Les Dessous de ma Biche 2
Récit érotique écrit par Polarix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les Dessous de ma Biche 2
Nous sommes en automne et avons décidé de passer ce samedi en Champagne. Il est très tôt dans la matinée, Marie-Paule et moi nous nous préparons chiquement pour cette journée.
Nous préférons plutôt une tenue citadine mais toujours sexy pour ma femme avec des dessous très séduisants, un ensemble soutient-gorge, string et porte-jarretelles couleur champagne qui retient ses bas noirs et avec par dessus une petite combinaison noisette en lycra très courte, épousant parfaitement sa silhouette, faisant ainsi ressortir son sublime cul. Un chemisier largement ouvert et une jupe marron au dessus du genou, fendue à l’arrière finissent son habillement. Nous choisirons des chaussures à haut talons en daim marron et noir pour parfaire le tout. Je dis nous car elle me demande toujours mon avis, et je lui en remercie. Le maquillage toujours assortis au goût du jour et des saisons termine la touche finale. Nous voici donc installé dans la voiture, moi au volant, ma femme à mes côtés prêts à prendre le départ pour environ trois heures de route.
Les kilomètres défilent m’offrants une vue imprenable sur les cuisses de mon épouse agrémentées des agrafes de son porte-jarretelle où sont accrochés ses bas. Je ne suis pas toujours le seul à en profiter car ce panorama fait aussi le bonheur de ces routiers qui perchés au volant de leur camion et arrêtés au feu rouge admirent la beauté du paysage. Parfois pour exciter ces messieurs et en complicité avec ma partenaire je lui passe la main entre les cuisses. Aux portes de la Champagne, l’ayant bien échauffée avec mes caresses, nous décidons de faire une pause un instant dans les vignes, nous permettant ainsi de patienter avant l’ouverture des caveaux que nous aimerions visiter et même déguster quelques crus de la région. Il est évident que l’un comme l’autre pensons la même chose, faire quelques galipettes sur les sièges de la voiture, vu la médiocrité du temps à l’extérieur. Dans une voiture, ce n’est pas toujours facile, mais bougrement excitant, à chaque instant, nous pouvons être surpris en pleine action, ce dont je l’avoue n’est pas pour nous déplaire. Je commence donc à basculer son siège, avec ma main gauche, je lui prends sa cheville droite et lui remonte la jambe pour la poser sur le tableau de bord, me donnant ainsi un peu d’espace afin de pouvoir écarter sa cuisse gauche, pour me positionner face à son sexe, où les lèvres de son clitoris débordent de son string. Je commence à lui bouffer la moule dénuder de tout poils, tout en lui remontant ses cuisses, je lui dégage une jambe de son slip. Ma femme miaule telle une chatte en chaleur, masquant le bruit de la pluie qui tombe. J’assure l’écartement de ses cuisses avec mes mains qui lui maintiennent fermement ses chevilles en hauteur et empêche son string de redescendre le long de son bas. Cette position m’offre son vagin grand ouvert pour une bonne et profonde pénétration qu’elle me demande sans me prier. Par des soucis de ne pas tout tacher, j’enfile un préservatif qu’elle a soigneusement préparée et sans trop de préliminaires lui enfourne ma verge. Je la bourre profondément et bestialement, m’excite telle une salope en manque avec des : « Vas y encore, bourre moi plus fort, défonce moi! » J’exécute ses ordres sans rechigner, en mettant encore plus d’ardeur qu’elle ne peut espérer. Nous jouissons tout les deux. L’intensité de cette partie de jambes en l’air a fait une victime, un bas qui n’a pas résister à la violence de nos ébats. La pluie ayant cessée momentanément de tomber, nous sortons de la voiture pour se relooker. Contrarier par son bas filé, Marie-Paule négligeant pas son aspect BCBG, décide de partir à Epernay en acheter une paire. Il est onze trente du matin, nous entrons dans un centre commercial et nous nous dirigeons vers le rayon lingerie, où ma femme trouve son bonheur. Je lui conseille dans prendre deux paires, car la journée n’étant pas terminer, nous pouvons certainement avoir l’opportunité de recommencer. Etant tout fait d’accord avec mes propos, nous achetons les deux paires de bas, des « Dior » SVP, et profitons de jeter un coup d’œil au rayon. Nous repartons, trouvons un restaurant pour déjeuner, et des toilettes, ou ma femme peut remplacer ses bas. Le menu entre les mains, j’imagine la scène, mon épouse entrain de raccrocher ses Dior au porte-jarretelles. Un instant que j’aimerai partager mais qui retarderai certainement le service. Je m’imagine, la prendre sur le plan de toilette avec l’angoisse qu’une personne qui rentre. La démarche toujours aussi bandante, Marie-Paule regagne la table, et passons commande. A l’aise, les jambes croisés, ma partenaire très aguichante, fait admirer aux autres couples présents, les fines dentelles en haut de ses bas et parfois même le