Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode neuf : Le voyage à Paris

- Par l'auteur HDS GERACHE -
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les histoires érotiques du couple Warda et Slim   Episode neuf : Le voyage à Paris Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2010 dans la catégorie Plus on est
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Les histoires érotiques du couple Warda et Slim Episode neuf : Le voyage à Paris
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Episode neuf : Le voyage à Paris
Quand Warda vint m’annoncer qu’elle allait partir en France, pour faire la connaissance d’un super mec, un jeune black bien membré, celui-là même qui avait fait découvrir sa bisexualité à Kamel et avec qui il partageait tout, je sus que j’étais entrain de la perdre. Enfin, la perdre, était un trop grand mot, puisqu’elle ne m’avait jamais appartenue. Je ne pouvais donc pas la perdre. Mais j’aimais tellement sa présence, tellement la voir à mes côtés, même si ce n’est qu’une toute petite heure par semaine, ou toutes les deux semaines, que le fait de ne plus la revoir, me rendait neurasthénique.
Je voulais le lui dire, mais je savais que cela ne changerait rien. Au fond de moi, j’étais conscient qu’elle savait que je l’aimais, mais qu’elle n’en avait cure. Je ne remplissais aucun des critères fondamentaux qui auraient pu faire de moi autre chose qu’un confident et le chroniqueur de sa vie érotique. Je n’étais ni beau, ni jeune, ni membré comme un étalon, pour pouvoir l’intéresser en tant qu’amoureux ou amant. La seule qualité qu’elle me reconnaissait est celle qu’elle utilisait : ma capacité à mettre noir sur blanc ses aventures et le moyen de les faire éditer.
Encore une fois donc, je me fis tout petit et attendis sagement qu’elle dise ce qu’elle avait à dire. Cette fois-ci, elle ne dit rien. Si ce n’est la décision qu’elle venait de prendre avec Slim de se rendre en France, d’abord pour faire la connaissance de Patrice, dont elle était devenue accro, sans même le connaître et aussi pour voir, s’il ne leur était pas possible, à elle et à son mari, de trouver le moyen de s’installer en France. Elle disait qu’elle voulait s’installer dans un pays où elle ne serait pas obligée de se cacher pour vivre sa vie amoureuse, comme elle l’entendait. Où son couple ne vivrait pas en permanence sous la menace de l’épée de Damoclès des gardiens du temple, qui s’abattrait sur eux, au moindre soupçon de vie dissolue.
Elle m’avait dit que Slim avait la possibilité d’investir en France, dans l’achat d’un bar-restaurant et que cela lui permettrait d’avoir les papiers pour s’y installer en famille. Ils avaient eu un visa touristique de trois mois et pensaient que cela leur suffirait pour régulariser leur situation. Warda était tout feu, tout flamme; elle était vraiment contente de partir. Même le fait de laisser derrière eux Sofiane et son père, et bien entendu Aïcha, n’arrivait pas à mettre un bémol à son enthousiasme.
- Aïcha m’a promis de me rejoindre très vite. Elle et son mari disposent d’une carte de séjour de dix ans et peuvent donc venir quand ils veulent. En plus Mohand a une deuxième maison dans la proche banlieue de Paris, qui pourrait tous nous accueillir, en cas de besoin. Sofiane lui aussi à une carte de résidence de dix ans. Il n’y a donc aucun problème pour nous cinq.
- Vous cinq ? Tu inclus donc Mohand dans votre groupe ?
- Bien sûr ! Il vient quand il veut ! Il part quand il veut ! Lui aime papillonner, mais il aime retrouver son port d’attache ! Et son port d’attache c’est d’abord Aïcha et ensuite moi ! Je crois qu’il m’aime beaucoup et pas seulement pour me tirer !
- Et moi !
- Quoi toi ?
- Comment je saurais, ce que tu deviens ? Ce que tu es entrain de vivre ? Comment saurais-je quoi raconter ? Ou bien tu veux que j’arrête de raconter ta vie érotique ?
- Tu sais il y a internet ! Je te tiendrais au courant, au moins au début avec Patrice. J’espère que l’homme est bien comme me l’avait décrit Kamel et qu’il sera disponible pour moi ! Après, je verrais bien ! Je crois que là-bas, je n’éprouverais pas le besoin de faire connaître mon histoire. Ces choses-là y sont considérées comme courantes, pour ne pas dire normales. Donc elles n’intéressent pas grand monde. Pas comme ici, où c’est tellement extraordinaire et anti social, que j’avais besoin, par provocation, de le faire savoir. De toutes les façons je te tiendrai au courant.
