Les aventures du Cdt Hassan Saison 3 : Valentin 3

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Les aventures du Cdt Hassan Saison 3 : Valentin 3
Chapitre 3 : Le départ.
Djibril l'a reconduit dans sa chambre et l'a emmené directement dans la salle de bains pour le mettre sous la douche. Il ne disait rien, il baissait la tête et ses mains parcouraient le corps de Valentin, répandant la mousse partout et Djibril vient se coller à lui, son corps épousant parfaitement celui de Valentin, joue contre joue, Djibril l'embrassait tendrement.
Lorsque Valentin a relevé son visage entre ses doigts, Djibril avait le regard triste.
-qu'est ce qui ne va pas ? demande Valentin.
-rien, rien.
-je ne te crois pas dit Valentin, tu ne veux pas que je vienne au stage de ton Prince ?
-il t'a expliqué ce que tu devras faire ?
-non.
-et t'as pas posé de questions ?
-il a dit qu'il allait m'apprendre à me faire baiser alors moi ben ça me va dit Valentin.
-oui et il paie bien en plus! dit Djibril ironique.
-oui effectivement et huit jours c'est vite passé.
-ah huit jours c'est ce qu'il t'a dit.
-oui pourquoi ? ça dure plus longtemps ?
-pour certains oui dit Djibril.
-comment ça ?
-je ne peux pas t'en dire plus.
Djibril sort de la douche et essuie Valentin en lui caressant l'intérieur des fesses et vient poser un doigt sur son trou.
-j'ai envie de toi dit Djibril, viens dans le lit.
Valentin obéissant vient se mettre à quatre pattes au bord du lit, présentant ses belles petites fesses qui viennent de se faire trouer par le Prince. Il sent les mains de Djibril les caresser en les écartant et sa langue venir lécher et déposer la salive. Le trou est immédiatement envahi par le gland qui force l'entrée et la queue, la belle queue de Djibril s'enfonce lentement dans la cachette secrète sous les gémissements de Valentin qui se donne, s'offre au gentil Djibril.
Quand sa queue arrive au plus profond, les mains de Djibril se saisissent des hanches et il commence de longs vas et viens, la vitesse augmente rapidement et sous les gémissements de Valentin on entend les claquements du pubis sur les fesses, les couilles se frappent à chaque pénétration. Valentin offre bien son cul en se penchant encore plus en avant et la belle queue de Djibril, le fore, le pénètre encore plus jusqu'à se bloquer et déverser un nombre incalculables de giclées chaudes et abondantes, comme si c'était la dernière fois que Djibril baisait Valentin.
Djibril sort sa queue doucement du cul, Valentin s'allonge dans le lit, Djibril le retourne et vient avaler la belle queue qui se dresse la prenant par les couilles, il la suce jusqu'à l'avaler au plus profond de sa gorge et reçoit une belle récompense de sperme chaud qui gicle dans sa gorge pour être directement avalé.
Ils ont repris leurs esprits, blottis l'un contre l'autre se faisant des bisous. Djibril avait toujours les yeux embués.
-si tu viens ce soir dit Djibril soit à l'heure car ce soir on part et le Prince n'admet aucun retard.
-quoi ? c'est ce soir le départ ? mais il faut que j'aille voir mon chef et je travaille cet après midi!!
Valentin se lève d'un bond et cherche ses affaires pour se vêtir, fais un bisou à Djibril.
-peut être à ce soir dit Valentin avec un grand sourire.
-oui répond Djibril, attend, je te raccompagne.
La séparation a été rapide.
Le temps de se rendre à son travail pour rencontrer son chef, Valentin cogitait entre le fait qu'il avait envie d'aller chez le Prince pour voir, plus par curiosité qu'autre chose, certes le fric comptait, et la tête que faisait Djibril comme voulant lui dire de ne pas le faire, c'était cela qui l'inquiétait un peu. Mais le Prince était un homme connu, il avait sa carte de visite avec adresse et numéro de téléphone à Ryad. Il allait en parler avec son chef.
Le chef de Valentin était un ami, et il a compris la situation et a finalement accepté tout en lui faisant mille recommandations mais Valentin était décidé. Il avait montré la carte de visite du Prince en lui disant que s'il n'était pas rentré dans huit jours et s'il n'avait pas donné de ses nouvelles d'aviser son grand ami le commandant Hassan, de lui expliquer ce qu'il avait fait. Il saurait quoi faire. (voir Le Commandant Hassan et L'attaché d'Ambassade)
Valentin était rentré chez lui et avait préparé ses affaires c'est à dire pas grand chose. Un petit sac à dos avait suffit et à 19h45 il était devant la porte du Prince.
