Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode huit : Le retour du père
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode huit : Le retour du père
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode huit : Le retour du père
Je ne revis Warda que deux semaines plus tard. Deux semaines au cours desquelles je me suis beaucoup morfondu. Non seulement Warda me manquait, mais j’étais aussi très inquiet pour elle. Elle m’avait raconté que Mohand le père de Sofiane et de Kamel s’était de nouveau manifesté pour réclamer son épouse. Et en même temps, m’avait-elle annoncé, il exigeait sa présence à elle. Elle ne m’en avait pas dit plus. Toutes sortes de mauvaises pensées s’entrechoquaient dans ma tête. Et mon imagination délirante aidant, toutes sortes de scénarii, tous aussi noirs les uns que les autres, envahissaient ma pensée.
J’étais plusieurs fois tenté d’appeler Slim, pour prendre des nouvelles de sa femme et m’inquiéter de son silence. Je voulais lui demander de m’éclairer sur ce qui était entrain de se passer et surtout de me rassurer sur la situation de son épouse. Je n’avais pas osé aller jusque là. Il me fallait rester dans mon rôle de chroniqueur et ne pas interférer dans la vie de Warda et de Slim. Mais cette période de silence de Warda, m’avait fait vraiment prendre conscience de l’importance qu’elle avait prise dans ma vie. Elle m’était devenue aussi indispensable que l’air que je respirais. Bien que sachant que je n’avais absolument aucune chance de faire partie de sa vie réelle, je ne pouvais m’empêcher de rêver d’elle et d’espérer qu’un jour, elle soit fatiguée de sa vie de libertine et qu’elle finisse par déposer ses bagages d’éternelle voyageuse de l’amour, pour venir jeter l’ancre auprès de moi. Je voulais devenir son nouveau et dernier port d’attache.
J’en étais là dans mes pensées, quand au bout du quinzième jour, Warda, me téléphona pour me donner rendez-vous pour le lendemain. Elle voulait que je l’invite à diner. Elle avait beaucoup de choses à me raconter me dit-elle. D’une part elle devait m’expliquer son silence de deux semaines et d’autre part, m’annoncer qu’elle préparait un voyage en France, pour y rencontrer quelqu’un d’exceptionnel. J’étais heureux de l’entendre. Et encore plus de la rencontrer. Même si je commençais déjà à m’inquiéter de la nouvelle aventure à Paris, qu’elle semblait préparer avec beaucoup d’enthousiasme.
Je sentais avec angoisse, que j’étais entrain de devenir jaloux. Je ne voulais pas qu’elle parte en France. Il me semblait que si elle quittait le pays, même pour un simple voyage d’agrément, elle ne reviendrait plus et que je la perdrais pour toujours. Mais quand je la vis pénétrer dans notre petit restaurant du centre d’Alger, plus belle et sensuelle que jamais, toutes mes angoisses s’effacèrent. Il ne restait plus que le bonheur discret et secret de l’avoir à mes côtés pour une heure ou deux.
- Bonsoir ma grande ! lui dis-je en guise de bienvenue. Voilà une trotte que je ne t’ai vue. Tout va très bien pour toi, j’espère !
- Bonsoir ! Oui tout va très bien ! Tu ne vois donc pas que je suis heureuse !
- Raconte !
Et voilà comment Warda, redevenue Shahrazade, me raconta ses aventures amoureuses pendant cette quinzaine de jours, au cours desquels elle ne m’avait plus donné de ses nouvelles et m’avait laissé me morfondre.
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Quelques jours seulement après le retour en France de Kamel et Emmy, Aïcha reçut un coup de fil de son mari qui venait de rentrer d’un voyage d’affaire en Allemagne. Il demandait à sa femme de rejoindre le bercail, pour tout le temps qu’il restera à la maison. Il lui demanda aussi – exigea serait plus juste – que je vienne avec elle. Il ne lui expliqua pas une telle exigence, qu’il n’avait encore jamais formulée auparavant.
D’un côté Aïcha était assez contente de retrouver son mari et ses coups de reins de taureau, mais d’un autre, elle appréhendait un coup fourré de sa part. Il en avait déjà beaucoup montés, depuis qu’elle était devenue son épouse. Elle supposait qu’il s’était simplement rappelé tout le plaisir qu’il avait pris à me tirer la dernière (et seule) fois où il m’avait rencontrée et qu’il espérait recommencer une autre fois. C’était aussi ce que je supposais et demandais à nos deux hommes ce qu’ils en pensaient et, surtout, ce que nous devrions faire.
- Aïcha a raison, dit Slim. C’est sûr que Mohand est en manque de sexe et qu’il veut une autre femme, à côté de la sienne. Deux superbes nanas pour un seul mec ! Quel pied ! Je pense qu’il faudra y aller, pour ne pas l’enrager et le pousser à garder définitivement sa femme. Ce serait une catastrophe pour nous ! Et puis, je pense que toutes les deux meurent d’envie de gouter une fois de plus au formidable coup de rein de Mohand. J’ai tort ?
- Non ! répondit Aïcha. C’est vrai que Mohand est un vrai taureau au lit ! Il me fait chaque fois grimper aux rideaux ! Il ne tombe jamais en panne ! Et Warda aussi, m’a avoué qu’elle avait beaucoup aimé se faire piner par mon mari ! Donc nous y allons ensemble et advienne que pourra !
Nous partîmes donc, dans la fameuse voiture noire de Sofiane, qui nous accompagna jusqu’à l’entrée de la belle villa de Mohand et Aïcha. Il nous lâcha là, après avoir donné à chacune de nous un léger baiser et nous avoir envoyé une œillade coquine en guise d’encouragement. Aïcha avait ses clés. Elle ouvrit la porte d’entrée de la maison qui donnait sur le jardin et nous entrâmes, nous attendant à trouver Mohand sur le palier de la maison. Il n’y était pas. Il devait donc être à l’intérieur. Aïcha ouvrit donc la porte de la villa et nous y entrâmes. Un bruit de musique – de la musique classique !- totalement incongrue dans ce lieu, parvenait du salon. Nous y allâmes et trouvâmes, non pas Mohand, mais un géant blond, véritable armoire à glace, immense et massif. Il ne nous vit pas tout de suite, occupé qu’il était à écouter un morceau de musique joué par un grand orchestre (je sus par la suite qu’il s’agissait de la symphonie héroïque de Ludwig van Beethoven, joué par l’orchestre d’Herbert van Karajan) et à mimer le chef d’orchestre avec ses bras et ses mains.
- Bonjour ! dis Aïcha pour manifester notre présence.
L’homme arrêta la direction fictive de l’orchestre qui jouait, se retourna et sembla étonné de se trouver en face de deux belles femmes.
- Bonjours ! répondit-il avec un fort accent, que je mis un peu de temps à reconnaître. Je suis Frantz, un ami et partenaire de Mohand. Il est sorti régler un petit problème et m’a demandé d’attendre gentiment son épouse. Vous êtes certainement Aïcha, la femme à Mohand, dit-il en regardant mon amie.
- Oui ! Et voici Warda, mon amie ! Mettez-vous à l’aise et faites comme si on n’était pas là. Continuez à faire le chef d’orchestre ! C’était très mignon, se moqua-t-elle gentiment.
- Je vais éteindre la chaîne ! Vous êtes splendides ! Toutes les deux ! Mohand m’avait averti que je serais ébloui par la beauté de son épouse ! Il avait tout faux ! Je suis aveuglé par la beauté de deux merveilles !
Flattées, nous nous mîmes à dévisager l’homme sans vergogne et sans honte ! Il était vraiment à croquer, même avec sa carrure d’armoire à glace. Il se dégageait de lui une telle force et une telle virilité, que je sentis tout de suite mon corps parcouru par des frissons. Des frissons que je connaissais maintenant parfaitement, et qui étaient annonciateurs de désir et d’excitation sexuels. Dans la seconde même où il se retourna pour nous regarder, je savais que je voulais cet homme là ! Qu’il me le fallait ! Je regardais Aïcha et je sus tout de suite qu’elle était dans le même état d’esprit que moi. Mais là, j’avais l’avantage sur elle : elle se devait en priorité à son mari et moi j’étais libre !
L’homme était blond aux yeux bleus. Un bleu acier, qui semblait durcir son regard et le rendre menaçant. Mais la dureté de son regard était atténuée par la douceur du sourire qu’il avait en permanence sur les lèvres. Des lèvres fines, très légèrement ourlées, entourant une grande bouche, avec à l’intérieur deux rangées de dents blanches, régulières, avec des canines pointues de carnassier. Il était vraiment massif, malgré sa très forte taille – supérieure à un mètre quatre-vingt dix. Il portait un pantalon de jogging et un tee-shirt gris. Il avait le corps d’un lutteur, avec des épaules larges et rondes, des pectoraux proéminents, une taille forte, un bassin étroit et des jambes longues et musclées. Un véritable taureau de combat, pensai-je.
- Asseyez-vous, mesdames, dit-il avec son merveilleux accent chantant germanique. (C’était un allemand originaire de Frankfurt, l’immense port fluvial sur le Main). Je vais vous servir un rafraichissement.
Et comme s’il était le maître de maison, il alla directement au bar, au fond du salon, prit deux verre, y versa du jus d’abricot et nous les ramena. Nous lui prîmes les verres des mains et y trempâmes nos lèvres. Notre esprit à toutes les deux, était trop occupé à jauger le bonhomme, pour avoir vraiment envie d’un rafraichissement. Moi je regardais Frantz (je trouvais ce prénom vraiment viril !) qui était debout devant nous et cherchais à deviner la taille de son sexe, dont le pantalon de jogging trop ample qu’il portait, ne laissait rien entrevoir. Je supputais un énorme vit, proportionnel à la taille du bonhomme. J’en bavais déjà.
Ce fut le moment que choisit Mohand pour faire son apparition. J’avais entendu vaguement le moteur d’une voiture qui s’était arrêtée devant la maison et repartir presqu’immédiatement. Mais j’étais tellement occupée à dévorer mon allemand des yeux, que je n’y prêtais aucune attention. Il entra dans le salon silencieusement et se mit à observer la scène que nous formions tous les trois. Deux femmes assises sur le canapé entrain de baver devant un bel apollon.
