Les lettres d’une libertine – L’Airbus A330 (2/2)
Récit érotique écrit par Breizfrissons [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Les lettres d’une libertine – L’Airbus A330 (2/2)
Nous montions la rampe d’accès, venant confirmer que nous montions à bord d’un avion.
Incroyable, nous allions faire un vol coquin et j’en étais très excitée par avance, concrétisant un vieux fantasme féminin.
La suite vint interrompre cet excès d’imagination. Mon bandeau fut retiré et je découvris le commandant de bord en tenue et un steward également dans sa tenue réglementaire. Le très beau black et son personnel naviguant m’invitèrent à passer dans le cockpit pour y savourer une coupe de champagne. Le commandant-pilote se remis entre mes jambes et je compris à qui je devais l’orgasme tout aussi puissant que le précédent grâce à la même méthode barbare. J’étais aux anges et des ondes de chaleur parcouraient mon bas-ventre.
Je libérais le sexe long, peu esthétique et non circoncit de mon steward et je m’appliquais à une généreuse fellation. La demi molle se transforma en une belle tige bien dure et une fois le gland décalotté elle avait bien meilleure allure. Le commandant martyrisait mes tétons cette fois. Comme pour le clitoris, la sensation fut franchement douloureuse que j’en lâchais le sexe pour maitriser les doigts qui roulaient mes bouts comme on se roule une cigarette. Mais il reprit son action dès que je me concentrais, à nouveau, sur la fellation gourmande.
Nouvelle intervention de ma part. Mais chassez le naturel, il revient au galop, si bien que je fini par me laisser faire ayant l’impression qu’il assouplissait sa pression sur les chairs. Je ne sais pas d’où cet orgasme est sorti. Pas de mon bas-ventre comme d’habitude. Je me suis entendu le motiver par des petits gémissements, lui indiquer que je montais et enfin exploser cérébralement dans un orgasme complètement inconnu. Je mouillais sans même m’être touchée ou avoir été pénétrée, juste par les tétons.
Je fus relevée puis positionnée sur mes genoux sur le siège du capitaine, dégageant par la même mon postérieur et ma cambrure d’ancienne danseuse classique. Le steward se présenta à l’arrière, fit quelques va et vient verticaux pour lubrifier le latex et s’enfonçât en moi sans que mes chairs ne s’en offusquent. Hummmm, mon vol d’essai commençait vraiment.
Le commandant fit quelques acrobaties et vient se placer au milieu de son tableau de bord, entièrement nu à l’exception de sa casquette. Sa queue était longue, très longue mais mince ce qui me surpris pour un black. Il me la présenta devant le visage. Il s’en servit comme une baguette pour me gifler la joue gauche, me fouetter les lèvres.
Il dominait sa chose. J’ouvrais ma bouche et il vint la loger le plus loin possible en butée sur ma glotte.
Décidément, ce commandant était un barbare du sexe. Le lieu était original mais le prix en était un brin cher pour mes chairs ! je me forçais à en avaler le plus possible comme dans ce film x que j’avais regardé avec mon homme, un soir de grande faveur féminine. J’ai bien dit faveur et non ferveur.
Le steward était toujours derrière et en moi. Il s’activait et finalement le coté brute de son collègue anéantissait les effets qu’il aurait pu m’offrir. J’étais concentrée sur la maîtrise de la colonne de chair qui me forçait les amygdales et me donnait l’air d’une chamelle ruminante : je bavais !
Un grognement de bête derrière moi me rappela mon partenaire vaginal. Il s’épanchait dans celui-ci et vu la chaleur que je ressentais sur les parois il devait y avoir une sacrée dose. Il se retira et prit son uniforme pour sortir de la cabine, le préservatif plein encore au bout de son pénis.
Mon homme me prit par la taille et me conduisit dans le carré des hôtesses, à l’arrière de l’avion. Nous traversions, moi complètement nue, à l’exception de mon porte-jarretelle et mes bas, les rangées de sièges passagers dans l’allée centrale éclairée.
Le commandant me positionna sur la tête le béret de la compagnie, me fit asseoir sur le strapontin des hôtesses et me sangla en position que l’on connait tous au moment de l’atterrissage. Il m’écarta les cuisses puis s’inséra entre mes petites lèvres sans mon assentiment.
Sans surprise, il joua du marteau-pilon dès le départ. Bien sanglée dans mon rôle d’hôtesse de l’air, je décidais de subir ce vol turbulent. Je fermais les yeux et m’imaginais vraiment dans le rôle qui était le mien à cet instant, pour un bref rapport sexuel avec le pilote, moment volé à l’arrière de l’avion au risque de se faire surprendre par une collègue ou un passager.
Cette situation fantasmagorique me fit monter sous les coups de butoir de mon amant du jour. J’écartais encore plus les cuisses, les tenant de mes deux mains et me cambrant au maximum pour allonger ma cavité vaginale. Il n’en fallu pas plus pour me faire jouir une nouvelle fois, trempant les testicules de mon partenaires.
Ce fut pour lui le signal de se laisser aller. Il sortit soudainement son membre, en retira le préservatif et éjacula, en une dizaine de jets, sur mes seins. Le sperme ruisselait et il l’étala, de son gland, sur mes tétons avec un air de pilote satisfait de son atterrissage.
