Les joies du célibat
Récit érotique écrit par Nymfovirtuelle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les joies du célibat
Si mes premières semaines de célibat ont été l'occasion de redécouvrir mon corps seule, délicatement, à deux mains, du bout des doigts, ou parfois plus fermement, au cours de quelques délicieuses séances de caresses solitaires, j'ai ensuite retrouvé le gout des nouvelles expériences.
En rentrant ce soir, comme nue, encore humide de mes langoureux échanges avec mon amant de la soirée, j'ai eu envie de poursuivre avec vous. Non pas que je ne sois pas rassasiée, mais mettre à l'écrit, dans la mesure du possible, ce que l'on pourrait vulgairement, mais à raison, appeler une "baise", fait renaitre entre mes cuisses de nouvelles envies. Alors pourquoi s'en priver.
Je reviens du trentième anniversaire d'un ami. Nous étions une petite douzaine à nous retrouver pour une petite soirée improvisée, autour d'un apéro amélioré, qui faisait office de diner. L'ami, que j'appellerai ici Tom, me connait depuis le lycée, voilà déjà 10 ans. Il a décidé tardivement de faire cette soirée et a donc invité plusieurs de ses amis disponibles aujourd'hui, de différents groupes, ce qui fait que nous ne nous connaissions pas tous.
Tom m'a à cette occasion présenté un de ses collègues. L'homme, banquier, avait un coté assez froid, et coincé, qui s'avéra au fil de la soirée être du à la timidité plus qu'à la réalité de son caractère. De verres en amuses bouches, nous avons discuté de tout et de rien. A cette occasion, j'appris qu'il a divorcé l'an dernier. A demi-mot, il m'explique alors être dans une phase aventureuse, ne cherchant pas à se réengager à priori, mais plutôt à prendre la vie, et les femmes, comme cela vient. Il semblait craintif de ma réponse, prêt à s'excuser de ne plus être (croit-il) le grand romantique qu'il avait sans doute été dans le passé.
Touchée, je dois le reconnaitre, par cette ambivalence qui émanait de lui, et convaincu qu'il n'est pas le coureur que pourrait laisser présager son discours, j'ai eu envie de le brusquer un peu. Oups, je me redécouvre mon petit côté dominatrice parfois. Il ne m'incitait pas à la soumission, mais me donnais envie de le prendre aux mots.
Alors que 3 ou 4 duos et petits groupes s'étaient formés pour discuter dans la pièce principale (je dis bien discuter, attention, ce n'était pas une partouse LOL), j'ai proposé à mon nouvel ami d'aller prendre l'air sur le balcon. Il faisait moins chaud que les jours précédents et ce soir, trop frais pour continuer le jeu que j'enclenchais en plein air. Mais je savais pouvoir discrètement aller dans la chambre de Tom par une porte sur le balcon, pour ainsi être moins repérés que si nous y étions allés par la porte intérieure.
Une fois sur le balcon, je pris donc sa main pour l’entrainer directement dans l’autre pièce. Il sembla étonné et me dis que je l’ai mal compris, qu’il ne voulait pas me faire de proposition indécente.
« - je ne te plais pas ?
-si, bien sur mais…
- mais quoi ? Moi aussi je profite de mon célibat, c’est tout. (Volontairement crue, car excitée de sa gêne, j‘ai continuée) si je te plais et que tu veux qu’on baise, j’ai rien contre. (Poursuivant sur le même ton, face à son silence étonné…) Tu aime quoi ?
Plus je posais des questions concrètes sur ses gouts et ses envies, plus je me faisais langoureuse dans mes gestes, ma voix, je commençais à descendre un bas, révélant une cuisse, un pied déjà sur le lit.
Tout à coup, ses scrupules, sa timidité ont cédé la place à sa lucidité. Une jeune femme se déshabillait devant lui en lui proposant de lui offrir les plaisirs dont il avait envi, lui dévoilant ses formes sans qu’il n’ait rien demandé! Au nouveau regard qui faisait briller ses yeux, j'ai compris qu’il allait reprendre le contrôle de lui puis des événements qui allaient suivre.
Pour créer le déclic, je lui ai tendu mon bas en lui murmurant à l’oreille « -un bas pour tes pensées... »
Il encadra alors mon visage de ses mains pour commencer un baiser sans retenu, profond, ou nos langues se mélangeaient, ou nos lèvres s’écartaient, pour permettre cette première pénétration intime. Mon excitation se transforma alors en envie profonde et ce qui n’était sans doute qu’un jeu d’arrogance et de défi sexuel devint pour moi le début d’une baise ou j’ai bien moins dominé que prévu. Mais je ne m’en plains pas.
