Les désirs de mon ex femme - histoire érotique

Un truc incroyable !!! Inimaginable au vu de la situation...
Je situe: Je suis séparé de mon ex-femme depuis bientôt 6 ans et nous entretenons une relation extrêmement difficile à coups d'avocats dans un divorce long et irritant qui n'est toujours pas prononcé.
Mon ex, toujours en colère, agressive et vénale me mène une véritable guerre alors nous nous évitons, tout simplement depuis notre séparation.
Nous vivons chacun notre vie de notre côté avec comme seul lien, notre rôle de parents.
Un jour, je vais chercher mes enfants chez elle, je sonne, personne ne vient... J'attends et je sonne à nouveau... Quelques longues minutes passent et la porte s'ouvre mais ce ne sont pas mes enfants mais mon ex qui se présente sur le pas de porte.
Moi: Les enfants ne sont pas prêts ?
Elle: Hein ? Eh bien non, ils ne sont pas là, ils sont chez les grands-parents pour le souper et la nuit, ils reviennent demain !
Moi (irrité): Ah... Ce serait cool de me prévenir, je suis venu pour rien alors !!!
Elle: Je te l'avais dit mais tu n'écoutes jamais rien !
Moi: Oui, bien sûr!!! Bref, j'ai ma soirée pour moi du coup, faut voir le bon côté des choses...
Elle: Au fait, puisque tu as un moment, je peux te demander un service? J'ai un mini souci avec le modem et la TV, ça ne sera pas long...
Moi: Je peux pas dire non, je n'ai rien de prévu de toute façon.

Je monte à l'étage et arrive au salon. Je me penche sur le problème technique et le résout relativement simplement.

Elle: Merci ! Tu veux une bière pour la peine ?
Moi: Alors si tu pousses la gentillesse jusque-là, je ne peux pas refuser... Oui, volontiers si tu fais santé avec moi:Elle: OK !

Elle me tend ma bière et s'en ouvre une...

Moi: Tu bois de la bière ?
Elle: Oui, ça m'arrive...
Moi: Me voilà étonné, tu n'aimais pas tant ça à l'époque où nous étions ensemble.
Elle: Beaucoup de choses ont changé depuis que tu es parti, tu sais...

Nous nous asseyons sur le canapé et je réalise à cet instant seulement que mon ex n'est habillée que d'une nuisette satinée verte et noire avec une fine dentelle le long des bretelles et sur la bordure inférieure... Sans soutien-gorge !
Je lui fais remarquer sa tenue par un regard insistant sans mot dire... Puis je me lance: Tu attendais quelqu'un ?
Elle: Euh, non, je m'habille décemment quand j'attends du monde, je pensais passer une soirée en mode relax, canapé et TV justement!
Moi (en riant légèrement): Ah, excuse-moi, je ne vais pas faire long alors, je ne veux pas te déranger dans tes grands projets !
Elle: Hahaha, tu es très drôle... Mais tu peux au moins finir ta bière tranquillement, pas de souci.
Moi: Merci !

Je la dévisage à nouveau... Pour situer son physique, elle est brune, quelques rondeurs, un large fessier et une paire de seins qui m'a toujours fait perdre tous mes moyens. Je crois que c'est du 105D, avec de larges aréoles sombres et des tétons épais et très sensibles. Je me souviens parfaitement voir ses aréoles se lpisser et ses tétons pointer et durcir lorsque je les titillais!
Elle m'arrache soudainement à mes pensées: Tu veux une photo pendant que tu y es ?
Moi: Non, désolé ! J'avais des souvenirs qui me revenaient, pardon !
Elle: Des souvenirs ? C'est exact, c'est un lointain passé, n'y songe même pas!!!
Moi: Je pensais bien oui, vu la vie que tu me mène...
Elle: Tu n'avais qu'à pas partir, tu ne peux t'en prendre qu'à toi!
Moi: Oui, je sais.

