Les aventures de Marie 3
Récit érotique écrit par Zoorg35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures de Marie 3
Marie entra dans le bureau qu'elle partageait avec Eva et Florence, comme tous les matins, elle alla leur faire la bise, accrocha sa veste sur le porte manteau qui était situé dans l'angle de la pièce et alla s'asseoir face à son ordinateur.
Eva et Florence regardèrent Marie un peu bizarrement, elles pensaient à la même chose.
Florence prit la parole : Mr Lambert est absent aujourd'hui ??
Marie : Bah je ne sais... Pourquoi cette question ?
Florence : En fait comme tu as mis une jolie jupe aujourd'hui, on pensait qu'il n'était pas là.
Marie : Non je ne sais pas, je pense qu'il doit être là, on se voit tout à l'heure, il veut faire un point sur le budget formation. Comme on arrive à la fin de l'année, il veut savoir si il reste encore de l'argent pour planifier des sessions supplémentaires et les faire passer dans le budget actuel. Il m'aurait prévenu quand même.
Marie : Et puis ce n'est parce que mon chef est un vieux vicelard qu'il faut que je m'habille comme une nonne.
Eva : Écoute, je suis bien d'accord avec toi... Mais là, ça va lui faire un choc, surtout que là c'est un peu sexy ta tenue quand même... Enfin je veux dire... Par rapport à d'habitude.
Eva eut peur d'avoir fait une boulette, ça lui faisait plaisir de voir enfin Marie assumer sa féminité, elle espérait ne pas l'avoir vexée avec cette dernière remarque.
Marie : Ne t'inquiètes pas, je vois ce que tu veux dire. C'est vrai que ça change non, fit elle fièrement en se levant et en faisant le tour d'elle même.
Florence : Oui, cette tenue te va à merveille.
Marie portait un joli chemisier blanc, sous lequel on pouvait deviner un ravissant soutien gorge blanc également.
Elle portait une jupe grise qui lui arrivait nettement au dessus du genou mais pas jusqu'à mi cuisse. Ses jambes étaient parées d'une jolie paire de bas gris assez épais avec lesquels elle avait mis des chaussures à talon.
Elle était transformée, elle était chic et sexy sans une once de vulgarité.
Il faut dire que suite à la dernière visite de patrice et Michel, Marie se décida d'appliquer au pied de la lettre leurs recommandations. Dès le lendemain comme elle avait des heures à récupérer, elle quitta son travail en milieu d'après-midi. Elle se rendit dans le centre commercial qui était à coté de son travail, et entama une remise à niveau de sa garde robe. Elle acheta principalement des jupes ainsi que des petits hauts pour aller avec. Elle fit ensuite quelques magasins de lingerie et se racheta quatre beaux ensembles composés chacun du soutien gorge du string et du boxer. Pour deux d'entre eux, elle trouva même le porte jarretelles assorti avec lequel elle reprit deux paires de bas, une couleur chair et l'autre noire qu'elle réservait pour les grandes occasions.
Elle finit par la grande surface du centre commercial, se rendit au rayon collant et en repartit avec au moins une dizaine de paires de bas auto-fixants. Elle avait pris différentes couleurs, différentes marques. Certains avaient attiré son attention plus que d'autres, elle avait notamment pris deux paires de bas assez fins, mais avec une large jarretière en dentelle, des noirs et des marrons. Elle avait également pris une paire de bas noirs imitation couture, elle ne voyait pas pour l'instant à quelle occasion elle les mettrait, mais elle avait flashé dessus.
Marie était si fière d'elle, elle regarde rapidement autour d'elle, puis elle remonta un peu le coté de sa jupe pour montrer la lisière d'un de ces bas à Eva et Florence.
"Et bien dis donc, tu fais pas les choses à moitié toi..." dit Florence en rigolant.
Eva : Et les filles regardez. Puis à son tour Eva releva un peu sa jupe le long de sa jambe. Elle arborait également une jolie paire de bas marrons.
Elle dit à Marie en rigolant : Bienvenue au club...
Florence remonta également sa jupe et leur montrant son joli collant noir : Désolée les filles, que crois que je ne peux pas être admise au sein de votre petit club.
Marie : Ce n'est pas grave je suis sure que ce n'est que partie remise.
Florence : Par contre les filles, évitez de fouiller dans vos sacs à mains qui sont par terre, sinon j'en connais un qui risque d'avoir des ampoules à la main droite à la fin de la journée.
Elles se mirent à rigoler, puis Eva dit : Mais au fait, il est passé où celui là, lui qui est si ponctuel d'habitude.
A peine eut elle finie sa phrase que Mr Lambert arriva en pestant : Ahhh saloperie de voiture...
Eva lui dit d'un air taquin : Bonjour Monsieur Lambert, qu'est ce qui vous arrive, vous avez eu des problèmes ?
Mr Lambert : Bonjour mesdames, m'en parlez pas j'ai crevé et il a fallu que je change la roue.
Puis il s'adressa à Marie : Écoutez Marie, vous viendrez me voir en fin de matinée pour faire un point sur le budget.
Marie : D'accord Mr Lambert.
Il était 11h45, les filles n'allaient plus tarder à partir déjeuner. Mr Lambert n'avait toujours pas appelé Marie pour faire le point.
Marie : Tu vas voir, il va venir exprès à 11h55 pour me faire chier...
Eva : Écoute tu nous rejoindras à la pizzeria, on te commande la même chose que d'habitude si tu veux.
Marie : D'accord.
11h53 : Mr Lambert sort de son bureau et franchit d'un pas le couloir qui le sépare du bureau des filles, il passe la tête par l'encadrement de la porte : Marie, on y va; je sais que je vous prends tard mais on va faire vite.
Il retourna s'asseoir derrière son bureau, Marie se leva prit le dossier et entra dans le bureau.
Mr Lambert se figea quelques instants, il était frappé par la tenue de Marie, il pensa : Ouaaahh, le canon...
Il se ressaisit et dit à Marie de s'asseoir sur le chaise de l'autre coté du bureau. Elle s'assit et croisa les jambes et posa son dossier sur les cuisses et l'ouvrit dans l'attente des directives de son supérieur.
Mr Lambert était déçu, car dans cette position il n'avait aucune vue sur ces délicieuses jambes. Le crissement des bas quand Marie croisa ses jambes l'excita quand même énormément et provoqua en lui un début d'érection.