Il s’est prit à ce jeu d’allumage et de propositions crues. Très vite, tout en continuant à nous embrasser, il remonta ma robe pour passer la main dans mon slip. Faisant peu de cas de la dentelle, L’homme, qui d’ordinaire doit être doux, commença à toucher mon sexe déjà humide et à chercher à pénétrer de ses doigts mon jardin secret.
« -tu me suce ou je te retourne ?
- Déjà prêt à me prendre ?
Excitée qu’il joue selon des règles qui ne lui sont sans doute pas familières, je le laissai poursuivre en poussant toujours plus loin
Ma main le caressait déjà à travers son pantalon, je ne fus donc pas surprise en sortant sa queue déjà bandée, pleine de promesses…
Sans surprise, c’est un homme après tout !, il m’appuya sur les épaules pour me faire mettre à genoux. Mais il me laissa peu caresser de la langue son gland et le prendre en pleine bouche. Sortant un préservatif du tiroir ou je savais que Tom les rangeait, je lui mis pour préparer cette belle queue à venir visiter mon entre-jambe.
Me relevant, j’ai enlevé mon second bas et mon slip puis, remontant ma robe, j’ai tourné le dos à mon amant, posant une main sur le lit pour tendre vers lui mon cul et ma chatte.
Ondulant pour l’inviter, je me caressais, passant de ma chatte à ma petite étoile, titillant mes zones sensibles. A peine ai-je commencé, je senti son gland se frotter à l’entrer de ma chatte, comme pour récolter ma mouille, me préparer à m’ouvrir. Mais alors que je pensais le sentir me pénétrer, c’est mon cul qu’il a tenté de forcer. Presque à sec, à peine préparé par quelques caresses, il est entré puis à stopper le temps que mon anus accepte cette intrusion. Entre surprise, douleur et augmentation de l’excitation, j’ai empoigné la couette et j’y ai enfoncé mon visage.
Alors que j’aurais voulu crier, j’ai réalisé que l’on pourrait nous entendre, voir entrer dans cette chambre où se trouvaient toutes les affaires personnelles des invités. A peine cette réflexion traversait mon esprit embrumé par cette queue en mon sein, le plaisir dégagea tout, au rythme des vas et viens qu’il commençait à faire.
Chaude et dégoulinante d’envies, je glissais à nouveau une main sur ma chatte et je me mis à accompagner des hanches les mouvements de mon partenaire.
L’un et l’autre, sans doute du fait de réflexions similaires, nous avons fait attention aux bruits que nous faisions.
Maintenant que j’y repense, n’aurais-je pas aimé que l’on nous surprenne, qu’un autre homme observe, voir participe, à cette scandaleuse et improbable séance ?
Puis je le sentis prêt à venir rapidement, autant excité par la situation que par mon cul et mes seins qu’il palpait désormais vigoureusement sous ma robe relevée encore plus haut. Il sortie, pour mieux me pénétrer la chatte, faire durer le plaisir, ma mouille rendant son va et vient plus souple, plus tenable…
Ses derniers coups de rein m’ont amené vers un orgasme court mais agréable, mes jambes se mollissaient, mais ses bras me tenaient les hanches pour mieux contrôler ses mouvements. Dans un râles, je le sentie jouir, se décharger et calmer son hardeur.
Me retournant je l’ai embrassé langoureusement.
Au bout de quelques minutes, il sembla à nouveau tendu, comme surprit d’avoir baisé sans préambule une inconnue. Alors, dans un baiser d’au revoir, pour détendre l’atmosphère, je lui ai seulement dit :
"vive le célibat hein?!"
Nous nous sommes sourit. Alors qu’il se remettait présentable, je remis rapidement mes bas. Ne pouvant allumer, au risque d’être vu d’éventuelles personnes sur le balcon, je ne réussi pas à retrouver mon sous vêtement. Une fois mon soutien gorge ragrafé, je lui ai proposé de sortir avant moi.
Nous nous étions éclipsés à peine vingt minutes, personne n’avait rien remarqué à priori. Je suis allée dire au revoir à Tom, puis, comme si de rien n’était, j’ai fait la bise à mon amant d’un soir.
J’avais cette excitante mais honteuse impression qu’ils savaient tous que je n’avais pas de culotte. La chatte imprégnée de mouille, le cul encore un peu douloureux, je suis rentrée chez moi.
