Les chroniques : Après la Bretagne, toujours de la baise, de l'aide et du hasch !!
Récit érotique écrit par Nature et découvert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2018 dans la catégorie Plus on est
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Les chroniques : Après la Bretagne, toujours de la baise, de l'aide et du hasch !!
Les chroniques de Nature Et découvert : Après la Bretagne, toujours de la baise, de l'aide et du hasch!!
L’été 1991 fut une exception. Un an après le drame qui nous avait frappés Pussy et moi, je l’avais épousée -après 7 ans de vie commune moins une demi-année de rupture vite réparée. Elle était enceinte depuis plus de 7 mois et cela lui allait à ravir. Ses seins avaient pris une dimension certaine, rendant plus appétissantes que jamais ses aréoles toujours brunes de spécialiste du topless quasi permanent. Son ventre bien rond n’empêchait pas d’apprécier la majesté de son pubis toujours glabre et les deux grandes lèvres brunes, charnues et éternellement entrouvertes. Quant elle délaissait le bas de maillot ou la culotte, cela va de soi, et c’était désormais un peu plus rare que les années précédentes. Nous étions toujours en quête de sensations sexuelles, obéissant à nos pulsions libertaires et à nos fantasmes exhibitionnistes. Mais cette année-là, je fus un peu plus l’objet de ces jeux érotiques et l’épisode qui suit restera à jamais l’un des souvenirs les plus excitants qu’il m’ait été donné de vivre malgré ou grâce à sa sobriété.
Il faisait beau, début juillet. Mes beaux-parents, en voyage, nous avaient laissé leur maison, dans une petite ville en bordure de l’agglomération rouennaise, tout près des bords de Seine. La veille au soir, nous avions organisé une soirée avec une vingtaine de personnes plus ou moins proches. Etaient présentes notamment ce soir-là mon amie Domi, celle avec qui Pussy et moi avons connu notre toute première expérience de triolisme HFF et par conséquent qui était l’initiatrice de ma compagne au saphisme. Elle habitait La Rochelle mais venait de vivre une expérience difficile et était en froid avec son conjoint. Gigi aussi était là, tendre amie également de notre couple, à un degré à peine moins poussé, mais elle était accompagnée d’un tout nouveau compagnon et d’un ami à eux. Christelle, quant à elle, était l’ancienne colocataire de Pussy lorsque celle-ci m’avait ponctuellement quitté 3 ans auparavant. Elle était métisse, de taille moyenne, mais très fine, sans rondeurs. Je ne l’avais jusqu’alors vue qu’en maillot de bain, une fois en lingerie sage, lors d’un passage chez elles où j’avais réussi à repasser une nuit avec sa colocataire. Christelle, elle, n’avait vu de moi que les fesses en mouvement mais elle avait sans doute profité des photos que Pussy avait de moi, dans toutes les positions et sans aucune pudeur. Patricia, une amie longue date, était venue en célibataire. Elle nous connaissait depuis assez longtemps pour ne rien ignorer des fréquents jeux sexuels de notre couple ou pour avoir vu des dizaines de photos de nous plus ou moins osées, mais curieusement, elle n’avait jamais été confrontée directement à notre nudité ni à nos démonstrations libidineuses. D’autres amis, essentiellement masculins, complétaient l’assemblée. La soirée fut arrosée et « fumeuse » sauf pour ma compagne, enceinte jusqu’aux yeux. Mais elle fut sage, dans le sens que personne -pas même Pussy ou moi - n’avait esquissé la moindre ébauche de jeu sexy ou d’exhibition, risqué de caresses trop ostensibles sur partenaire légitime ou non.
