Les histoires érotiques du couple Warda et Slim L’homme à la voiture noire, Quatrième partie
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2010 dans la catégorie Plus on est
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Les histoires érotiques du couple Warda et Slim L’homme à la voiture noire, Quatrième partie
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Je ne tardais pas à revoir Warda. Elle me donna rendez-vous moins d’une semaine plus tard pour, me dit-elle, me dire tout son bonheur de vivre une aventure amoureuse vraiment exceptionnelle. Elle m’avait déjà mis l’eau à la bouche en m’annonçant précédemment qu’il s’agissait maintenant d’un ménage à quatre. L’histoire du ménage à trois était maintenant dépassée. J’étais impatient de connaître les détails de la nouvelle histoire.
Mohand était parti vers ses nouvelles conquêtes et avait laissé sa femme Aïcha, son fils Sofiane et Warda ensemble. Slim devait les rejoindre. Il y avait là tous les ingrédients d’une nouvelle aventure, mais seul, je ne pouvais deviner tout ce qui avait pu se passer dans cette grande villa. Je pouvais évidemment deviner que Slim allait baiser avec Aïcha ; c’était assez simple. Warda allait aussi être possédée par l’un et par l’autre, c’était tout aussi simple. Peut-être même par les deux ensembles. Ce n’était donc pas cela qui allait faire le piment de la nouvelle aventure. Il devait nécessairement y avoir quelque chose d’autre, que Warda n’avait pas encore connu, ni vécu, jusque là. De guerre lasse, j’arrêtais mes supputations et attendit, l’arrivée de Warda / Shahrazade pour démêler les fils de l’intrigue.
Warda arriva aussi pimpante qu’à son habitude. Aussi belle et sensuelle ! Et aussi provocante ! Je me rendis compte que j’en pinçais sérieusement pour elle ! En la voyant s’approcher de la table que j’occupais dans le petit restaurant où nous avions convenus de diner ce soir là, je m’aperçus que j’avais le cœur qui battait très fort. Elle me vit de loin et me lança son merveilleux sourire. Elle me donna gentiment une bise sur la joue droite et s’assit en face de moi. J’avais envie de me lever, de l’enlacer et de lui donner un de ces baisers torrides dont elle parlait à chacune de ses aventures.
J’avais de plus en plus envie de cette femme ! Je crois que non seulement, je la désirais, à l’image de tous les hommes qui étaient dans le restaurant et qui ne la quittaient pas de leurs concupiscents, mais il m’apparaissait maintenant très nettement, que j’étais entrain de tomber amoureux d’elle. Mais seulement j’étais obligé de rester à ma place : celle du chroniqueur qui prêtait sa plume au couple Warda / Slim et qui n’avait absolument aucun droit d’interférer dans leurs aventures.
Je savais tout d’abord que le rôle que j’avais accepté de jouer, au tout début de ma rencontre avec le couple, ne pouvait être tenu que par une personne complètement neutre. Le conteur n’était jamais rien d’autre qu’un médiateur entre ceux qui vivent une histoire et ceux qui l’écoutent ou la lisent. Il n’a pas le droit de participer à son déroulement.
D’un autre côté, je ne pouvais prétendre au rôle de protagoniste de l’histoire de par mon physique, plutôt quelconque et mon âge assez avancé. Pour devenir l’amant, ou l’ami, ou le mari de Warda, il faut être beau, jeune et super bien membré. Or je n’étais rien de tout cela. Je devais donc rester à ma place et me contenter d’écouter les récits qu’elle narrait et pour me consoler…me noyer dans les tonnes de fantasmes qu’elle m’inspairait.
Je lui demandais donc d’entrer dans le vif du sujet et reprendre son rôle de l’héroïne principale des mille et une nuits Shahrazade.
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Quand Slim nous rejoignit cette nuit là et qu’il fit la connaissance de Aïcha, il la trouva immédiatement à son goût. D’ailleurs, il ne s’occupa plus que d’elle, en l’embrassant, la caressant et en lui faisant, devant Sofiane et moi, un formidable cunnilingus, qui la transporta jusqu’aux plus hauts sommets du plaisir sexuel. Elle portait toujours son kimono en soie bleue, mais était toute nue dessous. Je venais de voir sa nudité pour la première fois. Elle était vraiment parfaite et bandante ! Même moi, une femme aimant les hommes, je commençais, en la regardant, à ressentir des émotions, qui m’étaient totalement inconnues jusque là.
D’abord sa beauté ! Son corps parfait appelait les caresses ! J’avais envie de tendre la main pour m’emparer de ses magnifiques seins, pas très gros, mais fermes et tendus fièrement vers le plafond. Slim lui caressait les tétons et je voyais combien elle y prenait de plaisir. Elle poussait de tous petits cris de plaisir, en prenant la main de mon mari pour qu’elle reste en place. Je la voyais gigoter, et bouger ses hanches, comme si elle appelait l’autre main de Slim à aller farfouiller sur son mon de vénus et entre ses cuisses.
Il comprit très vite le message et défit complètement la ceinture en soie qui retenait les pans du kimono pour découvrir la magnifique intimité de la belle-mère de Sofiane. Je crois avoir une chatte superbe ! Mais celle de Aïcha est une véritable œuvre d’art : petite, serrée, palpitante avec des grandes lèvres charnues et superbement ourlées, se terminant par un magnifique petit triangle d’où sortait un peu de mouille luisante. Le tout parfaitement épilée. J’avais le cœur qui battait la chamade et le souffle court, en regardant le paradis de Aïcha. C’était le même type de sensation que j’avais chaque fois que je regardais le magnifique zob de Sofiane, ou même celui de Slim ! Je mouillais !
Je venais de découvrir, en regardant mon mari caresser Aïcha que j’avais envie d’être à sa place ! Je bandais pour une femme ! Cette sensation nouvelle – je ne savais absolument pas que j’avais des pulsions homosexuelles, même si je n’avais jamais eu de préjugés contre l’homosexualité – me laissa un moment abasourdie et honteuse. Je ne savais pas si je devais l’avouer à mes hommes et si surtout je devais en faire part à l’objet de mon nouveau désir. Je craignais qu’elle réagisse mal. Je savais que Sofiane et Slim étaient larges d’esprit et pouvaient comprendre n’importe quelle pulsion érotique, mais je ne connaissais pas assez Aïcha pour savoir ce qu’elle pouvait penser de mon désir pour elle. Je restais donc bien sage et continuait à regarder Slim, qui fourrageait entre les cuisses de sa partenaire du moment.