C'est Hicham qui l'a reçu, certes très beau garçon, il n'était pas souriant comme Djibril et parlait très peu, juste pour dire le nécessaire et peu de temps après il se retrouvait en compagnie de quatre jeunes arabes, dont Djibril et Hicham, dans une camionnette pleine de valises pour partir avec un chauffeur en direction de l'aéroport.
A l'aéroport, ils sont passés par une porte dérobée et sont allés directement monter dans un avion qui se trouvait sur le tarmac aux armes du Royaume d'Arabie Saoudite. Ils ont été installé à l'arrière. Un silence régnait entre eux. Djibril ne le regardait pas. Il avait un regard de chien battu, l'air désolé de le voir ici. Les passeports avaient été pris par le chef de cabine et ils attendaient.
Valentin a vu par le hublot, le Prince et sa suite embarquer à l'avant avec plein de monde, femmes, enfants.
Puis l'avion a bougé, a décollé. Personne ne parlait. Valentin regardait les trois autres personne ne faisait attention à lui.
Les deux jeunes arabes que Valentin ne connaissait pas, s'étaient rapidement endormis. Djibril, la tête appuyée sur le hublot avait fermé les yeux seul Hicham ne dormait pas et Valentin sentait son regard sur lui, mais quand il le regardait, il tournait la tête.
Valentin commençait à s'endormir quand il sent quelqu'un venir s'asseoir près de lui. C'est Hicham qui le regarde en souriant, prend sa main et la pose sur son sexe, se penche sur lui.
-il parait que t'es une bonne suceuse alors si tu me montrais ça.
Valentin sentait sous ses doigts une belle barre bien dure. Alors, sans se faire prier autrement défait le pantalon d'Hicham, sort du caleçon la queue bien bandée et la prend dans sa main pour la caresser tendrement.
Hicham s'étire dans le fauteuil, le met en position allongée, et Valentin peut ainsi se pencher sur la belle grosse queue circoncise, bien raide avec le gland qui se redresse par rapport à la tige. Un beau gland bien dur, marron foncé d'où s'écoule du méat un filet de liquide. Valentin donne un coup de langue et enveloppe le gland de ses lèvres, de sa main il sort les couilles pour les malaxer, les pétrir doucement, faisant encore raidir la queue. Ses lèvres descendent sur la hampe jusqu'aux poils pubiens, sentant bien le gland forcer la luette et sa gorge. Il fait des vas et viens l'engloutissant à chaque fois et Hicham ne peut s'empêcher de gémir.
Il tient la tête de Valentin et décolle ses fesses du fauteuil pour enfoncer sa queue encore plus loin faisant pleurer Valentin. La grosse queue baise sa bouche méthodiquement, lentement et quand Hicham appuie sur sa tête, il l'oblige ainsi à recevoir ses giclées directement dans sa gorge et Valentin avale tout ce bon nectar arabe.
Valentin se relève et veut embrasser Hicham, qui écarte sa tête en repoussant la sienne d'un air méchant, se rajuste et regagne sa place sans un mot.
La place est vite prise par l'un des jeunes arabes, qui vient s'installer dans le fauteuil, le met directement en position allongée, sort sa queue bien bandée et fait signe à Valentin
qui vient l'emboucher et la sucer. Le minet arabe jouit vite dans la bouche de Valentin en poussant un petit cri, se rajuste et regagne sa place, deuxième dose pense Valentin.
Et, le deuxième jeune qui regardait le spectacle, vient à son tour prendre la place. Il sort une queue encore plus grosse que les autres, se caresse devant les yeux de Valentin, lui prend la main et la pose sur sa queue. Valentin le fixe dans les yeux, de beaux yeux noirs, souriant et lui caresse la queue en approchant son visage du sien. Ils se fixent toujours. Les lèvres s'entrouvrent, Valentin sent le souffle chaud du jeune arabe arriver sur ses lèvres. Il accentue sa branlette en serrant la queue dans sa main, avance ses lèvres qui effleurent celles du jeune arabe, qui ferme les yeux et laisse Valentin l'envahir de sa langue.
Les lèvres sont chaudes, douces, tendres et la langue agile vient s'enrouler autour de celle de Valentin. Ils ferment les yeux tous les deux et soupirent de contentement. Valentin lâche la queue et sa main vient caresser sous le tee-shirt le jeune corps chaud et lisse pour arriver à tenir un téton et le serrer entre deux doigts mais la main du jeune arabe vient lui retirer et la reposer sur sa queue. Le baiser s'éternise, les langues agiles se battent en duel, la salive coule et s'échange. Valentin sent la queue du jeune arabe durcir dans sa main. Il accentue sa branlette, mais la main du jeune arabe le ralentit et l'autre main appuie sur sa tête pour qu'il se penche.