Lorsque la soirée pris fin au petit matin, seules les personnes mentionnées ci-dessus étaient destinées à dormir dans la maison. Et encore : le compagnon de Gigi et son ami avaient dû se contenter de 2 heures de sommeil pour aller rejoindre leur poste de travail. Je me réveillai en milieu de matinée et descendis vêtu d’un pudique caleçon fantaisie prendre mon petit déjeuner, sans voir la moindre idée de qui était resté ou reparti, et donc inconscient de mon état de seul mâle aux environs. Bien innocemment, je testai l’ai ambiant et découvris avec plaisir que la douceur de cette matinée de juillet se conjuguait aux rayons du soleil pour donner envie d’aller se vautrer dans l’herbe du jardin. Une fois mon bol de café et ma tartine beurrée avalée, je me dirigeai donc au centre du jardin, y étalait une serviette de bain, allumai le gros poste radiocassette pour y écouter le dernier Depeche Mode, fraichement sorti. Puis j’ôtai mon caleçon et m’allongeai nu sur la serviette. L’immense haie du jardin me protégeait de la vue du voisinage et des passants, sauf pour les rares personnes qui marchaient sur le trottoir où le portail permettait sur 3 mètres de voir à l’intérieur. Mais peu de passage dans le quartier, donc peu de risques de voyeurs importuns…qui de toute façon m’indifféraient. Allongé sur le dos, je vis au bout d’un quart d’heure Domi sortir à son tour dans le jardin. Complice et intime, elle ne m’incitait pas à me couvrir ni même à me tourner sur le ventre. Vêtue de sa culotte et d’un t-shirt, elle s’approcha en souriant et me fit un léger baiser sur la bouche avant d’enlever son vêtement. En culotte, sa poitrine généreuse, ses hanches larges et sa féminité à fleur de peau contrebalançaient l’aspect masculin que lui donnaient ses cheveux courts, ses épaules sportives et sa grande taille. Domi s’assit à côté de moi et ne put s’empêcher comme machinalement de caresser brièvement mon sexe, qui durcit en un instant. L’arrivée quelques minutes après de Christelle faillit nous surprendre. J’avais juste eu le temps de me retourner sur le ventre et elle ne put donc contempler que mes fesses en me faisant la bise. Christelle avait sur elle une chemise d’homme qu’elle utilisait comme chemise de nuit lors de son séjour. On voyait qu’en dessous, elle avait conservé ses dessous Cacharel vert-clair. Ayant déjeuner elle aussi, elle décréta qu’elle était partante pour une séance de bronzage et, bien qu’un peu intimidée par ma nudité et les seins magnifiques de Domi, elle commenta : « je ne pense pas que ça vous dérange si je me mets torse nu ? »Elle nous révéla donc deux petits seins, plus blancs que sa peau café au lait, un ventre plat en harmonie avec ses jambes très fines et ses petites fesses dans leur sage culotte dentelle. Plus grande, Christelle aurait eu les mensurations idéales d’une mannequin de l’époque. Classique et moyennement prude, elle était déjà allée loin dans le partage d’intimité de cette matinée. Je me trouvais donc entouré de deux femmes seins nus, en plein air, et si je n’avais plus d’érection depuis plusieurs minutes, je préférais rester chastement allongé sur le ventre. L’arrivée conjointe de Pussy et Patricia fut plus mouvementée. Ma femme faisait mine de se moquer de moi ou de me reprocher une infidélité, dans le genre « ah je t’y prends, à batifoler nu avec mes copines » et Patricia, entre rire et étonnement, soulignait par un « ben on ne s’ennuie pas on dirait » ! Mais après les échanges de bisous, ma compagne retira ma chemise – qu’elle portait aussi en chemise de nuit- et dévoila à toutes et tous qu’elle n’avait en dessous que son maillot de bain panthère déjà roulé jusqu’en dessous de son ventre rond. Bien que leurs formes et l’origine de leur proéminence soient différentes, les seins de Pussy rivalisaient avec ceux de Domi. Patricia, maître-nageur de son état, n’eut aucune gêne à se mettre également seins nus, gardant sur elle une classique petite culotte blanche en coton. Sportive et svelte, Patricia se situait du côté des petits seins ; avec Christelle. Le tableau devenait sexy au possible et cette fois, je bougeais nerveusement mon bassin pour permette à ma verge en quelque sorte écrasée de trouver un peu plus de place ! Domi à droite, Christelle à gauche, Pussy et Patricia en face de moi, nous étions étendus langoureusement au soleil et dégustions en toute quiétude Personal Jesus et Enjoy the Silence.
