Les chaussures de ma collegue me font saliver...
Récit érotique écrit par Feet-and-love [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2008 dans la catégorie Fétichisme
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Les chaussures de ma collegue me font saliver...
Voila, voila coup classique pour un jeune fetish des pieds comme moi, je craque complètement sur une collègue ou plutôt sur ces shoes.
Elle, très mimi, de joli petons, environ 36/37 dans de très belles petite shox noire ... un bonheur à regarder, et une envie de renifler ces chaussures totalement impossible jusqu'au jour où ...
Je n'en pouvais plus ... ce jours là j'étais seul au taf et il me pris l'irrésistible besoin de faire un tour devant son casier de vestiaire, forcement fermé à clé avec un cadenas ABUS, c'est abusé... Derrière cette porte se trouve une paire de chaussures de sécu de cette jeune demoiselle ...Un trop gros fantasme en moi se lève, allez hop action... quelques essais sans grande réussite pour ouvrir ce casier, (délicatement) mais rien pas moyen d'ouvrir ce cadenas. Je cherche des clés pouvant entrer dans cette serrure, pas moyen, le temps passe, dans une heure j'ai fini le travail et cette jeune fille va arriver pour prendre ma relève. Je m'assois au bureau et au fond d'un tiroir je tombe sur une clé de cadenas, devinez quoi .... ABUS... je fonce aux vestiaires met la clé dans ce cadenas et là forcement retour à la réalité ce n'est pas la bonne clé, elle rentre mais ne tourne pas. J'essaye de gigoter cette clé, dans 45 minutes elle sera là et se sera la fin ... Clic, le cadenas s'ouvre... un instant d'étonnement, comme une sorte de tremblement en moi accompagné d'un grand coup de chaud, ce coffre fort vient de céder, délicatement j'ouvre cette porte et je découvre assez bien rangé, dans le bas cette paire de chaussures de sécu ... je n'en peut plus je m'empare de cette première , je la contemple,un 38 et doucement je me l'approche des narines ... splendide, délicat, je commence à me sentir envahis pas une chaleur torride, c'est trop trop bon ... plusieurs aller et retours de respirations de plus en plus fortes entrent et ressortes dans cette chaussure et je n'en peut plus, j'ai le sexe gorgé, je sent les battement de mon cœur au bout de ma verge, le temps passe, dans 20 minutes elle sera là, je n'en peux plus je commence à me caresser, j'ôte la semelle pour sentir de plus prêt là où se trouvent ses petits orteils et je frotte mon sexe dans la chaussure, se ne fut pas long j'ai giclé pendant ce qui m'a semblé être une éternité et des litres et des litres... retour brutal à la réalité dans 10 minutes elle arrive, le temps de remettre la semelle par dessus mon extrait, je prend la deuxième, retire la semelle quelques grand coups de langues toujours au niveau de ses orteils, une petite note de salé parcours le bout de ma langue, je remet la semelle en place, redispose respectueusement, ce saint gräll . Jette un dernier coup d'œil, referme cette porte et referme douloureusement de cadenas. Je retourne au bureau, 3/4 minutes plus tard elle arrive, me lance un petit "salut" ... "salut "je lui répond, elle part se changer dans les vestiaires, j'ai la trouille... si elle se rends compte de quelque chose...Elle arrive " alors ça va ça c'est bien passé ?" je pense à ce que je viens de faire vivre à ses deux chaussures là devant moi , mais à ses pieds ... elles est là debout devant moi avec ma semence sous un de ses peton et de ma léchouille sous l'autre, je n'en reviens pas, il y a pas un quart d'heure j'étais en train de lui tremper ses godasses et là elle ne c'est rendue compte de rien elle les a aux pieds. C'est excitant, c'est trop trop bon. Nous échangeons nos consignes sur la journée écoulée et c'est à mon tour d'aller me changer ... Je repasse devant les vestiaires des dames, je jette un coup d'œil discret sur son vestiaire et là je suis plus que fou, lorsqu'elle est présente ce cadenas est ouvert !!! Et je n'en peux encore plus, puisque cette fois ce sont ses petite shox qui sont dedans, j'hésite un court instant et je me dis que cette situation ne se représentera jamais, je fonce, ouvre sa porte, attrape une shox, un 37 cette fois, prends 2/3 ÉNORMES inspiration de ce parfum délicat, encore tiède définitivement excitant, je repose, referme et cours me changer les narines pleines et le corps bouillonnant. Je repasse devant elle pour lui dire au revoir, je jette un dernier coup d'œil sur ses petons divinement chaussés et je rentre chez moi avec un parfum ancré dans ma tète et un bonheur inexplicable. Maintenant que je la vois j'ai en tête cette heure passée si vite avec une envie énorme ... recommencer ... A suivre…
Elle, très mimi, de joli petons, environ 36/37 dans de très belles petite shox noire ... un bonheur à regarder, et une envie de renifler ces chaussures totalement impossible jusqu'au jour où ...
