Les filles sur la plage

- Par l'auteur HDS Likid2bretzel -
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Récit libertin : Les filles sur la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les filles sur la plage
« J’aime regarder les filles qui marchent sur la plage » comme le dit la chanson, et cela me ramène immanquablement à une période de ma vie où je travaillais comme plagiste au milieu filles superbes avec « leurs poitrines gonflées par le désir de vivre et leurs ventres qui collent sur le sable chaud ». Les anecdotes sont nombreuses, en voici une dont je me souviens parfaitement.

Cela se passe en débit d’après-midi, au moment où le soleil est à son zénith, où la plage semble sombrer peu à peu dans un calme relatif. Les touristes qui sont là depuis le matin ont moins d’énergie qu’en arrivant d’autant plus que certains d’entre eux ont fait une pause déjeuner qui commence à se faire sentir, c’est l’heure de la sieste sous les parasols pour certains, et le moment où enduits d’huile de monoï, les plus téméraires braves les rayons du soleil pour parfaire leur bronzage. Les corps sont chauds et les esprits aussi parfois malgré la torpeur ambiante. Je circule entre les allées de transats afin de débarrasser quelques verres vides ou pour prendre des commandes de cafés, de boissons fraiches ou de gourmandises sucrées.
Je suis interpellé par deux belles jeunes filles qui me demandent de leur apporter une glace ; aussitôt dit aussitôt fait, je suis de retour quelques minutes plus tard pour assouvir les envies sucrées des demoiselles. Elles sont très jolies : celle de gauche à les cheveux auburn qui lui arrivent à la hauteur des épaules avec de légers reflets dorées, elle est allongée sur le ventre et se redresse au moment où je m’agenouille face à elle pour lui remettre son dessert, mais à mon grand regret ce mouvement me permet à peine d’apercevoir un début de poitrine qui semble suffisamment volumineuse pour me plaire. Si la fille s’était relevée davantage sur ses coudes, j’aurai pu mieux juger et peut-être aurai-je eu l’occasion de jeter un œil sur ses tétons libérés de tout soutien gorge.

Tant pis, me dis-je non sans avoir reluquer par dessus son épaule un cul magnifique à peine dissimulé par un string mini de chez mini. Sa peau est hâlée par le soleil mais de toute évidence elle semble être plutôt claire. La fille me remercie d’un large sourire sans baisser les yeux ; elle a bien vu que j’observais son corps avec attention et cela ne semble pas la gêner outre mesure. Sa copine à côté est tout aussi charmante et tout aussi topless avec le même type de maillot de bain c’est à dire le strict minimum, la seule différence réside dans le fait qu’elle est allongée sur le dos laissant ainsi tous les regards, et le mien en particulier, se délecter d’une vue intégrale sur elle de la tête aux pieds.
Elle a de longs cheveux blonds et fins qui doivent certainement atteindre le creux de ses reins, son visage est partiellement caché par une paire de Ray-Ban, qui ajoute un peu de mystère à cette créature presque totalement nue devant moi. Mes yeux continuent leur exploration en s’arrêtant quelques instant sur sa magnifique poitrine : deux seins superbes, de taille moyenne mais bien ronds et dorés comme le reste de sa peau, avec des tétons pointus qui se dressent face au ciel. L’huile solaire dont elle s’est enduite fait briller chaque centimètre de son buste, et je ne peux m’empêcher de tenter d’apercevoir quelque chose dans le minuscule interstice situé entre le sommet de son pubis et la limite de son string.

Bien souvent lorsque les filles rentrent le ventre imperceptiblement en relevant les hanches, l’écartement du tissu suffit à donner quelques informations visuelles délectables notamment sur leur pilosité. N’ayant pas cette chance pour l’instant, je me contente de constater grâce à la finesse du tissu que le passage chez l’esthéticienne s’est soldé par un rasage intégral. En effet aucun relief dû à des poils ne vient troubler l’étoffe parfaitement lisse qui lui colle si bien à la peau que je distingue très bien la fente de sa chatte qui par ailleurs a la particularité d’être assez large à l’entrejambe. J’adore ce genre de fille qui lorsqu’elle est debout possède un espace libre entre ses deux cuisses au niveau de son sexe, un petit triangle qui laisse passer la lumière de dos comme de face.
Pour ce qui est de l’espace libre, je suis servi puisque dans le cas présent, la fille a les jambes légèrement écartées et tendues sur son matelas, ce qui permet de se laisser aller à des rêves défendus. Je lui donne à son tour la coup de crème glacée qu’elle saisie en faisant juste l’effort d’allonger son bras dans ma direction, en souriant poliment et me jetant un regard furtif au dessus de la monture de ses lunettes. Mais le soleil tapant fort à cette heure ci, le précieux dessert a déjà un peu fondu et le mouvement circulaire de ma main laisse s’échapper un peu de glace qui atterri tout droit sur le cou de la première servie. Ça la fait rire, mais je suis gêné d’une telle maladresse, et tout en m’excusant je tente d’essuyer les quelques gouttes qui dégoulinent sur ma touriste nullement fâchée à en croire par le franc sourire qu’elle m’adresse simultanément.