L’arrivée de Gigi acheva de me troubler. Entièrement habillée, en débardeur et jean noir, les cheveux bruns et aussi courts que Domi et Patricia -ou Pussy auparavant- elle était partie pour rentrer chez elle et y attendre son julot, qui devait rentrer dans 6 ou 7 heures. Mais alors qu’elle sacrifiait au rituel des bises aux copines et à moi, je ne pus m’empêcher de me mettre à genoux pour pouvoir poser mes lèvres sur les siennes, dans le même smack « amitié tendre » qu’avec Domi. Je ne sais si la vue que j’offris soudainement à nos quatre invitées à mon épouse y fût pour quelque chose mais Gigi décida qu’elle avait bien le temps de profiter du soleil et de l’ambiance avec nous. Pendant qu’elle ôtait chaussures, t-shirt, soutien-gorge et pantalon, je restai un moment à genoux sans pouvoir m’empêcher de l’admirer. Gigi avait toujours exercé un fort magnétisme sur moi et si nous n’avions jamais été plus loin que des caresses intimes à deux ou avec Pussy, je la désirais depuis toujours sans m’en cacher à mon épouse ou aux amis. Cette courte contemplation provoqua un nouveau début d’érection chez moi. Mais c’est surtout la surprise de découvrir que mon sexe et mon pubis étaient entièrement lisses qui provoqua les regards fixes et étonnés de Christelle et Patricia sur mon bas ventre. Une fois en petite culotte dentelle noire -arachnéenne et peu avare en vision sur la toison taillée en ticket de métro de Gigi- cette dernière m’encouragea dans un sourire ironique à me remettre allongé sur le ventre afin de ne pas choquer les invitées. Patricia ne put s’empêcher de souligner qu’elle n’avait jamais vu d’homme intégralement épilé, même si dans les piscines, plusieurs se rasaient le corps. « Mais le sexe, souligna-t-elle, c’est nouveau pour moi ». Christelle n’en revenait pas et confirmait que ce n’était pas ordinaire. Domi, sans être adepte pour elle-même de l’épilation intégrale, crut bon de préciser comme pour rappeler nos liens privilégiés, qu’elle m’avait connu soucieux de tailler mon pubis a minima, des années auparavant, et que je poussais le soin à débarrasser mes bourses et mon sillon fessier du moindre poil également. Cet exposé fit sourire Pussy et Gigi confirma d’un hochement de tête, ce qui agita de façon très excitante ses seins, plus petits que ceux de Pussy ou Domi, mais qui semblaient avoir été créés pour être empaumés, pelotés et dévorés.
Ainsi, je me remis sur le ventre, entouré de cinq délicieuses créatures dénudées et je m’efforçai de rester zen. La cassette de Depeche Mode terminée, il fallut pourtant la remplacer, mais comme je m’ étais assoupi, c’est Pussy qui se chargea de mettre le vieux « Vienna » d’Ultravox. Dans mon demi-sommeil, j’avais abandonné toute velléité de matage sur les corps quasiment nus des cinq femelles qui m’entouraient, dont trois que je connaissais intimement. En revanche, je contrôlais mal mes pensées et mes songes, et des flashs se mêlaient à ma perception du présent, le tout enveloppé dans ce qui semblait être un retour enfumé dans mes méninges, une sorte de réplique des nombreux pétards ingurgités la veille. Toujours est-il que durant environ un quart d’heure, après m’être retourné sur le dos, j’avais offert sans m’en rendre compte mon corps nu et mon sexe dressé aux yeux de mon harem de circonstance. C’est en émergeant de mon état comateux que je pris conscience de la situation et cela ne fit qu’augmenter mon trouble. Dur et tendu comme on peut l’être au réveil, excité par la présence très proche de corps féminins dénudés, je bandais sans vergogne. Domi, qui me connaissait très bien, pris sur elle de déclencher ce qui allait suivre et qui était très osé pour Patricia et Christelle. Elle effleura ma verge du dos de sa main, ce qui la fit tressaillir. En forme comme je l’étais, l’extrémité de mon sexe atteignait mon nombril et sans être hors-norme mais renforcé par mon absence de pilosité, cela impressionnait mes amies. Sans ouvrir les yeux, ayant de plus mis mon bras gauche devant mon visage pour me protéger du soleil, je finis par poser ma main droite sur ma bite. Puis lentement, j’enserrai mon engin. Je tirai délicatement vers le bas pour décalotter mon gland puis je redressai ma verge vers le ciel, fièrement, comme pour subjuguer mes spectatrices. Le « mmmmm » de Domi et un doux encouragement de mon épouse eurent raison de mes dernières pudeurs ; j’entrepris de me branler lentement, bien à fond, n’omettant pas de temps à autres de caresser mes bourses, de passer ma main entre mes cuisses, d’ouvrir les jambes et de montrer à toutes que mon petit orifice aussi était glabre et aimait être excité.