Je regardais du côté de Sofiane, pour voir ce qu’il faisait. Comme moi, il était entrain de regarder mon mari s’occuper de la chatte de sa belle-mère. Il me fit signe d’aller le rejoindre sur le fauteuil sur lequel il était assis. Il avait revêtu le pantalon d’un pyjama, qu’il avait laissé dans la maison et qu’il utilisait chaque fois qu’il devait passer la nuit dans la maison. Il avait toujours gardé une chambre dans la maison, bien qu’il n’y passait la nuit que très rarement. Je vins m’assoir sur ses genoux, tout en continuant à regarder Slim qui venait de commencer un cunnilingus sur la magnifique chatte de Aïcha.
Il s’était mis à genoux par terre, devant le sofa sur lequel se trouvait la splendide Aïcha. Il lui avait écarté les cuisses et avait plongé sa tête et sa bouche pour prendre possession de sa chatte. De là où j’étais je ne voyais pas ce que la bouche de Slim faisait, mais en regardant les réactions de la femme, je sentais tout le plaisir qu’il lui donnait. Je connaissais bien moi-même l’habileté diabolique de Slim pour me faire jouir avec sa bouche et je ressentais, par procuration, ce que Aïcha était entrain de vivre. D’ailleurs, la femme ne s’occupait plus de rien d’autre que du plaisir qu’elle était entrain de prendre, sous la bouche et la langue expertes de mon mari.
Elle avait fermé les yeux et tenait la tête de son partenaire, à qui elle faisait faire les mouvements qu’elle désirait. Nous la regardions, Sofiane et moi gémir et pousser des cris de plus en plus stridents, au fur et à mesure que son plaisir grandissait et gagnait en intensité. Nous la regardions, monter et descendre ses hanches, pour suivre le rythme des allers-retours de la bouche de son amant sur sa chatte. Elle n’arrivait plus à se retenir. Je sentais qu’elle avait envie de crier et de dire des choses. Elle n’osait pas encore (peut-être un reste de pudeur !), mais au bout d’un moment, elle n’y tint plus. Elle se mit à soliloquer doucement d’abord, comme si elle ne voulait pas que nous entendions ce qu’elle disait, puis de plus en plus fort :
- Oui ! Oui ! C’est bon ! C’est merveilleux ! Ta bouche est mieux qu’un zob ! Elle me transporte au septième ciel ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Encore ! Plus vite ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je….
Et elle partit dans un formidable orgasme qui la fit hurler de plaisir et qui la fit baver comme une fontaine. Elle serrait ses cuisses très fort sur la tête de Slim et tirait sur ses cheveux pour faire aller sa tête de plus en plus vite sur sa chatte. Et tout d’un coup, elle se relâcha totalement et s’enfonça dans le sofa, fourbue de fatigue, mais béate de bonheur.
- Cet homme est un diable ! fit-elle, en nous regardant d’un air un peu gêné (C’était, la première fois qu’elle faisait l’amour devant des gens). Il est arrivé à me faire jouir comme une folle, rien qu’avec sa bouche ! Même avec Sofiane, je n’ai pas connu cette sensation. Il m’a souvent embrassé et léché la chatte, mais ne m’a jamais fait l’amour comme ça. Qu’est-ce ça doit être avec son engin.
- Tu veux le voir ? Lui répondit Slim, qui était le seul d’entre nous qui n’avait pas encore baisé de la journée.
- Ouiiii ! répondit-elle précipitamment, en me regardant pour voir si je n’y voyais aucun inconvénient.
Mon mari ne se fit pas prier pour sortir son bel engin de son pantalon et le montrer à sa partenaire, pour qu’elle le prenne dans sa main.
- Il est très beau ! Bien lisse et bien gros ! Il n’a pas la longueur de celui de Sofiane, mais il est plus gros. Je vais me régaler. Qu’est-ce que tu attends pour me baiser ? Que j’appelle les pompiers ?
Mais Slim, mon Slim ! ne l’entendait pas de cette oreille. Il voulait avoir un autre type de jouissance. Il était toujours à la recherche de nouveauté. Il regarda vers nous et appela Sofiane pour qu’il le rejoigne sur le sofa.
- Je vais enculer ta belle-mère ! J’espère qu’elle n’est pas vierge de ce côté-là ! Mais je veux que toi aussi tu la tires en même temps. Nous allons lui remplir ses deux trous !
- Oui !!! Répondit Sofiane que l’idée de baiser sa belle-mère, en même temps que son ami l’encule, émoustillait au plus haut point.
Il vint s’allonger sur le sofa, le gourdin en bataille, dressé comme un sabre vers le plafond. Aïcha qui comprit très vite ce qui allait arriver, ne se fit pas prier pour venir s’empaler sur le magnifique zob, tendu comme un poignard attendant la victime à pourfendre. Elle y alla avec précaution, connaissant parfaitement la puissance du zob de son amant. Elle positionna ses grandes lèvres au dessus de l’engin, les ouvrit avec deux doigts et se laissa tomber doucement jusqu’à ce que tout le manche soit avalé pat le tunnel.
Elle poussa un petit cri de plaisir quand elle fut totalement empalée. Sofiane lui fit relever ses hanches d’une quinzaine de centimètres pour pouvoir entreprendre lui-même le mouvement de va-et-vient à l’intérieur de vagin, chaud, visqueux et super moulant. Il fit quelques mouvements montant et descendant, le temps de bien huiler les lieux et attendit que Slim commence sa pénétration anale. Je regardais le spectacle en bavant. J’aurais bien voulu être à la place de Aïcha ! J’étais devenue une fervente consommatrice de la double pénétration ! Avec mes deux hommes, nous l’avions pratiquée souvent. Et j’ai toujours adoré ! Je savais ce que la femme allait ressentir, à partir du moment où Slim allait cracher dans sa main pour mouiller l’anneau de l’anus, puis son zob, en passant par le moment où il allait poser son gland sur l’anus de sa maitresse, jusqu’à celui où il donnera une très forte poussée à ses hanches et la pénétrer jusqu’au fond.
Je savais ce qu’elle allait ressentir, au moment où les deux hommes allaient manœuvre ensemble, pour aller et venir dans ses deux trous. Je pensais à cette merveilleuse sensation de deux magnifiques zobs qui se croisaient en elle, en se frottant l’un contre l’autre et en lui donnant deux fois plus de plaisir. Je savais qu’elle allait complètement se perdre dans le plaisir et se mettre à hurler, crier, gémir et dire des choses incompréhensibles pour tous, sauf pour elle. Et ce fut bien cela qui arriva : Aïcha se mit à pousser des cris de plus en plus stridents qui accompagnaient son plaisir, de plus en plus grand. Je me levais pour pouvoir regarder de plus près le merveilleux spectacle qui se déroulait devant moi. Je regardais Aïcha qui avait fermé les yeux, mais ouvert la bouche, d’où dégoulinait un filet de salive qu’elle n’arrivait pas à retenir. Je voyais sa tête qui partait dans tous les sens, et dont elle ne pouvait plus contrôler le mouvement désordonné.