Voila comment se passa ma dernière rencontre avec Warda / Shahrazade. Elle ne se rendit même pas compte que j’avais les larmes aux yeux et que j’étais malheureux. Elle était tout pour moi, et moi je n’étais rien pour elle. Je pense qu’elle savait qu’elle me rendait vraiment malheureux, mais que cela n’avait absolument aucune importance pour elle. Ce qui comptait pour elle, c’était sa vie d’aventures amoureuses ; et c’était tout le plaisir qui l’attendait de l’autre côté de la mer. Le reste, tout le reste c’était du superflu. Y compris moi !
Et elle partit, comme cela, sans aucun regret, ni pour moi, ni pour le reste. Environ une semaine plus tard, elle m’envoya un très long mail, qu’elle semblait avoir eu du mal à rédiger (elle racontait, mieux qu’elle n’écrivait) et qui contenait les détails de la dernière aventure érotique du couple qu’elle formait avec Slim. Elle m’informa aussi, qu’à partir de maintenant, elle ne me racontera plus ses aventures, parce qu’elle n’éprouvait plus le besoin de les faire connaître. Elle précisa tout de même – certainement pour ne pas me faire trop de peine – qu’elle continuera de temps en temps, à m’envoyer un mail, pour me donner de ses nouvelles et celles de son mari.
Voici donc, toujours racontée par Warda, sa dernière histoire érotique. J’espère que tous ceux et celles qui ont suivi les péripéties de sa vie amoureuse, auront comme moi, un petit pincement au cœur de ne plus la rencontrer sur le site HDS.
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Nous arrivâmes à Orly Sud aux environs de dix huit heures, un samedi. Emmy était venue nous attendre. Elle était toujours aussi belle et élégante. Elle semblait très heureuse de nous revoir. Elle embrassa Slim sur les deux joues et moi sur la bouche. Comme cela, devant tout le monde, sans aucune gêne ! C’était moi qui étais gênée; je n’avais pas l’habitude de ce genre de démonstration publique. Là d’où je venais, il n’était pas question, sous peine de se faire embarquer pour attentat à la pudeur, qu’une femme embrasse un homme sur la bouche en public; ou vice versa. Alors qu’une femme embrasse une autre femme sur la bouche, cela relève de l’inimaginable !
J’en étais restée à ce type de comportement, où tout devait se faire discrètement, loin des yeux des voyeurs et des moralisateurs en tous genres. Je demandais à Emmy, pourquoi c’était elle qui était venue nous chercher à l’aéroport.
- Les mecs sont occupés par leur travail. K-Mel (j’appris rapidement que Kamel, notre Kamel d’Algérie, s’était transformé en K-Mel. C’était devenu son nom d’artiste) est en déplacement pour une série de photos de mode et ne rentrera que demain soir. Quant à Patrice, il s’occupe de la sécurité d’un gros bonnet du showbiz, jusqu’à ce soir. En principe, nous le trouverons à la maison en rentrant.
Emmy était venue en voiture, qu’elle avait laissée au parking de l’aéroport. Nous la prîmes et nous entrâmes dans Paris environ une heure plus tard. La circulation était fluide jusqu’au quartier dans lequel tout le groupe vivait. Emmy arrêta la voiture dans un parking au sous-sol d’un bâtiment neuf dans le cinquième arrondissement (« pas très loin des Boulevards Saint Michel et Saint Germain et du Quartier Latin ! » me dit Emmy, avec fierté). Nous descendîmes avec nos bagages et prîmes l’ascenseur jusqu’au cinquième étage. Emmy ouvrit la porte d’un appartement qui devait bien faire cent cinquante mètre carrés au sol, aménagé en duplex et meublé avec goût.
- Fffftt ! ne put s’empêcher de siffler Slim. Ça doit coûter les yeux de la tête la location d’un tel appartement ! C’est vraiment très beau ! Vous habitez tous ensemble ici ?
- Oui ! Nous gagnons très bien notre vie tous les trois. Nous pouvons nous permettre de louer un duplex dans ce quartier. Nous avons chacun notre chambre et il y en a même une de réserve pour les invités comme vous. Le salon en bas est commun et nous l’utilisons pour bien des choses. Vous devinez bien à quoi il sert le plus souvent ! Votre chambre est à l’étage, au fond à droite. Allez vous débarbouiller – il y a une grande salle de bain, à l’étage – pendant que je prépare quelque chose de rapide pour diner. Patrice ne tardera pas à rentrer.
Nous montâmes Slim et moi dans notre chambre. Je pris une douche rapide, mais bien chaude, choisis une petite robe bien courte et légère, m’en revêtis et descendis rejoindre Emmy dans la cuisine. Elle avait mis un petit tablier de cuisine tout mignon, sur la robe en taffetas bleu-nuit qu’elle n’avait pas encore enlevée. Elle était à croquer ! Elle me regarda avancer vers elle et ouvrit les bras pour que j’aille m’y blottir. Je m’élançais vers elle et faillis la faire tomber tellement j’y avais mis de fougue. Elle me serra très fort et caressa ma nuque avec tendresse.
