les aventures érotiques de Solange première partie
Récit érotique écrit par Paul juste-montlouis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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les aventures érotiques de Solange première partie
Une publicité mensongère
ou prometteuse – Premier contact
Je m’appelle Solange, ma vie était jusqu’à ces derniers mois tout à fait banale voire
routinière. Je suis secrétaire médicale, divorcée, sans enfant, je suis une femme
libre si l’on peut dire. Je mesure un mètre soixante dix centimètres pour un poids de
soixante deux kilogrammes. J’ai quelques petites rondeurs à des endroits que les
hommes apprécient. Je suis une jolie brune aux yeux noisette. Je vis en proche
banlieue parisienne. J’ai quelques amis de longue date, de vagues connaissances pour
une durée éphémère et un amant régulier, Vincent. Il est commercial, marié et peut
parfois se libérer, environ deux nuits par mois. Tout ceci ne suffit plus à me
contenter, il me faut autre chose, je ne sais pas encore exactement quoi, mais je sens
que je perds mon temps. Après de multiples recherches de nouvelles relations sur le
net qui aboutirent à quelques plans douteux mais qui ne conduisirent à rien de bien
intéressant, je tombai par hasard le mardi 8 janvier 2009 en soirée sur une annonce à
caractère commercial qui attira mon attention dès la première lecture :
MAÎTRESSE PARTICULIEREMENT SEVERE ET EXIGENTE AIDEE DE SON EQUIPE MOTIVEE ORGANISE VOS
PROCHAINES VACANCES. VOTRE LIEU DE VILLEGIATURE AURA POUR DOUX NOM « A LA BOURGEOISE
TOURMENTEE ». DEPART PARIS OU LYON LE VENDREDI SOIR RETOUR PARIS OU LYON LE SAMEDI
SUIVANT. DEUX MILLE EUROS TOUT COMPRIS, TRANSPORT, LOGEMENT, NOURRITURE, NOMBREUSES
ACTIVITEES NON PAS PROPOSEES MAIS IMPOSEES. RESERVATION POSSIBLE UNIQUEMENT POUR UNE
FEMME SEULE ET EXCLUSIVEMENT APRES LA REUSSITE AUX DEUX EPREUVES D’EVALUATION. POUR LA
PREMIERE EPREUVE VOUS AVEZ LE DROIT A DEUX TENTATVES PAR ANNEE CIVILE. POUR LA
DEUXIEME EPREUVE VOUS N’AVEZ LE DROIT QU’A UNE TENTATIVE PAR ANNEE CIVILE.
L’annonce était suivie des consignes suivantes : Pour prendre contact et espérer une
éventuelle réponse, il vous faudra envoyer une lettre simple (non recommandée et non
suivie) de motivation manuscrite particulièrement bien rédigée et sans faute
d’orthographe à la société EUROLOISIRS à l’attention de Madame la Directrice. Le temps
de Madame la Directrice étant extrêmement précieux vous joindrez un chèque de vingt
euros à l’ordre de la société EUROLOISIRS pour couvrir les frais de création de votre
dossier de préinscription ainsi qu’un numéro de téléphone fixe où Madame la Directrice
pourra vous contacter de 20 h 00 à 22 h 00 et ceci m’importe quel jour à partir de
l’envoi de la lettre de motivation accompagnée du chèque de vingt euros. Madame la
Directrice ne procédera qu’à un seul appel téléphonique à votre attention et
n’attendra que le temps de cinq sonneries. Vous devrez avoir à côté de votre téléphone
un cahier et un stylo à bille noir afin que Madame la Directrice puisse vous dicter
ses instructions. A partir de maintenant vous laisserez pousser vos cheveux afin de
pouvoir les attacher en queue de cheval quand Madame la Directrice vous le demandera.
Il vous est strictement interdit de vous faire couper les cheveux dans un salon de
coiffure ou de les couper par vous même. De plus vous joindrez à votre lettre les
trois photographies suivantes de vous dans une de vos tenues de travail ou dans une
tenue que vous portez habituellement si vous ne travaillez pas :
– Votre visage de face,
– Votre visage de profil,
– Vous debout.
Après les instructions figuraient le numéro siret de la société EUROLOISIRS et son
adresse. Je m’habillai avec la tenue que je porterais le lendemain au cabinet
médical : Soutien-gorge et culotte rouges, collant marron foncé opaque, chemisier vert
court, jupe à carreaux verte et courte mais non vulgaire ainsi que mes escarpins noirs
à talons hauts, à brides et à bouts ronds. Je disposais d’un appareil photographique
numérique doté d’un retardateur et d’un pied, je pris donc sans tarder trois
photographies de moi dans ma cuisine, l’une de mon visage de face, l’autre de mon
visage de profil et la dernière de moi debout.
J’ai senti immédiatement, je ne sais pas exactement pour quelle raison, que je devais
tenter ma chance. Je devais m’atteler à la rédaction d’une lettre de motivation et
tout au plus si je n’étais pas retenue, j’aurais perdu vingt euros. Mais les vingt
euros n’étaient déjà plus la question, la lecture de cette annonce m’avait déjà
procuré du plaisir pour plus de vingt euros, ma petite culotte était littéralement
trempée. Je me mis immédiatement à rédiger un brouillon, je savais que je n’aurais
qu’une seule chance, il fallait prendre cette fameuse Directrice dans mon filet,
l’obliger à finir la lecture de ma lettre puis l’inciter à me contacter. Je rédigeai
dès cette première nuit cinq lettres de motivation, toutes bien tournées, sans faute
d’orthographe mais aucune ne serait susceptible selon moi de me permettre de capturer
l’attention de Madame la Directrice. Je ne voyais pas le temps passer, à cinq heures
du matin je n’avais pas encore fermé l’œil de la nuit. Je pris une douche et me
préparai pour ma journée de travail. Cette garce de Directrice était diablement
efficace, je ne la connaissais pas encore, je ne l’entendrais et ne la verrais peut-
être jamais et elle m’avait déjà fait passer une nuit blanche ! Autant vous dire que
ma journée de travail le lendemain de la lecture de cette annonce fût des plus ternes,
je n’avais plus qu’une hâte, regagner mon domicile et rédiger cette fichue lettre de
motivation. Après un repas rapide, je commençai cette redoutable lettre de motivation.
Je décidai rapidement les grandes lignes qui devaient guider la rédaction de ma lettre
de motivation : jouer franc jeu avec Madame la Directrice et ne pas tourner autour du
pot, en effet l’annonce précisait que son temps était précieux ; décrire ma vie
actuelle à Madame la Directrice et mon désir de connaître de nouvelles sensations, de
nouvelles contraintes, de nouvelles situations ; faire comprendre à Madame la
Directrice qui semble assez vénale mais sans la vexer que je serais prête à tous les
sacrifices dans la limite de mes moyens financiers pour participer à un séjour
organisé par ses soins à l’occasion de mes prochaines vacances ; indiquer à Madame la
Directrice qu’elle pourrait librement choisir la date de mes épreuves et de mon
séjour. Après plusieurs projets qui me tinrent en éveil jusqu’au bout de la nuit, la
lettre suivante fût achevée peu avant l’aube :
Madame NOM Solange
WWWWW le 9 janvier 2009
ADRESSE
TELEPHONE FIXE
Madame la Directrice,
J’ai rédigé cette lettre avec franchise et concision pour vous présenter mes attentes
sans vous faire perdre inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement une
femme libre, divorcée depuis un peu plus de trois ans, sans enfant. J’ai un amant
régulier, un commercial qui peut se libérer environ deux nuits par mois et quelques
relations toujours éphémères. Je suis secrétaire médicale, j’ai gardé de très bonnes
relations avec l’agence d’intérim qui m’a fait travailler la première fois dans le
cabinet où je suis actuellement employée, cette agence met régulièrement une
secrétaire médicale à la disposition du cabinet pendant mes absences. Ceci me
permettrait de me libérer à une date à votre convenance pour des épreuves et un séjour
éventuel. Je désire vivement connaître de nouvelles expériences sexuelles, de
nouvelles sensations, de nouvelles contraintes, de nouveaux défis, de nouvelles
situations. En bref je ne veux pas passer à côté de nouvelles possibilités de relancer
ma vie qui me semble bien monotone voire routinière. Bien que ne disposant pas d’une
situation financière très aisée, je suis capable de tous les efforts nécessaires pour
atteindre les buts que je me fixe. L’épargne de la somme indispensable à l’inscription
à un séjour éventuel pendant mes prochaines vacances me semble un challenge très
intéressant et très motivant.
Dans l’attente de vous entendre, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la
Directrice, mes salutations les plus respectueuses.
Solange
J’introduisis la lettre dans une enveloppe ainsi que les trois photographies de moi
dans une de mes tenues de secrétaire prises dans ma cuisine. Sur l’enveloppe j’avais
préalablement recopié l’adresse de la société EUROLOISIRS et porté la mention « à
l’attention de Madame la Directrice ». Après avoir été préparé, le chèque de vingt
euros fût joint à la lettre non sans avoir été vérifié deux fois tant pour la
rédaction que pour la signature. Le temps de prendre une douche et d’avaler un bon
petit déjeuner et je devais déjà quitter mon domicile pour rejoindre le cabinet.
Décidément cette Directrice infernale venait de me faire passer une deuxième nuit
blanche consécutive, j’allais être dans un bel état au travail ! Je pris cependant le
temps de faire un crochet sur mon trajet pour déposer dans une boîte jaune accolée à
un bureau de poste la précieuse missive qui m’avait déjà coutée vingt euros et deux
nuits blanches. Je priais intérieurement pour qu’elle ne soit pas retardée par une
grève des postiers ou pire encore perdue.
Je n’avais pas encore réalisé à ce moment qu’à partir de l’envoi de la lettre de
motivation à l’attention de Madame la Directrice je n’aurais plus une soirée à moi. Je
pris conscience du problème le lendemain après-midi, le jeudi 10 janvier 2009 quand
Vincent me contacta par téléphone sur mon lieu de travail. Il me proposait pour le
soir même un petit restaurant, un ciné puis une fin de soirée et une nuit romantique
chez moi. Je dus inventer, prise au dépourvu, un prétexte des plus stupides et des
plus invraisemblables pour refuser sa proposition et la reporter à plus tard. En effet
je voulais être seule chez moi de 20 h 00 à 22 h 00. Je pris conscience à cette
occasion que je menais déjà de fait une double vie. Ma vie normale en journée et ma
vie sous l’emprise totale de Madame la Directrice de 20 h 00 à 22 h 00. C’était
effectivement le début de l’enfer. Ma tension nerveuse et mon angoisse augmentaient
chaque jour à l’approche de 20 h 00 et ne diminuaient qu’après 22 h 00. Je devais être
prête et totalement disponible pour noter les instructions de Madame la Directrice
dans les moindres détails, y compris ses intonations qui pourraient m’aider dans la
réussite aux deux épreuves, j’en étais convaincue. Je devais aussi pendant cet unique
entretien téléphonique faire très bonne impression à Madame la Directrice. J’étais
aussi persuadée que les épreuves n’étaient qu’un prétexte et qu’elle tenait à choisir
habilement les candidates à un séjour à l’aide de sa ruse. Pendant plus de deux mois
me vie devînt un véritable enfer. Je n’avais plus aucun contact en dehors de ma vie
professionnelle, et j’étais terriblement angoissée chaque soirée pendant la période
fatidique.
Un peu plus d’une semaine après l’envoi de ma lettre de motivation, le jeudi 17
janvier 2009, vers 20 h 30 alors que je surfais pour occuper ma soirée, mon téléphone
sonna. Dès que j’eus le combiné en main, une voix très sure d’elle m’annonça : « Je
suis Madame la Directrice, je dirige l’établissement de dressage “à la bourgeoise
tourmentée”, ne dis pas un mot Solange et bois mes paroles. A partir de maintenant tes
cheveux et tous tes poils m’appartiennent, il t’est strictement interdit de te faire
couper les cheveux ou de te raser Solange, y compris la chatte, le cul, et sous les
bras. Mets ta tenue de secrétaire et transmets-moi immédiatement par mail un gros plan
de des seins après avoir retiré ton chemisier et ton soutien-gorge ainsi qu’un gros
plan de ta chatte après avoir retiré ta jupe, ton collant et ta culotte. Tu as dix
minutes pas une seconde de plus. » Après un silence elle termina l’entretien : « Mon
adresse mail est : xxxxxxxxxx@euroloisirs.com ; attends mes autres instructions sans
prendre d’initiatives et sans me contacter. » Je ne disposais que de dix minutes ! Je
pris donc rapidement les photographies exigées par Madame la Directrice, je ne voulais
pas la décevoir dès ce premier contact et perdre toutes mes chances de participer à un
séjour, qui je le sentais serait inoubliable pendant mes vacances. Je lui transmis
ensuite par mail les deux photographies quelques secondes avant la fin des dix
minutes. Respectant les instructions de Madame la Directrice je ne pris aucune
initiative et ne lui adressai aucun mail.
Deuxième contact plus musclé – Préparation pour la première épreuve
Un vendredi soir, le 21 mars 2009, alors que je somnolais tout en étant angoissée le
téléphone sonna. Je lus machinalement l’heure sur ma montre : 21 h 58 et me précipitai
pour prendre la communication avant la cinquième sonnerie, en fait j’étais à l’écoute
dès la troisième sonnerie. Deux très longues et inquiétantes minutes s’écoulèrent
avant que je ne perçoive une respiration, la respiration de Madame la Directrice, j’en
étais certaine. Je n’osais rien dire et attendais bêtement. Une voix autoritaire
s’exprima ainsi : « As-tu les cheveux assez long pour tresser une natte même petite ou
les fixer en queue de cheval Solange ? » Je répondis spontanément : « Oui je peux me
faire une petite queue de cheval. » Après un silence la voix continua : « Ce n’est pas
la bonne réponse Solange, la bonne réponse était oui je peux me faire une petite queue
de cheval Madame la Directrice ; tu mérites une punition Solange. » Après un nouveau
silence la voix annonça : « Mets immédiatement la tenue de secrétaire que tu avais sur
les photographies que tu m’as envoyées, puis prends sur le champ des photographies de
ton visage de face et de profil et une photographie debout et transmets les moi demain
par mail, j’exige de voir ta queue de cheval. » Je mis sans tarder ma tenue de
secrétaire et pris trois photographies de moi avec la queue de cheval qui avait
poussée depuis ma première lecture de l’annonce.