Je la voyais, magnifique, entrain de prendre du plaisir et dire des choses dont je ne comprenais pas grand-chose, si ce n’est quelques mots, ça et là :
- Cul ! Zobs ! Deux ! Bon ! Merveilleuuuuuuuuuux ! Encoooooore !
De ce superbe trio je ne voyais que Aïcha ! Je voyais ses magnifiques seins se balancer au rythme des coups de boutoir de ses deux amants. Je tendis presque inconsciemment la main pour les caresser. Elle ouvrit les yeux un moment, au contact de mes doigts sur sa poitrine et me fit un merveilleux sourire. Une invitation à continuer ! J’étais aux anges ! Je pouvais caresser la superbe pouliche offerte à ses deux étalons et qui en voulait encore plus ! Je me mis à lui caresser les seins, doucement, avec tendresse et amour (je venais de découvrir que j’aimais aussi cette femme, comme j’aimais mes deux hommes !) en insistant longuement sur ses tétons, marron et fermes. Et puis je pris sa tête entre mes mains me mit à lécher ses lèvres et son menton remplis de salive avant de l’embrasser. Elle me rendit mon baiser, avec autant de ferveur et de désir que moi. Nous eûmes un vrai baiser torride d’amoureux et d’amants; avec la langue et la salive !
Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, qui éclata comme une bombe. Elle hurla dans ma bouche qui avait pris possession de la sienne, m’obligeant à me retirer. Elle expulsa un flot de salive, qui alla s’étaler sur le torse de Sofiane, au dessous d’elle. Sa tête se remit à aller dans tous les sens, comme une poupée désarticulée, en même temps que sa respiration devenait de plus en plus difficile. Elle était au bord de l’étouffement. Et puis tout s’arrêta, les allers-retours du zob de Sofiane dans sa chatte et ceux du zob de Slim dans son cul. Tous les deux avaient éjaculés, sans même que je m’en rende compte, occupée que j’étais avec la seule Aïcha. Ils avaient joui en même temps tous les trois. Je les regardais reprendre leur souffle et savait que Slim n’allait pas tarder à venir me présenter son gros zob, pour que je le nettoie avec ma bouche. J’étais, comme d’habitude prête à le faire. Mais surprise, au lieu de présenter son manche devant ma bouche, il alla vers celle de Aïcha, qui le regarda ave des yeux étonnés, n’ayant pas été habituée à cela.
- Nettoie-le avec ta langue ! Ordonna-t-il d’une voix qui n’admettait pas de refus.
Aïcha me regarda, ne sachant que faire. Je lui souris et lui dit de le prendre entre ses doigts et de le lécher, puis de le sucer, jusqu’à ce qu’il redevienne propre. Elle le fit, avec précaution au début, puis avec de plus en plus d’assurance. Elle finit même par le refaire bander et par lui appliquer une fellation (cela elle savait parfaitement le faire !) Slim ne mit pas longtemps à éjaculer exprès sur le visage et la poitrine de sa maîtresse, me demandant à moi de la lécher et d’avaler tout son sperme. J’attendais cela avec impatience. Non pas pour le plaisir d’avaler le sperme de mon mari, mais surtout pour embrasser et lécher la splendide Aïcha. J’avais envie de promener ma bouche et ma langue sur son corps et son visage. Je voulais l’embrasser et lui communiquer mon désir d’elle. Elle se laissa faire, sagement d’abord, plus avec de plus en plus de plaisir et de fureur. Elle se mit même rapidement à me rendre mes baisers et mes caresses et à tendre ses mains vers mes seins, puis vers ma chatte.
Les deux hommes nous regardaient faire en souriant. Ils étaient contents de nous voir faire l’amour. Ils recommençaient à bander comme des boucs. Pendant que Aïcha et moi en étions à nous sucer la chatte dans la position tête-bêche, Slim et Sofiane nous regardaient, en se caressant leur zob. La chatte de Aïcha était encore pleine du sperme de Sofiane, j’en profitais pour le sucer et l’avaler, en même temps que j’avalais tout le jus qu’elle sécrétait en abondance. Je sentais qu’elle prenait du plaisir avec ma bouche; elle bougeait fiévreusement ses hanches, pour que ma bouche garde un contact très fort avec sa chatte.
Elle en faisait de même avec ma chatte. Elle suçait et léchait avec fureur mes grandes et mes petites lèvres et tentait d’introduire sa langue au fond de mon vagin. J’adorais cette bouche qui faisait du bien à ma chatte et qui me donnait tant de plaisir. Je sentais ses lèvres qui cherchaient mon clitoris et qui voulaient l’attraper. Je sentais aussi sa langue qui léchait avec vigueur les parois de mon vagin et qui ramassait tout ce qu’elle pouvait de jus, qu’elle avalait avec gourmandise. Elle utilisait même de temps en temps ses dents pour mordiller mes grandes et petites lèvres et surtout mon clitoris. C’était comme si elle m’appliquait de très légères et très agréables décharges électriques sur le clito. Je les sentais qui irradiaient sur tout mon ventre et qui m’amenaient à une superbe jouissance. Ce fut d’ailleurs moi qui la première déchargea dans la bouche de mon adorable maîtresse. Elle avala tout le jus que je lâchais, avant qu’elle-même ne se mit à décharger à son tour, me replissant la bouche de cyprine salée et acidulée, que je bus avec délectation.
Nous restâmes un long moment ainsi, nos têtes entre nos cuisses respectives, à reprendre notre souffle avant de nous séparer. C’est là que nous vîmes nos deux hommes debout devant nous, attendant leur tour de nous posséder. Slim et Sofiane étaient nus, leur sexe dans la main, se regardant pour savoir laquelle de nous, chacun allait baiser. Sofiane me choisit moi et Slim choisit Aïcha. Et c’était reparti pour une tour ! Ils nous baisèrent toutes les deux en levrette, à quatre pattes sur le carrelage, nos têtes posées sur le bord du sofa. J’étais fatiguée et fourbue ; je supposais que Aïcha était dans le même état que moi. Mais nos deux hommes s’y prirent tellement bien que toutes les deux, nous ressentîmes le désir revenir à toute allure et le plaisir avec.
Pendant que nos hommes nous entreprenaient, Aïcha et moi nous nous regardions dans les yeux, en nous souriant. Nous étions toutes les deux très heureuses. Nous venions de passer une journée formidable où nous avions fait d’énormes découvertes. Sur nous même d’abord : nous avions découvert que nous nous aimions et que nous aimions faire l’amour ensemble ; entre femmes ! Sur tout le reste ensuite : l’amour à quatre, qui nous donnait à toutes les deux autant de plaisir, que l’amour avec nos seuls maris ou amants. Nous avions aussi découvert que nos hommes étaient de vrais complices et s’entendaient à merveille sur tout.