- Tu m’as beaucoup manquée, fit-elle ! En fait vous m’avez tous beaucoup manquée ! Les mecs et les nanas d’Algérie ! Heureusement que j’ai retrouvé Patrice ici ! Avec K-Mel, ils ont su me consoler ! Mais aujourd’hui je suis vraiment heureuse que tu sois là. Tu es toujours aussi belle et aussi sensuelle ! Je mouille déjà, rien qu’à te regarder. Et puis, il y a Slim ! Un mec de plus dans mon lit !
- Moi aussi j’ai beaucoup pensé à toi et à K-Mel ! Et aux beaux jours que nous avons passés ensemble ! Mais je t’avoue que j’ai surtout pensé à celui que je ne connais pas encore, mais dont la réputation de tireur infatigable m’a poursuivie depuis que K-Mel m’a parlé de lui ! J’ai hâte de faire sa connaissance et j’espère que je lui plairai aussi !
- Je crois qu’il arrive ! Je reconnais son pas de loup ! Il se déplace toujours sans bruit; comme s’il était sur un tapis de karaté ! Oui c’est bien lui !
Environ deux secondes plus tard, j’entendis en effet une clé qui s’insérait dans la serrure et celle-ci s’ouvrir avec un claquement sourd. Je sentais mon cœur battre très vite, comme au moment d’aller passer un examen. Je surveillais la porte d’entrée, pour voir à quoi ressemblait le Patrice que m’avait décrit, en vantant toutes ses qualités physiques, K-Mel. L’homme qui poussa la porte du pied, parce qu’il avait les mains chargées d’un immense bouquet de fleurs, était vraiment magnifique : grand – bien plus grand que K-Mel et Sofiane et Slim et tous les autres – les épaules larges sans être massives, la taille fine, les hanches étroites, les jambes longues. C’était tout ce que je pouvais voir pour le moment. Et aussi, il était noir ! D’un noir vraiment noir ! Comme de l’ébène ! Et la peau aussi brillante que ce bois précieux d’Afrique ! Il avait les traits des noirs africains, mais pas très prononcés, n’étaient sa bouche monumentale, entourée de grosses lèvres, légèrement avancées. Ses yeux brillaient comme s’il y avait du feu à l’intérieur. Il m’avait même semblé un moment que ses yeux viraient au rouge.
- Bonjour tout le monde ! fit-il avec un accent qui était un mélange d’accent parisien et africain.
Son accent dénonçait une origine africaine (l’Afrique de Paris, c’est-à-dire un des nombreux quartiers où étaient ghettoïsés les blacks) d’un noir né à Paris et qui y vit. Je sus tout de suite qu’il n’avait quitté son quartier africain de la banlieue que depuis très peu de temps. Il s’avança vers nous en traversant presque tout le salon d’un pas de félin, et vint directement m’offrir son immense bouquet.
- Bienvenue à Paris, Warda ! Les deux coquins m’ont beaucoup parlé de ta beauté ! Eh bien, ils sont loin du compte ! Tu es encore plus belle que je me l’imaginais ! Je t’embrasse ?
- Evidement que tu l’embrasse répondit Emmy à ma place ! Elle n’est là que pour toi ! Sans toi et tout ce que nous lui avions dit sur toi, elle ne serait pas venue à Paris ! Elle était très bien à Alger !
Il me regarda un court instant et m’envoya un superbe sourire, qui découvrit ses deux rangées de dents très blanches et puissantes. Un sourire vraiment jovial. J’avais l’impression que Patrice était de nature très joyeuse et qu’il devait rire très souvent. Il s’approcha de moi, tendit ses bras et me saisit par les épaules. Je sentis immédiatement toute la force qu’il dégageait. Ses immenses mains avaient totalement enveloppé mes épaules et les palpaient avec douceur. Il aurait pu me casser les os en serrant un peu trop, mais au lieu de cela, c’était de la douceur, de la chaleur et de la tendresse que je ressentais. Tout mon corps se mit à frissonner. Et je sentis comme une légère douleur dans mon bas ventre. Je connaissais trop cette sensation pour me tromper : j’étais entrain de bander pour l’étalon noir qui était devant moi et qui me tenait par les épaules.