Mr Lambert : Vous avez une synthèse des notes de frais de formation pour le premier semestre.
Marie : Oui, tenez. Elle chercha quelques secondes dans son dossier et donna une feuille à son supérieur.
Celui ci scrutait la feuille, puis il dit à Marie : Regardez ces deux là, ils ont quand-même beaucoup plus que les autres en frais de repas.
Marie décroisa les jambes pour pouvoir se pencher et regarder le document, ce qui fit de nouveau crisser ses bas. Ce petit bruit qui était complètement anodin pour Marie, provoquait chez Mr Lambert une excitation extrême.
Au cours de leur réunion il répéta son petit manège plusieurs fois, montrant des choses sans importance à Marie juste pour lui faire croiser et décroiser les jambes.
Il était maintenant 12h15. Mr Lambert s'excusa auprès de Marie de l'avoir retenue un peu plus longtemps que prévu, puis il lui dit qu'elle pouvait disposer. L'ultime bruit de frottement que fit Marie avec ses cuisses en se levant finit de faire bander complètement Mr Lambert.
Il serait bien aller ce soulager dans les toilettes comme il le fait souvent quand l'autre petite mijaurée d'en face l'allume en lui montrant ses bas, mais il fallait absolument qu'il finisse ce dossier ce midi.
Cela faisait bien 15 minutes qu'il remplissait des tableaux Excel avec les notes que lui avait donnés Marie, puis il commença à mettre son bureau sans dessus-dessous, il lui manquait un document.
Mr Lambert : Il a du rester dans le dossier de Marie.
Il se dirigea dans le bureau des filles et chercha dans le dossier que Marie avait posé sur la gauche de son clavier. Il trouva le document qui lui manquait, il tourna les talons pour retourner sur ses formules Excel quant un bruit attira son attention. C'était le téléphone de Marie qui vibrait sur son bureau, dans sa précipitation, elle l'avait oublié. Il ne sut pas lui même quelle mouche le piqua mais il se saisit de téléphone. Elle avait reçu un message sur son téléphone, fébrilement il ouvrit le message : On peut venir te voir mercredi semaine prochaine. Préviens si empêchement. Pour te faire patienter, quelques photos dernière séance. Patrice.
Il ouvrit la première des pièces jointes, c'était Marie qui était assise en train d'enfiler un bas, sur la deuxième, elle était debout et portait un ensemble blanc avec un sublime porte jarretelles et de magnifiques bas noirs. Il ouvrit la dernière et il découvrit Marie vêtue de la même manière que sur le cliché précèdent, mais cette fois prise en sandwich par deux hommes.
Mr Lambert : Ahh c'est pas vrai, quelle petite pute...
D'un seul coup, il se sentit à l'étroit dans son pantalon et il sentait également des gouttes de sueur lui perler sur le haut du front.
Le téléphone lui brûlait les doigts, il ne savait plus quoi faire.
Il faut que je trouve quelque chose, une occasion comme ça ne se représentera jamais, songea t'il.
Fébrilement il transféra alors le message vers son propre téléphone, une fois la confirmation d'envoi reçu, il effaça le message envoyé ainsi que la confirmation d'envoi.
Il remit le téléphone en place, prit aussi le document qu'il était venu chercher, alla le poser directement sur son bureau et fila à vive allure vers les toilettes ....
Le lendemain matin, les filles arrivèrent toutes les trois en matin. Florence et Eva félicitèrent une fois de plus Marie pour sa tenue.
Marie portait aujourd'hui une jupe noire qui lui arrivait en dessous du genou, sa jupe était fendue de chaque coté presque jusqu'à mi-cuisse. Elle avait mis une paire de bas noirs, ceux à large dentelle. Elle avait tout de même vérifiée qu'on ne voit pas la lisière de ses bas, par contre il fallait qu'elle fasse attention en étant assise, mais cela ne l'inquiétait pas plus que ça, cachée qu'elle était derrière son bureau. Elle portait un chemisier rouge pour compléter le tout.
Eva : Et bien dis donc tu nous fais un festival en ce moment...
Florence : Elle te va super bien, ta jupe, c'est une nouvelle.
Marie : Je l'ai acheté la semaine dernière quand je suis parti plus tôt l'autre jour.
Et en dessous, tu fais toujours partie du club, demanda Eva d'un air mutin.
Oui, dit elle en faisant voir une large jarretière noire sur le haut de sa cuisse.
Moi aussi toujours au club, dit Eva en faisant voir une paire de bas noirs également.
Elle se tournèrent toutes les deux vers Florence.
Celle ci leur dit : Aujourd'hui je peux me joindre à vous.
Elle souleva alors le coté de sa robe et leur dévoila alors une paire de bas mi-opaque.
Elles pouffèrent de rire toutes les trois et se mirent à travailler.
Il était 17h20, elles allaient bientôt partir, quand Mr Lambert entra en trombe dans le bureau des filles : Marie je suis désolé de vous imposer ça, mais il va falloir qu'on fasse un point sur le budget formation, je n'arrive pas à faire correspondre les montants.
Marie : Mais Monsieur, vous avez vu l'heure ?
Mr Lambert : Oui, j'ai vu l'heure, mais il faut absolument que le siège ait la synthèse demain matin. On se retrouve au deuxième dans la salle de réunion dans 5 minutes pour tout reprendre depuis le début.
Une fois partie, Florence chuchota : Il est gonflé quand même, il aurait pu te prévenir avant.
Marie : Bon c'est pas grave, et puis tu sais, je n'ai personne qui m'attend le soir en semaine, alors rentrer une heure de plus tôt ou plus tard.
Eva : Et bien écoute, bon courage, et puis attention... Pas de folies, ajouta-t'elle ironiquement.
Marie : Pff, c'est malin...
Marie rassembla ses affaires et se dirigea vers la salle de réunion alors que ses collègues étaient en train d'éteindre leur ordinateur et s'apprêtaient à rentrer chez elles.
Marie entra dans la salle, Mr Lambert était déjà prêt, il était à la grande table ovale en train de pianoter sur son ordinateur portable.
Mr Lambert : Venez vous asseoir à coté de moi.
Marie obéit, elle tira la chaise, s'assit, la ravança vers le bureau et commença à croiser ses jambes comme elle le fait habituellement. Elle sentit sa jupe remonter légèrement et se rappela qu'elle avait une jupe fendue.
