Les amants
Récit érotique écrit par Lisa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les amants
Mais comment avait-elle pu en arriver là ? Au milieu d'un bois, nue, attachée, écartelée, dilatée et pleine de foutre, son amant à coté d'elle dans le même état...
La cause était classique, le résultat......
Mariée depuis 5 ans à un routier international, Lisa avait rapidement prit un amant pour ses nuits de solitude. Ce qu'ils pouvaient rire en pensant que ce nigaud de mari croyait que ses guêpières et autres nuisettes affriolantes lui étaient destinées....
Et puis ce soir, la cata ! Son mari était rentré à l'improviste. Voyant une voiture inconnue dans l'allée, il avait ouvert avec ses propres clés, et les avait surpris en pleine sodomie ! Lui à qui elle avait toujours refusé l'entrée de son petit trou, juste par mauvais esprit, puisque c'était par là qu'elle jouissait le plus !
Toute tentative d'explication aurait été inutile, bien sur. Elle avait attendu qu'il explose et la mette à la porte.
Non ! Rien de cela ! Et pourtant c'eut été préférable.....
La rage froide s'était peinte sur le visage de son mari, qui s'était assis, ne les quittant pas des yeux tandis qu'ils ne savaient quelle contenance prendre. Elle voyait qu'il réfléchissait à une vengeance....Soudain, il leur avait ordonné de se rhabiller. Il avait pris le petit pistolet qu'il avait offert à Lisa pour se défendre au cas où pendant ses absences, l'avait chargé et mis dans sa poche.
- Maintenant, vous m'obéissez où je vous tue ! Vous aimez la baise ? Vous allez être servis ! Ne bougez pas d'ici, vous êtes prévenus, à la moindre incartade, je tire !
Après 5 bonnes minutes, il était revenu, leur ordonnant de le suivre. Il les avait fait monter en voiture, et Lisa avait compris ce qu'il avait fait : démonter la CB du camion pour l'avoir avec eux.
Une fois le moteur démarré, il avait verrouillé les portières, réglé la fréquence de la CB et tendu le micro à Lisa.
- Tu répètes après moi, si tu ne le fais pas....La menace était évidente !
- Nounours40 à tous les collègues passant dans les Landes. C'est sa femme au micro. Il vient d'avoir la preuve que je suis une salope. Quitte à être cocu, il veut vous en faire profiter. Nous vous donnons rdv sur l'aire de ..... Il a une surprise pour vous.
Elle avait répété d'une voix blanche, pressentant ce qui allait se passer. Mais elle était loin d'imaginer ce que serait la surprise....
Arrivés sur l'aire de repos en question, 3 camions étaient déjà garés, ils en étaient sans doute plus près qu'eux quand le message avait été diffusé. Son mari avait demandé à l'un d'entre eux d'attendre les collègues pour les orienter vers le lieu de sa vengeance, en lui disant de se faire remplacer par un nouvel arrivant pour pouvoir profiter aussi. Le gars lui avait demandé quand ils devaient arrêter d'envoyer des collègues, les routiers étant nombreux à cette heure de la nuit. Il avait lui même été surpris quand le mari de Lisa lui avait répondu qu'il y en aurait pour tout le monde pendant au moins 3 heures.
Puis, accompagné des 2 autres, il avait dirigé Lisa et Mario, son amant, vers une clairière suffisamment à l'écart pour n'être ni vus ni entendus de l'aire de repos.
- A poil ! Tous les deux !
Mario, surpris, ouvrit de grands yeux en se montrant de l'index.
- Oui, toi aussi !
C'était le début de l'hiver, il commençait à faire froid mais la pitié était absente de son regard. Ce que Lisa n'avait pas vu pendant qu'il les faisait attendre, c'est qu'il avait pris aussi un rouleau de corde à faire les paquets. Il venait de le sortir, et leur dit, à elle et Mario, de s'approcher d'un arbre qui était couché de travers. Etait-ce le froid ou la peur en commençant à comprendre ce qui les attendait qui les faisait grelotter ? Sans doute les deux.
- Tendez les mains en avant ! Il les attrapa et les attacha solidement à l'arbre. Puis il passa derrière eux, et les positionna cambrés jambes écartées, orifices exposés, ajoutant l'humiliation de l'impuissance à celle de la nudité.
