Lendemain chaud
Récit érotique écrit par Blowout [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Lendemain chaud
J’ai commencé le travail mais j’ai envie d’un café. Je me lève en pensant à toi et ton humeur coquine de ce matin. Les caresses toute douce sur mon sexe au réveil. Tes baisers langoureux. Je décide de te faire également un café. Tu dois en avoir besoin après cette fin de soirée tardive où nous avons encore pu jouir l’un et l’autre. Je sens encore le goût de ton sexe. Je le vois encore avec mon foutre qui dégouline par de long filet depuis ta vulve et tes lèvres. Tu en auras besoin. Et me voilà parti dans la préparation de deux cafés corsés.
Je monte les escaliers. Peut-être te doutais tu en entendant le moulin que je préparais du café ? Peut-être l’odeur de ces arômes sont parvenus jusqu’à toi ? Peut-être as-tu entendu les marches de l’escalier grincer ? Quoiqu’il en soit, n’ayant pas encore atteint les dernières marches, je vois tes jambes couvertes de bas. Je vois le bas de ta longue robe. Je vois ton absence de culotte. Je vois tes doigts qui la remplace. Ton majeur allant et venant du fond de ton vagin jusqu’à ton clitoris gonflé et écarlate. J’entends le clapotis que produit ton doigt à chacun de tes allers et retours. J’entends ta respiration. De ma main libre, je passe entre les barreaux du garde-corps. Et je viens te faire tressaillir en glissant à l’orée de tes bas et de ta peau. Ce contact impromptu plutôt que de stopper semble t’attiser. De ton index et ton majeur tu viens frotter ton clitoris maintenant énorme pendant quelques instants. Puis tu t’enfonces les deux doigts au creux de ta chatte. Tu te branles avec tes deux doigts bien au fond.
Je n’ai pas pour autant oublié ton café. Même si mon érection aurait pu l’éloigner de mon esprit. J’abandonne ta cuisse et les spectacles de tes jambes bien écartées. Je pose le café sur ton bureau en te remerciant pour le spectacle. Je pose un baiser sur tes lèvres. Et te murmure à l’oreille que tu te comportes comme une naughty girl et je te souhaite une bonne dégustation. Je pense aussi bien au café qu’à la jouissance qui se profile.
Je m’apprête à redescendre mais tu m’arrêtes. Tu arrêtes de te branler. Tu sors tes deux doigts dans un petit bruit de succion de ta chatte. Et tu les portes à mes lèvres. Je constate au goût de tes doigts que tu mouilles énormément. Mes doigts partent constater ce que ma langue a déjà deviné. Tu es trempée. Je me relève pour partir malgré tout. Alors tu baisses mon pantalon et gobes mon sexe comme une gourmande affamée. Tu fais de long va et vient rapide sur ma queue. Je te stoppe et te lève en te prenant par la main.
Je te tournes pour te mettre dos à moi. Puis je te pousse contre le mur. Je t’écarte les jambes. Je remonte ta robe au dessus de tes fesses. Ma respiration est forte lorsque je viens coller ma bosse contre tes fesses et te murmurer si tu en veux comme hier soir. Tu gémis un oui plus que tu ne le prononces. Tout en embrassant dans le cou, te dévorant, te disant mes je t’aime, je frotte ma grosse queue d’autant plus large que par le spectacle que tu viens de m’offrir. Puis je presse mon gland contre ton clitoris ce qui te fait tressaillir et un peu plus écarter les jambes. Je n’avais pas besoin de cette invitation supplémentaire pour glisser mon sexe d’une poussée rectiligne au fond de ta chatte. Un petit hoquet de ta part vient ponctuer le mouvement. Peut-être as-tu rendu mon sexe plus large que ce que tu l’imaginais ? Malgré tout, tu pousses tes fesses vivement en arrière pour que je sois bien au fond de toi. Un nouvel hoquet viens ponctuer le mouvement. Tu m’as fait atteindre le fond de toi. Il s’ensuit de nombreux aller-retour de ma queue dans ta chatte alternant entre coup de rein profond et rapide avec des moments plus lents et plus longs. Je sens au bout d’un moment tes doigts autour de ma queue. Je regarde dans le miroir. Aux assauts de mon sexe, tu ajoutes les caresses de tes doigts sur ton clitoris.