J’annonçai alors à Madame la Directrice que les photographies étaient prises, celle-ci
poursuivit : « As-tu un objet pour te punir par exemple un martinet, une matraque, un
fouet ou une cravache Solange ? » Cette fois, bien que tendue, je répondis : « Non
Madame la Directrice. » La voix poursuivit : « Le ton est plus respectueux Solange, je
constate que tu fais de rapides progrès. As-tu un instrument pour te récompenser par
exemple un godemiché, un vibromasseur, un bras de fisting ou des boules de geisha
Solange ? » De plus en plus angoissée je répondis cependant : « Non Madame la
Directrice. » Après un bref silence et semblant contrariée, la voix demanda : « As-tu
des escarpins avec une semelle solide Solange ? » Pour une fois que j’avais ce qui
pourrait satisfaire Madame la Directrice et voulant à tout prix lui faire bonne
impression je répondis : « Oui j’ai des escarpins ayant une semelle solide Madame la
Directrice, ceux que je porte actuellement avec ma tenue de secrétaire. » Elle me
demanda alors : « As-tu une grosse carotte, ou une banane ou un épi de maïs ou encore
un concombre Solange ? » Effrayée je répondis cependant : « Oui j’ai une banane Madame
la Directrice. » La voix rassurée m’indiqua : « Je vais pouvoir te punir à distance
pour ton manque de respect envers ta Directrice Solange. Mets-toi par terre dans ta
cuisine à quatre pattes en tenue de secrétaire. Prends une photographie. Enlève ta
jupe verte à carreaux, ton collant marron et ta culotte rouge et prends une nouvelle
photographie. »
Je fis tout ce que Madame la Directrice me demanda et la prévins après avoir pris les
photographies. Elle ajouta alors : « Retire tes escarpins ayant une semelle solide et
prends une photographie de toi à quatre pattes. Tu vas maintenant te claquer le cul
trente fois avec la semelle d’un de tes escarpins, je veux entendre les trente
claquements au téléphone. » Je retirai mes escarpins et pris une photographie de moi à
quatre pattes. Bien que complètement décontenancée je pris en main un de mes escarpins
solides. Je posai alors le téléphone sur une chaise à côté de moi à quatre pattes. Je
restai immobile, hésitante, sans rien faire. La voix d’un ton autoritaire et sans
appel m’indiqua : « Si tu veux vraiment faire un séjour dans l’établissement “à la
bourgeoise tourmentée” tu vas devoir t’administrer immédiatement et de toutes tes
forces non pas trente mais cinquante coups d’escarpin Solange, maintenant, je veux les
entendre claquer sur ton cul. » Instinctivement je me ressaisis et frappai mon cul
violemment de cinquante coups d’escarpin.
A peine avais-je terminé que la voix précisa : « Prends immédiatement une photographie
de ton cul rougi à quatre pattes Solange. Quel doux bruit à mes oreilles que ces
claquements sur ton cul, tu mérites maintenant une petite récompense Solange. » La
voix annonça alors : « Remets tes escarpins et enfonce toi la banane profondément dans
la bouche et la gorge, tourne la banane et fais des va-et-vient tu feras ensuite de
même dans ton vagin jusqu’à ce que la banane soit terriblement mouillée. Prends une
photographie pendant que tu te défonceras le fond de la gorge puis une autre quand tu
te défonceras le fond du vagin Solange. Je sais que tu mouilles déjà, après cinquante
coups d’escarpin tu dois être mouillée comme une fontaine Solange. » Terrassée mais
sous l’influence de cette terrible voix je pris la banane dans la corbeille à fruits
et me l’enfonçai au fond de la bouche et de la gorge, la fis tourner dans tous les
sens et commençai les va-et-vient. Je poursuivis en visitant mon vagin avec ce fruit
déjà bien humide sans oublier de prendre les photographies exigées.
J’étais dans un état d’excitation extrême. Madame la Directrice l’entendit au bruit de
mes râles et continua : « Finis-toi en te défonçant le cul profondément avec la banane
et en t’écrasant et te pinçant fortement le clitoris Solange. Tu prendras bien entendu
des photographies de cette petite scène érotique Solange. » Je m’écrasai et me pinçai
aussitôt le clitoris tout en me défonçant copieusement le cul avec la banane. La prise
des photographies augmenta encore si cela était toujours possible mon état
d’excitation. Très rapidement un orgasme monstrueux et très bruyant me laissa
totalement anéantie.
Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, Madame la Directrice m’ordonna :
« Prends ton cahier et ton stylo à bille noir et note précisément mes instructions
Solange. Ce sont les instructions pour ta première épreuve. » A peine cinq secondes
plus tard elle me dictait : « A partir de maintenant tu n’es plus Solange mais la
soumise Natacha. Tes cheveux et tes poils, y compris les poils de ton cul et de ta
chatte m’appartiennent soumise Natacha, ne l’oublie jamais ! Demain, samedi si tu n’en
as pas encore, tu iras acheter un scanner, une webcam, ton sextoy préféré et ton
instrument de punition préféré. Tu te familiariseras ensuite très rapidement avec
l’utilisation du scanner et de la webcam. » Quelques secondes plus tard elle
continua : « Tu rédigeras ensuite une lettre de motivation à mon attention où tu
m’expliqueras les raisons qui te conduisent à demander ton transfert de
l’établissement de dressage situé en région parisienne où tu séjournes actuellement
pour une durée de six mois suite à la demande de ton amant qui a découvert que tu te
livrais au racolage actif, vers l’établissement de dressage que je dirige dans une
ville pittoresque de province surnommé par les soumises qui y ont séjourné “à la
bourgeoise tourmentée”. Tu sais par une soumise qui y a séjourné que les conditions de
séjour y sont très difficiles et que le règlement y est très strict. Tu sais également
que tout manquement au règlement de cet établissement est puni d’un châtiment corporel
et d’une humiliation. La soumise en question n’est pas très loquace, elle craint
visiblement des représailles voir d’y retourner si elle parle trop de cet
établissement. Tu signeras ta lettre par “soumise Natacha”. » Enfin elle termina ce
premier entretien par : « Tu me feras parvenir par mail ta lettre de motivation et les
fichiers rattachés suivants : toutes les photographies que tu as prises ce soir ainsi
que d’une part la copie scannée recto et verso de ta carte d’identité et d’autre part
un film réalisé à l’aide de ta webcam où on pourra te voir te corriger sévèrement avec
ton instrument de punition préféré et constater la pousse des poils de ta chatte
depuis deux mois soumise Natacha. Puisqu’avec la webcam je ne pourrai pas profiter du
bruit des claquements sur ton corps et de tes gémissements sous les coups, je veux
voir les traces des impacts pendant ta correction et en gros plan après la fin de ta
correction. Enfin tu rattacheras aussi un film réalisé à l’aide de ta webcam où on
pourra te voir te donner du plaisir avec ton sextoy préféré et où l’on devinera, en te
voyant te tordre de plaisir dans tous les sens, les bruits émis par ton vagin et ton
cul. J’exige d’avoir le mail et tous les fichiers rattachés sur mon bureau demain soir
à 22 h00. Ces films et photographies seront stockés dans ton dossier de candidature
sur un DVD avec tous tes mails et tous mes mails à venir et ne seront consultables
uniquement que par moi même. Si ta lettre de motivation ainsi que tes photographies et
les deux films joints me satisfont je te ferai parvenir mes instructions pour la
deuxième épreuve par mail. » Ce furent les dernières paroles que j’entendis, elle
raccrocha sans dire un mot de plus.
J’étais abasourdie. Je savais cependant que c’était là ma seule et unique chance,
j’avais déjà franchi plusieurs obstacles. Madame la Directrice avait visiblement reçu
ma lettre et celle-ci avait retenu son attention car elle m’avait contactée. Les
photographies de mes seins et de ma chatte l’avaient émoustillée car deux mois plus
tard elle m’avait recontactée. Je pensais également avoir surmonté la difficulté du
deuxième entretien téléphonique car Madame la Directrice s’était réjouie des
claquements de mon escarpin solide sur mon cul, en effet elle m’avait récompensée par
la suite. Enfin elle m’avait communiqué, certes rapidement et brutalement, ses
instructions pour la première épreuve d’évaluation. Je devais impérativement dormir
afin de reprendre quelques forces pour m’attaquer dès le lendemain matin à la première
épreuve d’évaluation et tenter de la réussir brillamment. Cette nuit fût cependant
fort agitée. Moi qui dors habituellement sur le dos, je ne trouvais pas de position
confortable avec mon postérieur endolori suite aux cinquante coups d’escarpin que je
m’étais moi-même administrée sous les ordres de Madame la Directrice pour mon manque
de respect envers elle. Je finis cependant par essayer de dormir allongée sur le
ventre. Mes pensées revenaient sans cesse en boucle : Quel instrument de punition
vais-je acheter demain, où vais-je le trouver ? Quel objet de plaisir vais-je acheter
demain, où vais-je le trouver ? Je dormis en fait très peu et très mal mais pendant
l’une de mes périodes de veille je trouvai la force de positionner mon radio-réveil
sur la position alarme ce que je n’aurais jamais fait une fin de semaine normale, mon
réveil naturel le week-end étant pour moi sacré.
Après un petit déjeuner réparateur, je devais prendre ma première décision : Quel
était mon instrument de punition préféré ? En faite ce serait celui que j’oserais
acheter et dont l’utilisation ne serait pas trop douloureuse. J’éliminai rapidement la
cravache, j’avais contre cet instrument un à priori défavorable, ce matériel destiné
normalement à l’équitation devait avoir selon moi un prix élevé et je n’aurais jamais
le courage de l’utiliser sur mon propre corps. La matraque fût elle aussi éliminée, je
ne voyais vraiment pas où en acheter une et me voyais encore moins l’utiliser. Quant
au fouet, je n’osais même pas imaginer où je pourrais en trouver un, ne parlons donc
pas de son utilisation. Il ne restait que le martinet. On devait pouvoir en trouver
selon moi dans une animalerie ou dans le rayon dédié à la nourriture et au matériel
pour animaux de compagnie dans un hypermarché. Ma décision était prise j’irais acheter
un martinet dans mon hypermarché habituel ou si je n’en trouvais pas dans une
animalerie. Par la même occasion je ferais l’acquisition d’un scanner et d’une webcam.
La deuxième décision était beaucoup plus délicate : Quel était mon instrument de
plaisir préféré ? Je devais tout d’abord trouver le courage d’une part de pénétrer
dans un sex-shop chose que je n’avais jamais faite de ma vie et d’autre part d’oser
prendre en main l’instrument en question. Ma décision était prise, mes cheveux étant
brun, pour ne pas être reconnue, moi qui ne porte que très rarement une robe je
mettrais donc une robe, des lunettes de soleil très couvrantes et une perruque blonde.
Je cherchai et trouvai dans mes affaires une robe rouge qui me convenait, les lunettes
de soleil et la perruque. Pour immortaliser ce moment excitant, je pris quelques
photographies de mon déguisement. Il fallait maintenant choisir l’instrument de
plaisir. J’éliminai en premier le bras de fisting, je n’oserais jamais toucher cet
objet dans le sex-shop et encore moins l’utiliser. Je rejetai ensuite les boules de
geisha puis le vibromasseur, je ne me sentais pas le courage de les acheter dans un
sex-shop. Il ne restait plus qu’un godemiché. Ma décision était prise j’oserais
entrer, certes déguisée, dans un sex-shop et je me procurerais un godemiché. Avant de
partir je notai dans mon agenda l’adresse précise de deux animaleries et de trois sex-
shops. Je décidai d’acheter le matériel informatique et le martinet en matinée puis de
me déguiser et de visiter pour la première fois de ma vie un sex-shop dans l’après-
midi. Je prendrais l’après-midi pour transporter mes achats et mon déguisement, un sac
de sport que je pourrais porter à l’épaule. Pour l’achat dans le sex-shop je prendrais
du liquide ne souhaitant pas laisser un chèque avec mon adresse dans ce commerce ou
une trace de cet achat sur mes relevés de carte bancaire.
Dans mon hypermarché habituel, l’achat des provisions et des consommables nécessaires
pour la semaine ne me pris que peu de temps. L’achat du scanner et de la webcam ne me
pris que quelques minutes supplémentaires. L’achat d’un martinet était déjà une autre
paire de manche. Il me fallut dans un premier temps trois passages dans le rayon dédié
aux animaux de compagnie l’air de rien mais scrutant attentivement les accessoires
pour animaux avant de pouvoir observer un court instant l’objet de ma recherche mais
sans ralentir et en poursuivant mon chemin. Je savais maintenant où étaient accrochés
les martinets. Je devais prendre sur moi pour attraper un martinet et le déposer dans
mon chariot. J’avais fait une erreur, dans mon hypermarché habituel je pouvais à tout
moment rencontrer une connaissance. Il aurait été plus prudent d’aller dans un
hypermarché d’une autre commune que je ne fréquente jamais. J’avais une peur bleue de
rencontrer une amie ou une voisine qui pourrait dire à haute voix : « J’ignorais que
tu avais un jeune animal à dresser Solange, tu nous fais des cachotteries. » Dès que
le martinet fut dans mon chariot je me dirigeai rapidement vers une caisse pour sortir
au plus vite de l’hypermarché. Dans la file d’attente en caisse j’avais des bouffées
de chaleur. J’avais maintenant peur qu’un inconnu sans gêne me dise : « Si vous en
avez envie Madame, je peux vous montrer comment l’on utilise un martinet sur une femme
en chaleur, ou tout autre chose du même mauvais goût. » Je ne fus tranquille qu’une
fois sortie de l’hypermarché et le martinet disposé au fond de la malle de mon
véhicule avec le matériel informatique et les achats de la semaine.
