Les aventures d'un bon garçon ch 1
Récit érotique écrit par Pup Orock [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures d'un bon garçon ch 1
-Qui est ce qui es un bon garçon ?
-Woof
-Oui tu as raison c'est toi qui es un bon garçon.
Le bon garçon dont il est question, c'est moi. Vous pouvez m’appeler Orock. Je suis un puppy.
Pour ceux qui ne connaissent pas laisser-moi vous expliquer.
Moi ce que j'aime c'est de mettre un masque qui me donne une tête de chien, des gants qui emprisonne toute ma main (genre gant de boxe), des genouillères et un plug en forme de queue de chien. Une fois équipé je me laisse tomber à 4 pattes et je laisse l'humain en moi disparaître. Je ne suis dès lors plus qu’un simple chiot ayant envie de jouer et de rendre mon maître heureux.
Je vais ici, vous raconter quelques histoires, parfois vrai parfois fausses, souvent entre les deux.
Chapitre 1
Lorsque j’arrive chez mon maître, j’ouvre la porte avec la clef qu’il m’a donné et, après avoir vérifié que le vase sur le meuble est bien au centre de celui-ci (notre code pour s’assurer qu’il n’y a pas d’inviter à la maison), je me déshabille complètement, pose mon téléphone à côté du fameux vase et range mes vêtements dans le tiroir de la commode. Dedans j’y trouve ce que mon maître veux me voir porter pour lui.
Mon masque de puppy, bleu marine. Un harnais de poitrine en cuir noir avec une lanière dans le dos pour pouvoir me tenir quand je suis à 4 pattes. Mes protège genoux pour pouvoir servir mon maître longtemps sans avoir mal. Des bracelets en cuir pour mes chevilles et poignets. Mes moufles noirs avec un dessin d’une patte sur le bout. Un jockstrap bleu en néoprène. Un plug de 4cm de diamètre finissant par une queue de chien. Et à mon grand déplaisir, une cage de chasteté bleu également.
Je commence par mettre le harnais, les protège genoux, les bracelets et le jockstrap avant de redescendre légèrement celui-ci en d’enfermer ma queue. Heureusement après cela je peux me faire un petit plaisir en me plaçant ma queue/plug avec un peu de lubrifiant. Mon sexe proteste aussi tôt en essayant de durcir.
Je finis par mettre mon masque et mes moufles que je referme à l’aide de mes dents et de pas mal de pratique.
Me voilà fin prêts pour aller jouer.
Alors que je me dandine à 4 pattes vers le salon, je ne peux m’empêcher de laisser quelque gémissement prendre forme dans ma gorge à cause du mouvement du plug.
Mon maître m’attends, il est assis dans le fauteuil, une cannette de coca à la main. Il ne porte qu’un jogging noir qui me laisse parfaitement deviner sa queue en dessous et une paire de basket défoncés. Il pose sa boisson sur la table basse et me siffle à ses pieds.
Je trottine jusqu’à lui avant de lui sauter dessus et de lui lécher le visage afin de lui exprimer ma joie de le voir.
-Ça suffit, ordonne-t-il avant de me repousser à ses pieds.
Étant bien dressé je sais ce que j’ai à faire. Je pose donc ma gueule sur ses baskets en levant bien haut ma croupe. Après un moment, le maître me saisit par mon harnais et me fais relever la tête.
Il attrape alors mon collier en néoprène bleu, assorti à mon masque. Sur celui-ci on peut voir ma médaille. D’un côté il est marqué Orock et de l’autre l’adresse de mon maître. Il me passe le collier autour du coup et je ressens alors une grande joie d’avoir sur moi le symbole même de mon appartenance à cet homme.
-On a beaucoup de chose de prévu aujourd’hui, alors ne tardons pas, me dit-il. On va commencer par ton entraînement quotidien. Chaque fois que tu feras mal quelque chose tu auras droit à fessée, mais si tu te comportes bien tu auras une récompense.
-Woof woof !
Il se lève, attrape ma balle et la lance en m’ordonnant d’aller chercher. Ce que je fais tout heureux de son jeu. Puis suivent les ordres : assis, couché, fais le beau, roule…
Après ¾ d’heure de ce traitement, viens enfin l’ordre que j’attendais.