Elle interrompit son geste et se contenta de rester assise les cuisses l'une contre l'autre, elle n'osait pas regarder, si l'on voyait la lisière de ses bas. Elle voulait réajuster sa jupe mais ne voulait pas attirer l'attention de son chef, elle préférait attendre le moment opportun.
Cela faisait maintenant une vingtaine de minute qu'ils travaillaient, Marie commençait à fatiguer installée ainsi, elle se décida à bouger afin d'être assise plus confortablement. Elle se préparait pour être aussi rapide que discrète que possible. Elle descendit ses deux mains, les posa sur ses cuisses, se leva d'un coup, tira sur sa jupe se rassit et croisa les jambes tout en tirant un peu sur sa jupe.
Mr lambert entendit encore le bruit du crissement des bas de Marie, il se tourna vers elle, et regarda vers ses jambes.
Mr lambert : Marie, depuis quelques jours vous êtes ravissante.
Surprise par cette remarque, elle lui dit un "Merci" aussi glacial que possible.
Cela ne refroidit pourtant pas Mr Lambert : Mais dites donc, ce sont de bas que vous portez, ajouta-t'il en pointant du doigt vers le bout de dentelle que l'on apercevait très nettement sur la cuisse de Marie.
Elle était toute rouge, elle n'avait pas assez descendue sa jupe, on voyant le haut du bas sur au moins 3 cm. Elle ne savait pas quoi lui répondre : Euh oui...
Mr Lambert : Je sais qu'Eva en met régulièrement, d'ailleurs je me demande si elle ne fait pas exprès de tout le temps fouiller dans son sac à main quand elle est en jupe cella-là, je suis sur qu'elle m'allume la petite garce. Mais vous je ne pensais pas...
Marie : Mais monsieur, ça ne va pas.
L'homme fit semblant de ne pas entendre, il rajouta juste : Remonte un peu ta jupe que je vois ça de plus près.
Marie : Mais attendez, mais... mais vous vous croyez ou là.
Mr Lambert : Allez, fais pas ta mijaurée.
Marie : Mais vous me prenez pour qui ???
Mr Lambert : Juste pour ce que tu es, une bonne petite salope sous des airs de Sainte ni-touche.
Après avoir dit ça, il fit glisser la souris dans l'explorateur de son ordinateur portable, il alla dans un dossier qui contenait trois fichiers. Il les ouvrit les uns après les autres, Marie se décomposa, elle ne sut quoi dire, elle mit quelques secondes avant de pouvoir bredouiller quelques mots : Mais... Mais comment...
Marie regardait avec stupeur les photos d'elle en petite tenue puis en même temps par Patrice et Michel.
Mr Lambert : Ce n'est pas prudent de laisser traîner ses affaires, encore moins son téléphone.
Elle comprit alors comment il s'était procuré les photos.
Mr Lambert : On peut s'arranger tu sais, il va falloir être gentille avec moi si tu ne veux pas que ces photos se retrouvent éparpillées un peu partout dans les salles de pause, voir même dans la boite aux lettres de ta maison. Il va même falloir être gentille, si tu vois ce que je veux dire.
Malheureusement Marie voyait très bien.
Marie : Non s'il vous plaît, pas ça.
Mr Lambert : Ne te fais prier, tu as l'air d'aimer ça si j'en crois ce que j'ai vu sur les photos.
Il posa sa main sur la cuisse de Marie et commença à remonter sa main en caressant le doux tissu : Mm c'est joli tout ça...
Le contact de la main sur sa cuisse l'électrisa et commença à sentir son intimité s'humidifier doucement : C'est pas possible, même ce gros porc me fait mouiller, mais qu'est ce qu'il m'arrive.
Sans qu'elle ne s'en rende vraiment compte elle écarta un peu les cuisses.
Son inquisiteur n'en demanda pas temps, il lui caressait maintenant l'intérieur de la cuisse et remontait petit à petit vers le string noir que portait Marie.
Très vite, il mit la main dessus et commença frotter son doigt contre la fente à travers le fin tissu. le string de Marie fut vite trempé.
Cette dernière commençait à pousser de légers soupirs de plaisir : Mmm... Han...
Mr Lambert continua son travail de sape, Marie commençait à gémir plus fort : Mmm... Ahh...
Excitée, Marie posa sa main sur la bosse qui émergeait du pantalon de son chef.
Mr Lambert ravi mais tout de même un peu surpris de cette victoire si rapide : Ah tu vois que tu aimes ça.
Il passa sa main sous le string de Marie, il passa ses doigts sur le joli triangle de poils puis descendit un peu plus bas pour y insérer un premier doigt, puis rapidement un deuxième.
Marie avait maintenant sorti le sexe de son fourreau ou il était bien à l'étroit et le caressait depuis plusieurs minutes. Elle fut surprise et un peu effrayée de la taille de cette verge, elle était aussi longue que celle de Patrice et aussi grosse que celle de Michel.
Elle se dit en elle même : Il ne paie pas de mine ce vieux vicieux, mais il est monté comme un âne.
Marie appréciait de plus en plus les caresses de Mr Lambert et lui fit savoir : Ahhh oui... Continue... Caresse moi bien...
Encouragé par ces paroles, Mr Lambert pencha son visage vers celui de Marie et l'embrassa goulument.
Marie résista un instant et offrit finalement sa bouche à son envahisseur.
Au bout d'un moment Mr Lambert se leva et dit : Viens je vais t'enlever ta jupe.
Il tira la chaise de Marie en arrière la poussa contre le bureau, il vint ensuite derrière elle, défit la fermeture de la jupe et la fit tomber au sol.
Il se plaqua alors derrière et lui passa une main sous le string. Il enfonça un doigt dans le sexe dégoulinant de désir de Marie : Ahhh... Hannnn... Ouiiii...
Mr Lambert était fou de joie, lui qui n'avait jamais eu beaucoup de succès avec la gente féminine était en train de doigter une magnifique blonde habillée comme une petite pute.
Son autre main ne reste pas inactive, il défit les boutons du chemisier puis s'empara d'un sein qu'il fit jaillir du soutien gorge, il l'empoignait à pleine main, puis il fit rouler ses doigts sur le téton qui devint tout dur.
Marie ondulait maintenant du bassin, Mr Lambert restait collé à elle en suivant le mouvement, il lui plaquait son sexe contre ses fesses. Tout en ondulant Marie se frottait à cette tige qui était dure comme de la pierre.
Mr Lambert dit ensuite à Marie : Allez tourne toi, tu vas venir me sucer.
