Leila

- Par l'auteur HDS GemmelIII -
Récit érotique écrit par GemmelIII [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Leila Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2012 dans la catégorie Fétichisme
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Leila
Il était 15h. Leila était arrivée à l’heure sur la place de la ville et attendait à
présent qu’arrive la voiture de son ami qui devait venir la chercher d’un instant à
l’autre. Leila était une jeune fille qui venait d’avoir 20 ans, elle avait la peau
mate, héritage de ses origines maghrébines, des yeux marron et un regard malicieux,
une chevelure brune tirant sur le noir tombant sur ses épaules et quelques rondeurs
qui ajoutaient à son charme. Ce jour là elle portait un haut blanc pas trop chaud mais
qui suffisait à la préserver du vent de la région, un jean bleu et des nu-pieds beige
qu’elle avait choisi spécialement pour aujourd’hui. Elle avait d’ailleurs appliquée
sur ses ongles et sur ses orteils un vernis noir profond qui ne faisait que ressortir
la couleur de sa peau. Elle attendait depuis 5 minutes quand elle vit apparaitre la
voiture rouge de son ami. « Ca y est » pensa-t-elle, « On va voir ce que ça va donner.
» Il stationna près d’elle et lui ouvrit la porte pour qu’elle puisse s’engouffrer
dans le véhicule. Son ami étai plus grand qu’elle, d’au moins une tête, il portait les
cheveux longs jusqu’en dessous des épaules, bruns, et également une barbe de trois
jours. Il portait pour l’occasion une chemise blanche à manche courte, un jean bleu et
de belles godasses noires. Une fois entrée elle lui fit la bise.

_ Salut !
_ Salut ! Tu vas bien ?
_ Impeccable. Et toi ?
_ Pareil. Je suis content de te voir.
_ Oui, moi aussi.
_ Bon et ben on est partis.

Ils roulèrent alors vers un bar dont ils connaissaient tout deux l’adresse. En chemin
ils discutèrent de choses et d’autres, des études, des copains, etc.… Mais Leila était
concentrée sur autre chose. Elle savait. Il le lui avait dis. Et cela faisait déjà pas
mal de temps. Elle scrutait son regard. Elle jubilait chaque fois qu’elle le
surprenait. Ses pieds ! Il portait son regard sur ses pieds toutes les 10 secondes.
Elle savait qu’il était fétichiste, il lui avait dis. Combien de fois lui en avait-il
fait l’éloge ? De ses jolis pieds finement sculptés. Sans vraiment en faire un atout,
elle savait qu’ils n’étaient pas mal, elle-même appréciait ses pieds taille 38 et
prenait plaisir à se les vernir fréquemment de toutes les couleurs possibles. Et
aujourd’hui elle n’avait pas choisit le noir au hasard, elle savait qu’il aimait ça.
Il suffisait qu’elle jette quelques coups d’œil à son entrejambe pour voir que ça
gonflait rapidement. « Tu les aimes mes pieds hein, pensa-t-elle. T’aimes les regarder
hein, mais si tu savais comme ça me fait plaisir que ça te fasse cet effet, de toute
façon j’ai déjà gagné, tu verras tout à l’heure. » Ils arrivèrent finalement au
bistrot ou ils burent un coup tout en discutant. Mais même durant ces instants, il ne
cessait de jeter de petits coups d’œil discrets en dessous de la table, des regards
qu’elle remarquait, elle avait même décidée de jouer un peu avec lui en enlevant ses
tongs et en bougeant ses pieds délicatement dans tout les sens afin qu’il puisse mieux
apprécier la vue. Ses orteils, sa plante de pied, ses talons, elle se donnait à fond.
Elle ne pouvait s’empêcher de penser à cette première fois ou il lui avait massé les
pieds amoureusement. Elle s’était alors parue d’un vernis bleu ciel qu’elle avait
acheté la veille. Mais elle ne s’y était pas attendue et elle se souvint des
sentiments partagés qu’elle avait eu à ce moment là, un mélange de surprise, de gêne,
mais surtout de plaisir. Un plaisir qu’elle voulait retrouver. Après avoir bus leurs
verres et que son ami ait payé les consommations, ils se dirigèrent vers la voiture.

