Le vrai visage de Madame Clémence
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le vrai visage de Madame Clémence
MADAME CLEMENCE I
Depuis plusieurs semaines, ma compagne, que j’appelais affectueusement ma douce, me reprochait de ne pas être assez attentif à son bonheur et à son plaisir. C’était devenu son sujet de grief quotidien, je n’étais jamais assez affectueux avec elle. Amoureux fou, j’écoutais ses remontrances avec bienveillance en lui demandant à chaque fois ce qu’elle désirait, mais elle n’arrivait jamais à me dire exactement ce qui ne lui plaisait pas.
Un soir que je rentrais d’une journée de travail particulièrement éprouvante, elle me lança :
- J’en ai parlé à Carole (sa meilleure amie), elle connaît une dame qui est spécialisée dans notre problème : apprendre aux garçons a être plus appliqué avec leurs amies. Tu pourrais la rencontrer.
Je n’avais vraiment pas envie ce soir là de me disputer avec ma douce, et lui proposai d’en reparler une autre fois. Bizarrement, elle ne revint pas à la charge et se montra assez tendre, nous avons passé une soirée des plus agréables comme jamais depuis longtemps. Quelques jours plus tard, alors que je rentrais du travail, je la trouvai en grande conversation avec une inconnue.
- Je te présente Madame Clémence, l’amie de Carole dont je t’ai déjà parlé.
C’était une charmante femme très agréable à contempler, et qui avait beaucoup de classe. La conversation tourna vite au sujet qui tenait à cœur à ma douce. Très persuasive, et aidée par ma tendre, la dame me convainquit de venir passer un week-end chez elle pour aider notre couple. Puisque ma douce était d’accord, et puis, l’idée de passer quelques jours agréables en compagnie ce cette femme désirable, je ne mis pas longtemps à donner mon accord. Comme le week-end suivant nous n’avions rien prévu, il fut convenu que j’aille dès vendredi soir à 22h00 chez Madame Clémence.
Ce jour arriva rapidement, à peine arrivé dans sa maison elle me mit immédiatement dans le bain :
- Tu es venu de ton plein gré, alors je vais t’apprendre à donner du plaisir et surtout à obéir.
Le ton tranchait franchement avec la douceur dont elle avait fait preuve lors de notre première et unique rencontre.
- Ici c’est chez moi, je commande et tu as juste à obéir. Si tu es sage, il y a ça pour toi.
Dit-elle en me montrant une main attirante.
- Si tu ne comprends pas assez vite, elle sera à ton service.
M'avertit t’elle en me montrant une cravache, comme celles dont se servent les cavaliers avec leurs chevaux.
- Dimanche, je te marquerai de mes initiales pour que tu te souviennes bien de mes conseils. Si je suis content de toi, tu ne souffrira pas, par contre si tu me déçois, tu n’auras ni anesthésie locale, ni onguent pour calmer ta douleur, à toi de choisir.
J’avais l’impression d’être dans un autre monde.
- Pour commencer, les hommes qui viennent ici vivent nus, alors dépêche toi de te dénuder.
Comme je tardais à me décider, un premier coup de cravache vint me rappeler ses promesses. En moins d’une minute je fus entièrement nu devant elle, mes mains cachant mon intimité. Un deuxième coup me fit comprendre que j’avais fait une erreur, j’enlevai immédiatement mes mains.
- Tu es un peu long à comprendre, mais tu verras que cela rentrera vite. Mets tes mains derrière ta tête, et écarte les cuisses que je te voie bien.
J’avais vraiment l’air bête devant Madame Clémence, avec l’impression d’être une marchandise ou un animal en exposition. Un homme entièrement nu et totalement glabre, autant du corps que de la tête, fit soudain son apparition. Ce qui me surprit le plus, c’est qu’il avait été particulièrement gâté par la nature sur le plan sexuel.
- Je te présente Jack mon serviteur, il m’aide pour le dressage de garçon comme toi. Jack m’est entièrement dévoué, il a débuté ici comme toi. Demain tu auras un compagnon de formation qui m’a également été confié par son amie.
Madame Clémence tournait autour de moi en continuant son examen, j’étais de plus en plus mal à l’aise, l'effet grandissant d’être devant un maquignon qui estime une bête avant de l’acquérir.
- J’ai horreur des poils, alors la première chose à faire sera d’enlever tout ça.
Je ne me voyais pas du tout ressembler à Jack, mais madame Clémence m’apaisa immédiatement.
- Comme tu ne m’appartiens pas, tu pourras garder tes cheveux.
L'observation reprit de plus belle. Après m’avoir tâter et observer sous toutes les coutures, elle claqua des doigts. Immédiatement son serviteur vint se mettre à genoux devant moi, et entreprit de me faire une fellation. Dès que j’eu pris de la vigueur, il s’effaça pour laisser madame Clémence continuer son analyse.
- C’est mieux ainsi, dit elle, en caressant longuement et avec plus de dextérité mon service trois pièces. Maintenant penches toi bien en avant en écartant mieux tes cuisses, et mets tes mains sur la table basse.
