Léa - Soirée entre amis - histoire érotique

Léa - Soirée entre amis - Partie 1

Suite à mes expériences avec mon maitre Benoit, j'avais plus ou moins compris qu'il voulait passer à l'étape supérieure. Néanmoins, n'ayant pas de nouvelles pendant plusieurs jours, je commençais tout de même à m'inquiéter. Je portais constamment mon collier de soumise chez moi, afin de signifier mon appartenance. Cela faisait plusieurs jours que je ne m'avais pas fait jouir, et j'avoue que mon corps commencer à réclamer des caresses...

Je contactai alors Martine, qui était devenue une copine, afin de savoir ce qu'elle faisait :
— Salut ma belle, dis-moi, cela te dirait que l'on se voit ce soir ?
— Salut Léa, bah non, j'ai une soirée de prévue !
— Et tu ne peux pas la décaler ?
— Non impossible, c'est des amis que je n'ai pas vus depuis longtemps, qui vivent en Australie. Ils reviennent en France cette semaine jusqu'au week-end, donc non... impossible de les décaler !
— J'ai tellement envie de sexe !
— Tu as envie d'être encore punie ? Cela ne t'a pas suffit la dernière fois ?
— Je m'en fiche, et puis même si j'ai eu mal pendant quelques jours, au moins il s'est occupé de moi. Cela fait plusieurs jours que je n'ai plus de nouvelles de lui...
— Je suis persuadé qu'il ne t'a pas oubliée ! T'inquiètes ! Tu le reverras ton maitre ! Il ne va pas abandonner une salope telle que toi (rire)

Je tournais en rond dans mon appartement, comme un lion en cage, devenais de plus en plus en manque ! J'avais besoin de sexe ! La serrure fit un bruit, j'étais vraiment heureuse que ce soit lui !
Je me mis nue, et me mis à genoux direct devant la porte, tête baissé, mains derrière le dos... comme une bonne soumise.

— Salut ! Tu m'attendais, j'ai l'impression ?
— Oui maitre ! J'étais perdu sans vous ! J'ai besoin de vous...
— Ah oui ? T'inquiète, je suis là, et j'ai une grande nouvelle pour toi !
— C'est vrai, dites-moi tout...
— Viens t'assoir avec moi sur le canapé

On s'assit sur le canapé, et il sortit une boite à bijou... je ne savais pas quoi pensais de ce cadeau, qui m'était surement destinée.
— Je veux t'offrir un présent, qui conclura notre contrat ! À partir de maintenant, tu es ma soumise attitrée. Je veux que tu mettras cette chaînette en or à ta cheville. Il y moi ton Maître, et toi ma Soumise sur la plaque, indiquant que tu m'appartiens et que je suis ton maitre !

J'en avais les larmes aux yeux, et j'étais tellement contente. J'attendais cela depuis longtemps. Martine m'en avait parlé, dès qu'un maitre considère sa soumise comme principale, il lui donne une chainette en or avec une plaque d'appartenance. Je lui sautai au cou de bonheur !
Je pris la chainette, et l'a mis délicatement à ma cheville. C'était à mes yeux, le plus beau cadeau que l'on ne m'est jamais fait !

— J'ai un deuxième cadeau pour toi !
— Ah bon ? Vous me gâtez maitre !
— Ce soir, tu es de sortie !
— Que fait-on ?
— On va à une soirée entre amis... tu serviras de soumise aux invitées, à tous les invitées !
— Oui maitre, je vous ferais honneur !
— Elle se déroulera en trois parties. D'abord, tu nous sers, nue, et tu te laisses tripoter, et agis aux moindres désirs des invités, puis un maitre te prendra en main, et enfin, tu videras les couilles de tous les invités !
— Ohhh merci maitre. Je suis ravie de pouvoir vous montrer comment je serais une bonne soumise.
— Je te fais ce cadeau, pour te montrer que je tiens à toi ! Je veux que tu prennes du plaisir, et que tu en donnes 10 fois plus !
— je ne vous décevrai pas maitre
— Je reviens te cherchez tout à l'heure. Sois prête. Met juste un chemisier et une jupe, sans rien dessous. Tu mettras l'oeuf vibrant et plug anal, ainsi qu'une chaine avec des pinces à seins !
— Bien maitre

Lorsqu'il partit, j'étais la plus heureuse des femmes. J'allais servir mon maitre le mieux possible. Ma chatte palpitait de désir, et mes tétons réclamer des sensations... tout mon corps ne demander qu'à servir ! Je me préparais et attendis ça venu.

Nous nous rendîmes dans une superbe maison, j'arrivais avec les mains attachées, une boule dans la bouche, un plug anal, un œuf vibrant dans ma chatte, des pinces à seins avec une chainette... et des hauts talons, pour galber mes fesses. Mon maitre fit vibrer régulièrement cet œuf dans ma chatte, pour la préparer. Elle était déjà tellement rempée de mouille que j'avais peur de souillé ma robe.

