu répondes, j’avais peur de prendre un lapin, je serai là dans 5mn.
Ok, j’y suis, je t’attendsA tout de suite.
Et il a raccroché.
Puis quelques minutes qui m’ont paru une éternité plus tard, une voiture arriva enfin. Il se gara à côté de moi, baissa sa fenêtre et me dit de monter dans sa voiture, ce que j’ai fait. Nous nous sommes salués en nous serrant la main, j’ai hyper stressé, très intimidé, je ne savais pas à quoi m’attendre. Il a démarré la voiture et s’est mis à rouler, dans un silence de plomb. Puis au bout de quelques centaines de mètres, il a posé sa main sur ma cuisse, et l’a fait glisser jusque sur mon paquet, ce qui me provoque une érection sur le champ. Il m’a alors regardé avec un sourire, et m’a demandé si je connaissais un endroit discret. Bien sûr, je savais où nous pourrions allé, je lui indiqué la route, ça se trouvait à même pas 2 mn d’où nous étions. Il s’agissait d’un petit parking au milieu de nulle part avec un petit bois juste à côté.
Une fois sur place, il me fit descendre de voiture, et nous nous dirigeâmes dans le petit bois.
Une fois à l’abris, il s’arrêta, me plaqua contre un arbre, et approcha sa bouche de la mienne, il se mit à m’embrasser avec une fougue terrible, il faisait rentrer sa langue dans ma bouche, me fouillait, je l’embrassait à mon tour, ce baiser était merveilleux, dingue, hyper excitant, je bandais comme jamais.
Ses mains se sont mises à me caresser le dos, les hanches, les fesses, alors j’ai fait la même chose, j’ai placé mes mains sur son dos, je suis descendu pour lui caresser les fesses, j’avais envie de lui, il pouvait faire de moi ce qu’il voulait.
Après quelque instants, il a déboutonner mon pantalon, et a glissé ses mains sur mes fesses, sous mon caleçon, il me caressait, je me sentais bien, j’ai alors fait la même chose, puis il a glissé un doigt sur ma raie et a commencé à me titiller l’anus, je trouvais ça trop bon, j’en voulais encore plus, ma respiration s’accélérait, et rapidement, son doigt s’est enfoncé dans mon anus vierge, pour y rester immobile un bon moment, avant de commencer un léger va et vient.
Au bout de quelques instants de pur plaisir, il s’est adressé à moi : « mets-toi à genoux et suce moi ».
Je me suis senti offert à lui, et désireux de lui faire plaisir. Je me suis mis à genoux face à son pantalon déjà ouvert, j’ai fait glisser son pantalon sur ses chevilles, puis je me suis approché de son caleçon, il ne bandait pas encore fortement, j’ai embrassé sa queue à travers son caleçon, c’était la première fois que je trouvais si proche du sexe d’un homme, et je dois avouer que ça sentait fort, un mélange d’urine et de transpiration, une odeur qui m’excitait encore plus. Après quelques secondes à embrasser sa queue à travers le tissu, j’ai fait descendre ton caleçon sur ses cheville, je me suis retrouvé face à cette magnifique queue, d’une taille correct, ni grosse, ni petite, avec cette odeur enivrante, j’ai donné quelques coups de langue sur son gland, avant de l’engloutir totalement et de me jeter sur elle.
Enfin, je suçais une queue, sa queue, et c’était bon, j’adorais, j’avais sa queue en bouche, je le pompais, je sentais qu’il aimait ça, sa queue était dure maintenant, et me remplissait bien la bouche.
Je descendais de temps vers ses couilles pour les lécher, les gober, pour mieux retourner engloutir sa queue, je le suçais comme j’avais vu tant d’hommes le faire sur internet, c’était bon. Après quelques minutes à le sucer, il a décidé de prendre les choses en main, il a placé ses mains derrière ma tête et s’est mis à me baiser littéralement la bouche. Il faisait des va et viens dans la bouche, sa queue allait au fond de ma gorge à chaque coup, je bavais, j’étais juste un trou pour lui, il me baisait, bien à fond, sa queue allait au plus profond de ma bouche, j’étais devenu son jouet sexuel.
Au bout de plusieurs minutes à me faire baiser la bouche, il s’est retiré, m’a demandé de me lever, il m’a baissé mon pantalon, mon caleçon, et m’a retourné face à l’arbre, dos à lui, le cul en arrière.