Craignant la cravache menaçante qui pourrait me faire beaucoup plus de mal, étant donné ma tenue, je m’exécutai rapidement. Le serviteur s’approcha de sa maîtresse avec un petit pot à la main. De ma position, je ne pouvais voir ce que Madame Clémence manigançait dans mon dos. En sentant le froid et la douleur envahir mon fondement, je compris qu’elle m’avait pénétré avec un de ses doigts préalablement enduit de gel.
- C’est un bon début mais tu es un peu étroit, je vais y remédier. Demain quand ton collègue sera arrivé, il y aura fellation et sodomie pour vous au programme. Maintenant Jack va te montrer ta chambre.
Je suivis le valet qui me guida tout d’abord jusqu’à une immense salle de bain, avec une grande table en son centre.
- Allonge toi sur la table, je vais te préparé selon les désirs de Madame.
Il s’approcha alors de moi avec un rasoir comme les barbiers en utilisaient auparavant. Il prit son temps pour m’enlever tous les poils, avec un soin particulier en attaquant mes bourses. Puis il me demanda de me retourner et fit de même entre mes fesses. Après m’avoir bien examiné et constaté qu’il ne restait aucun poil superflu, il m’enduisit d’un baume particulièrement odorant.
Il me guida ensuite jusqu’à une chambre comprenant juste un petit lit avec des menottes aux 4 coins. Pas de draps, pas de couettes, ni aucun autre meuble, le dénuement total.
- Tourne toi et penche toi, je doit te mettre un plug, tu as de la chance c’est un numéro un.
J’ignorais totalement ce qu’était un plug, et encore plus à quoi ressemblait un numéro un, mais je me doutais bien que cela ne me ferait guère plaisir. J’en eu la confirmation lorsque Jack écarta mes fesses et introduisit quelque chose dans mon petit trou. Je fus surpris par le froid de l’objet, et soulagé que la douleur ne soit pas trop intense.
- Allonge toi les membres en croix que je t’attache, c’est Madame qui l’exige pour tous ses invités. Elle viendra peut être te voir cette nuit.
Depuis que j’étais arrivé chez Madame Clémence, à aucun moment je n’avais eu l’esprit de me rebeller. Maintenant il était un peu tard, je subissais cette situation en me maudissant.
J’eu du mal à dormir dans cette position, de nombreuses pensées bizarres avaient envahi mon esprit durant toute la nuit. C’est les yeux pleins de cernes que je fus réveillé par Jack au petit matin, je n’avais pas eu la visite de la propriétaire.
Depuis plusieurs semaines, ma compagne, que j’appelais affectueusement ma douce, me reprochait de ne pas être assez attentif à son bonheur et à son plaisir. C’était devenu son sujet de grief quotidien, je n’étais jamais assez affectueux avec elle. Amoureux fou, j’écoutais ses remontrances avec bienveillance en lui demandant à chaque fois ce qu’elle désirait, mais elle n’arrivait jamais à me dire exactement ce qui ne lui plaisait pas.
Un soir que je rentrais d’une journée de travail particulièrement éprouvante, elle me lança :
- J’en ai parlé à Carole (sa meilleure amie), elle connaît une dame qui est spécialisée dans notre problème : apprendre aux garçons a être plus appliqué avec leurs amies. Tu pourrais la rencontrer.
Je n’avais vraiment pas envie ce soir là de me disputer avec ma douce, et lui proposai d’en reparler une autre fois. Bizarrement, elle ne revint pas à la charge et se montra assez tendre, nous avons passé une soirée des plus agréables comme jamais depuis longtemps. Quelques jours plus tard, alors que je rentrais du travail, je la trouvai en grande conversation avec une inconnue.
- Je te présente Madame Clémence, l’amie de Carole dont je t’ai déjà parlé.
C’était une charmante femme très agréable à contempler, et qui avait beaucoup de classe. La conversation tourna vite au sujet qui tenait à cœur à ma douce. Très persuasive, et aidée par ma tendre, la dame me convainquit de venir passer un week-end chez elle pour aider notre couple. Puisque ma douce était d’accord, et puis, l’idée de passer quelques jours agréables en compagnie ce cette femme désirable, je ne mis pas longtemps à donner mon accord. Comme le week-end suivant nous n’avions rien prévu, il fut convenu que j’aille dès vendredi soir à 22h00 chez Madame Clémence.
Ce jour arriva rapidement, à peine arrivé dans sa maison elle me mit immédiatement dans le bain :
- Tu es venu de ton plein gré, alors je vais t’apprendre à donner du plaisir et surtout à obéir.
Le ton tranchait franchement avec la douceur dont elle avait fait preuve lors de notre première et unique rencontre.
- Ici c’est chez moi, je commande et tu as juste à obéir. Si tu es sage, il y a ça pour toi.
Dit-elle en me montrant une main attirante.
- Si tu ne comprends pas assez vite, elle sera à ton service.
M'avertit t’elle en me montrant une cravache, comme celles dont se servent les cavaliers avec leurs chevaux.