Je sentais les regards sur mon anatomie. Pussy m’apprit plus tard que Domi et elle s’était aussi caressées en nous regardant, sans que les autres ne s’en aperçoivent car visiblement intéressées par ma masturbation. Au bout de longues minutes, le désir monta en moi. Ma queue commençait à tressaillir de plus en plus et ma main allait et venait de plus en plus rapidement sur ma hampe. Jusqu’à ce que je laisse échapper, dans un « hannnnn » de soulagement, un premier puissant jet de sperme qui se répandit sur ma poitrine, puis second qui aspergea mon flanc droit, une troisième que j’orientais vers le ciel et retomba sur le bras de Domi, assise très près de moi puis un dernier sur ma cuisse. Le silence qui s’ensuivit m’incita à rester « caché » par mon bras. Ma main droite tenait encore ma queue ramollissante mais je continuai des mouvements masturbatoires. Ma semence coulait lentement des endroits où elle était arrivée ; c’est mon épouse qui pris soin de prendre sa serviette pour m’essuyer consciencieusement. Sans craindre les jugements de valeur, Domi lécha le bras que je lui avais aspergé. En ouvrant enfin les yeux et en baissant mon bras, je pris conscience que j’avais fasciné mes spectatrices et c’est sans fausse modestie que je poussais l’avantage en jouant encore avec ma queue demi-molle mais encore motivée, et en doigtant peu profondément mon orifice anal devant les yeux ébahis mais devenus complices de Christelle et Patricia.
La journée se continua sans Gigi enfin hélas partie peu après mais avec une Patricia et une Christelle décidées à se rincer l’œil le plus possible. Je restai nu toute la journée devant elles et le soir venu, alors que nous avions décidé de regarder je ne sais quel film à la télé, je me retrouvai entre mon épouse et Domi, rhabillées, sur le canapé, alors que Patricia et Christelle étaient dans chacune dans l’un des fauteuils placés perpendiculairement respectivement à notre droite et à notre gauche. La simple présence de ces femmes, leurs regards gourmands, les caresses ponctuelles de mes deux voisines de canapé finirent par provoquer une nouvelle et spectaculaire érection. Domi se leva et monta dans notre chambre, situe juste au-dessus du salon. Elle m’appela et après avoir demandé à Pussy si cela la dérangeait, je montai la rejoindre. Elle m’attendait nue sur le lit, prête à être pénétrée sans préliminaires. Nous fîmes l’amour sans discrétion et nous avions conscience que nos ébats s’entendaient d’en bas. Quand nous eûmes terminé, je laissai Domi s’endormir repue et descendis rejoindre ma compagne, toujours sagement en train de regarder le film avec nos invitées. Luisant de la cyprine de mon amie, mon sexe encore un peu gonflé reteint une fois de plus l’attention de Patricia et Christelle. Pussy s’en amusa et m’attrapant par la verge, elle m’attira près d’elle. Elle passa sa langue de féline sur ma queue puis la goba entière. Aussi près du regard de nos amies, stimulé par les caresses de ma femme sur mes bourses et le doigt qu’elle introduisait délicatement dans mon anus, je me laissai à nouveau exciter jusqu’à la jouissance. J’explosai dans la bouche de ma compagne sous les regards fascinés de nos deux mateuses. Après avoir avalé la semence que j’avais réussi à éjaculer dans sa bouche, Pussy conclut la soirée par un prometteur « pour ce soir ce sera difficile mais on dirait que monsieur Aymeric est disposé à bander et à jouir pour qui voudra, en ce moment ! » Et nous allâmes tous dormir sagement.
