Les aventures extra conjugales de Wahiba Quatrième partie : La danse orientale
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures extra conjugales de Wahiba Quatrième partie : La danse orientale
Je rentrais à la maison aux environs de dix-huit heures. J’étais dans un état psychologique vraiment ambigu : d’un côté, je nageais dans un océan de félicité, fruit de tout le plaisir que je venais de prendre aux côtés de Mohamed Saïd, mon fabuleux amant. J’avais vécu des moments vraiment passionnants. Certainement les moments les plus jouissifs de ma vie de femme. D’un autre côté, je ne pouvais m’empêcher d’avoir des remords et de culpabiliser vis-à-vis de Slimane, mon mari et mes deux garçons.
Je me disais que je n’avais pas le droit de tromper mon mari, lui qui m’avait tout donné et tout appris dans la vie. Lui, qui pendant une quinzaine d’années ne m’avait apporté que du bonheur, y compris sur le plan sexuel. Nous avions vécu ensemble de merveilleuses années de plénitude et de bonheur, avec à la clé, deux enfants, eux-mêmes, merveilleux. Et ce n’est pas parce que l’entente sexuelle qui avait été notre lot durant tout ce temps là avait pris fin, parce que Slimane était fatigué – ou malade – que j’avais le droit d’aller chercher ailleurs la satisfaction de ma libido débordante.
Je trouvais les enfants entrain de jouer bruyamment à je ne sais quel jeu de guerre qui utilisait l’écran de la grande télévision du salon. C’était à peine s’ils levèrent la tête pour répondre à mes bisous. Ils ne semblaient s’intéresser qu’aux scores qu’ils réalisaient et étaient entrés dans une compétition qui accaparaient la totalité de leur attention et de leur passion d’adolescents.
Je me changeai rapidement et entrait dans la cuisine pour préparer le repas, en attendant le retour de Slimane, vers vingt heures. Je n’arrêtais pas de me poser des questions sur nous. Surtout sur mon comportement immoral. J’avais tellement envie de raconter à mon mari ce que j’avais fait aujourd’hui et l’autre fois. Au fond de moi, je voulais vraiment croire qu’il allait être heureux d’apprendre que je l’ai trompé et qu’il allait m’encourager à continuer de le faire.
Je voulais vraiment que son fantasme candauliste soit vrai et …qu’il l’assume ! Mais au fond, je savais que ce n’était qu’un rêve égoïste de ma part. Que la vérité était ailleurs : Slimane fantasmait vraiment sur moi entrain de me faire tirer par d’autres hommes. Mais ce fantasme ne pouvait, en aucun cas, devenir réalité. Surtout depuis qu’il a des problèmes de santé qui ont eu des conséquences considérables sur sa virilité. Je sais, le connaissant parfaitement, qu’il en souffre beaucoup ; lui qui était tellement fier de m’avoir procuré des tonnes de plaisir et de m’avoir fait jouir comme une folle, pendant aussi longtemps. Il ne pourrait s’empêcher de faire la comparaison avec les capacités surhumaines de mon amant et les siennes qui avaient tendance à disparaître.
Lui raconter mon aventure avec Mohammed Saïd, serait un crime qui aboutira nécessairement à un drame. Soit qu’il recevra l’annonce comme une provocation envers son état et, ce sera la fin de notre couple et de notre famille (avec toutes les conséquences sur moi, qui en tant que femme serait mise à l’indexe par la société). Soit il encaisse la nouvelle, comme un boxeur encaisse un puissant direct qui le met KO debout, et ce sera la fin de l’homme que j’ai connu et adoré. La fin de son orgueil de mâle, qu’il avait toujours exhibé comme un trophée rt comme le point nodal de sa personnalité. Et ce sera pire que la mort pour cet homme si fier de m’avoir donné autant de plaisir au cours de toutes ces années que nous avons vécues ensemble. Et de cela, je ne voulais absolument pas !
Quand Slimane arriva, il lança un « bonsoir ! » tonitruant aux enfants qui continuaient leur guerre virtuelle et vint dans la cuisine pour m’embrasser. Il me regarda attentivement, comme si quelque chose en moi l’étonnait.
- Tu as les yeux cernés ! Tu sembles fatiguée ! Que t’est-il arrivé ?
- Rien de spécial ! Le travail !
J’avais senti mon cœur battre très fort au moment où mon mari avait découvert que j’avais les yeux cernés. Je n’avais pas fait attention à ce détail. Chaque fois que je faisais l’amour intensément et que je prenais des tonnes de plaisir, cela se voyait aux cernes que j’avais autour des yeux. Et Slimane le savait très bien, lui qui m’avait fait la remarque des dizaines de fois auparavant (souvent pour fanfaronner, après m’avoir mise sur les genoux à force de me tirer et de me faire jouir).
- Tu me donnes l’impression de sortir d’une séance de jambes en l’air vraiment torride. Comme celles que nous avions ensemble. Dis-moi que tu t’es faite baiser et que tu as joui comme une folle !
- Tu es complètement fou ! Voilà que tu recommences avec tes conneries ! Si tu continues comme ça, je vais vraiment le faire ! Et tu l’auras bien cherché !
- Chiche !
Et voilà qu’effectivement cela recommençait. Je ne savais toujours pas quoi penser de ses remarques : était-il sérieux en me poussant à le tromper ? Cherchait-il à me faire avouer l’avoir trompé, afin de réagir en mâle suspicieux et jaloux ? Ou alors jouait-il un jeu qui l’excitait et lui permettait d’avoir une forte érection ? J’optais pour cette dernière réponse et me mis à le provoquer sur ce terrain.
- Cela te fait vraiment bander de m’imaginer entrain de te tromper ? Si c’est le cas, je suis heureuse de te suivre sur ce terrain ! Ce sera tout bénéfice pour moi ! Tu pourras me faire l’amour comme avant et nous emmener tous les deux au septième ciel ! Dis-moi que c’est bien cela ! Montre-moi combien tu es excité !
- Non, je suis encore fatigué ! C’est certainement le traitement médical que je prends ! Je te promets que bientôt, ce sera comme avant ! Ou mieux !
Ouf ! Je venais de l’échapper belle ! J’étais fière de mon stratagème pour éloigner les soupçons de mon mari. Je lui ai vraiment fait croire que mes cernes étaient le fruit de la fatigue d’une journée de travail harassante et non pas d’une journée passée à baiser comme une folle. Cette nuit là Slimane s’endormit sans même avoir cherché à me peloter ou à m’exciter et se mit rapidement à ronfler. J’étais un peu déçue de n’avoir pas pu réveiller sa libido, mais je me faisais une raison en pensant au dimanche que j’allais passer avec Mohammed Saïd, mon amant à la magnifique queue et aux merveilleux coups de reins.
…/…
Je passais comme je pus les quelques jours qui me séparaient du dimanche, jour de mon rendez-vous. Je n’arrêtais pas de penser à Mohamed Saïd, parfois en bien, mais le plus souvent en mal. En bien, quand je repensais aux sensations de plaisirs paroxysmiques qu’il m’avait déjà fait vivre et, qu’il me fera encore vivre. Mais quand je reprenais mes esprits, je savais au fond de moi que cet homme n’était rien d’autre qu’un égoïste et un goujat invétérés. J’avais un jugement plus réaliste et plus clair du bonhomme. Je savais que je ne tarderai pas à être déçu par son comportement. Il y avait déjà eu quelques indices qui le montraient sous son vrai visage : un égoïsme que jamais rien n’était venu démentir et une tendance au mépris de tout ce qui n’était pas lui.