-Au pied ! Sniff donc mon entre jambes. C’est bien, continue, tu es une bonne chienne. Vas-y baisse mon jogging avec ta gueule.
Alors que je m’applique pour obéir, sa queue déjà bien dure me saute au visage. Elle magnifique ! 18/4, non circoncise avec un beau gland bien rose et une hampe raide.
Je ne peux pas résister et la gobé directement au fond de ma gorge. Tant pis pour le haut-le-cœur que cela me provoque, j’aime trop son goût.
-Qu’est-ce que tu crois faire !? Demande-t-il en m’attrapant par le cou et en serrant fortement.
Je glapis de douleur mais surtout de tristesse car sa queue quitte mes lèvres.
-Cela fera 10 coups en plus des 5 cinq que tu as déjà récolté pendant l’entraînement. Je décide quand tu as droit à ton os.
Il promène alors sa queue sur ma gueule, jouant au bord de mes lèvres, laissant des traces humides partout sur mon masque.
-Je ne veux pas sentir une seule dent sinon gare à toi.
Et il force mes lèvres de sa queue. Il saisit ma tête à deux mains et commence à me baiser la bouche. Sa queue rentrant toujours plus loin dans ma gorge. Ma queue me fait souffrir du besoin d’attention mais je reste concentré sur lui. Il me défonce de plus en plus vite alors que la bave coule de ma gueule jusqu’au sol.
Dans un dernier cri, il bloque sa bite à l’entrée de ma bouche et y déverse 6 long jets de sperme. Je suis obligé d’avaler au fur et à mesure si je ne veux pas en perdre.
Une fois sa queue nettoyée de tout ce bon jus, il se rassieds dans son fauteuil.
Il me fait signe de venir à ses pieds, puis de monter sur ses genoux.
-Bien, tu es un bon garçon mais je ne peux pas laisser passer tes fautes comme ça. Ça te fera 15 coup sûr tes fesses. Tu peux gémir et pleurer si tu veux mais ne te défile pas.
Il m’allonge alors en travers de ses cuisses et commence à me rougir le cul. Les deux premiers coups échauffent à peine mes fesses mes bien vites la douleur augmente et je sens mon cul brûler et piquer sous ses coups. Au bout de 4 coups je suis tout gémissant sur lui. A 11 je n'en peux plus et commence à pleurer mais cela ne l'arrête pas. Une fois ma punition donnée il m’assied sur ses genoux, ma tête dans son cou et il masse délicatement mes fesses pendant que je reprends mon souffle.
-Voilà, c’est ça. Pleure, laisse tout sortir, je m’occupe de toi.
Après un quart d’heure de câlin supplémentaire et une rapide applications de crème à l’aloès sur mes fesses, il m’ordonne d’aller jouer dans le salon pendant qu’il prépare ma gamelle et son repas.
Malheureusement une envie pressante se fait ressentir mais n’étant pas prêts à sortir de mon sous espace je me contente de gémir et gratter contre la porte menant au jardin. Mon maître décidant de m’ignorer m’ordonne de me taire.
N'en pouvant plus j’ouvre les vannes en levant la patte et laisse mon uriné couler contre ma jambe. La cage m’empêchant de projeter mon jet plus loin.
Mon maître, qui tout du long me regardait avec un sourire pervers s’exclame alors.
-Vilain puppy ! On ne fait pas ses besoins sur le carrelage.
Il m’attrape alors par le harnais et me force à le suivre jusqu’à la salle de bain. Une fois arrivé il m’oblige à monter dans la baignoire.
-Tu es tout dégoûtant et couvert d’urine. Vilain chien. Si tu aimes tant la pisse prend ça !
Et il se mets à me pisser dessus. Aussi vite que possible je me retourne et attrape sa queue entre mes lèvres pour boire ce qu’il m’offre. Il l'a retiré cependant bien vite afin de m’asperger tout le corps.
Après cette douche dorée, il se contente de m’essuyer avec une serviette sans prendre la peine de me laver avant. Son urine séchant en partie sur mon corps et me laissant baigner dans son odeur.
