Les joies d'une matinée lubrique - histoire érotique

Ce matin, je devais aller travailler un peu à la bibliothèque de la fac, alors j’ai décidé de me lever aux environs de 4h. Ce matin, j’étais habillé avec une jupe noire pas très longue, un chemisier blanc, et des bas noirs avec des bottes noires assez hautes. Après avoir pris mon petit-déjeuner, j’ai pris le bus afin de me rendre à la gare, le bus était plein. Un homme grand, mince avec une allure de mannequin, brun se tenait derrière moi. Nous étions tellement serrés que je le sentais collé à moi. Au début, tout était normal, mais au bout de quelques secondes, j’ai senti son sexe se frotter contre mes fesses. J’étais flatté de lui faire autant d’effets alors je le laissais se frotter contre moi. Au bout d’une dizaine de minutes, il a commencé à me parler, alors nous avons décidé de nous revoir un peu plus tard dans la journée. Il m’a embrassé à pleine langue dès que nous sommes descendus du bus. Ensuite, je me suis dirigée sur le quai de la gare afin d’aller prendre le RER D, il ne faisait pas chaud mais pas froid non plus. Au bout de cinq minutes d’attente, le train arriva enfin. Je suis montée dans un wagon, au début j’étais toute seule ; puis un homme est arrivé, il s’est assis à deux rangées derrière moi. Puis au bout de quelques minutes, il est venu s’asseoir tout près de moi. Il a passé sa main dans mes cheveux, puis nous nous sommes regardés dans les yeux. Il m’a embrassé, puis il a mis sa main sur ma cuisse et voyant que je ne repoussais pas sa main, il a continué à remonter sa main puis l’a passé sous ma jupe. Sa main approchait de mon jardin secret. J’ai donc décidé d’en profiter moi aussi. J’ai mis ma main sur sa cuisse puis suis remontée vers son entrejambe où j’ai posé ma main. Puis afin d’aller encore plus loin, je me suis assise à califourchon sur ses cuisses. J’ai déboutonné son pantalon, et j’ai pu aller toucher son pénis. J’étais très excité et lui aussi l’a découvert en touchant mon string, il était mouillé. Puis avec sa main gauche, il a poussé mon string sur le côté et a commencé à toucher mon sexe avec son doigt, mon souffle s’accélérait. Puis il a sorti son sexe de son slip et nous lui avons enfilé un « chapeau » (il faut comprendre « capote »), puis il a introduit son sexe en moi ce qui m’a énormément plu. Il faisait des va-et-vient doux, puis de plus en plus rapide. Au bout de dix minutes de pénétration, il a fini par jouir et par me provoquer par la même occasion le meilleur orgasme de ma courte vie sexuelle. Puis nous sommes tout les deux descendus à la gare, lui allant prendre un autre RER et moi allant prendre le métro.
Puis après cinq minutes de marche, je suis arrivé à la bibliothèque qui venait tout juste d’ouvrir. Je suis allé prendre quelques livres, puis je suis allé m’asseoir à une table tout près d’un ordinateur. J’ai du rester seule pendant 10 minutes, ensuite je me suis relevée afin de ranger certains livres et d’en prendre des nouveaux. Quand je me suis retournée, je n’étais plus seule dans ce rayon qui se trouvait tout au fond de la bibliothèque, là où personne ne pouvait nous voir à moins d’aller dans ce rayon. C’était un beau jeune homme, qui avait un badge où était inscrit son nom. Sur ce badge, il y avait aussi un pictogramme qui m’a renseigné sur le travail de ce jeune homme. Il travaillait à la bibliothèque le matin de 8h à 12h, puis donnait des cours à l’université l’après-midi. Il m’a poussé contre le mur qui se trouvait derrière moi. Il m’a embrassé sensuellement pendant de longues minutes avant de passer à l’action. Tout d’abord, il a passé ses mains sur mes seins au dessus de mon chemisier. Mais peu de temps après, il a passé ses mains sous ce bout de tissu. Mes tétons pointaient ce qui signifiait que je ressentais du plaisir sous ses caresses. Il y avait un tabouret qui permettait d’attraper les livres situés en hauteur, il m’a demandé de m’y asseoir afin qu’il fasse travailler sa langue pour me faire monter au septième ciel. Il s’est mis à genou devant moi, puis à approcher sa bouche de mon bouton d’or. J’ai commencé à sentir sa langue travailler autour de mon vagin pendant plusieurs minutes. Puis sa langue s’est dirigé un peu plus haut afin d’atteindre mon clitoris. Sa langue frétillait et moi je ressentais encore plus de plaisirs que quand je fais l’amour avec mes ex-partenaires. Ma respiration devenait haletante, comme celle d’un chien. Le plaisir devenait tellement intense que mes muscles se contractaient, mes cuisses se sont un peu renfermées en emprisonnant un peu sa tête entre mes cuisses. Puis, nous nous sommes à nouveau embrassé de manière charnelle, puis nous nous sommes quittés, lui pour retourner travailler et moi pour retourner étudier.
Vers 11 heures, j’en ai eu marre de travailler, alors j’ai décidé de rentrer. Avant d’aller prendre le métro, je suis allé aux toilettes et j’ai enlevé mon string. Dans le métro, je me suis assise sur un strapontin en écartant les jambes afin de laisser apercevoir mon intimité aux hommes qui seraient assis sur les autres strapontins. Puis je suis arrivé à la gare et je suis rentré chez moi à pied. Je suis passé sur un chemin à travers champs où j’ai marché avec mon amant du bus du matin, car nous nous étions donnés rendez vous sur ce chemin grâce à la technologie des SMS sur les téléphones portable. Nous nous sommes donné la main, de temps en temps embrassé, puis nous avons décidés de nous retrouver le soir même ; mais cette histoire je vous la raconterais une prochaine fois.