Sa langue change de place pour venir faire connaissance avec cette belle queue arabe. Un gland doux, chaud, humide qu'il lèche avec plaisir avant d'avaler complètement la queue au fond de sa bouche, la tête tout de suite tenue par le jeune arabe qui se vide en râlant au fond de sa gorge. Les giclées abondantes se suivent et ne semblent pas vouloir s'arrêter. Quand le flux cesse, Valentin lèche avec application cette belle queue, redresse la tête, regarde ce jeune souriant et vient lui donner ses lèvres. Il prend sa main pour la poser sur sa queue, mais il l'a retire vivement en se relevant et regagne sa place.
Valentin reste seul, la queue bandée dans son boxer, il sent la mouille couler en abondance. Il faut qu'il jouisse. Il regarde dans la direction de Djibril, qui a toujours les yeux fermés. Il ne va pas se branler devant les autres. Il se lève et va vers le toilettes au fond de l'avion. Il va pour entrer, il est poussé vivement, se retourne et c'est Djibril qui referme la porte, ses yeux sont durs, méchants.
-tu n'es vraiment qu'une pute! il suffit qu'on te présente une queue et tu joues la salope! ah t'aimes toutes les bites! eh bien tu vas être servi!! baisse ton pantalon que je t'encule comme une pute.
Valentin, souriait intérieurement, c'est qu'il serait jaloux mon petit Djibril, alors il obéit, défait son jean, son boxer et tend son cul à la queue qu'il connait déjà.
Djibril passe sa queue dans raie cherchant le petit trou, qu'il trouve facilement, donne un coup de reins, prend Valentin aux hanches et s'enfonce en lui avec brutalité arrachant un cri à sa victime et le bourre de plus en plus vite pour rapidement se vider en lui et se retirer, se rhabiller.
Valentin veut le prendre dans ses bras, mais Djibril refuse.
-ne fait pas ton méchant Djibril, tu es un mec bien viens m'embrasser s'il te plait.
Les yeux de Djibril se sont adoucis d'un seul coup, regardant Valentin, il l'attire à lui et l'embrasse à pleine bouche, jetant sa langue au fond de sa bouche. Valentin le serre très fort contre lui, le caressant partout.
-fais moi jouir Djibril j'ai trop envie avec toi.
Djibril s'est assis sur les toilettes et a pris en bouche la belle queue de Valentin qui suintait. En deux allers retours, Valentin se soulageait dans la bouche chaude de Djibril qui avalait toute la récompense.
Ils se sont repris dans les bras, embrassés, caressés.
-viens on va s'asseoir dit Djibril.
Il est venu s'asseoir près de Valentin, et, en cachette des trois autres qui les regardaient, il a pris sa main et l'a serré et l'a tenu jusqu'à l'arrivée à Ryad aéroport.
Le débarquement s'est effectué, sans passer par la douane ni par les services de sécurité. Deux policiers les ont conduits à un véhicule avec chauffeur et ils sont partis dans Ryad, ville lumière. Ils ont roulé, roulé, sont sortis de la ville, le désert rapidement, le noir complet.
Valentin commençait à se poser des questions et regardait souvent Djibril qui souriait, semblant rassurer Valentin. Enfin, au bout d'une bonne heure ils sont arrivés dans une oasis. Un palais somptueux trônait pour s'arrêter devant une porte, tout le monde descend, prend ses bagages et entre dans le palais à la queue leu-leu.
Les deux jeunes arabes qu'il avait sucé dans l'avion partent dans une direction, Valentin suit Djibril et Hicham.
Tout est somptueux, coloré. Au détour d'un couloir ils croisent un arabe qui fait signe à Djibril et Hicham de prendre une direction et leur dit en arabe de regagner leur chambre. Ils partent sans un regard pour Valentin, qui se sent pris par un bras et entraîné par l'arabe. Il l'observe pendant qu'ils marchent.
C'est un homme en djellabah blanche, moustachu, de 35-40 ans, assez carré, pas avenant du tout, de petits yeux noirs, vicieux pense aussitôt Valentin, il est un peu plus grand que lui, assez carré d'épaule et sa poigne est ferme.
Il l'emmène dans une pièce vide, blanche du sol au plafond, éclairée légèrement, mais le reflet de la lumière sur la blancheur de la pièce fait qu'on dirait qu'il y a mille feux.