A plusieurs occasions, il m’avait aussi montré qu’il acceptait difficilement que je sois attachée à d’autres personnes que lui : mon mari et mes enfants. Il n’arrivait pas à cacher un très fort agacement, à chaque fois que je devais rejoindre ma maison. Il n’acceptait pas que je sois si attachée à ma famille et que je tienne absolument à la préserver. J’avais la très forte intuition qu’il cherchera, pour je ne sais quelle raison malsaine, à faire exploser mon foyer. Je crois qu’il ne supportait pas qu’une de ses relations - et à plus forte raison, une de ses maîtresses - puisse vivre heureuse en dehors de lui. Jusqu’au moment, où il se fatiguait d’elle et la jetait comme une chaussette sale. Il m’avait souvent sous-entendu qu’il jetait ses maîtresses, une fois qu’il en avait fait le tour, sexuellement parlant.
Mais malgré ces éclairs de lucidité, je ne pouvais empêcher mon cœur de battre la chamade à chaque fois que je pensais à lui et à ses énormes capacités d’amant. J’étais impatiente qu’arrive l’heure du rendez-vous pour le rejoindre. Quant aux nuages qui, plus tard, recouvriront nécessairement notre relation, ils ne faisaient pas partie de mes soucis du moment. Quand ils arriveront, je verrais bien quoi faire. Pour l’instant, ce que je voulais, c’était de profiter du monstre que Mohammed Saïd avait entre les jambes.
A midi pile, le dimanche, je retrouvais donc mon amant, au même endroit que d’habitude et dans la même voiture. Il était toujours aussi élégant et attirant. Il avait encore son regard moqueur et sur ses lèvres, le même sourire de prédateur. Le sourire du fauve prêt à sauter sur sa proie. Il me complimenta sur ma beauté et ma sensualité.
- Tu es toujours aussi bandante ! Je vais encore me régaler aujourd’hui !
Tout en conduisant, il avait posé sa main droite sur mon genou gauche et s’était mis à le caresser et le palper. Il me força à l’écarter pour regarder à l’intérieur de ma jupe pour apercevoir le haut de mes cuisses et peut-être ma culotte. Je voyais le coin droit de sa lèvre supérieure palpiter, comme s’il avait les nerfs à fleur de peau. Ses yeux brillaient de lubricité.
- Halli em-sasteks ! (Ecarte bien tes cuisses !) Nahi culot-tek ! Bghit en-chouf souwtek ! (Enlève ta culotte ! Je veux voir ta chatte !) Naghsel a’3youni ! En-hab en-chouf souwtek ! En-hab zinet hatchounek ! (Je vais me rincer les yeux ! J’adore regarder ta chatte ! J’adore la beauté de ta chatte !)
J’obéis, avec un réel plaisir, à son ordre d’enlever ma culotte. Je fis ce qu’il me commanda et, en tortillant des hanches, je réussis à introduire mes doigts à l’intérieur de l’élastique de la culotte et à la faire descendre lentement et sans me presser, le long des cuisses et des jambes et à l’enlever complètement. Je regardais l’homme pour voir l’effet que le spectacle avait eu sur lui. Le tic qu’il avait sur le coin droit de sa lèvre supérieure s’était accentué ; il n’arrivait à le contrôler; c’était pour moi, la preuve d’un émoi très intense. Pour le l’exciter encore plus (j’adorai ce pouvoir que j’avais de le mettre dans un tel état d’excitation), je m’adossai contre la portière pour lui faire face et lui permettre d’avoir une vue plongeante sur mon entrecuisse dénudée. Je jouissais littéralement en regardant l’impact que le spectacle avait sur mon amant. Mohammed Saïd avait la bouche grande ouverte et bavait copieusement. Il était subjugué par la vue de ma belle chatte toute épilée, qui palpitait entre mes cuisses. Il avait du mal à la quitter des yeux et faillit plusieurs fois faire une sortie de route et manqua d’un cheveu un piéton qui marchait sur l’accotement.
Je voyais sur le devant de son pantalon, l’immense et impudique gonflement que faisait son sexe comprimé. Je devinai qu’il était tendu comme un ressort et cherchait à sortir de sa prison. J’avais envie de le voir et de le palper. Mais je voulais surtout profiter de ce moment magique où pour une fois, c’était moi qui avait le dessus: mon homme était complètement subjugué. J’étais sûre qu’à ce moment-là j’aurais pu lui demander n’importe quoi et avoir gain de cause.
- Rak em-wougaf ya erkhiss! 3’addjbatek sawti! Bghit tahbess fe trig bach et-nik ‘ha! (Tu bandes espèce de salaud! Elle te plait, ma chatte ! Tu as envie de t’arrêter sur la route pour la baiser !
- 3’adjbek el hal ya qahba! Estenay ki en-waslou, ou etchoufi wach en-dir lek ! Wach en-dir li hatchounek ! (La situation te plait espèce de salope ! Attends que nous arrivions et tu verras ce que je te ferais ! Ce que je ferais à ta chatte !)
Et cela dura ainsi jusqu’au moment où mous atteignîmes la villa en bord de mer. Le portail s’ouvrit devant la voiture et le même immense homme noir que nous trouvâmes la première fois, appuya sur un bouton pour fermer le portail derrière nous, avant de disparaître (Mohammed Saïd m’avait appris, avec un sourire amusé et une fierté non cachée, comme si cela ajoutait quelque chose à sa puissance, qu’il s’agissait d’un malien qui travaillait comme jardinier et gardien dans la villa). Nous entrâmes à la hâte dans la villa, tous les deux pressés de passer aux choses sérieuses. Mohammed Saïd me prit par le bras et m’entraîna dans la chambre pour me montrer le lit et l’ensemble de dessous et la nuisette, qu’il avait laissés sur place depuis la dernière fois.
- Je veux que tu les mettes et que tu te maquilles comme une pute. Je t’attends dans le salon. Je vais te faire faire quelque chose dont j’ai envie depuis très longtemps et que je n’ai pas encore eu l’occasion de faire faire à une de mes maîtresses. Tu es la première qui s’adapte le mieux à ce que je veux. Fais vite !
Et il sortit de la chambre, me laissant avec plein de questions dans la tête. Qu’est-ce qu’il compte bien me faire faire qui soit si extraordinaire ? Nous sommes venus pour baiser, et c’est certainement ce que nous allons faire. Surtout vêtue comme il voulait que je le sois, d’une courte nuisette couleur léopard et de magnifiques dessous en soie noire. Et puis pourquoi voulait-il que je sois maquillé comme une pute ?
Je fis ce que mon amant voulait : je mis la tenue et me maquillai de manière un peu outrancière, tout en refusant de ressembler à une prostituée (malgré tout ce que j’étais prête à faire, je tenais tout de même à lui montrer que je voulais rester digne !) Pendant que je me maquillais, j’entendis, provenant probablement de la chaine hifi du salon, le volume réglé presqu’au maximum, une musique de danse orientale. Je me demandais bien ce qui prenait Mohammed Saïd pour mettre ce genre de musique, lui qui m’avait habituée aux belles chansons des crooners américains et aux instrumentaux d’orchestres de jazz qu’il mettait toujours en musique de fond, pendant qu’on baisait.
