Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de Baya
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les femmes du hammam Episode 2 : La vengeance de Baya
Baya et moi, nous nous rhabillâmes, après qu’elle eût constaté que près de deux heures s’étaient
écoulées depuis qu’elle était entrée dans la librairie en compagnie de sa belle-sœur Djamila. Par
manque de temps – et non pas parce que j’étais fatigué, lui dis-je, par besoin de m’affirmer comme
un amant extraordinaire - j’avais renvoyé à notre prochaine rencontre, ma décision de l’enculer. Le
cul de Baya était tellement bandant (avec son fessier rond, bombé et haut perché) qu’il me fallait
absolument en prendre possession. Et puis, dans ma naïveté de jeune blanc-bec inexpérimenté, je me
disais que la sodomisation d’une maîtresse était la preuve pour l’homme qui la pratiquait, qu’il
était un as du libertinage. Je n’avais pourtant pas eu le courage de lui en parler. Je remettais
cela à nos prochaines étreintes. Nous nous étions donné rendez-vous pour le samedi suivant.
Nous sortîmes rapidement de la petite chambre pour nous retrouver à l’intérieur de la grande salle.
Nous entendions maintenant très distinctement les cris et gémissements que faisaient Moussa et
Djamila entrain de copuler. Nous nous regardâmes Baya et moi avec des yeux dans lesquels se lisait
la surprise. Nous étions tout étonnés que le couple soit encore entrain de faire l’amour. Ils
avaient pourtant commencé en même temps que nous ! Je lisais dans les yeux de ma compagne comme de
l’admiration et j’en fus un peu jaloux. Je me disais qu’elle faisait la comparaison entre mon frère
et moi et que cette comparaison était très largement en faveur de Moussa.
Nous tombâmes sur un spectacle d’un érotisme plus que torride. Moussa, debout, le cul en l’air, le
pantalon baissé coincé sur ses chevilles, était entrain de sodomiser Djamila, debout elle aussi,
mais penchée sur le comptoir, de manière à mettre ses grosses fesses à la même hauteur que le pubis
et l’immense sexe de l’homme. Tous les deux poussaient des petits cris de plaisir qui se répondaient
les uns aux autres et se mélangeaient à l’intérieur de la librairie.
Djamila était aussi plantureuse qu’elle le laissait transparaître sous son haïk blanc. Elle était
maintenant toute nue et je voyais ses chairs qui tremblaient sous les furieux coups de reins de son
amant. Moussa la tenait fermement par les hanches et la tirait en force, en ahanant comme un
bucheron à chaque poussée et en gémissant à chaque retour. Je voyais les gros seins blancs et nus de
Djamila qui balançaient au rythme des coups de boutoir de son amant. Elle criait elle-aussi à chaque
pénétration brutale de l’immense sexe de mon frère dans son anus. Il lui faisait mal et elle le lui
montrait en criant. Mais elle ne voulait pas qu’il s’arrête de la tirer. A côté de la petite
douleur, elle semblait éprouver beaucoup de plaisir de recevoir l’énorme engin de son amant. Je ne
voyais pas son visage – ni celui de Moussa d’ailleurs – mais au sifflement qu’elle produisait après
chaque cri, je devinais qu’elle salivait beaucoup, signe qui ne trompait jamais, d’une énorme
satisfaction.
Baya et moi nous arrêtâmes à environ deux mètres du couple qui n’avait pas encore remarqué notre
présence. Nous regardions les ébats du couple avec les yeux exorbités. Le spectacle nous avait
émoustillé et avait réveillé en nous le désir de refaire l’amour. Nous nous regardions en nous
interrogeant si l’on n’allait pas reprendre notre séance de copulation de tantôt. Nous n’eûmes pas
le loisir de répondre à cette question muette. Les deux tourtereaux étaient entrain de montrer – par
leurs cris qui s’intensifiaient et par le rythme endiablé que Moussa avait mis dans ses allers-
retours dans le cul de sa belle – qu’ils étaient sur le point de jouir. Ce fut Djamila qui la
première poussa un long cri en hurlant qu’elle jouissait :
- Rani en-ferragh ! Rahi djat ! Djaaaaaaaat ! (Je décharge ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiiiis !)
Moussa lui répondit presqu’immédiatement par un autre râle de mourant et en accélérant encore plus
les va-et-vient de son engin dans le cul de Djamila. Il éjacula plusieurs fois à l’intérieur et en
dehors du rectum de sa maîtresse. Quand il se retira totalement, Moussa avait laissé sur le bas du
dos de Djamila une véritable mare de foutre tout blanc et tout visqueux. Il y avait une autre partie
qui dégoulinait de son anus et coulait le long de ses grandes lèvres, avant de retomber sur le
carrelage. Et je vis – et nous vîmes Moussa et moi - un spectacle vraiment ahurissant : Baya, les
yeux brillant de gourmandise, se précipita sur sa belle sœur pour lécher tout le sperme qu’elle
avait gardé sur le bas du dos. Nous voyions sa langue rose et agile aller à la recherche de la
moindre trace de foutre et l’avaler en accompagnant son geste d’un tout petit gémissement de
satisfaction. Elle alla même lécher le cul de Djamila qui dégoulinait encore du sperme que Moussa
avait éjaculé à l’intérieur. Quand elle eût fini elle s’attaqua aux grandes lèvres entre lesquelles
elle alla chercher ce qui restait de foutre. Pendant ce temps, Djamila se laissa faire, sans donner
aucun signe d’étonnement.
Moussa et moi, nous nous regardions ébahis. Nous ne savions plus quoi penser. Je savais, pour
l’avoir vécu, que Baya adorait le sperme et qu’elle aimait le boire. Elle l’avait fait avec le mien
moins d’une heure plus tôt. Mais de là à se précipiter comme une folle pour avaler celui qui se
trouvait sur le corps de sa belle-sœur, je ne l’aurais jamais imaginé. Nous nous disions, mon frère
et moi, que les deux femmes avaient l’habitude de ce genre de comportement. Qu’elles l’avaient
pratiqué souvent. Et bien nous avions tout faux. Aussi bien pour Baya que pour Djamila, c’était la
première fois. Une vraie découverte !
Baya n’éprouva absolument aucune honte à ce qu’elle venait de faire. Djamila non plus, d’ailleurs.
(En fait Djamila suivait sa belle-sœur, comme un vrai toutou. Tout ce qu’elle lui disait de faire,
elle le faisait. Elle ne la jugeait jamais.)
- En-mout a‘ala ezzel ! A‘acel ! (J’adore le sperme ! C’est comme du miel !) Echhrabt bezzef
mennou ki kount sghira ! M’a‘a çahbi ! Ou ki chouft en-ta‘aek ou en-ta‘a khouk ma en-djemt en-ched
rouhi ! (J’ai bu beaucoup de sperme quand j’étais jeune ! Celui de mon petit ami ! Et quand j’ai vu
le tien et celui de ton frère, je n’ai pas pu résister !)
Djamila, que sa nudité devant deux hommes ne semblait pas gêner, s’était entretemps rhabillée. Elle
le faisait lentement, comme pour nous laisser le temps à Moussa et moi, d’admirer ses formes
plantureuses qu’elle savait bandantes. Puis toutes les deux remirent leurs haïks. Nous nous donnâmes
rendez-vous pour le samedi suivant et elles quittèrent la librairie, en papotant et riant,
visiblement très contentes d’elles et de ce qu’elles venaient de vivre.