- Vous aimez baiser, vous allez être servis ! Attrapant Lisa par les cheveux : toi, espèce de putain, puisque t'as l'air d'avoir appris à te faire baiser le cul, tu vas y avoir droit en plus du reste, et toi, puisque t'aime enculer, tu vas voir ce que ça fait!
Les deux autres routiers, après avoir été surpris, avaient maintenant des regards lubriques, prêts à ouvrir leur pantalon. D'autres commençaient à arriver. Mario avait blêmi autant que Lisa.
Le mari de Lisa les encouragea : - Occupez vous d'abord de cette pute ! Moi, je vais me faire un plaisir de vous ouvrir la voie de son gigolo !
En disant cela, il sorti son membre qui était resté mou, sous l'effet de sa colère. Il attrapa la tête de Mario, la redressa, et lui enfonça sa pine dans la bouche.
- Suce, t'as voulu baiser la femme, t'as le mari en prime ! Et t'as intérêt à bien me faire bander si tu veux rester vivant ! Il lui tenait la tête pour lui éviter de se débattre.
Les autres avaient commencé à se branler, et devant la tournure des choses, ils n'hésitèrent plus, l'un se calant dans la bouche de Lisa tandis qu'un autre lui pénétrait la chatte.
- Mais elle aime ça cette salope! Elle est trempée !
Pendant ce temps, son amant s'efforçait de faire grossir un membre qui commençait à l'étouffer, les va et vient de sa tête étant brutalement imposés par le mari de Lisa. Quand celui-ci estima qu'il était assez dur, il se retira, fit le tour de sa victime, et commença à lui doigter le cul. Entre temps, d'autres chauffeurs arrivaient encore, et quand Mario commença à crier son refus du doigt qui le forçait, son tortionnaire fis signe à un collègue de le faire taire en lui imposant une nouvelle fellation.
- Je vais lui donner le goût de se faire baiser par des hommes pour lui faire passer celui de baiser ma femme!
Et en disant cela, ayant craché dessus pour un semblant de préparation, il s'enfonça d'un coup dans l'anus de Mario, lui labourant férocement les entrailles en encourageant celui qui lui baisait la bouche à juter dedans.
Pendant ce temps, Lisa était prise aussi, mais elle appréciait plus que son amant, ayant décidé d'y prendre du plaisir plutôt que de subir. Son mari ayant encouragé les autres à lui défoncer le cul puisqu'elle avait l'air d'aimer ça, elle ne put s'empêcher de jouir plusieurs fois pendant qu'il se dilatait à force d'être limé.
Son mari ayant pilonné le cul de Mario autant qu'il le pouvait, lui giclât dedans avant de se retirer, non sans avoir demandé à un autre homme de le remplacer aussitôt.
- Je veux les voir dilatés de tous les trous ! Amusez vous, profitez-en, jutez leur dessus et dedans à cette poufiasse et son PD, puisqu'une fois qu'on aura fini, lui aussi sera mûr pour servir de vide-couilles!
C'était primaire, c'était bestial, ni Lisa ni Mario n'auraient pu dire combien d'hommes s'étaient servis d'eux quand ce fus fini....Leurs seules sensations étaient de sentir leurs orifices béants, avoir les lèvres endolories, le goût de sperme dans la bouche ( combien avaient déchargé dans leur gorge ? ), leurs corps, leurs cheveux poisseux de foutre....
Le mari de Lisa avait finit par arrêter quand il avait vu que ses deux victimes n'arrivaient plus à tenir sur leurs jambes, il les avait alors détachées d'un coup de canif avant de leur jeter leurs vêtements.
- Rhabillez -vous, sacs à foutre! J'en ai pas fini avec vous ! Toi , la putain, je vais me débrouiller pour que dorénavant quand je suis absent il y ai toujours un collègue de passage pour te surveiller, et il aura ma permission de te baiser. J'ai bien dit "baiser" comme une trainée que tu es! Quand à toi, Roméo cul en fleur, t'auras intérêt à ramener tes miches dès que je te le demanderais, si tu veux continuer à voir cette salope vivante ! J'ai des copains qui détestent pas se faire pomper et tringler une lopette!