Marie désormais docile, s'agenouilla et empoigna ce sexe qu'elle commença à le masturber, il était tellement gros et long qu'elle ne pouvait en mettre qu'environ un tiers dans sa bouche. Elle se concentrait sur le gland, elle jouait avec, l'aspirait, le léchait.
Mr Lambert poussait de longs râles de plaisir : Oufffff... Vas-y, suce moi bien... Oui... Comme ça...
Marie était tellement excitée que de son autre main, elle s'enfonça deux doigts dans son intimité et commença à les faire coulisser rapidement.
Son responsable vit son manège et se dit en lui même qu'il était tombé sur une sacrée petite salope, il lui dit : T'aimes ça me sucer hein...
Pour l'exciter encore plus, Marie lui répondit: Oui... Mmmm... J'adore sucer ta grosse bite...
Mr Lambert : Tu vas voir comment tu vas la sentir dans ta petite chatte tout à l'heure.
Marie : Ahhh je n'en peux plus... Viens me la mettre tout de suite...
Mr Lambert était désarçonné, même dans ses rêves les plus fous, il n'aurait jamais espéré que cela se passe comme ça.
Marie s'était relevée, elle se tourna et s'appuya d'une main sur le bureau, de l'autre elle empoigna l'énorme sexe qui sortait tout juste de sa bouche et l'introduit doucement dans son intimité.
Mr Lambert commença alors à baiser sauvagement Marie en la traitant de tous les noms : Tu l'aimes ma bite... Espèce de petite salope...
Mari e: AAAAAhhhhhhhh Ouuiiiii... Comme ça... Vas-y... Plus fort...
Mr Lambert : Alors elle te fait du bien...
Marie : Haaannnn Ouiiii... Elle est bonne... Hannnn... Ta grosse queue... Hannnnn.
heureusement qu'à cette heure tardive, il ne restait plus qu'eux dans les locaux, vu le bruit qu'il faisait, entre les cris de plaisir de Marie et Mr Lambert qui faisait claquer son ventre contre les fesses de Marie.
D'ailleurs depuis quelques minutes, il s'intéressait à la petite rondelle de Marie qui s'agitait sous ses yeux, il arrêta un moement de la baiser, lui écarta un peu les fesses et fit tomber un filet de salive sur son petit trou. Il reprit ensuite son rythme et enfonça un doigt dans l'anus de Marie.
Il se mit à coulisser son doigt de plus en vite, sa collaboratrice avait l'air d'apprécier : Haaaan... Mmmmmmm... Ouuuuhhhhhhhh...
Il la baisa de plus en plus fort, au bout d'un moment Marie lui dit : Hannn... J'en peux... Encule moi...
Sans attendre une seconde de plus, il retourna Marie, l'allongea sur le dos sur le bureau, lui posa les chevilles sur ses épaules et commença à pousser sa tige contre l'œillet de Marie, celui s'écarta et avala entièrement le gland. Il s'enfonçait petit à petit en se frayant un chemin au plus profond des entrailles de Marie.
Marie poussait le longs râles : Ouuuuuuhhhhh... Douuucement...
Emportée par la vague de chaleur qui coulait elle, Marie se mit à se caresser son sexe et sa poitrine.
Mr Lambert continua de sodomiser Marie, il la tenait par les chevilles et lui maintenant les jambes en V, faisant pointer les talons de ces chaussures vers le plafond.
Il flottait également sa joue contre les compas de Marie qui étaient toujours emprisonnés dans ses délicieux bas noirs, le contact de sa joue contre ce fin tissu l'électrisait. Au bout d'un moment il se mit également à lécher les mollets de Marie.
Marie : Hannnn... Elles te plaisent Hannnn... Mes jambes ???
Mr Lambert : Ahh oui... Tu m'excites quand tu es habillée comme ça...
Marie : Hannn... Oui... Hann... Moi aussi... Han... Ca m'excite...
Mr Lambert : Maintenant tu ne porteras plus que des bas... Compris...
Marie : Hannnn... Oui... Han... Plus que des bas...
Mr Lambert : Comme ton autre petite pute de collègue Eva, je sais qu'elle met des bas aussi...
Marie : Hannn... Oui... Han... Elle aussi... Mmmmm... En met...
Mr Lambert : Elle aussi mériterait que je la baise... d'ailleurs tu vas m'aider à la baiser...
Marie ne répondit pas à cette question, malgré la fièvre qui la possédait, elle ne voulait pas mêler ses amies à ça.
Mr Lambert : Tu'as intérêt de m'aider... N'oublie pas les photos...
Marie : Hnnn... Oui... D'accord...
Mr Lambert avait gagné, non seulement il était en train de posséder Marie par son fondement, mais celle ci allait bientôt l'aider pour qu'il puisse aussi profiter des charmes d'Eva.
C'en était top pour lui, il envoya sa semence dans les entrailles de Marie, épuisé, il s'allongea sur Marie et lui arracha un baiser fiévreux.
Ils se relevèrent ensuite tous les deux et remirent de l'ordre dans leur tenue. En se rhabillant ils ne s'adressèrent pas un mot. Marie se demandait ce qui était en train de lui arriver, elle qui était si prude et si réservée succombait maintenant aux avances du premier venu et y trouvait beaucoup de plaisir. Elle se rappelait également qu'elle avait dit à son responsable qu'elle l'aiderait à piéger sa collègue Eva.
Mr Lambert de son coté était en train de se demander s'il n'avait pas rêvé, au bout d'un moment il se rendit compte que tout cela était bien réel. Il se dit même qu'il pourrait essayer de continuer de profiter des charmes de sa subalterne, mais sans la forcer cette fois. Il était en effet très étonné des initiatives qu'elle avait prises ainsi que du du plaisir qu'elle avait ressenti.
Il dit tout simplement : On recommencera ce genre de réunion tardive, il me semble que vous avez apprécié n'est ce pas ma petite Marie ?
Celle ci lui répondit d'un sourire mutin : Pourquoi pas Mr Lambert.
Mr Lambert : Et n'oubliez pas, vous devez m'aider pour Eva.
Marie lui répondit cette fois avec un tremolo dans la voix : Non, je n'ai pas oublié... Je vous aiderai.
Mr Lambert : Bon, bous pouvez y aller je finirai tout seul.
Marie : D'accord.