Un homme de la cinquantaine me déshabilla, me reluqua, et m'indiqua mon rôle...
— Belle petite pute que tu nous ramènes ce soir Benoit
— Et encore, tu n'as rien vu ! C'est une bonne chienne soumise !

Il me regarda, tira sur la chaine sur mes seins...
— Alors c'est simple, ce soir tu nous sers ok ! Si quelqu'un a envie de se faire sucer, tu dis oui, tu te mets à genoux et tu le suces ! Idem si une femme a envie que tu lui bouffes sa chatte ! Si on te tripote, tu te laisses faire, tu ne bouges pas ! En gros, tu acceptes tout ce que l'on te demande !
Il enleva la boule que j'avais dans la bouche, enleva l'œuf vibrant avec un sourire, enleva mon plug et me tira sur la chaine, ou une vive douleur fit son apparition.
— Oui monsieur ! J'ai bien compris, je serais votre petite chienne soumise à tous et à toutes...
— C'est bien petite pute ! Elle est déjà toute mouillée cette salope !

Il enleva ce qui retenait mes mains, et m'indiquait comment servir.
Je pris un plateau et pénétrais dans la pièce, une grande table très longue était dressée, avec des invités assis déjà à table. À première vue, il y avait plus d'hommes que de femmes. Je m'approchai de la première place, et l'homme, assis, me caressa les fesses. Je me laissais faire comme il avait dit
— Hummm, t'es mignonne toi dis donc ! Et puis déjà toute mouillée... et ta mouille est délicieuse ! Goutte...
Il mit ses doigts dans ma chatte, et donna ses doigts à gouter à la femme à côté de lui
— Ah oui, délicieuse, elle est déjà bien mouillée cette garce, dit la femme qui me caressait ma chatte, et me mit des doigts...

Une femme se leva, arriva dernière moi, et commença à me claquer les fesses !
— Goutte sa queue ! Suce-la bien petite salope !
Je me mis à genoux et enfonçais sa queue au fond de ma gorge, et commençait à le sucer ! La femme appuya sur ma tête, pour que le sexe rentra complétement au fond de ma gorge... Elle en profitait pour me claquer une nouvelle fois les fesses !
— c'est bien petite pute ! Elle suce bien ?
— Grave putain ! On va bien s'amuser avec !

Je me relevai, et continuer de faire le service tant bien que mal... j'avais des mains qui me touchaient sans cesses. Un coup, mes fesses, ma chatte, mes seins... on me doigtait souvent, aussi bien ma chatte que mon cul. J'avoue que j'étais en trans, c'était vraiment très bon !
Je continuais à servir, jusqu'à ce que mon regard croise celui de Martine. Elle était en invité, quand je m'approchais d'elle, elle écarta les cuisses, et me dit :
— Viens me lécher salope avec un immense sourire
Je me mis à genoux, et léchais goulument la chatte de ma copine. Je sentais des mains caresser et calquer mon cul. Puis deux doigts rentrait dans mon anus.
— Putain quel cul, elle a cette chienne !
Je sentis un sexe rentrait directement dans mon anus pendant que je continuais de lécher. Elle était grosse, et me faisait un peu mal. Mais je me laissais faire !
— Putain, quelle bonne chienne ! Je vais prendre beaucoup de plaisir à te défoncer ton cul de chienne tout à l'heure !
Je me retournais, et lui fis un grand sourire, et le remercia.

Je continuais à servir, et mon plaisir grandissait. J'étais une soumise au service de tous ces gens et je kiffais ! À chaque fellation, chaque léchage de chatte, j'adorais cela !
— Fait voir ton cul de chienne entends dis je
Je me mis à cambrer pour montrer mes fesses
— A quatre pattes, je verrai mieux, et ton visage sur le sol
Je me mis en position, et il commença à me caresser le cul, puis à me donner des claques de plus en plus fortes sur le cul.
— Tu aimes ça hein ? Tout à l'heure, je vais m'occuper de toi ! Tu vas kiffer, tu verras !
Cela donner le ton, j'avais déjà le cul rougi des quelques claques qu'il m'avait donnés tellement elle était forte. Il continua quelques instants encore, et tira sur ma chaine, mes tétons étaient à leur maximum, et claqua mes seins...

Je continuais encore et toujours de servir, je leur servais à la fois d'hôtesse et de pute. Je suçais, lécher des chattes et des culs. Je me prenais des claques sur les fesses, sur le visage, sur les seins, mais j'étais aux anges... enfin on s'occupait de moi !