L'homme lui parle en arabe, en lui disant de se déshabiller mais Valentin fait celui qui ne comprend pas et le regarde en prenant un air étonné. L'homme lui fait signe d'enlever ses vêtements et se met à lui parler en anglais. Là Valentin lui répond en lui disant qu'il préfère en anglais et que s'il parle français c'est encore mieux mais l'homme n'a pas l'air de goûter la plaisanterie, il dit juste "naked".
Alors Valentin se met nu complètement, l'homme ramasse ses vêtements et les met en tas dans un coin.
-maintenant tu vis nu tout le temps, tu obéis à tout ce que l'on te demande.
-bien dit Valentin en regardant l'homme dans les yeux.
Il se prend une claque magistrale sur la joue, le faisant presque tomber à terre.
-à partir de maintenant, quand tu me parles, tu ne me regardes plus jamais dans les yeux et on m'appelle maître Hamed.
-bien maître Hamed dit Valentin en baissant la tête.
-à genoux! et montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Valentin se met à genoux, maître Hamed soulève sa djellabah, il est nu dessous et un service trois pièces s'offre au regard de Valentin. Il tend la main et va pour toucher les grosses couilles pendantes quand un coup lui cingle le dos. Il redresse la tête, l'homme tient une badine à la main.
-j'ai dit avec la bouche pas les mains! il faudra comprendre ce que l'on te demande, sinon tu vas avoir des marques.
Valentin penche la tête sur le sexe pendant. Une longue tige flasque, molle, au gland proéminent qui pend sur une paire de grosses couilles poilues. Il donne des coups de langues sur le gland, lèche le sexe jusqu'aux poils pubiens et revient sur le gland pour le prendre entre ses lèvres, le téter doucement en passant sa langue dessus. La queue semble se réveiller d'un coup, Valentin sent le gland gonfler dans sa bouche et s'enfoncer au fur et à mesure que le zgeg s'allonge, en grossissant et durcissant de plus en plus.
Il sent le gland sur sa luette et il reste encore un gros morceau à avaler pour avoir tout en bouche. Il force mais le gland bouche l'entrée de sa gorge, une main appuie fermement sur sa tête et il voit le pubis venir vers lui et la queue s'engouffrer dans sa gorge, le faisant tousser et pleurer, mais il est maintenu fortement. La queue se retire et revient fortement au fond. Les mains le tiennent et sa gorge est assaillie par le gros gland. Il tire la langue et se laisse faire et ça dure... longtemps. Puis la queue se retire, remplacée par les couilles qui se posent sur ses lèvres. Il les aspire une par une, les lèche, puis essaie de prendre les deux mais ça glisse, et, sans les mains... Il s'applique et réussit à les prendre en bouche toutes les deux, il sent les grosses boules rouler dans sa bouche.
Puis il voit revenir ce gros boudin arabe devant lui, le gland marron foncé suinte.
-ouvre la bouche et tire la langue.
Valentin obéit, ouvre très grand la bouche et tire bien sa langue et voit maître Hamed se branler lentement, le gland juste sur sa langue. Les vas et viens se suivent quand Valentin voit le premier jet arriver et gicler sur sa langue jusqu'au fond de sa gorge par réflexe il déglutit et referme sa bouche sur le gland et reçoit plein d'autres giclées qui lui emplissent la bouche. Il peine à tout avaler.
Quand la queue se retire, c'est pour recevoir une claque sur la joue.
-quand je dis tu ouvres la bouche et tu tires la langue, c'est pour recevoir l'offrande de ton maître et, tant que l'offrande n'est pas terminée, tu restes la bouche ouverte! je te préviens pour cette fois mais la prochaine fois il y aura punition!
-oui maître Hamed dit Valentin en baissant la tête.
-tu te branles souvent ? demande maître Hamed.
-oui tous les jours dit Valentin la tête toujours baissée.
Sans un mot maître Hamed sort de la pièce et revient quelques instants plus tard, suivi d'un jeune arabe qu'il n'avait pas encore vu, nu également, tenant une cage de chasteté à la main. L'homme lui demande de la poser à Valentin.
Le jeune arabe, nu, se met à genoux devant Valentin et, en un tour de main installe l'engin avant que sa queue ne durcisse complètement, se relève, toujours la tête baissée et sort de la pièce.
Valentin, frustré, sent sa queue essayer de gonfler dans l'appareil. Il est entraîné par le bras dans un couloir et une pièce... sa chambre! Un lit, une chaise, une armoire, une lampe! pas un vêtement, pas un livre, et... pas son téléphone!