L’été 1991 fut une exception. Un an après le drame qui nous avait frappés Pussy et moi, je l’avais épousée -après 7 ans de vie commune moins une demi-année de rupture vite réparée. Elle était enceinte depuis plus de 7 mois et cela lui allait à ravir. Ses seins avaient pris une dimension certaine, rendant plus appétissantes que jamais ses aréoles toujours brunes de spécialiste du topless quasi permanent. Son ventre bien rond n’empêchait pas d’apprécier la majesté de son pubis toujours glabre et les deux grandes lèvres brunes, charnues et éternellement entrouvertes. Quant elle délaissait le bas de maillot ou la culotte, cela va de soi, et c’était désormais un peu plus rare que les années précédentes. Nous étions toujours en quête de sensations sexuelles, obéissant à nos pulsions libertaires et à nos fantasmes exhibitionnistes. Mais cette année-là, je fus un peu plus l’objet de ces jeux érotiques et l’épisode qui suit restera à jamais l’un des souvenirs les plus excitants qu’il m’ait été donné de vivre malgré ou grâce à sa sobriété.
Il faisait beau, début juillet. Mes beaux-parents, en voyage, nous avaient laissé leur maison, dans une petite ville en bordure de l’agglomération rouennaise, tout près des bords de Seine. La veille au soir, nous avions organisé une soirée avec une vingtaine de personnes plus ou moins proches. Etaient présentes notamment ce soir-là mon amie Domi, celle avec qui Pussy et moi avons connu notre toute première expérience de triolisme HFF et par conséquent qui était l’initiatrice de ma compagne au saphisme. Elle habitait La Rochelle mais venait de vivre une expérience difficile et était en froid avec son conjoint. Gigi aussi était là, tendre amie également de notre couple, à un degré à peine moins poussé, mais elle était accompagnée d’un tout nouveau compagnon et d’un ami à eux. Christelle, quant à elle, était l’ancienne colocataire de Pussy lorsque celle-ci m’avait ponctuellement quitté 3 ans auparavant. Elle était métisse, de taille moyenne, mais très fine, sans rondeurs. Je ne l’avais jusqu’alors vue qu’en maillot de bain, une fois en lingerie sage, lors d’un passage chez elles où j’avais réussi à repasser une nuit avec sa colocataire. Christelle, elle, n’avait vu de moi que les fesses en mouvement mais elle avait sans doute profité des photos que Pussy avait de moi, dans toutes les positions et sans aucune pudeur. Patricia, une amie longue date, était venue en célibataire. Elle nous connaissait depuis assez longtemps pour ne rien ignorer des fréquents jeux sexuels de notre couple ou pour avoir vu des dizaines de photos de nous plus ou moins osées, mais curieusement, elle n’avait jamais été confrontée directement à notre nudité ni à nos démonstrations libidineuses. D’autres amis, essentiellement masculins, complétaient l’assemblée. La soirée fut arrosée et « fumeuse » sauf pour ma compagne, enceinte jusqu’aux yeux. Mais elle fut sage, dans le sens que personne -pas même Pussy ou moi - n’avait esquissé la moindre ébauche de jeu sexy ou d’exhibition, risqué de caresses trop ostensibles sur partenaire légitime ou non.