teint encore hâlé de ses cuisses. Très sensuellement, elle déchausse une chaussure, et vient avec son pied sous la table me caresser au niveau de la braguette. Le bruit et le va et vient de son bas sur le pantalon m’excite. Elle peut sentir ma bite qui raidit sous l’effet de sa persévérance. Après m’avoir fait bien bander, elle se retire avec un sourire et une langue humidifiant ses lèvres en signe d’intime complicité. Ravie de son acte, elle poursuit le repas et j’en fait de même. Cette collation terminée, nous quittons la table et partons déguster quelques cru de cette région. A Maiilly-Champagne, nous faisons un arrêt dans une cave que je connais pour m’être arrêté seul il y a quelques années, la maîtresse des lieux très sympathique nous accueil au caveau et nous propose de déguster quelques champagnes, ce que nous faisons volontiers. Mon épouse et moi, nous nous asseyons et tenons une conversation intéressante sur les vendanges actuelles. Maintes fois, je surprends les yeux de la propriétaire fixant les cuisses de ma compagne, qui comme à l’habitude croise ses jambes, se qui laisse entrevoir qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelle.. J’ose imaginer dont peut penser cette personne d’apparence très chaste et réservée de participer à un tel spectacle. N’étant absolument pas gêné par le petit jeu de ma femme, je demande à cette brave dame encore troublée et s’interrogeant sur sa vue, si l’on peut visiter la cave. Ce qu’elle nous accorde et appelle son mari. Nous pénétrons, le vigneron en tête suivi de mon épouse et moi. Dans les grands couloirs voûtés où les bouteilles sont entreposées, la faible lumière dégagée par les ampoules illuminent mon imagination sexuelle. Le propriétaire nous devançant de quatre à cinq mètres et se doutant de rien , nous donne quelques détails sur la manipulation de son délicieux breuvage, c’est là que je choisi de stopper Marie-Paule, me positionne derrière elle et lui fait sentir mon sexe bien raide sur son cul à travers sa jupe. Très vite elle comprend et comme moi, aimerai que je la baise dans cette cave, en lui mouillant la chatte au champagne, un cérémonial que tous les deux avons déjà pratiqué. Le champagne se sert avec tout. Nous sortons, retournons au caveau où nous achetons quelques cartons, en souvenir de cette journée, surtout des demi bouteilles pour agrémenter nos petites soirées érotiques. Proche des dix-huit heures nous quittons cette région et prenons le chemin du retour.
Histoire de bien terminer le voyage nous faisons halte dans un délicieux restaurant, où nous prenons notre temps. Toujours avec une envie féroce de sexe, nous blaguons sur les personnes qui nous entourent, se taquinant, se posant des questions sur leur vie sexuelle et bien sûr, comment allons nous terminer la soirée? A vingt trois heures nous sortons de l’auberge. Ils nous restent environ cent cinquante kilomètres jusqu’à notre appartement, demain c’est dimanche nous rentrons tranquillement. Après une heure de route et toujours aussi affamés de cul, nous ne pouvons attendre plus longtemps. La maison semble trop loin pour nos désirs. Je me dirige dans un petit chemin, nous conduisant, à la lisière d’un bois, où j’arrête la voiture et éteints les phares. On se mit de suite à l’ouvrage. Marie-Paule m’arrache le pantalon, détourne mon slip et me taille une pipe d’une extrême vigueur. Ma verge est prisonnière de sa bouche, l’ardeur qu’elle met à me sucer le gland est impressionnante, elle agite fermement mon membre dans tous les sens et chaque aller retour dans le creux de sa main, orchestré par la dextérité de son poigné, me donne envie d’éjaculer. Je résiste, m’accroche à sa chevelure, et m’apprête à lui rendre la même. Je lui mets ma main droite au panier, lui écarte les lèvres de sa chatte, me lèche trois ou quatre doigts et les bourrent au fin fond de son vagin. Je les remuent à l’intérieur de son gouffre, telle une pieuvre avec ses tentacules. Elle chancelle de plaisirs, libère malheureusement ma queue baveuse de sa bouche, je reprends le dessus. Les sièges mis en couchette, je la bascule sur la banquette arrière, sort mes doigts humides que je suce un par un, et je lui dévore la moule. Elle jouit, me retient la tête contre son sexe qui dégage une agréable odeur de cul. Je lui enfile profondément mon pouce dans l’anus, elle crie telle une vielle pute en manque, je la désire. Prêts pour la prendre en levrette, son pétard bien tendu, me prenant la bite, c’est dans son gros cul qu’elle me dirige. Le gland bien enflé, je crache dans sa fente que j’écarte largement. Bien ouvert, je la pénètre sentant son anus se refermant sur mon membre. Je la pilonne, les coups de butoir que je lui inflige claquent sur ses fesses. La respiration haletante, accompagnée de gémissements, elle prononce quelques mots :
-Va s’y yyyy ! bourre moi encore ! Défonce moi ! Oh ouiiii ! Quelle est bonne ta queue !