…/…
Baya était la plus heureuse ; et elle le montrait sans la moindre honte. Elle était heureuse, non
pas d’avoir joui – et superbement bien joui, m’avait-elle affirmée tantôt – mais d’avoir fait
pousser des cornes sur le front de son mari. Elle avait une vengeance à réaliser et elle venait de
commencer. Elle en avait fait une véritable obsession. Elle voulait lui faire payer – s’il ne le
saura peut-être jamais - toutes les années de frustration qu’elle avait passée à ses côtés, depuis
une dizaine d’années.
Et maintenant elle rêvait de lui faire vivre l’enfer, tout en étant consciente qu’il devait ignorer
ce qu’elle faisait. Elle savait qu’elle paierait très cher si elle se faisait prendre en état
d’adultère. Mourad pourrait se venger sur elle de la pire des manières qui soit : lui enlever ses
enfants et la traîner devant les tribunaux qui la condamneraient à des années de prison. Elle
n’avait ni métier, ni entrées d’argent qui auraient pu la rendre indépendante et l’auraient incité à
demander le divorce. Elle était donc prisonnière du bon vouloir de son mari, son geôlier. Tout ce
qu’elle pouvait faire, c’était de le rendre cocu et de jouir – secrètement – de la chose. Elle
m’avait même avoué qu’elle faisait volontiers l’amour avec lui – chaque fois qu’il le lui demandait
- rien que pour se moquer discrètement de ses pauvres capacités d’amant. Il ne faisait l’amour que
dans le noir et son petit sexe était incapable de la faire jouir ou de lui donner la moindre once de
plaisir. Elle comparait ses tristes ébats avec Mourad avec ceux – flamboyants - qu’elle avait avec
moi, et qui l’emportaient régulièrement vers les plus hautes cimes de la jouissance sexuelle.
Djamila semblait aussi dans les mêmes dispositions d’esprit. Bien que chez elle, ce ne fut que du
suivisme. Elle adorait Baya et lui était toute acquise. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil et
elle y trouvait son compte. Elle aussi avait découvert, avec Moussa, le plaisir charnel, que son
mari ne lui procurait pas. Ils s’étaient mariés, comme la plupart des gens se mariaient à cette
époque là : un mariage arrangé par les parents. Ali était plus beau et plus grand que Mourad. Il
était aussi plus jeune. Mais il était tout aussi traditionnel et machiste que son grand frère. De
plus, il lui était totalement dévoué. Ils géraient ensemble un grand magasin de tissu pour robes de
soirée et tenues de mariage dans la Basse Casbah. Mourad en était en fait le vrai patron. Il lui
obéissait au doigt et à l’œil. Ce que Djamila n’admettait pas ! Mais elle ne se révoltait jamais,
sachant qu’elle n’avait rien à gagner.
Djamila mit un certain temps pour enfanter. Ce qui l’avait fragilisée auprès de sa belle-mère qui la
menaçait souvent de la faire répudier. Elle se tint donc à carreau, grâce aux conseils de sa belle-
sœur, qui elle ne se gênait pas – elle était déjà mère de deux garçons – pour se disputer violemment
avec son mari et même avec sa belle-mère. Et puis la voilà, maintenant, en compagnie de sa belle-
sœur entrain de cocufier son mari et d’y prendre un immense plaisir. Elle avait découvert avec
Moussa les plaisirs de la chair. Et, elle qui n’avait connu que le corps et le sexe de son mari,
venait de découvrir d’autres horizons et d’autres plaisirs que les pauvres allers-retours dans son
intimité du petit zob de son mari, la nuit dans le noir, qui la laissaient complètement inassouvie.
Elle raconta même à Baya, qu’elle devait se caresser souvent après que son mari eût « fait son
affaire » pour prendre, elle aussi, un peu de plaisir.
Les deux femmes s’épanouissaient dans l’adultère. Et aucune des deux n’y voyaient du mal et surtout
de faute morale. Elles savaient bien que l’adultère était condamné par la société et même par la
Loi. Mais elles s’en accommodaient très bien tant que la chose restait secrète. Et tant qu’elles en
éprouvaient du plaisir et tant qu’elles – Baya, surtout – ressentaient les bienfaits psychiques
de la vengeance envers leurs maris, elles étaient heureuses. Baya voulait même aller plus loin dans
sa vengeance. Elle attendait avec impatience, le moment où sa belle-mère allait s’absenter un temps
de la maison et qu’elles allaient rester seules –Djamila et elle – pour nous inviter à les rejoindre
dans leurs chambres respectives, sur leur lit conjugal.
Pour Baya, ce serait le sommet de sa vengeance : baiser avec un autre homme dans la chambre
conjugale et sur le lit où elle dormait toutes les nuits avec son mari et garder ainsi
éternellement, le souvenir de sa victoire sur le sort qui avait rempli sa vie de frustrations et
avait fait d’elle la prisonnière de son mari. Je bandais très fort à cette idée de batifoler avec
Baya dans la chambre où elle dormait – et faisait l’amour – avec son mari. Moussa était plus
dubitatif, parce qu’il avait peur cela ne tourne très mal et finisse en scandale et en drame.
Djamila, quant à elle, même si elle appréhendait la chose, suivait comme d’habitude les décisions de
sa belle-sœur. Elle était prête à tenter l’expérience : elle riait même très fort à l’idée des draps
salis du foutre de Moussa, dans lequel son mari Ali dormirait.
Avant que l’occasion ne se présentât de nous retrouver tous les quatre entrain de batifoler dans les
chambres et sur les lits conjugaux de deux couples, nous continuâmes, une fois par semaine, à nous
retrouver dans la librairie. Nous avions tout fait, d’abord séparément (chaque couple de son côté)
puis en groupe, au moment où Baya avait pris la décision de se faire tirer par Moussa. Elle avait
flashé sur le bel engin de mon frère – pas beaucoup plus grand que le mien, mais certainement plus
beau. Il l’entretenait avec soin, ne laissant jamais aucune trace de poils dessus. Et puis, il avait
un engin plus lisse et bien plus clair que le mien qui portait des gros vaisseaux sanguins très
apparents et qui tendait vers la couleur noire.
Baya, qui avait peur que je ne m’offusque à l’idée même de la partager avec mon frère, mit
longtemps avant de m’en parler. Et puis un jour où nous étions tous les trois à attendre Moussa -
qui était très en retard, parce qu’occupé à résoudre un problème d’approvisionnements de la
librairie - la discussion dériva sur mon envie évidente de tirer Djamila, que Baya lisait sur mon
visage comme dans un livre ouvert. Elle avait en effet remarqué que je ne quittais pratiquement pas
des yeux sa belle-sœur qui avait enlevé son haïk, sa voilette et était restée en robe, de deux
tailles trop petite, qui mettaient en valeur ses formes généreuses. Elle avait peut-être même
remarqué la bosse impudique sur le devant de mon pantalon.
- A‘adjbatek! Wougaft a‘ali‘ha ! Bghit ett-nik‘ha! Wach testenna ? (Elle te plait! Tu bandes
pour elle! Tu veux la tirer ! Qu’est-ce que tu attends ?) Netbadlou ? Ett-nik Djamila ou Moussa i
nik-ni ! (On s’achange ? Toi tu baises Djamila et Moussa me baisera moi !) Wach et-khamem ? (Qu’en
penses-tu ?)