Dans le feu de l’action
de la première épreuve
De retour à mon domicile je me préparai un repas à la hâte et le pris tout aussi
rapidement pour commencer à me familiariser avec l’utilisation du scanner et de la
webcam. L’utilisation du scanner était très intuitive, je parvins sans difficulté à
scanner les deux faces de ma carte d’identité. Je nommai les fichiers correspondants :
CNIsoumiseNatacha-1 et CNIsoumiseNatacha-2. L’installation de la webcam fut un peu
plus longue mais je m’en sortis sans grosse difficulté. Mes premiers essais de
tournage de petits films sur des objets inanimés m’apprirent immédiatement que la
tâche était délicate. Il fallait trouver, la bonne distance entre l’objet à filmer et
la webcam pour réaliser un cadrage correct, la bonne hauteur et la bonne inclinaison
pour placer la webcam par rapport au sujet à filmer. Ces premiers essais de tournage
réalisés, il était déjà temps de me diriger vers un sex-shop.
Je garai mon véhicule dans un endroit relativement tranquille et dans la zone proche
des trois sex-shops dont l’adresse figurait dans mon agenda. Prenant mon courage à
deux mains, je mis à l’intérieur du véhicule, ma robe rouge, ma perruque blonde et mes
lunettes de soleil très couvrantes. La partie la plus excitante de mes achats
débutait. Quant j’arrivai au premier sex-shop, j’étais extrêmement angoissée. Il était
situé dans une ruelle particulièrement sombre où même en plein jour on ne se sent pas
rassurée. Je ne fis même pas une tentative pour y pénétrer, ce lieu incarnait à lui
tout seul le mot sordide. La vitrine était totalement occultée par un rideau noir et
délavé par le peu de soleil qui éclairait le lieu. Je n’osais imaginer l’intérieur de
cette boutique douteuse. Ma décision était prise, je me dirigeai immédiatement vers le
deuxième sex-shop. Le deuxième sex-shop était dans une rue passante, il avait une
véritable vitrine, certes avec bien peu de choses, mais pas un rideau délavé comme le
premier. Il était plus engageant, je réunis tout le courage dont je disposais et
pénétrai dans la boutique. La patronne avait un très mauvais genre, elle discutait
avec trois individus douteux des derniers films qu’elle avait reçus. La conversation
volait très bas. On pouvait trouver dans les présentoirs un nombre très important de
films sur DVD et je vis au fond de la boutique deux cabines réservées à priori à leur
visionnement. Dans mon dos étaient disposés quelques articles du genre sextoy mais je
n’osais même pas quitter les films des yeux et me retourner. Voyant mes hésitations
dans le choix d’un film la patronne vint me dire : « Nous avons trente cinq genres
différents ma petite dame, que recherchez-vous ? » Je répondis : « Rien de bien précis
madame. » L’un des individus douteux ajouta : « Elle recherche des sensations
fortes. » Un autre poursuivit : « Elle a peut-être besoin qu’on lui mette la main où
je pense. » Ils éclatèrent alors de rire tous les trois, contents de leur exploit.
J’étais rouge comme une pivoine et ne savais plus où me mettre. La patronne
poursuivit : « Vous n’êtes pas une cliente habituelle madame, puis-je vous
conseiller ? Les trois lascars au comptoir sont forts en paroles mais ce sont de bons
bougres, ils ne feraient pas de mal à une mouche. » Je répondis très gênée : « Non
merci, je suis trop indécise, je reviendrai une autre fois. » Je quittai alors cette
affreuse boutique me promettant de ne jamais y remettre les pieds. Il ne me restait
plus qu’une seule cartouche, le troisième sex-shop. J’avais envie de pleurer tellement
je me sentais humiliée par les trois lascars. Je savais que cette fois je devais
absolument acheter un godemiché, sinon fini le bel espoir d’un séjour très excitant.
Le troisième sex-shop était situé dans une allée couverte entre deux immeubles donnant
sur une rue passante, c’était la seule boutique de l’allée. Le simple fait de
s’engager dans l’allée couverte impliquait déjà que l’on se rendait au sex-shop. Je
fis trois fois le tour du pâté de maisons avant de réunir le courage suffisant de
m’engager dans cette allée couverte. Engagée dans l’allée couverte j’arrivai devant la
boutique en question. Elle n’avait pas de vitrine, la façade était en béton nu, le
seul orifice dans le béton étant une porte vitrée recouverte sur sa face intérieure à
l’aide du drap noir. Au moins le drap dans cette allée couverte n’était pas délavé par
le soleil et il semblait propre. Angoissée, je réunis toutes les forces qui me
restaient et franchis la porte vitrée. La patronne semblait fort sympathique, c’était
une petite blonde un peu rondelette, ronde de visage et très accueillante. Elle me dît
simplement : « Prenez tout votre temps, je dispose d’un large choix de DVD, de
quelques cassettes vidéo et de différents accessoires, je suis convaincue que vous
trouverez votre bonheur. » Je commençai par explorer le rayon des DVD. Au moins
l’endroit était calme et j’étais seule. Soudain pendant que je faisais mine de
m’intéresser à un DVD en manipulant une boîte, un homme entra dans le sex-shop. Il dit
bonjour en entrant puis demanda courtoisement à la patronne si elle avait des
nouveautés depuis la semaine dernière. Elle vint suivie du client près du rayon des
DVD et lui montra les sept nouveautés reçues cette semaine. L’homme choisit rapidement
une boîte et la donna à la patronne. En fait comme je le compris à ce moment les
boîtes étaient vides. Seul un numéro figurait à l’intérieur et à l’aide de ce numéro,
la patronne pouvait très rapidement trouver sous son comptoir dans une série de
tiroirs le DVD recherché. Elle le remit au client qui gagna une cabine de visionnement
située au fond du magasin. De nouveau seule dans la boutique je pris mon courage à
deux mains et me dirigeai vers le rayon des sextoy situé à l’entrée de la boutique à
côté des livres et revues. Je vis immédiatement plusieurs articles intéressants. Un
godemiché de taille « humaine normale » fort réaliste de couleur chair ainsi qu’une
main de femme de taille « humaine normale » de couleur noire dont les cinq doigts se
regroupaient au niveau de leur dernière phalange attirèrent toute mon attention. Je me
lançai et demandai à la patronne : « Mon ami est parti pour six mois travailler à
l’étranger et pour son anniversaire je souhaite lui envoyer par internet un petit film
de moi utilisant un sextoy, je suis totalement débutante en la matière et son
anniversaire arrive ce soir, que me conseillez-vous madame ? » Elle me répondit très
gentiment : « Vous avez une charmante idée pour l’anniversaire de votre ami, je suis
convaincue qu’il va apprécier votre film, je vous conseille pour débuter un godemiché
de taille réaliste comme celui-ci. » Elle me montra le godemiché sur lequel j’avais
flashé. Je saisis la balle au bon et dis immédiatement : « Je vais suivre votre
conseil, je le prends. » Elle le décrocha du rayonnage et le mis dans un sac discret
après avoir rejoint son comptoir. Je payai mon sextoy et me préparais à quitter le
sex-shop fière de mon courage. Quand elle me rendit la monnaie et me tendit le sac
contenant le godemiché, elle ajouta : « Quand vous aurez pris de l’assurance je vous
conseille la main de fisting que vous pouvez voir derrière vous, c’est une main pour
débutante. Plus tard quand vous serez une habituée, je pourrai vous commander un bras
avec le poing fermé de fisting et si vous devenez comme moi une experte, je pourrai
vous procurer une jambe avec un pied de fisting, depuis que j’utilise ce pied et cette
jambe, j’en suis folle. » Visiblement la patronne quoique fort gentille n’avait pas sa
langue dans sa poche, j’étais certaine qu’elle n’avait pas cru un traître mot de
l’histoire de mon ami. Elle semblait douée en psychologie et capable de donner des
conseils éclairés par sa propre expérience. Je pris le sac qu’elle me tendait sans
rien répondre, puis quittai la boutique en lui disant : « Au revoir madame et merci
pour vos conseils. » Une fois à l’extérieur du sex-shop, dans l’allée couverte je
faillis m’évanouir. Tout ce que je venais de vivre et d’entendre m’avait coupé les
jambes. Je dus me trainer au bord du malaise jusqu’à mon véhicule.
Dans mon véhicule il me fallut cinq bonnes minutes pour reprendre mes esprits et cinq
autres bonnes minutes pour remettre mon déguisement dans mon sac. Une fois de retour à
mon domicile je me préparai un repas solide pour avoir les forces d’affronter mon
épreuve et la réussir brillamment avant les fatidiques 22 h 00. Il était déjà 19 h 00,
je devais rédiger ma lettre de motivation d’une seule traite, je n’aurais pas de si
tôt une deuxième chance. Je saisis immédiatement sur mon ordinateur la lettre
suivante :
Soumise Natacha le 22 mars 2009
WWWWW
ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX
Chambre n° YYY
Madame la Directrice,
J’ai profité de ma seule et unique permission de sortie pendant le séjour de six mois
que j’effectue à l’établissement de dressage XXX. J’ai rédigé cette lettre avec
franchise et concision pour vous présenter mes attentes sans vous faire perdre
inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement dans un établissement de
dressage à la demande de mon amant pour un séjour de six mois afin que l’on m’apprenne
les bonnes manières. En effet une de ses relations lui a rapporté des faits de
racolage actif me concernant. Je ne peux nier car il m’a surprise en flagrant délit.
Je suis donc dans cet établissement chaque nuit en semaine le lundi, mardi, mercredi
et jeudi soir de 21 h 00 à 5 h 00 et le weekend du samedi 12 h 00 au lundi matin 5 h
00. Une soumise m’a indiqué que les conditions de séjour dans l’établissement de
dressage que vous dirigez Madame la Directrice sont très difficiles et que le
règlement y est très strict. Elle m’a dit également que tout manquement au règlement
de cet établissement de dressage est puni d’un châtiment corporel et d’une
humiliation. Cependant je sais aussi que vous êtes juste Madame la Directrice et que
vous ne punissez pas sans raison. Or le directeur de l’établissement dressage où je
séjourne actuellement abuse de son autorité. Chaque samedi soir il désigne au hasard
deux soumises. Les soumises désignées au hasard ont la tête recouverte d’une cagoule
et sont conduites par des gardiens au deuxième sous-sol de l’établissement de dressage
dans une pièce insonorisée. Dans cette pièce elles sont tabassées et violées toute la
nuit par les gardiens en question. Le but de ce traitement est de rendre les soumises
travailleuses et obéissantes. Le lendemain matin l’épouse du directeur choisi l’une
des deux soumises qui sont devenues travailleuses et obéissantes malgré elles. Elle se
sert de cette soumise pendant une journée entière comme esclave, elle lui fait faire
tous ses travaux domestiques en la battant. Elle se sert aussi de ses trois orifices
naturels dans les pires conditions que vous puissiez imaginer. J’ai déjà été désignée
trois fois pour passer la nuit du samedi soir au deuxième sous-sol et choisie deux
fois par l’épouse du directeur pour la servir comme esclave. Pour échapper à cet
enfer, je souhaite être transférée le plus rapidement possible dans l’établissement de
dressage que vous dirigez Madame la Directrice. Pour vous prouver ma motivation, je
joins à cette lettre deux petits films réalisés ce jour de mon unique permission à
votre attention. Je vous promets si vous acceptez mon transfert dans votre
établissement une obéissance totale.
Dans l’attente d’une réponse, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la
Directrice, mes salutations les plus respectueuses.
Soumise Natacha
Pour le premier film devant traiter de l’utilisation de mon instrument de punition
préféré, au cas particulier de l’utilisation d’un martinet, je devais choisir
rapidement un scénario. Mon scénario en tête je le mis immédiatement en application.
Je préparai l’accessoire suivant, un support en carton sur lequel je pouvais fixer une
feuille de papier destinée à être filmée par la webcam. Sur une feuille de papier
j’écrivis de ma plus belle écriture le titre et l’introduction du premier film :
CORRECTION DE LA SOUMISE NATACHA
La soumise Natacha n’a pas respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de
l’établissement de dressage. Madame la Directrice lui a ordonné de s’administrer une
bonne correction devant une webcam. Si la correction n’est pas suffisamment sévère, la
soumise Natacha sera envoyée dans une chambre sans le moindre confort.
Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se
punir sévèrement afin d’éviter de croupir dans une chambre sans le moindre confort. Je
me déshabillai complètement, puis je mis en place ma queue de cheval. J’enfilai en
toute hâte un porte-jarretelles noir, des bas noirs à résille et les escarpins que
j’avais utilisés hier au soir sous les ordres de Madame la Directrice. Je mis un
soutien-gorge noir dans lequel je fis tenir entre mes deux seins le martinet acheté le
matin même. Après les essais effectués entre l’achat du martinet et celui plus
mouvementé du godemiché, je savais que la webcam était positionnée pour filmer tout ce
qui se passerait sur le buffet de ma cuisine. Je mis en place le carton où figurait le
titre du film et son introduction sur mon buffet de cuisine. Puis hors du champ de la
webcam je débutai le tournage d’une pression sur le bouton de la souris. Après
quelques secondes je retirai le carton et m’allongeai sur le buffet de cuisine, les
jambes écartées et le sexe face à la webcam. Je retirai le martinet de son écrin entre
mes seins et commençai sans plus attendre à me fouetter vigoureusement le ventre avec
les lanières. Madame la Directrice aurait ainsi une vue sur mon pubis, ma chatte
poilue et mon cul. Quand mon ventre fut bien rouge je retirai mon soutien-gorge et
continuai par une volée de coups sur chacun de mes seins puis sur la poitrine dans son
ensemble. Sous la douleur je devais serrer les dents. Je me mis ensuite à quatre
pattes sur le buffet les genoux écartés au maximum, le cul orienté vers la webcam mais
sans tomber du buffet. Je me fouettai alors longuement les fesses puis l’arrière des
cuisses. J’enlevai alors langoureusement mes talons aiguilles puis mes bas couchée sur
le buffet, les jambes en l’air. Je me remis à quatre pattes sur le buffet et
m’administrai alors une sérieuse correction sur la plante des pieds, d’abord avec les
lanières du martinet puis pour finir avec le manche en bois. J’exposai pour finir en
gros plan devant la webcam le résultat de ma correction : traces sur mon ventre, mon
sein gauche, mon sein droit, mes fesses, l’arrière de mes cuisses et sur mes pieds
douloureusement fouettés puis battus avec le manche du martinet. Enfin sortant du
champ de la webcam je mis fin au tournage du premier film d’un nouveau clic sur la
souris.
