Les Aventures de Marie
Récit érotique écrit par Zoorg35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 19 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Zoorg35 ont reçu un total de 297 085 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 32 558 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les Aventures de Marie
Marie se préparait pour sortir, ce soir elle allait au restaurant avec ses collègues. Benoit, son mari, une fois de plus était en déplacement, en effet, avec son travail de consultant en informatique, il réalisait souvent des missions assez longues chez des clients dans toute la France.
Marie avait finie par s'accommoder de cette situation, et c'est souvent qu'elle sortait avec ses collègues Florence et Eva. Elles travaillent toutes les trois au service comptabilité d'un groupe français d'agro-alimentaire et ont à peu près le même âge.
Florence a 29 ans, est mariée, brune, plutôt grande est élancée, 1m75 pour 58 Kg. Malgré sa grossesse, elle a toujours un corps à faire tomber les hommes et rendre jalouse les autres femmes. Elle s'habille souvent classique mais chic, tailleurs cintrés, pantalons en toile près du corps. Son petit garçon a maintenant 3 ans et ces sorties hebdomadaires lui permettent un peu de s'échapper du train-train quotidien.
Eva a 24, elle est encore célibataire, elle est également brune et un peu plus petite que Florence mais avec des formes plus généreuses. Elle se contente pour l'instant de papillonner ici et là. Il lui arrive parfois de raconter ses aventures à ses collègues, ce qui a souvent pour effet de gêner la prude Marie et au contraire d'émoustiller Florence.
Marie quant à elle va bientôt avoir 26 ans. Elle mesure 1m 65, est blonde assez mince et avec une jolie petite poitrine. Avec son mari Benoit, ils n'ont pas encore d'enfants. Marie ne sent pas encore prête pour assumer le rôle de mère, de plus les fréquents déplacements ce Benoit ne l'incitent pas non plus à franchir le pas.
Marie finissait donc se préparer pour sa sortie du jeudi soir, on était en plein mois de septembre, il faisait encore assez doux. Elle avait choisi de mettre une petite jupe grise assez légère qui lui arrivait au dessus du genou avec un chemiser blanc et un petit gilet gris. Elle portait également un joli petit string blanc et le soutien gorge assorti. Elle avait longuement hésité entre un collant et une paire de bas, elle avait finalement opté pour les bas car ce soir elle avait envie de se sentir belle et désirable.
Une fois au restaurant, elles passèrent, comme d'habitude, la soirée à refaire le monde. Tout le monde y passa, les hommes, le boulot, les collègues, mais une fois de plus, Mr Lambert leur chef de service occupa une place de choix parmi ces discussions. Il devait avoir une quarantaine d'années, petit, un peu enrobé avec un physique banal. Mais c'est surtout son regard et ses attitudes qui dérangeaient les filles, il était notamment très tactile.
Quand il allait voir une de ses collaboratrices, il ne pouvait s'empêcher de la toucher, c'était souvent innocent, comme une main sur l'épaule, mais c'était systématique. Il avait également tendance à reluquer les jambes de ces dames quand celles ci portaient des jupes et souvent son regard avait une fâcheuse tendance à plonger dans les décolletés.
Florence : Dis donc marie, t'es es toute pimpante ce soir, ce n'est pas souvent qu'on te voit en jupe.
Marie : Oh merci du compliment, mais c'est sur que ce n'est pas au travail que tu me verras avec une jupe, sauf quand Mr Lambert est en congés ou en déplacement. Et puis ce soir, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envie de me faire belle...
Eva : Ahhhh Monsieur Lambert, quel gros dégueulasse celui là, l'autre jour en faisant le point sur les impayés, il est venu à coté de moi et comme d'habitude, il n'a pas pu s'empêcher de mettre la main sur l'épaule.
Marie : Vous comprenez pourquoi je me mets rarement en jupe quand il est là, avec ses mains baladeuses et son regard vicelard, cela ne me tente pas vraiment...
Eva : Moi aussi j'ai bien vu son petit manège, mais moi, je fais tout le provoquer... Ce gros porc.
Florence : Et bien dis donc tu n'as pas froid aux yeux toi... Moi je ne m'y risquerai pas, mais tu fais quoi pour l'allumer ?
Eva : Et bien souvent quand je suis en jupe, je mets une paire de bas, et comme je sais que dès que je recule ma chaise d'un mètre il a une vue imparable sur ses jambes, et bien je lui donne la matière à regarder.
Marie : Mais tu es folle, il va croire que tu le dragues...
Eva : mais ne t'inquiètes pas, je fais ça de manière discrète, je lui fais croire que c'est involontaire, en fait j'ai une technique, je recule ma chaise d'un bon mètre, je me tourne un peu sur la droite et je me penche pour faire sembler de chercher quelque chose dans mon sac qui est à terre. Quand je fais ça, ma jupe a tendance à remonter, il peut alors constater que je porte des bas, ca se trouve il voit même la couleur de ma culotte. Cela ne dure que 5-6 secondes, mais je suis sur qu'il en prend plein les yeux.
Florence : Et bien dis donc, je ne vais plus jamais oser prendre quelque chose dans mon sac.
Eva : En plus quand je lui fais le coup, il devient tout rouge et peu de temps après il quitte son bureau pour aller aux toilettes... Je suis sur qu'il va soulager en se faisant une petite branlette...
Sur ce commentaire, les trois jeunes filles éclatèrent de rire, la soirée se poursuivit et au moment de quitter le restaurant pour aller prendre un verre dans un pub juste à coté, Florence leur fit faux bond.
Florence : Pour le dernier verre, ce sera sans moi les filles, je suis fatiguée et je ne me sens pas très bien.
Marie : Bon bah tant pis, et puis moi aussi je suis un peu fatiguée, je crois que je vais rentrer également, tu ne nous en veux pas Eva ?
Eva : Non ce n'est pas grave, vous n'avez quand rentrer, comme ça en plus vous ne me ferez pas concurrence ce soir, je vais essayer de me dégotter un mec pour la soirée...
Marie : Décidément, tu es incorrigible...
Florence : Bon et bien amuses toi bien... Je compte sur toi pour nous dire si la pèche a été bonne
Sur ce, Florence et Marie rentrèrent respectivement chez elles, tandis qu'Eva les quittait pour se mettre en "chasse"...
************************************
Patrice força le serrure de la porte de derrière, avec son compère Michel, ils avaient observé les habitudes des propriétaires, le mari était en déplacement et la femme était sortie. Ils avaient attendu la nuit pour venir cambrioler cette maison et ils savaient qu'ils avaient encore environ une heure pour réaliser leur larcin. Patrice et Michel avançaient silencieusement dans la maison vide la lampe torche à la main. Ils fouillaient méthodiquement chaque pièce de la maison, ils cherchaient principalement de l'argent, des bijoux, des chéquiers,...
Patrice était en train de fouiller la chambre de Marie, il regardait dans tous les tiroirs et tomba sur le tiroir ou elle rangeait ses sous vêtements. Il y avait un peu de tout : des slips en coton du genre "petit bateau", des slips, des strings et des boxers beaucoup plus jolis et sexy, il trouva même, "oublié" tout au fond du tiroir un superbe ensemble en dentelle blanche composé d'un string qui était quasiment transparent, du soutien gorge assorti ainsi que d'un très joli porte-jarretelles blanc avec une large ceinture de maintien. Il y avait également sous l'ensemble deux pochettes en plastique qui contenaient chacune une paire de bas, des noirs et des gris.
Benoit avait acheté cet ensemble à Marie pour la Saint-Valentin, elle ne l'avait mis qu'une fois le soir même, Benoit avait insisté pour qu'elle passe l'ensemble afin de vérifier si tout allait bien au niveau de la taille. Elle l'avait ensuite ôté et ne l'avait plus jamais remis. Sans le dire à son mari, elle trouvait que cela faisait un peu "pute". Malgré tout elle se disait en elle même qu'un jour elle le remettrait pour faire plaisir à son mari, mais elle ne l'avait toujours pas fait.