_ Alors, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? demanda-t-elle innocemment, tout en sachant
bien ce qu’il allait lui proposer.
_ Et ben, on peut aller chez moi si tu veux ?
_ Ouais, ok ! répondit-elle tout sourire.

Ils entrèrent tout deux dans la voiture et démarrèrent aussitôt. Leila était de plus
en plus excitée et impatiente, elle lui réservait quelques surprises. Après un bon
quart d’heure de trajet, ils arrivèrent devant la maison de son ami.

_ Il n’y a personne ? demanda Leila en constatant l’absence de la seconde voiture.
_ Non. lui répondit-il. Mes parents sont partis chez des amis pour l’après-midi et ma
sœur et chez une copine.

Leila était en train d’exulter ! Aucun gêneur, c’était parfait. Ils entrèrent dans la
maison vide, et comme une évidence, se dirigèrent vers la chambre de son ami à
l’étage, tout comme la dernière fois. Mais avant ça, elle se débarrassa de ses tongs,
et put deviner la satisfaction de son ami, ça allait arriver, elle le sentait venir,
et marcher pied nu lui procura une sensation de bien être qu’elle ne pouvait pas
vraiment expliquer. Une fois entrés dans la pièce, Leila s’assit directement sur le
grand lit double et croisa les jambes.

_ Vas-y, mets toi à l’aise. Tu veux boire quelque chose ?
_ Non merci, ça ira. répondit-elle. Ca faisait un moment que je n’étais venue.
_ Oui c’est vrai. Plusieurs mois déjà.
_ Au moins.

Il y eu alors un silence qui dura quelques secondes. Quelques secondes qui, elle le
savait, lui permettait de trouver la manière d’aborder le sujet. Elle le laissa faire.

_ J’aime beaucoup ton vernis, lui dit-il finalement.

« Ca y est, nous y voila ! », pensa-t-elle.

_ Vraiment ? Merci, c’est gentil, j’hésitais entre celui-ci et le rouge tu sais.
_ Il est parfait, et il met bien tes pieds en valeur, dit-il avec un petit sourire.
_ T’es gentil.
_ Ca te dirait pas un massage ?
_ Oh, je sais pas trop, ça me fait bizarre tu sais. lui répondit-elle pour jouer un
peu.
_ Oh allez ! Je sais bien que t’as aimé la dernière fois.
_ Bon d’accord, dit-elle en lui tendant son pied droit.
_ Tu seras pas déçue, l’assura-t-il en souriant.

« Toi non plus tu vas voir. » pensa-t-elle. Il prit son pied délicatement et commença
à le masser doucement, en appuyant de manière précise sur certains points de la
plante, puis en faisant de petites remontées avec les pouces, et ce en oubliant aucune
parcelle de son peton. Leila était aux anges, elle avait attendue ça depuis si
longtemps, elle ressentait toutes ces sensations qu’elle avait voulue retrouver depuis
la dernière fois. Il passa presque dix minutes sur son pied droit avant d’entamer le
gauche.

_ Ca va ? lui demanda-t-il.
_ Ouais, c’est parfait.

Il recommença les mêmes manipulations sur son pied gauche pendant 10 minutes à peu
près également, avant de prendre les deux en même temps. C’était l’extase. Après 10
nouvelles minutes, et après avoir fait faire plusieurs tours de droite à gauche et de
gauche à droite à ses deux petons, il commença à les lâcher avec une pointe de
tristesse dans son regard, visiblement déçu que cela se termine. « Ne sois pas si
triste, pensa-t-elle, si tu savais ce qui t’attend maintenant, tu me sauterais déjà
dessus. »

_ Eh ben voila. dit-il. Travail terminé. Tu as aimé ?
_ Oui, c’était génial. dit-elle tout sourire. Mais je ne pense pas que tu ais encore
fini, tu as oublié quelque chose.
_ Ah oui ? s’étonna-t-il. Quoi donc ?
_ Le plus important.

Elle leva alors son pied droit en direction de son visage, et le cambra pour que ses
orteils soient au plus près de sa bouche.

_ Lèche moi les pieds ! ordonna-t-elle.