Je ne m’attendais pas à une telle sortie. Mais en y réfléchissant, elle ne me scandalisait pas. Au
contraire, j’avais vraiment envie de tirer Djamila qui avait tout ce qu’il fallait pour me donner du
plaisir. Et puis je savais qu’elle était ouverte à tout. Le problème était Moussa. Allait-il
comprendre et accepter. Je n’en étais pas très sûr, bien que nous avions toujours été très proches,
y compris dans notre philosophie de la vie : lui et moi étions de épicuriens. Nous aimions tous le
plaisirs que la vie nous offrait et nous étions prêts à toutes les expériences. Nous chargeâmes
Djamila d’annoncer la nouvelle à Moussa. Nous pensions que c’était elle la plus indiquée pour faire
la démarche et annoncer à mon frère, avec ses mots à elle, ce que nous souhaitions faire. Elle
devait lui dire qu’elle avait flashé sur moi et qu’elle voudrait bien que je la tire. Et qu’elle
voulait qu’il s’occupe de Baya.
Et les choses se passèrent exactement comme cela. Djamila fit la proposition ; Moussa me regarda un
petit moment en silence, puis me posa la question.
- Qu’en penses-tu ? Tu la trouves bandantes ? Tu la veux pour cette après-midi ?
- Oui !
J’emmenais Djamila dans la petite chambre du fond et nous fîmes l’amour plusieurs fois et dans
toutes les positions. Djamila était vraiment un superbe coup ! Elle ne discutait jamais une
proposition. Elle était partante pour tout. Elle me proposa même de me faire jouir avec ses seins.
Je n’avais encore jamais fait cela. J’avais bien éjaculé entre les seins de Baya ; mais c’était en
fin de parcours, après l’avoir enculée et que je voulais éjaculer sur sa poitrine pour qu’elle
puisse avaler mon sperme. J’avais éjaculé sur elle en me masturbant. Mais Djamila me proposait toute
autre chose : elle allait me masturber avec ses immenses seins. La branlette espagnole ! Rien qu’à
l’idée, j’en étais tout émoustillé.
Elle vint se mettre à genoux devant moi, qui étais debout et prit dans sa main mon engin en érection
maximale, qui frétillait d’impatience. Elle avait auparavant rempli ses doigts de mouille qu’elle
avait ramassé à l’intérieur de sa chatte que je venais d’honorer quelque minutes auparavant, et se
mit à l’étaler sur mon sexe pour le lubrifier. Elle refit l’opération plusieurs fois avant d’être
satisfaite du résultat. Elle en étala encore un peut à l’intérieur de ses seins puis tira sur le
membre pour l’installer entre ses immenses mamelles qu’elle pressa avec ses deux mains pour
l’enserrer.
- Nik-ni dhork ! Nik zouaïzi ! (Nique-moi maintenant ! Nique mes seins !)
Je fis aller et venir mon engin, de bas en haut, entre ses seins qu’elle continuait de presser pour
bien l’enfermer et lui donner l’impression d’une chatte ou de fesses bien serrées. Le sexe bien
lubrifié glissait facilement entre ses seins et créait en moi une merveilleuse sensation de
pénétration. C’était comme quand je faisais pénétrer mon membre entre les fesses d’une belle femme,
et qu’elle les serrait l’une contre l’autre. Et puis, je voyais le gland sortir du dessus des seins
et se rapprocher de la bouche de Djamila. Et quand sa bouche se mit de la partie pour lécher, puis
sucer le gland qui sortait de dessous les seins, j’étais aux anges. Je sentais que j’allais avoir un
bel orgasme et que j’allais éjaculer ce qui me restait de foutre dans la bouche de ma maîtresse du
moment. Et cela se passa exactement comme cela. Elle s’y prit tellement bien avec ses seins, ses
lèvres, sa langue et sa bouche, qu’au bout de très peu de temps je me mis à gémir de plus en plus
fort, jusqu’au moment où je lâchais le peu de jus qui me restait. En plein dans la bouche de Djamila
qui m’envoya un merveilleux sourire de contentement et but le liquide, en me regardant des ses
immenses yeux noirs qui brillaient de gratitude.
Elle m’avoua par la suite qu’elle n’avait encore jamais pratiqué la branlette espagnole, mais que
dans sa jeunesse, elle avait entendue des voisines en parler. J’eus du mal à la croire tellement
elle avait su s’y prendre pour maintenir très haut mon désir et me donner un immense plaisir rien
qu’en serrant et desserrant ses magnifiques obus sur mon zob. Mais je savais que Djamila ne mentait
pas. Elle était simplement très douée pour les choses de l’amour : elle était faite pour donner du
plaisir à ses hommes. Elle était du genre altruiste, qui cherchait avant tout à satisfaire ses
compagnons. D’ailleurs Moussa ne tarissait pas d’éloges sur sa manière de toujours être à l’écoute
des besoins de son homme. Il disait d’elle qu’elle ne jouissait réellement que quand avait fait
atteindre le nirvana à son homme – c’est-à-dire lui. Le bonheur de son compagnon de lit devenait le
sien. Et l’heure qu’elle venait de passer avec moi confirma complètement ce jugement. Djamila était
naturellement faite pour donner du bonheur à ses hommes. Et c’était cela la signification de la
gratitude que je lisais dans ses yeux : la gratitude d’avoir été heureux avec elle.
Nous en étions là dans nos relations, quand Baya déboula dans la chambre, complètement nue, tirant
derrière elle Moussa qui avait gardé sa chemise, mais s’était débarrassé de son pantalon. Il bandait
encore très fort. La femme vint en courant vers le lit de camp installé de l’autre côté de la
chambre et obligea mon frère à s’allonger sur le dos. Telle une amazone, elle vint le chevaucher et
s’empaler sur son engin, dressé comme un glaive vers le plafond. Elle poussa un grand cri de
satisfaction et entama deux ou trois mouvements montants et descendants. Tout en chevauchant
furieusement le manche de mon frère elle m’appela pour venir les rejoindre :
- Edjri ! arrouah ett-nik ni men ga‘ari ! Bghit ett-nikouni fi zoudj ! Ouahed mel goudam,
lakhor mel lour ! (Vite, vient me niquer par le cul ! Je veux que vous me niquez tous les deux !
L’un par devant, l’autre par derrière !)
Baya voulait une double pénétration ! Et Moussa était certainement d’accord, puisque s’il l’avait
suivi dans la chambre, c’était dans ce seul but. Je n’avais encore jamais pratiqué la double
pénétration. C’était probablement l’un de mes fantasmes ; mais jusque là, je n’y avais jamais
réellement pensé sérieusement. Et voila que Baya – l’extraordinaire Baya – venait de me proposer de
l’enculer, pendant qu’elle était empalée sur le membre de mon frère ! Je n’hésitais pas une seule
seconde ! Je courus vers la banquette, abandonnant lâchement Djamila qui resta assise sur le canapé.
Je pris Baya par les hanches pour la positionner de manière à ce que son anus soit à la hauteur du
gland de mon sexe, qui avait repris de la vigueur à la seule idée de cette double pénétration. Elle
se retourna pour essayer de voir la scène mais n’y arriva pas. Moussa - un peu plus expérimenté que
moi – avait attrapé notre maîtresse par la taille pour la faire remonter à une dizaine de
centimètres, de manière à laisser de l’espace aux va-et-vient qu’il allait entreprendre, en même
temps que moi.