A la vue de ces jolis sous vêtements, Patrice se surprit à avoir un début d'érection, il est vrai que cela le changeait des grosses culottes taille 46 qu'il avait souvent l'occasion de découvrir lors de ses visites nocturnes.
Un bruit le sortit de sa douce rêverie, c'était la porte d'entrée qui venait de s'ouvrir...
Il éteignit vite sa lampe et se cacha derrière l'armoire.
Patrice se dit alors: Putain c'est pas vrai, elle devait pas rentrer avant une heure... Il faut absolument qu'on se tire.
Le problème pour Patrice était que pour ressortir par où ils étaient venus, il fallait qu'il passe devant la porte d'entrée, c'est pourquoi il se cacha derrière le coté de l'armoire de la chambre de Marie en attendant de pouvoir tenter une sortie.
Patrice : Merde, j'espère qu'elle ne va pas venir ici tout de suite que je puisse me barrer... Et Michel, pourvu qu'il ait eu le temps de se planquer aussi.
Patrice entendit un bruit de clés que l'on pose, Marie venait de les laisser comme tous les soirs sur la commode près de la porte d'entrée. Il commençait à devenir très nerveux et scrutait la chambre pour essayer de trouver une meilleure cachette, il tomba alors sur le valet de chambre qui était le long du mur juste à coté de lui.
Il se dit alors : Faut pas que je reste ici, si elle rentre dans la chambre, elle va forcement venir poser ses affaires ici.
Au moment ou il se disait ça, Marie entra dans la chambre et se dirigea tout droit vers son valet de chambre, elle tomba alors nez à nez avec Patrice, elle poussa alors un cri strident qui fit trembler les tympans de Patrice. Celui-ci se jeta alors sur elle en lui plaquant sa main sur la bouche pour l'empêcher d'ameuter tout le voisinage. Il la projeta ensuite sur le lit en la retournant. Sans qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, Marie se retrouva allongée sur le ventre, d'une main Patrice lui bloquait les deux bras derrière son dos et de l'autre il étouffait ses cris.
Patrice appela alors Michel à la rescousse : Michel t'es là, putain viens m'aider...
Michel fit irruption dans la chambre, quand Marie est rentrée il était en train d'inspecter le salon et s'était dissimulé derrière le canapé quand il l'a entendu rentrer.
Patrice : Viens m'aider à l'attacher... Regarde dans les tiroirs, j'ai vu des collants, va en chercher, on va l'attacher avec...
Michel alla fouiller dans les tiroirs de l'armoire, il finit par tomber sur celui ou Marie rangeait ses collants, il en prit une poignée qu'il vint poser sur le lit.
Michel sortit alors un cran d'arrêt de la poche de son jean, il fit sortir la lame qu'il mit sous l'œil de Marie en lui disant : Écoute ma belle, on va t'attacher au lit le temps que l'on décide de ce que l'on va faire de toi...
Patrice relâcha alors son étreinte, la retourna dos sur le lit, puis ils lui attachèrent les bras et les pieds aux quatre coins du lit, Patrice apporta une petite touche finale au tableau en lui fourrant une des culottes "petit bateau" dans la bouche pour l’empêcher de crier.
Marie était maintenant ligotée sur le lit une petite culotte dans la bouche, ses larmes avaient fait dégouliner son mascara sur son visage. Elle était terrorisée, elle se demandait ce qu'ils allaient faire d'elle, elle se mit à imaginer le pire, elle repensa à ses parents, son mari, ses copines, l'enfant qu'elle n'avait pas encore eue.
Pendant ce temps, Patrice et Michel étaient devant la porte de la chambre à coucher en pleine concertation. Marie les observait avec attention essayant de savoir ce qu'ils allaient faire d'elle. Patrice était grand et athlétique. Il devait mesurer environ 1 m 85 et devait avoir la quarantaine. Il avait les cheveux grisonnants, c'était plutôt un bel homme. Son acolyte avait à peu près le même âge, il était plus petit mais avait l'air aussi athlétique. Il avait le cheveu un peu long et gras. Il n'était ni moche ni beau, il avait en fait un physique assez quelconque.
Michel : Putain qu'est ce qu'on va faire, si elle nous balance aux flics avec mon casier et ma conditionnelle, je risque de prendre pas mal cette fois...
Patrice : Je sais bien, tu crois que c'est diffèrent pour moi, avec mon passif, il ne va pas me louper le juge cette fois.
Michel : Qu'est ce qu'on va faire...
Patrice regarda Marie, elle se débattait comme un misérable ver sur le lit, en essayant de se défaire de l'étreinte des collants, elle avait fait un peu remonter sa jupe, Patrice distinguait ainsi très nettement la jarretière de ses bas.
Il dit à Michel : Je crois que j'ai une idée, mais laisse moi faire, OK ?
Michel : OK, mais j'espère qu'elle est bonne...
Patrice : T'inquiètes si ça se passe comme je l'espère tu risques de ne pas être déçu.
Patrice alla alors s'asseoir sur le lit à coté de Marie, Michel quant à lui, alla s'asseoir sur un fauteuil au coin de la chambre.
Patrice : Tu sais ma chérie, on ne te veut pas de mal, bien au contraire et si tu te montres gentille avec nous, on aura aucune raison de te faire du mal.
Tout en lui disant ça, Patrice avait remonté la jupe de Marie sur son ventre, et il lui caressait l'intérieur des cuisses, passant sans cesse de ces bas vers la peau de ses jambes.
Marie était pétrifiée, elle n'osait plus bouger, elle fermait les yeux, tout ce qu'elle sentait c'était le souffle de Patrice dans son cou.
Patrice se décida à passer à la vitesse supérieure, il passait maintenant son majeur sur le string de marie, il sentait les formes de sa fente à travers le tissu. Comme elle était attachée en croix sur le lit, il n'avait aucun mal pour accéder à l'intimité de sa victime.
Marie ne disait toujours rien, elle se forçait à fermer les yeux et se disait en elle même : Vivement qu'il tire son coup, comme ça il me laissera tranquille après...
Après quelques minutes de ce traitement, Patrice accéléra les choses, il écarta délicatement le string de Marie et commença à la caresser. Il passa ses doigts le long du sexe de Marie, celui-ci était soigneusement épilé, et son pubis était orné d'un joli petit triangle de poils blonds. Patrice était très doux et délicat dans ses gestes, il voulait faire naître l'excitation dans le bas ventre de sa captive.
Marie s'efforçait de penser à autre chose, mais elle commençait à sentir une vague de chaleur qui montait de son entre-jambe, elle essayait de la combattre, mais elle avait de plus en plus de mal.
Patrice sentait que le fente de Marie commençait à d'humidifier, il décida alors d'introduire de son majeur dans le sexe de Marie, celle-ci poussa un léger soupir, Patrice ne savait pas si c'était un soupir de douleur ou de plaisir.
Le doigt de Patrice continua de fouiller délicatement l'intimité de sa victime, le sexe de Marie était maintenant trempé, Patrice inséra alors un deuxième doigt, Marie poussa également un soupir beaucoup plus sourd celui-là, cette fois il en était sur elle commençait à être sérieusement excitée.
Celait faisait maintenant 30 minutes que Patrice caressait Marie, son bassin de Marie ondulait maintenant au rythme des doigts de Patrice, elle avait les souffle court et ses joues commençaient à rougir. Patrice ôta alors le "bâillon" de la bouche de Marie, son souffle était court, Patrice lui dit : Alors, ça te plaît ce que je suis en train de te faire ?
Marie ne put répondre que par un petit "Mmm.."