Tout en reprenant mon souffle et mes esprits je préparai la feuille ou figurerait le
nom et la présentation du second film :
RECOMPENSE DE LA SOUMISE NATACHA
La soumise Natacha a respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de
l’établissement de dressage. Madame la Directrice lui a permis dans son infinie bonté
de se donner du plaisir devant une webcam. Si la séance plaisir n’est pas suffisamment
érotique, la soumise Natacha sera privée de douche pendant une semaine entière.
Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se
donner du plaisir de manière très érotique pour éviter de puer comme une chienne
pendant une semaine. Je me lubrifiai copieusement le vagin et l’anus avec du gel. Je
lubrifiai également copieusement le godemiché acheté au cours de l’après midi. Je
posai le godemiché au milieu du buffet de cuisine et posai devant le godemiché le
carton portant le titre du deuxième film. Je retirai aussi les escarpins, pour ce
deuxième film je ne porterais que le soutien-gorge, le porte-jarretelles et les bas à
résille noirs. Hors du champ de la webcam je débutai le tournage du second film. Après
quelques secondes je retirai le carton et allongée sur le buffet, je m’empalai la
chatte immédiatement à l’aide du godemiché tout en écartant les cuisses au maximum
face à la webcam. J’étais allongée sur le buffet et j’agitais le godemiché dans ma
chatte tout en me caressant les seins et les tétons à travers mon soutien gorge. Puis
je m’enfonçai le cul légèrement sur le godemiché tout en écartant les cuisses face à
la webcam. Dans cette position particulièrement indécente, Madame la Directrice
pourrait de nouveau contempler ma toison pubienne bien fournie. Puis je me mis à
quatre pattes sur le buffet, le cul tourné vers la webcam et me défonçai alors
copieusement la chatte puis ensuite le cul avec le godemiché. Je retirai ensuite le
godemiché et terminai ce second film par une gros plan de ma chatte et de mon cul tous
deux biens ouverts et affamés. Sortant du champ de la webcam je mis fin au tournage du
second film.
Je visionnai les deux films après m’être douchée, mise en robe de chambre et avoir
rangé mon petit matériel de punition et de plaisir. La qualité des deux films n’était
pas extraordinaire mais les deux scénarios me plaisaient et on pouvait y voir ma bonne
volonté. Je nommai ces deux films : PUNITIONsoumiseNatacha-1 et
RECOMPENSEsoumiseNatacha-1. Je me rendis compte en visionnant les films une deuxième
fois que sur le deuxième film Madame la Directrice pourrait contempler de nouveaux les
horribles marques, visibles à travers mes bas à résille, que le manche du martinet
avait laissées sur mes pieds douloureusement battus. J’envoyai ensuite ma lettre de
motivation, les quatre fichiers en pièces jointes ainsi que les photographies à
l’adresse mail de la société EUROLOISIRS. Tous ces événements m’avaient épuisée, je
dormis profondément cette nuit ainsi qu’une bonne partie du lendemain. Ma tension et
mon angoisse étaient enfin retombées, je serais au calme et détendue jusqu’au moment
de ma deuxième épreuve, du moins c’est ce que je pensais pendant la fin de ce week-
end.
Petit coup d’accélérateur
Le dimanche se passa dans le plus grand calme. Je fis un peu de ménage, commençai la
lecture d’un roman et me reposai. Je profitais sans le savoir de mon dernier
‘‘dimanche libre’’. Ma journée de travail du lundi se passa pour le mieux. J’avais la
tête à mon travail et j’espérais de temps à autre recevoir prochainement un mail de la
part de Madame la Directrice. Contrairement aux premiers appels téléphoniques de
Madame la Directrice qui mirent une semaine puis deux longs mois avant de se réaliser,
son premier mail m’attendait déjà dès le lundi 24 mars 2009 au soir à mon retour du
travail. En fait je vis en l’ouvrant qu’il avait été envoyé dès le lundi matin à 9 h
04. Le contenu du mail était court et brutal : « Soumise Natacha envoie moi ton numéro
de portable avant ce soir 22 h 00 et laisse le en permanence en marche. Je dois
pouvoir te contacter 24 h 00 sur 24. » L’ordre de Madame la Directrice était clair et
sans appel. Je lui transmis donc sans attendre le mail suivant :
Soumise Natacha
WWWWW le 24 mars 2009
ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX
Chambre n° YYY
portable : zz zz zz zz zz
Madame la Directrice,
Vous pouvez Madame la Directrice me contacter à toute heure, je ferai tout mon
possible pour satisfaire le moindre de vos désirs.
Dans l’attente de vos instructions, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la
Directrice, mes salutations les plus respectueuses.
Soumise Natacha
Moins d’une heure après l’envoi du mail à 20 h 27 mon téléphone portable sonnait. A
peine avais-je décroché que Madame la Directrice me demanda sans plus attendre : « As-
tu une robe ras la chatte que tu puisses enlever rapidement et des talons aiguilles
soumise Natacha ? » Ma réponse fut : « Oui j’ai une robe noire très courte et des
talons aiguilles Madame la Directrice. » L’ordre fusa alors sur un ton sans appel :
« En porte jarretelles, bas résille, talons aiguilles et en robe ras la chatte. Vas te
faire photographier dans une rue passante par des inconnus deux fois avec ta robe et
deux fois sans ta robe. Je veux les quatre photographies sur mon bureau dans une
heure. » Elle raccrocha immédiatement. J’étais tétanisée mais je n’avais plus le
choix, si je voulais participer à ces vacances érotiques, je devais passer par les
quatre volontés de Madame la Directrice. Cette garce profitait honteusement de la
situation. Je rechargeai sur le champ les accumulateurs de mon appareil photographique
numérique. Il faisait déjà nuit, les accumulateurs devaient être chargés pour activer
le flash. Pendant cette charge je me déshabillai complètement et mis à la hâte mon
porte jarretelles noir mes bas à résille noirs ainsi que ma robe noire et très courte.
Après avoir fixé rapidement les chaussures exigées par Madame la Directrice, je pris
mon appareil photo et me dirigeai en trottinant avec mes talons aiguilles dont le port
n’était pas du tout habituel chez moi vers une rue passante.
Il me fallait d’urgence avoir le courage de demander à un inconnu de bien vouloir me
photographier. Je n’avais en tout et pour tout qu’une heure pour transmettre les
photographies à Madame la Directrice. Ce n’était pas une mince affaire et le temps
jouait contre moi. Je rencontrai assez rapidement un couple qui sortait d’une
brasserie, les deux amoureux devaient se diriger vers leur voiture. Je me lançai
instinctivement ainsi : « Pourriez-vous m’aider, je veux faire une surprise à mon ami
qui est parti travailler plusieurs mois à l’étranger. Je veux lui envoyer des
photographies de moi par mail pour qu’il ne m’oublie pas. » Le couple s’arrêta près de
moi. Je confiai le plus naturellement du monde mon appareil numérique à l’homme et lui
demandai de faire deux photographies de moi, une où l’on me verrait au dessus des
genoux et une autre où l’on me verrait en totalité des pieds à la tête. Tout en
parlant je me dirigeai vers une arrière cour située derrière la brasserie. Pour se
rendre dans cette arrière cour il fallait passer sous un porche. Dès que nous fûmes
sous le porche je demandai à l’homme de prendre les photographies. Il prit les deux
photographies de moi assez rapidement sous le porche et me rendit l’appareil. A l’abri
sous ce porche je me lançai, je lui demandai alors : « Je voudrais aussi lui envoyer
deux photographies, une au dessus des genoux et une des pieds à la tête, mais cette
fois sans ma robe. » Ceci dit, sans lui laisser le temps de réfléchir je lui mis mon
appareil dans les mains, reculai et posai ma robe à terre. Il allait j’en suis
certaine prendre les deux photographies. Soudain la femme se mit à hurler : « Tu ne
vois pas que c’est une nymphomane ! Elle te drague cette salope. Pose l’appareil de
cette morue à terre et partons mon chéri. Et toi la morue ramasse ton appareil et
tire-toi avant que je ne te crêpe le chignon. » Autant vous dire qu’après avoir remis
rapidement ma robe noire très courte, je ramassai prestement l’appareil et je
m’éloignai au plus vite de cette furie folle de jalousie.
Je décidai alors de demander le service coquin dont j’avais absolument besoin à un
homme ou des hommes non accompagnés de telles furies. Me dirigeant vers la prochaine
brasserie de cette rue passante, je vis trois jeunes hommes sortir de la brasserie en
question. Ils n’avaient pas mauvais genre et la rue était très passante, je décidai de
tenter ma chance, de toutes façon je devais faire vite si je voulais satisfaire
l’ordre de Madame la Directrice. Je me lançai : « Messieurs, pourriez-vous me rendre
un petit service un peu coquin ? » Le moins timide des trois jeunes hommes me
répondit : « Quel genre de service coquin madame ? » Je sautai sur l’occasion : « Pour
envoyer un mail un peu chaud à mon ami qui travaille en ce moment à l’étranger je veux
joindre au mail des photographies coquines de moi dans le quartier pour qu’il ne
m’oublie pas. Je voudrais que vous preniez plusieurs photographies de moi sans ma robe
avec mon appareil numérique. L’un de vous trois messieurs se sent-il l’âme d’un
photographe de charme amateur ? » Un autre des jeunes hommes, pas le moins timide mais
certainement le plus vicieux me répondit : « Et que nous donnerez-vous comme
récompense coquine pour ce service madame ? » Cueillie à froid j’eus cependant le
courage de répliquer : « Celui qui me prendra en photo aura le droit de me caresser
les deux seins pendant une minute. » J’avais fait mouche, ils se disputaient déjà pour
savoir lequel d’entre eux allait me photographier, j’étais sur le point de gagner. La
dispute n’en finissait plus je devais intervenir au plus vite. Je dis alors :
« Messieurs j’ai pris ma décision c’est lui qui va me prendre en photo. » Et je
pointai le doigt vers le moins timide des trois en lui tendant mon appareil de l’autre
main. Dès qu’il eut l’appareil en main je repris le contrôle de la situation et leur
indiquai : « Suivez mois, nous allons réaliser ces photographies sous un porche pas
très loin d’ici. » Je me dirigeai alors vers le porche en question. Ils me suivirent
tous trois en plaisantant. Le jeune homme à qui l’avais confié mon appareil pris
quatre photographies de moi, ma robe posée à terre. Je récupérai alors mon appareil et
poursuivis : « Jeune homme venez prendre votre récompense vous pouvez me peloter les
seins pendant une minute. Et vous deux rincez vous l’œil à deux mètre de moi de part
et d’autre pendant qu’il me pelotera. » Le jeune homme ne se fit pas attendre et
pendant qu’il me pelotait vigoureusement ses deux copains se rinçaient joyeusement les
yeux en matant ma poitrine gonflée sous les caresses. Je prenais un plaisir fou à ces
caresses vigoureuses sur ma poitrine en pleine nuit sous un porche en ville et je
confesse avoir attendu bien plus d’une minute avant de poursuivre profitant de cette
aubaine et de ces jeunes hommes prêts à rendre service : « Messieurs, ce sera tout
pour ce soir, je vous remercie pour ce service coquin. Au fait pourriez-vous me donner
un numéro de téléphone portable où je pourrais vous joindre en cas de besoin pour une
petite soirée coquine ? » Le troisième larron cette fois se manifesta : « Tenez
madame. » Il me tendit un petit morceau de papier avec son numéro de portable et la
mention « soirée coquine avec trois copains » ; il ajouta : « En cas de besoin
n’hésitez pas à me contacter je me charge de chercher mes deux potes avec ma voiture
et on vous rendra le petit service dont vous aurez besoin. » Je mis alors fin à la
conversation : « Encore merci messieurs, la France n’est pas perdue, il y a encore des
hommes serviables, en cas de besoin je n’hésiterai pas à vous contacter, à plus
tard. »
Je rentrai dans la foulée à mon domicile en tournant deux fois autour du pâté de
maisons pour m’assurer que je n’étais pas suivie. Puis j’envoyai sans tarder les
quatre photographies exigées par Madame la Directrice. Je parvins à le faire seulement
trois minutes avant la fin du temps imparti soit à 21 h 24. Je n’avais pas pris le
temps, temps dont je ne disposais pas, de rédiger un mail d’accompagnement et de
donner un nom aux quatre photographies. Ces événements du début de soirée m’avaient
épuisée. Mais j’avais maintenant un atout dans mon jeu dont Madame la Directrice
ignorait l’existence, les trois jeunes hommes, le moins timide, le plus pervers et
celui qui avait une voiture. Tout ceci m’avait mise dans un état indescriptible, la
mouille coulait de ma chatte sous ma robe. Cette garce de Directrice m’avait procuré
un plaisir fou en m’obligeant à aller me faire photographier sans ma robe en pleine
nuit par des inconnus. J’étais maintenant absolument décidée à tout faire pour réussir
la deuxième épreuve et passer des vacances que je devinais inoubliables sous son
emprise.
