Le weekend d'Alice et de Phil 5/7
Récit érotique écrit par Filip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le weekend d'Alice et de Phil 5/7
Nous pouvons voir, en arrivant, que ton amie nue sur le canapé, se masturbe le minou et ne nous a pas attendu pour se faire durcir le clitoris. Tu la sermonnes vertement, la détache complètement et lui demande de se mettre à quatre pattes pour faire la chienne si elle veut avoir à manger, car elle a faim cette chaudasse avec son plug énorme que tu lui as mis dans le cul.
Tu me proposes de boire un dernier verre au salon et de nous dénuder entièrement, connaissant mon penchant pour le naturisme, penchant qui est devenu le tien par mimétisme et par goût aussi je devine.
On se sent plus libres et proches de la Nature ainsi, et puis toujours prêts comme les scouts pour faire sa B.A (Baise Absolue) . . . .
Assis sur le canapé, sentant les odeurs de cette chienne en chaleur, nous savourons notre verre de Viel Armagnac (et non pas de vieillard maniaque). Pendant que notre chienne vient nous lécher nos parties génitales tour à tour, ce qui a pour effet de faire baver ta chatte et dresser mon bâton de Maréchal.
Pour la remercier de nous avoir bien chauffés, je lui retire le plug et je lui fais lécher pour lui servir de hors d'œuvre, et comme boisson, elle viendra directement s'abreuver à la source, je sais qu'elle adore ça cette petite salope, et puis de toute façon elle n'a pas le choix…
Par égard pour elle, et l'on reconnait là ma grande bonté d'âme, je me lève, nu, la bite bien raide et dressée, et tu en profites pour admirer mes belles fesses bien fermes et dorées que tu adores. En fait, je suis parti chercher des légumes et des fruits pour nourrir cette petite cochonne : carottes, concombres, bananes, chantilly, de quoi assouvir sa faim insatiable de sexe. Quand je reviens, la voyant, nue à quatre pattes en train de te brouter le minou, ma queue voit rouge et se sent inexorablement attirée par son trou du cul béant entre ses fesses rebondies. Je l'empale à fond et son cri de surprise lui fait mordre ton clitoris, hum je vois que tu adores ça, serais tu aussi masochiste !
A chacun de mes coups de boutoir, mes grosses couilles, pleines de cette crème que tu affectionnes tant, claquent contre sa chatte, tu attrapes mes burnes par dessous pour bien les sentir dans ta main et les caresser, ce qui a pour effet d'augmenter mon excitation et de lui défoncer davantage le cul. Tu te dégages de cette pétasse, pendant que je continue à la ramoner comme un taureau fougueux, et tu passes derrière moi, pour me flatter les fesses, et me faire un beau léchage d'anus, sachant que cela me mettra dans tous mes états et que cette salope n'en sera que plus déchirée !!! Enculée comme elle le mérite, tu m’arrêtes avant que je ne jouisse en elle car tu as très envie de goûter aussi à mon infatigable bite, ta chatte m'appelle de toutes ses forces.
Tu me proposes de boire un dernier verre au salon et de nous dénuder entièrement, connaissant mon penchant pour le naturisme, penchant qui est devenu le tien par mimétisme et par goût aussi je devine.
On se sent plus libres et proches de la Nature ainsi, et puis toujours prêts comme les scouts pour faire sa B.A (Baise Absolue) . . . .
Assis sur le canapé, sentant les odeurs de cette chienne en chaleur, nous savourons notre verre de Viel Armagnac (et non pas de vieillard maniaque). Pendant que notre chienne vient nous lécher nos parties génitales tour à tour, ce qui a pour effet de faire baver ta chatte et dresser mon bâton de Maréchal.
Pour la remercier de nous avoir bien chauffés, je lui retire le plug et je lui fais lécher pour lui servir de hors d'œuvre, et comme boisson, elle viendra directement s'abreuver à la source, je sais qu'elle adore ça cette petite salope, et puis de toute façon elle n'a pas le choix…
Par égard pour elle, et l'on reconnait là ma grande bonté d'âme, je me lève, nu, la bite bien raide et dressée, et tu en profites pour admirer mes belles fesses bien fermes et dorées que tu adores. En fait, je suis parti chercher des légumes et des fruits pour nourrir cette petite cochonne : carottes, concombres, bananes, chantilly, de quoi assouvir sa faim insatiable de sexe. Quand je reviens, la voyant, nue à quatre pattes en train de te brouter le minou, ma queue voit rouge et se sent inexorablement attirée par son trou du cul béant entre ses fesses rebondies. Je l'empale à fond et son cri de surprise lui fait mordre ton clitoris, hum je vois que tu adores ça, serais tu aussi masochiste !
A chacun de mes coups de boutoir, mes grosses couilles, pleines de cette crème que tu affectionnes tant, claquent contre sa chatte, tu attrapes mes burnes par dessous pour bien les sentir dans ta main et les caresser, ce qui a pour effet d'augmenter mon excitation et de lui défoncer davantage le cul. Tu te dégages de cette pétasse, pendant que je continue à la ramoner comme un taureau fougueux, et tu passes derrière moi, pour me flatter les fesses, et me faire un beau léchage d'anus, sachant que cela me mettra dans tous mes états et que cette salope n'en sera que plus déchirée !!! Enculée comme elle le mérite, tu m’arrêtes avant que je ne jouisse en elle car tu as très envie de goûter aussi à mon infatigable bite, ta chatte m'appelle de toutes ses forces.
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