- Fermez un peu votre bouche ! Vous bavez tellement que c’en est indécent ! Il est beau n’est-ce pas ! (C’était moi qu’il regardait). J’ai besoin de toi pour t’occuper de lui ! me dit-il. Frantz et moi sommes en affaires. Je l’ai invité à passer une dizaine de jours de vacances dans le pays et je lui ai promis de lui faire visiter le Grand Sud. Nous partirons tous les quatre, demain matin, vers Djanet. Nous ferons un safari de quelques jours dans le Tassili et le Hoggar.
- Mais moi je ne peux pas partir, sans l’accord de mon mari ! rétorquai-je, plus pour dire quelque chose, que pour m’opposer à la décision qu’il avait prise sans nous consulter, sa femme et moi. Et puis, il y a mon travail ! Je ne peux pas m’absenter comme cela, à ma guise !
- C’est déjà réglé ! Ton patron ne peut rien me refuser et je l’ai déjà informé que tu t’absenteras une dizaine de jours. Quant à ton mari, tu l’appelles et tu l’informes ! Idem pour Sofiane, qui devra lui aussi patienter avant de retrouver Aïcha, ma femme et sa belle-mère.
Il disait cela d’un air moqueur, sachant qu’aucune de nous n’allait s’opposer à lui. Il tendit le bras vers sa femme pour l’inviter à le suivre. Je devinais bien pourquoi ! Aïcha ne se fit pas prier pour prendre la main tendue et partir avec son mari vers une chambre à l’étage. Nous restâmes seuls Frantz et moi, nous regardant, presque timidement. J’attendais qu’il fasse le premier pas. Je savais bien que Mohand nous avait laissé seuls pour que l’allemand, à qui il avait certainement parlé de moi et de mes tendances de nymphomane, passe du bon temps dans mes bras.
- Vous êtes marié ? dis-je, juste pour dégeler l’atmosphère.
- Oui ! Et j’ai deux enfants ! Un garçon – Herbert – et une fille – Mercedes. Dix-huit et seize ans ! Ma femme est restée en Allemagne pour gérer mes affaires, pendant que je prends un peu de bon temps.
- Elle a confiance en vous ? Elle sait que vous allez la tromper avec une algérienne ?
- Elle me trompe aussi ! Pour cela, nous sommes un couple libre ! Nous ne faisons plus l’amour ensemble depuis une dizaine d’années. Elle a ses amants et j’ai mes maîtresses ! Et c’est très bien ainsi ! Même les enfants sont au courant et acceptent la situation.
- Tu me trouves belle ? (Je passais subitement au tutoiement, pour lui montrer que j’étais bien disposée envers lui, et que c’est maintenant à lui de conclure)
- Plus que cela ! Mohand m’avait promis une femme extraordinaire de sensualité ! Et tu es bien cela ! Tu es belle ! Tu as les formes d’une vraie pin-up et, si tu regarde le devant de mon pantalon, tu verras combien il est tendu !
C’est vrai que le devant de son pantalon ressemblait à une tente, tant il était tendu. Il était toujours debout devant moi, à environ deux mètres. Je tendis les bras pour lui signifier de s’approcher. Il le fit, d’un pas encore hésitant, comme s’il ne savait pas encore comment s’y prendre avec moi. Je tendis la main droite vers le sexe qui tendait le tissu du pantalon de jogging et eut une vraie secousse électrique en le touchant. Il paraissait vraiment énorme ! Mes lèvres eurent immédiatement un sourire de lionne affamée. Le plat me paraissait vraiment prometteur. Je le caressais tout doucement, rien que pour m’habituer à le toucher, puis je m’emparais fermement du manche en essayant de le prendre dans ma main. J’eus du mal à en faire le tour avec une seule main. Il était vraiment gigantesque.
Je voulais le voir. Sans plus attendre je glissai deux doigts de part et d’autre de l’élastique du pantalon et d’un coup brusque je le rabaissai jusque sur les genoux. Et le miracle de la nature, libéré de sa prison de tissu, vint narguer mon regard et mes sens. Il était long, gros, lisse avec un chapeau pointu. Il était complètement épilé et frémissait de désir. Je le repris dans ma main et essayait de le branler. Un autre miracle se produisit, non seulement il était beau, mais en le branlant je me rendis compte que la peau était mobile et qu’en le masturbant, elle recouvrait le gland. Un zob non circoncis ! Avec un prépuce qui n’était pas totalement tendu et qui recouvrait et dénudait le gland en fonction des allers-retours de ma main. Je me dis que le zob de mon partenaire pouvait encore grandir ! Un bonheur pour la nymphomane que j’étais entrain de devenir !
Je regardais Frantz dans les yeux pour essayer de deviner ce qu’il pensait et surtout ce qu’il voulait que je lui fasse, ou que lui me fasse. Il avait ouvert la bouche pour mieux respirer et il poussait des petits gémissements de plaisir. Il aimait ce que j’étais entrain de lui faire. A son regard qui brillait de mille étoiles, je compris qu’il me laissait la conduite des évènements. Qu’il était à mes ordres ! Que je pourrais lui faire faire ce que je voulais ! Je voulais embrasser le monstre et sentir son odeur. Je voulais sentir sous mes lèvres les palpitations de la grande veine bleuâtre que je voyais battre au dessous du gland. Je voulais lécher les couilles qui étaient tellement contractées qu’elles ressemblaient à une belle pierre ronde, un peu mate et très dure.
J’approchais ma bouche du monstre et immédiatement je fus frappée par l’odeur d’homme qui se dégageait de l’endroit. Une odeur forte et aphrodisiaque: une odeur de propre et de musc. Une odeur qui m’enivra immédiatement. Je humais avec délectation, avant de poser mes lèvres sur le gland et sortir ma langue pour le titiller. Je le sentis qui se crispa et qui posa ses immenses paluches sur ma tête, sans appuyer; rien que pour me faire comprendre qu’il adorait la sensation que lui procurait mes lèvres et ma langue sur son sexe. Il semblait surtout aimer que je lui titille le gland. En effet à chaque fois que mes lèvres revenaient sur lui, je sentais une pression plus forte de sa main sur ma tête et entendais un gémissement plus sonore. En même temps que j’embrassai et léchait son sexe, je continuais à le masturber en jouissant presque à la vue du gland que la peau du prépuce recouvrait puis dénudait. C’était une vision de paradis, qu’aucun des zobs des hommes que j’ai connus jusqu’ici, ne m’avaient encore donnée.
J’étais curieuse de connaitre la sensation qu’un tel sexe, non circoncis, allait me procurer quand il s’occupera de ma chatte et de mon cul. Il me semblait que l’élasticité de la peau du prépuce allait encore accroitre la longueur du chemin, que le beau vit allait faire à l’intérieur de mes tunnels. J’en bavais par avance. Je voulus me faire tirer tout de suite. Je voulais connaître immédiatement la sensation d’être possédée par mon allemand; mon « gaouri », non circoncis. Je savais que lui attendait que je lui fasse d’abord une belle fellation et qu’il ait une première jouissance dans ma bouche. Mais moi je voulais d’abord jouir, avoir un très fort orgasme. Peu importe le trou par lequel, il arrivera.
- Baise-moi ! ordonnais-je subitement.
Il semblait surpris par ma demande. Et ne répondit rien. Je me levais, enlevais ma jupe en un tour de main et restait en petite culotte de soie noire. J’allais immédiatement me mettre à quatre pattes en travers du canapé et attendis qu’il prenne lui-même la décision de me piner par le cul ou par le vagin. Je tournai la tête pour regarder ce qu’il allait faire. Il resta un long moment immobile à regarder, avant de s’avancer et poser son énorme main droite sur mon cul. Il tâta un court moment mes fesses et je sentis un doigt, puis deux aller et venir le long de la raie de mes fesses, par-dessus ma culotte. Le cochon voulait m’enculer ! J’attendis avec impatience ce qu’il allait faire.
Je sentis ses doigts s’insinuer à l’intérieur de l’élastique de ma petite culotte et tirer de manière à ce qu’elle descende jusque sur mes genoux. Puis les mêmes doigts que tout à l’heure reprirent possession de la raie et allaient et venaient lentement, en s’attardant, chaque fois un peu plus longuement, sur l’anneau de mon anus. Il avait été largement ouvert par les gros zobs de mes amants, mais il me semblait que les gros doigts de mon allemand avaient du mal à y pénétrer. Il retira ses doigts un court instant. Je me retournais pour voir ce qu’il était entrain de faire. Je le vis cracher sur sa main et venir enduire mon anus avec la salive qu’il avait crachée. Il recommença deux fois en essayant de faire pénétrer les deux doigts à l’intérieur de mon boyau. Il y arriva au bout de la troisième fois.
Il fit faire à ses doigts des mouvements de pénétration de mon cul, tout en les tournant et retournant à l’intérieur pour ouvrir encore plus mon anus. Il les retira au bout d’environ une minute et je le vis qui cracha une fois encore dans sa main droite pour en enduire, cette fois-ci, son zob pour qu’il pénètre plus facilement mon cul. Je fermais les yeux et me mis en attente du monstre qui allait me défoncer le cul. Je savais qu’il allait me faire très mal. Mais je voulais absolument ressentir cette sensation d’être possédée par cet immense zob d’européen non circoncis. Je voulais connaître l’effet qu’il ferait dans mon boyau. Je sentis le gland dur et pointu se poser un moment à l’entrée de mon anus, attendre un court moment et pénétrer, d’un coup brusque, jusqu’au fond de mon cul.
- Aiiiiieeeee ! hurlai-je. Doucement ! Ça fait trop mal !