ou prometteuse – Premier contact
Je m’appelle Solange, ma vie était jusqu’à ces derniers mois tout à fait banale voire
routinière. Je suis secrétaire médicale, divorcée, sans enfant, je suis une femme
libre si l’on peut dire. Je mesure un mètre soixante dix centimètres pour un poids de
soixante deux kilogrammes. J’ai quelques petites rondeurs à des endroits que les
hommes apprécient. Je suis une jolie brune aux yeux noisette. Je vis en proche
banlieue parisienne. J’ai quelques amis de longue date, de vagues connaissances pour
une durée éphémère et un amant régulier, Vincent. Il est commercial, marié et peut
parfois se libérer, environ deux nuits par mois. Tout ceci ne suffit plus à me
contenter, il me faut autre chose, je ne sais pas encore exactement quoi, mais je sens
que je perds mon temps. Après de multiples recherches de nouvelles relations sur le
net qui aboutirent à quelques plans douteux mais qui ne conduisirent à rien de bien
intéressant, je tombai par hasard le mardi 8 janvier 2009 en soirée sur une annonce à
caractère commercial qui attira mon attention dès la première lecture :
MAÎTRESSE PARTICULIEREMENT SEVERE ET EXIGENTE AIDEE DE SON EQUIPE MOTIVEE ORGANISE VOS
PROCHAINES VACANCES. VOTRE LIEU DE VILLEGIATURE AURA POUR DOUX NOM « A LA BOURGEOISE
TOURMENTEE ». DEPART PARIS OU LYON LE VENDREDI SOIR RETOUR PARIS OU LYON LE SAMEDI
SUIVANT. DEUX MILLE EUROS TOUT COMPRIS, TRANSPORT, LOGEMENT, NOURRITURE, NOMBREUSES
ACTIVITEES NON PAS PROPOSEES MAIS IMPOSEES. RESERVATION POSSIBLE UNIQUEMENT POUR UNE
FEMME SEULE ET EXCLUSIVEMENT APRES LA REUSSITE AUX DEUX EPREUVES D’EVALUATION. POUR LA
PREMIERE EPREUVE VOUS AVEZ LE DROIT A DEUX TENTATVES PAR ANNEE CIVILE. POUR LA
DEUXIEME EPREUVE VOUS N’AVEZ LE DROIT QU’A UNE TENTATIVE PAR ANNEE CIVILE.
L’annonce était suivie des consignes suivantes : Pour prendre contact et espérer une
éventuelle réponse, il vous faudra envoyer une lettre simple (non recommandée et non
suivie) de motivation manuscrite particulièrement bien rédigée et sans faute
d’orthographe à la société EUROLOISIRS à l’attention de Madame la Directrice. Le temps
de Madame la Directrice étant extrêmement précieux vous joindrez un chèque de vingt
euros à l’ordre de la société EUROLOISIRS pour couvrir les frais de création de votre
dossier de préinscription ainsi qu’un numéro de téléphone fixe où Madame la Directrice
pourra vous contacter de 20 h 00 à 22 h 00 et ceci m’importe quel jour à partir de
l’envoi de la lettre de motivation accompagnée du chèque de vingt euros. Madame la
Directrice ne procédera qu’à un seul appel téléphonique à votre attention et
n’attendra que le temps de cinq sonneries. Vous devrez avoir à côté de votre téléphone
un cahier et un stylo à bille noir afin que Madame la Directrice puisse vous dicter
ses instructions. A partir de maintenant vous laisserez pousser vos cheveux afin de
pouvoir les attacher en queue de cheval quand Madame la Directrice vous le demandera.
Il vous est strictement interdit de vous faire couper les cheveux dans un salon de
coiffure ou de les couper par vous même. De plus vous joindrez à votre lettre les
trois photographies suivantes de vous dans une de vos tenues de travail ou dans une
tenue que vous portez habituellement si vous ne travaillez pas :
– Votre visage de face,
– Votre visage de profil,
– Vous debout.
Après les instructions figuraient le numéro siret de la société EUROLOISIRS et son
adresse. Je m’habillai avec la tenue que je porterais le lendemain au cabinet
médical : Soutien-gorge et culotte rouges, collant marron foncé opaque, chemisier vert
court, jupe à carreaux verte et courte mais non vulgaire ainsi que mes escarpins noirs
à talons hauts, à brides et à bouts ronds. Je disposais d’un appareil photographique
numérique doté d’un retardateur et d’un pied, je pris donc sans tarder trois
photographies de moi dans ma cuisine, l’une de mon visage de face, l’autre de mon
visage de profil et la dernière de moi debout.
J’ai senti immédiatement, je ne sais pas exactement pour quelle raison, que je devais
tenter ma chance. Je devais m’atteler à la rédaction d’une lettre de motivation et
tout au plus si je n’étais pas retenue, j’aurais perdu vingt euros. Mais les vingt
euros n’étaient déjà plus la question, la lecture de cette annonce m’avait déjà
procuré du plaisir pour plus de vingt euros, ma petite culotte était littéralement
trempée. Je me mis immédiatement à rédiger un brouillon, je savais que je n’aurais
qu’une seule chance, il fallait prendre cette fameuse Directrice dans mon filet,
l’obliger à finir la lecture de ma lettre puis l’inciter à me contacter. Je rédigeai
dès cette première nuit cinq lettres de motivation, toutes bien tournées, sans faute
d’orthographe mais aucune ne serait susceptible selon moi de me permettre de capturer
l’attention de Madame la Directrice. Je ne voyais pas le temps passer, à cinq heures
du matin je n’avais pas encore fermé l’œil de la nuit. Je pris une douche et me
préparai pour ma journée de travail. Cette garce de Directrice était diablement
efficace, je ne la connaissais pas encore, je ne l’entendrais et ne la verrais peut-
être jamais et elle m’avait déjà fait passer une nuit blanche ! Autant vous dire que
ma journée de travail le lendemain de la lecture de cette annonce fût des plus ternes,
je n’avais plus qu’une hâte, regagner mon domicile et rédiger cette fichue lettre de
motivation. Après un repas rapide, je commençai cette redoutable lettre de motivation.
Je décidai rapidement les grandes lignes qui devaient guider la rédaction de ma lettre
de motivation : jouer franc jeu avec Madame la Directrice et ne pas tourner autour du
pot, en effet l’annonce précisait que son temps était précieux ; décrire ma vie
actuelle à Madame la Directrice et mon désir de connaître de nouvelles sensations, de
nouvelles contraintes, de nouvelles situations ; faire comprendre à Madame la
Directrice qui semble assez vénale mais sans la vexer que je serais prête à tous les
sacrifices dans la limite de mes moyens financiers pour participer à un séjour
organisé par ses soins à l’occasion de mes prochaines vacances ; indiquer à Madame la
Directrice qu’elle pourrait librement choisir la date de mes épreuves et de mon
séjour. Après plusieurs projets qui me tinrent en éveil jusqu’au bout de la nuit, la
lettre suivante fût achevée peu avant l’aube :
Madame NOM Solange
WWWWW le 9 janvier 2009
ADRESSE
TELEPHONE FIXE
Madame la Directrice,
J’ai rédigé cette lettre avec franchise et concision pour vous présenter mes attentes
sans vous faire perdre inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement une
femme libre, divorcée depuis un peu plus de trois ans, sans enfant. J’ai un amant
régulier, un commercial qui peut se libérer environ deux nuits par mois et quelques
relations toujours éphémères. Je suis secrétaire médicale, j’ai gardé de très bonnes
relations avec l’agence d’intérim qui m’a fait travailler la première fois dans le
cabinet où je suis actuellement employée, cette agence met régulièrement une
secrétaire médicale à la disposition du cabinet pendant mes absences. Ceci me
permettrait de me libérer à une date à votre convenance pour des épreuves et un séjour
éventuel. Je désire vivement connaître de nouvelles expériences sexuelles, de
nouvelles sensations, de nouvelles contraintes, de nouveaux défis, de nouvelles
situations. En bref je ne veux pas passer à côté de nouvelles possibilités de relancer
ma vie qui me semble bien monotone voire routinière. Bien que ne disposant pas d’une
situation financière très aisée, je suis capable de tous les efforts nécessaires pour
atteindre les buts que je me fixe. L’épargne de la somme indispensable à l’inscription
à un séjour éventuel pendant mes prochaines vacances me semble un challenge très
intéressant et très motivant.
Dans l’attente de vous entendre, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la
Directrice, mes salutations les plus respectueuses.
Solange
J’introduisis la lettre dans une enveloppe ainsi que les trois photographies de moi
dans une de mes tenues de secrétaire prises dans ma cuisine. Sur l’enveloppe j’avais
préalablement recopié l’adresse de la société EUROLOISIRS et porté la mention « à
l’attention de Madame la Directrice ». Après avoir été préparé, le chèque de vingt
euros fût joint à la lettre non sans avoir été vérifié deux fois tant pour la
rédaction que pour la signature. Le temps de prendre une douche et d’avaler un bon
petit déjeuner et je devais déjà quitter mon domicile pour rejoindre le cabinet.
Décidément cette Directrice infernale venait de me faire passer une deuxième nuit
blanche consécutive, j’allais être dans un bel état au travail ! Je pris cependant le
temps de faire un crochet sur mon trajet pour déposer dans une boîte jaune accolée à
un bureau de poste la précieuse missive qui m’avait déjà coutée vingt euros et deux
nuits blanches. Je priais intérieurement pour qu’elle ne soit pas retardée par une
grève des postiers ou pire encore perdue.
Je n’avais pas encore réalisé à ce moment qu’à partir de l’envoi de la lettre de
motivation à l’attention de Madame la Directrice je n’aurais plus une soirée à moi. Je
pris conscience du problème le lendemain après-midi, le jeudi 10 janvier 2009 quand
Vincent me contacta par téléphone sur mon lieu de travail. Il me proposait pour le
soir même un petit restaurant, un ciné puis une fin de soirée et une nuit romantique
chez moi. Je dus inventer, prise au dépourvu, un prétexte des plus stupides et des
plus invraisemblables pour refuser sa proposition et la reporter à plus tard. En effet
je voulais être seule chez moi de 20 h 00 à 22 h 00. Je pris conscience à cette
occasion que je menais déjà de fait une double vie. Ma vie normale en journée et ma
vie sous l’emprise totale de Madame la Directrice de 20 h 00 à 22 h 00. C’était
effectivement le début de l’enfer. Ma tension nerveuse et mon angoisse augmentaient
chaque jour à l’approche de 20 h 00 et ne diminuaient qu’après 22 h 00. Je devais être
prête et totalement disponible pour noter les instructions de Madame la Directrice
dans les moindres détails, y compris ses intonations qui pourraient m’aider dans la
réussite aux deux épreuves, j’en étais convaincue. Je devais aussi pendant cet unique
entretien téléphonique faire très bonne impression à Madame la Directrice. J’étais
aussi persuadée que les épreuves n’étaient qu’un prétexte et qu’elle tenait à choisir
habilement les candidates à un séjour à l’aide de sa ruse. Pendant plus de deux mois
me vie devînt un véritable enfer. Je n’avais plus aucun contact en dehors de ma vie
professionnelle, et j’étais terriblement angoissée chaque soirée pendant la période
fatidique.
Un peu plus d’une semaine après l’envoi de ma lettre de motivation, le jeudi 17
janvier 2009, vers 20 h 30 alors que je surfais pour occuper ma soirée, mon téléphone
sonna. Dès que j’eus le combiné en main, une voix très sure d’elle m’annonça : « Je
suis Madame la Directrice, je dirige l’établissement de dressage “à la bourgeoise
tourmentée”, ne dis pas un mot Solange et bois mes paroles. A partir de maintenant tes
cheveux et tous tes poils m’appartiennent, il t’est strictement interdit de te faire
couper les cheveux ou de te raser Solange, y compris la chatte, le cul, et sous les
bras. Mets ta tenue de secrétaire et transmets-moi immédiatement par mail un gros plan
de des seins après avoir retiré ton chemisier et ton soutien-gorge ainsi qu’un gros
plan de ta chatte après avoir retiré ta jupe, ton collant et ta culotte. Tu as dix
minutes pas une seconde de plus. » Après un silence elle termina l’entretien : « Mon
adresse mail est : xxxxxxxxxx@euroloisirs.com ; attends mes autres instructions sans
prendre d’initiatives et sans me contacter. » Je ne disposais que de dix minutes ! Je
pris donc rapidement les photographies exigées par Madame la Directrice, je ne voulais
pas la décevoir dès ce premier contact et perdre toutes mes chances de participer à un
séjour, qui je le sentais serait inoubliable pendant mes vacances. Je lui transmis
ensuite par mail les deux photographies quelques secondes avant la fin des dix
minutes. Respectant les instructions de Madame la Directrice je ne pris aucune
initiative et ne lui adressai aucun mail.
Deuxième contact plus musclé – Préparation pour la première épreuve
Un vendredi soir, le 21 mars 2009, alors que je somnolais tout en étant angoissée le
téléphone sonna. Je lus machinalement l’heure sur ma montre : 21 h 58 et me précipitai
pour prendre la communication avant la cinquième sonnerie, en fait j’étais à l’écoute
dès la troisième sonnerie. Deux très longues et inquiétantes minutes s’écoulèrent
avant que je ne perçoive une respiration, la respiration de Madame la Directrice, j’en
étais certaine. Je n’osais rien dire et attendais bêtement. Une voix autoritaire
s’exprima ainsi : « As-tu les cheveux assez long pour tresser une natte même petite ou
les fixer en queue de cheval Solange ? » Je répondis spontanément : « Oui je peux me
faire une petite queue de cheval. » Après un silence la voix continua : « Ce n’est pas
la bonne réponse Solange, la bonne réponse était oui je peux me faire une petite queue
de cheval Madame la Directrice ; tu mérites une punition Solange. » Après un nouveau
silence la voix annonça : « Mets immédiatement la tenue de secrétaire que tu avais sur
les photographies que tu m’as envoyées, puis prends sur le champ des photographies de
ton visage de face et de profil et une photographie debout et transmets les moi demain
par mail, j’exige de voir ta queue de cheval. » Je mis sans tarder ma tenue de
secrétaire et pris trois photographies de moi avec la queue de cheval qui avait
poussée depuis ma première lecture de l’annonce.