Le silence s'installe d'un coup et mon regard ne peut se détacher de cette nuisette au-travers de laquelle je devine ses tétons. Je me laisse aller à nouveau dans mes songes et me demande si elle porte une culotte ?

Elle: Allo!!! Tu me fais quoi là ?
Moi: Rien, pourquoi ?
Elle: Tu me mates oui!
Moi: Euh... Oui, peut-être un peu, tu as raison. C'est à ce point étonnant ?
Elle: Tu as refait ta vie je te signale et moi aussi d'ailleurs.
Moi: Oui, je sais bien et alors? Le plaisir des yeux n'est pas non plus un péché mortel qui mérite la peine de mort, non ?
Elle: Non, mais...
A court de réponses, elle se tait un instant puis change de ton: Bref, tu me désoles, j'ai tellement souffert de ton départ et tu me fais les yeux doux après six ans de séparation, t'es un peu con ou tu es très con ?
Moi: Très con à ce que je vois !
Elle: Oui, mais tu peux arrêter maintenant. Ton regard insistant me met mal à l'aise...
Moi: Mal à l'aise ? On a vécu et tout partagé pendant plus de vingt ans je te rappelle! On est séparés mais je n'ai pas perdu la mémoire non plus !
Elle: Tu aurais peut-être dû!
Moi: Non, j'aime me rappeler nos échanges, nos longs préliminaires et nos...
Elle me coupe: Stop ! C'est bon, pas besoin d'en dire davantage.
Moi: Pourquoi? Tu ne vas pas me dire que ça te gêne quand même ?
Elle: Si, enfin, non, mais si j'y repense ça me fait encore souffrir!
Moi: Souffrir ? Mon dieu, moi ça me fait tout l'inverse...
Elle: Eh bien tu en as de la chance... Pervers !
Moi: Tu aimais bien que je le sois pourtant.
Elle: Quoi?
Moi: Pervers!
Elle: Oui, tu étais un amant extra, en effet, mais c'est passé désormais.
Moi: Oui, c'est vrai, mais le souvenir est toujours aussi sensuel et doux pour moi.
Elle (le visage un peu empourpré): Arrête voyons!
Moi: Quoi, ça te fait tout d'un coup rougir ?
Elle: Non, mais tu devrais partir, ce n'est pas sympa de me faire souffrir encore.
Moi: Je bois juste une bière, pas de quoi en faire une affaire d'état.
Elle: Non, tu me mates !
Moi: Oui, tu as raison... Et c'est plutôt joli à voir.
Elle: Joli? Tu n'es plus drôle du tout là!
Moi: Rien de drôle, c'est juste la réalité, ton corps est toujours aussi beau et suscite le désir. Tu devrais le savoir lorsque les regards se posent ainsi sur toi, non?
Elle: Non, je me trouve vraiment pas belle et... Rooo... Arrête s'il te plaît!
Moi: Bon, ok. J'arrête si je peux te poser une seule question.
Elle: Bon, vas-y...
Moi: Tu ne portes pas de culotte n'est-ce pas ?
Elle: Ah, tu en es là alors ? Quel nul... Je ne te répondrai pas de toute façon! Ce n'est plus tes affaires.
Moi: Alors je prends ça pour un oui et dans ma tête tu m'as accueilli en nuisette, sans soutif ni culotte... Je devrais réagir comment? Je ne suis pas un glaçon non plus!
Elle: Je te signale que tu n'était pas sensé venir. Et oui, j'ai mis une culotte! Tu es content ?
Moi: Non, je ne te crois pas une seconde...
Elle: Je te vois venir... Tu peux oublier, tu n'en auras pas la preuve!
Moi: Je l'ai déjà! Tu n'as pas de culotte, j'en suis sûr !