Lorsque la soirée pris fin au petit matin, seules les personnes mentionnées ci-dessus étaient destinées à dormir dans la maison. Et encore : le compagnon de Gigi et son ami avaient dû se contenter de 2 heures de sommeil pour aller rejoindre leur poste de travail. Je me réveillai en milieu de matinée et descendis vêtu d’un pudique caleçon fantaisie prendre mon petit déjeuner, sans voir la moindre idée de qui était resté ou reparti, et donc inconscient de mon état de seul mâle aux environs. Bien innocemment, je testai l’ai ambiant et découvris avec plaisir que la douceur de cette matinée de juillet se conjuguait aux rayons du soleil pour donner envie d’aller se vautrer dans l’herbe du jardin. Une fois mon bol de café et ma tartine beurrée avalée, je me dirigeai donc au centre du jardin, y étalait une serviette de bain, allumai le gros poste radiocassette pour y écouter le dernier Depeche Mode, fraichement sorti. Puis j’ôtai mon caleçon et m’allongeai nu sur la serviette. L’immense haie du jardin me protégeait de la vue du voisinage et des passants, sauf pour les rares personnes qui marchaient sur le trottoir où le portail permettait sur 3 mètres de voir à l’intérieur. Mais peu de passage dans le quartier, donc peu de risques de voyeurs importuns…qui de toute façon m’indifféraient. Allongé sur le dos, je vis au bout d’un quart d’heure Domi sortir à son tour dans le jardin. Complice et intime, elle ne m’incitait pas à me couvrir ni même à me tourner sur le ventre. Vêtue de sa culotte et d’un t-shirt, elle s’approcha en souriant et me fit un léger baiser sur la bouche avant d’enlever son vêtement. En culotte, sa poitrine généreuse, ses hanches larges et sa féminité à fleur de peau contrebalançaient l’aspect masculin que lui donnaient ses cheveux courts, ses épaules sportives et sa grande taille. Domi s’assit à côté de moi et ne put s’empêcher comme machinalement de caresser brièvement mon sexe, qui durcit en un instant. L’arrivée quelques minutes après de Christelle faillit nous surprendre. J’avais juste eu le temps de me retourner sur le ventre et elle ne put donc contempler que mes fesses en me faisant la bise. Christelle avait sur elle une chemise d’homme qu’elle utilisait comme chemise de nuit lors de son séjour. On voyait qu’en dessous, elle avait conservé ses dessous Cacharel vert-clair. Ayant déjeuner elle aussi, elle décréta qu’elle était partante pour une séance de bronzage et, bien qu’un peu intimidée par ma nudité et les seins magnifiques de Domi, elle commenta : « je ne pense pas que ça vous dérange si je me mets torse nu ? »Elle nous révéla donc deux petits seins, plus blancs que sa peau café au lait, un ventre plat en harmonie avec ses jambes très fines et ses petites fesses dans leur sage culotte dentelle. Plus grande, Christelle aurait eu les mensurations idéales d’une mannequin de l’époque. Classique et moyennement prude, elle était déjà allée loin dans le partage d’intimité de cette matinée. Je me trouvais donc entouré de deux femmes seins nus, en plein air, et si je n’avais plus d’érection depuis plusieurs minutes, je préférais rester chastement allongé sur le ventre. L’arrivée conjointe de Pussy et Patricia fut plus mouvementée. Ma femme faisait mine de se moquer de moi ou de me reprocher une infidélité, dans le genre « ah je t’y prends, à batifoler nu avec mes copines » et Patricia, entre rire et étonnement, soulignait par un « ben on ne s’ennuie pas on dirait » ! Mais après les échanges de bisous, ma compagne retira ma chemise – qu’elle portait aussi en chemise de nuit- et dévoila à toutes et tous qu’elle n’avait en dessous que son maillot de bain panthère déjà roulé jusqu’en dessous de son ventre rond. Bien que leurs formes et l’origine de leur proéminence soient différentes, les seins de Pussy rivalisaient avec ceux de Domi. Patricia, maître-nageur de son état, n’eut aucune gêne à se mettre également seins nus, gardant sur elle une classique petite culotte blanche en coton. Sportive et svelte, Patricia se situait du côté des petits seins ; avec Christelle. Le tableau devenait sexy au possible et cette fois, je bougeais nerveusement mon bassin pour permette à ma verge en quelque sorte écrasée de trouver un peu plus de place ! Domi à droite, Christelle à gauche, Pussy et Patricia en face de moi, nous étions étendus langoureusement au soleil et dégustions en toute quiétude Personal Jesus et Enjoy the Silence.