Je sortis de la chambre, en jetant au passage un coup d’œil sur la grande glace murale. Je me vis en petite tenue. Et je me trouvais extrêmement bandante. J’étais sûre de plaire à mon homme et qu’il allait me tirer comme un taureau. Quand je l’aperçus, il était affalé, complètement enfoncé, dans le grand fauteuil. Il était encore tout habillé ; il n’avait enlevé que sa veste. Il me regardait avancer vers lui en dandinant du cul, pour accroitre son excitation. Ses yeux brillaient de lubricité ; exactement comme tout à l’heure dans la voiture quand il contemplait ma chatte dénudée. Mais au lieu de me sauter dessus comme je m’y attendais, il resta assis.
- Erraqsi ! Erraqsi, ki raqassat el cabaryat ! Ki raqassat el mesriyine ! Bghit etraqsi ghir liya ! Le sidek ! (Danse ! Danse comme les danseuses de cabarets ! Comme les danseuses égyptiennes ! Je veux que tu danses rien que pour moi ! Pour ton maître !)
Je le regardais interdite ! Je ne m’attendais absolument pas à ça ! Danser devant lui pour l’exciter ! Il voulait me rabaisser et me traiter comme une vraie pute ! Une partie de moi-même se révolta et j’avais fait le geste de faire demi-tour et repartir dans la chambre me rhabiller et partir. Le salaud avait prévu de m’avilir !
- Djitti bach en-nikek! Bach n’a3tilek haqek! Bach tetal’3i le sma essaba3! Ou n’a3tilek wach testenay! Kthar men wach testenay! Diri wach namrek ou etchoufi! (Tu es venue pour je te tire ! Pour te donner ton compte ! Pour que tu grimpes au septième ciel ! Et je te donnerai tout ce que tu attends ! Même plus que ce que tu attends ! Fait ce que je t’ordonne et tu verras !)
- Ma ranich qahba bach nechtah goudamek ! Ma ranich bent cabariyat! (Je ne suis pas une pute pour danser devant toi! Je ne suis pas une fille de cabarets !)
Je ne savais pas quoi faire. D’une part, je tenais à ma dignité de femme sérieuse (malgré le fait que je baisais avec lui) et d’autre part, connaissant son côté jouisseur, je savais qu’il avait préparé quelque chose qui devait être d’un érotisme intense. Je ne savais pas s’il fallait que je lui obéisse et me mette à danser une danse orientale lascive et sensuelle, comme le suggérait la musique qui sortait de la chaîne hifi, en attendant la suite qu’il voudra bien donner à l’opération ; ou bien fuir les lieux et rester sur ma faim. Il faut dire que j’adore danser – peut-être le savait-il – surtout les danses orientales lascives et érotiques, qui semblaient mettre en émoi Slimane. J’avais le type de corps parfait pour ce genre de danse : bien en chair, plantureux, avec des rondeurs là où il faut. Et en plus je savais vraiment bien bouger, et mettre en émoi tous les mâles qui me voyaient danser (dans les fêtes où la mixité était permise, ou parfois dans les fêtes, où il n’y avait que des femmes, à l’exception de quelques mâles de la famille proche, qui pouvaient se rincer l’œil en nous regardant danser comme des folles).
- Erraqsi, goultlek ! (Je t’ai dis de danser !)
Et sans trop savoir ce qui m’a décidé – peut-être le ton coléreux qu’il avait mis pour répéter son ordre – je me mis à balancer les hanches et le ventre, timidement d’abord, puis en me prenant au jeu et en suivant le rythme emballant de la musique et en me déhanchant comme une vraie pro des cabarets égyptiens.
- Hakdha ! (Comme cela !) Continue ! C’est très bien !
Et Mohammed Saïd, comme s’il n’attendait que ça, se mit à taper des mains et à suivre mes déhanchements de la voix. Il m’encourageait à continuer et à accélérer le rythme. Je m’amusais comme une folle ! Je ne savais même plus ce que je faisais ! Je dansais ! Je dansais à la manière impudique des danseuses de harem ! Je dansais pour exciter le sultan pour qu’il me choisisse et m’appelle à passer la nuit avec lui ! Je dansais en me déhanchant et en tournant sur moi-même pour lui mettre tous mes appâts sous le nez ! Je dansais et je voyais mon homme baver comme une fontaine, tout en continuant de battre des mains au rythme de la musique et de mes déhanchements. Je dansais et je voyais grandir la protubérance que faisait son sexe sur le devant de son pantalon.
Je ne sais combien dura la danse effrénée que j’avais entreprise. Il me sembla qu’elle dura longtemps ; très longtemps ! Elle dura jusqu’au moment où je vis mon amant dégrafer la ceinture de son pantalon, ouvrir sa braguette et sortir son immenses bâton. Il bandait comme un âne ! Il le prit dans sa main droite et se mit à le caresser doucement, tout en continuant de m’encourager avec la voix.
- Eraqsi ya qahba ! Eraqsi le sidek ! (Danse salope ! Danse pour ton maître !) Nahi culot-tek ! Bgjit en-chouf sawtek ki etraqsi ! Nahi ‘ha ! (Enlève ta culotte ! Je veux voir ta chatte quand tu danses ! Enlève-la !)
Tout en continuant de me déhancher, j’enlevai, en faisant durer le plaisir la coquine petite culotte que je portais. Je restais ainsi le cul nu et continuait la danse endiablée que j’avais entamée. Je n’étais plus moi-même. J’étais en transe ! J’étais une autre femme ! Je dansais ! Je tournoyais ! Ma chatte se montrait et se cachait en fonction des mouvements que je faisais! Je surveillais du coin de l’œil ce que faisait Mohammed Saïd avec son sexe. Il continuait de le caresser tout doucement, en bavant et en souriant aux anges. Il était au maximum de l’excitation ! Je voyais à ses yeux, qu’il était sur le point d’exploser et d’éjaculer dans le vide!
-Arrouahi ya qahba ! Arrouahi terraqsi foug zebi ! (Vient salope ! Vient danser sur mon zob !
Quelle merveilleuse idée, me dis-je ! Danser sur son engin ! Quelle sensation merveilleuse j’allais ressentir ! Danser tout en étant empalée sur un magnifique zob ! Mon amant, qui avait certainement manigancé tout cela, s’était légèrement allongé de manière à ce que je puisse me positionner sur son membre et être libre de mes déhanchements. En moins de temps qu’il ne fallait pour dire la chose, je me retrouvais entrain de danser avec, cette fois-ci le manche, de mon homme enfoncé dans ma chatte. Mon Dieu, cette sensation ! Je n’avais encore jamais rien ressenti de meilleur. Lui, il ne bougeait pratiquement pas. C’était moi qui faisais tout.
Je faisais faire à mes hanches des mouvements demi-tournants - les même que ceux de mes déhanchements - et je sentais le zob enfoncé en moi frotter sur la paroi de mon vagin, m’envoyant en même temps de fabuleuses décharges, qui me transportaient au septième ciel. C’était moi qui menais la danse - c’est bien le cas de le dire ! – et commandais aux sensations que ressentait mon amant. J’accélérai le rythme pour le mener jusqu’à l’apoplexie, et au moment où je le sentais sur le point d’exploser, je ralentissais. La séance dura une éternité. Jusqu’à ce que je sois sur le point de m’affaler de fatigue. Je sentais arriver l’orgasme, mais je voulais faire encore durer le plaisir. Un plaisir immense que je suis incapable aujourd’hui encore de décrire.