Probablement qu’il dût sentir mon désir; il m’attira aussitôt contre lui pour me coller fortement contre sa poitrine. Je me laissais faire, presque contre ma volonté, et me blottit entre ses bras puissants. Je sentis qu’il me caressait, tout doucement, les cheveux derrière ma nuque, avec une main, tandis que la deuxième était allée tout droit sur la cambrure de mes reins et descendait sur mon fessier qu’elle palpait avec insistance. Je ne savais plus où j’étais ! Un véritable brasier était entrain de s’allumer en moi ! Mon bas ventre me faisait de plus en plus mal ! De ce mal qui rayonne tout alentour et qui fit couler ma chatte comme une fontaine. Heureusement que j’avais gardé ma culotte ! Elle retenait un peu le jus, qui voulait sortir et aller par terre !
Je ne pouvais plus me retenir ! Je me mis à gigoter entre les bras de mon black et à coller mon ventre sur le devant de son pantalon, qui arrivait au niveau de mon abdomen. Je sentais une énorme bosse qui poussait comme si elle voulait me pénétrer comme cela, à travers le tissu du pantalon et celui de ma robe. Je ne disais toujours rien, mais je commençais à gémir doucement. Des gémissements de désir, qui, je le savais allaient se transformer en petits cris puis, le plaisir aidant, en hurlements.
Patrice sentait que j’avais envie de lui ! Il sentait que je ne pouvais plus me retenir ! Qu’il fallait qu’il me possède là, tout de suite ! Il utilisa sa force pour me soulever de terre et pour me porter, comme si je n’étais pas plus lourde qu’un fétu de paille, vers l’immense sofa du salon. Je me laissais faire en poussant de petits gloussements de satisfaction. Des gloussements de dinde ! Il me déposa sur le bord du sofa et recula d’un pas pour bien me regarder.
- Tu as envie de connaître l’engin de Patrice ! Tu as envie qu’il devienne ton nouveau maître ! Tu veux le voir ?
- Ouiiiiii ! Vite ! Je veux le voir ! K-Mel m’a assuré que tu as le plus bel engin de tout Paris ! Montre le moi ! Je le veux !
Au lieu de s’exécuter tout de suite, Patrice commença par enlever la veste de son costume en flanelle grise qu’il portait, puis la chemise blanche et resta ainsi torse nu devant moi, m’invitant des yeux à admirer sa belle musculature d’athlète. Il était vraiment beau ! Il n’avait pas la musculature massive de bodybuilders : ses muscles étaient longs et superbement bien dessinés; sa taille était fine et son ventre plat et dur avec des abdominaux en forme de tablette de chocolat. Et sa peau ! Sa merveilleuse peau noire lisse et brillante ! J’étais sûre qu’elle était aussi douce que de la soie. Je tendis la main pour m’en assurer. Je la posai sur un de ses pectoraux. Je n’avais jamais connu d’homme qui avait une peau aussi douce ! La peau d’un bébé !
Patrice retira ma main de sa poitrine pour continuer à se déshabiller devant moi. Il voulait absolument que je le regarde faire. Il savait que cela m’excitait au plus haut point et voulait m’emmener comme cela vers les sommets du désir et de l’excitation. Il défit la ceinture, dégrafa le bouton et ouvrit la braguette. Il fit descendre le pantalon sur ses jambes d’un geste rapide et précis. Je vis immédiatement le gland d’un immense zob noir – plus noir encore que le reste du corps – qui apparaissait de dessous l’élastique du boxer gris, qui n’arrivait pas à le contenir, ni à le retenir. C’était un gland tuméfié et brillant, dont je voyais la base palpiter. Un spectacle magnifique et tellement érotique !
Je voulais m’approcher de lui pour aller le toucher et le sortir complètement de sa prison de tissus. Mais Patrice me fit comprendre du regard que je devais encore attendre. Il leva sa jambe droite pour la faire sortir du pantalon, puis il fit la même chose avec sa jambe gauche. Il ne se pressait pas. Il mettait la pression sur mes nerfs. Il resta un temps en socquette grise et en boxer, en me regardant avec ses yeux brillants et son sourire moqueur. Puis il se caressa le sexe à travers le tissu, avant de se décider à ôter brusquement le boxer. Et miracle de la nature ! Le merveilleux zob de Patrice, son zob noir, long, gros, lisse et billant, s’offrit à ma vue dans toute sa splendeur !
Je voulus me précipiter pour aller le prendre dans mes mains (une seule ne suffirait pas !) et le caresser ! Je voulus me mettre à genoux devant lui et l’embrasser et le lécher, pour lui dire combien il me plaisait et surtout combien je voulais qu’il me possède sans tarder. Qu’il me pénètre par devant et par derrière ! Qu’il me fasse mal ! Mais Patrice ne voulait pas encore ! Il voulait que j’attende encore ! Que je meure d’impatience et de désir !
- Retourne t’assoir sur le sofa, je vais venir te bouffer ta chatte !
- Non ! Baise-moi d’abord !