J’annonçai alors à Madame la Directrice que les photographies étaient prises, celle-ci
poursuivit : « As-tu un objet pour te punir par exemple un martinet, une matraque, un
fouet ou une cravache Solange ? » Cette fois, bien que tendue, je répondis : « Non
Madame la Directrice. » La voix poursuivit : « Le ton est plus respectueux Solange, je
constate que tu fais de rapides progrès. As-tu un instrument pour te récompenser par
exemple un godemiché, un vibromasseur, un bras de fisting ou des boules de geisha
Solange ? » De plus en plus angoissée je répondis cependant : « Non Madame la
Directrice. » Après un bref silence et semblant contrariée, la voix demanda : « As-tu
des escarpins avec une semelle solide Solange ? » Pour une fois que j’avais ce qui
pourrait satisfaire Madame la Directrice et voulant à tout prix lui faire bonne
impression je répondis : « Oui j’ai des escarpins ayant une semelle solide Madame la
Directrice, ceux que je porte actuellement avec ma tenue de secrétaire. » Elle me
demanda alors : « As-tu une grosse carotte, ou une banane ou un épi de maïs ou encore
un concombre Solange ? » Effrayée je répondis cependant : « Oui j’ai une banane Madame
la Directrice. » La voix rassurée m’indiqua : « Je vais pouvoir te punir à distance
pour ton manque de respect envers ta Directrice Solange. Mets-toi par terre dans ta
cuisine à quatre pattes en tenue de secrétaire. Prends une photographie. Enlève ta
jupe verte à carreaux, ton collant marron et ta culotte rouge et prends une nouvelle
photographie. »
Je fis tout ce que Madame la Directrice me demanda et la prévins après avoir pris les
photographies. Elle ajouta alors : « Retire tes escarpins ayant une semelle solide et
prends une photographie de toi à quatre pattes. Tu vas maintenant te claquer le cul
trente fois avec la semelle d’un de tes escarpins, je veux entendre les trente
claquements au téléphone. » Je retirai mes escarpins et pris une photographie de moi à
quatre pattes. Bien que complètement décontenancée je pris en main un de mes escarpins
solides. Je posai alors le téléphone sur une chaise à côté de moi à quatre pattes. Je
restai immobile, hésitante, sans rien faire. La voix d’un ton autoritaire et sans
appel m’indiqua : « Si tu veux vraiment faire un séjour dans l’établissement “à la
bourgeoise tourmentée” tu vas devoir t’administrer immédiatement et de toutes tes
forces non pas trente mais cinquante coups d’escarpin Solange, maintenant, je veux les
entendre claquer sur ton cul. » Instinctivement je me ressaisis et frappai mon cul
violemment de cinquante coups d’escarpin.
A peine avais-je terminé que la voix précisa : « Prends immédiatement une photographie
de ton cul rougi à quatre pattes Solange. Quel doux bruit à mes oreilles que ces
claquements sur ton cul, tu mérites maintenant une petite récompense Solange. » La
voix annonça alors : « Remets tes escarpins et enfonce toi la banane profondément dans
la bouche et la gorge, tourne la banane et fais des va-et-vient tu feras ensuite de
même dans ton vagin jusqu’à ce que la banane soit terriblement mouillée. Prends une
photographie pendant que tu te défonceras le fond de la gorge puis une autre quand tu
te défonceras le fond du vagin Solange. Je sais que tu mouilles déjà, après cinquante
coups d’escarpin tu dois être mouillée comme une fontaine Solange. » Terrassée mais
sous l’influence de cette terrible voix je pris la banane dans la corbeille à fruits
et me l’enfonçai au fond de la bouche et de la gorge, la fis tourner dans tous les
sens et commençai les va-et-vient. Je poursuivis en visitant mon vagin avec ce fruit
déjà bien humide sans oublier de prendre les photographies exigées.
J’étais dans un état d’excitation extrême. Madame la Directrice l’entendit au bruit de
mes râles et continua : « Finis-toi en te défonçant le cul profondément avec la banane
et en t’écrasant et te pinçant fortement le clitoris Solange. Tu prendras bien entendu
des photographies de cette petite scène érotique Solange. » Je m’écrasai et me pinçai
aussitôt le clitoris tout en me défonçant copieusement le cul avec la banane. La prise
des photographies augmenta encore si cela était toujours possible mon état
d’excitation. Très rapidement un orgasme monstrueux et très bruyant me laissa
totalement anéantie.
Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, Madame la Directrice m’ordonna :
« Prends ton cahier et ton stylo à bille noir et note précisément mes instructions
Solange. Ce sont les instructions pour ta première épreuve. » A peine cinq secondes
plus tard elle me dictait : « A partir de maintenant tu n’es plus Solange mais la
soumise Natacha. Tes cheveux et tes poils, y compris les poils de ton cul et de ta
chatte m’appartiennent soumise Natacha, ne l’oublie jamais ! Demain, samedi si tu n’en
as pas encore, tu iras acheter un scanner, une webcam, ton sextoy préféré et ton
instrument de punition préféré. Tu te familiariseras ensuite très rapidement avec
l’utilisation du scanner et de la webcam. » Quelques secondes plus tard elle
continua : « Tu rédigeras ensuite une lettre de motivation à mon attention où tu
m’expliqueras les raisons qui te conduisent à demander ton transfert de
l’établissement de dressage situé en région parisienne où tu séjournes actuellement
pour une durée de six mois suite à la demande de ton amant qui a découvert que tu te
livrais au racolage actif, vers l’établissement de dressage que je dirige dans une
ville pittoresque de province surnommé par les soumises qui y ont séjourné “à la
bourgeoise tourmentée”. Tu sais par une soumise qui y a séjourné que les conditions de
séjour y sont très difficiles et que le règlement y est très strict. Tu sais également
que tout manquement au règlement de cet établissement est puni d’un châtiment corporel
et d’une humiliation. La soumise en question n’est pas très loquace, elle craint
visiblement des représailles voir d’y retourner si elle parle trop de cet
établissement. Tu signeras ta lettre par “soumise Natacha”. » Enfin elle termina ce
premier entretien par : « Tu me feras parvenir par mail ta lettre de motivation et les
fichiers rattachés suivants : toutes les photographies que tu as prises ce soir ainsi
que d’une part la copie scannée recto et verso de ta carte d’identité et d’autre part
un film réalisé à l’aide de ta webcam où on pourra te voir te corriger sévèrement avec
ton instrument de punition préféré et constater la pousse des poils de ta chatte
depuis deux mois soumise Natacha. Puisqu’avec la webcam je ne pourrai pas profiter du
bruit des claquements sur ton corps et de tes gémissements sous les coups, je veux
voir les traces des impacts pendant ta correction et en gros plan après la fin de ta
correction. Enfin tu rattacheras aussi un film réalisé à l’aide de ta webcam où on
pourra te voir te donner du plaisir avec ton sextoy préféré et où l’on devinera, en te
voyant te tordre de plaisir dans tous les sens, les bruits émis par ton vagin et ton
cul. J’exige d’avoir le mail et tous les fichiers rattachés sur mon bureau demain soir
à 22 h00. Ces films et photographies seront stockés dans ton dossier de candidature
sur un DVD avec tous tes mails et tous mes mails à venir et ne seront consultables
uniquement que par moi même. Si ta lettre de motivation ainsi que tes photographies et
les deux films joints me satisfont je te ferai parvenir mes instructions pour la
deuxième épreuve par mail. » Ce furent les dernières paroles que j’entendis, elle
raccrocha sans dire un mot de plus.
J’étais abasourdie. Je savais cependant que c’était là ma seule et unique chance,
j’avais déjà franchi plusieurs obstacles. Madame la Directrice avait visiblement reçu
ma lettre et celle-ci avait retenu son attention car elle m’avait contactée. Les
photographies de mes seins et de ma chatte l’avaient émoustillée car deux mois plus
tard elle m’avait recontactée. Je pensais également avoir surmonté la difficulté du
deuxième entretien téléphonique car Madame la Directrice s’était réjouie des
claquements de mon escarpin solide sur mon cul, en effet elle m’avait récompensée par
la suite. Enfin elle m’avait communiqué, certes rapidement et brutalement, ses
instructions pour la première épreuve d’évaluation. Je devais impérativement dormir
afin de reprendre quelques forces pour m’attaquer dès le lendemain matin à la première
épreuve d’évaluation et tenter de la réussir brillamment. Cette nuit fût cependant
fort agitée. Moi qui dors habituellement sur le dos, je ne trouvais pas de position
confortable avec mon postérieur endolori suite aux cinquante coups d’escarpin que je
m’étais moi-même administrée sous les ordres de Madame la Directrice pour mon manque
de respect envers elle. Je finis cependant par essayer de dormir allongée sur le
ventre. Mes pensées revenaient sans cesse en boucle : Quel instrument de punition
vais-je acheter demain, où vais-je le trouver ? Quel objet de plaisir vais-je acheter
demain, où vais-je le trouver ? Je dormis en fait très peu et très mal mais pendant
l’une de mes périodes de veille je trouvai la force de positionner mon radio-réveil
sur la position alarme ce que je n’aurais jamais fait une fin de semaine normale, mon
réveil naturel le week-end étant pour moi sacré.
Après un petit déjeuner réparateur, je devais prendre ma première décision : Quel
était mon instrument de punition préféré ? En faite ce serait celui que j’oserais
acheter et dont l’utilisation ne serait pas trop douloureuse. J’éliminai rapidement la
cravache, j’avais contre cet instrument un à priori défavorable, ce matériel destiné
normalement à l’équitation devait avoir selon moi un prix élevé et je n’aurais jamais
le courage de l’utiliser sur mon propre corps. La matraque fût elle aussi éliminée, je
ne voyais vraiment pas où en acheter une et me voyais encore moins l’utiliser. Quant
au fouet, je n’osais même pas imaginer où je pourrais en trouver un, ne parlons donc
pas de son utilisation. Il ne restait que le martinet. On devait pouvoir en trouver
selon moi dans une animalerie ou dans le rayon dédié à la nourriture et au matériel
pour animaux de compagnie dans un hypermarché. Ma décision était prise j’irais acheter
un martinet dans mon hypermarché habituel ou si je n’en trouvais pas dans une
animalerie. Par la même occasion je ferais l’acquisition d’un scanner et d’une webcam.
La deuxième décision était beaucoup plus délicate : Quel était mon instrument de
plaisir préféré ? Je devais tout d’abord trouver le courage d’une part de pénétrer
dans un sex-shop chose que je n’avais jamais faite de ma vie et d’autre part d’oser
prendre en main l’instrument en question. Ma décision était prise, mes cheveux étant
brun, pour ne pas être reconnue, moi qui ne porte que très rarement une robe je
mettrais donc une robe, des lunettes de soleil très couvrantes et une perruque blonde.
Je cherchai et trouvai dans mes affaires une robe rouge qui me convenait, les lunettes
de soleil et la perruque. Pour immortaliser ce moment excitant, je pris quelques
photographies de mon déguisement. Il fallait maintenant choisir l’instrument de
plaisir. J’éliminai en premier le bras de fisting, je n’oserais jamais toucher cet
objet dans le sex-shop et encore moins l’utiliser. Je rejetai ensuite les boules de
geisha puis le vibromasseur, je ne me sentais pas le courage de les acheter dans un
sex-shop. Il ne restait plus qu’un godemiché. Ma décision était prise j’oserais
entrer, certes déguisée, dans un sex-shop et je me procurerais un godemiché. Avant de
partir je notai dans mon agenda l’adresse précise de deux animaleries et de trois sex-
shops. Je décidai d’acheter le matériel informatique et le martinet en matinée puis de
me déguiser et de visiter pour la première fois de ma vie un sex-shop dans l’après-
midi. Je prendrais l’après-midi pour transporter mes achats et mon déguisement, un sac
de sport que je pourrais porter à l’épaule. Pour l’achat dans le sex-shop je prendrais
du liquide ne souhaitant pas laisser un chèque avec mon adresse dans ce commerce ou
une trace de cet achat sur mes relevés de carte bancaire.
Dans mon hypermarché habituel, l’achat des provisions et des consommables nécessaires
pour la semaine ne me pris que peu de temps. L’achat du scanner et de la webcam ne me
pris que quelques minutes supplémentaires. L’achat d’un martinet était déjà une autre
paire de manche. Il me fallut dans un premier temps trois passages dans le rayon dédié
aux animaux de compagnie l’air de rien mais scrutant attentivement les accessoires
pour animaux avant de pouvoir observer un court instant l’objet de ma recherche mais
sans ralentir et en poursuivant mon chemin. Je savais maintenant où étaient accrochés
les martinets. Je devais prendre sur moi pour attraper un martinet et le déposer dans
mon chariot. J’avais fait une erreur, dans mon hypermarché habituel je pouvais à tout
moment rencontrer une connaissance. Il aurait été plus prudent d’aller dans un
hypermarché d’une autre commune que je ne fréquente jamais. J’avais une peur bleue de
rencontrer une amie ou une voisine qui pourrait dire à haute voix : « J’ignorais que
tu avais un jeune animal à dresser Solange, tu nous fais des cachotteries. » Dès que
le martinet fut dans mon chariot je me dirigeai rapidement vers une caisse pour sortir
au plus vite de l’hypermarché. Dans la file d’attente en caisse j’avais des bouffées
de chaleur. J’avais maintenant peur qu’un inconnu sans gêne me dise : « Si vous en
avez envie Madame, je peux vous montrer comment l’on utilise un martinet sur une femme
en chaleur, ou tout autre chose du même mauvais goût. » Je ne fus tranquille qu’une
fois sortie de l’hypermarché et le martinet disposé au fond de la malle de mon
véhicule avec le matériel informatique et les achats de la semaine.