-Bienvenue à ton stage dit maître Hamed en fermant la porte.
Valentin entend une clé tourner dans la serrure.
Djibril l'a reconduit dans sa chambre et l'a emmené directement dans la salle de bains pour le mettre sous la douche. Il ne disait rien, il baissait la tête et ses mains parcouraient le corps de Valentin, répandant la mousse partout et Djibril vient se coller à lui, son corps épousant parfaitement celui de Valentin, joue contre joue, Djibril l'embrassait tendrement.
Lorsque Valentin a relevé son visage entre ses doigts, Djibril avait le regard triste.
-qu'est ce qui ne va pas ? demande Valentin.
-rien, rien.
-je ne te crois pas dit Valentin, tu ne veux pas que je vienne au stage de ton Prince ?
-il t'a expliqué ce que tu devras faire ?
-non.
-et t'as pas posé de questions ?
-il a dit qu'il allait m'apprendre à me faire baiser alors moi ben ça me va dit Valentin.
-oui et il paie bien en plus! dit Djibril ironique.
-oui effectivement et huit jours c'est vite passé.
-ah huit jours c'est ce qu'il t'a dit.
-oui pourquoi ? ça dure plus longtemps ?
-pour certains oui dit Djibril.
-comment ça ?
-je ne peux pas t'en dire plus.
Djibril sort de la douche et essuie Valentin en lui caressant l'intérieur des fesses et vient poser un doigt sur son trou.
-j'ai envie de toi dit Djibril, viens dans le lit.
Valentin obéissant vient se mettre à quatre pattes au bord du lit, présentant ses belles petites fesses qui viennent de se faire trouer par le Prince. Il sent les mains de Djibril les caresser en les écartant et sa langue venir lécher et déposer la salive. Le trou est immédiatement envahi par le gland qui force l'entrée et la queue, la belle queue de Djibril s'enfonce lentement dans la cachette secrète sous les gémissements de Valentin qui se donne, s'offre au gentil Djibril.
Quand sa queue arrive au plus profond, les mains de Djibril se saisissent des hanches et il commence de longs vas et viens, la vitesse augmente rapidement et sous les gémissements de Valentin on entend les claquements du pubis sur les fesses, les couilles se frappent à chaque pénétration. Valentin offre bien son cul en se penchant encore plus en avant et la belle queue de Djibril, le fore, le pénètre encore plus jusqu'à se bloquer et déverser un nombre incalculables de giclées chaudes et abondantes, comme si c'était la dernière fois que Djibril baisait Valentin.
Djibril sort sa queue doucement du cul, Valentin s'allonge dans le lit, Djibril le retourne et vient avaler la belle queue qui se dresse la prenant par les couilles, il la suce jusqu'à l'avaler au plus profond de sa gorge et reçoit une belle récompense de sperme chaud qui gicle dans sa gorge pour être directement avalé.
Ils ont repris leurs esprits, blottis l'un contre l'autre se faisant des bisous. Djibril avait toujours les yeux embués.
-si tu viens ce soir dit Djibril soit à l'heure car ce soir on part et le Prince n'admet aucun retard.
-quoi ? c'est ce soir le départ ? mais il faut que j'aille voir mon chef et je travaille cet après midi!!
Valentin se lève d'un bond et cherche ses affaires pour se vêtir, fais un bisou à Djibril.
-peut être à ce soir dit Valentin avec un grand sourire.
-oui répond Djibril, attend, je te raccompagne.
La séparation a été rapide.
Le temps de se rendre à son travail pour rencontrer son chef, Valentin cogitait entre le fait qu'il avait envie d'aller chez le Prince pour voir, plus par curiosité qu'autre chose, certes le fric comptait, et la tête que faisait Djibril comme voulant lui dire de ne pas le faire, c'était cela qui l'inquiétait un peu. Mais le Prince était un homme connu, il avait sa carte de visite avec adresse et numéro de téléphone à Ryad. Il allait en parler avec son chef.
Le chef de Valentin était un ami, et il a compris la situation et a finalement accepté tout en lui faisant mille recommandations mais Valentin était décidé. Il avait montré la carte de visite du Prince en lui disant que s'il n'était pas rentré dans huit jours et s'il n'avait pas donné de ses nouvelles d'aviser son grand ami le commandant Hassan, de lui expliquer ce qu'il avait fait. Il saurait quoi faire. (voir Le Commandant Hassan et L'attaché d'Ambassade)
Valentin était rentré chez lui et avait préparé ses affaires c'est à dire pas grand chose. Un petit sac à dos avait suffit et à 19h45 il était devant la porte du Prince.