Patrice fut déçu de la réponse de marie, vu les longues minutes qu'il avait passé à la caresser, il s'attendait à une réponse plus expressive.
Il lui dit alors : Madame est exigeante à ce que je vois, ce n'est pas grave, je vais te sortir le grand jeu.
Patrice descendit son visage jusqu'au sexe de Marie, celle-ci se dit : "Mon dieu, il va finir par me faire jouir, je ne vais plus tenir très longtemps.."
Il commença à passer sa langue sur la fente de Marie, tout en continuant à la fouiller avec ses deux doigts. Marie mouillait maintenant abondamment, son bassin ondulait frénétiquement, Patrice avait même du mal à maintenir sa langue sur son sexe.
Elle devenait maintenant plus expressive :"Mmmmmm... Ahhhhhhhh."
Patrice : Alors tu préfères comme ça ??
Marie : Mmm.. Ouii..
Patrice rajoutait d'une voix beaucoup, plus autoritaire : J'ai pas bien entendu, tu aimes ça te faire lécher la chatte..
Les paroles crues de patrice ne firent qu'exciter encore un peu plus Marie qui finit par lâcher : Ohh... Ouiiiiiii... Ahhh... Putain...
Celui retourna alors à son ouvrage, cette fois avec un troisième doigt il commença à titiller l'anus de Marie, il décrivait des cercles avec son doigt tout autour de son petit trou.
Marie n'en pouvait plus : Ouuhhhhhhhh... Ahhhhh.. .Mmmmmm... Ouiiiiiiiiiii, vas-y continue...
Patrice : Alors tu aimes ça ??
Marie : Ohhh... OUI... J'aime ça...
Patrice continuait à explorer chaque pli de l'intimité de Marie avec sa langue, il avait même maintenant inséré un doigt dans l'anus de Marie.
Marie était folle, son bassin était devenu incontrôlable, elle gémissait de plus en plus : Ouuuuuuuuhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Continue...
Patrice avait de plus en plus en mal à continuer son travail de sape... Il décida alors de passer aux choses sérieuses.
Il s'adressa à Michel qui regardait avidement la scène tout en en se caressant par dessus son pantalon : Viens la détacher, on va passer aux choses sérieuses.
Michel se leva et avec son cran d'arrêt déchira les collants qui maintenaient Marie attachée aux barreaux du lit. Une fois sa tache accomplie Michel retourna s'asseoir dans le fauteuil.
Patrice ordonna alors à Marie: Mets toi à quatre pattes sur le lit.
Marie obéit sans dire un mot, elle se mit à quatre pattes et entendit un bruit de ceinture et un bruit de fermeture éclair.
Marie sentit alors un gland qui allait et venait tout le long de son intimité, elle soupirait de plaisir : Ahhh vas y... Prends moi...
Patrice s'enfonça alors d'un coup sec qui fit lâcher un long gémissement à Marie, puis il commença la pénétrer régulièrement...
Marie gémissait maintenant de plus en plus fort : Ohhhhhh oui... Continue... T'arrêtes pas... Encore... Mmmmmmmmm...
Marie n'avait pas vu le sexe de son "bourreau" mais vu les sensations qu'elle éprouvait, il n'y avait aucun doute qu'il était plus long que celui de son mari, pas forcement plus gros mais au moins plusieurs centimètres de plus...
Devant cette scène, Michel commençait lui aussi à être très excité, il défit les boutons de son pantalon et en sortit un sexe impressionnant, il était moins long que celui de son collègue mais il était très épais, parcouru par de grosses veines qui accentuaient encore en peu plus l'aspect gigantesque de la bête.
Il commençait maintenant à se masturber doucement sous le regard de Marie. Cette dernière haletait sous les coups de boutoir de son partenaire, même si intérieurement elle essayait toujours de lutter, son corps avait pris le dessus sur sa volonté et elle ne pouvait s'empêcher de cacher le plaisir qu'elle éprouvait.
Patrice s'adressa à Michel : Ne reste pas planter là, viens donc sur le lit, madame va s'occuper de toi...
Puis il lança à Marie : Tu vas sucer mon pote, et t'as intérêt de t'appliquer...
Michel vint alors s'allonger sur le lit, il descendit un peu son boxer et son pantalon afin que Marie puisse s'occuper correctement de lui.
Patrice poussa alors un peu Marie pour la rapprocher du sexe de son complice, elle s'accouda sur le lit avec son bras gauche, puis de sa main droite elle commença à masturber doucement le sexe de Michel.
Elle était fascinée par se sexe dressé devant elle, il ne sentait pas très bon, un mélange d'urine et de transpiration, mais il était d'une telle taille.. Et ces veines... Elle n'en avait jamais vu d'aussi imposant avant.
Patrice mit un terme à la contemplation de Marie : Arrête un peu de l'astiquer... Je crois que je t'ai dit de le sucer...
Marie fit encore quelques aller-retours avec sa main sur la verge de Michel, puis elle se pencha pour donner un petit coup de langue sur le gland, le goût était un peu moins pire que ce à quoi elle s'attendait.
Rassurée par ce premier contact elle se mit alors à lécher le gland tout comme elle l'aurait fait avec une glace. Il faut dire que Marie n'avait presque aucune expérience en matière de fellation, son mari n'y avait que très rarement droit, et les rares fois ou son sexe pouvait profiter de la langue de Marie, c'était par l'intermédiaire d'un préservatif.
Mais Marie apprenait vite, entraînée par l'excitation, elle faisait maintenant tournoyer sa langue tout autour du gland de Michel tout en lui caressant la tige, elle alternait les caresses, tantôt elle léchait, tantôt elle aspirait, tantôt elle suçait.
Devant les progrès de son élève Michel lui lança : Lèche moi un peu les couilles ma belle...
Marie hésita quelques secondes, puis inconsciemment, comme hypnotisée, elle commença à faire descendre sa langue le long de la tige de Michel. Elle donna un premier coup de langue, elle retrouva l'odeur et le goût désagréable du début, mais elle finit par s'y accommoder une nouvelle fois. Elle lapait maintenant avidement les testicules de Michel tout en la masturbant. Elle en prit même une dans sa bouche, qu'elle se mit à faire tanguer avec sa langue.
Michel poussait de longs râles de plaisir, d'ailleurs il semblait très satisfait des caresses buccales que lui procurait Marie : Ahhhh... putain. c'est trop bon, ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas sucé comme ça... Une vraie pro la petite.
Patrice lui répondit en rigolant : Parce que tu t'es déjà fait sucer toi...
Michel rigola un peu jaune à cette remarque : Ah t'es malin toi...
Puis comme pour contrarier Michel, Patrice se mit à pilonner Marie de plus en plus en fort, ses cris étaient maintenant beaucoup plus significatifs : Ahhh. Ouiiiiii... Vas-y... Plus fort...Encore...
Patrice y allait tellement fort que marie avait été obligée de délaisser le sexe de Michel, celui s'en plaint aussitôt : Ehhh va moins vite, elle arrive même plus à me sucer tellement tu la secoues...
Patrice : T'inquiètes... C'était pour rire...
Patrice arrêta alors de baiser Marie, Michel lui remit aussitôt son sexe dans a bouche qu'elle recommença à sucer avec application.
Marie était étonnée qu'il la laisse comme ça, elle se dit qu'il allait peut-être vouloir se faire sucer lui aussi, mais hélas, elle sut rapidement ou il voulait en venir quand elle sentit le sexe de patrice appuyer sur son anus.
Marie : Non pas par là, j ne l'ai jamais fait..., supplia t'elle à Patrice....
Patrice : T'inquiètes pas ma belle, toutes celles qui y ont eu droit en ont redemandé après...
Marie : Ahhh noon,..