Le nouveau coït ne dura pas très longtemps : nos hommes, tout comme nous, étaient fatigués. Ils jouirent presque en même temps, sans que nous, les femmes, les instruments de leur plaisir, ne pûmes jouir avec eux. Mais cela nous importa peu. Ce qui était important, c’était que nous venions de vivre une journée exceptionnelle, qui annonçait d’autres journées toutes aussi exceptionnelles. Nous décidâmes d’aller dormir, après avoir pris une douche bien chaude. Aïcha et moi prîmes un bain ensemble : nous mîmes beaucoup de temps, ce qui poussa nos hommes à aller se laver dans les autre salles de bains de la villa (qui en comptait trois : une à chaque étage). Avec mon amie et amante nous restâmes plus d’une heure dans la baignoire remplie d’eau chaude.
J’en profitais pour m’occuper du merveilleux corps de ma partenaire, en la caressant et l’embrassant tendrement. Je profitais de sa belle peau si douce et si ferme ; de ses fesses de pouliche, que je caressais et embrassait et léchais sans vergogne. Je me comportais avec elle comme si j’étais un homme. C’était moi qui l’entreprenais : elle se laissait faire, en poussant des petits rires de plaisir. Elle aimait mes caresses et me le montrait en gémissant. Je ne voulais pas la faire jouir, ou jouir moi-même ; je voulais seulement lui montrer tout mon amour et toute ma tendresse. Nous sortîmes de la salle de bain en riant comme des collégiennes. Nous étions heureuses et le montrions à nos hommes, que nous rejoignîmes dans la chambre de Aïcha (et de son mari Mohand).
Ils étaient fourbus et avaient vraiment envie de dormir. Nous nous installâmes entre eux, moi du côté de Slim et elle, du côté de Sofiane. Nous dormîmes du sommeil du juste dans les bras l’une de l’autre. Nos hommes au réveil, nous trouvèrent ainsi enlacées, comme des petites filles qui avaient peur de se perdre.
Notre histoire à quatre continua longtemps. Nous avions réellement trouvé notre équilibre. De temps en temps Mohand, le père de Sofiane et le mari de Aïcha revenait pour demander son dû, c'est-à-dire sa femme. Quand il revenait, la panique s’instaurait chez nous. Nous avions peur qu’il n’exige de reprendre définitivement sa femme et qu’il lui interdise de nous revoir. Nous avions peur que la belle histoire finisse comme cela, en queue de poisson, nous privant d’une partie essentielle de notre vie amoureuse. Aïcha nous était devenue indispensable: aux hommes d’abord, parce que c’était vraiment un superbe coup, dont aucun des deux ne pouvait plus se passer, y compris Slim, mon mari, qui maintenant la considérait comme son épouse, au même titre que moi.
A moi ensuite, qui étais tombée amoureuse folle de cette divine plante, et qui me le rendait au centuple. Elle me donnait autant de bonheur que mes deux hommes. Avec elle, il était autant question de sentiments – l’Amour, avec un A majuscule – que de sexe. Son corps, son cul, sa bouche, sa manière totalement libre de s’offrir à moi et d’accepter toutes mes folies érotiques, étaient devenus une drogue pour moi. Et je crois que j’étais, moi aussi, devenue sa drogue. Nous étions accros l’une à l’autre, au grand bonheur de nos hommes, qui trouvaient en notre amour lesbien, un complément agréable à leur vécu érotique. Nous appartenions corps et âmes à nos hommes, qui nous transportaient tous les jours vers les plus hauts sommets du plaisir et de la jouissance sexuels, puis nous repartions ensemble – Aïcha et moi – vers d’autres plaisirs érotiques, qui nous étaient propres.
Parfois, l’un ou l’autre de nos hommes – et quelquefois les deux en même temps – voulait participer à nos jeux. Nous refusions de les accepter entre nous, au moment de nos ébats. Notre bonheur en ces moments là était d’échanger entre nous, les filles. Il n’y avait pas de place pour un homme ; ni pour deux. Ce n’est qu’après, une fois rassasiées, que le retour des mâles était permis. Entre Aïcha et moi, c’était surtout la Tendresse et l’Amour qui s’exprimaient. Nous étions comme des midinettes amoureuses, qui minaudions tout le temps ; nous riions ensemble et nous moquions de tout, particulièrement des hommes, qui nous paraissaient trop sérieux. C’était un bonheur serein.
Avec les hommes, il s’agissait surtout de sexe et d’érotisme torride. C’était aussi le bonheur, mais un bonheur qui était la conséquence de notre volonté furieuse de vivre nos passions et d’explorer les recoins les plus reculés du plaisir amoureux. Nous étions prêts, hommes et femmes, à toutes les expériences sexuelles, non avilissantes. Aucun de nous quatre, n’était près à franchir la ligne rouge qui sépare l’érotisme de l’avilissement et de la maladie mentale. Nous adorons être soumis à la volonté de nos partenaires et même d’être leurs chiens ou leurs chiennes, mais en aucun cas, nous allons vers des comportements sadiques ou masochistes, fait de douleur et d’avilissement ; et bien entendu, nous n’acceptons pas les actes sexuels forcés, non voulus et non assumés. La pédophilie, bien entendue, nous était étrangère. En dehors de ces limites – que l’on peut paradoxalement qualifier de morales – nous n’avions pas de limites à notre plaisir et à notre manière de vivre l’érotisme.
C’était pour cela que chaque fois que Mohand pointait son nez, l’équilibre de notre groupe vacillait sur ses bases. Il nous séparait de Aïcha, qu’il se réappropriait un temps – le temps d’assouvir ses instincts et de revivre avec elle des moments à forte valeur érotique – avant de repartir vers de nouvelles aventures de prédateur sexuel. Quand elle revenait, deux ou trois jours plus tard dans le groupe, elle avait la mine épanouie de celle qui venait de connaître de superbes moments de plaisir (elle disait qu’il était resté un superbe coup au lit, toujours aussi brutal et insatiable, et que chaque fois, il la faisait jouir comme une folle). Elle nous expliquait que Mohand, voulait surtout que nous n’oublions pas son existence et le pouvoir qu’il avait de détruire, si l’envie l’en prenait, l’harmonie de notre groupe.
En dehors de ces avertissements, sans trop de conséquences pour l’instant, la vie dans le groupe se déroulait comme un long fleuve tranquille, plein de d’érotisme et d’amour. Cette vie continua longtemps et eut d’autres ramifications. La plus surprenante, était l’arrivée dans le groupe, pour un court, mais intense, moment, de Kamel, le jeune frère de Sofiane et de son amie, Emilie, une splendide eurasienne de vingt quatre ans.