Au moment ou elle tourna les talons, elle sentit une main lui déposer une petite claque sur les fesses, puis elle s'éloigna sentant à chaque pas la sève de Mr Lambert qui lui dégoulinait le long des cuisses jusqu'en haut de ses bas.
Eva et Florence regardèrent Marie un peu bizarrement, elles pensaient à la même chose.
Florence prit la parole : Mr Lambert est absent aujourd'hui ??
Marie : Bah je ne sais... Pourquoi cette question ?
Florence : En fait comme tu as mis une jolie jupe aujourd'hui, on pensait qu'il n'était pas là.
Marie : Non je ne sais pas, je pense qu'il doit être là, on se voit tout à l'heure, il veut faire un point sur le budget formation. Comme on arrive à la fin de l'année, il veut savoir si il reste encore de l'argent pour planifier des sessions supplémentaires et les faire passer dans le budget actuel. Il m'aurait prévenu quand même.
Marie : Et puis ce n'est parce que mon chef est un vieux vicelard qu'il faut que je m'habille comme une nonne.
Eva : Écoute, je suis bien d'accord avec toi... Mais là, ça va lui faire un choc, surtout que là c'est un peu sexy ta tenue quand même... Enfin je veux dire... Par rapport à d'habitude.
Eva eut peur d'avoir fait une boulette, ça lui faisait plaisir de voir enfin Marie assumer sa féminité, elle espérait ne pas l'avoir vexée avec cette dernière remarque.
Marie : Ne t'inquiètes pas, je vois ce que tu veux dire. C'est vrai que ça change non, fit elle fièrement en se levant et en faisant le tour d'elle même.
Florence : Oui, cette tenue te va à merveille.
Marie portait un joli chemisier blanc, sous lequel on pouvait deviner un ravissant soutien gorge blanc également.
Elle portait une jupe grise qui lui arrivait nettement au dessus du genou mais pas jusqu'à mi cuisse. Ses jambes étaient parées d'une jolie paire de bas gris assez épais avec lesquels elle avait mis des chaussures à talon.
Elle était transformée, elle était chic et sexy sans une once de vulgarité.
Il faut dire que suite à la dernière visite de patrice et Michel, Marie se décida d'appliquer au pied de la lettre leurs recommandations. Dès le lendemain comme elle avait des heures à récupérer, elle quitta son travail en milieu d'après-midi. Elle se rendit dans le centre commercial qui était à coté de son travail, et entama une remise à niveau de sa garde robe. Elle acheta principalement des jupes ainsi que des petits hauts pour aller avec. Elle fit ensuite quelques magasins de lingerie et se racheta quatre beaux ensembles composés chacun du soutien gorge du string et du boxer. Pour deux d'entre eux, elle trouva même le porte jarretelles assorti avec lequel elle reprit deux paires de bas, une couleur chair et l'autre noire qu'elle réservait pour les grandes occasions.
Elle finit par la grande surface du centre commercial, se rendit au rayon collant et en repartit avec au moins une dizaine de paires de bas auto-fixants. Elle avait pris différentes couleurs, différentes marques. Certains avaient attiré son attention plus que d'autres, elle avait notamment pris deux paires de bas assez fins, mais avec une large jarretière en dentelle, des noirs et des marrons. Elle avait également pris une paire de bas noirs imitation couture, elle ne voyait pas pour l'instant à quelle occasion elle les mettrait, mais elle avait flashé dessus.
Marie était si fière d'elle, elle regarde rapidement autour d'elle, puis elle remonta un peu le coté de sa jupe pour montrer la lisière d'un de ces bas à Eva et Florence.
"Et bien dis donc, tu fais pas les choses à moitié toi..." dit Florence en rigolant.
Eva : Et les filles regardez. Puis à son tour Eva releva un peu sa jupe le long de sa jambe. Elle arborait également une jolie paire de bas marrons.
Elle dit à Marie en rigolant : Bienvenue au club...
Florence remonta également sa jupe et leur montrant son joli collant noir : Désolée les filles, que crois que je ne peux pas être admise au sein de votre petit club.
Marie : Ce n'est pas grave je suis sure que ce n'est que partie remise.
Florence : Par contre les filles, évitez de fouiller dans vos sacs à mains qui sont par terre, sinon j'en connais un qui risque d'avoir des ampoules à la main droite à la fin de la journée.
Elles se mirent à rigoler, puis Eva dit : Mais au fait, il est passé où celui là, lui qui est si ponctuel d'habitude.
A peine eut elle finie sa phrase que Mr Lambert arriva en pestant : Ahhh saloperie de voiture...
Eva lui dit d'un air taquin : Bonjour Monsieur Lambert, qu'est ce qui vous arrive, vous avez eu des problèmes ?
Mr Lambert : Bonjour mesdames, m'en parlez pas j'ai crevé et il a fallu que je change la roue.
Puis il s'adressa à Marie : Écoutez Marie, vous viendrez me voir en fin de matinée pour faire un point sur le budget.
Marie : D'accord Mr Lambert.
Il était 11h45, les filles n'allaient plus tarder à partir déjeuner. Mr Lambert n'avait toujours pas appelé Marie pour faire le point.
Marie : Tu vas voir, il va venir exprès à 11h55 pour me faire chier...
Eva : Écoute tu nous rejoindras à la pizzeria, on te commande la même chose que d'habitude si tu veux.
Marie : D'accord.
11h53 : Mr Lambert sort de son bureau et franchit d'un pas le couloir qui le sépare du bureau des filles, il passe la tête par l'encadrement de la porte : Marie, on y va; je sais que je vous prends tard mais on va faire vite.
Il retourna s'asseoir derrière son bureau, Marie se leva prit le dossier et entra dans le bureau.
Mr Lambert se figea quelques instants, il était frappé par la tenue de Marie, il pensa : Ouaaahh, le canon...
Il se ressaisit et dit à Marie de s'asseoir sur le chaise de l'autre coté du bureau. Elle s'assit et croisa les jambes et posa son dossier sur les cuisses et l'ouvrit dans l'attente des directives de son supérieur.
Mr Lambert était déçu, car dans cette position il n'avait aucune vue sur ces délicieuses jambes. Le crissement des bas quand Marie croisa ses jambes l'excita quand même énormément et provoqua en lui un début d'érection.
Mr Lambert : Vous avez une synthèse des notes de frais de formation pour le premier semestre.
Marie : Oui, tenez. Elle chercha quelques secondes dans son dossier et donna une feuille à son supérieur.