Patrice enfonçait tout doucement son gland dans les entrailles de Marie, il y allait sans forcer, millimètre par millimètre. Il ne voulait pas lui faire mal, il voulait au contraire qu'elle y prenne un réel plaisir afin de finir de la briser psychologiquement.
Marie continuait de crier de douleur : Nooon, s'il vous plaît...
Le gland de Patrice avait fini par rentrer complètement, il s'arrêta pour laisser Marie s'habituer à cette nouvelle sensation. Il passa ensuite sa main sous le ventre de Marie, lui planta deux doigts dans le vagin et se mit à la caresser doucement.
Au bout de quelques minutes, Marie se remit à onduler du bassin, tout d'abord de manière latérale, Patrice sentait ici la rosette de Marie se décontracter. Puis quelques minutes plus tard, elle se mit à onduler d'avant en arrière, s'empalant elle même sur se sexe qui était planté dans son cul, dans un premier temps Patrice la laissa faire, puis il se mit également à faire avancer son bassin.
Son sexe rentrait progressivement mais sûrement dans le cul de Marie, cette dernière avait maintenant l'air d'apprécier ce traitement : Ohh oui... Doucement... Vas-y... Mmmmmmm.
Voyant que Marie s'était quelque peu assagie, Michel lui recolla son sexe dans la bouche, celle ci se mit alors à sucer Michel avec une frénésie intense, ses gestes étaient maintenant beaucoup plus francs.
Patrice remarqua l'ardeur avec laquelle elle gobait maintenant le bite de son copain, il donna lui aussi beaucoup plus d'ampleurs à ses mouvements. Marie gémissait de plus en plus fort, mais cette fois elle arrivait à poursuivre sa fellation.
On entendait plus dans la chambre que les bruits de sussions obscènes que faisait Marie, les claquement de fesses contre Patrice et les soupirs de Michel.
Au bout d'un moment Patrice se crispa et cria : Ahh putain... La salope.
Puis en 2-3 aller-retours il se vida complètement dans les entrailles de Marie. Il resta encore quelques secondes enfoncé en elle, il finit par se retirer et s'adressa à son compère : Tu peux venir, si tu veux, la place est chaude.
Celle-ci fut submergée par une sensation étrange, elle sentait ce liquide chaud dans ses entrailles, elle avait l'impression d'être "ailleurs".
Michel fit le tour du lit et vint se placer à son tour derrière Marie, celle ci, vaincue ne dit rien et posa même sa tête sur le lit pour se cambrer encore plus.
Michel lui dit : Tu m'as tellement bien sucé que je crois que je vais pas pouvoir te baiser longtemps, alors comme j'ai envie de profiter de ton petit trou de balle je vais t'enculer tout de suite...
Marie : Non pitié, pas ça... Vous êtes trop gros vous allez me déchi... Ouuuuuuuuhhhhhhhhhh...
Marie n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que Michel lui avait déjà planté son dard dans l'anus. Il n'avait pas eu trop de difficultés à s'enfoncer, son compère lui avait préparé le chemin...
Marie mit de nouveau quelques minutes à s'habituer à ce calibre moins long mais beaucoup plus gros que celui de Patrice. Sa rondelle se détendit et Michel put commença à la pistonner.
Michel était beaucoup plus loquace que son collègue : Alors elle te plait ma bite...
Marie : Ahh... Ouiii.
Michel : c'est quoi qui te plaît, salope ???
Marie : Ahhhhhhh.. Ta...
Michel : Ma quoi ?????
Marie : Ahhh... Ta bite.
Michel : tu t'es jamais prise une bite comme ça dans le cul, t'aimes ça petite pute...
Marie : Ahhh ouiiiiiiii, J'aime ça... Ahhhhhhhhh.
Michel : C'est autre chose quel celle de ton mari, hein... Tu préfères la mienne.
Marie : Ohhh oui... J'aime mieux... La tienne... Ahhhhhhhh.
Michel : Et pourquoi tu préfères la mienne ???
Marie : Ahhhhh... Parce qu'elle est... Ahhhhh... Plus grosse...
Pendant ce temps là Patrice s'était rhabillé, il s'était placé de trois quarts derrière Michel et marie et était en train de faire des photos avec son iphone. La scène était sans équivoque, on y voyait Marie à quatre pattes le cul en l'ait sur le lit, elle portait toujours ses jolis bas couleur chair, son string que Patrice lui avait seulement écartée et sa jupe qui était repliée sur son dos.
Patrice admirait la dizaine de clichés qu'il venait de prendre, on y voyait Marie en train de faire copieusement sodomiser par Michel. En regardant les photos, il se dit qu'il manquait quelque chose... Le son. Il prit alors une petite vidéo avec son téléphone, on y entendait sans équivoque les cris de plaisir de Marie ainsi que les paroles très crues qu'elle échangeait avec Michel.
Pendant ce temps là, Michel pistonnait Marie sans relâche : Ahhh putain, il est trop bon ton petit cul...
Marie : Ahhh... Ouiiiiii... Bourre mooooooi... Salaud.
Michel : Alors t'aimes ça la bite dans le cul...
Marie : Ahhhhhh... J'aime çaaaaaa...
Michel : T'aimes quoi salope ???
Marie : Ohhhhh me faire... Ahhhhhhhh... Baiser le cul...
Michel sentait qu'il allait exploser, il sortit du cul de Marie, la releva, la retourna et lui éjacula sur le visage. Il n'eut pas le temps de viser et le premier jet atterrit du front jusqu'au nez de Marie, il réussit à envoyer les suivants vers sa bouche.
Michel : Tiens prends ça... Ahhhhhhhhh.
Surprise, Marie n'eut pas le temps de fermer la bouche tout de suite, une giclée lui atterrit tout droit sur sa langue, les autres s'écrasèrent sur ses lèvres. Elle recracha aussitôt le sperme qui dégoulina sur son chemisier.
Marie était méconnaissable, son maquillage avait coulé le long de ces joues, elle était en sueur et son visage était maculé de sperme.
Michel, quant à lui prit un morceau d'un collant qui était sur le lit et s'essuya le sexe avec, il se rhabilla. Patrice prit alors la parole : Écoute ma belle, quand tu iras voir les flics pour déclarer le cambriolage, tu as plutôt intérêt à leur dire que quand tu es rentrée, tu n'as vu personne, sinon je sens que ton mari et les personnes de ton boulot pourront profiter des photos et vidéo que j'ai dans mon téléphone.
Marie : Non je vous en prie... Pas ça...
Patrice : Si tu te tiens à carreau, il n'y aura pas de soucis... compris ???
Marie : Oui...
Patrice et Michel partirent discrètement par ou ils étaient venus, laissant la pauvre Marie, à la fois enivrée par les sensations qu'ils avaient fait naitre en elle, mais également tellement honteuse de s'être laissée aller de la sorte.
De leur coté Patrice et Michel s'éloignaient bien contents de leur soirée.
Michel : Bon bah on est rentré les mains vides, mais au moins on a pas que nos mains qui sont vides...
Patrice : Tu l'as dit, et heureusement que j'étais là pour te sauver la mise, si t'avais été seul, tu te serais encore foutu dans de beaux draps
Michel : En tout cas, moi je repasserai bien la voir la petite un de ces jours...
Patrice : T'emballe pas, on verra.
Marie avait finie par s'accommoder de cette situation, et c'est souvent qu'elle sortait avec ses collègues Florence et Eva. Elles travaillent toutes les trois au service comptabilité d'un groupe français d'agro-alimentaire et ont à peu près le même âge.
Florence a 29 ans, est mariée, brune, plutôt grande est élancée, 1m75 pour 58 Kg. Malgré sa grossesse, elle a toujours un corps à faire tomber les hommes et rendre jalouse les autres femmes. Elle s'habille souvent classique mais chic, tailleurs cintrés, pantalons en toile près du corps. Son petit garçon a maintenant 3 ans et ces sorties hebdomadaires lui permettent un peu de s'échapper du train-train quotidien.