Mais ceci est une autre histoire, que je te narrerai une prochaine fois.
Je ne tardais pas à revoir Warda. Elle me donna rendez-vous moins d’une semaine plus tard pour, me dit-elle, me dire tout son bonheur de vivre une aventure amoureuse vraiment exceptionnelle. Elle m’avait déjà mis l’eau à la bouche en m’annonçant précédemment qu’il s’agissait maintenant d’un ménage à quatre. L’histoire du ménage à trois était maintenant dépassée. J’étais impatient de connaître les détails de la nouvelle histoire.
Mohand était parti vers ses nouvelles conquêtes et avait laissé sa femme Aïcha, son fils Sofiane et Warda ensemble. Slim devait les rejoindre. Il y avait là tous les ingrédients d’une nouvelle aventure, mais seul, je ne pouvais deviner tout ce qui avait pu se passer dans cette grande villa. Je pouvais évidemment deviner que Slim allait baiser avec Aïcha ; c’était assez simple. Warda allait aussi être possédée par l’un et par l’autre, c’était tout aussi simple. Peut-être même par les deux ensembles. Ce n’était donc pas cela qui allait faire le piment de la nouvelle aventure. Il devait nécessairement y avoir quelque chose d’autre, que Warda n’avait pas encore connu, ni vécu, jusque là. De guerre lasse, j’arrêtais mes supputations et attendit, l’arrivée de Warda / Shahrazade pour démêler les fils de l’intrigue.
Warda arriva aussi pimpante qu’à son habitude. Aussi belle et sensuelle ! Et aussi provocante ! Je me rendis compte que j’en pinçais sérieusement pour elle ! En la voyant s’approcher de la table que j’occupais dans le petit restaurant où nous avions convenus de diner ce soir là, je m’aperçus que j’avais le cœur qui battait très fort. Elle me vit de loin et me lança son merveilleux sourire. Elle me donna gentiment une bise sur la joue droite et s’assit en face de moi. J’avais envie de me lever, de l’enlacer et de lui donner un de ces baisers torrides dont elle parlait à chacune de ses aventures.
J’avais de plus en plus envie de cette femme ! Je crois que non seulement, je la désirais, à l’image de tous les hommes qui étaient dans le restaurant et qui ne la quittaient pas de leurs concupiscents, mais il m’apparaissait maintenant très nettement, que j’étais entrain de tomber amoureux d’elle. Mais seulement j’étais obligé de rester à ma place : celle du chroniqueur qui prêtait sa plume au couple Warda / Slim et qui n’avait absolument aucun droit d’interférer dans leurs aventures.
Je savais tout d’abord que le rôle que j’avais accepté de jouer, au tout début de ma rencontre avec le couple, ne pouvait être tenu que par une personne complètement neutre. Le conteur n’était jamais rien d’autre qu’un médiateur entre ceux qui vivent une histoire et ceux qui l’écoutent ou la lisent. Il n’a pas le droit de participer à son déroulement.
D’un autre côté, je ne pouvais prétendre au rôle de protagoniste de l’histoire de par mon physique, plutôt quelconque et mon âge assez avancé. Pour devenir l’amant, ou l’ami, ou le mari de Warda, il faut être beau, jeune et super bien membré. Or je n’étais rien de tout cela. Je devais donc rester à ma place et me contenter d’écouter les récits qu’elle narrait et pour me consoler…me noyer dans les tonnes de fantasmes qu’elle m’inspairait.
Je lui demandais donc d’entrer dans le vif du sujet et reprendre son rôle de l’héroïne principale des mille et une nuits Shahrazade.
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Quand Slim nous rejoignit cette nuit là et qu’il fit la connaissance de Aïcha, il la trouva immédiatement à son goût. D’ailleurs, il ne s’occupa plus que d’elle, en l’embrassant, la caressant et en lui faisant, devant Sofiane et moi, un formidable cunnilingus, qui la transporta jusqu’aux plus hauts sommets du plaisir sexuel. Elle portait toujours son kimono en soie bleue, mais était toute nue dessous. Je venais de voir sa nudité pour la première fois. Elle était vraiment parfaite et bandante ! Même moi, une femme aimant les hommes, je commençais, en la regardant, à ressentir des émotions, qui m’étaient totalement inconnues jusque là.
D’abord sa beauté ! Son corps parfait appelait les caresses ! J’avais envie de tendre la main pour m’emparer de ses magnifiques seins, pas très gros, mais fermes et tendus fièrement vers le plafond. Slim lui caressait les tétons et je voyais combien elle y prenait de plaisir. Elle poussait de tous petits cris de plaisir, en prenant la main de mon mari pour qu’elle reste en place. Je la voyais gigoter, et bouger ses hanches, comme si elle appelait l’autre main de Slim à aller farfouiller sur son mon de vénus et entre ses cuisses.
Il comprit très vite le message et défit complètement la ceinture en soie qui retenait les pans du kimono pour découvrir la magnifique intimité de la belle-mère de Sofiane. Je crois avoir une chatte superbe ! Mais celle de Aïcha est une véritable œuvre d’art : petite, serrée, palpitante avec des grandes lèvres charnues et superbement ourlées, se terminant par un magnifique petit triangle d’où sortait un peu de mouille luisante. Le tout parfaitement épilée. J’avais le cœur qui battait la chamade et le souffle court, en regardant le paradis de Aïcha. C’était le même type de sensation que j’avais chaque fois que je regardais le magnifique zob de Sofiane, ou même celui de Slim ! Je mouillais !
Je venais de découvrir, en regardant mon mari caresser Aïcha que j’avais envie d’être à sa place ! Je bandais pour une femme ! Cette sensation nouvelle – je ne savais absolument pas que j’avais des pulsions homosexuelles, même si je n’avais jamais eu de préjugés contre l’homosexualité – me laissa un moment abasourdie et honteuse. Je ne savais pas si je devais l’avouer à mes hommes et si surtout je devais en faire part à l’objet de mon nouveau désir. Je craignais qu’elle réagisse mal. Je savais que Sofiane et Slim étaient larges d’esprit et pouvaient comprendre n’importe quelle pulsion érotique, mais je ne connaissais pas assez Aïcha pour savoir ce qu’elle pouvait penser de mon désir pour elle. Je restais donc bien sage et continuait à regarder Slim, qui fourrageait entre les cuisses de sa partenaire du moment.
Je regardais du côté de Sofiane, pour voir ce qu’il faisait. Comme moi, il était entrain de regarder mon mari s’occuper de la chatte de sa belle-mère. Il me fit signe d’aller le rejoindre sur le fauteuil sur lequel il était assis. Il avait revêtu le pantalon d’un pyjama, qu’il avait laissé dans la maison et qu’il utilisait chaque fois qu’il devait passer la nuit dans la maison. Il avait toujours gardé une chambre dans la maison, bien qu’il n’y passait la nuit que très rarement. Je vins m’assoir sur ses genoux, tout en continuant à regarder Slim qui venait de commencer un cunnilingus sur la magnifique chatte de Aïcha.