- Faragh, ya attay ! Faragh fi souwat Wahiba! Testa3raf be Wahiba! Goul belik testa3raf biya! Goul belik 3amrek ma sabt mra kima ana! Mra li ta3tik wach tebghi! (Ejacule espèce de pédé! Ejacule dans la chatte de Wahiba ! Tu reconnais la valeur de Wahiba ! Dis que tu reconnais ma valeur ! Avoue que jamais de ta vie tu n’as trouvée une femme comme moi ! Une femme qui te donne tout ce que tu veux !)
Il ne répondit pas à mes provocation, mais poussa un hurlement de dément et se mit à éjaculer dans mon vagin, en soufflant comme un phoque, des tonnes de foutre brulant. Moi-même, je n’arrivais plus à me contrôler et me mis à décharger comme une fontaine sur le zob et les couilles de mon homme, en criant un nombre infini de « oui ! » de plaisir. Et soudain, comme prise de vertige, je m’affalais, à bout de souffle, sur la poitrine de mon homme qui s’allongea complètement pour me recevoir. Il avait gardé son membre encore d’attaque enfoncé dans ma chatte. Il bougeait très légèrement les hanches pour maintenir l’érection au même niveau.
Nous restâmes ainsi quelque temps, avant que je n’émerge et reprenne mes esprits. Je remarquai que Mohammed Saïd avait déjà retrouvé sa forme et qu’il attendait que je sois d’aplomb pour reprendre les hostilités. Son zob était encore planté en moi. Il ne voulait pas me baiser dans cette position et ne voulait pas non plus faire quitter la place à son monstre. Il m’attrapa par les épaules pour me faire retourner et me mettre sur le dos, pendant que lui se retrouvait sur moi, le manche toujours enfoncé dans mon vagin. Il attrapa mes deux mollets et fit en sorte de les soulever très haut afin que je puisse poser mes chevilles sur ses épaules.
Et c’est ainsi qu’il décida de me baiser : en me cassant en deux, et en mes faisant un mal de chien à chacune de ses pénétrations. Mal qui s’accompagnait d’un plaisir de plus en plus fort et intense, au fur et à mesure qu’il faisait aller et venir son manche dans mon tunnel. Un tunnel qu’il limait furieusement, le transformant en brasier que rien ne pouvait éteindre que l’énorme quantité de foutre qu’il allait déverser en moi. Ce diable d’homme me faisait à chaque fois découvrir une position qui me donnait un plaisir encore plus fort que la dernière fois. J’étais incapable de résister à l’envie de hurler mon bonheur de me faire mettre comme ça ! Mes cris étaient bien entendu un aveu d’échec pour moi et une reconnaissance de la supériorité de mon homme et de son immense capacité à m’emmener au paradis. Mais je m’en fichais éperdument ! Je jouissais comme une folle ; et cela seul comptait.
- Zid nik-ni ‘hakda ! Nik qaheb-tek ! Direl ‘ha zebek fi hatchoun’ha! Kessarel’ha souwat’ha! Nik! Nik! Nik! Zeb! Zeb! Z…!
Et je partis dans un nouvel orgasme aussi puissant que le précédent. Je n’arrivais pas à me retenir. Je hurlais que c’était bon ! que c’était merveilleux d’être baisée comme cela par une brute ! Par un zob aussi puissant que celui d’un âne ! Que je voulais qu’on recommence immédiatement après ! Que j’étais sa chose et qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Autant de paroles qu’au fond de moi je savais que j’allais regretter d’avoir prononcées, mais que, sous l’effet du plaisir que je prenais, j’étais parfaitement incapable de contrôler. Mohammed Saïd eut lui aussi un orgasme intense et déchargea en moi, en m’abreuvant d’insultes : pute ! salope ! chienne ! esclave !
Quand nos corps se séparèrent, lui et moi étions morts de fatigue. Mais le bonheur se lisait dans nos yeux. Nous avions joui comme des bêtes et tout le plaisir que nous avions pris apparaissait sur tout notre être. Même Mohammed Saïd, pourtant si prompt à me rabaisser, ne dit rien pendant un long moment et me tenait tendrement serrée entre ses bras. Quand nous reprîmes et notre souffles et nos moyens physiques, nous reprîmes les hostilités. Je ne sais à quel moment, la discussion porta sur Lamia, son épouse, et qu’il recommença avec son attitude de goujat.
Il me disait qu’il avait une femme merveilleuse, belle – plus belle que moi, avait-il ajouté, sans même se rendre compte de sa goujaterie – cultivée et tutti quanti. J’eus le malheur de lui rétorquer que si c’était vraiment le cas, je ne comprenais pas pourquoi, il la trompait comme cela ; avec moi et, certainement, avec beaucoup d’autres femmes.
- Ma femme n’est pas une pute comme toi ! Elle est d’une bonne famille! Elle a eu une très bonne éducation ! Ce n’est pas elle qui se comportera en chienne comme tu viens de le faire !
Tout le bonheur que je venais de vivre, venait d’un coup de s’effacer pour ne laisser place qu’à l’amertume et la colère. Je le repoussai violemment pour sortir d’entre ses bras et courus dans la chambre pour me rhabiller. En moins de cinq minutes, j’étais toute habillée et lui demandai de me ramener chez moi. Il était confus. Il avait compris que, non seulement, il m’avait blessée, mais qu’aussi, il était entrain de me perdre. Il savait que je n’étais pas du genre à accepter d’être humiliée comme cela.
Il s’excusa en m’assurant que ses paroles avaient dépassé sa pensée et que ce qu’il voulait dire c’était autre chose. Il voulait me dire qu’avec sa femme, il ne pouvait pas assouvir ses fantasmes sexuels, comme il le faisait avec une femme libre comme moi. Lamia, elle était coincée sur les choses du sexe et n’acceptait rien d’autre que la manière « normale » de faire l’amour. Que lui, il ne pouvait pas se contenter de cette manière « normale ». Qu’il trouvait que j’étais une femme merveilleuse. Que j’étais la première femme avec laquelle, il a pu vraiment atteindre les plus hauts sommets du plaisir. Que je lui plaisais vraiment et qu’il n’aimerait pas que notre aventure se termine comme cela.
Je continuais à lui faire la tête pendant tout le trajet. Alors que lui n’avait pas arrêté une seule minute de s’excuser, en m’affirmant qu’il était même entrain de tomber amoureux de moi. Et qu’il fallait qu’on se revoie. Qu’il voulait que nous passions une journée entière ensemble ; pas seulement deux ou trois heures. Qu’il me donnait rendez-vous pour le jeudi prochain et qu’il me jurait que je passerai la journée la plus magique que j’aurais passé dans ma vie de femme.
Je partis sans rien lui promettre pour le rendez-vous. Je voulais le laisser mijoter un peu dans l’incertitude. Mais au fond de moi, je savais bien que j’allais être présente à ce rendez-vous. Il m’avait blessée et humiliée, mais la curiosité malsaine et l’espoir d’une autre journée magique de bonheur était plus forts.
…/…
Je me disais que je n’avais pas le droit de tromper mon mari, lui qui m’avait tout donné et tout appris dans la vie. Lui, qui pendant une quinzaine d’années ne m’avait apporté que du bonheur, y compris sur le plan sexuel. Nous avions vécu ensemble de merveilleuses années de plénitude et de bonheur, avec à la clé, deux enfants, eux-mêmes, merveilleux. Et ce n’est pas parce que l’entente sexuelle qui avait été notre lot durant tout ce temps là avait pris fin, parce que Slimane était fatigué – ou malade – que j’avais le droit d’aller chercher ailleurs la satisfaction de ma libido débordante.