Celui ci scrutait la feuille, puis il dit à Marie : Regardez ces deux là, ils ont quand-même beaucoup plus que les autres en frais de repas.
Marie décroisa les jambes pour pouvoir se pencher et regarder le document, ce qui fit de nouveau crisser ses bas. Ce petit bruit qui était complètement anodin pour Marie, provoquait chez Mr Lambert une excitation extrême.
Au cours de leur réunion il répéta son petit manège plusieurs fois, montrant des choses sans importance à Marie juste pour lui faire croiser et décroiser les jambes.
Il était maintenant 12h15. Mr Lambert s'excusa auprès de Marie de l'avoir retenue un peu plus longtemps que prévu, puis il lui dit qu'elle pouvait disposer. L'ultime bruit de frottement que fit Marie avec ses cuisses en se levant finit de faire bander complètement Mr Lambert.
Il serait bien aller ce soulager dans les toilettes comme il le fait souvent quand l'autre petite mijaurée d'en face l'allume en lui montrant ses bas, mais il fallait absolument qu'il finisse ce dossier ce midi.
Cela faisait bien 15 minutes qu'il remplissait des tableaux Excel avec les notes que lui avait donnés Marie, puis il commença à mettre son bureau sans dessus-dessous, il lui manquait un document.
Mr Lambert : Il a du rester dans le dossier de Marie.
Il se dirigea dans le bureau des filles et chercha dans le dossier que Marie avait posé sur la gauche de son clavier. Il trouva le document qui lui manquait, il tourna les talons pour retourner sur ses formules Excel quant un bruit attira son attention. C'était le téléphone de Marie qui vibrait sur son bureau, dans sa précipitation, elle l'avait oublié. Il ne sut pas lui même quelle mouche le piqua mais il se saisit de téléphone. Elle avait reçu un message sur son téléphone, fébrilement il ouvrit le message : On peut venir te voir mercredi semaine prochaine. Préviens si empêchement. Pour te faire patienter, quelques photos dernière séance. Patrice.
Il ouvrit la première des pièces jointes, c'était Marie qui était assise en train d'enfiler un bas, sur la deuxième, elle était debout et portait un ensemble blanc avec un sublime porte jarretelles et de magnifiques bas noirs. Il ouvrit la dernière et il découvrit Marie vêtue de la même manière que sur le cliché précèdent, mais cette fois prise en sandwich par deux hommes.
Mr Lambert : Ahh c'est pas vrai, quelle petite pute...
D'un seul coup, il se sentit à l'étroit dans son pantalon et il sentait également des gouttes de sueur lui perler sur le haut du front.
Le téléphone lui brûlait les doigts, il ne savait plus quoi faire.
Il faut que je trouve quelque chose, une occasion comme ça ne se représentera jamais, songea t'il.
Fébrilement il transféra alors le message vers son propre téléphone, une fois la confirmation d'envoi reçu, il effaça le message envoyé ainsi que la confirmation d'envoi.
Il remit le téléphone en place, prit aussi le document qu'il était venu chercher, alla le poser directement sur son bureau et fila à vive allure vers les toilettes ....
Le lendemain matin, les filles arrivèrent toutes les trois en matin. Florence et Eva félicitèrent une fois de plus Marie pour sa tenue.
Marie portait aujourd'hui une jupe noire qui lui arrivait en dessous du genou, sa jupe était fendue de chaque coté presque jusqu'à mi-cuisse. Elle avait mis une paire de bas noirs, ceux à large dentelle. Elle avait tout de même vérifiée qu'on ne voit pas la lisière de ses bas, par contre il fallait qu'elle fasse attention en étant assise, mais cela ne l'inquiétait pas plus que ça, cachée qu'elle était derrière son bureau. Elle portait un chemisier rouge pour compléter le tout.
Eva : Et bien dis donc tu nous fais un festival en ce moment...
Florence : Elle te va super bien, ta jupe, c'est une nouvelle.
Marie : Je l'ai acheté la semaine dernière quand je suis parti plus tôt l'autre jour.
Et en dessous, tu fais toujours partie du club, demanda Eva d'un air mutin.
Oui, dit elle en faisant voir une large jarretière noire sur le haut de sa cuisse.
Moi aussi toujours au club, dit Eva en faisant voir une paire de bas noirs également.
Elle se tournèrent toutes les deux vers Florence.
Celle ci leur dit : Aujourd'hui je peux me joindre à vous.
Elle souleva alors le coté de sa robe et leur dévoila alors une paire de bas mi-opaque.
Elles pouffèrent de rire toutes les trois et se mirent à travailler.
Il était 17h20, elles allaient bientôt partir, quand Mr Lambert entra en trombe dans le bureau des filles : Marie je suis désolé de vous imposer ça, mais il va falloir qu'on fasse un point sur le budget formation, je n'arrive pas à faire correspondre les montants.
Marie : Mais Monsieur, vous avez vu l'heure ?
Mr Lambert : Oui, j'ai vu l'heure, mais il faut absolument que le siège ait la synthèse demain matin. On se retrouve au deuxième dans la salle de réunion dans 5 minutes pour tout reprendre depuis le début.
Une fois partie, Florence chuchota : Il est gonflé quand même, il aurait pu te prévenir avant.
Marie : Bon c'est pas grave, et puis tu sais, je n'ai personne qui m'attend le soir en semaine, alors rentrer une heure de plus tôt ou plus tard.
Eva : Et bien écoute, bon courage, et puis attention... Pas de folies, ajouta-t'elle ironiquement.
Marie : Pff, c'est malin...
Marie rassembla ses affaires et se dirigea vers la salle de réunion alors que ses collègues étaient en train d'éteindre leur ordinateur et s'apprêtaient à rentrer chez elles.
Marie entra dans la salle, Mr Lambert était déjà prêt, il était à la grande table ovale en train de pianoter sur son ordinateur portable.
Mr Lambert : Venez vous asseoir à coté de moi.
Marie obéit, elle tira la chaise, s'assit, la ravança vers le bureau et commença à croiser ses jambes comme elle le fait habituellement. Elle sentit sa jupe remonter légèrement et se rappela qu'elle avait une jupe fendue.
Elle interrompit son geste et se contenta de rester assise les cuisses l'une contre l'autre, elle n'osait pas regarder, si l'on voyait la lisière de ses bas. Elle voulait réajuster sa jupe mais ne voulait pas attirer l'attention de son chef, elle préférait attendre le moment opportun.