Il n’est que minuit et demi, que faire sinon tout vous raconter ?;)
En rentrant ce soir, comme nue, encore humide de mes langoureux échanges avec mon amant de la soirée, j'ai eu envie de poursuivre avec vous. Non pas que je ne sois pas rassasiée, mais mettre à l'écrit, dans la mesure du possible, ce que l'on pourrait vulgairement, mais à raison, appeler une "baise", fait renaitre entre mes cuisses de nouvelles envies. Alors pourquoi s'en priver.
Je reviens du trentième anniversaire d'un ami. Nous étions une petite douzaine à nous retrouver pour une petite soirée improvisée, autour d'un apéro amélioré, qui faisait office de diner. L'ami, que j'appellerai ici Tom, me connait depuis le lycée, voilà déjà 10 ans. Il a décidé tardivement de faire cette soirée et a donc invité plusieurs de ses amis disponibles aujourd'hui, de différents groupes, ce qui fait que nous ne nous connaissions pas tous.
Tom m'a à cette occasion présenté un de ses collègues. L'homme, banquier, avait un coté assez froid, et coincé, qui s'avéra au fil de la soirée être du à la timidité plus qu'à la réalité de son caractère. De verres en amuses bouches, nous avons discuté de tout et de rien. A cette occasion, j'appris qu'il a divorcé l'an dernier. A demi-mot, il m'explique alors être dans une phase aventureuse, ne cherchant pas à se réengager à priori, mais plutôt à prendre la vie, et les femmes, comme cela vient. Il semblait craintif de ma réponse, prêt à s'excuser de ne plus être (croit-il) le grand romantique qu'il avait sans doute été dans le passé.
Touchée, je dois le reconnaitre, par cette ambivalence qui émanait de lui, et convaincu qu'il n'est pas le coureur que pourrait laisser présager son discours, j'ai eu envie de le brusquer un peu. Oups, je me redécouvre mon petit côté dominatrice parfois. Il ne m'incitait pas à la soumission, mais me donnais envie de le prendre aux mots.
Alors que 3 ou 4 duos et petits groupes s'étaient formés pour discuter dans la pièce principale (je dis bien discuter, attention, ce n'était pas une partouse LOL), j'ai proposé à mon nouvel ami d'aller prendre l'air sur le balcon. Il faisait moins chaud que les jours précédents et ce soir, trop frais pour continuer le jeu que j'enclenchais en plein air. Mais je savais pouvoir discrètement aller dans la chambre de Tom par une porte sur le balcon, pour ainsi être moins repérés que si nous y étions allés par la porte intérieure.
Une fois sur le balcon, je pris donc sa main pour l’entrainer directement dans l’autre pièce. Il sembla étonné et me dis que je l’ai mal compris, qu’il ne voulait pas me faire de proposition indécente.
« - je ne te plais pas ?
-si, bien sur mais…
- mais quoi ? Moi aussi je profite de mon célibat, c’est tout. (Volontairement crue, car excitée de sa gêne, j‘ai continuée) si je te plais et que tu veux qu’on baise, j’ai rien contre. (Poursuivant sur le même ton, face à son silence étonné…) Tu aime quoi ?
Plus je posais des questions concrètes sur ses gouts et ses envies, plus je me faisais langoureuse dans mes gestes, ma voix, je commençais à descendre un bas, révélant une cuisse, un pied déjà sur le lit.
Tout à coup, ses scrupules, sa timidité ont cédé la place à sa lucidité. Une jeune femme se déshabillait devant lui en lui proposant de lui offrir les plaisirs dont il avait envi, lui dévoilant ses formes sans qu’il n’ait rien demandé! Au nouveau regard qui faisait briller ses yeux, j'ai compris qu’il allait reprendre le contrôle de lui puis des événements qui allaient suivre.
Pour créer le déclic, je lui ai tendu mon bas en lui murmurant à l’oreille « -un bas pour tes pensées... »
Il encadra alors mon visage de ses mains pour commencer un baiser sans retenu, profond, ou nos langues se mélangeaient, ou nos lèvres s’écartaient, pour permettre cette première pénétration intime. Mon excitation se transforma alors en envie profonde et ce qui n’était sans doute qu’un jeu d’arrogance et de défi sexuel devint pour moi le début d’une baise ou j’ai bien moins dominé que prévu. Mais je ne m’en plains pas.
Il s’est prit à ce jeu d’allumage et de propositions crues. Très vite, tout en continuant à nous embrasser, il remonta ma robe pour passer la main dans mon slip. Faisant peu de cas de la dentelle, L’homme, qui d’ordinaire doit être doux, commença à toucher mon sexe déjà humide et à chercher à pénétrer de ses doigts mon jardin secret.