J’avais beau m’attendre à ressentir de la douleur, mais pas avec une telle intensité !. C’était vraiment comme s’il me déchirait l’anus. Je m’attendais d’ailleurs à sentir couler le sang, tellement j’avais l’impression qu’il m’avait blessée. Frantz ne tint aucun compte de mes protestations. Il avait l’habitude d’entendre crier ses maîtresses, victimes de son monstre. Il revint lentement vers l’entrée de mon cul et repartit aussitôt avec la même force que tantôt. Je criais encore très fort, dans l’espoir qu’il arrête un moment; le temps que la douleur s’estompât. Il n’en fit rien. Il repartit de plus belle, avec la même puissance. Puis petit à petit, mes cris de douleur s’estompèrent, remplacés par des petits cris de plaisir, qui devinrent rapidement des hurlements.
Je sentais maintenant toute la douceur du membre. Je me l’imaginais à l’intérieur, s’allonger jusqu’à vouloir ressortir par ma bouche. J’imaginais le prépuce qui recouvrait et découvrait le gland au fur et à mesure qu’il allait et venait dans mon cul. Et j’entendais, par-dessus mon épaule, entre l’intervalle de mes hurlements, les gémissements de mon amant, qui semblait être monté au ciel en même temps que moi. Il me tirait, toujours à la hussarde, avec la même énergie, à un rythme de plus en plus rapide et avec de plus en plus de vigueur. Je savais qu’il n’allait pas tarder à jouir. Mais moi je voulais qu’il reste encore longtemps dans mon cul. Je me sentais tellement bien avec le monstre à l’intérieur de mon rectum, que j’avais peur de la sensation de vide qu’il allait créer en en sortant.
Je continuais à hurler de plaisir et j’avais envie de parler ! J’avais envie de dire ce que je ressentais ! Je savais que mon « gaouri » ne comprendrait rien ! Mais je voulais qu’il m’entende lui dire que j’adorais son zob ! Son gros zob dans mon cul ! J’hésitais encore à y aller, puis incapable de me retenir – surtout que les mots, les phrases et les grossièretés que je voulais prononcer, étaient indispensables pour m’accompagner dans ma jouissance.
- Plus fort avec ton gros zob ! Plus vite ! Déchire-moi le cul ! J’aime les gros zobs comme le tien ! J’adore les gros zobs dans mon cul ! Je le sens bien dans mon cul ! Il a trouvé sa maison ! Je suis aussi pressée qu’il s’occupe de ma chatte ! De mon Hatchoun ! Zob ! Hatchoun ! Hatchoun ! Zob !
Et l’orgasme arriva en moi comme un tsunami ! Il m’enveloppa totalement et me fit perdre toute conscience de mon corps et de moi-même ! Je n’étais plus dans mon corps ! D’ailleurs, je ne savais pas où j’étais ! Je jouissais et c’était tout ! Et je jouis encore plus quand je sentis la première giclée d’un sperme, brulant et visqueux, inonder mon cul et ressortir aussitôt, expulsé par le gros zob qui continuait à aller et venir à l’intérieur de mon boyau. J’entendais mon « roumi » pousser un énorme cri de plaisir qui dura une éternité, avant de se transformer en sifflement. Il continuait à bombarder mon cul avec autant de force qu’au début et ne s’arrêta que quand il n’eut plus une seule goutte de sperme à m’offrir. Il s’affala sur mon dos en lançant ses mains vers mes seins, pour les caresser un moment.
Je reprenais ma respiration, en restant à l’écoute de ces immenses paluches qui malaxaient ma poitrine avec beaucoup de douceur. J’en étais toute étonnée: des mains si puissantes capables d’une telle douceur ! Je me mis à ronronner comme une chatte repue et heureuse. Mon « roumi » pesait lourd et me fatiguait, mais je voulais qu’il reste encore longtemps comme cela, le sexe un peu ramolli toujours dans mon cul, les mains entrain de caresser mes seins et la tête posée entre mes omoplates. Il comprit que j’aimais ce qu’il me faisait, mais ne tarda pas à se lever parce qu’il savait que je n’en pouvais plus de supporter son poids. Il sortit de mon cul et vint s’assoir à côté de moi sur le canapé. Comme mon cul coulait encore de tout le sperme qu’il avait reçu, je ne voulus pas me retourner pour m’assoir moi aussi à ses côté. Je descendis du canapé et me mis à genoux entre les jambes de l’allemand.
Je regardais son bel engin, maintenant au repos, avec le gland complètement recouvert par le prépuce. Il avait pris la couleur marron de mes sécrétions anales. Je le regardais un moment, puis levais la tête pour faire un beau sourire à Frantz, comme pour lui dire : « tu n’as encore rien vu ! ». Je pris son sexe repus et mou entre deux doigts et avançai la tête. Je le regardais encore une fois en lui souriant, puis me mis à le lécher et à le sucer pour le nettoyer. J’avais pris cette habitude avec mes hommes de leur nettoyer leur sexe après qu’il m’eût enculée. Mais d’évidence Frantz ne s’attendait pas à ce que je lui fasse une telle chose. Il se crispa un peu, puis se relâcha très vite avec la sensation de douceur et le plaisir qu’il prenait à se faire sucer ainsi.
Je voyais le beau zob de mon homme se remettre à frémir et donner des signes d’érection. Oh bonheur ! J’allais voir le gland sortir de sa cachette, au fur et à mesure que le zob allait prendre du volume. Quel spectacle ! Je crois que jamais de ma vie, je ne me fatiguerai à regarder un magnifique zob non circoncis se mettre en érection ! Voir le gland tuméfié, sortir ainsi de dessous sa capuche et se dresser comme un sabre prêt à pourfendre chattes et culs, c’est certainement le plus beau des spectacles pour une femme comme moi : une femme aimant le sexe et allant allègrement sur la voie de la nymphomanie aigüe.
Le zob de Frantz atteignit très vite des proportions monumentales. Je le regardais longuement (en bavant presque, tellement je le voulais encore en moi !) et levais la tête pour regarder le visage de mon homme. Il souriait en bavant lui aussi (un filet de salive coulait du coin de sa bouche, sans qu’il n’en fût conscient) et gémissait de plaisir. Il avait aimé l’opération de nettoyage de son engin et continuait de tenir ma tête pour que ma bouche poursuive son œuvre. Mais moi je voulais maintenant autre chose. Je voulais m’empaler sur le monstre et le sentir me remplir le vagin. Je ne voulais pas m’allonger ou même me mettre à quatre pattes comme tout à l’heure, pour qu’il me tire en levrette. Non ! Ce que je voulais c’était de m’assoir sur son sexe et me l’enfoncer moi-même à l’intérieur de mon vagin. Je voulais le faire aller le plus loin possible dans mes entrailles.
Je me levai et allai me mettre à califourchon sur ses cuisses. Il comprit très vite mon désir et fit tout pour me faciliter la tâche. Il prit son engin dans une main et positionna le gland de manière à le mettre en dessous de mes grandes lèvres, qui coulaient de mouille, tellement j’étais excitée à l’idée de chevaucher le gros zob de mon « gaouri ». Quand je sentis le gland qui pénétrait doucement entre mes grandes lèvres, je m’assis brusquement et ressentis l’une des plus belles sensations de ma vie de baiseuse. Le monstre glissa avec douceur le long de la paroi de mon vagin, qui le moulait parfaitement, et alla jusqu’au fond. J’avais l’impression qu’il avait parcouru des kilomètres à l’intérieur de mon tunnel. Il me semblait aussi qu’il cognait sur quelque chose de dur à l’intérieur de mon ventre et qu’il voulait le détruire. Ce furent mes fesses, cognant brutalement sur le pubis de Frantz, qui arrêtèrent cette sensation d’un engin qui perforait mon ventre pour aller dans ma gorge et ressortir par la bouche.
Je m’accrochais à la nuque de taureau de mon amant, en le regardant dans les yeux, avec le sourire gourmand de la lionne en chaleur. Pour la première fois, j’avais envie d’être embrassée en même temps que baisée. J’avais la bouche de mon homme en face de la mienne. Je n’attendis pas qu’il fasse quoi que ce soit. Je lui roulai une pelle, tellement torride et humide, que tous les deux nous perdîmes toute notion de temps et de lieu. Plus rien ne comptait plus que ma langue qui occupait la bouche de mon homme et qui s’amusait avec sa langue et buvait toute la salive qu’elle pouvait ramasser. Plus rien n’avait de signification que ses énormes paluches qui tenaient ma taille et qui soulevaient mon bassin de plus en plus haut et de plus en plus vite. Plus rien ne comptait plus, sinon, cette sensation de douce brulure dans mon vagin, qui provenait du frottement du gland sur la paroi de mon tunnel.
Plus rien n’avait d’importance que cette jouissance que je sentais arriver avec force et puissance et qui allait m’inonder de bonheur dans quelques minutes. Et plus rien n’avait de valeur que le bonheur que je voyais dans les yeux de mon homme, que je sentais sur le point de jouir et d’éjaculer avec force. Lui et moi eûmes en même temps un orgasme très puissant qui le fit crier de plaisir et me fit hurler de bonheur. Quand il s’arrêta de me soulever le bassin et de le redescendre pour que je m’empale sur son engin, il m’embrassa sur les yeux et sur le front et fit la remarque suivante :
- Tu es une femme superbe ! Je croyais les femmes algériennes, et musulmanes en général, plus discrètes quand elles font l’amour. On m’a toujours affirmé que leur jouissance était discrète, parce que c’était mal vu de montrer son plaisir en se faisant tirer par un homme. Je suis heureux d’être tombé sur une exception !
- Et moi, je suis heureuse de t’avoir connu ! Je m’étais toujours demandée comme c’était que de se faire tirer par un zob non circoncis ! Et bien, j’en redemande ! C’était super !
- Qu’est-ce qui est super ? dit une voix derrière mon dos. Ne me dis pas que tu préfère le zob d’un « gaouri » au mien ou à celui de tes autres amants !