C'est Hicham qui l'a reçu, certes très beau garçon, il n'était pas souriant comme Djibril et parlait très peu, juste pour dire le nécessaire et peu de temps après il se retrouvait en compagnie de quatre jeunes arabes, dont Djibril et Hicham, dans une camionnette pleine de valises pour partir avec un chauffeur en direction de l'aéroport.
A l'aéroport, ils sont passés par une porte dérobée et sont allés directement monter dans un avion qui se trouvait sur le tarmac aux armes du Royaume d'Arabie Saoudite. Ils ont été installé à l'arrière. Un silence régnait entre eux. Djibril ne le regardait pas. Il avait un regard de chien battu, l'air désolé de le voir ici. Les passeports avaient été pris par le chef de cabine et ils attendaient.
Valentin a vu par le hublot, le Prince et sa suite embarquer à l'avant avec plein de monde, femmes, enfants.
Puis l'avion a bougé, a décollé. Personne ne parlait. Valentin regardait les trois autres personne ne faisait attention à lui.
Les deux jeunes arabes que Valentin ne connaissait pas, s'étaient rapidement endormis. Djibril, la tête appuyée sur le hublot avait fermé les yeux seul Hicham ne dormait pas et Valentin sentait son regard sur lui, mais quand il le regardait, il tournait la tête.
Valentin commençait à s'endormir quand il sent quelqu'un venir s'asseoir près de lui. C'est Hicham qui le regarde en souriant, prend sa main et la pose sur son sexe, se penche sur lui.
-il parait que t'es une bonne suceuse alors si tu me montrais ça.
Valentin sentait sous ses doigts une belle barre bien dure. Alors, sans se faire prier autrement défait le pantalon d'Hicham, sort du caleçon la queue bien bandée et la prend dans sa main pour la caresser tendrement.
Hicham s'étire dans le fauteuil, le met en position allongée, et Valentin peut ainsi se pencher sur la belle grosse queue circoncise, bien raide avec le gland qui se redresse par rapport à la tige. Un beau gland bien dur, marron foncé d'où s'écoule du méat un filet de liquide. Valentin donne un coup de langue et enveloppe le gland de ses lèvres, de sa main il sort les couilles pour les malaxer, les pétrir doucement, faisant encore raidir la queue. Ses lèvres descendent sur la hampe jusqu'aux poils pubiens, sentant bien le gland forcer la luette et sa gorge. Il fait des vas et viens l'engloutissant à chaque fois et Hicham ne peut s'empêcher de gémir.
Il tient la tête de Valentin et décolle ses fesses du fauteuil pour enfoncer sa queue encore plus loin faisant pleurer Valentin. La grosse queue baise sa bouche méthodiquement, lentement et quand Hicham appuie sur sa tête, il l'oblige ainsi à recevoir ses giclées directement dans sa gorge et Valentin avale tout ce bon nectar arabe.
Valentin se relève et veut embrasser Hicham, qui écarte sa tête en repoussant la sienne d'un air méchant, se rajuste et regagne sa place sans un mot.
La place est vite prise par l'un des jeunes arabes, qui vient s'installer dans le fauteuil, le met directement en position allongée, sort sa queue bien bandée et fait signe à Valentin
qui vient l'emboucher et la sucer. Le minet arabe jouit vite dans la bouche de Valentin en poussant un petit cri, se rajuste et regagne sa place, deuxième dose pense Valentin.
Et, le deuxième jeune qui regardait le spectacle, vient à son tour prendre la place. Il sort une queue encore plus grosse que les autres, se caresse devant les yeux de Valentin, lui prend la main et la pose sur sa queue. Valentin le fixe dans les yeux, de beaux yeux noirs, souriant et lui caresse la queue en approchant son visage du sien. Ils se fixent toujours. Les lèvres s'entrouvrent, Valentin sent le souffle chaud du jeune arabe arriver sur ses lèvres. Il accentue sa branlette en serrant la queue dans sa main, avance ses lèvres qui effleurent celles du jeune arabe, qui ferme les yeux et laisse Valentin l'envahir de sa langue.
Les lèvres sont chaudes, douces, tendres et la langue agile vient s'enrouler autour de celle de Valentin. Ils ferment les yeux tous les deux et soupirent de contentement. Valentin lâche la queue et sa main vient caresser sous le tee-shirt le jeune corps chaud et lisse pour arriver à tenir un téton et le serrer entre deux doigts mais la main du jeune arabe vient lui retirer et la reposer sur sa queue. Le baiser s'éternise, les langues agiles se battent en duel, la salive coule et s'échange. Valentin sent la queue du jeune arabe durcir dans sa main. Il accentue sa branlette, mais la main du jeune arabe le ralentit et l'autre main appuie sur sa tête pour qu'il se penche.