-Bon garçon, tu as maintenant 15 minutes pour aller aux toilettes et te faire un lavement anal. Après cela tu me rejoindras à la cuisine
En disant ces mots il détache mes moufles et les poses sur l’étagère à côté de lui.
Je retire alors vite mon plug tail et m’empresse de me vider les boyaux dans les toilettes avant de me faire un lavement et de remettre mon plug pour le rejoindre.
Une fois fini je vais m’asseoir à terre à côté ses pieds pendant qu’il finit de préparer son repas.
Il pose alors à côté de moi ma gamelle avec dedans un morceau de viande coupé en morceaux, quelques brocolis et des frites. Je me remets donc à 4 pattes et baisse la tête pour manger mon repas pendant qu’il s’assoit à table et mange le sien.
Une fois fini il m’ordonne de l’attendre dans le salon en me disant que je peux me coucher sur le fauteuil. Puis il disparaît dans sa chambre. Je le revois revenir 10 minutes plus tard habillé d’un jean, un tee-shirt et une paire de converse ainsi qu’avec ma laisse dans sa main.
Il l’accroche à mon collier avant de me guider jusqu’au garage puis dans sa voiture, ou il me fait monter dans le coffre.
-Soi sage on en a pour 20 minutes de route.
Il referme le coffre et monte à l’avant. Je me couche et attends calmement le reste du trajet.
Nous arrivons dans un parking sous terrain d’un immeuble. Il me fait sortir et malgré ma peur d’être vu ainsi je lui obéis. Il me dirige rapidement vers un ascenseur qui nous emmène au troisième étage.
Nous rentrons, par une porte laisser entre-ouverte, dans un appartement où nous attendent un homme avec à ses pieds un autre puppy.
-Je te présente Red et son maître Thomas. On va vous laisser jouer pendant que nous on va boire un verre.
Et il m'abandonne la dans le salon avec un autre puppy (portant un équipement presque similaire au mien, si ce n’est qu’il ne porte pas de cage et que là ou mon équipement est bleu, le sien est rouge) et se dirige avec l’autre homme vers la cuisine.
A suivre
-Woof
-Oui tu as raison c'est toi qui es un bon garçon.
Le bon garçon dont il est question, c'est moi. Vous pouvez m’appeler Orock. Je suis un puppy.
Pour ceux qui ne connaissent pas laisser-moi vous expliquer.
Moi ce que j'aime c'est de mettre un masque qui me donne une tête de chien, des gants qui emprisonne toute ma main (genre gant de boxe), des genouillères et un plug en forme de queue de chien. Une fois équipé je me laisse tomber à 4 pattes et je laisse l'humain en moi disparaître. Je ne suis dès lors plus qu’un simple chiot ayant envie de jouer et de rendre mon maître heureux.
Je vais ici, vous raconter quelques histoires, parfois vrai parfois fausses, souvent entre les deux.
Chapitre 1
Lorsque j’arrive chez mon maître, j’ouvre la porte avec la clef qu’il m’a donné et, après avoir vérifié que le vase sur le meuble est bien au centre de celui-ci (notre code pour s’assurer qu’il n’y a pas d’inviter à la maison), je me déshabille complètement, pose mon téléphone à côté du fameux vase et range mes vêtements dans le tiroir de la commode. Dedans j’y trouve ce que mon maître veux me voir porter pour lui.
Mon masque de puppy, bleu marine. Un harnais de poitrine en cuir noir avec une lanière dans le dos pour pouvoir me tenir quand je suis à 4 pattes. Mes protège genoux pour pouvoir servir mon maître longtemps sans avoir mal. Des bracelets en cuir pour mes chevilles et poignets. Mes moufles noirs avec un dessin d’une patte sur le bout. Un jockstrap bleu en néoprène. Un plug de 4cm de diamètre finissant par une queue de chien. Et à mon grand déplaisir, une cage de chasteté bleu également.
Je commence par mettre le harnais, les protège genoux, les bracelets et le jockstrap avant de redescendre légèrement celui-ci en d’enfermer ma queue. Heureusement après cela je peux me faire un petit plaisir en me plaçant ma queue/plug avec un peu de lubrifiant. Mon sexe proteste aussi tôt en essayant de durcir.