Eva a 24, elle est encore célibataire, elle est également brune et un peu plus petite que Florence mais avec des formes plus généreuses. Elle se contente pour l'instant de papillonner ici et là. Il lui arrive parfois de raconter ses aventures à ses collègues, ce qui a souvent pour effet de gêner la prude Marie et au contraire d'émoustiller Florence.
Marie quant à elle va bientôt avoir 26 ans. Elle mesure 1m 65, est blonde assez mince et avec une jolie petite poitrine. Avec son mari Benoit, ils n'ont pas encore d'enfants. Marie ne sent pas encore prête pour assumer le rôle de mère, de plus les fréquents déplacements ce Benoit ne l'incitent pas non plus à franchir le pas.
Marie finissait donc se préparer pour sa sortie du jeudi soir, on était en plein mois de septembre, il faisait encore assez doux. Elle avait choisi de mettre une petite jupe grise assez légère qui lui arrivait au dessus du genou avec un chemiser blanc et un petit gilet gris. Elle portait également un joli petit string blanc et le soutien gorge assorti. Elle avait longuement hésité entre un collant et une paire de bas, elle avait finalement opté pour les bas car ce soir elle avait envie de se sentir belle et désirable.
Une fois au restaurant, elles passèrent, comme d'habitude, la soirée à refaire le monde. Tout le monde y passa, les hommes, le boulot, les collègues, mais une fois de plus, Mr Lambert leur chef de service occupa une place de choix parmi ces discussions. Il devait avoir une quarantaine d'années, petit, un peu enrobé avec un physique banal. Mais c'est surtout son regard et ses attitudes qui dérangeaient les filles, il était notamment très tactile.
Quand il allait voir une de ses collaboratrices, il ne pouvait s'empêcher de la toucher, c'était souvent innocent, comme une main sur l'épaule, mais c'était systématique. Il avait également tendance à reluquer les jambes de ces dames quand celles ci portaient des jupes et souvent son regard avait une fâcheuse tendance à plonger dans les décolletés.
Florence : Dis donc marie, t'es es toute pimpante ce soir, ce n'est pas souvent qu'on te voit en jupe.
Marie : Oh merci du compliment, mais c'est sur que ce n'est pas au travail que tu me verras avec une jupe, sauf quand Mr Lambert est en congés ou en déplacement. Et puis ce soir, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envie de me faire belle...
Eva : Ahhhh Monsieur Lambert, quel gros dégueulasse celui là, l'autre jour en faisant le point sur les impayés, il est venu à coté de moi et comme d'habitude, il n'a pas pu s'empêcher de mettre la main sur l'épaule.
Marie : Vous comprenez pourquoi je me mets rarement en jupe quand il est là, avec ses mains baladeuses et son regard vicelard, cela ne me tente pas vraiment...
Eva : Moi aussi j'ai bien vu son petit manège, mais moi, je fais tout le provoquer... Ce gros porc.
Florence : Et bien dis donc tu n'as pas froid aux yeux toi... Moi je ne m'y risquerai pas, mais tu fais quoi pour l'allumer ?
Eva : Et bien souvent quand je suis en jupe, je mets une paire de bas, et comme je sais que dès que je recule ma chaise d'un mètre il a une vue imparable sur ses jambes, et bien je lui donne la matière à regarder.
Marie : Mais tu es folle, il va croire que tu le dragues...
Eva : mais ne t'inquiètes pas, je fais ça de manière discrète, je lui fais croire que c'est involontaire, en fait j'ai une technique, je recule ma chaise d'un bon mètre, je me tourne un peu sur la droite et je me penche pour faire sembler de chercher quelque chose dans mon sac qui est à terre. Quand je fais ça, ma jupe a tendance à remonter, il peut alors constater que je porte des bas, ca se trouve il voit même la couleur de ma culotte. Cela ne dure que 5-6 secondes, mais je suis sur qu'il en prend plein les yeux.
Florence : Et bien dis donc, je ne vais plus jamais oser prendre quelque chose dans mon sac.
Eva : En plus quand je lui fais le coup, il devient tout rouge et peu de temps après il quitte son bureau pour aller aux toilettes... Je suis sur qu'il va soulager en se faisant une petite branlette...
Sur ce commentaire, les trois jeunes filles éclatèrent de rire, la soirée se poursuivit et au moment de quitter le restaurant pour aller prendre un verre dans un pub juste à coté, Florence leur fit faux bond.
Florence : Pour le dernier verre, ce sera sans moi les filles, je suis fatiguée et je ne me sens pas très bien.
Marie : Bon bah tant pis, et puis moi aussi je suis un peu fatiguée, je crois que je vais rentrer également, tu ne nous en veux pas Eva ?
Eva : Non ce n'est pas grave, vous n'avez quand rentrer, comme ça en plus vous ne me ferez pas concurrence ce soir, je vais essayer de me dégotter un mec pour la soirée...
Marie : Décidément, tu es incorrigible...
Florence : Bon et bien amuses toi bien... Je compte sur toi pour nous dire si la pèche a été bonne
Sur ce, Florence et Marie rentrèrent respectivement chez elles, tandis qu'Eva les quittait pour se mettre en "chasse"...
************************************
Patrice força le serrure de la porte de derrière, avec son compère Michel, ils avaient observé les habitudes des propriétaires, le mari était en déplacement et la femme était sortie. Ils avaient attendu la nuit pour venir cambrioler cette maison et ils savaient qu'ils avaient encore environ une heure pour réaliser leur larcin. Patrice et Michel avançaient silencieusement dans la maison vide la lampe torche à la main. Ils fouillaient méthodiquement chaque pièce de la maison, ils cherchaient principalement de l'argent, des bijoux, des chéquiers,...
Patrice était en train de fouiller la chambre de Marie, il regardait dans tous les tiroirs et tomba sur le tiroir ou elle rangeait ses sous vêtements. Il y avait un peu de tout : des slips en coton du genre "petit bateau", des slips, des strings et des boxers beaucoup plus jolis et sexy, il trouva même, "oublié" tout au fond du tiroir un superbe ensemble en dentelle blanche composé d'un string qui était quasiment transparent, du soutien gorge assorti ainsi que d'un très joli porte-jarretelles blanc avec une large ceinture de maintien. Il y avait également sous l'ensemble deux pochettes en plastique qui contenaient chacune une paire de bas, des noirs et des gris.
Benoit avait acheté cet ensemble à Marie pour la Saint-Valentin, elle ne l'avait mis qu'une fois le soir même, Benoit avait insisté pour qu'elle passe l'ensemble afin de vérifier si tout allait bien au niveau de la taille. Elle l'avait ensuite ôté et ne l'avait plus jamais remis. Sans le dire à son mari, elle trouvait que cela faisait un peu "pute". Malgré tout elle se disait en elle même qu'un jour elle le remettrait pour faire plaisir à son mari, mais elle ne l'avait toujours pas fait.
A la vue de ces jolis sous vêtements, Patrice se surprit à avoir un début d'érection, il est vrai que cela le changeait des grosses culottes taille 46 qu'il avait souvent l'occasion de découvrir lors de ses visites nocturnes.
Un bruit le sortit de sa douce rêverie, c'était la porte d'entrée qui venait de s'ouvrir...
Il éteignit vite sa lampe et se cacha derrière l'armoire.
Patrice se dit alors: Putain c'est pas vrai, elle devait pas rentrer avant une heure... Il faut absolument qu'on se tire.
Le problème pour Patrice était que pour ressortir par où ils étaient venus, il fallait qu'il passe devant la porte d'entrée, c'est pourquoi il se cacha derrière le coté de l'armoire de la chambre de Marie en attendant de pouvoir tenter une sortie.