Avec attention et douceur, j’éponge donc à l’aide d’une serviette en papier les dégâts comme je peux mais le liquide va plus vite que moi et continue sa course empruntant un itinéraire inattendu : la glace coule entre les seins de la fille qui cette fois-ci se redresse suffisamment pour que je puisse continuer d’essuyer sa peau mais surtout libérant enfin la totalité de sa poitrine de telle manière que je peux maintenant en apprécier toutes les qualités. Comme toute les filles et les femmes qui se tiennent sur le ventre, ou à quatre pattes, les seins ont toujours une forme parfaite dans cette position, et cela se confirme encore à ce moment là.
Ils sont assez volumineux mais pas énormes non plus, d’une rondeur parfaite et d’une apparente fermeté ce qui n’est pas pour me déplaire, les tétons sont rosés et un peu plus larges que ceux de sa copine avec un bout rond et dodu. Le mouvement qu’a fait la fille en se relevant les fait balloter doucement pendant quelques secondes avant qu’ils s’immobilisent à nouveau parcourus d’une légère chair de poule sans doute dû à l’émotion que suscite cet instant prometteur, j’adore ça. Cette fois-ci, je tente le tout pour le tout, et je continue ma tâche avec la serviette en papier en allant un peu plus loin de telle façon que mon pouce et mon petit doigt effleurent la peau du côté intérieur de chaque sein pendant que mes trois autres doigts glissent encore un peu dans cette belle vallée.

Malencontreusement, la serviette s’échappe et à l’instant où je veux le récupérer, la fille plaque une des ses mains sur la mienne et me dit : « Non laisse » et d’une voix beaucoup plus suave elle me murmure : « Continue ». OK me dis-je, à votre servie mademoiselle ! Ni une ni deux, je laisse de côté ma timidité et tout le respect que je dois à ma cliente pour carrément poser fermement ma main sur son sein droit, sentant au creux de celle ci le téton qui gonfle immédiatement. J’ose alors une légère pression-décompression suivie aussitôt d’un « Oui » encourageant. N’y tenant plus je mets alors mon autre main sur le deuxième sein et j’entame une série de caresses, pelotage et malaxage en règle qui s’accompagne aussitôt d’un mouvement de tangage de la fille qui laisse filtrer quelques gémissements révélateurs.
Je jette un coup d’œil par dessus son épaule et je constate que l’ondulation de son corps part des épaules, passe par son dos et se termine comme de bien entendu au niveau de son cul qui tremble et dont la peau est couverte de frissons presque invisibles. Ce qui n’est pas invisible en revanche, c’est la bosse apparue dans mon short depuis quelques minutes, car le suis là à genoux dans le sable en train de caresser les seins magnifiques d’une fille qui l’est tout autant, alors forcément ça me fait bander. Je considère que je n’ai pas de gêne à avoir puisque cette coquine se laisse faire sans problème, c’est donc que la situation lui plait, et en effet elle ne tarde pas à me conforter dans cette idée puisque qu’elle décide soudain d’ouvrir ma braguette et de faire glisser mon short sur le bas de mes cuisses.

Libérée de son emprise, ma bite surgit comme un diable qui sort de sa boite, mais pas pour longtemps puisqu’elle se retrouve à nouveau prisonnière de la main de la fille qui vient de l’empoigner fermement. J’avoue que la différence est énorme et que je préfère nettement ce genre d’emprisonnement. Je suis plutôt enthousiasmé par la perspective d’une belle branlette en règle, mais à ma grande surprise, la main qui me tient me tire vers l’avant m’incitant à glisser sur le sable pour m’approcher davantage. En faisant de même elle glisse elle aussi sur ses avant-bras sans me lâcher et tend son cou, redresse la tête et me regarde en ouvrant la bouche et en tirant la langue… la salope !
Devinant son intention sans ambiguïté, je cambre mon bassin vers l’avant, bien assez pour que mon gland se retrouve entre ses lèvres qu’elle referme aussitôt en commençant une savante succion tandis que ses doigts descendent vers mes testicules, les englobant totalement et effleurant leur peau tendue par le désir. J’adore qu’on me caresse les couilles, je resterai ainsi pendant de longs moments, au bord de la jouissance rien qu’avec ce contact de doigts experts malaxant doucement ce qu’ils feront exploser plus tard. Je suis donc là à peloter la fille qui me suce goulument, je jette alors un regard vers son amie en pensant qu’elle n’avait rien vu, bien au contraire : visiblement elle n’en a pas perdu une miette car je vois qu’elle se caresse les seins langoureusement avec une main, passant de l’un à l’autre, s’attardant sur chaque téton, les pinçant, et les titillant tour à tour.