L’arrivée de Gigi acheva de me troubler. Entièrement habillée, en débardeur et jean noir, les cheveux bruns et aussi courts que Domi et Patricia -ou Pussy auparavant- elle était partie pour rentrer chez elle et y attendre son julot, qui devait rentrer dans 6 ou 7 heures. Mais alors qu’elle sacrifiait au rituel des bises aux copines et à moi, je ne pus m’empêcher de me mettre à genoux pour pouvoir poser mes lèvres sur les siennes, dans le même smack « amitié tendre » qu’avec Domi. Je ne sais si la vue que j’offris soudainement à nos quatre invitées à mon épouse y fût pour quelque chose mais Gigi décida qu’elle avait bien le temps de profiter du soleil et de l’ambiance avec nous. Pendant qu’elle ôtait chaussures, t-shirt, soutien-gorge et pantalon, je restai un moment à genoux sans pouvoir m’empêcher de l’admirer. Gigi avait toujours exercé un fort magnétisme sur moi et si nous n’avions jamais été plus loin que des caresses intimes à deux ou avec Pussy, je la désirais depuis toujours sans m’en cacher à mon épouse ou aux amis. Cette courte contemplation provoqua un nouveau début d’érection chez moi. Mais c’est surtout la surprise de découvrir que mon sexe et mon pubis étaient entièrement lisses qui provoqua les regards fixes et étonnés de Christelle et Patricia sur mon bas ventre. Une fois en petite culotte dentelle noire -arachnéenne et peu avare en vision sur la toison taillée en ticket de métro de Gigi- cette dernière m’encouragea dans un sourire ironique à me remettre allongé sur le ventre afin de ne pas choquer les invitées. Patricia ne put s’empêcher de souligner qu’elle n’avait jamais vu d’homme intégralement épilé, même si dans les piscines, plusieurs se rasaient le corps. « Mais le sexe, souligna-t-elle, c’est nouveau pour moi ». Christelle n’en revenait pas et confirmait que ce n’était pas ordinaire. Domi, sans être adepte pour elle-même de l’épilation intégrale, crut bon de préciser comme pour rappeler nos liens privilégiés, qu’elle m’avait connu soucieux de tailler mon pubis a minima, des années auparavant, et que je poussais le soin à débarrasser mes bourses et mon sillon fessier du moindre poil également. Cet exposé fit sourire Pussy et Gigi confirma d’un hochement de tête, ce qui agita de façon très excitante ses seins, plus petits que ceux de Pussy ou Domi, mais qui semblaient avoir été créés pour être empaumés, pelotés et dévorés.
Ainsi, je me remis sur le ventre, entouré de cinq délicieuses créatures dénudées et je m’efforçai de rester zen. La cassette de Depeche Mode terminée, il fallut pourtant la remplacer, mais comme je m’ étais assoupi, c’est Pussy qui se chargea de mettre le vieux « Vienna » d’Ultravox. Dans mon demi-sommeil, j’avais abandonné toute velléité de matage sur les corps quasiment nus des cinq femelles qui m’entouraient, dont trois que je connaissais intimement. En revanche, je contrôlais mal mes pensées et mes songes, et des flashs se mêlaient à ma perception du présent, le tout enveloppé dans ce qui semblait être un retour enfumé dans mes méninges, une sorte de réplique des nombreux pétards ingurgités la veille. Toujours est-il que durant environ un quart d’heure, après m’être retourné sur le dos, j’avais offert sans m’en rendre compte mon corps nu et mon sexe dressé aux yeux de mon harem de circonstance. C’est en émergeant de mon état comateux que je pris conscience de la situation et cela ne fit qu’augmenter mon trouble. Dur et tendu comme on peut l’être au réveil, excité par la présence très proche de corps féminins dénudés, je bandais sans vergogne. Domi, qui me connaissait très bien, pris sur elle de déclencher ce qui allait suivre et qui était très osé pour Patricia et Christelle. Elle effleura ma verge du dos de sa main, ce qui la fit tressaillir. En forme comme je l’étais, l’extrémité de mon sexe atteignait mon nombril et sans être hors-norme mais renforcé par mon absence de pilosité, cela impressionnait mes amies. Sans ouvrir les yeux, ayant de plus mis mon bras gauche devant mon visage pour me protéger du soleil, je finis par poser ma main droite sur ma bite. Puis lentement, j’enserrai mon engin. Je tirai délicatement vers le bas pour décalotter mon gland puis je redressai ma verge vers le ciel, fièrement, comme pour subjuguer mes spectatrices. Le « mmmmm » de Domi et un doux encouragement de mon épouse eurent raison de mes dernières pudeurs ; j’entrepris de me branler lentement, bien à fond, n’omettant pas de temps à autres de caresser mes bourses, de passer ma main entre mes cuisses, d’ouvrir les jambes et de montrer à toutes que mon petit orifice aussi était glabre et aimait être excité.