Je finis par mettre mon masque et mes moufles que je referme à l’aide de mes dents et de pas mal de pratique.
Me voilà fin prêts pour aller jouer.
Alors que je me dandine à 4 pattes vers le salon, je ne peux m’empêcher de laisser quelque gémissement prendre forme dans ma gorge à cause du mouvement du plug.
Mon maître m’attends, il est assis dans le fauteuil, une cannette de coca à la main. Il ne porte qu’un jogging noir qui me laisse parfaitement deviner sa queue en dessous et une paire de basket défoncés. Il pose sa boisson sur la table basse et me siffle à ses pieds.
Je trottine jusqu’à lui avant de lui sauter dessus et de lui lécher le visage afin de lui exprimer ma joie de le voir.
-Ça suffit, ordonne-t-il avant de me repousser à ses pieds.
Étant bien dressé je sais ce que j’ai à faire. Je pose donc ma gueule sur ses baskets en levant bien haut ma croupe. Après un moment, le maître me saisit par mon harnais et me fais relever la tête.
Il attrape alors mon collier en néoprène bleu, assorti à mon masque. Sur celui-ci on peut voir ma médaille. D’un côté il est marqué Orock et de l’autre l’adresse de mon maître. Il me passe le collier autour du coup et je ressens alors une grande joie d’avoir sur moi le symbole même de mon appartenance à cet homme.
-On a beaucoup de chose de prévu aujourd’hui, alors ne tardons pas, me dit-il. On va commencer par ton entraînement quotidien. Chaque fois que tu feras mal quelque chose tu auras droit à fessée, mais si tu te comportes bien tu auras une récompense.
-Woof woof !
Il se lève, attrape ma balle et la lance en m’ordonnant d’aller chercher. Ce que je fais tout heureux de son jeu. Puis suivent les ordres : assis, couché, fais le beau, roule…
Après ¾ d’heure de ce traitement, viens enfin l’ordre que j’attendais.
-Au pied ! Sniff donc mon entre jambes. C’est bien, continue, tu es une bonne chienne. Vas-y baisse mon jogging avec ta gueule.
Alors que je m’applique pour obéir, sa queue déjà bien dure me saute au visage. Elle magnifique ! 18/4, non circoncise avec un beau gland bien rose et une hampe raide.
Je ne peux pas résister et la gobé directement au fond de ma gorge. Tant pis pour le haut-le-cœur que cela me provoque, j’aime trop son goût.
-Qu’est-ce que tu crois faire !? Demande-t-il en m’attrapant par le cou et en serrant fortement.
Je glapis de douleur mais surtout de tristesse car sa queue quitte mes lèvres.
-Cela fera 10 coups en plus des 5 cinq que tu as déjà récolté pendant l’entraînement. Je décide quand tu as droit à ton os.
Il promène alors sa queue sur ma gueule, jouant au bord de mes lèvres, laissant des traces humides partout sur mon masque.
-Je ne veux pas sentir une seule dent sinon gare à toi.
Et il force mes lèvres de sa queue. Il saisit ma tête à deux mains et commence à me baiser la bouche. Sa queue rentrant toujours plus loin dans ma gorge. Ma queue me fait souffrir du besoin d’attention mais je reste concentré sur lui. Il me défonce de plus en plus vite alors que la bave coule de ma gueule jusqu’au sol.
Dans un dernier cri, il bloque sa bite à l’entrée de ma bouche et y déverse 6 long jets de sperme. Je suis obligé d’avaler au fur et à mesure si je ne veux pas en perdre.
Une fois sa queue nettoyée de tout ce bon jus, il se rassieds dans son fauteuil.
Il me fait signe de venir à ses pieds, puis de monter sur ses genoux.
-Bien, tu es un bon garçon mais je ne peux pas laisser passer tes fautes comme ça. Ça te fera 15 coup sûr tes fesses. Tu peux gémir et pleurer si tu veux mais ne te défile pas.
