LES EPHEBES D'ATHENES (partie 2) - histoire érotique

Démistos se réveilla en plein milieu de la nuit. Le vent frais de la mer le rafraîchissait en cette chaude nuit d’été. Il regarda son éraste, qui dormait paisiblement. L’éphèbe se remémora la formidable soirée qu’ils avaient passés et le plaisir qu'il avait ressenti. Il n’en revenait pas. Pour le coup, il était réellement devenu un homme: il n’était plus vierge. Il avait hâte de revoir ses amis, Iliosthène et Alcibias, pour tout leur confier.
Lycrate se réveilla à son tour. Il embrassa son jeune protégé longuement et ils se caressèrent le cou, le dos, le torse et les bras.
- Lycrate, je ne tient plus, redonne-moi du plaisir. Je veux en découvrir plus.
- Soit. Je vais t’apprendre à caresser comme un dieu, qu’il s’agisse aussi bien d’une femme que d’un homme.


Et pendant de longues minutes, Lycrate enseigna à Démistos les zones érogènes de la femme et de l’homme, et il mis en pratique son enseignement. Démistos ressentait un intense bien-être. Lycrate s’attarda sur son torse, ses abdominaux, ses mamelons, son cou, son dos, ses bras. Démistos lui redonna la pareille et Lycrate prenait un pied énorme.
- Sache Démistos, que l’endroit le plus sensible et le plus agréable pour l’homme est son sexe et la zone alentour. Je te montre.
Il commença à masturber le jeune homme, qui en lâcha quelques soupirs de plaisir, et de son autre main, il lui caressa les boules puis l’aine et commença à effleurer le périnée de Démistos. Il le fit mettre en chien de fusil et s’attaqua à ses belles petites fesses bronzées, si parfaites avec ce creux. Démistos respira de plus en plus fort. Et lorsque son éraste lui caressé la raie et effleura son anus, il lâcha un « hummmm » de plaisir.
- Tu aimes les caresses à cet endroit Démistos?
- Oui, j’aime beaucoup, je ne savais pas que mon cul était un nid à plaisir…
- Tu sais comment un homme et une femme font l’amour? Demanda Lycrate, tout en continuant la branle et les caresses sur son éphèbe.
- Oui, le sexe de l’homme doit pénétrer celui de la femme, qui est un trou…
- C’est cela en effet. Sait-tu que 2 hommes peuvent faire de même?
Soupirant d’extase, Démistos resta ébahit devant cette révélation.
- Mais comment cela se peut-il? Comment faut-il faire?
- Et bien, l’homme, n’a peut être pas le trou féminin, mais il peut toujours pénétrer, avec son sexe, l’anus d’un homme ou même d’une femme d’ailleurs. C’est la sodomie et c’est très bon, surtout pour l’homme.
- Oh! Vraiment?
- Oui, il existe une zone très sensible à ce plaisir, situé dans le cul de l’homme. Et le pénis l’atteint directement ce qui procure une agréable sensation. Il n’y a juste que les premières fois où cela est douloureux, comme pour les femmes. Mais le plaisir remplace très vite la douleur.

Démistos se surpris alors en train d’imaginer lui et Lycrate pratiquant la sodomie… L’envie soudaine de tester ce nouveau plaisir le pris.
- J’aimerais beaucoup que tu me fasses découvrir…la sodomie Lycrate. J’en ai très envie.
- Moi aussi j’en ai très envie. Mais es-tu sûr que tu le veuilles? Tu ne le regretteras pas?
- Non! Je veux l’essayer!
- Très bien. Si tu as trop mal ou que ça ne te plaît pas, j’arrête, tu n’as qu’à me le dire immédiatement.
L’éphèbe répondit par l’affirmative. Lycrate se leva et ramena une amphore.
- Mais avant, il nous faut nous donner de la vigueur. Caressons-nous.
Les 2 hommes se caressèrent, se branlèrent mutuellement, et se sucèrent à tour de rôle dans de belles fellations. Démistos était plus résistant avec la courte expérience de cette nuit. Lycrate et lui testèrent même le 69: Démistos suçait goulûment son éraste au-dessous de lui, tandis que celui-ci, après une fellation qui fit jouirent Démistos et lui avoir bien avalé tout son sperme, il entreprit de lui lécher l’anus et le périnée. Démistos lâchait des râles bruyants, tant le plaisir l’envahissait.