Pris d'un élan un peu taquin, je feins de remonter sa nuisette déjà courte sur le haut de sa cuisse.
Elle: Tu délires ou quoi! Tu arrêtes ça !
Moi: Oh si on ne peut même pas rire un peu...
Elle: Il n'y a rien de drôle mon cher !
Moi: Cher ! Cool ! Je suis touché!
Moi: Bon, j'ai fini ma bière, je vais te laisser...
Elle: Oui, ce serait bien!
Je me lève, prend la bouteille vide et vais la poser à la cuisine... Elle me suit et fait pareil en finissant la dernière goutte de sa bouteille en chemin vers la cuisine. Elle bascule la tête en arrière pour terminer sa bière et j'en profite pour me baisser et regarder sous sa nuisette...
Elle ne m'a pas vu mais je souris en ayant vu ses grandes lèvres toutes lisses, sans un poil... J'avais raison !

Elle: Pourquoi tu souris comme un idiot ?
Moi: Parce que tu m'as menti!
Elle: Quoi?
Moi: J'avais raison, tu ne portes rien là-dessous !
Elle: Tu vas arrêter oui ? Je te dis que j'ai mis une culotte!
Moi: Et c'est pour ça qu'en me baissant j'ai pu voir ton minou tout lisse sans un poil ?
Elle: Tu es vraiment con... Je te dis...
Je la stoppe dans son élan et m'approche d'elle. Je passe ma main entre ses cuisses et remonte jusqu'à son sexe libre de tout habit. Je passe mon majeur sur ses grandes lèvres tout en lui mettant ma main sur sa bouche pour lui faire comprendre qu'il ne sert à rien de répondre à cela.
Elle recule et me lance: T'es fou ou quoi?
Moi: Non, je te prouve juste que j'ai raison! Et je vois que notre discussion ne t'a pas laissé de marbre en plus!
Elle: N'importe quoi!
Moi (en portant mon majeur sur mes lèvres): Ah, non, je ne crois pas !
Elle: Mais arrête voyons!
Moi: Je suis sûr que la situation t'excite tout autant que moi, sois franche?
Elle: Non!
Moi: Alors pourquoi tes tétons pointent et pourquoi ton minou est humide ?
Elle: Tu phantasmes, c'est n'importe quoi!
Moi: Rregarde-toi... Dis-je en effleurant son sein gauche au téton bien visible au travers du fin tissu satiné.

Elle baisse alors la tête pour regarder sa poitrine et réaliser qu'effectivement ses seins sont dressés. Elle relève alors les bras pour les cacher de ses mains et relève la tête, les joues rougies par la situation.
Moi (d'un ton amusé): Allez, je vais te laisser regarder un film X et te caresser...
Elle: Tu crois ça ?
Moi: Oui, j'en suis sûr ! Et moi je vais aller chez moi et me caresser en pensant à ce que tu vas faire. Et je ferai revenir plein d'images de notre passé...
Elle: Goujat !
Moi: Non, juste émoustillé parce que tu m'as accueilli en nuisette sans rien dessous.
Elle: Allez, file...
Moi: Merci pour la bière ! Bonne soirée!
Elle: Bye...

Je passe la porte et rentre chez moi, chauffé à blanc par cette situation, les images de ses seins dressés au travers de cette superbe nuisette et son sexe au bout de mon doigt...