Moussa s’était immobilisé un moment pour me permettre d’entamer les hostilités. J’appliquais, à sec,
une première poussée qui fit pénétrer le gland de mon sexe à l’intérieur de l’anus. Baya ressentit
une vive douleur au moment de la pénétration et poussa un petit cri. Bien sûr, elle n’était plus
vierge du cul, mais elle avait gardé celui-ci encore très étroit et très sensible. Je ne tins pas
compte de la douleur que je provoquais et poussai plus fort pour atteindre le fond. Je fis ainsi
deux allers-retours, avant que mon frère et moi commencions le manège de faire croiser nos manches
à l’intérieur des trous de la belle. Le seul fait déjà des faire des allers-retours dans le rectum
chaud, étroit et moulant de Baya était divin ! Mais le croisement et le frottement l’un contre
l’autre, à travers les fines parois du vagin et du rectum, de nos zobs donnait encore plus
d’intensité au plaisir que je ressentais ; et que mon frère et notre femme, ressentaient aussi!
Moussa et moi, comme si nous étions dans un concours sportif, tirions en force Baya qui était entre
nous, comme une poupée désarticulée. Lui et moi ahanions fortement à chacune des montées et
descentes de nos hanches et chaque pénétration de nos engins dans les trous de notre maîtresse.
Baya elle criait de plus en plus fort qu’elle était au paradis ; que jamais de sa vie elle n’avait
ressenti quelque chose d’aussi fort ! D’aussi délicieux ! Qu’elle en voulait encore et encore ! Elle
appelait même sa mère, pour qu’elle la voie comme cela entre deux hommes qui l’emportaient au
septième ciel !
- Yemma ! Ach hal m’lih ! Chouffi bentek kiffach ta‘ati rouh‘ha le rdjel! Kiffach i-nikou‘ha
bezzour! Kiffach et-hab zboub fi t’qabi‘ha! Yemma! Yemmaaaaa ! (Maman ! Comme c’est bon ! Regarde
comment ta fille se donne à des hommes ! Comment ils la niquent en force ! Comment elle adore les
zobs dans ses trous ! Maman ! Mamaaaaaan !)
Nos ahanements à Moussa et à moi se transformèrent rapidement en des cris rauques de plaisir qui se
mélangeaient à ceux de Baya. Ni Moussa ni moi, ne parlions pendant que nous tirions notre femme.
Mais – au moins pour moi – les paroles que prononçait Baya et qui devenaient de plus en plus
incompréhensibles accroissaient l’intensité de notre désir, qui était pourtant déjà à son maximum.
J’avais l’impression d’être dans un autre monde ; un monde irréel ; un monde où je pouvais planer et
nous regarder entrain de copuler à trois et de prendre un plaisir immense ; un monde où la moindre
parcelle de mon corps et de mon âme n’était que désir et plaisir. Un monde où je voyais réellement
la jouissance – la mienne et celle de mes deux autres partenaires – débouler sur nous comme un
torrent impétueux et nous emporter.
Je n’avais encore jamais vécu cette sensation de quitter mon corps et de me dédoubler pour devenir
en même temps l’acteur et le spectateur de la scène qui se déroulait. C’était vraiment merveilleux
! Je pense avoir perdu un moment connaissance, parce que je ne me rappelle pas qui de nous trois
avait joui le premier. Tout ce dont je me rappelle, c’est que tous les trois nous nous sommes
retrouvés complètement vidés, à bout de souffle et imbriqués les uns dans les autres. Nous mîmes
plusieurs minutes pour sortir des brumes dans lesquelles nous nous étions enfoncés et pour entendre
Djamila qui me demandait de me lever pour me nettoyer.
Je mis un certain temps pour comprendre ce qui se passait. Quand je compris que Djamila me demandait
tout simplement de lui présenter mon sexe, complètement ramolli, pour qu’elle le nettoie avec sa
bouche, je n’hésitai pas une seconde. Je me levai difficilement – permettant ainsi à Baya de se
libérer de mon poids et de s’allonger aux côtés de Moussa – et m’assis au bord de la banquette.
Djamila, toujours toute nue, et toujours aussi bandante, vint se mettre à genoux devant moi et se
mit à lécher et sucer ma bite, pour la nettoyer des restes de sperme et des sécrétions anales de
Baya. J’avais déjà été sucé comme cela après une sodomisation, et à chaque fois, c’était un plaisir
renouvelé. Un plaisir étrange - quelque peu scatologique - mais d’un érotisme qui était capable de
me faire encore bander, même après avoir été complètement rassasié.
Baya, les yeux cernés par les efforts qu’elle venait de faire, regardait sa belle-sœur avec un
sourire ému. Elle semblait apprécier les efforts que faisait Djamila pour la suivre dans le chemin
du libertinage. Elle se leva précipitamment, en criant qu’il était temps qu’elles partent, avant que
leur belle-mère ne s’inquiète de leur retard et ne commence à avoir de soupçons. Elle caressa au
passage les gros seins de Djamila en la regardant avec des yeux qui brillaient de luxure. Je
commençais à bien la connaître et je devinais qu’une idée coquine venait de lui traverser l’esprit.
Et je le lui dis :
- Tu as envie de coucher avec ta belle-sœur, n’est-ce pas !
- Oui ! Comment l’as-tu deviné ?
- Oh, j’ai fini par te connaître par cœur ! Promets-moi de ne pas le faire entre vous ! Nous
voulons voir ! N’est-ce pas Moussa ?
- Quoi ? Je n’ai pas entendu ! De quoi s’agit-il ?
Aucun de nous ne lui répondit. Nous voulions lui laisser la surprise pour le samedi prochain. Les
filles partirent comme à leur habitude, en riant aux éclats et en papotant tout le long de chemin
qui les ramenait chez elle.
Nous nous revîmes deux jours plus tard, chez elles. La belle-mère était partie rendre visite à sa
grande fille au bled, amenant avec elle les deux garçons de Baya qui étaient en vacances scolaires.
Baya tenait là le moyen d’approfondir sa vengeance envers son mari : faire l’amour avec ses amants
dans sa propre maison.
Mais ceci est une autre histoire.
…/…
écoulées depuis qu’elle était entrée dans la librairie en compagnie de sa belle-sœur Djamila. Par
manque de temps – et non pas parce que j’étais fatigué, lui dis-je, par besoin de m’affirmer comme
un amant extraordinaire - j’avais renvoyé à notre prochaine rencontre, ma décision de l’enculer. Le
cul de Baya était tellement bandant (avec son fessier rond, bombé et haut perché) qu’il me fallait
absolument en prendre possession. Et puis, dans ma naïveté de jeune blanc-bec inexpérimenté, je me
disais que la sodomisation d’une maîtresse était la preuve pour l’homme qui la pratiquait, qu’il
était un as du libertinage. Je n’avais pourtant pas eu le courage de lui en parler. Je remettais
cela à nos prochaines étreintes. Nous nous étions donné rendez-vous pour le samedi suivant.
Nous sortîmes rapidement de la petite chambre pour nous retrouver à l’intérieur de la grande salle.
Nous entendions maintenant très distinctement les cris et gémissements que faisaient Moussa et
Djamila entrain de copuler. Nous nous regardâmes Baya et moi avec des yeux dans lesquels se lisait
la surprise. Nous étions tout étonnés que le couple soit encore entrain de faire l’amour. Ils
avaient pourtant commencé en même temps que nous ! Je lisais dans les yeux de ma compagne comme de
l’admiration et j’en fus un peu jaloux. Je me disais qu’elle faisait la comparaison entre mon frère
et moi et que cette comparaison était très largement en faveur de Moussa.