Cela faisait maintenant une vingtaine de minute qu'ils travaillaient, Marie commençait à fatiguer installée ainsi, elle se décida à bouger afin d'être assise plus confortablement. Elle se préparait pour être aussi rapide que discrète que possible. Elle descendit ses deux mains, les posa sur ses cuisses, se leva d'un coup, tira sur sa jupe se rassit et croisa les jambes tout en tirant un peu sur sa jupe.
Mr lambert entendit encore le bruit du crissement des bas de Marie, il se tourna vers elle, et regarda vers ses jambes.
Mr lambert : Marie, depuis quelques jours vous êtes ravissante.
Surprise par cette remarque, elle lui dit un "Merci" aussi glacial que possible.
Cela ne refroidit pourtant pas Mr Lambert : Mais dites donc, ce sont de bas que vous portez, ajouta-t'il en pointant du doigt vers le bout de dentelle que l'on apercevait très nettement sur la cuisse de Marie.
Elle était toute rouge, elle n'avait pas assez descendue sa jupe, on voyant le haut du bas sur au moins 3 cm. Elle ne savait pas quoi lui répondre : Euh oui...
Mr Lambert : Je sais qu'Eva en met régulièrement, d'ailleurs je me demande si elle ne fait pas exprès de tout le temps fouiller dans son sac à main quand elle est en jupe cella-là, je suis sur qu'elle m'allume la petite garce. Mais vous je ne pensais pas...
Marie : Mais monsieur, ça ne va pas.
L'homme fit semblant de ne pas entendre, il rajouta juste : Remonte un peu ta jupe que je vois ça de plus près.
Marie : Mais attendez, mais... mais vous vous croyez ou là.
Mr Lambert : Allez, fais pas ta mijaurée.
Marie : Mais vous me prenez pour qui ???
Mr Lambert : Juste pour ce que tu es, une bonne petite salope sous des airs de Sainte ni-touche.
Après avoir dit ça, il fit glisser la souris dans l'explorateur de son ordinateur portable, il alla dans un dossier qui contenait trois fichiers. Il les ouvrit les uns après les autres, Marie se décomposa, elle ne sut quoi dire, elle mit quelques secondes avant de pouvoir bredouiller quelques mots : Mais... Mais comment...
Marie regardait avec stupeur les photos d'elle en petite tenue puis en même temps par Patrice et Michel.
Mr Lambert : Ce n'est pas prudent de laisser traîner ses affaires, encore moins son téléphone.
Elle comprit alors comment il s'était procuré les photos.
Mr Lambert : On peut s'arranger tu sais, il va falloir être gentille avec moi si tu ne veux pas que ces photos se retrouvent éparpillées un peu partout dans les salles de pause, voir même dans la boite aux lettres de ta maison. Il va même falloir être gentille, si tu vois ce que je veux dire.
Malheureusement Marie voyait très bien.
Marie : Non s'il vous plaît, pas ça.
Mr Lambert : Ne te fais prier, tu as l'air d'aimer ça si j'en crois ce que j'ai vu sur les photos.
Il posa sa main sur la cuisse de Marie et commença à remonter sa main en caressant le doux tissu : Mm c'est joli tout ça...
Le contact de la main sur sa cuisse l'électrisa et commença à sentir son intimité s'humidifier doucement : C'est pas possible, même ce gros porc me fait mouiller, mais qu'est ce qu'il m'arrive.
Sans qu'elle ne s'en rende vraiment compte elle écarta un peu les cuisses.
Son inquisiteur n'en demanda pas temps, il lui caressait maintenant l'intérieur de la cuisse et remontait petit à petit vers le string noir que portait Marie.
Très vite, il mit la main dessus et commença frotter son doigt contre la fente à travers le fin tissu. le string de Marie fut vite trempé.
Cette dernière commençait à pousser de légers soupirs de plaisir : Mmm... Han...
Mr Lambert continua son travail de sape, Marie commençait à gémir plus fort : Mmm... Ahh...
Excitée, Marie posa sa main sur la bosse qui émergeait du pantalon de son chef.
Mr Lambert ravi mais tout de même un peu surpris de cette victoire si rapide : Ah tu vois que tu aimes ça.
Il passa sa main sous le string de Marie, il passa ses doigts sur le joli triangle de poils puis descendit un peu plus bas pour y insérer un premier doigt, puis rapidement un deuxième.
Marie avait maintenant sorti le sexe de son fourreau ou il était bien à l'étroit et le caressait depuis plusieurs minutes. Elle fut surprise et un peu effrayée de la taille de cette verge, elle était aussi longue que celle de Patrice et aussi grosse que celle de Michel.
Elle se dit en elle même : Il ne paie pas de mine ce vieux vicieux, mais il est monté comme un âne.
Marie appréciait de plus en plus les caresses de Mr Lambert et lui fit savoir : Ahhh oui... Continue... Caresse moi bien...
Encouragé par ces paroles, Mr Lambert pencha son visage vers celui de Marie et l'embrassa goulument.
Marie résista un instant et offrit finalement sa bouche à son envahisseur.
Au bout d'un moment Mr Lambert se leva et dit : Viens je vais t'enlever ta jupe.
Il tira la chaise de Marie en arrière la poussa contre le bureau, il vint ensuite derrière elle, défit la fermeture de la jupe et la fit tomber au sol.
Il se plaqua alors derrière et lui passa une main sous le string. Il enfonça un doigt dans le sexe dégoulinant de désir de Marie : Ahhh... Hannnn... Ouiiii...
Mr Lambert était fou de joie, lui qui n'avait jamais eu beaucoup de succès avec la gente féminine était en train de doigter une magnifique blonde habillée comme une petite pute.
Son autre main ne reste pas inactive, il défit les boutons du chemisier puis s'empara d'un sein qu'il fit jaillir du soutien gorge, il l'empoignait à pleine main, puis il fit rouler ses doigts sur le téton qui devint tout dur.
Marie ondulait maintenant du bassin, Mr Lambert restait collé à elle en suivant le mouvement, il lui plaquait son sexe contre ses fesses. Tout en ondulant Marie se frottait à cette tige qui était dure comme de la pierre.
Mr Lambert dit ensuite à Marie : Allez tourne toi, tu vas venir me sucer.
Marie désormais docile, s'agenouilla et empoigna ce sexe qu'elle commença à le masturber, il était tellement gros et long qu'elle ne pouvait en mettre qu'environ un tiers dans sa bouche. Elle se concentrait sur le gland, elle jouait avec, l'aspirait, le léchait.