Il s’était mis à genoux par terre, devant le sofa sur lequel se trouvait la splendide Aïcha. Il lui avait écarté les cuisses et avait plongé sa tête et sa bouche pour prendre possession de sa chatte. De là où j’étais je ne voyais pas ce que la bouche de Slim faisait, mais en regardant les réactions de la femme, je sentais tout le plaisir qu’il lui donnait. Je connaissais bien moi-même l’habileté diabolique de Slim pour me faire jouir avec sa bouche et je ressentais, par procuration, ce que Aïcha était entrain de vivre. D’ailleurs, la femme ne s’occupait plus de rien d’autre que du plaisir qu’elle était entrain de prendre, sous la bouche et la langue expertes de mon mari.
Elle avait fermé les yeux et tenait la tête de son partenaire, à qui elle faisait faire les mouvements qu’elle désirait. Nous la regardions, Sofiane et moi gémir et pousser des cris de plus en plus stridents, au fur et à mesure que son plaisir grandissait et gagnait en intensité. Nous la regardions, monter et descendre ses hanches, pour suivre le rythme des allers-retours de la bouche de son amant sur sa chatte. Elle n’arrivait plus à se retenir. Je sentais qu’elle avait envie de crier et de dire des choses. Elle n’osait pas encore (peut-être un reste de pudeur !), mais au bout d’un moment, elle n’y tint plus. Elle se mit à soliloquer doucement d’abord, comme si elle ne voulait pas que nous entendions ce qu’elle disait, puis de plus en plus fort :
- Oui ! Oui ! C’est bon ! C’est merveilleux ! Ta bouche est mieux qu’un zob ! Elle me transporte au septième ciel ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Encore ! Plus vite ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je….
Et elle partit dans un formidable orgasme qui la fit hurler de plaisir et qui la fit baver comme une fontaine. Elle serrait ses cuisses très fort sur la tête de Slim et tirait sur ses cheveux pour faire aller sa tête de plus en plus vite sur sa chatte. Et tout d’un coup, elle se relâcha totalement et s’enfonça dans le sofa, fourbue de fatigue, mais béate de bonheur.
- Cet homme est un diable ! fit-elle, en nous regardant d’un air un peu gêné (C’était, la première fois qu’elle faisait l’amour devant des gens). Il est arrivé à me faire jouir comme une folle, rien qu’avec sa bouche ! Même avec Sofiane, je n’ai pas connu cette sensation. Il m’a souvent embrassé et léché la chatte, mais ne m’a jamais fait l’amour comme ça. Qu’est-ce ça doit être avec son engin.
- Tu veux le voir ? Lui répondit Slim, qui était le seul d’entre nous qui n’avait pas encore baisé de la journée.
- Ouiiii ! répondit-elle précipitamment, en me regardant pour voir si je n’y voyais aucun inconvénient.
Mon mari ne se fit pas prier pour sortir son bel engin de son pantalon et le montrer à sa partenaire, pour qu’elle le prenne dans sa main.
- Il est très beau ! Bien lisse et bien gros ! Il n’a pas la longueur de celui de Sofiane, mais il est plus gros. Je vais me régaler. Qu’est-ce que tu attends pour me baiser ? Que j’appelle les pompiers ?
Mais Slim, mon Slim ! ne l’entendait pas de cette oreille. Il voulait avoir un autre type de jouissance. Il était toujours à la recherche de nouveauté. Il regarda vers nous et appela Sofiane pour qu’il le rejoigne sur le sofa.
- Je vais enculer ta belle-mère ! J’espère qu’elle n’est pas vierge de ce côté-là ! Mais je veux que toi aussi tu la tires en même temps. Nous allons lui remplir ses deux trous !
- Oui !!! Répondit Sofiane que l’idée de baiser sa belle-mère, en même temps que son ami l’encule, émoustillait au plus haut point.
Il vint s’allonger sur le sofa, le gourdin en bataille, dressé comme un sabre vers le plafond. Aïcha qui comprit très vite ce qui allait arriver, ne se fit pas prier pour venir s’empaler sur le magnifique zob, tendu comme un poignard attendant la victime à pourfendre. Elle y alla avec précaution, connaissant parfaitement la puissance du zob de son amant. Elle positionna ses grandes lèvres au dessus de l’engin, les ouvrit avec deux doigts et se laissa tomber doucement jusqu’à ce que tout le manche soit avalé pat le tunnel.
Elle poussa un petit cri de plaisir quand elle fut totalement empalée. Sofiane lui fit relever ses hanches d’une quinzaine de centimètres pour pouvoir entreprendre lui-même le mouvement de va-et-vient à l’intérieur de vagin, chaud, visqueux et super moulant. Il fit quelques mouvements montant et descendant, le temps de bien huiler les lieux et attendit que Slim commence sa pénétration anale. Je regardais le spectacle en bavant. J’aurais bien voulu être à la place de Aïcha ! J’étais devenue une fervente consommatrice de la double pénétration ! Avec mes deux hommes, nous l’avions pratiquée souvent. Et j’ai toujours adoré ! Je savais ce que la femme allait ressentir, à partir du moment où Slim allait cracher dans sa main pour mouiller l’anneau de l’anus, puis son zob, en passant par le moment où il allait poser son gland sur l’anus de sa maitresse, jusqu’à celui où il donnera une très forte poussée à ses hanches et la pénétrer jusqu’au fond.
Je savais ce qu’elle allait ressentir, au moment où les deux hommes allaient manœuvre ensemble, pour aller et venir dans ses deux trous. Je pensais à cette merveilleuse sensation de deux magnifiques zobs qui se croisaient en elle, en se frottant l’un contre l’autre et en lui donnant deux fois plus de plaisir. Je savais qu’elle allait complètement se perdre dans le plaisir et se mettre à hurler, crier, gémir et dire des choses incompréhensibles pour tous, sauf pour elle. Et ce fut bien cela qui arriva : Aïcha se mit à pousser des cris de plus en plus stridents qui accompagnaient son plaisir, de plus en plus grand. Je me levais pour pouvoir regarder de plus près le merveilleux spectacle qui se déroulait devant moi. Je regardais Aïcha qui avait fermé les yeux, mais ouvert la bouche, d’où dégoulinait un filet de salive qu’elle n’arrivait pas à retenir. Je voyais sa tête qui partait dans tous les sens, et dont elle ne pouvait plus contrôler le mouvement désordonné.