Je trouvais les enfants entrain de jouer bruyamment à je ne sais quel jeu de guerre qui utilisait l’écran de la grande télévision du salon. C’était à peine s’ils levèrent la tête pour répondre à mes bisous. Ils ne semblaient s’intéresser qu’aux scores qu’ils réalisaient et étaient entrés dans une compétition qui accaparaient la totalité de leur attention et de leur passion d’adolescents.
Je me changeai rapidement et entrait dans la cuisine pour préparer le repas, en attendant le retour de Slimane, vers vingt heures. Je n’arrêtais pas de me poser des questions sur nous. Surtout sur mon comportement immoral. J’avais tellement envie de raconter à mon mari ce que j’avais fait aujourd’hui et l’autre fois. Au fond de moi, je voulais vraiment croire qu’il allait être heureux d’apprendre que je l’ai trompé et qu’il allait m’encourager à continuer de le faire.
Je voulais vraiment que son fantasme candauliste soit vrai et …qu’il l’assume ! Mais au fond, je savais que ce n’était qu’un rêve égoïste de ma part. Que la vérité était ailleurs : Slimane fantasmait vraiment sur moi entrain de me faire tirer par d’autres hommes. Mais ce fantasme ne pouvait, en aucun cas, devenir réalité. Surtout depuis qu’il a des problèmes de santé qui ont eu des conséquences considérables sur sa virilité. Je sais, le connaissant parfaitement, qu’il en souffre beaucoup ; lui qui était tellement fier de m’avoir procuré des tonnes de plaisir et de m’avoir fait jouir comme une folle, pendant aussi longtemps. Il ne pourrait s’empêcher de faire la comparaison avec les capacités surhumaines de mon amant et les siennes qui avaient tendance à disparaître.
Lui raconter mon aventure avec Mohammed Saïd, serait un crime qui aboutira nécessairement à un drame. Soit qu’il recevra l’annonce comme une provocation envers son état et, ce sera la fin de notre couple et de notre famille (avec toutes les conséquences sur moi, qui en tant que femme serait mise à l’indexe par la société). Soit il encaisse la nouvelle, comme un boxeur encaisse un puissant direct qui le met KO debout, et ce sera la fin de l’homme que j’ai connu et adoré. La fin de son orgueil de mâle, qu’il avait toujours exhibé comme un trophée rt comme le point nodal de sa personnalité. Et ce sera pire que la mort pour cet homme si fier de m’avoir donné autant de plaisir au cours de toutes ces années que nous avons vécues ensemble. Et de cela, je ne voulais absolument pas !
Quand Slimane arriva, il lança un « bonsoir ! » tonitruant aux enfants qui continuaient leur guerre virtuelle et vint dans la cuisine pour m’embrasser. Il me regarda attentivement, comme si quelque chose en moi l’étonnait.
- Tu as les yeux cernés ! Tu sembles fatiguée ! Que t’est-il arrivé ?
- Rien de spécial ! Le travail !
J’avais senti mon cœur battre très fort au moment où mon mari avait découvert que j’avais les yeux cernés. Je n’avais pas fait attention à ce détail. Chaque fois que je faisais l’amour intensément et que je prenais des tonnes de plaisir, cela se voyait aux cernes que j’avais autour des yeux. Et Slimane le savait très bien, lui qui m’avait fait la remarque des dizaines de fois auparavant (souvent pour fanfaronner, après m’avoir mise sur les genoux à force de me tirer et de me faire jouir).
- Tu me donnes l’impression de sortir d’une séance de jambes en l’air vraiment torride. Comme celles que nous avions ensemble. Dis-moi que tu t’es faite baiser et que tu as joui comme une folle !
- Tu es complètement fou ! Voilà que tu recommences avec tes conneries ! Si tu continues comme ça, je vais vraiment le faire ! Et tu l’auras bien cherché !
- Chiche !
Et voilà qu’effectivement cela recommençait. Je ne savais toujours pas quoi penser de ses remarques : était-il sérieux en me poussant à le tromper ? Cherchait-il à me faire avouer l’avoir trompé, afin de réagir en mâle suspicieux et jaloux ? Ou alors jouait-il un jeu qui l’excitait et lui permettait d’avoir une forte érection ? J’optais pour cette dernière réponse et me mis à le provoquer sur ce terrain.
- Cela te fait vraiment bander de m’imaginer entrain de te tromper ? Si c’est le cas, je suis heureuse de te suivre sur ce terrain ! Ce sera tout bénéfice pour moi ! Tu pourras me faire l’amour comme avant et nous emmener tous les deux au septième ciel ! Dis-moi que c’est bien cela ! Montre-moi combien tu es excité !
- Non, je suis encore fatigué ! C’est certainement le traitement médical que je prends ! Je te promets que bientôt, ce sera comme avant ! Ou mieux !
Ouf ! Je venais de l’échapper belle ! J’étais fière de mon stratagème pour éloigner les soupçons de mon mari. Je lui ai vraiment fait croire que mes cernes étaient le fruit de la fatigue d’une journée de travail harassante et non pas d’une journée passée à baiser comme une folle. Cette nuit là Slimane s’endormit sans même avoir cherché à me peloter ou à m’exciter et se mit rapidement à ronfler. J’étais un peu déçue de n’avoir pas pu réveiller sa libido, mais je me faisais une raison en pensant au dimanche que j’allais passer avec Mohammed Saïd, mon amant à la magnifique queue et aux merveilleux coups de reins.
…/…
Je passais comme je pus les quelques jours qui me séparaient du dimanche, jour de mon rendez-vous. Je n’arrêtais pas de penser à Mohamed Saïd, parfois en bien, mais le plus souvent en mal. En bien, quand je repensais aux sensations de plaisirs paroxysmiques qu’il m’avait déjà fait vivre et, qu’il me fera encore vivre. Mais quand je reprenais mes esprits, je savais au fond de moi que cet homme n’était rien d’autre qu’un égoïste et un goujat invétérés. J’avais un jugement plus réaliste et plus clair du bonhomme. Je savais que je ne tarderai pas à être déçu par son comportement. Il y avait déjà eu quelques indices qui le montraient sous son vrai visage : un égoïsme que jamais rien n’était venu démentir et une tendance au mépris de tout ce qui n’était pas lui.
A plusieurs occasions, il m’avait aussi montré qu’il acceptait difficilement que je sois attachée à d’autres personnes que lui : mon mari et mes enfants. Il n’arrivait pas à cacher un très fort agacement, à chaque fois que je devais rejoindre ma maison. Il n’acceptait pas que je sois si attachée à ma famille et que je tienne absolument à la préserver. J’avais la très forte intuition qu’il cherchera, pour je ne sais quelle raison malsaine, à faire exploser mon foyer. Je crois qu’il ne supportait pas qu’une de ses relations - et à plus forte raison, une de ses maîtresses - puisse vivre heureuse en dehors de lui. Jusqu’au moment, où il se fatiguait d’elle et la jetait comme une chaussette sale. Il m’avait souvent sous-entendu qu’il jetait ses maîtresses, une fois qu’il en avait fait le tour, sexuellement parlant.