Arrivé chez moi, je ne peux m'empêcher de lui envoyer un messagee: "alors, on se fait du bien toute seule?"Elle: T'es vraiment incroyable: Non, rien du tout, allez, bonne nuit.
Moi: Ah non, je ne suis pas prêt de dormir avec ce que j'ai vu et touché!
Elle: Mais sérieusement, ça rime à quoi ton cinéma ?
Moi: Rien, juste du désir pour celle avec qui j'ai fait l'amour pendant plus de 20 ans!
Elle: Tu vas sérieusement te caresser en pensant à moi ?
Moi: Oui, bien sûr, comme je le fais souvent. Tu ne l'a jamais fait toi ?
Elle:...
Moi: Réponds!
Elle: Oui c'est arrivé, c'est vrai.
Moi: Alors voilà, tout est dit. Ce n'est pas une honte de se faire du bien en repensant aux bonnes choses du passé.
Elle: Tu as raison mais nos vies se sont éloignées, nous sommes séparés.
Moi: Oui, c'est clair, mais c'est trop bon quand même!
Elle: Tu te souviens de quoi quand tu le fais ?
Moi: Ton minou que je lèche, tes seins magnifiques que je fais dresser du bout de mes doigts et de ma langue, ta bouche dans laquelle je vois mon gland disparaître, tes baisers...
Elle: Ouah ! Tout ça ?!?
Moi: Non, ensuite je vois mon gland glisser entre tes lèvres et se frotter à ton clito avant de disparaître en toi...
Elle: MhmmhhhhMoi: Et toi, tu penses à quoi?
Elle: Tout pareil!
Moi: C'était vraiment bon nous deux, hein ?
Elle: Oui, mais c'est fini !
Moi: Pas forcément!
Elle: Comment ça ?
Moi: On pourrait en faire notre secret et essayer de voir si c'est toujours aussi bien ?
Elle: Tu es fou ?
Moi: Oui!
Elle: Non !
Moi: Mhhh... oui ! Tu te caresses n'est-ce pas ?
Elle: Jocker!
Moi: Hihihi, c'est bon hein ?
Elle: Jocker!
Moi: Mhhh oui c'est vraiment bon, je le sens... Tu dois avoir les seins tout tendus et le minou en feu tout humide... J'adore !
Elle: Tu es sérieux, tu le referais, toi ?
Moi: Seulement si je suis sûr que tu ne l'utiliseras pas contre moi après... Sinon, oui, sans hésiter!
Elle: Comment ça contre toi?
Moi: Oui, me faire chanter parce que nous l'aurions refait.
Elle: Et je ferais ça comment, je l'aurais aussi fait moi, ça ne me donnerait aucun avantage!
Moi: Oui, c'est vrai! Tu es tentée, n'est-ce pas ?
Elle: Je ne sais pas...
Moi: Alors c'est que tu es tentée!
Elle: Tu es fou toi !
Moi: Peut-être, je ne sais pas ? Mais excité ça c'est certain ! Tout comme toi, n'est-ce pas ?
Elle: chuuut !
Moi: Tu as cette envie irrépressible de regoûter à tout ça, tout comme moi, j'en suis persuadé!
Elle: Chuuuut !
Moi: Nos corps brûlants de désir, nos sexes prêts à exploser dans un moment charnel inoubliable resurgissant du passé...
Elle: Chuuuut!
Moi: Ces échanges torrides, plein de douceur, de volupté et ce désir brûlant dans nos entrailles...
Elle: Si tu continues je te prends au mot! Fais gaffe quand même !
Moi: C'est un défi ?
Elle: Chuuut !
Moi: Parce qu'en moins de quelques minutes je peux arriver et placer ma tête entre tes cuisses, glisser ma langue entre tes lèvres déjà humides...
Elle: Fais gaffe je te dis!
Moi: Puis petit à petit avancer plus dans ton intimité, titiller tes petites lèvres... Puis remonter sur ton clito...
Elle: Mhhhh tu es insupportable ! Veux-tu cesser !!!
Elle: Et c'est tout ?
Elle: Je te croyais emprunt d'un désir fou et puis plus rien ?
Elle: Allo ? Tu es encore là ? ça fait au moins dix minutes que tu ne réponds plus ?
Moi: Ding dong !
Elle: ?
Moi: Je suis en bas de chez toi, je sonne ?
Elle: Non, tu es malade ? Non !!!
Moi: Je ne mérite même pas une bière pour ton modem et ta TV ? Pas cool !
Elle: Tu crois que je ne te vois pas venir ?
Je sonne à sa porte...
J'attends...
Je sonne une nouvelle fois...
Elle: Je ne vais pas ouvrir ! Non !
Moi: Alors pourquoi m'as-tu fait revenir ?
Elle: C'est une plaisanterie? Je ne t'ai pas fait revenir, c'est toi qui fabule !