- Nous avons tout le temps ! Je veux te faire monter au ciel d’abord avec ma bouche, avant que Bébert ne s’occupe de tes trous. Ne t’en fais pas tu l’auras pour toute la nuit. Aujourd’hui, je ne te partagerais pas ! Pas même avec Emmy ! D’ailleurs elle aura de quoi s’occuper avec ton mari, qui est, m’a-t-on dit, un chaud lapin ! Enlève ta culotte !
J’obéis et enlevai ma culotte, dont l’entre-jambe était complètement mouillée. Patrice, superbe dans sa nudité et avec son manche brandi comme un immense glaive noir, vint se mettre à genoux entre mes jambes, me les faire lever jusqu’au plafond et plongea sa tête entre mes cuisses, s’emparant goulument de ma chatte. Je sentais ses grosses lèvres gourmandes se poser sur ma vulve et, telles des ventouses, se mettre à la sucer avec force. Il avait des lèvres fermes, de même dimension que mes grandes lèvres sur lesquelles elles étaient posées. Je sentis qu’il faisait pénétrer sa langue à l’intérieur de mon vagin et essayait de l’envoyer très loin. Il avait une langue immense, mais elle n’arrivait pas à aller jusqu’au fond de mon tunnel.
Mais elle suffisait pour me donner un plaisir immense. Je la sentais qui allait et venait à l’intérieur et qui léchait la paroi de mon vagin. Je sentais que je coulais et que la langue récupérait presque tout le jus que je sécrétais. Je sentais sa bouche qui allait et venait le long de la raie de mes grandes lèvres et qui titillaient en même temps mon clitoris. Je sentais le plaisir monter en moi et aller de plus en plus haut. Je ne voulais pas jouir avec sa bouche. Je voulais jouir avec son magnifique zob ! Mais le plaisir était trop grand ! Je ne pouvais pas résister ! Je me sentais sortir de mon corps pour me regarder jouir sous la bouche gourmade de mon amant noir. Je me regardais ouvrir la bouche très grande, pour pouvoir respirer. Je me voyais comme en rêve entrain de baver et pousser des cris de plus en plus forts. Je voyais mes mains qui avaient pris possession de la nuque de Patrice, pour l’aider à aller et venir entre mes cuisses.
Je me voyais qui balançais la tête dans tous les sens et qui s’arrêta soudain, les muscles tendus comme des cordes d’arcs, les doigts crispés sur la tête de mon amant et la bouche dégoulinante de bave. Je me voyais partir dans un long hurlement de mourante et décharger violemment dans la bouche de Patrice. Je l’obligeai en tenant très fort sa tête à accélérer les mouvements de sa bouche sur ma chatte, pour me faire jouir encore plus violemment. Et je jouis longuement, en étouffant presque, tellement ma respiration était devenue rapide et difficile. Je sentais toute la pièce qui tournait autour de moi, comme si j’avais le vertige. Cela ne cessa qu’au moment où Patrice arrêta de faire aller et venir sa tête entre mes cuisses et qu’il lui fit quitter le lieu, pour reprendre sa respiration. Il leva le visage vers moi pour me regarder et me fit son magnifique sourire d’homme jovial, qui venait de faire une bonne blague.
Il avait les lèvres encore brillante de mouille. Il s’approcha de mon visage pour que je l’embrasse. Je lui pris la tête et lui appliquai mes lèvres sur les sienne pour un long baiser, bien chaud et bien mouillé. Il ne voulut plus lâcher ma bouche. Il embrassait comme un Dieu ! Ses baisers étaient violents, brûlant et torrides. Je venais de jouir et pourtant sa manière de m’embrasser m’avait remis le feu au cul. Je recommençais à mouiller et je sentais le désir revenir à la vitesse de l’éclair.
Je n’y tins plus ! J’envoyais ma main à la recherche de Bébert (C’était comme cela qu’il avait surnommé son engin). Je le trouvais facilement, tant il était immense et qu’il bandait. Cette douceur ! Cette fermeté ! Cette chaleur qu’il dégageait ! Je ne tenais pour le moment que le gland ! Mais je sentis que c’était l’endroit le plus excitable. Pour la première fois – même s’il était toujours entrain de m’embrasser – je l’entendis gémir à l’intérieur de ma bouche. Il continua quelques secondes le baiser, puis l’arrêta pour me permettre de prendre le monstre en entier dans mes mains. Je voyais à ses yeux qu’il n’en pouvait plus lui aussi ! Qu’il était au bord de l’apoplexie ! Il lui fallait me pénétrer ! Il fallait un nid à Bébert !