Après avoir bien limé son cul et toujours pas rassasiée, elle se retourne et prends la position du missionnaire. Les cuisses très ouvertes m’offrent les lèvres béantes de son clitoris. Je saisis ses chevilles et les maintiens fermement pour garder l’ouverture, là je lui bourre ma bite et me déchaîne. Nous gueulons tous les deux de plaisirs, je m’acharne à la faire jouir intensément, ce dont j’arrive. Je lui lèche les bas le long de ses jambes. La violence de nos actes, décroche les bas de son porte-jarretelles. J’en remonte un à hauteur de sa cheville accompagné de son string, les mets successivement dans la bouche pour m’imprégner de l’odeur dégagée par ma femme durant toute cette journée entre ses cuisses et son sexe. Je me ravigote de ce léger parfum de marée et continue à la défoncer. Je la couvre de mots doux :
- Tiens salope ! Prends ça ! Ca te plait ! T’en redemandes ! Saaaalope va !!!
- Tu aimes que ta femme soit une salope ! Hein ! Gros cochon ! Allez bourre moi encore! Baise moi encore !!! Encore ! Encore ! Enncoore ! Ah ouiii, je jouiiii !!!
- Ah ! Ouii ! Moi aussiii ! Tiens prends sa ma salope !
Et je lui décharge une grande quantité de sperme sur son ventre avec lequel elle frotte sensuellement sa chatte, accompagnant son regard qui en dit long sur notre complicité sexuelle. Avec quelques lingettes nous nous essuyons tant bien que mal, Marie-Paule raccroche ses bas à son porte-jarretelles, qui soit dit en passant n’ont aucun mal, à part quelques décorations de mon sperme en souvenir de cette magnifique journée. Cette fois nous rentrons chez nous et demain nous récupérerons et, recommencerons.
Nous préférons plutôt une tenue citadine mais toujours sexy pour ma femme avec des dessous très séduisants, un ensemble soutient-gorge, string et porte-jarretelles couleur champagne qui retient ses bas noirs et avec par dessus une petite combinaison noisette en lycra très courte, épousant parfaitement sa silhouette, faisant ainsi ressortir son sublime cul. Un chemisier largement ouvert et une jupe marron au dessus du genou, fendue à l’arrière finissent son habillement. Nous choisirons des chaussures à haut talons en daim marron et noir pour parfaire le tout. Je dis nous car elle me demande toujours mon avis, et je lui en remercie. Le maquillage toujours assortis au goût du jour et des saisons termine la touche finale. Nous voici donc installé dans la voiture, moi au volant, ma femme à mes côtés prêts à prendre le départ pour environ trois heures de route.