Patrice : Merde, j'espère qu'elle ne va pas venir ici tout de suite que je puisse me barrer... Et Michel, pourvu qu'il ait eu le temps de se planquer aussi.
Patrice entendit un bruit de clés que l'on pose, Marie venait de les laisser comme tous les soirs sur la commode près de la porte d'entrée. Il commençait à devenir très nerveux et scrutait la chambre pour essayer de trouver une meilleure cachette, il tomba alors sur le valet de chambre qui était le long du mur juste à coté de lui.
Il se dit alors : Faut pas que je reste ici, si elle rentre dans la chambre, elle va forcement venir poser ses affaires ici.
Au moment ou il se disait ça, Marie entra dans la chambre et se dirigea tout droit vers son valet de chambre, elle tomba alors nez à nez avec Patrice, elle poussa alors un cri strident qui fit trembler les tympans de Patrice. Celui-ci se jeta alors sur elle en lui plaquant sa main sur la bouche pour l'empêcher d'ameuter tout le voisinage. Il la projeta ensuite sur le lit en la retournant. Sans qu'elle ait pu esquisser le moindre geste, Marie se retrouva allongée sur le ventre, d'une main Patrice lui bloquait les deux bras derrière son dos et de l'autre il étouffait ses cris.
Patrice appela alors Michel à la rescousse : Michel t'es là, putain viens m'aider...
Michel fit irruption dans la chambre, quand Marie est rentrée il était en train d'inspecter le salon et s'était dissimulé derrière le canapé quand il l'a entendu rentrer.
Patrice : Viens m'aider à l'attacher... Regarde dans les tiroirs, j'ai vu des collants, va en chercher, on va l'attacher avec...
Michel alla fouiller dans les tiroirs de l'armoire, il finit par tomber sur celui ou Marie rangeait ses collants, il en prit une poignée qu'il vint poser sur le lit.
Michel sortit alors un cran d'arrêt de la poche de son jean, il fit sortir la lame qu'il mit sous l'œil de Marie en lui disant : Écoute ma belle, on va t'attacher au lit le temps que l'on décide de ce que l'on va faire de toi...
Patrice relâcha alors son étreinte, la retourna dos sur le lit, puis ils lui attachèrent les bras et les pieds aux quatre coins du lit, Patrice apporta une petite touche finale au tableau en lui fourrant une des culottes "petit bateau" dans la bouche pour l’empêcher de crier.
Marie était maintenant ligotée sur le lit une petite culotte dans la bouche, ses larmes avaient fait dégouliner son mascara sur son visage. Elle était terrorisée, elle se demandait ce qu'ils allaient faire d'elle, elle se mit à imaginer le pire, elle repensa à ses parents, son mari, ses copines, l'enfant qu'elle n'avait pas encore eue.
Pendant ce temps, Patrice et Michel étaient devant la porte de la chambre à coucher en pleine concertation. Marie les observait avec attention essayant de savoir ce qu'ils allaient faire d'elle. Patrice était grand et athlétique. Il devait mesurer environ 1 m 85 et devait avoir la quarantaine. Il avait les cheveux grisonnants, c'était plutôt un bel homme. Son acolyte avait à peu près le même âge, il était plus petit mais avait l'air aussi athlétique. Il avait le cheveu un peu long et gras. Il n'était ni moche ni beau, il avait en fait un physique assez quelconque.
Michel : Putain qu'est ce qu'on va faire, si elle nous balance aux flics avec mon casier et ma conditionnelle, je risque de prendre pas mal cette fois...
Patrice : Je sais bien, tu crois que c'est diffèrent pour moi, avec mon passif, il ne va pas me louper le juge cette fois.
Michel : Qu'est ce qu'on va faire...
Patrice regarda Marie, elle se débattait comme un misérable ver sur le lit, en essayant de se défaire de l'étreinte des collants, elle avait fait un peu remonter sa jupe, Patrice distinguait ainsi très nettement la jarretière de ses bas.
Il dit à Michel : Je crois que j'ai une idée, mais laisse moi faire, OK ?
Michel : OK, mais j'espère qu'elle est bonne...
Patrice : T'inquiètes si ça se passe comme je l'espère tu risques de ne pas être déçu.
Patrice alla alors s'asseoir sur le lit à coté de Marie, Michel quant à lui, alla s'asseoir sur un fauteuil au coin de la chambre.
Patrice : Tu sais ma chérie, on ne te veut pas de mal, bien au contraire et si tu te montres gentille avec nous, on aura aucune raison de te faire du mal.
Tout en lui disant ça, Patrice avait remonté la jupe de Marie sur son ventre, et il lui caressait l'intérieur des cuisses, passant sans cesse de ces bas vers la peau de ses jambes.
Marie était pétrifiée, elle n'osait plus bouger, elle fermait les yeux, tout ce qu'elle sentait c'était le souffle de Patrice dans son cou.
Patrice se décida à passer à la vitesse supérieure, il passait maintenant son majeur sur le string de marie, il sentait les formes de sa fente à travers le tissu. Comme elle était attachée en croix sur le lit, il n'avait aucun mal pour accéder à l'intimité de sa victime.
Marie ne disait toujours rien, elle se forçait à fermer les yeux et se disait en elle même : Vivement qu'il tire son coup, comme ça il me laissera tranquille après...
Après quelques minutes de ce traitement, Patrice accéléra les choses, il écarta délicatement le string de Marie et commença à la caresser. Il passa ses doigts le long du sexe de Marie, celui-ci était soigneusement épilé, et son pubis était orné d'un joli petit triangle de poils blonds. Patrice était très doux et délicat dans ses gestes, il voulait faire naître l'excitation dans le bas ventre de sa captive.
Marie s'efforçait de penser à autre chose, mais elle commençait à sentir une vague de chaleur qui montait de son entre-jambe, elle essayait de la combattre, mais elle avait de plus en plus de mal.
Patrice sentait que le fente de Marie commençait à d'humidifier, il décida alors d'introduire de son majeur dans le sexe de Marie, celle-ci poussa un léger soupir, Patrice ne savait pas si c'était un soupir de douleur ou de plaisir.
Le doigt de Patrice continua de fouiller délicatement l'intimité de sa victime, le sexe de Marie était maintenant trempé, Patrice inséra alors un deuxième doigt, Marie poussa également un soupir beaucoup plus sourd celui-là, cette fois il en était sur elle commençait à être sérieusement excitée.
Celait faisait maintenant 30 minutes que Patrice caressait Marie, son bassin de Marie ondulait maintenant au rythme des doigts de Patrice, elle avait les souffle court et ses joues commençaient à rougir. Patrice ôta alors le "bâillon" de la bouche de Marie, son souffle était court, Patrice lui dit : Alors, ça te plaît ce que je suis en train de te faire ?
Marie ne put répondre que par un petit "Mmm.."
Patrice fut déçu de la réponse de marie, vu les longues minutes qu'il avait passé à la caresser, il s'attendait à une réponse plus expressive.
Il lui dit alors : Madame est exigeante à ce que je vois, ce n'est pas grave, je vais te sortir le grand jeu.
Patrice descendit son visage jusqu'au sexe de Marie, celle-ci se dit : "Mon dieu, il va finir par me faire jouir, je ne vais plus tenir très longtemps.."
Il commença à passer sa langue sur la fente de Marie, tout en continuant à la fouiller avec ses deux doigts. Marie mouillait maintenant abondamment, son bassin ondulait frénétiquement, Patrice avait même du mal à maintenir sa langue sur son sexe.
Elle devenait maintenant plus expressive :"Mmmmmm... Ahhhhhhhh."
Patrice : Alors tu préfères comme ça ??
Marie : Mmm.. Ouii..