Je ne sais pas ce qui t’auras excitée le plus de tes doigts, de la situation, de ma queue bien large. Quoique qu’il en soit tu libères un flot de ton sexe qui vient tremper ta main, mes jambes et le sol. Je profite du moment pour sortir mon sexe, enlever ta robe. Je te soulève par les fesses pour te faire descendre sur mon sexe. Tes jambes armées de tes jolis bas blancs augmentent mon excitation. Après quelques va et vient en te soulevant de mes bras, je te porte jusqu’au lit et t’étale de tout long sur les couvertures. Tu es nu devant moi, ma queue bien calée au creux de toi. Nous voilà parti pour quelques instants de missionnaire. Mais tu n’en peux plus. Tu veux que je crache au fond de ton vagin ma semence. Tu veux sentir mon foutre dégouliné à nouveau le long de tes cuisses. Comme hier soir. Tu me pousses pour m’allonger sur le dos. Et tu enfourches ma queue. Et tu enfournes ma queue. Tu sais ce que tu veux. Tu te penches pour aspirer mes tétons, les mordiller, les lécher. Tu utilises un langage plus cru. « Vas-y enfonce la bien ta grosse bite. Crache ton jus au fond de moi. Fourres moi bien la chatte.» Je ne suis pas en reste. Je te pétri fermement le cul. Des deux mains. Comme tu l’aimes à ce moment-là. Je te dis que tu es vraiment ma naughty girl. L’effet combiné de toutes ces sollicitations te font encore accélérer les mouvements de bassin. Je n’en peux plus. Sous la pression de tes lèvres sur mon téton et de tes lèvres autour de ma queue, je libère par de long jet puissant mon foutre au creux de ta chatte. Sentant mon sexe vibrer au cœur de toi, tu accélères tes coups de rein et tu réussis à jouir en criant ton plaisir. Tu t’écroules sur moi haletante. Je t’étends à mes côtés en te caressant tout ton corps, en l’effleurant du bout des doigts. Je descend entre tes jambes écartées contempler ce sperme qui dégouline tout doucement de ta chatte. J’y porte un doigt pour continuer à te stimuler et à l’étaler sur ta jolie touffe. Peut-être viendrais-je la dévorer ensuite ?
Je monte les escaliers. Peut-être te doutais tu en entendant le moulin que je préparais du café ? Peut-être l’odeur de ces arômes sont parvenus jusqu’à toi ? Peut-être as-tu entendu les marches de l’escalier grincer ? Quoiqu’il en soit, n’ayant pas encore atteint les dernières marches, je vois tes jambes couvertes de bas. Je vois le bas de ta longue robe. Je vois ton absence de culotte. Je vois tes doigts qui la remplace. Ton majeur allant et venant du fond de ton vagin jusqu’à ton clitoris gonflé et écarlate. J’entends le clapotis que produit ton doigt à chacun de tes allers et retours. J’entends ta respiration. De ma main libre, je passe entre les barreaux du garde-corps. Et je viens te faire tressaillir en glissant à l’orée de tes bas et de ta peau. Ce contact impromptu plutôt que de stopper semble t’attiser. De ton index et ton majeur tu viens frotter ton clitoris maintenant énorme pendant quelques instants. Puis tu t’enfonces les deux doigts au creux de ta chatte. Tu te branles avec tes deux doigts bien au fond.
Je n’ai pas pour autant oublié ton café. Même si mon érection aurait pu l’éloigner de mon esprit. J’abandonne ta cuisse et les spectacles de tes jambes bien écartées. Je pose le café sur ton bureau en te remerciant pour le spectacle. Je pose un baiser sur tes lèvres. Et te murmure à l’oreille que tu te comportes comme une naughty girl et je te souhaite une bonne dégustation. Je pense aussi bien au café qu’à la jouissance qui se profile.