Je ne répondis pas. Je me retournais seulement pour voir Mohand qui matait mon cul, encore posé sur le pubis de Frantz dont le sexe, un peu ramolli, était encore enfoncé à l’intérieur de ma chatte. Il était nu et tenait par la main Aïcha elle-aussi, toute nue. Je voyais sa grosse moustache bouger comme si elle était entrainée par un tic de sa lèvre supérieure. Je connaissais ce regard de prédateur ! Je connaissais aussi cette expression de désir qu’il avait dans les yeux. « Il veut te tirer » me dis-je en moi-même. Je ne savais pas ce que je ressentais à ce moment précis: étais-je déçue d’être dérangée alors que je n’avais encore atteint les limites du plaisir avec mon allemand ? Etais-je contente de retrouver la brutalité de Mohand, que je connaissais et que j’avais appréciée, les fois où il m’avait tirée comme une chienne ? Etais-je jalouse de voir Aïcha, toute nue et belle comme le jour, devenir l’amante de mon allemand, pendant que son mari allait s’occuper de moi ?
- Viens t’occuper du beau zob de Mohand, pendant que Aïcha s’occupe de refaire bander ton boche !
Il me prit brutalement par le bras pour me faire quitter les cuisses de Frantz et m’obliger à m’agenouiller par terre contre le canapé et à me mettre en position de levrette. Il bandait très fort. Je crois que c’était l’idée qu’il allait me faire comparer deux types de zobs – un non circoncis et un circoncis – qui le faisait bander autant. Je n’eus même pas à retourner pour voir ce qui aller se passer. Je connaissais parfaitement mon homme. Je savais qu’il n’allait prendre aucune précaution pour me tirer comme une chienne. Il baisait toujours comme cela, Mohand. Ses partenaires de jeu, n’étaient que des chiennes, qu’il pinait sans état d’âme et qu’il savait rendre heureuse parce qu’elle jouissait beaucoup, sous ses coups de reins et sous son magnifique zob.
C’était bien comme cela que les choses se passèrent. Mohand me pénétra en force, en ahanant comme un bucheron. Et contrairement à Frantz qui était un amant silencieux, lui il adorait hurler des insanités, qui électrisaient ses sens et les miens.
- Dis à Mohand que c’est lui qui te baise le mieux ! Dis lui que c’est lui le maître de ton hatchoun ! Dis lui que tu adore mon zob dans ton hatchoun ! Dis-le ! Dis-le !
- Ouuiiiiii ! Ton zob dans mon hatchoun ! Zzzzzoooob ! Hatchooooooouun ! Zzzzzoooob !
Mohand continua à pilonner ma chatte à la hussarde et en puissance ! Je sentais qu’il n’allait pas tarder à me faire jouir ! Je n’arrivais pas faire la différence entre les sensations que j’avais eu auparavant avec l’allemand et celle que j’avais à présent ! J’étais bien ! Et j’avais encore envie de jouir ! Qu’importe le zob ! Je voulais prendre mon pied et j’allais le faire ! Sous les vigoureux coups de boutoir de Mohand, le mari de Aïcha qui était entrain de tailler une superbe pipe à l’allemand ! Je sentais que mon partenaire aussi était sur le point de partir. Ses mots et ses phrases n’arrivaient plus à passer les limites de ses lèvres. Il bavait sur mon dos et avait du mal à respirer. Il allait avoir très rapidement une crise d’apoplexie. Il accéléra encore plus ses coups de reins et je l’entendis prendre une profonde inspiration et éclater dans mon vagin. Je sentis le sperme, moins abondant que d’habitude – il avait dû beaucoup arroser sa femme, avant de s’occuper de moi – inonder mon vagin et ressortir en même temps que le jus que je déversais en quantité, en jouissant à mon tour. Ce fut une belle jouissance, plus calme que les deux premières, mais très agréable.
- Comment c’était ? dis Mohand, avec une voix dont je sentais percer un peu d’inquiétude. Il baise mieux que moi, ce salaud qui est entrain de remplir ma femme de son sperme ?
- C’est différend ! Chacun de vous avez un super coup de rein ! Lui en plus, il un zob non circoncis qui donne un autre type de plaisir que le tien et ceux de mes autres petits amis ! Demande à Aïcha !
Aïcha ne pouvait pas répondre. Elle était entrain de pomper avec application le monstre que Frantz avait entre les jambes. En regardant le visage de l’homme, je sus qu’il n’allait pas tarder à éjaculer ce qui lui restait de foutre (pas trop me dis-je, après les deux grosses éjaculations qu’il avait eu avec moi). En effet au bout de quelques secondes, je le vis qui retira brusquement son engin de la bouche de Aïcha, ouverte comme un hangar, tant elle avait du mal à faire pénétrer l’immense zob, et se mettre à se branler vigoureusement. J’étais comme hypnotisée par cette peau qui recouvrait le gland puis qui le laissait apparaître. Aïcha aussi regardait avec admiration l’engin qui allait cracher son foutre sur son visage. Je voulais aussi qu’il crache sur moi. Je vins me mettre à côté de mon amie, bouche ouverte, quémandant ainsi ma part du jus du « gaouri ».
J’avais tout faux en pensant qu’il ne lui en restait pas beaucoup. Et bien il lui en restait assez – bien que moins épais que les premières fois – pour nous inonder Aïcha et moi. Une partie vint directement dans ma bouche, que j’avalais avec délectation. Une autre alla se nicher entre les seins de la belle Aïcha. Une autre encore lui inonda le cou et se mit à glisser vers son épaule. Elle était magnifique avec tout ce foutre sur elle. Elle me regardait avec ses yeux coquins, sachant que dès que notre amant aura cessé de déverser son foutre, j’allais me jeter sur elle pour la lécher, la sucer et l’embrasser. Je reçus la dernière gicle sur les lèvres, avant que notre merveilleux Frantz ne s’effondre, complètement vidé, sur le canapé.
Je me tournais vers Aïcha et lui tendis les lèvres pour qu’elle m’embrasse et avale le foutre que j’avais à l’entrée de ma bouche. Nous nous mîmes à nous lécher mutuellement, pour ramasser et avaler tout le foutre qui était sur nous. Nos hommes nous regardaient avec des yeux brillants. S’ils n’étaient aussi fatigués, j’étais sûre qu’ils nous auraient sauté dessus et repris une autre séance de tirage torride. Heureusement pour nous, ils étaient vraiment sur les rotules et se contentèrent de nous regarder faire et de se moquer de nous. Nous quittâmes rapidement les hommes pour aller nous doucher. Toutes les deux ensembles. Nous continuâmes à nous caresser et nous embrasser sous la douche pendant au moins une heure. Quand nous revînmes dans le salon, nous le trouvâmes vide, nos hommes étant allés eux aussi se doucher.
Nous passâmes le reste de la journée à nous promener – Frantz et moi, surtout – dans le jardin et au bord de la piscine. Mon amant allemand, semblait vraiment bien à mes côtés. Il me tenait par la main, comme un véritable amoureux et ne la lâcha pratiquement plus de la journée. Nous dormîmes ensembles lui et moi, sans rien faire de la nuit, sinon à nous serrer l’un contre l’autre. Mais au matin, je fus réveillée par un magnifique zob qui essayait de trouver sa route entre mes fesses. Il cherchait à me piner par la chatte, allongé derrière moi et en faisant des acrobaties pour trouver la bonne position : celle qui permettrait à son monstre, qui bandait très fort, d’avoir accès à mes grandes lèvres et à mon vagin. Ce fut bien sûr moi qui trouvai la bonne solution, en me mettant dans la position du fœtus, offrant ainsi ma chatte baveuse et ouverte au maître zob. Ce matin là encore, je jouis comme une folle, en hurlant mon bonheur et en réveillant l’autre couple, qui était resté très sage.
Nous partîmes tous les quatre à Djanet et passâmes une dizaine de jours extraordinaires, faite de découvertes touristiques et d’amour torride, à circuler dans l’immensité du Tassili et du Hoggar. Frantz était le plus souvent avec moi. Tout ce temps là j’avais été sa femme et sa maîtresse attitrée; tout comme Aïcha était la femme de Mohand. Cela ne signifiait pas que l’une et l’autre, ne s’offraient pas des instants de plaisir aussi intenses avec le mec attitré de l’autre. Je crois que la dizaine de jours que nous avions passée ensemble avait vraiment été heureuse. Même Mohand, pourtant volage et inconstant, semblait très heureux de la manière dont se déroulaient les évènements. Il s’était comporté tout ce temps là, comme à son habitude, bourru et désinvolte, sauf en ce qui concerne le sexe.
Dans ce domaine, il rivalisait vraiment avec l’allemand. Autant j’aimais la force du sexe de Frantz – qui avait aussi beaucoup de douceur et de tendresse au lit – autant j’adorais la brutalité de Mohand en amour. Quand il délaissait sa femme et venait vers moi, c’était un taureau en rut que je voyais arriver. Celui qui réagissait au quart de tour à la vue du chiffon rouge – en l’occurrence, mon cul dont il était devenu accro – et qui fonçait tête baissée et zob en bandoulière. J’aimais vraiment sa manière de me posséder, de faire de moi, sa chose, l’instrument de son plaisir. Je crois qu’à aucun moment, il n’avait cherché à me faire plaisir, pas même à me faire jouir. Mais il était tellement puissant, tellement endurant, que pas une seule fois, il n’avait joui seul, sans m’emmener avec lui au septième ciel.
Aïcha aussi m’avait dit la même chose. Il ne cherchait jamais, à lui donner volontairement du plaisir, mais elle avait toujours eu son compte avec lui. Elle m’avait même avoué qu’elle avait eu, en plusieurs occasions, deux ou trois orgasmes successifs, pendant que son mari la pinait et que lui n’en avait eu qu’un seul. Il savait retenir l’éjaculation, non pas pour faire plaisir à sa partenaire, mais pour accroitre au maximum, l’intensité de sa jouissance à lui. Il était égoïste, mais tellement puissant et endurant, que Aïcha et moi qui ne l’aimions pourtant pas beaucoup, adorions nous faire tirer par lui.
Puis ce fut le retour sur Alger et le départ de Frantz pour son pays. Il nous fit promettre de lui rendre visite à Frankfurt où dit-il, il nous accueillerait avec bonheur et nous offrirait un séjour aussi agréable que celui que nous lui avons offert ici. Peut-être bien que, Aïcha et moi, le prendrions au mot un de ces jours !