Sa langue change de place pour venir faire connaissance avec cette belle queue arabe. Un gland doux, chaud, humide qu'il lèche avec plaisir avant d'avaler complètement la queue au fond de sa bouche, la tête tout de suite tenue par le jeune arabe qui se vide en râlant au fond de sa gorge. Les giclées abondantes se suivent et ne semblent pas vouloir s'arrêter. Quand le flux cesse, Valentin lèche avec application cette belle queue, redresse la tête, regarde ce jeune souriant et vient lui donner ses lèvres. Il prend sa main pour la poser sur sa queue, mais il l'a retire vivement en se relevant et regagne sa place.
Valentin reste seul, la queue bandée dans son boxer, il sent la mouille couler en abondance. Il faut qu'il jouisse. Il regarde dans la direction de Djibril, qui a toujours les yeux fermés. Il ne va pas se branler devant les autres. Il se lève et va vers le toilettes au fond de l'avion. Il va pour entrer, il est poussé vivement, se retourne et c'est Djibril qui referme la porte, ses yeux sont durs, méchants.
-tu n'es vraiment qu'une pute! il suffit qu'on te présente une queue et tu joues la salope! ah t'aimes toutes les bites! eh bien tu vas être servi!! baisse ton pantalon que je t'encule comme une pute.
Valentin, souriait intérieurement, c'est qu'il serait jaloux mon petit Djibril, alors il obéit, défait son jean, son boxer et tend son cul à la queue qu'il connait déjà.
Djibril passe sa queue dans raie cherchant le petit trou, qu'il trouve facilement, donne un coup de reins, prend Valentin aux hanches et s'enfonce en lui avec brutalité arrachant un cri à sa victime et le bourre de plus en plus vite pour rapidement se vider en lui et se retirer, se rhabiller.
Valentin veut le prendre dans ses bras, mais Djibril refuse.
-ne fait pas ton méchant Djibril, tu es un mec bien viens m'embrasser s'il te plait.
Les yeux de Djibril se sont adoucis d'un seul coup, regardant Valentin, il l'attire à lui et l'embrasse à pleine bouche, jetant sa langue au fond de sa bouche. Valentin le serre très fort contre lui, le caressant partout.
-fais moi jouir Djibril j'ai trop envie avec toi.
Djibril s'est assis sur les toilettes et a pris en bouche la belle queue de Valentin qui suintait. En deux allers retours, Valentin se soulageait dans la bouche chaude de Djibril qui avalait toute la récompense.
Ils se sont repris dans les bras, embrassés, caressés.
-viens on va s'asseoir dit Djibril.
Il est venu s'asseoir près de Valentin, et, en cachette des trois autres qui les regardaient, il a pris sa main et l'a serré et l'a tenu jusqu'à l'arrivée à Ryad aéroport.
Le débarquement s'est effectué, sans passer par la douane ni par les services de sécurité. Deux policiers les ont conduits à un véhicule avec chauffeur et ils sont partis dans Ryad, ville lumière. Ils ont roulé, roulé, sont sortis de la ville, le désert rapidement, le noir complet.
Valentin commençait à se poser des questions et regardait souvent Djibril qui souriait, semblant rassurer Valentin. Enfin, au bout d'une bonne heure ils sont arrivés dans une oasis. Un palais somptueux trônait pour s'arrêter devant une porte, tout le monde descend, prend ses bagages et entre dans le palais à la queue leu-leu.
Les deux jeunes arabes qu'il avait sucé dans l'avion partent dans une direction, Valentin suit Djibril et Hicham.
Tout est somptueux, coloré. Au détour d'un couloir ils croisent un arabe qui fait signe à Djibril et Hicham de prendre une direction et leur dit en arabe de regagner leur chambre. Ils partent sans un regard pour Valentin, qui se sent pris par un bras et entraîné par l'arabe. Il l'observe pendant qu'ils marchent.
C'est un homme en djellabah blanche, moustachu, de 35-40 ans, assez carré, pas avenant du tout, de petits yeux noirs, vicieux pense aussitôt Valentin, il est un peu plus grand que lui, assez carré d'épaule et sa poigne est ferme.
Il l'emmène dans une pièce vide, blanche du sol au plafond, éclairée légèrement, mais le reflet de la lumière sur la blancheur de la pièce fait qu'on dirait qu'il y a mille feux.
