Les avances d'une voisine - histoire érotique

C'est vers la fin de l'après midi que je me met nue. J'attends normalement mon époux. C'est devenu un rituel entre nous. Je me met à sa disposition dès son arrivée pour deux fois seulement. Pour le reste, c'est moi qui dirige.
Aujourd’hui il a du retard : un travail supplémentaire :: il ne sera là que vers 23 heures .Mais étant nue, dans de bonne conditions érotique, je n'attends pas longtemps pour être toute mouillée. Je m'assoie sur le divan, mes jambes, les coquines s'ouvrent seules. Je pense que n'importe qui, ma voisine d'en face, pourrait voir ma petit forêt et même ma foufoune qui me démange.
Ah, si quelqu'un pouvait me voir et me manquer de respect partout. C'est vrai que mon mec n'est pas un foudre de guerre même s'il a une belle et grosse bite.
En pensant d'autre sexe que le sien, je vois des bites énormes, même de foufounes toutes mouillées à ma disposition.
C'est vrai pourquoi ne pas céder aux avance d'un voisine à peine éloignée, jolie comme un cœur, qui me fait de grands sourires. Elle ne me déplairait pas dans mon lit ou le sien.Je vais essayer de me faire lever par elle, par curiosité pour voir ce que font de caresses de femmes !
Normalement je la vois demain matin aux courses.
Bien sur qu'elle me sourit, bien sur que je réponds, bien sur que je dis oui quand elle me demande d'aller chez elle pour l'après midi.
C'est coquet, bien décoré, surtout avec des photos très grand format d'elle, nue sur les murs. Elle est belle, attirante, désirable.
C'est ce que lui dit quand elle me demande comment je trouve sa décoration intérieure.
Sans attendre, elle me prend dans ses bars, je me défends un peu avant qu'elle revienne à la charge. Même si elle me veut, elle sait y mettre de la douceur. Elle ne fait pas comme mon époux qui me force presque pour tirer un coup raté d'avance qui pour moi se termine par une masturbation.
Elle finit par me dompter : je suis contre elle, enlacée mieux qu'avec mon mari. Je sens ses formes contre moi, elle m'excite doucement. Je vais succomber. Quand sa bouche se pose sur la mienne, je répond aux baisers.
Ces lèvres sont douces, sa salive agréable. Ses seins sont durs contre les miens qui ne semblent même plus exister. Elle pose ses mains sur mes fesses, chose que mon mari ne m'a jamais fait. Ça m'excite encore un peu. Si elle continu, ma culotte sera bonne à jeter. Elle arrête tout, me fait asseoir, m'offre enfin un café. Le temps de déguster le café, elle me prend par les épaules, me regarde avec des yeux envieux. Je sais d'avance ce qu'elle me veut, je sais aussi que je vais lui dire oui, j'en parlerais meme à mon mari, après. Il sera jaloux, tant mieux.
Elle me fait visiter son appartement, un grand arret dan la chambre toujours décorée de ses nues de lus en plus érotiques, puisqu'elle montre grande ouverte sa chatte.
- Vous avez du payer bien cher ces photos ?
- Non, je l'ai payé en trois fois.
- Ah ?
- Oui une fois avec ma bouche, l'autre avec mon cul et la dernière avec ce à quoi vous pensez.
Je me tais pour ne pas dire de betises.
C'est elle qui me force pour la suite. Ses mains descendent des épaules vers mes seins. Ses mains sont douces, agiles, sexy meme.
- Vous aimez les caresses d'autre femmes ?
- Je ne sais pas !
- Jamais eu de petits flirts avec une autre ?
- Non, jamais.
- Je vais t'apprendre. ( elle me tutoie d'un seule coup)
Je n'ai qu'à supporter ses lèvres sur ma bouche. Sa langue vient visiter la mienne. J'aurais du la repousser, mais quand un truc est agréable on le recommence volontiers. Elle reviens m'embrasser encore sur la bouche et là je répond franchement.
Elle remet ses mains sur les fesses, les caresse, il me semble qu'elle cherche la raie. Ah, non pas une femme, pas elle.
Elle me déshabille lentement. Il ne me reset que le minimum ; ma culotte. Elle pose nouveau sa main sur les fesses. Cette fois je vais y passer quand elle passe deux doigts ou puas, je ne sais das la raie. Elle va trouver quoi ? Un cul vierge. Un cul qui accepte ses caresses inédites pour moi. Elle masse les bord avant de forcer u peu pour y mettre deux doigts. Je reconnais l'étrangeté de la situation et le plaisir particulier de cette introduction : ce n'est pas mon mari qui le premier est venu dans mon cul, mais une étrangère bizarre.
Elle fait aller et venir le doigt, le fait sortir pour l'introduire à nouveau. Elle fait passer son doigt pour une bite ? En tout cas ça réveille en moi de vieux désirs de sodomie.
Nous sommes couchées à l'envers. J'ai mon sexe sur sa bouche : je sens son souffle sur le bas ventre. Moi, je suis comme elle, sauf que je m'étonne de vois en gros un sexe de fi
Je sens sa langue sur ma chatte, elle écarte mes poils pour venir dans mon minou. Je reste surprise du résultat : c'est bien meilleur que quand je me branle. Elle ne continue pas longtemps pour que je sois à la limite de l'explosion. Et d'un seul coup je jouis, je jouis pour la première fois ainsi : je jette un jet de mon con vers elle : je dois lui en mettre partout sur le visage sur le haut qui est mouillé.
Je voudrais recommencer, je me mets moi aussi à la lécher, tout son sexe est sur ma langue. Je lèche sans cesses jusqu'au moment ou enfin je la fais jouir. Elle ne décharge pas comme moi, dommage je me contente du goût de sa cyprine.
J'oublie de renter à la maison pour rester avec elle et nos orgasme répétitifs. Si mon mari n'est pas content, qu'il se branle un bonne fois pour toute.
Je prévois de venir souvent chez mon amante, pas seulement pour moi, mis pour son plaisir tellement bien exprimé.