Episode huit : Le retour du père
Je ne revis Warda que deux semaines plus tard. Deux semaines au cours desquelles je me suis beaucoup morfondu. Non seulement Warda me manquait, mais j’étais aussi très inquiet pour elle. Elle m’avait raconté que Mohand le père de Sofiane et de Kamel s’était de nouveau manifesté pour réclamer son épouse. Et en même temps, m’avait-elle annoncé, il exigeait sa présence à elle. Elle ne m’en avait pas dit plus. Toutes sortes de mauvaises pensées s’entrechoquaient dans ma tête. Et mon imagination délirante aidant, toutes sortes de scénarii, tous aussi noirs les uns que les autres, envahissaient ma pensée.
J’étais plusieurs fois tenté d’appeler Slim, pour prendre des nouvelles de sa femme et m’inquiéter de son silence. Je voulais lui demander de m’éclairer sur ce qui était entrain de se passer et surtout de me rassurer sur la situation de son épouse. Je n’avais pas osé aller jusque là. Il me fallait rester dans mon rôle de chroniqueur et ne pas interférer dans la vie de Warda et de Slim. Mais cette période de silence de Warda, m’avait fait vraiment prendre conscience de l’importance qu’elle avait prise dans ma vie. Elle m’était devenue aussi indispensable que l’air que je respirais. Bien que sachant que je n’avais absolument aucune chance de faire partie de sa vie réelle, je ne pouvais m’empêcher de rêver d’elle et d’espérer qu’un jour, elle soit fatiguée de sa vie de libertine et qu’elle finisse par déposer ses bagages d’éternelle voyageuse de l’amour, pour venir jeter l’ancre auprès de moi. Je voulais devenir son nouveau et dernier port d’attache.
J’en étais là dans mes pensées, quand au bout du quinzième jour, Warda, me téléphona pour me donner rendez-vous pour le lendemain. Elle voulait que je l’invite à diner. Elle avait beaucoup de choses à me raconter me dit-elle. D’une part elle devait m’expliquer son silence de deux semaines et d’autre part, m’annoncer qu’elle préparait un voyage en France, pour y rencontrer quelqu’un d’exceptionnel. J’étais heureux de l’entendre. Et encore plus de la rencontrer. Même si je commençais déjà à m’inquiéter de la nouvelle aventure à Paris, qu’elle semblait préparer avec beaucoup d’enthousiasme.
Je sentais avec angoisse, que j’étais entrain de devenir jaloux. Je ne voulais pas qu’elle parte en France. Il me semblait que si elle quittait le pays, même pour un simple voyage d’agrément, elle ne reviendrait plus et que je la perdrais pour toujours. Mais quand je la vis pénétrer dans notre petit restaurant du centre d’Alger, plus belle et sensuelle que jamais, toutes mes angoisses s’effacèrent. Il ne restait plus que le bonheur discret et secret de l’avoir à mes côtés pour une heure ou deux.
- Bonsoir ma grande ! lui dis-je en guise de bienvenue. Voilà une trotte que je ne t’ai vue. Tout va très bien pour toi, j’espère !
- Bonsoir ! Oui tout va très bien ! Tu ne vois donc pas que je suis heureuse !
- Raconte !
Et voilà comment Warda, redevenue Shahrazade, me raconta ses aventures amoureuses pendant cette quinzaine de jours, au cours desquels elle ne m’avait plus donné de ses nouvelles et m’avait laissé me morfondre.
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Quelques jours seulement après le retour en France de Kamel et Emmy, Aïcha reçut un coup de fil de son mari qui venait de rentrer d’un voyage d’affaire en Allemagne. Il demandait à sa femme de rejoindre le bercail, pour tout le temps qu’il restera à la maison. Il lui demanda aussi – exigea serait plus juste – que je vienne avec elle. Il ne lui expliqua pas une telle exigence, qu’il n’avait encore jamais formulée auparavant.
D’un côté Aïcha était assez contente de retrouver son mari et ses coups de reins de taureau, mais d’un autre, elle appréhendait un coup fourré de sa part. Il en avait déjà beaucoup montés, depuis qu’elle était devenue son épouse. Elle supposait qu’il s’était simplement rappelé tout le plaisir qu’il avait pris à me tirer la dernière (et seule) fois où il m’avait rencontrée et qu’il espérait recommencer une autre fois. C’était aussi ce que je supposais et demandais à nos deux hommes ce qu’ils en pensaient et, surtout, ce que nous devrions faire.
- Aïcha a raison, dit Slim. C’est sûr que Mohand est en manque de sexe et qu’il veut une autre femme, à côté de la sienne. Deux superbes nanas pour un seul mec ! Quel pied ! Je pense qu’il faudra y aller, pour ne pas l’enrager et le pousser à garder définitivement sa femme. Ce serait une catastrophe pour nous ! Et puis, je pense que toutes les deux meurent d’envie de gouter une fois de plus au formidable coup de rein de Mohand. J’ai tort ?
- Non ! répondit Aïcha. C’est vrai que Mohand est un vrai taureau au lit ! Il me fait chaque fois grimper aux rideaux ! Il ne tombe jamais en panne ! Et Warda aussi, m’a avoué qu’elle avait beaucoup aimé se faire piner par mon mari ! Donc nous y allons ensemble et advienne que pourra !
Nous partîmes donc, dans la fameuse voiture noire de Sofiane, qui nous accompagna jusqu’à l’entrée de la belle villa de Mohand et Aïcha. Il nous lâcha là, après avoir donné à chacune de nous un léger baiser et nous avoir envoyé une œillade coquine en guise d’encouragement. Aïcha avait ses clés. Elle ouvrit la porte d’entrée de la maison qui donnait sur le jardin et nous entrâmes, nous attendant à trouver Mohand sur le palier de la maison. Il n’y était pas. Il devait donc être à l’intérieur. Aïcha ouvrit donc la porte de la villa et nous y entrâmes. Un bruit de musique – de la musique classique !- totalement incongrue dans ce lieu, parvenait du salon. Nous y allâmes et trouvâmes, non pas Mohand, mais un géant blond, véritable armoire à glace, immense et massif. Il ne nous vit pas tout de suite, occupé qu’il était à écouter un morceau de musique joué par un grand orchestre (je sus par la suite qu’il s’agissait de la symphonie héroïque de Ludwig van Beethoven, joué par l’orchestre d’Herbert van Karajan) et à mimer le chef d’orchestre avec ses bras et ses mains.
- Bonjour ! dis Aïcha pour manifester notre présence.
L’homme arrêta la direction fictive de l’orchestre qui jouait, se retourna et sembla étonné de se trouver en face de deux belles femmes.
- Bonjours ! répondit-il avec un fort accent, que je mis un peu de temps à reconnaître. Je suis Frantz, un ami et partenaire de Mohand. Il est sorti régler un petit problème et m’a demandé d’attendre gentiment son épouse. Vous êtes certainement Aïcha, la femme à Mohand, dit-il en regardant mon amie.
- Oui ! Et voici Warda, mon amie ! Mettez-vous à l’aise et faites comme si on n’était pas là. Continuez à faire le chef d’orchestre ! C’était très mignon, se moqua-t-elle gentiment.
- Je vais éteindre la chaîne ! Vous êtes splendides ! Toutes les deux ! Mohand m’avait averti que je serais ébloui par la beauté de son épouse ! Il avait tout faux ! Je suis aveuglé par la beauté de deux merveilles !
Flattées, nous nous mîmes à dévisager l’homme sans vergogne et sans honte ! Il était vraiment à croquer, même avec sa carrure d’armoire à glace. Il se dégageait de lui une telle force et une telle virilité, que je sentis tout de suite mon corps parcouru par des frissons. Des frissons que je connaissais maintenant parfaitement, et qui étaient annonciateurs de désir et d’excitation sexuels. Dans la seconde même où il se retourna pour nous regarder, je savais que je voulais cet homme là ! Qu’il me le fallait ! Je regardais Aïcha et je sus tout de suite qu’elle était dans le même état d’esprit que moi. Mais là, j’avais l’avantage sur elle : elle se devait en priorité à son mari et moi j’étais libre !
L’homme était blond aux yeux bleus. Un bleu acier, qui semblait durcir son regard et le rendre menaçant. Mais la dureté de son regard était atténuée par la douceur du sourire qu’il avait en permanence sur les lèvres. Des lèvres fines, très légèrement ourlées, entourant une grande bouche, avec à l’intérieur deux rangées de dents blanches, régulières, avec des canines pointues de carnassier. Il était vraiment massif, malgré sa très forte taille – supérieure à un mètre quatre-vingt dix. Il portait un pantalon de jogging et un tee-shirt gris. Il avait le corps d’un lutteur, avec des épaules larges et rondes, des pectoraux proéminents, une taille forte, un bassin étroit et des jambes longues et musclées. Un véritable taureau de combat, pensai-je.
- Asseyez-vous, mesdames, dit-il avec son merveilleux accent chantant germanique. (C’était un allemand originaire de Frankfurt, l’immense port fluvial sur le Main). Je vais vous servir un rafraichissement.
Et comme s’il était le maître de maison, il alla directement au bar, au fond du salon, prit deux verre, y versa du jus d’abricot et nous les ramena. Nous lui prîmes les verres des mains et y trempâmes nos lèvres. Notre esprit à toutes les deux, était trop occupé à jauger le bonhomme, pour avoir vraiment envie d’un rafraichissement. Moi je regardais Frantz (je trouvais ce prénom vraiment viril !) qui était debout devant nous et cherchais à deviner la taille de son sexe, dont le pantalon de jogging trop ample qu’il portait, ne laissait rien entrevoir. Je supputais un énorme vit, proportionnel à la taille du bonhomme. J’en bavais déjà.
Ce fut le moment que choisit Mohand pour faire son apparition. J’avais entendu vaguement le moteur d’une voiture qui s’était arrêtée devant la maison et repartir presqu’immédiatement. Mais j’étais tellement occupée à dévorer mon allemand des yeux, que je n’y prêtais aucune attention. Il entra dans le salon silencieusement et se mit à observer la scène que nous formions tous les trois. Deux femmes assises sur le canapé entrain de baver devant un bel apollon.