C'est ainsi que Lisa et Mario, d'amants insouciants, sont passés au statut d'esclaves sexuels, mais ceci est une autre histoire...
La cause était classique, le résultat......
Mariée depuis 5 ans à un routier international, Lisa avait rapidement prit un amant pour ses nuits de solitude. Ce qu'ils pouvaient rire en pensant que ce nigaud de mari croyait que ses guêpières et autres nuisettes affriolantes lui étaient destinées....
Et puis ce soir, la cata ! Son mari était rentré à l'improviste. Voyant une voiture inconnue dans l'allée, il avait ouvert avec ses propres clés, et les avait surpris en pleine sodomie ! Lui à qui elle avait toujours refusé l'entrée de son petit trou, juste par mauvais esprit, puisque c'était par là qu'elle jouissait le plus !
Toute tentative d'explication aurait été inutile, bien sur. Elle avait attendu qu'il explose et la mette à la porte.
Non ! Rien de cela ! Et pourtant c'eut été préférable.....
La rage froide s'était peinte sur le visage de son mari, qui s'était assis, ne les quittant pas des yeux tandis qu'ils ne savaient quelle contenance prendre. Elle voyait qu'il réfléchissait à une vengeance....Soudain, il leur avait ordonné de se rhabiller. Il avait pris le petit pistolet qu'il avait offert à Lisa pour se défendre au cas où pendant ses absences, l'avait chargé et mis dans sa poche.
- Maintenant, vous m'obéissez où je vous tue ! Vous aimez la baise ? Vous allez être servis ! Ne bougez pas d'ici, vous êtes prévenus, à la moindre incartade, je tire !
Après 5 bonnes minutes, il était revenu, leur ordonnant de le suivre. Il les avait fait monter en voiture, et Lisa avait compris ce qu'il avait fait : démonter la CB du camion pour l'avoir avec eux.
Une fois le moteur démarré, il avait verrouillé les portières, réglé la fréquence de la CB et tendu le micro à Lisa.
- Tu répètes après moi, si tu ne le fais pas....La menace était évidente !
- Nounours40 à tous les collègues passant dans les Landes. C'est sa femme au micro. Il vient d'avoir la preuve que je suis une salope. Quitte à être cocu, il veut vous en faire profiter. Nous vous donnons rdv sur l'aire de ..... Il a une surprise pour vous.
Elle avait répété d'une voix blanche, pressentant ce qui allait se passer. Mais elle était loin d'imaginer ce que serait la surprise....
Arrivés sur l'aire de repos en question, 3 camions étaient déjà garés, ils en étaient sans doute plus près qu'eux quand le message avait été diffusé. Son mari avait demandé à l'un d'entre eux d'attendre les collègues pour les orienter vers le lieu de sa vengeance, en lui disant de se faire remplacer par un nouvel arrivant pour pouvoir profiter aussi. Le gars lui avait demandé quand ils devaient arrêter d'envoyer des collègues, les routiers étant nombreux à cette heure de la nuit. Il avait lui même été surpris quand le mari de Lisa lui avait répondu qu'il y en aurait pour tout le monde pendant au moins 3 heures.
Puis, accompagné des 2 autres, il avait dirigé Lisa et Mario, son amant, vers une clairière suffisamment à l'écart pour n'être ni vus ni entendus de l'aire de repos.
- A poil ! Tous les deux !
Mario, surpris, ouvrit de grands yeux en se montrant de l'index.
- Oui, toi aussi !
C'était le début de l'hiver, il commençait à faire froid mais la pitié était absente de son regard. Ce que Lisa n'avait pas vu pendant qu'il les faisait attendre, c'est qu'il avait pris aussi un rouleau de corde à faire les paquets. Il venait de le sortir, et leur dit, à elle et Mario, de s'approcher d'un arbre qui était couché de travers. Etait-ce le froid ou la peur en commençant à comprendre ce qui les attendait qui les faisait grelotter ? Sans doute les deux.
- Tendez les mains en avant ! Il les attrapa et les attacha solidement à l'arbre. Puis il passa derrière eux, et les positionna cambrés jambes écartées, orifices exposés, ajoutant l'humiliation de l'impuissance à celle de la nudité.