Il m’allonge alors en travers de ses cuisses et commence à me rougir le cul. Les deux premiers coups échauffent à peine mes fesses mes bien vites la douleur augmente et je sens mon cul brûler et piquer sous ses coups. Au bout de 4 coups je suis tout gémissant sur lui. A 11 je n'en peux plus et commence à pleurer mais cela ne l'arrête pas. Une fois ma punition donnée il m’assied sur ses genoux, ma tête dans son cou et il masse délicatement mes fesses pendant que je reprends mon souffle.
-Voilà, c’est ça. Pleure, laisse tout sortir, je m’occupe de toi.
Après un quart d’heure de câlin supplémentaire et une rapide applications de crème à l’aloès sur mes fesses, il m’ordonne d’aller jouer dans le salon pendant qu’il prépare ma gamelle et son repas.
Malheureusement une envie pressante se fait ressentir mais n’étant pas prêts à sortir de mon sous espace je me contente de gémir et gratter contre la porte menant au jardin. Mon maître décidant de m’ignorer m’ordonne de me taire.
N'en pouvant plus j’ouvre les vannes en levant la patte et laisse mon uriné couler contre ma jambe. La cage m’empêchant de projeter mon jet plus loin.
Mon maître, qui tout du long me regardait avec un sourire pervers s’exclame alors.
-Vilain puppy ! On ne fait pas ses besoins sur le carrelage.
Il m’attrape alors par le harnais et me force à le suivre jusqu’à la salle de bain. Une fois arrivé il m’oblige à monter dans la baignoire.
-Tu es tout dégoûtant et couvert d’urine. Vilain chien. Si tu aimes tant la pisse prend ça !
Et il se mets à me pisser dessus. Aussi vite que possible je me retourne et attrape sa queue entre mes lèvres pour boire ce qu’il m’offre. Il l'a retiré cependant bien vite afin de m’asperger tout le corps.
Après cette douche dorée, il se contente de m’essuyer avec une serviette sans prendre la peine de me laver avant. Son urine séchant en partie sur mon corps et me laissant baigner dans son odeur.
-Bon garçon, tu as maintenant 15 minutes pour aller aux toilettes et te faire un lavement anal. Après cela tu me rejoindras à la cuisine
En disant ces mots il détache mes moufles et les poses sur l’étagère à côté de lui.
Je retire alors vite mon plug tail et m’empresse de me vider les boyaux dans les toilettes avant de me faire un lavement et de remettre mon plug pour le rejoindre.
Une fois fini je vais m’asseoir à terre à côté ses pieds pendant qu’il finit de préparer son repas.
Il pose alors à côté de moi ma gamelle avec dedans un morceau de viande coupé en morceaux, quelques brocolis et des frites. Je me remets donc à 4 pattes et baisse la tête pour manger mon repas pendant qu’il s’assoit à table et mange le sien.
Une fois fini il m’ordonne de l’attendre dans le salon en me disant que je peux me coucher sur le fauteuil. Puis il disparaît dans sa chambre. Je le revois revenir 10 minutes plus tard habillé d’un jean, un tee-shirt et une paire de converse ainsi qu’avec ma laisse dans sa main.
Il l’accroche à mon collier avant de me guider jusqu’au garage puis dans sa voiture, ou il me fait monter dans le coffre.
-Soi sage on en a pour 20 minutes de route.
Il referme le coffre et monte à l’avant. Je me couche et attends calmement le reste du trajet.
Nous arrivons dans un parking sous terrain d’un immeuble. Il me fait sortir et malgré ma peur d’être vu ainsi je lui obéis. Il me dirige rapidement vers un ascenseur qui nous emmène au troisième étage.
Nous rentrons, par une porte laisser entre-ouverte, dans un appartement où nous attendent un homme avec à ses pieds un autre puppy.
-Je te présente Red et son maître Thomas. On va vous laisser jouer pendant que nous on va boire un verre.
Et il m'abandonne la dans le salon avec un autre puppy (portant un équipement presque similaire au mien, si ce n’est qu’il ne porte pas de cage et que là ou mon équipement est bleu, le sien est rouge) et se dirige avec l’autre homme vers la cuisine.
A suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle dévotion d’un bottom à son top.
Super histoire j'adorais être un Puppy
Vivement la suite
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