- Fermez un peu votre bouche ! Vous bavez tellement que c’en est indécent ! Il est beau n’est-ce pas ! (C’était moi qu’il regardait). J’ai besoin de toi pour t’occuper de lui ! me dit-il. Frantz et moi sommes en affaires. Je l’ai invité à passer une dizaine de jours de vacances dans le pays et je lui ai promis de lui faire visiter le Grand Sud. Nous partirons tous les quatre, demain matin, vers Djanet. Nous ferons un safari de quelques jours dans le Tassili et le Hoggar.
- Mais moi je ne peux pas partir, sans l’accord de mon mari ! rétorquai-je, plus pour dire quelque chose, que pour m’opposer à la décision qu’il avait prise sans nous consulter, sa femme et moi. Et puis, il y a mon travail ! Je ne peux pas m’absenter comme cela, à ma guise !
- C’est déjà réglé ! Ton patron ne peut rien me refuser et je l’ai déjà informé que tu t’absenteras une dizaine de jours. Quant à ton mari, tu l’appelles et tu l’informes ! Idem pour Sofiane, qui devra lui aussi patienter avant de retrouver Aïcha, ma femme et sa belle-mère.
Il disait cela d’un air moqueur, sachant qu’aucune de nous n’allait s’opposer à lui. Il tendit le bras vers sa femme pour l’inviter à le suivre. Je devinais bien pourquoi ! Aïcha ne se fit pas prier pour prendre la main tendue et partir avec son mari vers une chambre à l’étage. Nous restâmes seuls Frantz et moi, nous regardant, presque timidement. J’attendais qu’il fasse le premier pas. Je savais bien que Mohand nous avait laissé seuls pour que l’allemand, à qui il avait certainement parlé de moi et de mes tendances de nymphomane, passe du bon temps dans mes bras.
- Vous êtes marié ? dis-je, juste pour dégeler l’atmosphère.
- Oui ! Et j’ai deux enfants ! Un garçon – Herbert – et une fille – Mercedes. Dix-huit et seize ans ! Ma femme est restée en Allemagne pour gérer mes affaires, pendant que je prends un peu de bon temps.
- Elle a confiance en vous ? Elle sait que vous allez la tromper avec une algérienne ?
- Elle me trompe aussi ! Pour cela, nous sommes un couple libre ! Nous ne faisons plus l’amour ensemble depuis une dizaine d’années. Elle a ses amants et j’ai mes maîtresses ! Et c’est très bien ainsi ! Même les enfants sont au courant et acceptent la situation.
- Tu me trouves belle ? (Je passais subitement au tutoiement, pour lui montrer que j’étais bien disposée envers lui, et que c’est maintenant à lui de conclure)
- Plus que cela ! Mohand m’avait promis une femme extraordinaire de sensualité ! Et tu es bien cela ! Tu es belle ! Tu as les formes d’une vraie pin-up et, si tu regarde le devant de mon pantalon, tu verras combien il est tendu !
C’est vrai que le devant de son pantalon ressemblait à une tente, tant il était tendu. Il était toujours debout devant moi, à environ deux mètres. Je tendis les bras pour lui signifier de s’approcher. Il le fit, d’un pas encore hésitant, comme s’il ne savait pas encore comment s’y prendre avec moi. Je tendis la main droite vers le sexe qui tendait le tissu du pantalon de jogging et eut une vraie secousse électrique en le touchant. Il paraissait vraiment énorme ! Mes lèvres eurent immédiatement un sourire de lionne affamée. Le plat me paraissait vraiment prometteur. Je le caressais tout doucement, rien que pour m’habituer à le toucher, puis je m’emparais fermement du manche en essayant de le prendre dans ma main. J’eus du mal à en faire le tour avec une seule main. Il était vraiment gigantesque.
Je voulais le voir. Sans plus attendre je glissai deux doigts de part et d’autre de l’élastique du pantalon et d’un coup brusque je le rabaissai jusque sur les genoux. Et le miracle de la nature, libéré de sa prison de tissu, vint narguer mon regard et mes sens. Il était long, gros, lisse avec un chapeau pointu. Il était complètement épilé et frémissait de désir. Je le repris dans ma main et essayait de le branler. Un autre miracle se produisit, non seulement il était beau, mais en le branlant je me rendis compte que la peau était mobile et qu’en le masturbant, elle recouvrait le gland. Un zob non circoncis ! Avec un prépuce qui n’était pas totalement tendu et qui recouvrait et dénudait le gland en fonction des allers-retours de ma main. Je me dis que le zob de mon partenaire pouvait encore grandir ! Un bonheur pour la nymphomane que j’étais entrain de devenir !
Je regardais Frantz dans les yeux pour essayer de deviner ce qu’il pensait et surtout ce qu’il voulait que je lui fasse, ou que lui me fasse. Il avait ouvert la bouche pour mieux respirer et il poussait des petits gémissements de plaisir. Il aimait ce que j’étais entrain de lui faire. A son regard qui brillait de mille étoiles, je compris qu’il me laissait la conduite des évènements. Qu’il était à mes ordres ! Que je pourrais lui faire faire ce que je voulais ! Je voulais embrasser le monstre et sentir son odeur. Je voulais sentir sous mes lèvres les palpitations de la grande veine bleuâtre que je voyais battre au dessous du gland. Je voulais lécher les couilles qui étaient tellement contractées qu’elles ressemblaient à une belle pierre ronde, un peu mate et très dure.
J’approchais ma bouche du monstre et immédiatement je fus frappée par l’odeur d’homme qui se dégageait de l’endroit. Une odeur forte et aphrodisiaque: une odeur de propre et de musc. Une odeur qui m’enivra immédiatement. Je humais avec délectation, avant de poser mes lèvres sur le gland et sortir ma langue pour le titiller. Je le sentis qui se crispa et qui posa ses immenses paluches sur ma tête, sans appuyer; rien que pour me faire comprendre qu’il adorait la sensation que lui procurait mes lèvres et ma langue sur son sexe. Il semblait surtout aimer que je lui titille le gland. En effet à chaque fois que mes lèvres revenaient sur lui, je sentais une pression plus forte de sa main sur ma tête et entendais un gémissement plus sonore. En même temps que j’embrassai et léchait son sexe, je continuais à le masturber en jouissant presque à la vue du gland que la peau du prépuce recouvrait puis dénudait. C’était une vision de paradis, qu’aucun des zobs des hommes que j’ai connus jusqu’ici, ne m’avaient encore donnée.
J’étais curieuse de connaitre la sensation qu’un tel sexe, non circoncis, allait me procurer quand il s’occupera de ma chatte et de mon cul. Il me semblait que l’élasticité de la peau du prépuce allait encore accroitre la longueur du chemin, que le beau vit allait faire à l’intérieur de mes tunnels. J’en bavais par avance. Je voulus me faire tirer tout de suite. Je voulais connaître immédiatement la sensation d’être possédée par mon allemand; mon « gaouri », non circoncis. Je savais que lui attendait que je lui fasse d’abord une belle fellation et qu’il ait une première jouissance dans ma bouche. Mais moi je voulais d’abord jouir, avoir un très fort orgasme. Peu importe le trou par lequel, il arrivera.
- Baise-moi ! ordonnais-je subitement.
Il semblait surpris par ma demande. Et ne répondit rien. Je me levais, enlevais ma jupe en un tour de main et restait en petite culotte de soie noire. J’allais immédiatement me mettre à quatre pattes en travers du canapé et attendis qu’il prenne lui-même la décision de me piner par le cul ou par le vagin. Je tournai la tête pour regarder ce qu’il allait faire. Il resta un long moment immobile à regarder, avant de s’avancer et poser son énorme main droite sur mon cul. Il tâta un court moment mes fesses et je sentis un doigt, puis deux aller et venir le long de la raie de mes fesses, par-dessus ma culotte. Le cochon voulait m’enculer ! J’attendis avec impatience ce qu’il allait faire.
Je sentis ses doigts s’insinuer à l’intérieur de l’élastique de ma petite culotte et tirer de manière à ce qu’elle descende jusque sur mes genoux. Puis les mêmes doigts que tout à l’heure reprirent possession de la raie et allaient et venaient lentement, en s’attardant, chaque fois un peu plus longuement, sur l’anneau de mon anus. Il avait été largement ouvert par les gros zobs de mes amants, mais il me semblait que les gros doigts de mon allemand avaient du mal à y pénétrer. Il retira ses doigts un court instant. Je me retournais pour voir ce qu’il était entrain de faire. Je le vis cracher sur sa main et venir enduire mon anus avec la salive qu’il avait crachée. Il recommença deux fois en essayant de faire pénétrer les deux doigts à l’intérieur de mon boyau. Il y arriva au bout de la troisième fois.
Il fit faire à ses doigts des mouvements de pénétration de mon cul, tout en les tournant et retournant à l’intérieur pour ouvrir encore plus mon anus. Il les retira au bout d’environ une minute et je le vis qui cracha une fois encore dans sa main droite pour en enduire, cette fois-ci, son zob pour qu’il pénètre plus facilement mon cul. Je fermais les yeux et me mis en attente du monstre qui allait me défoncer le cul. Je savais qu’il allait me faire très mal. Mais je voulais absolument ressentir cette sensation d’être possédée par cet immense zob d’européen non circoncis. Je voulais connaître l’effet qu’il ferait dans mon boyau. Je sentis le gland dur et pointu se poser un moment à l’entrée de mon anus, attendre un court moment et pénétrer, d’un coup brusque, jusqu’au fond de mon cul.
- Aiiiiieeeee ! hurlai-je. Doucement ! Ça fait trop mal !