Patrice rajoutait d'une voix beaucoup, plus autoritaire : J'ai pas bien entendu, tu aimes ça te faire lécher la chatte..
Les paroles crues de patrice ne firent qu'exciter encore un peu plus Marie qui finit par lâcher : Ohh... Ouiiiiiii... Ahhh... Putain...
Celui retourna alors à son ouvrage, cette fois avec un troisième doigt il commença à titiller l'anus de Marie, il décrivait des cercles avec son doigt tout autour de son petit trou.
Marie n'en pouvait plus : Ouuhhhhhhhh... Ahhhhh.. .Mmmmmm... Ouiiiiiiiiiii, vas-y continue...
Patrice : Alors tu aimes ça ??
Marie : Ohhh... OUI... J'aime ça...
Patrice continuait à explorer chaque pli de l'intimité de Marie avec sa langue, il avait même maintenant inséré un doigt dans l'anus de Marie.
Marie était folle, son bassin était devenu incontrôlable, elle gémissait de plus en plus : Ouuuuuuuuhhhh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii... Continue...
Patrice avait de plus en plus en mal à continuer son travail de sape... Il décida alors de passer aux choses sérieuses.
Il s'adressa à Michel qui regardait avidement la scène tout en en se caressant par dessus son pantalon : Viens la détacher, on va passer aux choses sérieuses.
Michel se leva et avec son cran d'arrêt déchira les collants qui maintenaient Marie attachée aux barreaux du lit. Une fois sa tache accomplie Michel retourna s'asseoir dans le fauteuil.
Patrice ordonna alors à Marie: Mets toi à quatre pattes sur le lit.
Marie obéit sans dire un mot, elle se mit à quatre pattes et entendit un bruit de ceinture et un bruit de fermeture éclair.
Marie sentit alors un gland qui allait et venait tout le long de son intimité, elle soupirait de plaisir : Ahhh vas y... Prends moi...
Patrice s'enfonça alors d'un coup sec qui fit lâcher un long gémissement à Marie, puis il commença la pénétrer régulièrement...
Marie gémissait maintenant de plus en plus fort : Ohhhhhh oui... Continue... T'arrêtes pas... Encore... Mmmmmmmmm...
Marie n'avait pas vu le sexe de son "bourreau" mais vu les sensations qu'elle éprouvait, il n'y avait aucun doute qu'il était plus long que celui de son mari, pas forcement plus gros mais au moins plusieurs centimètres de plus...
Devant cette scène, Michel commençait lui aussi à être très excité, il défit les boutons de son pantalon et en sortit un sexe impressionnant, il était moins long que celui de son collègue mais il était très épais, parcouru par de grosses veines qui accentuaient encore en peu plus l'aspect gigantesque de la bête.
Il commençait maintenant à se masturber doucement sous le regard de Marie. Cette dernière haletait sous les coups de boutoir de son partenaire, même si intérieurement elle essayait toujours de lutter, son corps avait pris le dessus sur sa volonté et elle ne pouvait s'empêcher de cacher le plaisir qu'elle éprouvait.
Patrice s'adressa à Michel : Ne reste pas planter là, viens donc sur le lit, madame va s'occuper de toi...
Puis il lança à Marie : Tu vas sucer mon pote, et t'as intérêt de t'appliquer...
Michel vint alors s'allonger sur le lit, il descendit un peu son boxer et son pantalon afin que Marie puisse s'occuper correctement de lui.
Patrice poussa alors un peu Marie pour la rapprocher du sexe de son complice, elle s'accouda sur le lit avec son bras gauche, puis de sa main droite elle commença à masturber doucement le sexe de Michel.
Elle était fascinée par se sexe dressé devant elle, il ne sentait pas très bon, un mélange d'urine et de transpiration, mais il était d'une telle taille.. Et ces veines... Elle n'en avait jamais vu d'aussi imposant avant.
Patrice mit un terme à la contemplation de Marie : Arrête un peu de l'astiquer... Je crois que je t'ai dit de le sucer...
Marie fit encore quelques aller-retours avec sa main sur la verge de Michel, puis elle se pencha pour donner un petit coup de langue sur le gland, le goût était un peu moins pire que ce à quoi elle s'attendait.
Rassurée par ce premier contact elle se mit alors à lécher le gland tout comme elle l'aurait fait avec une glace. Il faut dire que Marie n'avait presque aucune expérience en matière de fellation, son mari n'y avait que très rarement droit, et les rares fois ou son sexe pouvait profiter de la langue de Marie, c'était par l'intermédiaire d'un préservatif.
Mais Marie apprenait vite, entraînée par l'excitation, elle faisait maintenant tournoyer sa langue tout autour du gland de Michel tout en lui caressant la tige, elle alternait les caresses, tantôt elle léchait, tantôt elle aspirait, tantôt elle suçait.
Devant les progrès de son élève Michel lui lança : Lèche moi un peu les couilles ma belle...
Marie hésita quelques secondes, puis inconsciemment, comme hypnotisée, elle commença à faire descendre sa langue le long de la tige de Michel. Elle donna un premier coup de langue, elle retrouva l'odeur et le goût désagréable du début, mais elle finit par s'y accommoder une nouvelle fois. Elle lapait maintenant avidement les testicules de Michel tout en la masturbant. Elle en prit même une dans sa bouche, qu'elle se mit à faire tanguer avec sa langue.
Michel poussait de longs râles de plaisir, d'ailleurs il semblait très satisfait des caresses buccales que lui procurait Marie : Ahhhh... putain. c'est trop bon, ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas sucé comme ça... Une vraie pro la petite.
Patrice lui répondit en rigolant : Parce que tu t'es déjà fait sucer toi...
Michel rigola un peu jaune à cette remarque : Ah t'es malin toi...
Puis comme pour contrarier Michel, Patrice se mit à pilonner Marie de plus en plus en fort, ses cris étaient maintenant beaucoup plus significatifs : Ahhh. Ouiiiiii... Vas-y... Plus fort...Encore...
Patrice y allait tellement fort que marie avait été obligée de délaisser le sexe de Michel, celui s'en plaint aussitôt : Ehhh va moins vite, elle arrive même plus à me sucer tellement tu la secoues...
Patrice : T'inquiètes... C'était pour rire...
Patrice arrêta alors de baiser Marie, Michel lui remit aussitôt son sexe dans a bouche qu'elle recommença à sucer avec application.
Marie était étonnée qu'il la laisse comme ça, elle se dit qu'il allait peut-être vouloir se faire sucer lui aussi, mais hélas, elle sut rapidement ou il voulait en venir quand elle sentit le sexe de patrice appuyer sur son anus.
Marie : Non pas par là, j ne l'ai jamais fait..., supplia t'elle à Patrice....
Patrice : T'inquiètes pas ma belle, toutes celles qui y ont eu droit en ont redemandé après...
Marie : Ahhh noon,..
Patrice enfonçait tout doucement son gland dans les entrailles de Marie, il y allait sans forcer, millimètre par millimètre. Il ne voulait pas lui faire mal, il voulait au contraire qu'elle y prenne un réel plaisir afin de finir de la briser psychologiquement.
Marie continuait de crier de douleur : Nooon, s'il vous plaît...
Le gland de Patrice avait fini par rentrer complètement, il s'arrêta pour laisser Marie s'habituer à cette nouvelle sensation. Il passa ensuite sa main sous le ventre de Marie, lui planta deux doigts dans le vagin et se mit à la caresser doucement.
Au bout de quelques minutes, Marie se remit à onduler du bassin, tout d'abord de manière latérale, Patrice sentait ici la rosette de Marie se décontracter. Puis quelques minutes plus tard, elle se mit à onduler d'avant en arrière, s'empalant elle même sur se sexe qui était planté dans son cul, dans un premier temps Patrice la laissa faire, puis il se mit également à faire avancer son bassin.