Nous tombâmes sur un spectacle d’un érotisme plus que torride. Moussa, debout, le cul en l’air, le
pantalon baissé coincé sur ses chevilles, était entrain de sodomiser Djamila, debout elle aussi,
mais penchée sur le comptoir, de manière à mettre ses grosses fesses à la même hauteur que le pubis
et l’immense sexe de l’homme. Tous les deux poussaient des petits cris de plaisir qui se répondaient
les uns aux autres et se mélangeaient à l’intérieur de la librairie.
Djamila était aussi plantureuse qu’elle le laissait transparaître sous son haïk blanc. Elle était
maintenant toute nue et je voyais ses chairs qui tremblaient sous les furieux coups de reins de son
amant. Moussa la tenait fermement par les hanches et la tirait en force, en ahanant comme un
bucheron à chaque poussée et en gémissant à chaque retour. Je voyais les gros seins blancs et nus de
Djamila qui balançaient au rythme des coups de boutoir de son amant. Elle criait elle-aussi à chaque
pénétration brutale de l’immense sexe de mon frère dans son anus. Il lui faisait mal et elle le lui
montrait en criant. Mais elle ne voulait pas qu’il s’arrête de la tirer. A côté de la petite
douleur, elle semblait éprouver beaucoup de plaisir de recevoir l’énorme engin de son amant. Je ne
voyais pas son visage – ni celui de Moussa d’ailleurs – mais au sifflement qu’elle produisait après
chaque cri, je devinais qu’elle salivait beaucoup, signe qui ne trompait jamais, d’une énorme
satisfaction.
Baya et moi nous arrêtâmes à environ deux mètres du couple qui n’avait pas encore remarqué notre
présence. Nous regardions les ébats du couple avec les yeux exorbités. Le spectacle nous avait
émoustillé et avait réveillé en nous le désir de refaire l’amour. Nous nous regardions en nous
interrogeant si l’on n’allait pas reprendre notre séance de copulation de tantôt. Nous n’eûmes pas
le loisir de répondre à cette question muette. Les deux tourtereaux étaient entrain de montrer – par
leurs cris qui s’intensifiaient et par le rythme endiablé que Moussa avait mis dans ses allers-
retours dans le cul de sa belle – qu’ils étaient sur le point de jouir. Ce fut Djamila qui la
première poussa un long cri en hurlant qu’elle jouissait :
- Rani en-ferragh ! Rahi djat ! Djaaaaaaaat ! (Je décharge ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiiiis !)
Moussa lui répondit presqu’immédiatement par un autre râle de mourant et en accélérant encore plus
les va-et-vient de son engin dans le cul de Djamila. Il éjacula plusieurs fois à l’intérieur et en
dehors du rectum de sa maîtresse. Quand il se retira totalement, Moussa avait laissé sur le bas du
dos de Djamila une véritable mare de foutre tout blanc et tout visqueux. Il y avait une autre partie
qui dégoulinait de son anus et coulait le long de ses grandes lèvres, avant de retomber sur le
carrelage. Et je vis – et nous vîmes Moussa et moi - un spectacle vraiment ahurissant : Baya, les
yeux brillant de gourmandise, se précipita sur sa belle sœur pour lécher tout le sperme qu’elle
avait gardé sur le bas du dos. Nous voyions sa langue rose et agile aller à la recherche de la
moindre trace de foutre et l’avaler en accompagnant son geste d’un tout petit gémissement de
satisfaction. Elle alla même lécher le cul de Djamila qui dégoulinait encore du sperme que Moussa
avait éjaculé à l’intérieur. Quand elle eût fini elle s’attaqua aux grandes lèvres entre lesquelles
elle alla chercher ce qui restait de foutre. Pendant ce temps, Djamila se laissa faire, sans donner
aucun signe d’étonnement.
Moussa et moi, nous nous regardions ébahis. Nous ne savions plus quoi penser. Je savais, pour
l’avoir vécu, que Baya adorait le sperme et qu’elle aimait le boire. Elle l’avait fait avec le mien
moins d’une heure plus tôt. Mais de là à se précipiter comme une folle pour avaler celui qui se
trouvait sur le corps de sa belle-sœur, je ne l’aurais jamais imaginé. Nous nous disions, mon frère
et moi, que les deux femmes avaient l’habitude de ce genre de comportement. Qu’elles l’avaient
pratiqué souvent. Et bien nous avions tout faux. Aussi bien pour Baya que pour Djamila, c’était la
première fois. Une vraie découverte !
Baya n’éprouva absolument aucune honte à ce qu’elle venait de faire. Djamila non plus, d’ailleurs.
(En fait Djamila suivait sa belle-sœur, comme un vrai toutou. Tout ce qu’elle lui disait de faire,
elle le faisait. Elle ne la jugeait jamais.)
- En-mout a‘ala ezzel ! A‘acel ! (J’adore le sperme ! C’est comme du miel !) Echhrabt bezzef
mennou ki kount sghira ! M’a‘a çahbi ! Ou ki chouft en-ta‘aek ou en-ta‘a khouk ma en-djemt en-ched
rouhi ! (J’ai bu beaucoup de sperme quand j’étais jeune ! Celui de mon petit ami ! Et quand j’ai vu
le tien et celui de ton frère, je n’ai pas pu résister !)
Djamila, que sa nudité devant deux hommes ne semblait pas gêner, s’était entretemps rhabillée. Elle
le faisait lentement, comme pour nous laisser le temps à Moussa et moi, d’admirer ses formes
plantureuses qu’elle savait bandantes. Puis toutes les deux remirent leurs haïks. Nous nous donnâmes
rendez-vous pour le samedi suivant et elles quittèrent la librairie, en papotant et riant,
visiblement très contentes d’elles et de ce qu’elles venaient de vivre.
…/…
Baya était la plus heureuse ; et elle le montrait sans la moindre honte. Elle était heureuse, non
pas d’avoir joui – et superbement bien joui, m’avait-elle affirmée tantôt – mais d’avoir fait
pousser des cornes sur le front de son mari. Elle avait une vengeance à réaliser et elle venait de
commencer. Elle en avait fait une véritable obsession. Elle voulait lui faire payer – s’il ne le
saura peut-être jamais - toutes les années de frustration qu’elle avait passée à ses côtés, depuis
une dizaine d’années.
Et maintenant elle rêvait de lui faire vivre l’enfer, tout en étant consciente qu’il devait ignorer
ce qu’elle faisait. Elle savait qu’elle paierait très cher si elle se faisait prendre en état
d’adultère. Mourad pourrait se venger sur elle de la pire des manières qui soit : lui enlever ses
enfants et la traîner devant les tribunaux qui la condamneraient à des années de prison. Elle
n’avait ni métier, ni entrées d’argent qui auraient pu la rendre indépendante et l’auraient incité à
demander le divorce. Elle était donc prisonnière du bon vouloir de son mari, son geôlier. Tout ce
qu’elle pouvait faire, c’était de le rendre cocu et de jouir – secrètement – de la chose. Elle
m’avait même avoué qu’elle faisait volontiers l’amour avec lui – chaque fois qu’il le lui demandait
- rien que pour se moquer discrètement de ses pauvres capacités d’amant. Il ne faisait l’amour que
dans le noir et son petit sexe était incapable de la faire jouir ou de lui donner la moindre once de
plaisir. Elle comparait ses tristes ébats avec Mourad avec ceux – flamboyants - qu’elle avait avec
moi, et qui l’emportaient régulièrement vers les plus hautes cimes de la jouissance sexuelle.