Son ami eu alors soudain le regard interdit, comme si il n’était pas bien sur d’avoir
entendu.

_ Pardon ?
_ Tu as très bien compris. Lèche-moi les pieds ! Je sais que t’attend ça depuis
longtemps, et moi aussi d’ailleurs ! Alors lèche !

Il regarda alternativement Leila et son pied droit qui attendait avec impatience. Et
soudain, sans plus se faire prier, il se jeta dessus, bouche grande ouverte, et
commença à sucer son gros orteil comme si sa vie en dépendait.

_ Oh oui ! Comme ça ! Vas-y, suce ! s’exclama-t-elle soudain. Plus fort… Encore plus
fort ! Vas-y, lèche bien !

Elle ne se reconnaissait plus. Elle qui d’habitude était assez timide et pas
autoritaire, se laissait complètement aller à ce délire fétichiste. Il passa alors aux
autres doigts de pied, les prenant en bouche, passant sa langue sur chacun d’entres
eux, et entre chacun d’eux. Les bruits de suçons emplissaient la pièce. Et elle aimait
ça ! Elle ressentait comme des chatouillements qui lui procuraient un plaisir qu’elle
n’aurait jamais pu imaginer. Comment pouvait-on éprouver autant de bien rien qu’en se
faisant lécher les pieds ? Elle l’ignorait, mais ce qu’elle savait, c’est que cette
expérience la comblait.

_ Continue, c’est trop bon ! T’es encore plus doué que pour les massages dis donc ! Tu
les aimes mes pieds hein ? Quand on était au lycée tu les reluquais bien, tu bandais
hein ? Ca te fait quoi de me lécher les pieds dis voir ?
_ Si tu savais ! lui dit-il entre deux léchages. Ils me rendent fou. Ils sont si
parfaits, si doux au toucher, si bien galbés, et tes ongles sont magnifiques.
_ Tu me flattes. Ne t’arrête surtout pas ! Je veux te voir me lécher les doigts de
pieds jusqu’à en épuiser ta salive ! lui ordonna-t-elle en retirant son pied droit et
en tendant le gauche.

Il recommença alors avec le gauche, accélérant ou ralentissant de temps à autre, la
léchant parfois comme un fou puis devenant délicat. Leila avait parfois de petits
soubresauts, elle commençait aussi à pousser de petits soupirs d’aise. C’était
tellement bon !

_ Suce mes orteils. Suce-les à fond. J’adore. lui dit-elle doucement, sur un ton
coquin. Tu es doué, je pensais pas que ça me ferait autant d’effet… Han ! elle
sursauta quand il lui goba de nouveau le gros orteil. Oh oui, là c’est bien, mmmh.
Attend.

Elle retira son pied gauche de sa bouche, et lui tendit de nouveau le droit.

_ Tu fais un boulot formidable avec mes doigts de pieds, mais voyons ce que ça va
donner avec ma plante. Lui annonça-t-elle en tendant son pied de telle manière que sa
plante lui était toute offerte.

Il n’hésita pas une seconde et commença à lui embrasser doucement. Puis au fur et à
mesure les baisers se firent plus appuyé, et finalement, il sortit sa langue et lui
lécha la plante du pied de haut en bas, encore et encore, avec de plus en plus de
frénésie. Leila sursautait presque à chaque instant. Il s’approcha pour coller son
visage un plus près encore. Mais Leila commençait à avoir mal à la jambe à force de la
tenir en l’air, et elle se dit qu’elle allait bientôt lâcher. Mais comme si il avait
lu dans ses pensées, ou alors peut-être avait-il ressentit qu’elle flanchait, il lui
prit la cheville et la soutint. De cette façon, il stabilisait un peu plus son pied.
Il léchait sa plante en n’oubliant aucune parcelle.

_ Oui ! Oui ! Tu me lèche fort ! Si fort ! Ce que c’est bon putain ! C’est le pied !
lâcha-t-elle. Continue ! T’es mon esclave maintenant ! Mon esclave soumis ! Et t’aimes
ça en plus, qu’est ce que tu bandes !