Lycrate commença par lui mettre un doigt trempé dans l’amphore, qui contenait de l’huile d’olive. Il pénétra sans souci. Démistos lâcha un immense soupir de satisfaction et son anus se contracta fort autour du doigt de son éraste.
- Hum, ton joli cul est bien serré, ça va être délicieux. Tu en as toujours envie?
- Oui.. Hum c’est bon. Viens en moi, prend-moi Lycrate…
Lycrate se releva et fit mettre son éphèbe à quatre pattes sur le lit. Cette position excita fortement Démistos, qui sentait le vent lui caresser son petit trou. Lycrate se huila les doigts et les porta sur l’anus de Démistos, pour le lubrifier. Il prit tout son temps, se permettant de bien caresser cette rondelle vierge. Il mit énormément d’huile sur ce trou, ainsi qu’à l’intérieur et mis jusqu’à 3 doigts dans le cul de son protégé, ce qui a eu pour effet de le faire râler de plaisir, surtout quand Lycrate bougeait ses doigts.
Puis Lycrate lubrifia sa bite de 17cm, bien gonflée et très dure, et s’avança vers Démistos, qui se cambra bien et lui offrait son superbe cul de puceau.
- Ne t’inquiète pas, j’irai très doucement. Au début tu auras mal mais ça passera vite.
- Vas-y Lycrate, prend-moi, baise-moi!

L’éraste approcha son gros gland et le posa contre l’anus de Démistos. Et il commença lentement à le rentrer. Démistos lâcha un cri.
- Tu veux que j’arrête?
- Non continue! Allez, je te veux en moi, toute ta tige!
Lycrate rentra enfin tout son gland et s’arrêta un instant, pour que ce jeune cul vierge s’habitude à la présence de cette pine. Puis il continua à faire avancer sa bite dans ce fourreau de plaisir, Démistos continuant de lâcher quelques râles de douleurs, haletant. Lycrate réussit finalement à tout rentrer et s’arrêta encore pour que Démistos reprenne son souffle et que son anus se dilate. Lycrate sentait un plaisir intense, sa queue bien serrée par le rectum du jeune homme.
- Ça va aller? Tu as mal?
- Oui un peu mais ça passe… c’est bon, je sens ta queue en moi.
- Bien, alors je vais te baiser, tu vas crier de plaisir.
- Oui vas-y Lycrate, défonce-moi!

Son éraste commença de lents va-et-vient dans son cul. Essoufflé, ne pouvant s’empêcher de lâcher des cris, de douleur mais aussi de plaisir, Démistos sentait bien le sexe de Lycrate en lui. Il lui limait le fion en profondeur. Puis il accéléra le rythme, tenant Démistos par les hanche, et entreprit de grands coups de queue.
- Ahhh! Ahhh! Humm! Allez Lycrate, baise-moi!
Son éraste lui défonçait le cul comme une bête. Le rectum de Démistos était en feu mais il ne ressentait plus aucune douleur, le plaisir le submergea. Il se sentait parti vers les cieux. Il fut surpris que sa bite soit en érection. Il ne tenait plus et éjacula sur les draps un long jet de sperme.
Lycrate continua à le ramoner durant encore quelques minutes puis il s’arrêta.
- On va changer de position si tu veux. Tu aimes?
- Oui, c’est très bon, je n’ai plus aucune douleur, tu me donnes beaucoup de plaisir.
- Allonge-toi sur le dos.

Démistos s’exécuta et écarta ses jambes. Lycrate s’avança vers son anus et mis les jambes de son éphèbe par-dessus ses épaules en les maintenant. Démistos leva son fessier et Lycrate le pénétra, guidé par la main du jeune homme. Il continua alors à l’enculer avec ardeur. Démistos était aux anges. Lycrate, qui avait bien dilaté le cul de l’éphèbe, lâchait lui aussi des soupirs et des râles de plaisir. Et dans un cri étouffé, il remplit de foutre le cul de son protégé, qui sentit son éraste se crisper au summum de l'orgasme. Lycrate resta ainsi un bon moment en Démistos puis il se retira. Démistos toucha son trou et constata qu’il était grandement ouvert et que le sperme en coulait, telle une rivière. Il repris son souffle, tandis que Lycrate s’allongea, épuisé, sur le lit. Ils s’étreignirent et s’embrassèrent un moment.
- Lycrate, c’était si bon. Merci, quel plaisir! J’ai adoré. Je t’aime Lycrate.
- Moi aussi je t’aime Démistos. Ton cul est délicieux, tu m’as donné un plaisir immense. J’ai joui comme jamais! Mais reposons-nous, je suis vidé. Plus tard, ce sera à moi de t’offrir mes fesses. Tu en es digne mon amour.
- Oh merci Lycrate. J’ai hâte.


Et ils se rendormirent à nouveau dans cet immense lit.