Le service se termina, et je vis que certain faisait de la place sur la table...
— Viens t'allonger sur la table, on t'a fait une place, allonge-toi ! Tu vas être notre dessert !
Je montais sur la table et m'allongeai. Une femme vient au-dessus de mon visage et me dit "lèche". Je léchais sa chatte, puis elle me donna son anus, que je léchai également.
Des mains me tripotaient, tirer sur la chainette, me doigter... puis on me mit une pince à linge sur l'un des seins, descendant vers mon téton, et tout le long de mon corps. Je sentais comme une ficelle le long de mon corps.
Ils ajoutèrent plusieurs pinces à linge tout le long de mon corps. L'un deux pris une cravache et commença à me cravacher mes seins, doucement, puis entre les cuisses, sur ma chatte...
C'était à la fois très excitant et douloureux ! Il tapa sur les pinces que j'avais aux seins, et sur les pinces à linges répartis le long de mon corps...
Un autre me mit une god vibrant sur mon clitoris, histoire de prendre du plaisir. C'était divin, je me trémoussais de tous les côtes.

— Je suis sûr que tu vas kiffer ce moment ma belle !
Un homme me regarda, tenant le bout de la ficelle. Ce que je n'avais pas compris, c'est que s'il tirait sur la ficelle, toutes les pinces à linges allaient se retirer en même temps, du même coté. Il tira un coup sec, et chaque pince à linge sauté en me donnant une vive douleur. Cette douleur était immense... et l'on ne prit le temps d'attendre que l'on tirât sur le second fil... l'autre côté me fit tout aussi mal. J'hurlais de douleur, et tout été aux anges de voir la douleur s'inscrire sur mon visage.
L'homme à la cravache recommença à me donner des petites coupes un peu partout.

Un homme débarrassait les assiettes, et me dit :
— Mets-toi en travers de la table...
Immédiatement, malgré la douleur, je me mis en travers. Il m'attira vers le bord, afin que j'aie la tête renversée au bord de la table. Il approcha son sexe de ma bouche et me dit "Ouvre ta bouche"... Il enfonça son sexe profondément dans ma bouche et commença ses va et viens. Je sentis une bouche me lécher ma chatte, ce que je supposais être une femme, car elle bougeait en rythme, comme si elle se faisait baiser en même temps !
Le premier homme se retira, aussitôt remplacer par un autre, et ainsi de suite. La plupart des hommes passèrent dans ma bouche et enfoncèrent leur sexe au fond de ma gorge. Je relavais ma tête de temps à autre, car le sang commençait à monter. C'était divin ! J'adorais vraiment... Je recevais parfois des caresses ou des coups sur mes seins, sur mes tétons... à force, je ne savais plus où j'étais.
Un des hommes me donna son cul à lécher en me disant "goute mon cul petite pute", ce que je fis goulument, puis remis sa queue au fond de ma gorge.

Après plusieurs minutes intenses, je me relevai tant bien que mal, et vis que tout me regarder, certaine sucer des hommes, d'autres les branler, certaines femmes se faisaient lécher leur chatte...
Une femme s'approcha de moi et m'attrapa par les cheveux, et me traina jusqu'à une femme ayant les cuisses écartées
— Commence par lui bouffait son cul, puis sa chatte
Je m'exécutais, en commençant par lui lécher l'anus, en y insérant ma langue dans celui-ci... Je sentais que la jeune femme appréciait mes coups de langue. Puis je m'attardai sur sa chatte, ou je jouais avec son bouton d'or... elle exultait

— Qui veut enculer Joséphine ? dit-elle ?
Un homme trapu s'approcha et glissa son sexe bien membré dans son anus... il rentra tout seul, et commença à faire des va et viens.
— Continue de lui lécher sa chatte, toi ! Fit-elle en plaquant mon visage sur sa chatte
Après quelques minutes intenses, il retira son sexe, et la femme qui m'avait tenu par les cheveux, m'ordonna de le sucer les mains dans le dos, ce que je fis. L'homme pris ma tête et commença des va et viens frénétique, et bloqua ma tête quand son sexe était au fond de ma gorge... je ne respirais plus, commençait à taper sur la jambe, mais il ne bougea pas... je continuais à taper de plus en plus fort, au bord de l'évanouissement, il se retira, j'inspirai une grande quantité d'air, et quelques secondes plus tard, il recommença. La femme me claquait mes fesses, tirait sur la chainette qui fit tomber les pinces, tellement qu'elle tira fort. Puis, elle cravacha mes seins et mes tétons, pendant que j'étouffais. Il rehitéra cette position pendant quelques minutes.

J'étais déjà à bout, mais la soirée ne faisait que commencer... Ils se dirigèrent vers une autre pièce, ou un portant était installé. On pouvait isser une personne je pense. Mon maitre vient me voir et me présenta Robert, un homme costaud, avec un énorme sexe.
— Je te présente Robert, un maitre expert dans la torture des seins. Je sais que tu voulais aller plus loin dans cette pratique, donc je te laisse dans ses mains...
Il s'approcha de moi en souriant... et commença d'abord par me pincer les tétons très fort, et me claquer les seins plusieurs fois de suite.
— Tu verras petite pute, je vais bien m'occuper de tes jolis seins. Tu vas kiffer, et prendre beaucoup de plaisir...
Son regard était sadique au possible, un vrai pervers.
— Merci maitre, lui dis-je en tremblant

La suite de cette soirée mémorable dans une nouvelle partie...