Djamila semblait aussi dans les mêmes dispositions d’esprit. Bien que chez elle, ce ne fut que du
suivisme. Elle adorait Baya et lui était toute acquise. Elle lui obéissait au doigt et à l’œil et
elle y trouvait son compte. Elle aussi avait découvert, avec Moussa, le plaisir charnel, que son
mari ne lui procurait pas. Ils s’étaient mariés, comme la plupart des gens se mariaient à cette
époque là : un mariage arrangé par les parents. Ali était plus beau et plus grand que Mourad. Il
était aussi plus jeune. Mais il était tout aussi traditionnel et machiste que son grand frère. De
plus, il lui était totalement dévoué. Ils géraient ensemble un grand magasin de tissu pour robes de
soirée et tenues de mariage dans la Basse Casbah. Mourad en était en fait le vrai patron. Il lui
obéissait au doigt et à l’œil. Ce que Djamila n’admettait pas ! Mais elle ne se révoltait jamais,
sachant qu’elle n’avait rien à gagner.
Djamila mit un certain temps pour enfanter. Ce qui l’avait fragilisée auprès de sa belle-mère qui la
menaçait souvent de la faire répudier. Elle se tint donc à carreau, grâce aux conseils de sa belle-
sœur, qui elle ne se gênait pas – elle était déjà mère de deux garçons – pour se disputer violemment
avec son mari et même avec sa belle-mère. Et puis la voilà, maintenant, en compagnie de sa belle-
sœur entrain de cocufier son mari et d’y prendre un immense plaisir. Elle avait découvert avec
Moussa les plaisirs de la chair. Et, elle qui n’avait connu que le corps et le sexe de son mari,
venait de découvrir d’autres horizons et d’autres plaisirs que les pauvres allers-retours dans son
intimité du petit zob de son mari, la nuit dans le noir, qui la laissaient complètement inassouvie.
Elle raconta même à Baya, qu’elle devait se caresser souvent après que son mari eût « fait son
affaire » pour prendre, elle aussi, un peu de plaisir.
Les deux femmes s’épanouissaient dans l’adultère. Et aucune des deux n’y voyaient du mal et surtout
de faute morale. Elles savaient bien que l’adultère était condamné par la société et même par la
Loi. Mais elles s’en accommodaient très bien tant que la chose restait secrète. Et tant qu’elles en
éprouvaient du plaisir et tant qu’elles – Baya, surtout – ressentaient les bienfaits psychiques
de la vengeance envers leurs maris, elles étaient heureuses. Baya voulait même aller plus loin dans
sa vengeance. Elle attendait avec impatience, le moment où sa belle-mère allait s’absenter un temps
de la maison et qu’elles allaient rester seules –Djamila et elle – pour nous inviter à les rejoindre
dans leurs chambres respectives, sur leur lit conjugal.
Pour Baya, ce serait le sommet de sa vengeance : baiser avec un autre homme dans la chambre
conjugale et sur le lit où elle dormait toutes les nuits avec son mari et garder ainsi
éternellement, le souvenir de sa victoire sur le sort qui avait rempli sa vie de frustrations et
avait fait d’elle la prisonnière de son mari. Je bandais très fort à cette idée de batifoler avec
Baya dans la chambre où elle dormait – et faisait l’amour – avec son mari. Moussa était plus
dubitatif, parce qu’il avait peur cela ne tourne très mal et finisse en scandale et en drame.
Djamila, quant à elle, même si elle appréhendait la chose, suivait comme d’habitude les décisions de
sa belle-sœur. Elle était prête à tenter l’expérience : elle riait même très fort à l’idée des draps
salis du foutre de Moussa, dans lequel son mari Ali dormirait.
Avant que l’occasion ne se présentât de nous retrouver tous les quatre entrain de batifoler dans les
chambres et sur les lits conjugaux de deux couples, nous continuâmes, une fois par semaine, à nous
retrouver dans la librairie. Nous avions tout fait, d’abord séparément (chaque couple de son côté)
puis en groupe, au moment où Baya avait pris la décision de se faire tirer par Moussa. Elle avait
flashé sur le bel engin de mon frère – pas beaucoup plus grand que le mien, mais certainement plus
beau. Il l’entretenait avec soin, ne laissant jamais aucune trace de poils dessus. Et puis, il avait
un engin plus lisse et bien plus clair que le mien qui portait des gros vaisseaux sanguins très
apparents et qui tendait vers la couleur noire.
Baya, qui avait peur que je ne m’offusque à l’idée même de la partager avec mon frère, mit
longtemps avant de m’en parler. Et puis un jour où nous étions tous les trois à attendre Moussa -
qui était très en retard, parce qu’occupé à résoudre un problème d’approvisionnements de la
librairie - la discussion dériva sur mon envie évidente de tirer Djamila, que Baya lisait sur mon
visage comme dans un livre ouvert. Elle avait en effet remarqué que je ne quittais pratiquement pas
des yeux sa belle-sœur qui avait enlevé son haïk, sa voilette et était restée en robe, de deux
tailles trop petite, qui mettaient en valeur ses formes généreuses. Elle avait peut-être même
remarqué la bosse impudique sur le devant de mon pantalon.
- A‘adjbatek! Wougaft a‘ali‘ha ! Bghit ett-nik‘ha! Wach testenna ? (Elle te plait! Tu bandes
pour elle! Tu veux la tirer ! Qu’est-ce que tu attends ?) Netbadlou ? Ett-nik Djamila ou Moussa i
nik-ni ! (On s’achange ? Toi tu baises Djamila et Moussa me baisera moi !) Wach et-khamem ? (Qu’en
penses-tu ?)
Je ne m’attendais pas à une telle sortie. Mais en y réfléchissant, elle ne me scandalisait pas. Au
contraire, j’avais vraiment envie de tirer Djamila qui avait tout ce qu’il fallait pour me donner du
plaisir. Et puis je savais qu’elle était ouverte à tout. Le problème était Moussa. Allait-il
comprendre et accepter. Je n’en étais pas très sûr, bien que nous avions toujours été très proches,
y compris dans notre philosophie de la vie : lui et moi étions de épicuriens. Nous aimions tous le
plaisirs que la vie nous offrait et nous étions prêts à toutes les expériences. Nous chargeâmes
Djamila d’annoncer la nouvelle à Moussa. Nous pensions que c’était elle la plus indiquée pour faire
la démarche et annoncer à mon frère, avec ses mots à elle, ce que nous souhaitions faire. Elle
devait lui dire qu’elle avait flashé sur moi et qu’elle voudrait bien que je la tire. Et qu’elle
voulait qu’il s’occupe de Baya.
Et les choses se passèrent exactement comme cela. Djamila fit la proposition ; Moussa me regarda un
petit moment en silence, puis me posa la question.
- Qu’en penses-tu ? Tu la trouves bandantes ? Tu la veux pour cette après-midi ?
- Oui !
J’emmenais Djamila dans la petite chambre du fond et nous fîmes l’amour plusieurs fois et dans
toutes les positions. Djamila était vraiment un superbe coup ! Elle ne discutait jamais une
proposition. Elle était partante pour tout. Elle me proposa même de me faire jouir avec ses seins.