Il me laissa le caresser quelques secondes, puis se leva et m’attrapa par la taille, pour me faire lever à mon tour. Je ne savais pas encore ce qu’il voulait me faire ! Mais j’étais impatiente qu’il me le fasse ! Il voulait que je me mette à quatre pattes à travers le sofa, de manière à avoir mon cul au niveau de son bassin. Enfin pas trop bas ! Parce qu’il était tellement grand qu’il était obligé de plier les genoux pour se mettre à mon niveau. J’attendis avec impatience ce qu’il allait me faire ! Je ne savais s’il allait me prendre par devant ou par derrière ! Et je ne savais pas ce que je préférais ! J’avais une petite appréhension en pensant à l’immense engin qui allait certainement me faire très mal s’il m’enculait. Mais même cela je voulais qu’il me le fasse ! Si j’avais eu un pouvoir magique quelconque, j’aurais fait en sorte qu’il me prenne par mes eux orifice en même temps. J’aurais donné à Patrice deux Bébert !
Je sentis la main de Patrice se poser entre mes cuisses et entreprendre en même temps ma chatte et mon anus. Je ne voyais pas ce qu’il faisait, mais j’avais la sensation que son pouce avait pénétré dans mon anus, tandis que deux autres doigts étaient entrain de farfouiller dans mon vagin. C’était une sensation extraordinaire : me faire branler en même temps la chatte et le cul par l’immense paluche de mon amant black ! Il y alla sans retenue, presque brutalement. C’était divin ! J’étais sûre que s’il continuait comme cela une minute, j’allais décharger comme une folle. Mais il s’arrêta, créant en moi une seconde de frustration.
Je devinais qu’il était entrain de regarder mes deux trous avec concupiscence, se demandant lequel il allait défoncer en premier. Il opta finalement pour ma chatte. Il posa son immense gland tuméfié et dur entre mes grandes lèvres et sans plus attendre, donna un superbe coup de reins. Je poussais un long cri de plaisir, en sentant le membre pénétrer en moi dans un long, très long parcours qui ne s’arrêta que quand le pubis de mon homme cogna sur mes fesses. J’avais l’impression que Bébert avait parcouru des kilomètres dans mes boyaux, tant il était long ! Je le sentais qui limait violemment les parois de mon vagin qui semblait être vraiment à sa taille. Il moulait parfaitement l’engin.
- J’adore ta chatte ! J’ai l’impression qu’il y a à l’intérieur une main qui me masturbe. C’est juste la taille qu’il faut pour rendre Bébert heureux ! Dis-moi que tu aimes Bébert ! Qu’il est fait pour toi ! Qu’il est le maître de ta chatte ! Qu’il va te faire monter au ciel !
- J’adore ton zob ! répondis-je. Je veux qu’il reste dans mon tunnel ! Je veux le couper pour le garder éternellement dedans ! J’aime sa force ! J’aime qu’il me défonce ! Tout à l’heure, il me défoncera le cul ! Il me défoncera le cul ! Dis-moi qu’il me défoncera le cul !
- Il va le faire tout de suite ! Je vais passer dans ton cul ! Je vais t’enculer en force ! Je vais te déchirer ! Tu vas hurler de douleur ! Et de plaisir ! Avec mon zob, c’est le plaisir garanti ! Avec de la douleur !
Tout en parlant comme cela, il sortit son manche de mon vagin et vint le positionner à l’entrée de mon cul. Il donna immédiatement un coup de reins franc et brutal.
- Aiiiiiie ! Tu m’as fait mal ! Doucement !
- Non en force ! Tu verras, tu aimeras très vite ! Bébert sait s’y prendre pour se faire aimer ! Ton cul va l’adorer !
Et toujours aussi brutalement, il fit trois ou quatre allers-retours jusqu’au fin fond de mon rectum. Il me faisait un mal de chien ! Je criais de douleur ! Mais Patrice ne tenait aucun compte de mes cris ! Il savait que j’étais déjà entrain d’apprécier et de trouver du plaisir dans cette douleur. Elle s’estompa bien vite et il ne restait plus que le plaisir que me procurait l’engin en me limant violemment la paroi de mon boyau. Il mettait le feu dans mon cul ! Mais un feu qui ne brulait pas ! Un feu qui me chatouillait et allait rayonner dans tout mon corps.
Patrice sentit que j’étais parti pour avoir un autre orgasme très fort. Il voulait lui donner encore plus d’intensité. Il envoya sa main droite en avant à la recherche de ma chatte, qu’elle investit immédiatement. Il introduisit deux de ses immenses doigts qui allèrent à la rencontre de Bébert, qui s’escrimait dans mon cul. Ils le croisèrent et vinrent frotter contre lui dans un mouvement synchronisé. Je ressentis comme une décharge électrique de forte intensité, au moment où les doigts et le zob frottèrent l’un contre l’autre. Patrice aussi ressentit la même sensation, qui lui fit pousser un rugissement de lion entrain de tirer sa femelle.