Son sexe rentrait progressivement mais sûrement dans le cul de Marie, cette dernière avait maintenant l'air d'apprécier ce traitement : Ohh oui... Doucement... Vas-y... Mmmmmmm.
Voyant que Marie s'était quelque peu assagie, Michel lui recolla son sexe dans la bouche, celle ci se mit alors à sucer Michel avec une frénésie intense, ses gestes étaient maintenant beaucoup plus francs.
Patrice remarqua l'ardeur avec laquelle elle gobait maintenant le bite de son copain, il donna lui aussi beaucoup plus d'ampleurs à ses mouvements. Marie gémissait de plus en plus fort, mais cette fois elle arrivait à poursuivre sa fellation.
On entendait plus dans la chambre que les bruits de sussions obscènes que faisait Marie, les claquement de fesses contre Patrice et les soupirs de Michel.
Au bout d'un moment Patrice se crispa et cria : Ahh putain... La salope.
Puis en 2-3 aller-retours il se vida complètement dans les entrailles de Marie. Il resta encore quelques secondes enfoncé en elle, il finit par se retirer et s'adressa à son compère : Tu peux venir, si tu veux, la place est chaude.
Celle-ci fut submergée par une sensation étrange, elle sentait ce liquide chaud dans ses entrailles, elle avait l'impression d'être "ailleurs".
Michel fit le tour du lit et vint se placer à son tour derrière Marie, celle ci, vaincue ne dit rien et posa même sa tête sur le lit pour se cambrer encore plus.
Michel lui dit : Tu m'as tellement bien sucé que je crois que je vais pas pouvoir te baiser longtemps, alors comme j'ai envie de profiter de ton petit trou de balle je vais t'enculer tout de suite...
Marie : Non pitié, pas ça... Vous êtes trop gros vous allez me déchi... Ouuuuuuuuhhhhhhhhhh...
Marie n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que Michel lui avait déjà planté son dard dans l'anus. Il n'avait pas eu trop de difficultés à s'enfoncer, son compère lui avait préparé le chemin...
Marie mit de nouveau quelques minutes à s'habituer à ce calibre moins long mais beaucoup plus gros que celui de Patrice. Sa rondelle se détendit et Michel put commença à la pistonner.
Michel était beaucoup plus loquace que son collègue : Alors elle te plait ma bite...
Marie : Ahh... Ouiii.
Michel : c'est quoi qui te plaît, salope ???
Marie : Ahhhhhhh.. Ta...
Michel : Ma quoi ?????
Marie : Ahhh... Ta bite.
Michel : tu t'es jamais prise une bite comme ça dans le cul, t'aimes ça petite pute...
Marie : Ahhh ouiiiiiiii, J'aime ça... Ahhhhhhhhh.
Michel : C'est autre chose quel celle de ton mari, hein... Tu préfères la mienne.
Marie : Ohhh oui... J'aime mieux... La tienne... Ahhhhhhhh.
Michel : Et pourquoi tu préfères la mienne ???
Marie : Ahhhhh... Parce qu'elle est... Ahhhhh... Plus grosse...
Pendant ce temps là Patrice s'était rhabillé, il s'était placé de trois quarts derrière Michel et marie et était en train de faire des photos avec son iphone. La scène était sans équivoque, on y voyait Marie à quatre pattes le cul en l'ait sur le lit, elle portait toujours ses jolis bas couleur chair, son string que Patrice lui avait seulement écartée et sa jupe qui était repliée sur son dos.
Patrice admirait la dizaine de clichés qu'il venait de prendre, on y voyait Marie en train de faire copieusement sodomiser par Michel. En regardant les photos, il se dit qu'il manquait quelque chose... Le son. Il prit alors une petite vidéo avec son téléphone, on y entendait sans équivoque les cris de plaisir de Marie ainsi que les paroles très crues qu'elle échangeait avec Michel.
Pendant ce temps là, Michel pistonnait Marie sans relâche : Ahhh putain, il est trop bon ton petit cul...
Marie : Ahhh... Ouiiiiii... Bourre mooooooi... Salaud.
Michel : Alors t'aimes ça la bite dans le cul...
Marie : Ahhhhhh... J'aime çaaaaaa...
Michel : T'aimes quoi salope ???
Marie : Ohhhhh me faire... Ahhhhhhhh... Baiser le cul...
Michel sentait qu'il allait exploser, il sortit du cul de Marie, la releva, la retourna et lui éjacula sur le visage. Il n'eut pas le temps de viser et le premier jet atterrit du front jusqu'au nez de Marie, il réussit à envoyer les suivants vers sa bouche.
Michel : Tiens prends ça... Ahhhhhhhhh.
Surprise, Marie n'eut pas le temps de fermer la bouche tout de suite, une giclée lui atterrit tout droit sur sa langue, les autres s'écrasèrent sur ses lèvres. Elle recracha aussitôt le sperme qui dégoulina sur son chemisier.
Marie était méconnaissable, son maquillage avait coulé le long de ces joues, elle était en sueur et son visage était maculé de sperme.
Michel, quant à lui prit un morceau d'un collant qui était sur le lit et s'essuya le sexe avec, il se rhabilla. Patrice prit alors la parole : Écoute ma belle, quand tu iras voir les flics pour déclarer le cambriolage, tu as plutôt intérêt à leur dire que quand tu es rentrée, tu n'as vu personne, sinon je sens que ton mari et les personnes de ton boulot pourront profiter des photos et vidéo que j'ai dans mon téléphone.
Marie : Non je vous en prie... Pas ça...
Patrice : Si tu te tiens à carreau, il n'y aura pas de soucis... compris ???
Marie : Oui...
Patrice et Michel partirent discrètement par ou ils étaient venus, laissant la pauvre Marie, à la fois enivrée par les sensations qu'ils avaient fait naitre en elle, mais également tellement honteuse de s'être laissée aller de la sorte.
De leur coté Patrice et Michel s'éloignaient bien contents de leur soirée.
Michel : Bon bah on est rentré les mains vides, mais au moins on a pas que nos mains qui sont vides...
Patrice : Tu l'as dit, et heureusement que j'étais là pour te sauver la mise, si t'avais été seul, tu te serais encore foutu dans de beaux draps
Michel : En tout cas, moi je repasserai bien la voir la petite un de ces jours...
Patrice : T'emballe pas, on verra.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Zoorg35
7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un récit très sympa qui donne envie de poursuivre la lecture du prochain épisode. L'histoire avance progressivement et sans précipitation, le décor et l'ambiance sont bien plantés tandis que le vocabulaire est soigné.
Tout juste se demande-t-on si Marie ne se lâche un peu trop en de pareilles circonstances, mais c'est pas grave, c'est bien excitant quand même.
Lea11
Tout juste se demande-t-on si Marie ne se lâche un peu trop en de pareilles circonstances, mais c'est pas grave, c'est bien excitant quand même.
Lea11
Merci pour le commentaire Gertrade, l'adresse que tu as laissée ne marche pas, mon adresse est visible, tu peux me contacter directement si tu veux
Trop hot il faudrait ecrire dautre chose comme sa...ce genre la...celui qui a ecrit sa
un gros BRAVO!!!:)
un gros BRAVO!!!:)
Récit très excitant. J'aurai aimé être à la place de Marie
j'adorerais cela moi aussi.........
vite la suite : )
tres bon recit ou l on voit une femme qui découvre le plaisir du sex: félation et
sodomie qu elle ne connaisait pas.Seul regres au point ou ils en étaient ils auraient pu
lui faire découvrir la double pénétration.qui j en suis sur lui aurait pas déplus.
sodomie qu elle ne connaisait pas.Seul regres au point ou ils en étaient ils auraient pu
lui faire découvrir la double pénétration.qui j en suis sur lui aurait pas déplus.