L'homme lui parle en arabe, en lui disant de se déshabiller mais Valentin fait celui qui ne comprend pas et le regarde en prenant un air étonné. L'homme lui fait signe d'enlever ses vêtements et se met à lui parler en anglais. Là Valentin lui répond en lui disant qu'il préfère en anglais et que s'il parle français c'est encore mieux mais l'homme n'a pas l'air de goûter la plaisanterie, il dit juste "naked".
Alors Valentin se met nu complètement, l'homme ramasse ses vêtements et les met en tas dans un coin.
-maintenant tu vis nu tout le temps, tu obéis à tout ce que l'on te demande.
-bien dit Valentin en regardant l'homme dans les yeux.
Il se prend une claque magistrale sur la joue, le faisant presque tomber à terre.
-à partir de maintenant, quand tu me parles, tu ne me regardes plus jamais dans les yeux et on m'appelle maître Hamed.
-bien maître Hamed dit Valentin en baissant la tête.
-à genoux! et montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Valentin se met à genoux, maître Hamed soulève sa djellabah, il est nu dessous et un service trois pièces s'offre au regard de Valentin. Il tend la main et va pour toucher les grosses couilles pendantes quand un coup lui cingle le dos. Il redresse la tête, l'homme tient une badine à la main.
-j'ai dit avec la bouche pas les mains! il faudra comprendre ce que l'on te demande, sinon tu vas avoir des marques.
Valentin penche la tête sur le sexe pendant. Une longue tige flasque, molle, au gland proéminent qui pend sur une paire de grosses couilles poilues. Il donne des coups de langues sur le gland, lèche le sexe jusqu'aux poils pubiens et revient sur le gland pour le prendre entre ses lèvres, le téter doucement en passant sa langue dessus. La queue semble se réveiller d'un coup, Valentin sent le gland gonfler dans sa bouche et s'enfoncer au fur et à mesure que le zgeg s'allonge, en grossissant et durcissant de plus en plus.
Il sent le gland sur sa luette et il reste encore un gros morceau à avaler pour avoir tout en bouche. Il force mais le gland bouche l'entrée de sa gorge, une main appuie fermement sur sa tête et il voit le pubis venir vers lui et la queue s'engouffrer dans sa gorge, le faisant tousser et pleurer, mais il est maintenu fortement. La queue se retire et revient fortement au fond. Les mains le tiennent et sa gorge est assaillie par le gros gland. Il tire la langue et se laisse faire et ça dure... longtemps. Puis la queue se retire, remplacée par les couilles qui se posent sur ses lèvres. Il les aspire une par une, les lèche, puis essaie de prendre les deux mais ça glisse, et, sans les mains... Il s'applique et réussit à les prendre en bouche toutes les deux, il sent les grosses boules rouler dans sa bouche.
Puis il voit revenir ce gros boudin arabe devant lui, le gland marron foncé suinte.
-ouvre la bouche et tire la langue.
Valentin obéit, ouvre très grand la bouche et tire bien sa langue et voit maître Hamed se branler lentement, le gland juste sur sa langue. Les vas et viens se suivent quand Valentin voit le premier jet arriver et gicler sur sa langue jusqu'au fond de sa gorge par réflexe il déglutit et referme sa bouche sur le gland et reçoit plein d'autres giclées qui lui emplissent la bouche. Il peine à tout avaler.
Quand la queue se retire, c'est pour recevoir une claque sur la joue.
-quand je dis tu ouvres la bouche et tu tires la langue, c'est pour recevoir l'offrande de ton maître et, tant que l'offrande n'est pas terminée, tu restes la bouche ouverte! je te préviens pour cette fois mais la prochaine fois il y aura punition!
-oui maître Hamed dit Valentin en baissant la tête.
-tu te branles souvent ? demande maître Hamed.
-oui tous les jours dit Valentin la tête toujours baissée.
Sans un mot maître Hamed sort de la pièce et revient quelques instants plus tard, suivi d'un jeune arabe qu'il n'avait pas encore vu, nu également, tenant une cage de chasteté à la main. L'homme lui demande de la poser à Valentin.
Le jeune arabe, nu, se met à genoux devant Valentin et, en un tour de main installe l'engin avant que sa queue ne durcisse complètement, se relève, toujours la tête baissée et sort de la pièce.
Valentin, frustré, sent sa queue essayer de gonfler dans l'appareil. Il est entraîné par le bras dans un couloir et une pièce... sa chambre! Un lit, une chaise, une armoire, une lampe! pas un vêtement, pas un livre, et... pas son téléphone!
-Bienvenue à ton stage dit maître Hamed en fermant la porte.
Valentin entend une clé tourner dans la serrure.
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