Je n’avais encore jamais fait cela. J’avais bien éjaculé entre les seins de Baya ; mais c’était en
fin de parcours, après l’avoir enculée et que je voulais éjaculer sur sa poitrine pour qu’elle
puisse avaler mon sperme. J’avais éjaculé sur elle en me masturbant. Mais Djamila me proposait toute
autre chose : elle allait me masturber avec ses immenses seins. La branlette espagnole ! Rien qu’à
l’idée, j’en étais tout émoustillé.
Elle vint se mettre à genoux devant moi, qui étais debout et prit dans sa main mon engin en érection
maximale, qui frétillait d’impatience. Elle avait auparavant rempli ses doigts de mouille qu’elle
avait ramassé à l’intérieur de sa chatte que je venais d’honorer quelque minutes auparavant, et se
mit à l’étaler sur mon sexe pour le lubrifier. Elle refit l’opération plusieurs fois avant d’être
satisfaite du résultat. Elle en étala encore un peut à l’intérieur de ses seins puis tira sur le
membre pour l’installer entre ses immenses mamelles qu’elle pressa avec ses deux mains pour
l’enserrer.
- Nik-ni dhork ! Nik zouaïzi ! (Nique-moi maintenant ! Nique mes seins !)
Je fis aller et venir mon engin, de bas en haut, entre ses seins qu’elle continuait de presser pour
bien l’enfermer et lui donner l’impression d’une chatte ou de fesses bien serrées. Le sexe bien
lubrifié glissait facilement entre ses seins et créait en moi une merveilleuse sensation de
pénétration. C’était comme quand je faisais pénétrer mon membre entre les fesses d’une belle femme,
et qu’elle les serrait l’une contre l’autre. Et puis, je voyais le gland sortir du dessus des seins
et se rapprocher de la bouche de Djamila. Et quand sa bouche se mit de la partie pour lécher, puis
sucer le gland qui sortait de dessous les seins, j’étais aux anges. Je sentais que j’allais avoir un
bel orgasme et que j’allais éjaculer ce qui me restait de foutre dans la bouche de ma maîtresse du
moment. Et cela se passa exactement comme cela. Elle s’y prit tellement bien avec ses seins, ses
lèvres, sa langue et sa bouche, qu’au bout de très peu de temps je me mis à gémir de plus en plus
fort, jusqu’au moment où je lâchais le peu de jus qui me restait. En plein dans la bouche de Djamila
qui m’envoya un merveilleux sourire de contentement et but le liquide, en me regardant des ses
immenses yeux noirs qui brillaient de gratitude.
Elle m’avoua par la suite qu’elle n’avait encore jamais pratiqué la branlette espagnole, mais que
dans sa jeunesse, elle avait entendue des voisines en parler. J’eus du mal à la croire tellement
elle avait su s’y prendre pour maintenir très haut mon désir et me donner un immense plaisir rien
qu’en serrant et desserrant ses magnifiques obus sur mon zob. Mais je savais que Djamila ne mentait
pas. Elle était simplement très douée pour les choses de l’amour : elle était faite pour donner du
plaisir à ses hommes. Elle était du genre altruiste, qui cherchait avant tout à satisfaire ses
compagnons. D’ailleurs Moussa ne tarissait pas d’éloges sur sa manière de toujours être à l’écoute
des besoins de son homme. Il disait d’elle qu’elle ne jouissait réellement que quand avait fait
atteindre le nirvana à son homme – c’est-à-dire lui. Le bonheur de son compagnon de lit devenait le
sien. Et l’heure qu’elle venait de passer avec moi confirma complètement ce jugement. Djamila était
naturellement faite pour donner du bonheur à ses hommes. Et c’était cela la signification de la
gratitude que je lisais dans ses yeux : la gratitude d’avoir été heureux avec elle.
Nous en étions là dans nos relations, quand Baya déboula dans la chambre, complètement nue, tirant
derrière elle Moussa qui avait gardé sa chemise, mais s’était débarrassé de son pantalon. Il bandait
encore très fort. La femme vint en courant vers le lit de camp installé de l’autre côté de la
chambre et obligea mon frère à s’allonger sur le dos. Telle une amazone, elle vint le chevaucher et
s’empaler sur son engin, dressé comme un glaive vers le plafond. Elle poussa un grand cri de
satisfaction et entama deux ou trois mouvements montants et descendants. Tout en chevauchant
furieusement le manche de mon frère elle m’appela pour venir les rejoindre :
- Edjri ! arrouah ett-nik ni men ga‘ari ! Bghit ett-nikouni fi zoudj ! Ouahed mel goudam,
lakhor mel lour ! (Vite, vient me niquer par le cul ! Je veux que vous me niquez tous les deux !
L’un par devant, l’autre par derrière !)
Baya voulait une double pénétration ! Et Moussa était certainement d’accord, puisque s’il l’avait
suivi dans la chambre, c’était dans ce seul but. Je n’avais encore jamais pratiqué la double
pénétration. C’était probablement l’un de mes fantasmes ; mais jusque là, je n’y avais jamais
réellement pensé sérieusement. Et voila que Baya – l’extraordinaire Baya – venait de me proposer de
l’enculer, pendant qu’elle était empalée sur le membre de mon frère ! Je n’hésitais pas une seule
seconde ! Je courus vers la banquette, abandonnant lâchement Djamila qui resta assise sur le canapé.
Je pris Baya par les hanches pour la positionner de manière à ce que son anus soit à la hauteur du
gland de mon sexe, qui avait repris de la vigueur à la seule idée de cette double pénétration. Elle
se retourna pour essayer de voir la scène mais n’y arriva pas. Moussa - un peu plus expérimenté que
moi – avait attrapé notre maîtresse par la taille pour la faire remonter à une dizaine de
centimètres, de manière à laisser de l’espace aux va-et-vient qu’il allait entreprendre, en même
temps que moi.
Moussa s’était immobilisé un moment pour me permettre d’entamer les hostilités. J’appliquais, à sec,
une première poussée qui fit pénétrer le gland de mon sexe à l’intérieur de l’anus. Baya ressentit
une vive douleur au moment de la pénétration et poussa un petit cri. Bien sûr, elle n’était plus
vierge du cul, mais elle avait gardé celui-ci encore très étroit et très sensible. Je ne tins pas
compte de la douleur que je provoquais et poussai plus fort pour atteindre le fond. Je fis ainsi
deux allers-retours, avant que mon frère et moi commencions le manège de faire croiser nos manches
à l’intérieur des trous de la belle. Le seul fait déjà des faire des allers-retours dans le rectum
chaud, étroit et moulant de Baya était divin ! Mais le croisement et le frottement l’un contre
l’autre, à travers les fines parois du vagin et du rectum, de nos zobs donnait encore plus
d’intensité au plaisir que je ressentais ; et que mon frère et notre femme, ressentaient aussi!
Moussa et moi, comme si nous étions dans un concours sportif, tirions en force Baya qui était entre
nous, comme une poupée désarticulée. Lui et moi ahanions fortement à chacune des montées et
descentes de nos hanches et chaque pénétration de nos engins dans les trous de notre maîtresse.
Baya elle criait de plus en plus fort qu’elle était au paradis ; que jamais de sa vie elle n’avait
ressenti quelque chose d’aussi fort ! D’aussi délicieux ! Qu’elle en voulait encore et encore ! Elle
appelait même sa mère, pour qu’elle la voie comme cela entre deux hommes qui l’emportaient au
septième ciel !