Mais malgré ces éclairs de lucidité, je ne pouvais empêcher mon cœur de battre la chamade à chaque fois que je pensais à lui et à ses énormes capacités d’amant. J’étais impatiente qu’arrive l’heure du rendez-vous pour le rejoindre. Quant aux nuages qui, plus tard, recouvriront nécessairement notre relation, ils ne faisaient pas partie de mes soucis du moment. Quand ils arriveront, je verrais bien quoi faire. Pour l’instant, ce que je voulais, c’était de profiter du monstre que Mohammed Saïd avait entre les jambes.
A midi pile, le dimanche, je retrouvais donc mon amant, au même endroit que d’habitude et dans la même voiture. Il était toujours aussi élégant et attirant. Il avait encore son regard moqueur et sur ses lèvres, le même sourire de prédateur. Le sourire du fauve prêt à sauter sur sa proie. Il me complimenta sur ma beauté et ma sensualité.
- Tu es toujours aussi bandante ! Je vais encore me régaler aujourd’hui !
Tout en conduisant, il avait posé sa main droite sur mon genou gauche et s’était mis à le caresser et le palper. Il me força à l’écarter pour regarder à l’intérieur de ma jupe pour apercevoir le haut de mes cuisses et peut-être ma culotte. Je voyais le coin droit de sa lèvre supérieure palpiter, comme s’il avait les nerfs à fleur de peau. Ses yeux brillaient de lubricité.
- Halli em-sasteks ! (Ecarte bien tes cuisses !) Nahi culot-tek ! Bghit en-chouf souwtek ! (Enlève ta culotte ! Je veux voir ta chatte !) Naghsel a’3youni ! En-hab en-chouf souwtek ! En-hab zinet hatchounek ! (Je vais me rincer les yeux ! J’adore regarder ta chatte ! J’adore la beauté de ta chatte !)
J’obéis, avec un réel plaisir, à son ordre d’enlever ma culotte. Je fis ce qu’il me commanda et, en tortillant des hanches, je réussis à introduire mes doigts à l’intérieur de l’élastique de la culotte et à la faire descendre lentement et sans me presser, le long des cuisses et des jambes et à l’enlever complètement. Je regardais l’homme pour voir l’effet que le spectacle avait eu sur lui. Le tic qu’il avait sur le coin droit de sa lèvre supérieure s’était accentué ; il n’arrivait à le contrôler; c’était pour moi, la preuve d’un émoi très intense. Pour le l’exciter encore plus (j’adorai ce pouvoir que j’avais de le mettre dans un tel état d’excitation), je m’adossai contre la portière pour lui faire face et lui permettre d’avoir une vue plongeante sur mon entrecuisse dénudée. Je jouissais littéralement en regardant l’impact que le spectacle avait sur mon amant. Mohammed Saïd avait la bouche grande ouverte et bavait copieusement. Il était subjugué par la vue de ma belle chatte toute épilée, qui palpitait entre mes cuisses. Il avait du mal à la quitter des yeux et faillit plusieurs fois faire une sortie de route et manqua d’un cheveu un piéton qui marchait sur l’accotement.
Je voyais sur le devant de son pantalon, l’immense et impudique gonflement que faisait son sexe comprimé. Je devinai qu’il était tendu comme un ressort et cherchait à sortir de sa prison. J’avais envie de le voir et de le palper. Mais je voulais surtout profiter de ce moment magique où pour une fois, c’était moi qui avait le dessus: mon homme était complètement subjugué. J’étais sûre qu’à ce moment-là j’aurais pu lui demander n’importe quoi et avoir gain de cause.
- Rak em-wougaf ya erkhiss! 3’addjbatek sawti! Bghit tahbess fe trig bach et-nik ‘ha! (Tu bandes espèce de salaud! Elle te plait, ma chatte ! Tu as envie de t’arrêter sur la route pour la baiser !
- 3’adjbek el hal ya qahba! Estenay ki en-waslou, ou etchoufi wach en-dir lek ! Wach en-dir li hatchounek ! (La situation te plait espèce de salope ! Attends que nous arrivions et tu verras ce que je te ferais ! Ce que je ferais à ta chatte !)
Et cela dura ainsi jusqu’au moment où mous atteignîmes la villa en bord de mer. Le portail s’ouvrit devant la voiture et le même immense homme noir que nous trouvâmes la première fois, appuya sur un bouton pour fermer le portail derrière nous, avant de disparaître (Mohammed Saïd m’avait appris, avec un sourire amusé et une fierté non cachée, comme si cela ajoutait quelque chose à sa puissance, qu’il s’agissait d’un malien qui travaillait comme jardinier et gardien dans la villa). Nous entrâmes à la hâte dans la villa, tous les deux pressés de passer aux choses sérieuses. Mohammed Saïd me prit par le bras et m’entraîna dans la chambre pour me montrer le lit et l’ensemble de dessous et la nuisette, qu’il avait laissés sur place depuis la dernière fois.
- Je veux que tu les mettes et que tu te maquilles comme une pute. Je t’attends dans le salon. Je vais te faire faire quelque chose dont j’ai envie depuis très longtemps et que je n’ai pas encore eu l’occasion de faire faire à une de mes maîtresses. Tu es la première qui s’adapte le mieux à ce que je veux. Fais vite !
Et il sortit de la chambre, me laissant avec plein de questions dans la tête. Qu’est-ce qu’il compte bien me faire faire qui soit si extraordinaire ? Nous sommes venus pour baiser, et c’est certainement ce que nous allons faire. Surtout vêtue comme il voulait que je le sois, d’une courte nuisette couleur léopard et de magnifiques dessous en soie noire. Et puis pourquoi voulait-il que je sois maquillé comme une pute ?
Je fis ce que mon amant voulait : je mis la tenue et me maquillai de manière un peu outrancière, tout en refusant de ressembler à une prostituée (malgré tout ce que j’étais prête à faire, je tenais tout de même à lui montrer que je voulais rester digne !) Pendant que je me maquillais, j’entendis, provenant probablement de la chaine hifi du salon, le volume réglé presqu’au maximum, une musique de danse orientale. Je me demandais bien ce qui prenait Mohammed Saïd pour mettre ce genre de musique, lui qui m’avait habituée aux belles chansons des crooners américains et aux instrumentaux d’orchestres de jazz qu’il mettait toujours en musique de fond, pendant qu’on baisait.
Je sortis de la chambre, en jetant au passage un coup d’œil sur la grande glace murale. Je me vis en petite tenue. Et je me trouvais extrêmement bandante. J’étais sûre de plaire à mon homme et qu’il allait me tirer comme un taureau. Quand je l’aperçus, il était affalé, complètement enfoncé, dans le grand fauteuil. Il était encore tout habillé ; il n’avait enlevé que sa veste. Il me regardait avancer vers lui en dandinant du cul, pour accroitre son excitation. Ses yeux brillaient de lubricité ; exactement comme tout à l’heure dans la voiture quand il contemplait ma chatte dénudée. Mais au lieu de me sauter dessus comme je m’y attendais, il resta assis.
- Erraqsi ! Erraqsi, ki raqassat el cabaryat ! Ki raqassat el mesriyine ! Bghit etraqsi ghir liya ! Le sidek ! (Danse ! Danse comme les danseuses de cabarets ! Comme les danseuses égyptiennes ! Je veux que tu danses rien que pour moi ! Pour ton maître !)
Je le regardais interdite ! Je ne m’attendais absolument pas à ça ! Danser devant lui pour l’exciter ! Il voulait me rabaisser et me traiter comme une vraie pute ! Une partie de moi-même se révolta et j’avais fait le geste de faire demi-tour et repartir dans la chambre me rhabiller et partir. Le salaud avait prévu de m’avilir !