- Dimanche, je te marquerai de mes initiales pour que tu te souviennes bien de mes conseils. Si je suis content de toi, tu ne souffrira pas, par contre si tu me déçois, tu n’auras ni anesthésie locale, ni onguent pour calmer ta douleur, à toi de choisir.
J’avais l’impression d’être dans un autre monde.
- Pour commencer, les hommes qui viennent ici vivent nus, alors dépêche toi de te dénuder.
Comme je tardais à me décider, un premier coup de cravache vint me rappeler ses promesses. En moins d’une minute je fus entièrement nu devant elle, mes mains cachant mon intimité. Un deuxième coup me fit comprendre que j’avais fait une erreur, j’enlevai immédiatement mes mains.
- Tu es un peu long à comprendre, mais tu verras que cela rentrera vite. Mets tes mains derrière ta tête, et écarte les cuisses que je te voie bien.
J’avais vraiment l’air bête devant Madame Clémence, avec l’impression d’être une marchandise ou un animal en exposition. Un homme entièrement nu et totalement glabre, autant du corps que de la tête, fit soudain son apparition. Ce qui me surprit le plus, c’est qu’il avait été particulièrement gâté par la nature sur le plan sexuel.
- Je te présente Jack mon serviteur, il m’aide pour le dressage de garçon comme toi. Jack m’est entièrement dévoué, il a débuté ici comme toi. Demain tu auras un compagnon de formation qui m’a également été confié par son amie.
Madame Clémence tournait autour de moi en continuant son examen, j’étais de plus en plus mal à l’aise, l'effet grandissant d’être devant un maquignon qui estime une bête avant de l’acquérir.
- J’ai horreur des poils, alors la première chose à faire sera d’enlever tout ça.
Je ne me voyais pas du tout ressembler à Jack, mais madame Clémence m’apaisa immédiatement.
- Comme tu ne m’appartiens pas, tu pourras garder tes cheveux.
L'observation reprit de plus belle. Après m’avoir tâter et observer sous toutes les coutures, elle claqua des doigts. Immédiatement son serviteur vint se mettre à genoux devant moi, et entreprit de me faire une fellation. Dès que j’eu pris de la vigueur, il s’effaça pour laisser madame Clémence continuer son analyse.
- C’est mieux ainsi, dit elle, en caressant longuement et avec plus de dextérité mon service trois pièces. Maintenant penches toi bien en avant en écartant mieux tes cuisses, et mets tes mains sur la table basse.
Craignant la cravache menaçante qui pourrait me faire beaucoup plus de mal, étant donné ma tenue, je m’exécutai rapidement. Le serviteur s’approcha de sa maîtresse avec un petit pot à la main. De ma position, je ne pouvais voir ce que Madame Clémence manigançait dans mon dos. En sentant le froid et la douleur envahir mon fondement, je compris qu’elle m’avait pénétré avec un de ses doigts préalablement enduit de gel.
- C’est un bon début mais tu es un peu étroit, je vais y remédier. Demain quand ton collègue sera arrivé, il y aura fellation et sodomie pour vous au programme. Maintenant Jack va te montrer ta chambre.
Je suivis le valet qui me guida tout d’abord jusqu’à une immense salle de bain, avec une grande table en son centre.
- Allonge toi sur la table, je vais te préparé selon les désirs de Madame.
Il s’approcha alors de moi avec un rasoir comme les barbiers en utilisaient auparavant. Il prit son temps pour m’enlever tous les poils, avec un soin particulier en attaquant mes bourses. Puis il me demanda de me retourner et fit de même entre mes fesses. Après m’avoir bien examiné et constaté qu’il ne restait aucun poil superflu, il m’enduisit d’un baume particulièrement odorant.
Il me guida ensuite jusqu’à une chambre comprenant juste un petit lit avec des menottes aux 4 coins. Pas de draps, pas de couettes, ni aucun autre meuble, le dénuement total.
- Tourne toi et penche toi, je doit te mettre un plug, tu as de la chance c’est un numéro un.
J’ignorais totalement ce qu’était un plug, et encore plus à quoi ressemblait un numéro un, mais je me doutais bien que cela ne me ferait guère plaisir. J’en eu la confirmation lorsque Jack écarta mes fesses et introduisit quelque chose dans mon petit trou. Je fus surpris par le froid de l’objet, et soulagé que la douleur ne soit pas trop intense.
- Allonge toi les membres en croix que je t’attache, c’est Madame qui l’exige pour tous ses invités. Elle viendra peut être te voir cette nuit.
Depuis que j’étais arrivé chez Madame Clémence, à aucun moment je n’avais eu l’esprit de me rebeller. Maintenant il était un peu tard, je subissais cette situation en me maudissant.
J’eu du mal à dormir dans cette position, de nombreuses pensées bizarres avaient envahi mon esprit durant toute la nuit. C’est les yeux pleins de cernes que je fus réveillé par Jack au petit matin, je n’avais pas eu la visite de la propriétaire.
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