- Tu es bonne ! Très bonne ! Tu es un superbe coup ! Bébert t’adore !
- Continue comme ça ! Plus fort ! Plus vite ! Je vais éclater ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! J’aime ton zob ! Zob ! Zob ! Zzzooob !
Et sans que je ne puisse absolument rien faire pour la retenir, la jouissance arriva avec la force d’un tsunami. Elle balaya tout sur son passage et me fit pousser un hurlement de démente ! Je sentis ma chatte inondée de mouille qui se mit à couler sur les doigts de mon merveilleux amant qui continuaient à aller et venir dans mon vagin, frottant toujours contre l’immense zob qui me limait le cul. Je le sentais qui accélérait le rythme en même temps que sa respiration se faisait de plus en plus courte et rauque. Je savais qu’il n’allait plus tarder à m’inonder le cul avec son sperme. Un sperme que je voulais sentir couler en moi. Il arriva d’abord avec un premier jet brulant et épais qui se répandit dans mon rectum et qui ressortit aussitôt, expulsé par le retour vers l’extérieur de l’engin. Il repartit dans une autre série de va-et-vient, qui le firent éjaculer une autre quantité de sperme épais, visqueux et brulant, qui elle-aussi ressortit sous l’effet de pompe aspirante du gros zob qui ressortait de mon cul. Il eut encore deux éjaculations et se retira, fourbu, pour venir s’assoir sur le sofa
Moi, je ne voulus pas m’assoir sur le sofa, de peur de le souiller avec tout le sperme coloré qui coulait encore de mon cul. Je vins me mettre à genoux par terre entre ses jambes écartées et restai un long moment à contempler la magnifique queue de mon black. Elle avait ramollie et était encore enduite des sécrétions de mon cul. Je la pris entre mes doigts et avançai la tête pour la nettoyer avec ma bouche, en la léchant et en la suçant. Je levais la tête pour regarder mon nouveau maître et voir comment il recevait l’offrande que j’étais entrain de lui faire. Il souriait de toutes ses dents et appréciait. L’offrande lui était due ! C’était comme cela que l’on essayait de gagner les bonnes grâces d’un Dieu dans les époques anciennes !
Patrice était mon Dieu et, pour le lui montrer, je lui faisais l’offrande de lui nettoyer la queue avec ma bouche. Je lui faisais même l’offrande d’avaler tout ce que ma bouche ramassait sur son membre. Patrice aimait beaucoup ce que je lui faisais. Je sentais sa queue qui se remettait à frémir. Je savais qu’il allait encore bander très fort, comme tout à l’heure. Et effectivement j’eus l’immense joie de voir cette immense queue pendre du volume et durcir pour devenir aussi menaçante qu’un glaive. Et le zob de Patrice n’était pas circoncis ! Je pensais que tous le africains originaires des pays du Sahel (comme le Mali, son pays) étaient des musulmans. Et bien Patrice ne l’était pas ! (J’appris un peu plus tard, que sa famille faisait partie des rares maliens christianisés).
Je voyais avec bonheur le miracle d’un zob ayant gardé son prépuce, entrain de se réveiller. Je voyais le gland sortir lentement de dessous son chapeau, grossir et quitter totalement sa couverture. Je voyais, avec émerveillement, la hampe devenir immense et se mettre à frémir. Je voyais enfin un immense zob brandi tel un glaive, cherchant une victime consentante à pourfendre. Et cette victime, c’était moi ! Je ne pus me retenir. Je me levai du parterre et allai me mettre à califourchon sur les cuisses de mon homme. Il devina immédiatement ce que je voulais faire et tendit les bras pour m’aider. Il me prit par la taille pour me soulever et permettre à mes grandes lèvres de se positionner au dessus de son gland. Je tendis la main pour le faire entrer entre les grandes lèvres et fis le geste de m’empaler sur lui.
Patrice comprit que je voulais que ce soit lui qui me fasse monter et descendre, au rythme qu’il choisirait. Avec ses immenses paluches de part et d’autre de ma taille, il me fit ainsi monter et descendre, faisant m’empaler violemment sur son monstre, dur comme de la pierre. La sensation de frottement sur les parois de mon vagin était sublime ! Plus forte encore que celle que j’avais ressentie tout à l’heure. Plus forte et plus profonde ! J’avais les mains accrochées au coup de taureau de mon merveilleux black et je poussais, à chaque empalement, un long cri de satisfaction et de plaisir. J’étais au paradis ! Les bras de Patrice me faisaient monter de plus en plus haut et me laissaient tomber sur son dard, d’une hauteur de plus en plus grande. Le rythme devenait de plus en plus rapide. Je sentais que Patrice était sur le point de jouir. Et moi aussi !