« -tu me suce ou je te retourne ?
- Déjà prêt à me prendre ?
Excitée qu’il joue selon des règles qui ne lui sont sans doute pas familières, je le laissai poursuivre en poussant toujours plus loin
Ma main le caressait déjà à travers son pantalon, je ne fus donc pas surprise en sortant sa queue déjà bandée, pleine de promesses…
Sans surprise, c’est un homme après tout !, il m’appuya sur les épaules pour me faire mettre à genoux. Mais il me laissa peu caresser de la langue son gland et le prendre en pleine bouche. Sortant un préservatif du tiroir ou je savais que Tom les rangeait, je lui mis pour préparer cette belle queue à venir visiter mon entre-jambe.
Me relevant, j’ai enlevé mon second bas et mon slip puis, remontant ma robe, j’ai tourné le dos à mon amant, posant une main sur le lit pour tendre vers lui mon cul et ma chatte.
Ondulant pour l’inviter, je me caressais, passant de ma chatte à ma petite étoile, titillant mes zones sensibles. A peine ai-je commencé, je senti son gland se frotter à l’entrer de ma chatte, comme pour récolter ma mouille, me préparer à m’ouvrir. Mais alors que je pensais le sentir me pénétrer, c’est mon cul qu’il a tenté de forcer. Presque à sec, à peine préparé par quelques caresses, il est entré puis à stopper le temps que mon anus accepte cette intrusion. Entre surprise, douleur et augmentation de l’excitation, j’ai empoigné la couette et j’y ai enfoncé mon visage.
Alors que j’aurais voulu crier, j’ai réalisé que l’on pourrait nous entendre, voir entrer dans cette chambre où se trouvaient toutes les affaires personnelles des invités. A peine cette réflexion traversait mon esprit embrumé par cette queue en mon sein, le plaisir dégagea tout, au rythme des vas et viens qu’il commençait à faire.
Chaude et dégoulinante d’envies, je glissais à nouveau une main sur ma chatte et je me mis à accompagner des hanches les mouvements de mon partenaire.
L’un et l’autre, sans doute du fait de réflexions similaires, nous avons fait attention aux bruits que nous faisions.
Maintenant que j’y repense, n’aurais-je pas aimé que l’on nous surprenne, qu’un autre homme observe, voir participe, à cette scandaleuse et improbable séance ?
Puis je le sentis prêt à venir rapidement, autant excité par la situation que par mon cul et mes seins qu’il palpait désormais vigoureusement sous ma robe relevée encore plus haut. Il sortie, pour mieux me pénétrer la chatte, faire durer le plaisir, ma mouille rendant son va et vient plus souple, plus tenable…
Ses derniers coups de rein m’ont amené vers un orgasme court mais agréable, mes jambes se mollissaient, mais ses bras me tenaient les hanches pour mieux contrôler ses mouvements. Dans un râles, je le sentie jouir, se décharger et calmer son hardeur.
Me retournant je l’ai embrassé langoureusement.
Au bout de quelques minutes, il sembla à nouveau tendu, comme surprit d’avoir baisé sans préambule une inconnue. Alors, dans un baiser d’au revoir, pour détendre l’atmosphère, je lui ai seulement dit :
"vive le célibat hein?!"
Nous nous sommes sourit. Alors qu’il se remettait présentable, je remis rapidement mes bas. Ne pouvant allumer, au risque d’être vu d’éventuelles personnes sur le balcon, je ne réussi pas à retrouver mon sous vêtement. Une fois mon soutien gorge ragrafé, je lui ai proposé de sortir avant moi.
Nous nous étions éclipsés à peine vingt minutes, personne n’avait rien remarqué à priori. Je suis allée dire au revoir à Tom, puis, comme si de rien n’était, j’ai fait la bise à mon amant d’un soir.
J’avais cette excitante mais honteuse impression qu’ils savaient tous que je n’avais pas de culotte. La chatte imprégnée de mouille, le cul encore un peu douloureux, je suis rentrée chez moi.
Il n’est que minuit et demi, que faire sinon tout vous raconter ?;)
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super histoire, j'adore ton style d'écriture
A quand la prochaine? ^^
très excitant...
bravo
Hum geniale histoire qui ma fait bander tres dur tres bien racontèe le genre d histoire
que j adore lire et que j adorerai vivre merci beaucoup je sais a quoi penser pour ma
branlette de ce soir biz et si ca t interesse mon adresse
que j adore lire et que j adorerai vivre merci beaucoup je sais a quoi penser pour ma
branlette de ce soir biz et si ca t interesse mon adresse