Je m’apprête à redescendre mais tu m’arrêtes. Tu arrêtes de te branler. Tu sors tes deux doigts dans un petit bruit de succion de ta chatte. Et tu les portes à mes lèvres. Je constate au goût de tes doigts que tu mouilles énormément. Mes doigts partent constater ce que ma langue a déjà deviné. Tu es trempée. Je me relève pour partir malgré tout. Alors tu baisses mon pantalon et gobes mon sexe comme une gourmande affamée. Tu fais de long va et vient rapide sur ma queue. Je te stoppe et te lève en te prenant par la main.
Je te tournes pour te mettre dos à moi. Puis je te pousse contre le mur. Je t’écarte les jambes. Je remonte ta robe au dessus de tes fesses. Ma respiration est forte lorsque je viens coller ma bosse contre tes fesses et te murmurer si tu en veux comme hier soir. Tu gémis un oui plus que tu ne le prononces. Tout en embrassant dans le cou, te dévorant, te disant mes je t’aime, je frotte ma grosse queue d’autant plus large que par le spectacle que tu viens de m’offrir. Puis je presse mon gland contre ton clitoris ce qui te fait tressaillir et un peu plus écarter les jambes. Je n’avais pas besoin de cette invitation supplémentaire pour glisser mon sexe d’une poussée rectiligne au fond de ta chatte. Un petit hoquet de ta part vient ponctuer le mouvement. Peut-être as-tu rendu mon sexe plus large que ce que tu l’imaginais ? Malgré tout, tu pousses tes fesses vivement en arrière pour que je sois bien au fond de toi. Un nouvel hoquet viens ponctuer le mouvement. Tu m’as fait atteindre le fond de toi. Il s’ensuit de nombreux aller-retour de ma queue dans ta chatte alternant entre coup de rein profond et rapide avec des moments plus lents et plus longs. Je sens au bout d’un moment tes doigts autour de ma queue. Je regarde dans le miroir. Aux assauts de mon sexe, tu ajoutes les caresses de tes doigts sur ton clitoris.
Je ne sais pas ce qui t’auras excitée le plus de tes doigts, de la situation, de ma queue bien large. Quoique qu’il en soit tu libères un flot de ton sexe qui vient tremper ta main, mes jambes et le sol. Je profite du moment pour sortir mon sexe, enlever ta robe. Je te soulève par les fesses pour te faire descendre sur mon sexe. Tes jambes armées de tes jolis bas blancs augmentent mon excitation. Après quelques va et vient en te soulevant de mes bras, je te porte jusqu’au lit et t’étale de tout long sur les couvertures. Tu es nu devant moi, ma queue bien calée au creux de toi. Nous voilà parti pour quelques instants de missionnaire. Mais tu n’en peux plus. Tu veux que je crache au fond de ton vagin ma semence. Tu veux sentir mon foutre dégouliné à nouveau le long de tes cuisses. Comme hier soir. Tu me pousses pour m’allonger sur le dos. Et tu enfourches ma queue. Et tu enfournes ma queue. Tu sais ce que tu veux. Tu te penches pour aspirer mes tétons, les mordiller, les lécher. Tu utilises un langage plus cru. « Vas-y enfonce la bien ta grosse bite. Crache ton jus au fond de moi. Fourres moi bien la chatte.» Je ne suis pas en reste. Je te pétri fermement le cul. Des deux mains. Comme tu l’aimes à ce moment-là. Je te dis que tu es vraiment ma naughty girl. L’effet combiné de toutes ces sollicitations te font encore accélérer les mouvements de bassin. Je n’en peux plus. Sous la pression de tes lèvres sur mon téton et de tes lèvres autour de ma queue, je libère par de long jet puissant mon foutre au creux de ta chatte. Sentant mon sexe vibrer au cœur de toi, tu accélères tes coups de rein et tu réussis à jouir en criant ton plaisir. Tu t’écroules sur moi haletante. Je t’étends à mes côtés en te caressant tout ton corps, en l’effleurant du bout des doigts. Je descend entre tes jambes écartées contempler ce sperme qui dégouline tout doucement de ta chatte. J’y porte un doigt pour continuer à te stimuler et à l’étaler sur ta jolie touffe. Peut-être viendrais-je la dévorer ensuite ?
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