Elle fait mine de ne pas m’apercevoir mais dès qu’elle sent que je l’observe, elle entame un léger mouvement qui fait onduler son corps parfait. Elle plie légèrement ses jambes toujours écartées et s’appuie à présent sur ses talons, son bassin remonte, son cul se soulève et quitte le sol, puis son dos presque tout entier, l’amplitude du mouvement augmente et je m’imagine me positionnant face à elle à genoux entre ses cuisses, lui arrachant son mini string et lui léchant la chatte avec avidité avant de lui saisir les hanches pour la pénétrer fougueusement. Cette vision déculpe mon érection et je sens ma bite qui s’enfonce encore plus profondément dans la bouche offerte de ma suceuse qui salive comme jamais sans prendre le temps de faire une pose ne serait-ce que pour respirer un peu.
Souvent lors d’une pipe, la fille s’accorde quelques seconde de répit avant de reprendre son œuvre, mais là non, elle continue de plus belle englobant toute ma bite avec son nez collé à mon ventre, sa langue virevoltant autour de ma verge gonflée. Je détourne à nouveau le regard pour tenter de calmer un peu mon ardeur afin de ne pas éjaculer tout de suite. C’est peine perdue car la jolie blonde d’à côté a dénoué les cordons de son string qui a glissé dans le sable. Elle a introduit deux doigts dans sa chatte sans cesser son déhanchement impudique, ses cuisses écartées au maximum.

Elle a ôté ses lunettes de soleil, et me regarde fixement les yeux mis clos, la bouche ouverte et le souffle court, elle se branle frénétiquement reluquant alternativement mes yeux mouillés d’envie et la scène qui se déroule a quelques centimètres des siens. Visiblement ça l’excite grave de voir sa copine avaler ma bite ainsi. Elle m’avoueront d’ailleurs un peu plus tard que c’est un jeu entre : l’une se masturbe en regardant l’autre qui s’occupe d’un mec, et c’est chacune leur tour. Donc quoiqu’il arrive mon sort était scellé à partir du moment où je les ai croisé.
Réalisant que le trio que nous formons pourrait être plus cohérent, je continue de caresser les seins de la rousse d’une main et je m’approche de ceux de la blonde de l’autre, bingo, c’est tout ce qu’elle espérait ! En gémissant sous mes doigts, elle tend alors son bras libre en direction de mon entre jambe et se met à me caresser la partie sensible de tous les hommes (entre les testicules et l’anus), je suis aux anges ! Cette fois-ci s’en est trop : je suis entrain d’admirer recto verso deux filles qui se pâment, j’ai les mains qui s’occupent de deux paires de seins sublimes, et j’ai la bite engloutie par une bouche incroyable, c’est le moment pour moi de jouir sans retenue.
Comme je le pressentais la fille ne se retire pas et aspire goulument mon sperme chaud qui déborde même hors de sa bouche. L’autre fille sentant quelques gouttes couler sur ses doigts en profite pour s’offrir un orgasme synchronisé tout en pressant légèrement mes boules comme si elle voulait les vider intégralement. Petit détail qui fait la différence : juste avant le moment fatidique, elle avait avalé une bonne part de crème glacée qu’elle laisse à présent s’échapper de ses lèvres entre-ouvertes comme pour me dire : la prochaine fois ce sera moi.

Des prochaines fois il y en eut plusieurs puisque nous avons eu l’occasion de passer des moments ensemble, testant des combinaisons sexuelles inédites et parfois étonnantes… « J’aime regarder les filles, le soleil sur leur peau, leurs hanches qui balancent, leurs poitrine gonflées, quand elles se déshabillent et font semblant d'être sages ».

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Texte coquin : Les filles sur la plage
Histoire sexe : Une rose rouge
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