- Djitti bach en-nikek! Bach n’a3tilek haqek! Bach tetal’3i le sma essaba3! Ou n’a3tilek wach testenay! Kthar men wach testenay! Diri wach namrek ou etchoufi! (Tu es venue pour je te tire ! Pour te donner ton compte ! Pour que tu grimpes au septième ciel ! Et je te donnerai tout ce que tu attends ! Même plus que ce que tu attends ! Fait ce que je t’ordonne et tu verras !)
- Ma ranich qahba bach nechtah goudamek ! Ma ranich bent cabariyat! (Je ne suis pas une pute pour danser devant toi! Je ne suis pas une fille de cabarets !)
Je ne savais pas quoi faire. D’une part, je tenais à ma dignité de femme sérieuse (malgré le fait que je baisais avec lui) et d’autre part, connaissant son côté jouisseur, je savais qu’il avait préparé quelque chose qui devait être d’un érotisme intense. Je ne savais pas s’il fallait que je lui obéisse et me mette à danser une danse orientale lascive et sensuelle, comme le suggérait la musique qui sortait de la chaîne hifi, en attendant la suite qu’il voudra bien donner à l’opération ; ou bien fuir les lieux et rester sur ma faim. Il faut dire que j’adore danser – peut-être le savait-il – surtout les danses orientales lascives et érotiques, qui semblaient mettre en émoi Slimane. J’avais le type de corps parfait pour ce genre de danse : bien en chair, plantureux, avec des rondeurs là où il faut. Et en plus je savais vraiment bien bouger, et mettre en émoi tous les mâles qui me voyaient danser (dans les fêtes où la mixité était permise, ou parfois dans les fêtes, où il n’y avait que des femmes, à l’exception de quelques mâles de la famille proche, qui pouvaient se rincer l’œil en nous regardant danser comme des folles).
- Erraqsi, goultlek ! (Je t’ai dis de danser !)
Et sans trop savoir ce qui m’a décidé – peut-être le ton coléreux qu’il avait mis pour répéter son ordre – je me mis à balancer les hanches et le ventre, timidement d’abord, puis en me prenant au jeu et en suivant le rythme emballant de la musique et en me déhanchant comme une vraie pro des cabarets égyptiens.
- Hakdha ! (Comme cela !) Continue ! C’est très bien !
Et Mohammed Saïd, comme s’il n’attendait que ça, se mit à taper des mains et à suivre mes déhanchements de la voix. Il m’encourageait à continuer et à accélérer le rythme. Je m’amusais comme une folle ! Je ne savais même plus ce que je faisais ! Je dansais ! Je dansais à la manière impudique des danseuses de harem ! Je dansais pour exciter le sultan pour qu’il me choisisse et m’appelle à passer la nuit avec lui ! Je dansais en me déhanchant et en tournant sur moi-même pour lui mettre tous mes appâts sous le nez ! Je dansais et je voyais mon homme baver comme une fontaine, tout en continuant de battre des mains au rythme de la musique et de mes déhanchements. Je dansais et je voyais grandir la protubérance que faisait son sexe sur le devant de son pantalon.
Je ne sais combien dura la danse effrénée que j’avais entreprise. Il me sembla qu’elle dura longtemps ; très longtemps ! Elle dura jusqu’au moment où je vis mon amant dégrafer la ceinture de son pantalon, ouvrir sa braguette et sortir son immenses bâton. Il bandait comme un âne ! Il le prit dans sa main droite et se mit à le caresser doucement, tout en continuant de m’encourager avec la voix.
- Eraqsi ya qahba ! Eraqsi le sidek ! (Danse salope ! Danse pour ton maître !) Nahi culot-tek ! Bgjit en-chouf sawtek ki etraqsi ! Nahi ‘ha ! (Enlève ta culotte ! Je veux voir ta chatte quand tu danses ! Enlève-la !)
Tout en continuant de me déhancher, j’enlevai, en faisant durer le plaisir la coquine petite culotte que je portais. Je restais ainsi le cul nu et continuait la danse endiablée que j’avais entamée. Je n’étais plus moi-même. J’étais en transe ! J’étais une autre femme ! Je dansais ! Je tournoyais ! Ma chatte se montrait et se cachait en fonction des mouvements que je faisais! Je surveillais du coin de l’œil ce que faisait Mohammed Saïd avec son sexe. Il continuait de le caresser tout doucement, en bavant et en souriant aux anges. Il était au maximum de l’excitation ! Je voyais à ses yeux, qu’il était sur le point d’exploser et d’éjaculer dans le vide!
-Arrouahi ya qahba ! Arrouahi terraqsi foug zebi ! (Vient salope ! Vient danser sur mon zob !
Quelle merveilleuse idée, me dis-je ! Danser sur son engin ! Quelle sensation merveilleuse j’allais ressentir ! Danser tout en étant empalée sur un magnifique zob ! Mon amant, qui avait certainement manigancé tout cela, s’était légèrement allongé de manière à ce que je puisse me positionner sur son membre et être libre de mes déhanchements. En moins de temps qu’il ne fallait pour dire la chose, je me retrouvais entrain de danser avec, cette fois-ci le manche, de mon homme enfoncé dans ma chatte. Mon Dieu, cette sensation ! Je n’avais encore jamais rien ressenti de meilleur. Lui, il ne bougeait pratiquement pas. C’était moi qui faisais tout.
Je faisais faire à mes hanches des mouvements demi-tournants - les même que ceux de mes déhanchements - et je sentais le zob enfoncé en moi frotter sur la paroi de mon vagin, m’envoyant en même temps de fabuleuses décharges, qui me transportaient au septième ciel. C’était moi qui menais la danse - c’est bien le cas de le dire ! – et commandais aux sensations que ressentait mon amant. J’accélérai le rythme pour le mener jusqu’à l’apoplexie, et au moment où je le sentais sur le point d’exploser, je ralentissais. La séance dura une éternité. Jusqu’à ce que je sois sur le point de m’affaler de fatigue. Je sentais arriver l’orgasme, mais je voulais faire encore durer le plaisir. Un plaisir immense que je suis incapable aujourd’hui encore de décrire.
- Faragh, ya attay ! Faragh fi souwat Wahiba! Testa3raf be Wahiba! Goul belik testa3raf biya! Goul belik 3amrek ma sabt mra kima ana! Mra li ta3tik wach tebghi! (Ejacule espèce de pédé! Ejacule dans la chatte de Wahiba ! Tu reconnais la valeur de Wahiba ! Dis que tu reconnais ma valeur ! Avoue que jamais de ta vie tu n’as trouvée une femme comme moi ! Une femme qui te donne tout ce que tu veux !)
Il ne répondit pas à mes provocation, mais poussa un hurlement de dément et se mit à éjaculer dans mon vagin, en soufflant comme un phoque, des tonnes de foutre brulant. Moi-même, je n’arrivais plus à me contrôler et me mis à décharger comme une fontaine sur le zob et les couilles de mon homme, en criant un nombre infini de « oui ! » de plaisir. Et soudain, comme prise de vertige, je m’affalais, à bout de souffle, sur la poitrine de mon homme qui s’allongea complètement pour me recevoir. Il avait gardé son membre encore d’attaque enfoncé dans ma chatte. Il bougeait très légèrement les hanches pour maintenir l’érection au même niveau.