Je n'en pouvais plus ... ce jours là j'étais seul au taf et il me pris l'irrésistible besoin de faire un tour devant son casier de vestiaire, forcement fermé à clé avec un cadenas ABUS, c'est abusé... Derrière cette porte se trouve une paire de chaussures de sécu de cette jeune demoiselle ...Un trop gros fantasme en moi se lève, allez hop action... quelques essais sans grande réussite pour ouvrir ce casier, (délicatement) mais rien pas moyen d'ouvrir ce cadenas. Je cherche des clés pouvant entrer dans cette serrure, pas moyen, le temps passe, dans une heure j'ai fini le travail et cette jeune fille va arriver pour prendre ma relève. Je m'assois au bureau et au fond d'un tiroir je tombe sur une clé de cadenas, devinez quoi .... ABUS... je fonce aux vestiaires met la clé dans ce cadenas et là forcement retour à la réalité ce n'est pas la bonne clé, elle rentre mais ne tourne pas. J'essaye de gigoter cette clé, dans 45 minutes elle sera là et se sera la fin ... Clic, le cadenas s'ouvre... un instant d'étonnement, comme une sorte de tremblement en moi accompagné d'un grand coup de chaud, ce coffre fort vient de céder, délicatement j'ouvre cette porte et je découvre assez bien rangé, dans le bas cette paire de chaussures de sécu ... je n'en peut plus je m'empare de cette première , je la contemple,un 38 et doucement je me l'approche des narines ... splendide, délicat, je commence à me sentir envahis pas une chaleur torride, c'est trop trop bon ... plusieurs aller et retours de respirations de plus en plus fortes entrent et ressortes dans cette chaussure et je n'en peut plus, j'ai le sexe gorgé, je sent les battement de mon cœur au bout de ma verge, le temps passe, dans 20 minutes elle sera là, je n'en peux plus je commence à me caresser, j'ôte la semelle pour sentir de plus prêt là où se trouvent ses petits orteils et je frotte mon sexe dans la chaussure, se ne fut pas long j'ai giclé pendant ce qui m'a semblé être une éternité et des litres et des litres... retour brutal à la réalité dans 10 minutes elle arrive, le temps de remettre la semelle par dessus mon extrait, je prend la deuxième, retire la semelle quelques grand coups de langues toujours au niveau de ses orteils, une petite note de salé parcours le bout de ma langue, je remet la semelle en place, redispose respectueusement, ce saint gräll . Jette un dernier coup d'œil, referme cette porte et referme douloureusement de cadenas. Je retourne au bureau, 3/4 minutes plus tard elle arrive, me lance un petit "salut" ... "salut "je lui répond, elle part se changer dans les vestiaires, j'ai la trouille... si elle se rends compte de quelque chose...Elle arrive " alors ça va ça c'est bien passé ?" je pense à ce que je viens de faire vivre à ses deux chaussures là devant moi , mais à ses pieds ... elles est là debout devant moi avec ma semence sous un de ses peton et de ma léchouille sous l'autre, je n'en reviens pas, il y a pas un quart d'heure j'étais en train de lui tremper ses godasses et là elle ne c'est rendue compte de rien elle les a aux pieds. C'est excitant, c'est trop trop bon. Nous échangeons nos consignes sur la journée écoulée et c'est à mon tour d'aller me changer ... Je repasse devant les vestiaires des dames, je jette un coup d'œil discret sur son vestiaire et là je suis plus que fou, lorsqu'elle est présente ce cadenas est ouvert !!! Et je n'en peux encore plus, puisque cette fois ce sont ses petite shox qui sont dedans, j'hésite un court instant et je me dis que cette situation ne se représentera jamais, je fonce, ouvre sa porte, attrape une shox, un 37 cette fois, prends 2/3 ÉNORMES inspiration de ce parfum délicat, encore tiède définitivement excitant, je repose, referme et cours me changer les narines pleines et le corps bouillonnant. Je repasse devant elle pour lui dire au revoir, je jette un dernier coup d'œil sur ses petons divinement chaussés et je rentre chez moi avec un parfum ancré dans ma tète et un bonheur inexplicable. Maintenant que je la vois j'ai en tête cette heure passée si vite avec une envie énorme ... recommencer ... A suivre…
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