Les kilomètres défilent m’offrants une vue imprenable sur les cuisses de mon épouse agrémentées des agrafes de son porte-jarretelle où sont accrochés ses bas. Je ne suis pas toujours le seul à en profiter car ce panorama fait aussi le bonheur de ces routiers qui perchés au volant de leur camion et arrêtés au feu rouge admirent la beauté du paysage. Parfois pour exciter ces messieurs et en complicité avec ma partenaire je lui passe la main entre les cuisses. Aux portes de la Champagne, l’ayant bien échauffée avec mes caresses, nous décidons de faire une pause un instant dans les vignes, nous permettant ainsi de patienter avant l’ouverture des caveaux que nous aimerions visiter et même déguster quelques crus de la région. Il est évident que l’un comme l’autre pensons la même chose, faire quelques galipettes sur les sièges de la voiture, vu la médiocrité du temps à l’extérieur. Dans une voiture, ce n’est pas toujours facile, mais bougrement excitant, à chaque instant, nous pouvons être surpris en pleine action, ce dont je l’avoue n’est pas pour nous déplaire. Je commence donc à basculer son siège, avec ma main gauche, je lui prends sa cheville droite et lui remonte la jambe pour la poser sur le tableau de bord, me donnant ainsi un peu d’espace afin de pouvoir écarter sa cuisse gauche, pour me positionner face à son sexe, où les lèvres de son clitoris débordent de son string. Je commence à lui bouffer la moule dénuder de tout poils, tout en lui remontant ses cuisses, je lui dégage une jambe de son slip. Ma femme miaule telle une chatte en chaleur, masquant le bruit de la pluie qui tombe. J’assure l’écartement de ses cuisses avec mes mains qui lui maintiennent fermement ses chevilles en hauteur et empêche son string de redescendre le long de son bas. Cette position m’offre son vagin grand ouvert pour une bonne et profonde pénétration qu’elle me demande sans me prier. Par des soucis de ne pas tout tacher, j’enfile un préservatif qu’elle a soigneusement préparée et sans trop de préliminaires lui enfourne ma verge. Je la bourre profondément et bestialement, m’excite telle une salope en manque avec des : « Vas y encore, bourre moi plus fort, défonce moi! » J’exécute ses ordres sans rechigner, en mettant encore plus d’ardeur qu’elle ne peut espérer. Nous jouissons tout les deux. L’intensité de cette partie de jambes en l’air a fait une victime, un bas qui n’a pas résister à la violence de nos ébats. La pluie ayant cessée momentanément de tomber, nous sortons de la voiture pour se relooker. Contrarier par son bas filé, Marie-Paule négligeant pas son aspect BCBG, décide de partir à Epernay en acheter une paire. Il est onze trente du matin, nous entrons dans un centre commercial et nous nous dirigeons vers le rayon lingerie, où ma femme trouve son bonheur. Je lui conseille dans prendre deux paires, car la journée n’étant pas terminer, nous pouvons certainement avoir l’opportunité de recommencer. Etant tout fait d’accord avec mes propos, nous achetons les deux paires de bas, des « Dior » SVP, et profitons de jeter un coup d’œil au rayon. Nous repartons, trouvons un restaurant pour déjeuner, et des toilettes, ou ma femme peut remplacer ses bas. Le menu entre les mains, j’imagine la scène, mon épouse entrain de raccrocher ses Dior au porte-jarretelles. Un instant que j’aimerai partager mais qui retarderai certainement le service. Je m’imagine, la prendre sur le plan de toilette avec l’angoisse qu’une personne qui rentre. La démarche toujours aussi bandante, Marie-Paule regagne la table, et passons commande. A l’aise, les jambes croisés, ma partenaire très aguichante, fait admirer aux autres couples présents, les fines dentelles en haut de ses bas et parfois même le teint encore hâlé de ses cuisses. Très sensuellement, elle déchausse une chaussure, et vient avec son pied sous la table me caresser au niveau de la braguette. Le bruit et le va et vient de son bas sur le pantalon m’excite. Elle peut sentir ma bite qui raidit sous l’effet de sa persévérance. Après m’avoir fait bien bander, elle se retire avec un sourire et une langue humidifiant ses lèvres en signe d’intime complicité. Ravie de son acte, elle poursuit le repas et j’en fait de même. Cette collation terminée, nous quittons la table et partons déguster quelques cru de cette région. A Maiilly-Champagne, nous faisons un arrêt dans une cave que je connais pour m’être arrêté seul il y a quelques années, la maîtresse des lieux très sympathique nous accueil au caveau et nous propose de déguster quelques champagnes, ce que nous faisons volontiers. Mon épouse et moi, nous nous asseyons et tenons une conversation intéressante sur les vendanges actuelles. Maintes fois, je surprends les yeux de la propriétaire fixant les cuisses de ma compagne, qui comme à l’habitude croise ses jambes, se qui laisse entrevoir qu’elle porte des bas avec un porte-jarretelle.. J’ose imaginer dont peut penser cette personne d’apparence très chaste et réservée de participer à un tel spectacle. N’étant absolument pas gêné par le petit jeu de ma femme, je demande à cette brave dame encore troublée et s’interrogeant sur sa vue, si l’on peut visiter la cave. Ce qu’elle nous accorde et appelle son mari. Nous pénétrons, le vigneron en tête suivi de mon épouse et moi. Dans les grands couloirs voûtés où les bouteilles sont entreposées, la faible lumière dégagée par les ampoules illuminent mon imagination sexuelle. Le propriétaire nous devançant de quatre à cinq mètres et se doutant de rien , nous donne quelques détails sur la manipulation de son délicieux breuvage, c’est là que je choisi de stopper Marie-Paule, me positionne derrière elle et lui fait sentir mon sexe bien raide sur son cul à travers sa jupe. Très vite elle comprend et comme moi, aimerai que je la baise dans cette cave, en lui mouillant la chatte au champagne, un cérémonial que tous les deux avons déjà pratiqué. Le champagne se sert avec tout. Nous sortons, retournons au caveau où nous achetons quelques cartons, en souvenir de cette journée, surtout des demi bouteilles pour agrémenter nos petites soirées érotiques. Proche des dix-huit heures nous quittons cette région et prenons le chemin du retour.