Je la voyais, magnifique, entrain de prendre du plaisir et dire des choses dont je ne comprenais pas grand-chose, si ce n’est quelques mots, ça et là :
- Cul ! Zobs ! Deux ! Bon ! Merveilleuuuuuuuuuux ! Encoooooore !
De ce superbe trio je ne voyais que Aïcha ! Je voyais ses magnifiques seins se balancer au rythme des coups de boutoir de ses deux amants. Je tendis presque inconsciemment la main pour les caresser. Elle ouvrit les yeux un moment, au contact de mes doigts sur sa poitrine et me fit un merveilleux sourire. Une invitation à continuer ! J’étais aux anges ! Je pouvais caresser la superbe pouliche offerte à ses deux étalons et qui en voulait encore plus ! Je me mis à lui caresser les seins, doucement, avec tendresse et amour (je venais de découvrir que j’aimais aussi cette femme, comme j’aimais mes deux hommes !) en insistant longuement sur ses tétons, marron et fermes. Et puis je pris sa tête entre mes mains me mit à lécher ses lèvres et son menton remplis de salive avant de l’embrasser. Elle me rendit mon baiser, avec autant de ferveur et de désir que moi. Nous eûmes un vrai baiser torride d’amoureux et d’amants; avec la langue et la salive !
Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, qui éclata comme une bombe. Elle hurla dans ma bouche qui avait pris possession de la sienne, m’obligeant à me retirer. Elle expulsa un flot de salive, qui alla s’étaler sur le torse de Sofiane, au dessous d’elle. Sa tête se remit à aller dans tous les sens, comme une poupée désarticulée, en même temps que sa respiration devenait de plus en plus difficile. Elle était au bord de l’étouffement. Et puis tout s’arrêta, les allers-retours du zob de Sofiane dans sa chatte et ceux du zob de Slim dans son cul. Tous les deux avaient éjaculés, sans même que je m’en rende compte, occupée que j’étais avec la seule Aïcha. Ils avaient joui en même temps tous les trois. Je les regardais reprendre leur souffle et savait que Slim n’allait pas tarder à venir me présenter son gros zob, pour que je le nettoie avec ma bouche. J’étais, comme d’habitude prête à le faire. Mais surprise, au lieu de présenter son manche devant ma bouche, il alla vers celle de Aïcha, qui le regarda ave des yeux étonnés, n’ayant pas été habituée à cela.
- Nettoie-le avec ta langue ! Ordonna-t-il d’une voix qui n’admettait pas de refus.
Aïcha me regarda, ne sachant que faire. Je lui souris et lui dit de le prendre entre ses doigts et de le lécher, puis de le sucer, jusqu’à ce qu’il redevienne propre. Elle le fit, avec précaution au début, puis avec de plus en plus d’assurance. Elle finit même par le refaire bander et par lui appliquer une fellation (cela elle savait parfaitement le faire !) Slim ne mit pas longtemps à éjaculer exprès sur le visage et la poitrine de sa maîtresse, me demandant à moi de la lécher et d’avaler tout son sperme. J’attendais cela avec impatience. Non pas pour le plaisir d’avaler le sperme de mon mari, mais surtout pour embrasser et lécher la splendide Aïcha. J’avais envie de promener ma bouche et ma langue sur son corps et son visage. Je voulais l’embrasser et lui communiquer mon désir d’elle. Elle se laissa faire, sagement d’abord, plus avec de plus en plus de plaisir et de fureur. Elle se mit même rapidement à me rendre mes baisers et mes caresses et à tendre ses mains vers mes seins, puis vers ma chatte.
Les deux hommes nous regardaient faire en souriant. Ils étaient contents de nous voir faire l’amour. Ils recommençaient à bander comme des boucs. Pendant que Aïcha et moi en étions à nous sucer la chatte dans la position tête-bêche, Slim et Sofiane nous regardaient, en se caressant leur zob. La chatte de Aïcha était encore pleine du sperme de Sofiane, j’en profitais pour le sucer et l’avaler, en même temps que j’avalais tout le jus qu’elle sécrétait en abondance. Je sentais qu’elle prenait du plaisir avec ma bouche; elle bougeait fiévreusement ses hanches, pour que ma bouche garde un contact très fort avec sa chatte.
Elle en faisait de même avec ma chatte. Elle suçait et léchait avec fureur mes grandes et mes petites lèvres et tentait d’introduire sa langue au fond de mon vagin. J’adorais cette bouche qui faisait du bien à ma chatte et qui me donnait tant de plaisir. Je sentais ses lèvres qui cherchaient mon clitoris et qui voulaient l’attraper. Je sentais aussi sa langue qui léchait avec vigueur les parois de mon vagin et qui ramassait tout ce qu’elle pouvait de jus, qu’elle avalait avec gourmandise. Elle utilisait même de temps en temps ses dents pour mordiller mes grandes et petites lèvres et surtout mon clitoris. C’était comme si elle m’appliquait de très légères et très agréables décharges électriques sur le clito. Je les sentais qui irradiaient sur tout mon ventre et qui m’amenaient à une superbe jouissance. Ce fut d’ailleurs moi qui la première déchargea dans la bouche de mon adorable maîtresse. Elle avala tout le jus que je lâchais, avant qu’elle-même ne se mit à décharger à son tour, me replissant la bouche de cyprine salée et acidulée, que je bus avec délectation.
Nous restâmes un long moment ainsi, nos têtes entre nos cuisses respectives, à reprendre notre souffle avant de nous séparer. C’est là que nous vîmes nos deux hommes debout devant nous, attendant leur tour de nous posséder. Slim et Sofiane étaient nus, leur sexe dans la main, se regardant pour savoir laquelle de nous, chacun allait baiser. Sofiane me choisit moi et Slim choisit Aïcha. Et c’était reparti pour une tour ! Ils nous baisèrent toutes les deux en levrette, à quatre pattes sur le carrelage, nos têtes posées sur le bord du sofa. J’étais fatiguée et fourbue ; je supposais que Aïcha était dans le même état que moi. Mais nos deux hommes s’y prirent tellement bien que toutes les deux, nous ressentîmes le désir revenir à toute allure et le plaisir avec.
Pendant que nos hommes nous entreprenaient, Aïcha et moi nous nous regardions dans les yeux, en nous souriant. Nous étions toutes les deux très heureuses. Nous venions de passer une journée formidable où nous avions fait d’énormes découvertes. Sur nous même d’abord : nous avions découvert que nous nous aimions et que nous aimions faire l’amour ensemble ; entre femmes ! Sur tout le reste ensuite : l’amour à quatre, qui nous donnait à toutes les deux autant de plaisir, que l’amour avec nos seuls maris ou amants. Nous avions aussi découvert que nos hommes étaient de vrais complices et s’entendaient à merveille sur tout.