Et nous eûmes tous les deux un orgasme qui me fit perdre conscience à moi et qui fit pousser à Patrice un long, très long rugissement de lion annonçant sa satisfaction d’avoir tiré sa femelle ! Je m’affalais, complètement vidée, sur mon homme en laissant couler tout le sperme qu’il avait déversé en moi mélangé à tout mon jus. Je savais qu’une bonne partie allait se répandre sur le sofa, mais m’en fichais éperdument. J’étais trop bien ainsi, accrochée au cou de Patrice, ma tête posée au creux de son épaule et Bébert, fatigué mais encore d’attaque, enfoncé dans ma chatte. C’était le paradis ! Je ne voulais pas le quitter !
Ce fut Emmy, superbe de nudité qui tenait par la main Slim, lui aussi tout nu, qui nous firent sortir de notre torpeur. Je me levais, à contre cœur, de dessus mon beau black, pour m’assoir à son côté. Emmy vint elle aussi s’assoir à côté de Patrice et se mit à lui caresser la poitrine avec douceur.
- J’adore la douceur de bébé de sa peau ! Je ne me lasserai jamais de la caresser. Tu veux baiser Emmy ? lui dit-elle à l’oreille, mais assez fort pour que nous l’entendions tous.
- Si tu arrives à réveiller Bébert, que ton amie a beaucoup malmené ce soir !
- Pas de problèmes !
Et Emmy se mit à genoux devant Patrice et s’employa à lui faire une superbe fellation. Bébert ne résista pas longtemps. Au bout de moins d’une minute, il était devenu aussi vigoureux qu’au début. Emmy fit comme moi tout à l’heure, elle enfourcha les cuisses du Black et alla s’empaler sur l’immense queue, brandie comme un glaive. Je les regardais un moment, puis me retournais pour voir ce que faisait mon mari. Il bandait comme un âne, en regardant Emmy s’empaler avec fureur sur l’engin de Patrice. Il me regarda aussi et avec ses yeux, il m’invita à lui faire du bien.
Je savais ce qu’il aimait à ces moments là. Prendre ma bouche pour une chatte. Il adorait me baiser comme cela : moi à genoux et lui debout, entrain d’enfoncer sa queue brutalement dans ma gorge. Il me faisait toujours très mal. Il raclait très durement ma gorge et faisait couler mes larmes à flots, mais il jouissait de la situation et bandait encore plus fort. Je le laissais faire tout en faisant attention à ce qu’il n’aille pas trop loin. J’avais, avec le temps, acquis l’expérience de ce qu’il fallait faire pour limiter la douleur et les autres désagréments de ce type de fellation brutale, comme l’envie de vomir. Au bout de quelques longues minutes qui me parurent des heures, je sentis la queue de Slim se crisper dans ma bouche et un flot de sperme chaud se répandre à l’intérieur. J’avalais tout et le laissais continuer à aller et venir dans ma bouche pour libérer tout le foutre qu’il avait encore en lui.
Ce furent les cris d’Emmy qui nous tirèrent de la situation dans laquelle nous étions Slim et moi. Elle criait comme une folle son plaisir. Elle était encore accrochée au cou de son amant et montait en descendait, à un rythme de plus en plus rapide, sur le manche de Patrice. Elle bavait à flots et hurlait :
- Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiii !
Et elle déchargea, toujours en hurlant et en embrassant son amant sur la bouche, le visage, le cou et la poitrine ! Elle ne s’arrêta que vaincue par la fatigue. Elle se relâcha complètement et resta la chatte empalée sur le dard ramolli de Patrice et posa sa tête au creux de son épaule. Patrice eut le magnifique geste du mâle protecteur en lui caressant tendrement la nuque.
Ce fut ainsi que se passa notre première rencontre avec Patrice. Patrice l’Africain ! Patrice avec un monstre entre les jambes et qui savait s’en servir pour satisfaire les femelles que nous étions. Patrice qui me fit connaître encore toutes sortes de sensations avec sa merveilleuse queue ! Mais ce ne fut pas tout ! Il y avait K-Mel, qui revint le lendemain, le zob dans la main, tellement il était impatient de me revoir. Et il y avait Emmy et son merveilleux corps ! Et toute sa sensualité ! Et il y avait Slim, toujours égal à lui-même et toujours présent pour prendre sa part du gâteau.
Voilà où nous en sommes, une semaine après notre arrivée en France. La suite je vais la garder pour moi. Je n’éprouve plus le besoin de crier sur les toits mon besoin de vivre ma sexualité comme je le veux. Je sais que maintenant, je pourrais le faire, sans déranger personne. Et c’est tout ce qui compte pour moi !

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