Mr Lambert poussait de longs râles de plaisir : Oufffff... Vas-y, suce moi bien... Oui... Comme ça...
Marie était tellement excitée que de son autre main, elle s'enfonça deux doigts dans son intimité et commença à les faire coulisser rapidement.
Son responsable vit son manège et se dit en lui même qu'il était tombé sur une sacrée petite salope, il lui dit : T'aimes ça me sucer hein...
Pour l'exciter encore plus, Marie lui répondit: Oui... Mmmm... J'adore sucer ta grosse bite...
Mr Lambert : Tu vas voir comment tu vas la sentir dans ta petite chatte tout à l'heure.
Marie : Ahhh je n'en peux plus... Viens me la mettre tout de suite...
Mr Lambert était désarçonné, même dans ses rêves les plus fous, il n'aurait jamais espéré que cela se passe comme ça.
Marie s'était relevée, elle se tourna et s'appuya d'une main sur le bureau, de l'autre elle empoigna l'énorme sexe qui sortait tout juste de sa bouche et l'introduit doucement dans son intimité.
Mr Lambert commença alors à baiser sauvagement Marie en la traitant de tous les noms : Tu l'aimes ma bite... Espèce de petite salope...
Mari e: AAAAAhhhhhhhh Ouuiiiii... Comme ça... Vas-y... Plus fort...
Mr Lambert : Alors elle te fait du bien...
Marie : Haaannnn Ouiiii... Elle est bonne... Hannnn... Ta grosse queue... Hannnnn.
heureusement qu'à cette heure tardive, il ne restait plus qu'eux dans les locaux, vu le bruit qu'il faisait, entre les cris de plaisir de Marie et Mr Lambert qui faisait claquer son ventre contre les fesses de Marie.
D'ailleurs depuis quelques minutes, il s'intéressait à la petite rondelle de Marie qui s'agitait sous ses yeux, il arrêta un moement de la baiser, lui écarta un peu les fesses et fit tomber un filet de salive sur son petit trou. Il reprit ensuite son rythme et enfonça un doigt dans l'anus de Marie.
Il se mit à coulisser son doigt de plus en vite, sa collaboratrice avait l'air d'apprécier : Haaaan... Mmmmmmm... Ouuuuhhhhhhhh...
Il la baisa de plus en plus fort, au bout d'un moment Marie lui dit : Hannn... J'en peux... Encule moi...
Sans attendre une seconde de plus, il retourna Marie, l'allongea sur le dos sur le bureau, lui posa les chevilles sur ses épaules et commença à pousser sa tige contre l'œillet de Marie, celui s'écarta et avala entièrement le gland. Il s'enfonçait petit à petit en se frayant un chemin au plus profond des entrailles de Marie.
Marie poussait le longs râles : Ouuuuuuhhhhh... Douuucement...
Emportée par la vague de chaleur qui coulait elle, Marie se mit à se caresser son sexe et sa poitrine.
Mr Lambert continua de sodomiser Marie, il la tenait par les chevilles et lui maintenant les jambes en V, faisant pointer les talons de ces chaussures vers le plafond.
Il flottait également sa joue contre les compas de Marie qui étaient toujours emprisonnés dans ses délicieux bas noirs, le contact de sa joue contre ce fin tissu l'électrisait. Au bout d'un moment il se mit également à lécher les mollets de Marie.
Marie : Hannnn... Elles te plaisent Hannnn... Mes jambes ???
Mr Lambert : Ahh oui... Tu m'excites quand tu es habillée comme ça...
Marie : Hannn... Oui... Hann... Moi aussi... Han... Ca m'excite...
Mr Lambert : Maintenant tu ne porteras plus que des bas... Compris...
Marie : Hannnn... Oui... Han... Plus que des bas...
Mr Lambert : Comme ton autre petite pute de collègue Eva, je sais qu'elle met des bas aussi...
Marie : Hannn... Oui... Han... Elle aussi... Mmmmm... En met...
Mr Lambert : Elle aussi mériterait que je la baise... d'ailleurs tu vas m'aider à la baiser...
Marie ne répondit pas à cette question, malgré la fièvre qui la possédait, elle ne voulait pas mêler ses amies à ça.
Mr Lambert : Tu'as intérêt de m'aider... N'oublie pas les photos...
Marie : Hnnn... Oui... D'accord...
Mr Lambert avait gagné, non seulement il était en train de posséder Marie par son fondement, mais celle ci allait bientôt l'aider pour qu'il puisse aussi profiter des charmes d'Eva.
C'en était top pour lui, il envoya sa semence dans les entrailles de Marie, épuisé, il s'allongea sur Marie et lui arracha un baiser fiévreux.
Ils se relevèrent ensuite tous les deux et remirent de l'ordre dans leur tenue. En se rhabillant ils ne s'adressèrent pas un mot. Marie se demandait ce qui était en train de lui arriver, elle qui était si prude et si réservée succombait maintenant aux avances du premier venu et y trouvait beaucoup de plaisir. Elle se rappelait également qu'elle avait dit à son responsable qu'elle l'aiderait à piéger sa collègue Eva.
Mr Lambert de son coté était en train de se demander s'il n'avait pas rêvé, au bout d'un moment il se rendit compte que tout cela était bien réel. Il se dit même qu'il pourrait essayer de continuer de profiter des charmes de sa subalterne, mais sans la forcer cette fois. Il était en effet très étonné des initiatives qu'elle avait prises ainsi que du du plaisir qu'elle avait ressenti.
Il dit tout simplement : On recommencera ce genre de réunion tardive, il me semble que vous avez apprécié n'est ce pas ma petite Marie ?
Celle ci lui répondit d'un sourire mutin : Pourquoi pas Mr Lambert.
Mr Lambert : Et n'oubliez pas, vous devez m'aider pour Eva.
Marie lui répondit cette fois avec un tremolo dans la voix : Non, je n'ai pas oublié... Je vous aiderai.
Mr Lambert : Bon, bous pouvez y aller je finirai tout seul.
Marie : D'accord.
Au moment ou elle tourna les talons, elle sentit une main lui déposer une petite claque sur les fesses, puis elle s'éloigna sentant à chaque pas la sève de Mr Lambert qui lui dégoulinait le long des cuisses jusqu'en haut de ses bas.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tout à fait charmant....et bandant.
vive les femmes coquines au travail :)