Je sentais les regards sur mon anatomie. Pussy m’apprit plus tard que Domi et elle s’était aussi caressées en nous regardant, sans que les autres ne s’en aperçoivent car visiblement intéressées par ma masturbation. Au bout de longues minutes, le désir monta en moi. Ma queue commençait à tressaillir de plus en plus et ma main allait et venait de plus en plus rapidement sur ma hampe. Jusqu’à ce que je laisse échapper, dans un « hannnnn » de soulagement, un premier puissant jet de sperme qui se répandit sur ma poitrine, puis second qui aspergea mon flanc droit, une troisième que j’orientais vers le ciel et retomba sur le bras de Domi, assise très près de moi puis un dernier sur ma cuisse. Le silence qui s’ensuivit m’incita à rester « caché » par mon bras. Ma main droite tenait encore ma queue ramollissante mais je continuai des mouvements masturbatoires. Ma semence coulait lentement des endroits où elle était arrivée ; c’est mon épouse qui pris soin de prendre sa serviette pour m’essuyer consciencieusement. Sans craindre les jugements de valeur, Domi lécha le bras que je lui avais aspergé. En ouvrant enfin les yeux et en baissant mon bras, je pris conscience que j’avais fasciné mes spectatrices et c’est sans fausse modestie que je poussais l’avantage en jouant encore avec ma queue demi-molle mais encore motivée, et en doigtant peu profondément mon orifice anal devant les yeux ébahis mais devenus complices de Christelle et Patricia.
La journée se continua sans Gigi enfin hélas partie peu après mais avec une Patricia et une Christelle décidées à se rincer l’œil le plus possible. Je restai nu toute la journée devant elles et le soir venu, alors que nous avions décidé de regarder je ne sais quel film à la télé, je me retrouvai entre mon épouse et Domi, rhabillées, sur le canapé, alors que Patricia et Christelle étaient dans chacune dans l’un des fauteuils placés perpendiculairement respectivement à notre droite et à notre gauche. La simple présence de ces femmes, leurs regards gourmands, les caresses ponctuelles de mes deux voisines de canapé finirent par provoquer une nouvelle et spectaculaire érection. Domi se leva et monta dans notre chambre, situe juste au-dessus du salon. Elle m’appela et après avoir demandé à Pussy si cela la dérangeait, je montai la rejoindre. Elle m’attendait nue sur le lit, prête à être pénétrée sans préliminaires. Nous fîmes l’amour sans discrétion et nous avions conscience que nos ébats s’entendaient d’en bas. Quand nous eûmes terminé, je laissai Domi s’endormir repue et descendis rejoindre ma compagne, toujours sagement en train de regarder le film avec nos invitées. Luisant de la cyprine de mon amie, mon sexe encore un peu gonflé reteint une fois de plus l’attention de Patricia et Christelle. Pussy s’en amusa et m’attrapant par la verge, elle m’attira près d’elle. Elle passa sa langue de féline sur ma queue puis la goba entière. Aussi près du regard de nos amies, stimulé par les caresses de ma femme sur mes bourses et le doigt qu’elle introduisait délicatement dans mon anus, je me laissai à nouveau exciter jusqu’à la jouissance. J’explosai dans la bouche de ma compagne sous les regards fascinés de nos deux mateuses. Après avoir avalé la semence que j’avais réussi à éjaculer dans sa bouche, Pussy conclut la soirée par un prometteur « pour ce soir ce sera difficile mais on dirait que monsieur Aymeric est disposé à bander et à jouir pour qui voudra, en ce moment ! » Et nous allâmes tous dormir sagement.
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