En effet, elle pouvait voir que l’engin de son ami semblait être plus à l’étroit dans
son jean que jamais. Elle retira le droit pour lui offrir le gauche, avec lequel il
recommença les mêmes manipulations. La salive qui couvrait peu à peu son pied lui
permettait de faire glisser sa langue de plus en plus facilement. Il descendait,
remontait, lui tourner le pied de gauche à droite, ce qui lui permettait de lécher
partout.

_ Lèche ! Lèche ! Je veux sentir ta langue ! Oui ! Comme ça ! Comme ça je la sens bien
! Ta salive partout sur mon pied, c’est génial ! Dis-moi, quel gout y ont mes pieds ?
C’est bon ?
_ C’est délicieux… Je peux même pas te dire comme j’aime. Je voudrais les bouffer
toute la journée.
_ Ca peut s’arranger. Lui dit-elle en souriant. Ha ! Ha ! Mmmmh ! J’y crois pas
encore. Tu es là, et tu me bouffe les pieds ! T’es soumis devant mes pieds. Ha ! C’est
comme un rêve. Je suis ta reine ! Tu te prosterne devant mes pieds ! Lèche esclave !

Il redoubla encore d’ardeur, visiblement excité par le fait de se savoir dominé. Il
n’attendit même pas qu’elle lui tende son autre pied, il le lui prit lui-même et
commença à les lécher tout les deux en mêmes temps en les collant l’un contre l’autre.
Ses petons étaient couverts de salive du talon jusqu’aux orteils. Il lui goba soudain
ses deux gros orteils en même temps, ce qui eu pour effet de faire sursauter la jeune
maghrébine qui se laissait complètement aller.

_ Haaaaaaaa ! C’est bon ! C’est bon ! Les deux gros doigts en même temps c’est sublime
! C’est si relaxant, et excitant surtout. Regarde-moi dans les yeux, je veux voir ton
regard pendant que tu me lèche.

Il leva les yeux vers elle pendant qu’il léchait de nouveau avec passion ses plantes.

_C’est ça. Bien ! C’est ce regard là que j’aime ! T’es dominé par une femme plus
petite que toi, et ça t’excite hein ? Et c’est moi ta maitresse ! Alors que tu es plus
grand et plus fort que moi. Mes pieds sont plus forts que toi ! J’aurais jamais cru
connaitre ça. Lèche-moi encore ! Suce mes doigts de pieds ! T’auras une récompense si
tu fais ça bien. Haaaa !
A peine avait-elle terminée sa phrase qu’elle se contracta, il venait de lui mordiller
le talon ! Une résistance ? Ou une autre façon de faire ?

_Haa ! Tu essayes de me combattre ? Mais tu ne peux pas gagner. Mmh ! Mmh ! Mmmmh !
Très bien… On va passer à la phase finale.
_ Comment ça ? Quelle phase finale ?
_ Tu vas comprendre.

Elle retira ses pieds de son visage et vint s’approcher de lui. Elle lui palpa alors
l’entrejambe.

_ On ne va pas laisser ça comme ça n’est-ce pas ? Mes pieds peuvent être utile à autre
chose qu’à marcher tu sais.

Elle commença alors à déboutonner le jean de son ami. Mais après le deuxième bouton il
lui prit la main et la stoppa.

_ Ca, je peux le faire moi-même je crois.
_ Oh, tu prends les devants. constata-t-elle en souriant. Très bien, je te laisse
faire.

Elle se recula et le laissa finir de déboutonner les derniers boutons. Il enleva son
jean et le jeta par terre. Il lui restait encore son caleçon et Leila pouvait voir
déjà que le travail accomplit jusqu’ici avait porté ses fruits. Il retira donc la
dernière barrière de tissus et pu laisser son engin à l’air libre et au garde à vous.
C’était un bel instrument d’au moins 17 centimètres qu’il décalotta sans plus
attendre. Leila le fixait avec intérêt.

_ Maintenant voyons voir si tu travaille aussi bien que moi, la provoqua-t-il en
s’asseyant jambes écartées en face d’elle.
_ Hum, je pense que tu ferais mieux de ne pas parler trop vite. Tu risque de ne pas
assez profiter, se moqua-t-elle.