J’avais beau m’attendre à ressentir de la douleur, mais pas avec une telle intensité !. C’était vraiment comme s’il me déchirait l’anus. Je m’attendais d’ailleurs à sentir couler le sang, tellement j’avais l’impression qu’il m’avait blessée. Frantz ne tint aucun compte de mes protestations. Il avait l’habitude d’entendre crier ses maîtresses, victimes de son monstre. Il revint lentement vers l’entrée de mon cul et repartit aussitôt avec la même force que tantôt. Je criais encore très fort, dans l’espoir qu’il arrête un moment; le temps que la douleur s’estompât. Il n’en fit rien. Il repartit de plus belle, avec la même puissance. Puis petit à petit, mes cris de douleur s’estompèrent, remplacés par des petits cris de plaisir, qui devinrent rapidement des hurlements.
Je sentais maintenant toute la douceur du membre. Je me l’imaginais à l’intérieur, s’allonger jusqu’à vouloir ressortir par ma bouche. J’imaginais le prépuce qui recouvrait et découvrait le gland au fur et à mesure qu’il allait et venait dans mon cul. Et j’entendais, par-dessus mon épaule, entre l’intervalle de mes hurlements, les gémissements de mon amant, qui semblait être monté au ciel en même temps que moi. Il me tirait, toujours à la hussarde, avec la même énergie, à un rythme de plus en plus rapide et avec de plus en plus de vigueur. Je savais qu’il n’allait pas tarder à jouir. Mais moi je voulais qu’il reste encore longtemps dans mon cul. Je me sentais tellement bien avec le monstre à l’intérieur de mon rectum, que j’avais peur de la sensation de vide qu’il allait créer en en sortant.
Je continuais à hurler de plaisir et j’avais envie de parler ! J’avais envie de dire ce que je ressentais ! Je savais que mon « gaouri » ne comprendrait rien ! Mais je voulais qu’il m’entende lui dire que j’adorais son zob ! Son gros zob dans mon cul ! J’hésitais encore à y aller, puis incapable de me retenir – surtout que les mots, les phrases et les grossièretés que je voulais prononcer, étaient indispensables pour m’accompagner dans ma jouissance.
- Plus fort avec ton gros zob ! Plus vite ! Déchire-moi le cul ! J’aime les gros zobs comme le tien ! J’adore les gros zobs dans mon cul ! Je le sens bien dans mon cul ! Il a trouvé sa maison ! Je suis aussi pressée qu’il s’occupe de ma chatte ! De mon Hatchoun ! Zob ! Hatchoun ! Hatchoun ! Zob !
Et l’orgasme arriva en moi comme un tsunami ! Il m’enveloppa totalement et me fit perdre toute conscience de mon corps et de moi-même ! Je n’étais plus dans mon corps ! D’ailleurs, je ne savais pas où j’étais ! Je jouissais et c’était tout ! Et je jouis encore plus quand je sentis la première giclée d’un sperme, brulant et visqueux, inonder mon cul et ressortir aussitôt, expulsé par le gros zob qui continuait à aller et venir à l’intérieur de mon boyau. J’entendais mon « roumi » pousser un énorme cri de plaisir qui dura une éternité, avant de se transformer en sifflement. Il continuait à bombarder mon cul avec autant de force qu’au début et ne s’arrêta que quand il n’eut plus une seule goutte de sperme à m’offrir. Il s’affala sur mon dos en lançant ses mains vers mes seins, pour les caresser un moment.
Je reprenais ma respiration, en restant à l’écoute de ces immenses paluches qui malaxaient ma poitrine avec beaucoup de douceur. J’en étais toute étonnée: des mains si puissantes capables d’une telle douceur ! Je me mis à ronronner comme une chatte repue et heureuse. Mon « roumi » pesait lourd et me fatiguait, mais je voulais qu’il reste encore longtemps comme cela, le sexe un peu ramolli toujours dans mon cul, les mains entrain de caresser mes seins et la tête posée entre mes omoplates. Il comprit que j’aimais ce qu’il me faisait, mais ne tarda pas à se lever parce qu’il savait que je n’en pouvais plus de supporter son poids. Il sortit de mon cul et vint s’assoir à côté de moi sur le canapé. Comme mon cul coulait encore de tout le sperme qu’il avait reçu, je ne voulus pas me retourner pour m’assoir moi aussi à ses côté. Je descendis du canapé et me mis à genoux entre les jambes de l’allemand.
Je regardais son bel engin, maintenant au repos, avec le gland complètement recouvert par le prépuce. Il avait pris la couleur marron de mes sécrétions anales. Je le regardais un moment, puis levais la tête pour faire un beau sourire à Frantz, comme pour lui dire : « tu n’as encore rien vu ! ». Je pris son sexe repus et mou entre deux doigts et avançai la tête. Je le regardais encore une fois en lui souriant, puis me mis à le lécher et à le sucer pour le nettoyer. J’avais pris cette habitude avec mes hommes de leur nettoyer leur sexe après qu’il m’eût enculée. Mais d’évidence Frantz ne s’attendait pas à ce que je lui fasse une telle chose. Il se crispa un peu, puis se relâcha très vite avec la sensation de douceur et le plaisir qu’il prenait à se faire sucer ainsi.
Je voyais le beau zob de mon homme se remettre à frémir et donner des signes d’érection. Oh bonheur ! J’allais voir le gland sortir de sa cachette, au fur et à mesure que le zob allait prendre du volume. Quel spectacle ! Je crois que jamais de ma vie, je ne me fatiguerai à regarder un magnifique zob non circoncis se mettre en érection ! Voir le gland tuméfié, sortir ainsi de dessous sa capuche et se dresser comme un sabre prêt à pourfendre chattes et culs, c’est certainement le plus beau des spectacles pour une femme comme moi : une femme aimant le sexe et allant allègrement sur la voie de la nymphomanie aigüe.
Le zob de Frantz atteignit très vite des proportions monumentales. Je le regardais longuement (en bavant presque, tellement je le voulais encore en moi !) et levais la tête pour regarder le visage de mon homme. Il souriait en bavant lui aussi (un filet de salive coulait du coin de sa bouche, sans qu’il n’en fût conscient) et gémissait de plaisir. Il avait aimé l’opération de nettoyage de son engin et continuait de tenir ma tête pour que ma bouche poursuive son œuvre. Mais moi je voulais maintenant autre chose. Je voulais m’empaler sur le monstre et le sentir me remplir le vagin. Je ne voulais pas m’allonger ou même me mettre à quatre pattes comme tout à l’heure, pour qu’il me tire en levrette. Non ! Ce que je voulais c’était de m’assoir sur son sexe et me l’enfoncer moi-même à l’intérieur de mon vagin. Je voulais le faire aller le plus loin possible dans mes entrailles.
Je me levai et allai me mettre à califourchon sur ses cuisses. Il comprit très vite mon désir et fit tout pour me faciliter la tâche. Il prit son engin dans une main et positionna le gland de manière à le mettre en dessous de mes grandes lèvres, qui coulaient de mouille, tellement j’étais excitée à l’idée de chevaucher le gros zob de mon « gaouri ». Quand je sentis le gland qui pénétrait doucement entre mes grandes lèvres, je m’assis brusquement et ressentis l’une des plus belles sensations de ma vie de baiseuse. Le monstre glissa avec douceur le long de la paroi de mon vagin, qui le moulait parfaitement, et alla jusqu’au fond. J’avais l’impression qu’il avait parcouru des kilomètres à l’intérieur de mon tunnel. Il me semblait aussi qu’il cognait sur quelque chose de dur à l’intérieur de mon ventre et qu’il voulait le détruire. Ce furent mes fesses, cognant brutalement sur le pubis de Frantz, qui arrêtèrent cette sensation d’un engin qui perforait mon ventre pour aller dans ma gorge et ressortir par la bouche.
Je m’accrochais à la nuque de taureau de mon amant, en le regardant dans les yeux, avec le sourire gourmand de la lionne en chaleur. Pour la première fois, j’avais envie d’être embrassée en même temps que baisée. J’avais la bouche de mon homme en face de la mienne. Je n’attendis pas qu’il fasse quoi que ce soit. Je lui roulai une pelle, tellement torride et humide, que tous les deux nous perdîmes toute notion de temps et de lieu. Plus rien ne comptait plus que ma langue qui occupait la bouche de mon homme et qui s’amusait avec sa langue et buvait toute la salive qu’elle pouvait ramasser. Plus rien n’avait de signification que ses énormes paluches qui tenaient ma taille et qui soulevaient mon bassin de plus en plus haut et de plus en plus vite. Plus rien ne comptait plus, sinon, cette sensation de douce brulure dans mon vagin, qui provenait du frottement du gland sur la paroi de mon tunnel.
Plus rien n’avait d’importance que cette jouissance que je sentais arriver avec force et puissance et qui allait m’inonder de bonheur dans quelques minutes. Et plus rien n’avait de valeur que le bonheur que je voyais dans les yeux de mon homme, que je sentais sur le point de jouir et d’éjaculer avec force. Lui et moi eûmes en même temps un orgasme très puissant qui le fit crier de plaisir et me fit hurler de bonheur. Quand il s’arrêta de me soulever le bassin et de le redescendre pour que je m’empale sur son engin, il m’embrassa sur les yeux et sur le front et fit la remarque suivante :
- Tu es une femme superbe ! Je croyais les femmes algériennes, et musulmanes en général, plus discrètes quand elles font l’amour. On m’a toujours affirmé que leur jouissance était discrète, parce que c’était mal vu de montrer son plaisir en se faisant tirer par un homme. Je suis heureux d’être tombé sur une exception !
- Et moi, je suis heureuse de t’avoir connu ! Je m’étais toujours demandée comme c’était que de se faire tirer par un zob non circoncis ! Et bien, j’en redemande ! C’était super !
- Qu’est-ce qui est super ? dit une voix derrière mon dos. Ne me dis pas que tu préfère le zob d’un « gaouri » au mien ou à celui de tes autres amants !