Nous restâmes ainsi quelque temps, avant que je n’émerge et reprenne mes esprits. Je remarquai que Mohammed Saïd avait déjà retrouvé sa forme et qu’il attendait que je sois d’aplomb pour reprendre les hostilités. Son zob était encore planté en moi. Il ne voulait pas me baiser dans cette position et ne voulait pas non plus faire quitter la place à son monstre. Il m’attrapa par les épaules pour me faire retourner et me mettre sur le dos, pendant que lui se retrouvait sur moi, le manche toujours enfoncé dans mon vagin. Il attrapa mes deux mollets et fit en sorte de les soulever très haut afin que je puisse poser mes chevilles sur ses épaules.
Et c’est ainsi qu’il décida de me baiser : en me cassant en deux, et en mes faisant un mal de chien à chacune de ses pénétrations. Mal qui s’accompagnait d’un plaisir de plus en plus fort et intense, au fur et à mesure qu’il faisait aller et venir son manche dans mon tunnel. Un tunnel qu’il limait furieusement, le transformant en brasier que rien ne pouvait éteindre que l’énorme quantité de foutre qu’il allait déverser en moi. Ce diable d’homme me faisait à chaque fois découvrir une position qui me donnait un plaisir encore plus fort que la dernière fois. J’étais incapable de résister à l’envie de hurler mon bonheur de me faire mettre comme ça ! Mes cris étaient bien entendu un aveu d’échec pour moi et une reconnaissance de la supériorité de mon homme et de son immense capacité à m’emmener au paradis. Mais je m’en fichais éperdument ! Je jouissais comme une folle ; et cela seul comptait.
- Zid nik-ni ‘hakda ! Nik qaheb-tek ! Direl ‘ha zebek fi hatchoun’ha! Kessarel’ha souwat’ha! Nik! Nik! Nik! Zeb! Zeb! Z…!
Et je partis dans un nouvel orgasme aussi puissant que le précédent. Je n’arrivais pas à me retenir. Je hurlais que c’était bon ! que c’était merveilleux d’être baisée comme cela par une brute ! Par un zob aussi puissant que celui d’un âne ! Que je voulais qu’on recommence immédiatement après ! Que j’étais sa chose et qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Autant de paroles qu’au fond de moi je savais que j’allais regretter d’avoir prononcées, mais que, sous l’effet du plaisir que je prenais, j’étais parfaitement incapable de contrôler. Mohammed Saïd eut lui aussi un orgasme intense et déchargea en moi, en m’abreuvant d’insultes : pute ! salope ! chienne ! esclave !
Quand nos corps se séparèrent, lui et moi étions morts de fatigue. Mais le bonheur se lisait dans nos yeux. Nous avions joui comme des bêtes et tout le plaisir que nous avions pris apparaissait sur tout notre être. Même Mohammed Saïd, pourtant si prompt à me rabaisser, ne dit rien pendant un long moment et me tenait tendrement serrée entre ses bras. Quand nous reprîmes et notre souffles et nos moyens physiques, nous reprîmes les hostilités. Je ne sais à quel moment, la discussion porta sur Lamia, son épouse, et qu’il recommença avec son attitude de goujat.
Il me disait qu’il avait une femme merveilleuse, belle – plus belle que moi, avait-il ajouté, sans même se rendre compte de sa goujaterie – cultivée et tutti quanti. J’eus le malheur de lui rétorquer que si c’était vraiment le cas, je ne comprenais pas pourquoi, il la trompait comme cela ; avec moi et, certainement, avec beaucoup d’autres femmes.
- Ma femme n’est pas une pute comme toi ! Elle est d’une bonne famille! Elle a eu une très bonne éducation ! Ce n’est pas elle qui se comportera en chienne comme tu viens de le faire !
Tout le bonheur que je venais de vivre, venait d’un coup de s’effacer pour ne laisser place qu’à l’amertume et la colère. Je le repoussai violemment pour sortir d’entre ses bras et courus dans la chambre pour me rhabiller. En moins de cinq minutes, j’étais toute habillée et lui demandai de me ramener chez moi. Il était confus. Il avait compris que, non seulement, il m’avait blessée, mais qu’aussi, il était entrain de me perdre. Il savait que je n’étais pas du genre à accepter d’être humiliée comme cela.
Il s’excusa en m’assurant que ses paroles avaient dépassé sa pensée et que ce qu’il voulait dire c’était autre chose. Il voulait me dire qu’avec sa femme, il ne pouvait pas assouvir ses fantasmes sexuels, comme il le faisait avec une femme libre comme moi. Lamia, elle était coincée sur les choses du sexe et n’acceptait rien d’autre que la manière « normale » de faire l’amour. Que lui, il ne pouvait pas se contenter de cette manière « normale ». Qu’il trouvait que j’étais une femme merveilleuse. Que j’étais la première femme avec laquelle, il a pu vraiment atteindre les plus hauts sommets du plaisir. Que je lui plaisais vraiment et qu’il n’aimerait pas que notre aventure se termine comme cela.
Je continuais à lui faire la tête pendant tout le trajet. Alors que lui n’avait pas arrêté une seule minute de s’excuser, en m’affirmant qu’il était même entrain de tomber amoureux de moi. Et qu’il fallait qu’on se revoie. Qu’il voulait que nous passions une journée entière ensemble ; pas seulement deux ou trois heures. Qu’il me donnait rendez-vous pour le jeudi prochain et qu’il me jurait que je passerai la journée la plus magique que j’aurais passé dans ma vie de femme.
Je partis sans rien lui promettre pour le rendez-vous. Je voulais le laisser mijoter un peu dans l’incertitude. Mais au fond de moi, je savais bien que j’allais être présente à ce rendez-vous. Il m’avait blessée et humiliée, mais la curiosité malsaine et l’espoir d’une autre journée magique de bonheur était plus forts.
…/…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
DEPUIS QUE J AI DECOUVERT CES RECIT WAHIBA JE NE CESSE D ATENDRE LA SUITE
BRAVO EN LISANT TES RECITS JE BANDE A FOND SURTOUT AVEC LES TERMES COCHONS QUE
JAIME BEAUCOUP ENTENDRE OU DIRE AVEC MON PARTENAIRE LORS D UN RAPPORT FELICITATIONS
ET JAIME BEAUCOUP J AI FAIS UNE COLLECTION
JAIME BEAUCOUP ENTENDRE OU DIRE AVEC MON PARTENAIRE LORS D UN RAPPORT FELICITATIONS
ET JAIME BEAUCOUP J AI FAIS UNE COLLECTION
A lectrice: Tiens mon msn tony83fr@live.fr j'ai envie de me faire ma voisine, algérienne de 59 ans, tu pourrais me conseiller stp merci
une belle histoire ,sais une histoire vrai j espères wahiba tu ma fait des frissons
partout j en redemande merci
partout j en redemande merci
wahiba tu es as une franchise totale...tu es courageuse...et c est ca la vie..je suis
infermiere chi une genekologue..a bejaia..a coté d'alger et les femmes se racontent ces
aventures..la pochaine fois si tu me contacte a bejaia je vais vous raconter des
merveilles..seulemnt j ai pa s un bon style de francais..aide moi wahiba a ecrire.merci
a toute l' equipe.de h.de.s.net.
infermiere chi une genekologue..a bejaia..a coté d'alger et les femmes se racontent ces
aventures..la pochaine fois si tu me contacte a bejaia je vais vous raconter des
merveilles..seulemnt j ai pa s un bon style de francais..aide moi wahiba a ecrire.merci
a toute l' equipe.de h.de.s.net.
Super !