Dans le feu de l’action
de la première épreuve
De retour à mon domicile je me préparai un repas à la hâte et le pris tout aussi
rapidement pour commencer à me familiariser avec l’utilisation du scanner et de la
webcam. L’utilisation du scanner était très intuitive, je parvins sans difficulté à
scanner les deux faces de ma carte d’identité. Je nommai les fichiers correspondants :
CNIsoumiseNatacha-1 et CNIsoumiseNatacha-2. L’installation de la webcam fut un peu
plus longue mais je m’en sortis sans grosse difficulté. Mes premiers essais de
tournage de petits films sur des objets inanimés m’apprirent immédiatement que la
tâche était délicate. Il fallait trouver, la bonne distance entre l’objet à filmer et
la webcam pour réaliser un cadrage correct, la bonne hauteur et la bonne inclinaison
pour placer la webcam par rapport au sujet à filmer. Ces premiers essais de tournage
réalisés, il était déjà temps de me diriger vers un sex-shop.
Je garai mon véhicule dans un endroit relativement tranquille et dans la zone proche
des trois sex-shops dont l’adresse figurait dans mon agenda. Prenant mon courage à
deux mains, je mis à l’intérieur du véhicule, ma robe rouge, ma perruque blonde et mes
lunettes de soleil très couvrantes. La partie la plus excitante de mes achats
débutait. Quant j’arrivai au premier sex-shop, j’étais extrêmement angoissée. Il était
situé dans une ruelle particulièrement sombre où même en plein jour on ne se sent pas
rassurée. Je ne fis même pas une tentative pour y pénétrer, ce lieu incarnait à lui
tout seul le mot sordide. La vitrine était totalement occultée par un rideau noir et
délavé par le peu de soleil qui éclairait le lieu. Je n’osais imaginer l’intérieur de
cette boutique douteuse. Ma décision était prise, je me dirigeai immédiatement vers le
deuxième sex-shop. Le deuxième sex-shop était dans une rue passante, il avait une
véritable vitrine, certes avec bien peu de choses, mais pas un rideau délavé comme le
premier. Il était plus engageant, je réunis tout le courage dont je disposais et
pénétrai dans la boutique. La patronne avait un très mauvais genre, elle discutait
avec trois individus douteux des derniers films qu’elle avait reçus. La conversation
volait très bas. On pouvait trouver dans les présentoirs un nombre très important de
films sur DVD et je vis au fond de la boutique deux cabines réservées à priori à leur
visionnement. Dans mon dos étaient disposés quelques articles du genre sextoy mais je
n’osais même pas quitter les films des yeux et me retourner. Voyant mes hésitations
dans le choix d’un film la patronne vint me dire : « Nous avons trente cinq genres
différents ma petite dame, que recherchez-vous ? » Je répondis : « Rien de bien précis
madame. » L’un des individus douteux ajouta : « Elle recherche des sensations
fortes. » Un autre poursuivit : « Elle a peut-être besoin qu’on lui mette la main où
je pense. » Ils éclatèrent alors de rire tous les trois, contents de leur exploit.
J’étais rouge comme une pivoine et ne savais plus où me mettre. La patronne
poursuivit : « Vous n’êtes pas une cliente habituelle madame, puis-je vous
conseiller ? Les trois lascars au comptoir sont forts en paroles mais ce sont de bons
bougres, ils ne feraient pas de mal à une mouche. » Je répondis très gênée : « Non
merci, je suis trop indécise, je reviendrai une autre fois. » Je quittai alors cette
affreuse boutique me promettant de ne jamais y remettre les pieds. Il ne me restait
plus qu’une seule cartouche, le troisième sex-shop. J’avais envie de pleurer tellement
je me sentais humiliée par les trois lascars. Je savais que cette fois je devais
absolument acheter un godemiché, sinon fini le bel espoir d’un séjour très excitant.
Le troisième sex-shop était situé dans une allée couverte entre deux immeubles donnant
sur une rue passante, c’était la seule boutique de l’allée. Le simple fait de
s’engager dans l’allée couverte impliquait déjà que l’on se rendait au sex-shop. Je
fis trois fois le tour du pâté de maisons avant de réunir le courage suffisant de
m’engager dans cette allée couverte. Engagée dans l’allée couverte j’arrivai devant la
boutique en question. Elle n’avait pas de vitrine, la façade était en béton nu, le
seul orifice dans le béton étant une porte vitrée recouverte sur sa face intérieure à
l’aide du drap noir. Au moins le drap dans cette allée couverte n’était pas délavé par
le soleil et il semblait propre. Angoissée, je réunis toutes les forces qui me
restaient et franchis la porte vitrée. La patronne semblait fort sympathique, c’était
une petite blonde un peu rondelette, ronde de visage et très accueillante. Elle me dît
simplement : « Prenez tout votre temps, je dispose d’un large choix de DVD, de
quelques cassettes vidéo et de différents accessoires, je suis convaincue que vous
trouverez votre bonheur. » Je commençai par explorer le rayon des DVD. Au moins
l’endroit était calme et j’étais seule. Soudain pendant que je faisais mine de
m’intéresser à un DVD en manipulant une boîte, un homme entra dans le sex-shop. Il dit
bonjour en entrant puis demanda courtoisement à la patronne si elle avait des
nouveautés depuis la semaine dernière. Elle vint suivie du client près du rayon des
DVD et lui montra les sept nouveautés reçues cette semaine. L’homme choisit rapidement
une boîte et la donna à la patronne. En fait comme je le compris à ce moment les
boîtes étaient vides. Seul un numéro figurait à l’intérieur et à l’aide de ce numéro,
la patronne pouvait très rapidement trouver sous son comptoir dans une série de
tiroirs le DVD recherché. Elle le remit au client qui gagna une cabine de visionnement
située au fond du magasin. De nouveau seule dans la boutique je pris mon courage à
deux mains et me dirigeai vers le rayon des sextoy situé à l’entrée de la boutique à
côté des livres et revues. Je vis immédiatement plusieurs articles intéressants. Un
godemiché de taille « humaine normale » fort réaliste de couleur chair ainsi qu’une
main de femme de taille « humaine normale » de couleur noire dont les cinq doigts se
regroupaient au niveau de leur dernière phalange attirèrent toute mon attention. Je me
lançai et demandai à la patronne : « Mon ami est parti pour six mois travailler à
l’étranger et pour son anniversaire je souhaite lui envoyer par internet un petit film
de moi utilisant un sextoy, je suis totalement débutante en la matière et son
anniversaire arrive ce soir, que me conseillez-vous madame ? » Elle me répondit très
gentiment : « Vous avez une charmante idée pour l’anniversaire de votre ami, je suis
convaincue qu’il va apprécier votre film, je vous conseille pour débuter un godemiché
de taille réaliste comme celui-ci. » Elle me montra le godemiché sur lequel j’avais
flashé. Je saisis la balle au bon et dis immédiatement : « Je vais suivre votre
conseil, je le prends. » Elle le décrocha du rayonnage et le mis dans un sac discret
après avoir rejoint son comptoir. Je payai mon sextoy et me préparais à quitter le
sex-shop fière de mon courage. Quand elle me rendit la monnaie et me tendit le sac
contenant le godemiché, elle ajouta : « Quand vous aurez pris de l’assurance je vous
conseille la main de fisting que vous pouvez voir derrière vous, c’est une main pour
débutante. Plus tard quand vous serez une habituée, je pourrai vous commander un bras
avec le poing fermé de fisting et si vous devenez comme moi une experte, je pourrai
vous procurer une jambe avec un pied de fisting, depuis que j’utilise ce pied et cette
jambe, j’en suis folle. » Visiblement la patronne quoique fort gentille n’avait pas sa
langue dans sa poche, j’étais certaine qu’elle n’avait pas cru un traître mot de
l’histoire de mon ami. Elle semblait douée en psychologie et capable de donner des
conseils éclairés par sa propre expérience. Je pris le sac qu’elle me tendait sans
rien répondre, puis quittai la boutique en lui disant : « Au revoir madame et merci
pour vos conseils. » Une fois à l’extérieur du sex-shop, dans l’allée couverte je
faillis m’évanouir. Tout ce que je venais de vivre et d’entendre m’avait coupé les
jambes. Je dus me trainer au bord du malaise jusqu’à mon véhicule.
Dans mon véhicule il me fallut cinq bonnes minutes pour reprendre mes esprits et cinq
autres bonnes minutes pour remettre mon déguisement dans mon sac. Une fois de retour à
mon domicile je me préparai un repas solide pour avoir les forces d’affronter mon
épreuve et la réussir brillamment avant les fatidiques 22 h 00. Il était déjà 19 h 00,
je devais rédiger ma lettre de motivation d’une seule traite, je n’aurais pas de si
tôt une deuxième chance. Je saisis immédiatement sur mon ordinateur la lettre
suivante :
Soumise Natacha le 22 mars 2009
WWWWW
ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX
Chambre n° YYY
Madame la Directrice,
J’ai profité de ma seule et unique permission de sortie pendant le séjour de six mois
que j’effectue à l’établissement de dressage XXX. J’ai rédigé cette lettre avec
franchise et concision pour vous présenter mes attentes sans vous faire perdre
inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement dans un établissement de
dressage à la demande de mon amant pour un séjour de six mois afin que l’on m’apprenne
les bonnes manières. En effet une de ses relations lui a rapporté des faits de
racolage actif me concernant. Je ne peux nier car il m’a surprise en flagrant délit.
Je suis donc dans cet établissement chaque nuit en semaine le lundi, mardi, mercredi
et jeudi soir de 21 h 00 à 5 h 00 et le weekend du samedi 12 h 00 au lundi matin 5 h
00. Une soumise m’a indiqué que les conditions de séjour dans l’établissement de
dressage que vous dirigez Madame la Directrice sont très difficiles et que le
règlement y est très strict. Elle m’a dit également que tout manquement au règlement
de cet établissement de dressage est puni d’un châtiment corporel et d’une
humiliation. Cependant je sais aussi que vous êtes juste Madame la Directrice et que
vous ne punissez pas sans raison. Or le directeur de l’établissement dressage où je
séjourne actuellement abuse de son autorité. Chaque samedi soir il désigne au hasard
deux soumises. Les soumises désignées au hasard ont la tête recouverte d’une cagoule
et sont conduites par des gardiens au deuxième sous-sol de l’établissement de dressage
dans une pièce insonorisée. Dans cette pièce elles sont tabassées et violées toute la
nuit par les gardiens en question. Le but de ce traitement est de rendre les soumises
travailleuses et obéissantes. Le lendemain matin l’épouse du directeur choisi l’une
des deux soumises qui sont devenues travailleuses et obéissantes malgré elles. Elle se
sert de cette soumise pendant une journée entière comme esclave, elle lui fait faire
tous ses travaux domestiques en la battant. Elle se sert aussi de ses trois orifices
naturels dans les pires conditions que vous puissiez imaginer. J’ai déjà été désignée
trois fois pour passer la nuit du samedi soir au deuxième sous-sol et choisie deux
fois par l’épouse du directeur pour la servir comme esclave. Pour échapper à cet
enfer, je souhaite être transférée le plus rapidement possible dans l’établissement de
dressage que vous dirigez Madame la Directrice. Pour vous prouver ma motivation, je
joins à cette lettre deux petits films réalisés ce jour de mon unique permission à
votre attention. Je vous promets si vous acceptez mon transfert dans votre
établissement une obéissance totale.
Dans l’attente d’une réponse, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la
Directrice, mes salutations les plus respectueuses.
Soumise Natacha
Pour le premier film devant traiter de l’utilisation de mon instrument de punition
préféré, au cas particulier de l’utilisation d’un martinet, je devais choisir
rapidement un scénario. Mon scénario en tête je le mis immédiatement en application.
Je préparai l’accessoire suivant, un support en carton sur lequel je pouvais fixer une
feuille de papier destinée à être filmée par la webcam. Sur une feuille de papier
j’écrivis de ma plus belle écriture le titre et l’introduction du premier film :
CORRECTION DE LA SOUMISE NATACHA
La soumise Natacha n’a pas respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de
l’établissement de dressage. Madame la Directrice lui a ordonné de s’administrer une
bonne correction devant une webcam. Si la correction n’est pas suffisamment sévère, la
soumise Natacha sera envoyée dans une chambre sans le moindre confort.
Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se
punir sévèrement afin d’éviter de croupir dans une chambre sans le moindre confort. Je
me déshabillai complètement, puis je mis en place ma queue de cheval. J’enfilai en
toute hâte un porte-jarretelles noir, des bas noirs à résille et les escarpins que
j’avais utilisés hier au soir sous les ordres de Madame la Directrice. Je mis un
soutien-gorge noir dans lequel je fis tenir entre mes deux seins le martinet acheté le
matin même. Après les essais effectués entre l’achat du martinet et celui plus
mouvementé du godemiché, je savais que la webcam était positionnée pour filmer tout ce
qui se passerait sur le buffet de ma cuisine. Je mis en place le carton où figurait le
titre du film et son introduction sur mon buffet de cuisine. Puis hors du champ de la
webcam je débutai le tournage d’une pression sur le bouton de la souris. Après
quelques secondes je retirai le carton et m’allongeai sur le buffet de cuisine, les
jambes écartées et le sexe face à la webcam. Je retirai le martinet de son écrin entre
mes seins et commençai sans plus attendre à me fouetter vigoureusement le ventre avec
les lanières. Madame la Directrice aurait ainsi une vue sur mon pubis, ma chatte
poilue et mon cul. Quand mon ventre fut bien rouge je retirai mon soutien-gorge et
continuai par une volée de coups sur chacun de mes seins puis sur la poitrine dans son
ensemble. Sous la douleur je devais serrer les dents. Je me mis ensuite à quatre
pattes sur le buffet les genoux écartés au maximum, le cul orienté vers la webcam mais
sans tomber du buffet. Je me fouettai alors longuement les fesses puis l’arrière des
cuisses. J’enlevai alors langoureusement mes talons aiguilles puis mes bas couchée sur
le buffet, les jambes en l’air. Je me remis à quatre pattes sur le buffet et
m’administrai alors une sérieuse correction sur la plante des pieds, d’abord avec les
lanières du martinet puis pour finir avec le manche en bois. J’exposai pour finir en
gros plan devant la webcam le résultat de ma correction : traces sur mon ventre, mon
sein gauche, mon sein droit, mes fesses, l’arrière de mes cuisses et sur mes pieds
douloureusement fouettés puis battus avec le manche du martinet. Enfin sortant du
champ de la webcam je mis fin au tournage du premier film d’un nouveau clic sur la
souris.