Histoire de bien terminer le voyage nous faisons halte dans un délicieux restaurant, où nous prenons notre temps. Toujours avec une envie féroce de sexe, nous blaguons sur les personnes qui nous entourent, se taquinant, se posant des questions sur leur vie sexuelle et bien sûr, comment allons nous terminer la soirée? A vingt trois heures nous sortons de l’auberge. Ils nous restent environ cent cinquante kilomètres jusqu’à notre appartement, demain c’est dimanche nous rentrons tranquillement. Après une heure de route et toujours aussi affamés de cul, nous ne pouvons attendre plus longtemps. La maison semble trop loin pour nos désirs. Je me dirige dans un petit chemin, nous conduisant, à la lisière d’un bois, où j’arrête la voiture et éteints les phares. On se mit de suite à l’ouvrage. Marie-Paule m’arrache le pantalon, détourne mon slip et me taille une pipe d’une extrême vigueur. Ma verge est prisonnière de sa bouche, l’ardeur qu’elle met à me sucer le gland est impressionnante, elle agite fermement mon membre dans tous les sens et chaque aller retour dans le creux de sa main, orchestré par la dextérité de son poigné, me donne envie d’éjaculer. Je résiste, m’accroche à sa chevelure, et m’apprête à lui rendre la même. Je lui mets ma main droite au panier, lui écarte les lèvres de sa chatte, me lèche trois ou quatre doigts et les bourrent au fin fond de son vagin. Je les remuent à l’intérieur de son gouffre, telle une pieuvre avec ses tentacules. Elle chancelle de plaisirs, libère malheureusement ma queue baveuse de sa bouche, je reprends le dessus. Les sièges mis en couchette, je la bascule sur la banquette arrière, sort mes doigts humides que je suce un par un, et je lui dévore la moule. Elle jouit, me retient la tête contre son sexe qui dégage une agréable odeur de cul. Je lui enfile profondément mon pouce dans l’anus, elle crie telle une vielle pute en manque, je la désire. Prêts pour la prendre en levrette, son pétard bien tendu, me prenant la bite, c’est dans son gros cul qu’elle me dirige. Le gland bien enflé, je crache dans sa fente que j’écarte largement. Bien ouvert, je la pénètre sentant son anus se refermant sur mon membre. Je la pilonne, les coups de butoir que je lui inflige claquent sur ses fesses. La respiration haletante, accompagnée de gémissements, elle prononce quelques mots :
-Va s’y yyyy ! bourre moi encore ! Défonce moi ! Oh ouiiii ! Quelle est bonne ta queue !
Après avoir bien limé son cul et toujours pas rassasiée, elle se retourne et prends la position du missionnaire. Les cuisses très ouvertes m’offrent les lèvres béantes de son clitoris. Je saisis ses chevilles et les maintiens fermement pour garder l’ouverture, là je lui bourre ma bite et me déchaîne. Nous gueulons tous les deux de plaisirs, je m’acharne à la faire jouir intensément, ce dont j’arrive. Je lui lèche les bas le long de ses jambes. La violence de nos actes, décroche les bas de son porte-jarretelles. J’en remonte un à hauteur de sa cheville accompagné de son string, les mets successivement dans la bouche pour m’imprégner de l’odeur dégagée par ma femme durant toute cette journée entre ses cuisses et son sexe. Je me ravigote de ce léger parfum de marée et continue à la défoncer. Je la couvre de mots doux :
- Tiens salope ! Prends ça ! Ca te plait ! T’en redemandes ! Saaaalope va !!!
- Tu aimes que ta femme soit une salope ! Hein ! Gros cochon ! Allez bourre moi encore! Baise moi encore !!! Encore ! Encore ! Enncoore ! Ah ouiii, je jouiiii !!!
- Ah ! Ouii ! Moi aussiii ! Tiens prends sa ma salope !
Et je lui décharge une grande quantité de sperme sur son ventre avec lequel elle frotte sensuellement sa chatte, accompagnant son regard qui en dit long sur notre complicité sexuelle. Avec quelques lingettes nous nous essuyons tant bien que mal, Marie-Paule raccroche ses bas à son porte-jarretelles, qui soit dit en passant n’ont aucun mal, à part quelques décorations de mon sperme en souvenir de cette magnifique journée. Cette fois nous rentrons chez nous et demain nous récupérerons et, recommencerons.
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