Moi: Dis-moi que ma langue sur ton clito ne te ferait pas envie?
Elle: Chuut!
Je sonne une nouvelle fois... Et la porte s'ouvre lentement... Elle passe la tête dans l'entrebâillement et me fais signe d'entrer.
Elle: Juste une bière alors !
Moi: Oui.
Je m'installe à nouveau sur le canapé, nous trinquons en silence. Un silence pesant appuyé par la vision de ce corps nu juste enveloppé de ce fin tissus qui défie mon regard. Je vois cette fois ses tétons plus proéminents, dressés...
Mon sexe est serré dans mon pantalon, je respire avec peine et lorsque le silence est trop lourd, je m'évade le temps de reprendre une gorgée.
Je décide alors de briser le silence: Alors, tu as remis une culotte pour me prouver que j'avais tort ?
Elle: Pourquoi tu veux vérifier de nouveau ?
Moi: C'est un défi?
Elle: Je sais pas ? Tu crois que c'en est un ?
Mon sang ne fait qu'un tour, je pose ma main sur son genou, je remonte le long de sa cuisse qui s'entrouvre à chaque centimètre de son avancée. Jusqu'au moment du contact de mes doigts avec la peau lisse et douce de son pubis... Mon majeur se fraye un passage entre ses lèvres et s'insinue dans son intimité devenue plus q'humide. Je me penche vers elle et nos bouches se rejoignent... nos langues se cherchent timidement avant de se mêler dans un fougueux baiser remplis de désir. Nos souffles se font rauques et ma main s'active entre ses cuisses alors que l'autre main est venue caresser ce téton qui a provoqué mon premier désir. Je le roule entre mes doigts, dressé, tendu...
Je la bascule sur le dos et libère sa poitrine de ce tissu soyeux. Ses tétons semblent me supplier alors je ne me fait pas prier et les prends un à un dans ma bouche pour les sucer et les lécher.
Ma bouche descend sur son corps qui se détend et s'ouvre à moi... Ma langue s'insinue entre ses lèvres et entame un long et méticuleux cunni. Elle se trémousse, elle gémit, elle feule de plaisir alors que sa fente devient une rivière de plaisir... Elle tremble puis jouit en laissant sonner de forts gémissements...
Je bande comme un ane, je me redresse et me déshabille complètement en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.
Elle me regarde, prend ma queue dans sa main, l'astique en douceur avant de se pencher sur elle... Elle donne ces tellement délicieux petits coups de langue rapides sur mon gland dont elle avait le secret... Une sensation divine retouvée, un vrai bonheur!!!
Elle me suce quelques instants avant de m'enjamber et présenter sa fente détrempée à mon sexe dur et gonflé de désir. Elle descend lentement et s'empale millimètre par millimètre sur moi

Elle me regarde intensément etbascule en avant, écrasant sa poitrine contre mon torse et en relevant légèrement son bassin pour que je puisse donner la cadence plus rapide qu'elle aimait autrefois...
Je la pilonne, elle gémit au point de presque crier, puis elle jouit une fois encore en libérant une vague de mouille qui s'écoule sur mon ventre et mes couilles...
Je le retourne sur le dos pour la lécher encore, j'adore trop quand la fente est ouverte et détrempée... Je la lape, la lèche, la titille, la boit....
Puis je me place entre ses cuisses et la prend en missionnaire, sa position préférée... Je ne tiens plus, je lui dis que je vais jouir alors elle me demande de gicler sur son clito... Je me retire alors et me branle en frottant mon gland entre ses lèvres mouillées de plaisir...
Il suffit de quelques secondes pour que de puissants jets éclaboussent son clito, son ventre et ses seins...

Je m'allonge sur elle, épuisé et la pénètre une dernière fois, enfonçant mon membre encore parcouru de soubresauts dans sa fente maculée de cyprine et de sperme.