Tout en reprenant mon souffle et mes esprits je préparai la feuille ou figurerait le
nom et la présentation du second film :
RECOMPENSE DE LA SOUMISE NATACHA
La soumise Natacha a respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de
l’établissement de dressage. Madame la Directrice lui a permis dans son infinie bonté
de se donner du plaisir devant une webcam. Si la séance plaisir n’est pas suffisamment
érotique, la soumise Natacha sera privée de douche pendant une semaine entière.
Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se
donner du plaisir de manière très érotique pour éviter de puer comme une chienne
pendant une semaine. Je me lubrifiai copieusement le vagin et l’anus avec du gel. Je
lubrifiai également copieusement le godemiché acheté au cours de l’après midi. Je
posai le godemiché au milieu du buffet de cuisine et posai devant le godemiché le
carton portant le titre du deuxième film. Je retirai aussi les escarpins, pour ce
deuxième film je ne porterais que le soutien-gorge, le porte-jarretelles et les bas à
résille noirs. Hors du champ de la webcam je débutai le tournage du second film. Après
quelques secondes je retirai le carton et allongée sur le buffet, je m’empalai la
chatte immédiatement à l’aide du godemiché tout en écartant les cuisses au maximum
face à la webcam. J’étais allongée sur le buffet et j’agitais le godemiché dans ma
chatte tout en me caressant les seins et les tétons à travers mon soutien gorge. Puis
je m’enfonçai le cul légèrement sur le godemiché tout en écartant les cuisses face à
la webcam. Dans cette position particulièrement indécente, Madame la Directrice
pourrait de nouveau contempler ma toison pubienne bien fournie. Puis je me mis à
quatre pattes sur le buffet, le cul tourné vers la webcam et me défonçai alors
copieusement la chatte puis ensuite le cul avec le godemiché. Je retirai ensuite le
godemiché et terminai ce second film par une gros plan de ma chatte et de mon cul tous
deux biens ouverts et affamés. Sortant du champ de la webcam je mis fin au tournage du
second film.
Je visionnai les deux films après m’être douchée, mise en robe de chambre et avoir
rangé mon petit matériel de punition et de plaisir. La qualité des deux films n’était
pas extraordinaire mais les deux scénarios me plaisaient et on pouvait y voir ma bonne
volonté. Je nommai ces deux films : PUNITIONsoumiseNatacha-1 et
RECOMPENSEsoumiseNatacha-1. Je me rendis compte en visionnant les films une deuxième
fois que sur le deuxième film Madame la Directrice pourrait contempler de nouveaux les
horribles marques, visibles à travers mes bas à résille, que le manche du martinet
avait laissées sur mes pieds douloureusement battus. J’envoyai ensuite ma lettre de
motivation, les quatre fichiers en pièces jointes ainsi que les photographies à
l’adresse mail de la société EUROLOISIRS. Tous ces événements m’avaient épuisée, je
dormis profondément cette nuit ainsi qu’une bonne partie du lendemain. Ma tension et
mon angoisse étaient enfin retombées, je serais au calme et détendue jusqu’au moment
de ma deuxième épreuve, du moins c’est ce que je pensais pendant la fin de ce week-
end.
Petit coup d’accélérateur
Le dimanche se passa dans le plus grand calme. Je fis un peu de ménage, commençai la
lecture d’un roman et me reposai. Je profitais sans le savoir de mon dernier
‘‘dimanche libre’’. Ma journée de travail du lundi se passa pour le mieux. J’avais la
tête à mon travail et j’espérais de temps à autre recevoir prochainement un mail de la
part de Madame la Directrice. Contrairement aux premiers appels téléphoniques de
Madame la Directrice qui mirent une semaine puis deux longs mois avant de se réaliser,
son premier mail m’attendait déjà dès le lundi 24 mars 2009 au soir à mon retour du
travail. En fait je vis en l’ouvrant qu’il avait été envoyé dès le lundi matin à 9 h
04. Le contenu du mail était court et brutal : « Soumise Natacha envoie moi ton numéro
de portable avant ce soir 22 h 00 et laisse le en permanence en marche. Je dois
pouvoir te contacter 24 h 00 sur 24. » L’ordre de Madame la Directrice était clair et
sans appel. Je lui transmis donc sans attendre le mail suivant :
Soumise Natacha
WWWWW le 24 mars 2009
ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX
Chambre n° YYY
portable : zz zz zz zz zz
Madame la Directrice,
Vous pouvez Madame la Directrice me contacter à toute heure, je ferai tout mon
possible pour satisfaire le moindre de vos désirs.
Dans l’attente de vos instructions, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la
Directrice, mes salutations les plus respectueuses.
Soumise Natacha
Moins d’une heure après l’envoi du mail à 20 h 27 mon téléphone portable sonnait. A
peine avais-je décroché que Madame la Directrice me demanda sans plus attendre : « As-
tu une robe ras la chatte que tu puisses enlever rapidement et des talons aiguilles
soumise Natacha ? » Ma réponse fut : « Oui j’ai une robe noire très courte et des
talons aiguilles Madame la Directrice. » L’ordre fusa alors sur un ton sans appel :
« En porte jarretelles, bas résille, talons aiguilles et en robe ras la chatte. Vas te
faire photographier dans une rue passante par des inconnus deux fois avec ta robe et
deux fois sans ta robe. Je veux les quatre photographies sur mon bureau dans une
heure. » Elle raccrocha immédiatement. J’étais tétanisée mais je n’avais plus le
choix, si je voulais participer à ces vacances érotiques, je devais passer par les
quatre volontés de Madame la Directrice. Cette garce profitait honteusement de la
situation. Je rechargeai sur le champ les accumulateurs de mon appareil photographique
numérique. Il faisait déjà nuit, les accumulateurs devaient être chargés pour activer
le flash. Pendant cette charge je me déshabillai complètement et mis à la hâte mon
porte jarretelles noir mes bas à résille noirs ainsi que ma robe noire et très courte.
Après avoir fixé rapidement les chaussures exigées par Madame la Directrice, je pris
mon appareil photo et me dirigeai en trottinant avec mes talons aiguilles dont le port
n’était pas du tout habituel chez moi vers une rue passante.
Il me fallait d’urgence avoir le courage de demander à un inconnu de bien vouloir me
photographier. Je n’avais en tout et pour tout qu’une heure pour transmettre les
photographies à Madame la Directrice. Ce n’était pas une mince affaire et le temps
jouait contre moi. Je rencontrai assez rapidement un couple qui sortait d’une
brasserie, les deux amoureux devaient se diriger vers leur voiture. Je me lançai
instinctivement ainsi : « Pourriez-vous m’aider, je veux faire une surprise à mon ami
qui est parti travailler plusieurs mois à l’étranger. Je veux lui envoyer des
photographies de moi par mail pour qu’il ne m’oublie pas. » Le couple s’arrêta près de
moi. Je confiai le plus naturellement du monde mon appareil numérique à l’homme et lui
demandai de faire deux photographies de moi, une où l’on me verrait au dessus des
genoux et une autre où l’on me verrait en totalité des pieds à la tête. Tout en
parlant je me dirigeai vers une arrière cour située derrière la brasserie. Pour se
rendre dans cette arrière cour il fallait passer sous un porche. Dès que nous fûmes
sous le porche je demandai à l’homme de prendre les photographies. Il prit les deux
photographies de moi assez rapidement sous le porche et me rendit l’appareil. A l’abri
sous ce porche je me lançai, je lui demandai alors : « Je voudrais aussi lui envoyer
deux photographies, une au dessus des genoux et une des pieds à la tête, mais cette
fois sans ma robe. » Ceci dit, sans lui laisser le temps de réfléchir je lui mis mon
appareil dans les mains, reculai et posai ma robe à terre. Il allait j’en suis
certaine prendre les deux photographies. Soudain la femme se mit à hurler : « Tu ne
vois pas que c’est une nymphomane ! Elle te drague cette salope. Pose l’appareil de
cette morue à terre et partons mon chéri. Et toi la morue ramasse ton appareil et
tire-toi avant que je ne te crêpe le chignon. » Autant vous dire qu’après avoir remis
rapidement ma robe noire très courte, je ramassai prestement l’appareil et je
m’éloignai au plus vite de cette furie folle de jalousie.
Je décidai alors de demander le service coquin dont j’avais absolument besoin à un
homme ou des hommes non accompagnés de telles furies. Me dirigeant vers la prochaine
brasserie de cette rue passante, je vis trois jeunes hommes sortir de la brasserie en
question. Ils n’avaient pas mauvais genre et la rue était très passante, je décidai de
tenter ma chance, de toutes façon je devais faire vite si je voulais satisfaire
l’ordre de Madame la Directrice. Je me lançai : « Messieurs, pourriez-vous me rendre
un petit service un peu coquin ? » Le moins timide des trois jeunes hommes me
répondit : « Quel genre de service coquin madame ? » Je sautai sur l’occasion : « Pour
envoyer un mail un peu chaud à mon ami qui travaille en ce moment à l’étranger je veux
joindre au mail des photographies coquines de moi dans le quartier pour qu’il ne
m’oublie pas. Je voudrais que vous preniez plusieurs photographies de moi sans ma robe
avec mon appareil numérique. L’un de vous trois messieurs se sent-il l’âme d’un
photographe de charme amateur ? » Un autre des jeunes hommes, pas le moins timide mais
certainement le plus vicieux me répondit : « Et que nous donnerez-vous comme
récompense coquine pour ce service madame ? » Cueillie à froid j’eus cependant le
courage de répliquer : « Celui qui me prendra en photo aura le droit de me caresser
les deux seins pendant une minute. » J’avais fait mouche, ils se disputaient déjà pour
savoir lequel d’entre eux allait me photographier, j’étais sur le point de gagner. La
dispute n’en finissait plus je devais intervenir au plus vite. Je dis alors :
« Messieurs j’ai pris ma décision c’est lui qui va me prendre en photo. » Et je
pointai le doigt vers le moins timide des trois en lui tendant mon appareil de l’autre
main. Dès qu’il eut l’appareil en main je repris le contrôle de la situation et leur
indiquai : « Suivez mois, nous allons réaliser ces photographies sous un porche pas
très loin d’ici. » Je me dirigeai alors vers le porche en question. Ils me suivirent
tous trois en plaisantant. Le jeune homme à qui l’avais confié mon appareil pris
quatre photographies de moi, ma robe posée à terre. Je récupérai alors mon appareil et
poursuivis : « Jeune homme venez prendre votre récompense vous pouvez me peloter les
seins pendant une minute. Et vous deux rincez vous l’œil à deux mètre de moi de part
et d’autre pendant qu’il me pelotera. » Le jeune homme ne se fit pas attendre et
pendant qu’il me pelotait vigoureusement ses deux copains se rinçaient joyeusement les
yeux en matant ma poitrine gonflée sous les caresses. Je prenais un plaisir fou à ces
caresses vigoureuses sur ma poitrine en pleine nuit sous un porche en ville et je
confesse avoir attendu bien plus d’une minute avant de poursuivre profitant de cette
aubaine et de ces jeunes hommes prêts à rendre service : « Messieurs, ce sera tout
pour ce soir, je vous remercie pour ce service coquin. Au fait pourriez-vous me donner
un numéro de téléphone portable où je pourrais vous joindre en cas de besoin pour une
petite soirée coquine ? » Le troisième larron cette fois se manifesta : « Tenez
madame. » Il me tendit un petit morceau de papier avec son numéro de portable et la
mention « soirée coquine avec trois copains » ; il ajouta : « En cas de besoin
n’hésitez pas à me contacter je me charge de chercher mes deux potes avec ma voiture
et on vous rendra le petit service dont vous aurez besoin. » Je mis alors fin à la
conversation : « Encore merci messieurs, la France n’est pas perdue, il y a encore des
hommes serviables, en cas de besoin je n’hésiterai pas à vous contacter, à plus
tard. »
Je rentrai dans la foulée à mon domicile en tournant deux fois autour du pâté de
maisons pour m’assurer que je n’étais pas suivie. Puis j’envoyai sans tarder les
quatre photographies exigées par Madame la Directrice. Je parvins à le faire seulement
trois minutes avant la fin du temps imparti soit à 21 h 24. Je n’avais pas pris le
temps, temps dont je ne disposais pas, de rédiger un mail d’accompagnement et de
donner un nom aux quatre photographies. Ces événements du début de soirée m’avaient
épuisée. Mais j’avais maintenant un atout dans mon jeu dont Madame la Directrice
ignorait l’existence, les trois jeunes hommes, le moins timide, le plus pervers et
celui qui avait une voiture. Tout ceci m’avait mise dans un état indescriptible, la
mouille coulait de ma chatte sous ma robe. Cette garce de Directrice m’avait procuré
un plaisir fou en m’obligeant à aller me faire photographier sans ma robe en pleine
nuit par des inconnus. J’étais maintenant absolument décidée à tout faire pour réussir
la deuxième épreuve et passer des vacances que je devinais inoubliables sous son
emprise.
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