- Yemma ! Ach hal m’lih ! Chouffi bentek kiffach ta‘ati rouh‘ha le rdjel! Kiffach i-nikou‘ha
bezzour! Kiffach et-hab zboub fi t’qabi‘ha! Yemma! Yemmaaaaa ! (Maman ! Comme c’est bon ! Regarde
comment ta fille se donne à des hommes ! Comment ils la niquent en force ! Comment elle adore les
zobs dans ses trous ! Maman ! Mamaaaaaan !)
Nos ahanements à Moussa et à moi se transformèrent rapidement en des cris rauques de plaisir qui se
mélangeaient à ceux de Baya. Ni Moussa ni moi, ne parlions pendant que nous tirions notre femme.
Mais – au moins pour moi – les paroles que prononçait Baya et qui devenaient de plus en plus
incompréhensibles accroissaient l’intensité de notre désir, qui était pourtant déjà à son maximum.
J’avais l’impression d’être dans un autre monde ; un monde irréel ; un monde où je pouvais planer et
nous regarder entrain de copuler à trois et de prendre un plaisir immense ; un monde où la moindre
parcelle de mon corps et de mon âme n’était que désir et plaisir. Un monde où je voyais réellement
la jouissance – la mienne et celle de mes deux autres partenaires – débouler sur nous comme un
torrent impétueux et nous emporter.
Je n’avais encore jamais vécu cette sensation de quitter mon corps et de me dédoubler pour devenir
en même temps l’acteur et le spectateur de la scène qui se déroulait. C’était vraiment merveilleux
! Je pense avoir perdu un moment connaissance, parce que je ne me rappelle pas qui de nous trois
avait joui le premier. Tout ce dont je me rappelle, c’est que tous les trois nous nous sommes
retrouvés complètement vidés, à bout de souffle et imbriqués les uns dans les autres. Nous mîmes
plusieurs minutes pour sortir des brumes dans lesquelles nous nous étions enfoncés et pour entendre
Djamila qui me demandait de me lever pour me nettoyer.
Je mis un certain temps pour comprendre ce qui se passait. Quand je compris que Djamila me demandait
tout simplement de lui présenter mon sexe, complètement ramolli, pour qu’elle le nettoie avec sa
bouche, je n’hésitai pas une seconde. Je me levai difficilement – permettant ainsi à Baya de se
libérer de mon poids et de s’allonger aux côtés de Moussa – et m’assis au bord de la banquette.
Djamila, toujours toute nue, et toujours aussi bandante, vint se mettre à genoux devant moi et se
mit à lécher et sucer ma bite, pour la nettoyer des restes de sperme et des sécrétions anales de
Baya. J’avais déjà été sucé comme cela après une sodomisation, et à chaque fois, c’était un plaisir
renouvelé. Un plaisir étrange - quelque peu scatologique - mais d’un érotisme qui était capable de
me faire encore bander, même après avoir été complètement rassasié.
Baya, les yeux cernés par les efforts qu’elle venait de faire, regardait sa belle-sœur avec un
sourire ému. Elle semblait apprécier les efforts que faisait Djamila pour la suivre dans le chemin
du libertinage. Elle se leva précipitamment, en criant qu’il était temps qu’elles partent, avant que
leur belle-mère ne s’inquiète de leur retard et ne commence à avoir de soupçons. Elle caressa au
passage les gros seins de Djamila en la regardant avec des yeux qui brillaient de luxure. Je
commençais à bien la connaître et je devinais qu’une idée coquine venait de lui traverser l’esprit.
Et je le lui dis :
- Tu as envie de coucher avec ta belle-sœur, n’est-ce pas !
- Oui ! Comment l’as-tu deviné ?
- Oh, j’ai fini par te connaître par cœur ! Promets-moi de ne pas le faire entre vous ! Nous
voulons voir ! N’est-ce pas Moussa ?
- Quoi ? Je n’ai pas entendu ! De quoi s’agit-il ?
Aucun de nous ne lui répondit. Nous voulions lui laisser la surprise pour le samedi prochain. Les
filles partirent comme à leur habitude, en riant aux éclats et en papotant tout le long de chemin
qui les ramenait chez elle.
Nous nous revîmes deux jours plus tard, chez elles. La belle-mère était partie rendre visite à sa
grande fille au bled, amenant avec elle les deux garçons de Baya qui étaient en vacances scolaires.
Baya tenait là le moyen d’approfondir sa vengeance envers son mari : faire l’amour avec ses amants
dans sa propre maison.
Mais ceci est une autre histoire.
…/…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
belle histoire qui m'a enorrmement excitée.
C'est la plus belle et la plus bandante des histoires de GERACHE. Il a beaucoup d'imagination réaliste et un style accrocheur. J'ai enregistré toutes ses histoires sur les femmes arabes et j'en ai profité. En effet j'ai partagé quelques (dont surtout celles de Baya) avec quelques lectrices arabes qui ont mouillé la culotte et j'en ai profité . Merci GERACHE.
Très excitant. Je suis moi aussi une musulmane qui fait son mari cocu (j'aime le prépuce et les Musulmans sont tous coupés) mais jamais je ne le dirais. Il se passe bien des choses sous les burkas, vous savez...
belle histoire avec des situations et surtout un style tres erotique.tu as bien fait d
inclure quelques reparties en arabe qui a mon avis ,sont intraduisibles au niveau de
la sonorite et qui ajoutent une touche d erotisme typiquement algerien. cela fait un
bout de temps que je n ai reagit sexuellement a un texte.bravo. Mais il y a aussi des
point negatif a mon avis.Tu es trop presse d amener les scenes de penetrations
proprements dites. j aurais aime nettement plus de suggestions descriptives qui
auraient pour but de laisser macerer le plaisir .si je dois dater ton histoires j
opterai pour les annees 70; de ce fait je releve quelques anachronismes.je m explique.
les femmes de cette epoque etaient moins hardies.je ne vois pas une femme de cette
epoque accepter ungangband ou tout autre echangisme encore moins lecher et avaler le
sperme etale sur une autre femme qui en plus se trouve etre sa belle soeur.ton style
je le repete est erotisant;tes personnages feminins bondants.je vois en toi un grand
de la litteratute eotique.je te souhaite bon vent.surtout sois naturel;soit fidele a
la realite environante. quant aux themes il en existe dans ce pays des millers meme
des qu en oseraiais pas soupconner.encore merci a bientot
inclure quelques reparties en arabe qui a mon avis ,sont intraduisibles au niveau de
la sonorite et qui ajoutent une touche d erotisme typiquement algerien. cela fait un
bout de temps que je n ai reagit sexuellement a un texte.bravo. Mais il y a aussi des
point negatif a mon avis.Tu es trop presse d amener les scenes de penetrations
proprements dites. j aurais aime nettement plus de suggestions descriptives qui
auraient pour but de laisser macerer le plaisir .si je dois dater ton histoires j
opterai pour les annees 70; de ce fait je releve quelques anachronismes.je m explique.
les femmes de cette epoque etaient moins hardies.je ne vois pas une femme de cette
epoque accepter ungangband ou tout autre echangisme encore moins lecher et avaler le
sperme etale sur une autre femme qui en plus se trouve etre sa belle soeur.ton style
je le repete est erotisant;tes personnages feminins bondants.je vois en toi un grand
de la litteratute eotique.je te souhaite bon vent.surtout sois naturel;soit fidele a
la realite environante. quant aux themes il en existe dans ce pays des millers meme
des qu en oseraiais pas soupconner.encore merci a bientot
trop long impossible a suivre et de ce fait non jouissif.