Elle avança son pied droit vers son pénis et le plaqua contre son ventre avec sa
plante. Elle commença doucement à aller de bas en haut et de haut en bas tout en
accentuant la pression petit à petit. Au bout de 5 minutes, son ami était déjà en
train de se dandiner de plaisir.

_ Haa ! Ouais ! La vache… c’est super ! En plus avec ton pied mouillé ça glisse super
bien !
_ T’aimes, hein ? Tu te rends compte que j’écrase ta bite sous mon pied, et toi t’en
redemande ! Oh c’est trop bien d’avoir un homme à ses pieds ! Et comme ça, t’aimes ?

Elle cala le pénis de son ami entre son gros doigt de pied et son deuxième orteil,
c’était moins facile pour monter et descendre étant donné qu’il avait du mal à rester
en place, mais ça produisait son petit effet. Elle continua comme ça 2-3 minutes.

_ Ooooh c’est trop bon ! Stop ! Je sens que je vais jouir si tu continue comme ça !
_ Ah oui ? Comme c’est intéressant. Eh bien alors on va finir en beauté.

Elle décoinça l’engin d’entre ses deux doigts de pied, puis plia les deux jambes sur
le coté et approcha ses deux voutes plantaires de telle manière qu’elle entourait le
membre tendu des deux cotés. Elle recommença ses va et viens incessants, de plus en
plus rapidement au fur et à mesure que son ami poussait des soupirs de plus en plus
forts. Au bout de quelques minutes, il commençait à être à bout.

_ Haa ! Haa ! Haa ! Haa ! Leila ! J’en peux plus ! Je vais jouir !
_ Vas-y ! Jouis tout ce que tu as ! Jouis grâce à mes pieds ! C’est mes pieds
recouverts de ta salive qui vont te faire jouir !
_ Ha ! Ha ! Ha ! Haaaaa ! Ca vient !

Soudain surgit un long jet de liquide blanc qui vint s’écraser sur les jambes de
Leila. Suivit d’un autre, et encore un autre. Ce n’est pas moins de 5 jets qui
giclèrent du pénis de son ami pour atterrir à différents endroits. Les 2 amis étaient
fatigués mais on lisait la satisfaction dans leurs regards.

_ Visiblement t’as aimé. dit Leila, moqueuse.
_ C’était génial. J’espère qu’il y en aura d’autres des comme ça, avoua-t-il tout en
se saisissant de nouveaux des pieds de la jeune maghrébine pour les lécher
délicatement.
_ Ca peut se faire. Mais la prochaine fois mon petit esclave, il faudra me faire jouir
aussi. lui dit-elle avec un clin d’œil.

Les avis des lecteurs

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dommage, il ne vouvoie pas la beurette, pourquoi?

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il n y a pas quoi dire seulement génial

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Je suis fétichiste mais je n'aime pas la domination. Bon récit quand même, sans la domination ce serait parfait.

Histoire Erotique
Tu devrais plus decrire le léchage d'orteils quand sa langue passe entre les
interstices
Ce que leila eprouve alors
Jaime les orteils les beaux pieds feminins bien propres. C'est exitant c clair.
Aucune relation sexuelle sans un petit orteil en bouche ;)

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Ce que j'aimerais un footjob

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Bonjour

Moi ma femme m'écrase le sexe et les testicules avec son pied droit, pendant que je lui fais une langue, nous adorons tout les deux.

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tros fort il as de la chanse moi oci jeve léché les pied de ma famme

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Jai bien envie de voir les pied

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Genial, mais la prochaine fois peux tu faire en sorte que le garçon soit soumis genre
comme un chien, enfin poussé plus loin l'idée de domination afin de rajouter encore
plus d'intensité dans ton écrit ! Sinon continu ainsi et vivement la suite! :D

Histoire Erotique
Excellent!!

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Humm, une jeune beurette dominatrice et autoritaire, quel chance d'être à ses pieds
Continu, je fantasme sur les jeune fille dominatrice, les beurettes, les pieds, il y a
tout dans ton récit,
Vivement la suite

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Vivement la suite



Texte coquin : Leila
Histoire sexe : Une rose rouge
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