- Vous aimez baiser, vous allez être servis ! Attrapant Lisa par les cheveux : toi, espèce de putain, puisque t'as l'air d'avoir appris à te faire baiser le cul, tu vas y avoir droit en plus du reste, et toi, puisque t'aime enculer, tu vas voir ce que ça fait!
Les deux autres routiers, après avoir été surpris, avaient maintenant des regards lubriques, prêts à ouvrir leur pantalon. D'autres commençaient à arriver. Mario avait blêmi autant que Lisa.
Le mari de Lisa les encouragea : - Occupez vous d'abord de cette pute ! Moi, je vais me faire un plaisir de vous ouvrir la voie de son gigolo !
En disant cela, il sorti son membre qui était resté mou, sous l'effet de sa colère. Il attrapa la tête de Mario, la redressa, et lui enfonça sa pine dans la bouche.
- Suce, t'as voulu baiser la femme, t'as le mari en prime ! Et t'as intérêt à bien me faire bander si tu veux rester vivant ! Il lui tenait la tête pour lui éviter de se débattre.
Les autres avaient commencé à se branler, et devant la tournure des choses, ils n'hésitèrent plus, l'un se calant dans la bouche de Lisa tandis qu'un autre lui pénétrait la chatte.
- Mais elle aime ça cette salope! Elle est trempée !
Pendant ce temps, son amant s'efforçait de faire grossir un membre qui commençait à l'étouffer, les va et vient de sa tête étant brutalement imposés par le mari de Lisa. Quand celui-ci estima qu'il était assez dur, il se retira, fit le tour de sa victime, et commença à lui doigter le cul. Entre temps, d'autres chauffeurs arrivaient encore, et quand Mario commença à crier son refus du doigt qui le forçait, son tortionnaire fis signe à un collègue de le faire taire en lui imposant une nouvelle fellation.
- Je vais lui donner le goût de se faire baiser par des hommes pour lui faire passer celui de baiser ma femme!
Et en disant cela, ayant craché dessus pour un semblant de préparation, il s'enfonça d'un coup dans l'anus de Mario, lui labourant férocement les entrailles en encourageant celui qui lui baisait la bouche à juter dedans.
Pendant ce temps, Lisa était prise aussi, mais elle appréciait plus que son amant, ayant décidé d'y prendre du plaisir plutôt que de subir. Son mari ayant encouragé les autres à lui défoncer le cul puisqu'elle avait l'air d'aimer ça, elle ne put s'empêcher de jouir plusieurs fois pendant qu'il se dilatait à force d'être limé.
Son mari ayant pilonné le cul de Mario autant qu'il le pouvait, lui giclât dedans avant de se retirer, non sans avoir demandé à un autre homme de le remplacer aussitôt.
- Je veux les voir dilatés de tous les trous ! Amusez vous, profitez-en, jutez leur dessus et dedans à cette poufiasse et son PD, puisqu'une fois qu'on aura fini, lui aussi sera mûr pour servir de vide-couilles!
C'était primaire, c'était bestial, ni Lisa ni Mario n'auraient pu dire combien d'hommes s'étaient servis d'eux quand ce fus fini....Leurs seules sensations étaient de sentir leurs orifices béants, avoir les lèvres endolories, le goût de sperme dans la bouche ( combien avaient déchargé dans leur gorge ? ), leurs corps, leurs cheveux poisseux de foutre....
Le mari de Lisa avait finit par arrêter quand il avait vu que ses deux victimes n'arrivaient plus à tenir sur leurs jambes, il les avait alors détachées d'un coup de canif avant de leur jeter leurs vêtements.
- Rhabillez -vous, sacs à foutre! J'en ai pas fini avec vous ! Toi , la putain, je vais me débrouiller pour que dorénavant quand je suis absent il y ai toujours un collègue de passage pour te surveiller, et il aura ma permission de te baiser. J'ai bien dit "baiser" comme une trainée que tu es! Quand à toi, Roméo cul en fleur, t'auras intérêt à ramener tes miches dès que je te le demanderais, si tu veux continuer à voir cette salope vivante ! J'ai des copains qui détestent pas se faire pomper et tringler une lopette!
C'est ainsi que Lisa et Mario, d'amants insouciants, sont passés au statut d'esclaves sexuels, mais ceci est une autre histoire...
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