Je ne répondis pas. Je me retournais seulement pour voir Mohand qui matait mon cul, encore posé sur le pubis de Frantz dont le sexe, un peu ramolli, était encore enfoncé à l’intérieur de ma chatte. Il était nu et tenait par la main Aïcha elle-aussi, toute nue. Je voyais sa grosse moustache bouger comme si elle était entrainée par un tic de sa lèvre supérieure. Je connaissais ce regard de prédateur ! Je connaissais aussi cette expression de désir qu’il avait dans les yeux. « Il veut te tirer » me dis-je en moi-même. Je ne savais pas ce que je ressentais à ce moment précis: étais-je déçue d’être dérangée alors que je n’avais encore atteint les limites du plaisir avec mon allemand ? Etais-je contente de retrouver la brutalité de Mohand, que je connaissais et que j’avais appréciée, les fois où il m’avait tirée comme une chienne ? Etais-je jalouse de voir Aïcha, toute nue et belle comme le jour, devenir l’amante de mon allemand, pendant que son mari allait s’occuper de moi ?
- Viens t’occuper du beau zob de Mohand, pendant que Aïcha s’occupe de refaire bander ton boche !
Il me prit brutalement par le bras pour me faire quitter les cuisses de Frantz et m’obliger à m’agenouiller par terre contre le canapé et à me mettre en position de levrette. Il bandait très fort. Je crois que c’était l’idée qu’il allait me faire comparer deux types de zobs – un non circoncis et un circoncis – qui le faisait bander autant. Je n’eus même pas à retourner pour voir ce qui aller se passer. Je connaissais parfaitement mon homme. Je savais qu’il n’allait prendre aucune précaution pour me tirer comme une chienne. Il baisait toujours comme cela, Mohand. Ses partenaires de jeu, n’étaient que des chiennes, qu’il pinait sans état d’âme et qu’il savait rendre heureuse parce qu’elle jouissait beaucoup, sous ses coups de reins et sous son magnifique zob.
C’était bien comme cela que les choses se passèrent. Mohand me pénétra en force, en ahanant comme un bucheron. Et contrairement à Frantz qui était un amant silencieux, lui il adorait hurler des insanités, qui électrisaient ses sens et les miens.
- Dis à Mohand que c’est lui qui te baise le mieux ! Dis lui que c’est lui le maître de ton hatchoun ! Dis lui que tu adore mon zob dans ton hatchoun ! Dis-le ! Dis-le !
- Ouuiiiiii ! Ton zob dans mon hatchoun ! Zzzzzoooob ! Hatchooooooouun ! Zzzzzoooob !
Mohand continua à pilonner ma chatte à la hussarde et en puissance ! Je sentais qu’il n’allait pas tarder à me faire jouir ! Je n’arrivais pas faire la différence entre les sensations que j’avais eu auparavant avec l’allemand et celle que j’avais à présent ! J’étais bien ! Et j’avais encore envie de jouir ! Qu’importe le zob ! Je voulais prendre mon pied et j’allais le faire ! Sous les vigoureux coups de boutoir de Mohand, le mari de Aïcha qui était entrain de tailler une superbe pipe à l’allemand ! Je sentais que mon partenaire aussi était sur le point de partir. Ses mots et ses phrases n’arrivaient plus à passer les limites de ses lèvres. Il bavait sur mon dos et avait du mal à respirer. Il allait avoir très rapidement une crise d’apoplexie. Il accéléra encore plus ses coups de reins et je l’entendis prendre une profonde inspiration et éclater dans mon vagin. Je sentis le sperme, moins abondant que d’habitude – il avait dû beaucoup arroser sa femme, avant de s’occuper de moi – inonder mon vagin et ressortir en même temps que le jus que je déversais en quantité, en jouissant à mon tour. Ce fut une belle jouissance, plus calme que les deux premières, mais très agréable.
- Comment c’était ? dis Mohand, avec une voix dont je sentais percer un peu d’inquiétude. Il baise mieux que moi, ce salaud qui est entrain de remplir ma femme de son sperme ?
- C’est différend ! Chacun de vous avez un super coup de rein ! Lui en plus, il un zob non circoncis qui donne un autre type de plaisir que le tien et ceux de mes autres petits amis ! Demande à Aïcha !
Aïcha ne pouvait pas répondre. Elle était entrain de pomper avec application le monstre que Frantz avait entre les jambes. En regardant le visage de l’homme, je sus qu’il n’allait pas tarder à éjaculer ce qui lui restait de foutre (pas trop me dis-je, après les deux grosses éjaculations qu’il avait eu avec moi). En effet au bout de quelques secondes, je le vis qui retira brusquement son engin de la bouche de Aïcha, ouverte comme un hangar, tant elle avait du mal à faire pénétrer l’immense zob, et se mettre à se branler vigoureusement. J’étais comme hypnotisée par cette peau qui recouvrait le gland puis qui le laissait apparaître. Aïcha aussi regardait avec admiration l’engin qui allait cracher son foutre sur son visage. Je voulais aussi qu’il crache sur moi. Je vins me mettre à côté de mon amie, bouche ouverte, quémandant ainsi ma part du jus du « gaouri ».
J’avais tout faux en pensant qu’il ne lui en restait pas beaucoup. Et bien il lui en restait assez – bien que moins épais que les premières fois – pour nous inonder Aïcha et moi. Une partie vint directement dans ma bouche, que j’avalais avec délectation. Une autre alla se nicher entre les seins de la belle Aïcha. Une autre encore lui inonda le cou et se mit à glisser vers son épaule. Elle était magnifique avec tout ce foutre sur elle. Elle me regardait avec ses yeux coquins, sachant que dès que notre amant aura cessé de déverser son foutre, j’allais me jeter sur elle pour la lécher, la sucer et l’embrasser. Je reçus la dernière gicle sur les lèvres, avant que notre merveilleux Frantz ne s’effondre, complètement vidé, sur le canapé.
Je me tournais vers Aïcha et lui tendis les lèvres pour qu’elle m’embrasse et avale le foutre que j’avais à l’entrée de ma bouche. Nous nous mîmes à nous lécher mutuellement, pour ramasser et avaler tout le foutre qui était sur nous. Nos hommes nous regardaient avec des yeux brillants. S’ils n’étaient aussi fatigués, j’étais sûre qu’ils nous auraient sauté dessus et repris une autre séance de tirage torride. Heureusement pour nous, ils étaient vraiment sur les rotules et se contentèrent de nous regarder faire et de se moquer de nous. Nous quittâmes rapidement les hommes pour aller nous doucher. Toutes les deux ensembles. Nous continuâmes à nous caresser et nous embrasser sous la douche pendant au moins une heure. Quand nous revînmes dans le salon, nous le trouvâmes vide, nos hommes étant allés eux aussi se doucher.
Nous passâmes le reste de la journée à nous promener – Frantz et moi, surtout – dans le jardin et au bord de la piscine. Mon amant allemand, semblait vraiment bien à mes côtés. Il me tenait par la main, comme un véritable amoureux et ne la lâcha pratiquement plus de la journée. Nous dormîmes ensembles lui et moi, sans rien faire de la nuit, sinon à nous serrer l’un contre l’autre. Mais au matin, je fus réveillée par un magnifique zob qui essayait de trouver sa route entre mes fesses. Il cherchait à me piner par la chatte, allongé derrière moi et en faisant des acrobaties pour trouver la bonne position : celle qui permettrait à son monstre, qui bandait très fort, d’avoir accès à mes grandes lèvres et à mon vagin. Ce fut bien sûr moi qui trouvai la bonne solution, en me mettant dans la position du fœtus, offrant ainsi ma chatte baveuse et ouverte au maître zob. Ce matin là encore, je jouis comme une folle, en hurlant mon bonheur et en réveillant l’autre couple, qui était resté très sage.
Nous partîmes tous les quatre à Djanet et passâmes une dizaine de jours extraordinaires, faite de découvertes touristiques et d’amour torride, à circuler dans l’immensité du Tassili et du Hoggar. Frantz était le plus souvent avec moi. Tout ce temps là j’avais été sa femme et sa maîtresse attitrée; tout comme Aïcha était la femme de Mohand. Cela ne signifiait pas que l’une et l’autre, ne s’offraient pas des instants de plaisir aussi intenses avec le mec attitré de l’autre. Je crois que la dizaine de jours que nous avions passée ensemble avait vraiment été heureuse. Même Mohand, pourtant volage et inconstant, semblait très heureux de la manière dont se déroulaient les évènements. Il s’était comporté tout ce temps là, comme à son habitude, bourru et désinvolte, sauf en ce qui concerne le sexe.
Dans ce domaine, il rivalisait vraiment avec l’allemand. Autant j’aimais la force du sexe de Frantz – qui avait aussi beaucoup de douceur et de tendresse au lit – autant j’adorais la brutalité de Mohand en amour. Quand il délaissait sa femme et venait vers moi, c’était un taureau en rut que je voyais arriver. Celui qui réagissait au quart de tour à la vue du chiffon rouge – en l’occurrence, mon cul dont il était devenu accro – et qui fonçait tête baissée et zob en bandoulière. J’aimais vraiment sa manière de me posséder, de faire de moi, sa chose, l’instrument de son plaisir. Je crois qu’à aucun moment, il n’avait cherché à me faire plaisir, pas même à me faire jouir. Mais il était tellement puissant, tellement endurant, que pas une seule fois, il n’avait joui seul, sans m’emmener avec lui au septième ciel.
Aïcha aussi m’avait dit la même chose. Il ne cherchait jamais, à lui donner volontairement du plaisir, mais elle avait toujours eu son compte avec lui. Elle m’avait même avoué qu’elle avait eu, en plusieurs occasions, deux ou trois orgasmes successifs, pendant que son mari la pinait et que lui n’en avait eu qu’un seul. Il savait retenir l’éjaculation, non pas pour faire plaisir à sa partenaire, mais pour accroitre au maximum, l’intensité de sa jouissance à lui. Il était égoïste, mais tellement puissant et endurant, que Aïcha et moi qui ne l’aimions pourtant pas beaucoup, adorions nous faire tirer par lui.
Puis ce fut le retour sur Alger et le départ de Frantz pour son pays. Il nous fit promettre de lui rendre visite à Frankfurt où dit-il, il nous accueillerait avec bonheur et nous offrirait un séjour aussi agréable que celui que nous lui avons offert ici. Peut-être bien que, Aïcha et moi, le prendrions au mot un de ces jours !
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