Là il s’est baissé à son tour, approché son visage de mon cul, et a commencé à me lécher l’anus, tout en y introduisant un doigt. Je gémissais de plaisir, décidément, c’était une évidence maintenant, je voulais qu’il me prenne, qu’il me baise. J’avais tantôt son doigt, tantôt sa langue à l’entrée de mon anus, je m’ouvrais de plus en plus, il a ensuite introduit un 2ème doigt, et a commencé de lents va et viens, puis enfin un 3ème doigt, je m’ouvrais de plus en plus, je voulais sa queue en moi. Il m’a doigté comme ça un bon moment, puis s’est levé, a retiré ses doigts, s’est levé, m’a retourné, pour m’embrasser encore tout en caressant mon anus bien ouvert maintenant. J’adorais nos jeux de langue, je me sentais comme une femme, je voulais lui faire du bien, qu’il prenne son pied. J’avais en permanence un de ses doigts qui venaient me fouiller pendant qu’on s’embrassait, il me faisait lécher ses doigts un à un après m’avoir doigté, j’étais en trans.
Après quelques instants comme ça, il m’a dit de me rhabiller, et de le suivre jusqu’à sa voiture, une fois arrivé, il a baissé le siège passager au maximum et m’a demandé de m’y allongé sur le ventre.
Une fois en position, il m’a retiré mes chaussures, mon pantalon, mon caleçon, a fermé la portière, et est rentré par l’arrière de la voiture, côté conducteur, pendant que je l’attendais le cul à l’air, offert à lui. Une fois rentré, il a fermé la portière, m’a encore embrassé avec une fougue terrible, je sentais son désir, son excitation, il avait autant envie de moi que moi de lui.
Il a ensuite sorti un tube de lubrifiant, m’en a étalé sur l’anus, puis il est venu s’installé sur moi et m’a chuchoté à l’oreille : « tu es prêt ? », je lui ai répondu sans hésiter « oui, vas-y ».
Il a placé sa queue à l’entrée de mon anus, et a commencé à pousser légèrement pour me pénétrer lentement, avec douceur, je sentais sa queue rentrer en moi, je ne pensais pas qu’on puisse prendre un tel plaisir, j’étais au paradis, il s’est enfoncé à fond, je sentais ses couilles contre mes fesses, puis s’est immobilisé comme ça, enfoncé au maximum dans mon cul. J’ai tourné la tête pour l’embrasser, nous nous sommes embrassé avec tendresse, nos langues s’entremêlant dans tous les sens, lui a petit à petit entamé de lents va et viens, légers, avant d’accélérer pour finalement me baiser de plus en plus violemment, je prenais un plaisir inimaginable, je me faisais baiser pour la première fois, par un homme de plus de 40 ans, et j’adorais ça. Il me baisait bien maintenant, il ressortait presque entièrement et revenait me remplir d’un coup sec.
Il me baisait tellement bien, sa queue n’étant pas trop grosse, je n’avais aucune douleur, je n’éprouvais que du plaisir. Après m’avoir bien baisé comme ça pendant de longues minutes, il s’est crispé, a ralenti le rythme, j’ai senti qu’il allait jouir, il a ralenti franchement, pour bien ressentir chaque mouvement, puis s’est déchargé en moi, j’ai senti mon cul se remplir de son jus, ça y est, il avait jouis, un homme avait enfin jouis dans mon cul, il restait enfoncé en moi, au maximum. J’ai de nouveau tourné la tête pour qu’on s’embrasse encore.
Nous sommes resté comme ça à nous embrasser, sa queue toujours en moi un bon moment, puis il s’est retiré, je me suis essuyé pour ne pas en mettre partout, et je me suis précipité vers sa bouche pour l’embrasser encore tout en lui caressant la queue, et vite il se remit à bander. Je suis descendu vers sa queue pour le sucer à nouveau, j’en avais trop envie, sa queue qui venait de me baiser, de jouir, avait un goût exquis, je me suis appliqué à bien le sucer, bien la nettoyer, je le suçais en mode chienne maintenant, et après plusieurs minutes, il m’a maintenu la tête avec sa queue dans ma bouche, et commencé à faire lui des va et viens, et a jouis dans ma bouche, j’ai reçu plusieurs jets de sperme au fond de la gorge, il me maintenait la tête, je ne pouvais pas bouger, pas me relever, j’ai tout avaler, j’ai adoré ce goût, et cette sensation d’être dominé, offert totalement à son plaisir. Il a enfin libéré ma tête, je suis vite retourné l’embrasser.
Puis nous nous sommes rhabillés, et il m’a ramené à l’endroit de notre rendez-vous, nous sommes dit au revoir en embrassant presque amoureusement, avec tendresse, je suis sorti, il est parti.

Nous ne nous sommes jamais revu, mais je garde un souvenir extraordinaire de cette expérience.

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