Le nouveau coït ne dura pas très longtemps : nos hommes, tout comme nous, étaient fatigués. Ils jouirent presque en même temps, sans que nous, les femmes, les instruments de leur plaisir, ne pûmes jouir avec eux. Mais cela nous importa peu. Ce qui était important, c’était que nous venions de vivre une journée exceptionnelle, qui annonçait d’autres journées toutes aussi exceptionnelles. Nous décidâmes d’aller dormir, après avoir pris une douche bien chaude. Aïcha et moi prîmes un bain ensemble : nous mîmes beaucoup de temps, ce qui poussa nos hommes à aller se laver dans les autre salles de bains de la villa (qui en comptait trois : une à chaque étage). Avec mon amie et amante nous restâmes plus d’une heure dans la baignoire remplie d’eau chaude.
J’en profitais pour m’occuper du merveilleux corps de ma partenaire, en la caressant et l’embrassant tendrement. Je profitais de sa belle peau si douce et si ferme ; de ses fesses de pouliche, que je caressais et embrassait et léchais sans vergogne. Je me comportais avec elle comme si j’étais un homme. C’était moi qui l’entreprenais : elle se laissait faire, en poussant des petits rires de plaisir. Elle aimait mes caresses et me le montrait en gémissant. Je ne voulais pas la faire jouir, ou jouir moi-même ; je voulais seulement lui montrer tout mon amour et toute ma tendresse. Nous sortîmes de la salle de bain en riant comme des collégiennes. Nous étions heureuses et le montrions à nos hommes, que nous rejoignîmes dans la chambre de Aïcha (et de son mari Mohand).
Ils étaient fourbus et avaient vraiment envie de dormir. Nous nous installâmes entre eux, moi du côté de Slim et elle, du côté de Sofiane. Nous dormîmes du sommeil du juste dans les bras l’une de l’autre. Nos hommes au réveil, nous trouvèrent ainsi enlacées, comme des petites filles qui avaient peur de se perdre.
Notre histoire à quatre continua longtemps. Nous avions réellement trouvé notre équilibre. De temps en temps Mohand, le père de Sofiane et le mari de Aïcha revenait pour demander son dû, c'est-à-dire sa femme. Quand il revenait, la panique s’instaurait chez nous. Nous avions peur qu’il n’exige de reprendre définitivement sa femme et qu’il lui interdise de nous revoir. Nous avions peur que la belle histoire finisse comme cela, en queue de poisson, nous privant d’une partie essentielle de notre vie amoureuse. Aïcha nous était devenue indispensable: aux hommes d’abord, parce que c’était vraiment un superbe coup, dont aucun des deux ne pouvait plus se passer, y compris Slim, mon mari, qui maintenant la considérait comme son épouse, au même titre que moi.
A moi ensuite, qui étais tombée amoureuse folle de cette divine plante, et qui me le rendait au centuple. Elle me donnait autant de bonheur que mes deux hommes. Avec elle, il était autant question de sentiments – l’Amour, avec un A majuscule – que de sexe. Son corps, son cul, sa bouche, sa manière totalement libre de s’offrir à moi et d’accepter toutes mes folies érotiques, étaient devenus une drogue pour moi. Et je crois que j’étais, moi aussi, devenue sa drogue. Nous étions accros l’une à l’autre, au grand bonheur de nos hommes, qui trouvaient en notre amour lesbien, un complément agréable à leur vécu érotique. Nous appartenions corps et âmes à nos hommes, qui nous transportaient tous les jours vers les plus hauts sommets du plaisir et de la jouissance sexuels, puis nous repartions ensemble – Aïcha et moi – vers d’autres plaisirs érotiques, qui nous étaient propres.
Parfois, l’un ou l’autre de nos hommes – et quelquefois les deux en même temps – voulait participer à nos jeux. Nous refusions de les accepter entre nous, au moment de nos ébats. Notre bonheur en ces moments là était d’échanger entre nous, les filles. Il n’y avait pas de place pour un homme ; ni pour deux. Ce n’est qu’après, une fois rassasiées, que le retour des mâles était permis. Entre Aïcha et moi, c’était surtout la Tendresse et l’Amour qui s’exprimaient. Nous étions comme des midinettes amoureuses, qui minaudions tout le temps ; nous riions ensemble et nous moquions de tout, particulièrement des hommes, qui nous paraissaient trop sérieux. C’était un bonheur serein.
Avec les hommes, il s’agissait surtout de sexe et d’érotisme torride. C’était aussi le bonheur, mais un bonheur qui était la conséquence de notre volonté furieuse de vivre nos passions et d’explorer les recoins les plus reculés du plaisir amoureux. Nous étions prêts, hommes et femmes, à toutes les expériences sexuelles, non avilissantes. Aucun de nous quatre, n’était près à franchir la ligne rouge qui sépare l’érotisme de l’avilissement et de la maladie mentale. Nous adorons être soumis à la volonté de nos partenaires et même d’être leurs chiens ou leurs chiennes, mais en aucun cas, nous allons vers des comportements sadiques ou masochistes, fait de douleur et d’avilissement ; et bien entendu, nous n’acceptons pas les actes sexuels forcés, non voulus et non assumés. La pédophilie, bien entendue, nous était étrangère. En dehors de ces limites – que l’on peut paradoxalement qualifier de morales – nous n’avions pas de limites à notre plaisir et à notre manière de vivre l’érotisme.
C’était pour cela que chaque fois que Mohand pointait son nez, l’équilibre de notre groupe vacillait sur ses bases. Il nous séparait de Aïcha, qu’il se réappropriait un temps – le temps d’assouvir ses instincts et de revivre avec elle des moments à forte valeur érotique – avant de repartir vers de nouvelles aventures de prédateur sexuel. Quand elle revenait, deux ou trois jours plus tard dans le groupe, elle avait la mine épanouie de celle qui venait de connaître de superbes moments de plaisir (elle disait qu’il était resté un superbe coup au lit, toujours aussi brutal et insatiable, et que chaque fois, il la faisait jouir comme une folle). Elle nous expliquait que Mohand, voulait surtout que nous n’oublions pas son existence et le pouvoir qu’il avait de détruire, si l’envie l’en prenait, l’harmonie de notre groupe.
En dehors de ces avertissements, sans trop de conséquences pour l’instant, la vie dans le groupe se déroulait comme un long fleuve tranquille, plein de d’érotisme et d’amour. Cette vie continua longtemps et eut d’autres ramifications. La plus surprenante, était l’arrivée dans le groupe, pour un court, mais intense, moment, de Kamel, le jeune frère de Sofiane et de son amie, Emilie, une splendide eurasienne de vingt quatre ans.
Mais ceci est une autre histoire, que je te narrerai une prochaine fois.
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