Après un brin de toilette rapide au poste d’équipage, je repris mon apparence de jeune bourgeoise classe, dénudée, en lingerie sexy sous son manteau. En reprenant le couloir je m’aperçu que les hublots n’étaient pas obturés, que l’avion était éclairé dans un grand hangar.
A notre sortie, je découvris un deuxième avion situé à une quinzaine de mètres du notre, stationné à l’intérieur d’un hangar manifestement dédié à la maintenance.
Autour de ce second appareil une dizaine d’ouvriers travaillaient dessus.
L’un deux se retourna en nous voyant descendre de la passerelle. Il leva sa main et mit son pouce dans une position qui ne pouvait tromper. Il m’avait vu en pleine action c’est sur ! Il arborait un sourire radieux qu’il dut remballer très rapidement devant la tête furieuse que lui faisait mon commandant de bord. J’étais transporté de plaisir d’avoir pu offrir à un autre homme un brin de plaisir cérébral.
Nous ressortîmes par la petite porte d’acier après un dernier baiser à mon pilote. Son steward n’était, quand à lui, pas réapparu. Mon homme avait lui aussi ce petit sourire de fierté et je dois dire qu’il avait fait très fort cette fois ci.
J’ai découvert, quelques jours après une sélection, des 350 clichés qu’il avait réalisé durant ce vol … au 7ème ciel !
Incroyable, nous allions faire un vol coquin et j’en étais très excitée par avance, concrétisant un vieux fantasme féminin.
La suite vint interrompre cet excès d’imagination. Mon bandeau fut retiré et je découvris le commandant de bord en tenue et un steward également dans sa tenue réglementaire. Le très beau black et son personnel naviguant m’invitèrent à passer dans le cockpit pour y savourer une coupe de champagne. Le commandant-pilote se remis entre mes jambes et je compris à qui je devais l’orgasme tout aussi puissant que le précédent grâce à la même méthode barbare. J’étais aux anges et des ondes de chaleur parcouraient mon bas-ventre.
Je libérais le sexe long, peu esthétique et non circoncit de mon steward et je m’appliquais à une généreuse fellation. La demi molle se transforma en une belle tige bien dure et une fois le gland décalotté elle avait bien meilleure allure. Le commandant martyrisait mes tétons cette fois. Comme pour le clitoris, la sensation fut franchement douloureuse que j’en lâchais le sexe pour maitriser les doigts qui roulaient mes bouts comme on se roule une cigarette. Mais il reprit son action dès que je me concentrais, à nouveau, sur la fellation gourmande.
Nouvelle intervention de ma part. Mais chassez le naturel, il revient au galop, si bien que je fini par me laisser faire ayant l’impression qu’il assouplissait sa pression sur les chairs. Je ne sais pas d’où cet orgasme est sorti. Pas de mon bas-ventre comme d’habitude. Je me suis entendu le motiver par des petits gémissements, lui indiquer que je montais et enfin exploser cérébralement dans un orgasme complètement inconnu. Je mouillais sans même m’être touchée ou avoir été pénétrée, juste par les tétons.
Je fus relevée puis positionnée sur mes genoux sur le siège du capitaine, dégageant par la même mon postérieur et ma cambrure d’ancienne danseuse classique. Le steward se présenta à l’arrière, fit quelques va et vient verticaux pour lubrifier le latex et s’enfonçât en moi sans que mes chairs ne s’en offusquent. Hummmm, mon vol d’essai commençait vraiment.
Le commandant fit quelques acrobaties et vient se placer au milieu de son tableau de bord, entièrement nu à l’exception de sa casquette. Sa queue était longue, très longue mais mince ce qui me surpris pour un black. Il me la présenta devant le visage. Il s’en servit comme une baguette pour me gifler la joue gauche, me fouetter les lèvres.
Il dominait sa chose. J’ouvrais ma bouche et il vint la loger le plus loin possible en butée sur ma glotte.
Décidément, ce commandant était un barbare du sexe. Le lieu était original mais le prix en était un brin cher pour mes chairs ! je me forçais à en avaler le plus possible comme dans ce film x que j’avais regardé avec mon homme, un soir de grande faveur féminine. J’ai bien dit faveur et non ferveur.
Le steward était toujours derrière et en moi. Il s’activait et finalement le coté brute de son collègue anéantissait les effets qu’il aurait pu m’offrir. J’étais concentrée sur la maîtrise de la colonne de chair qui me forçait les amygdales et me donnait l’air d’une chamelle ruminante : je bavais !
Un grognement de bête derrière moi me rappela mon partenaire vaginal. Il s’épanchait dans celui-ci et vu la chaleur que je ressentais sur les parois il devait y avoir une sacrée dose. Il se retira et prit son uniforme pour sortir de la cabine, le préservatif plein encore au bout de son pénis.
Mon homme me prit par la taille et me conduisit dans le carré des hôtesses, à l’arrière de l’avion. Nous traversions, moi complètement nue, à l’exception de mon porte-jarretelle et mes bas, les rangées de sièges passagers dans l’allée centrale éclairée.
Le commandant me positionna sur la tête le béret de la compagnie, me fit asseoir sur le strapontin des hôtesses et me sangla en position que l’on connait tous au moment de l’atterrissage. Il m’écarta les cuisses puis s’inséra entre mes petites lèvres sans mon assentiment.
Sans surprise, il joua du marteau-pilon dès le départ. Bien sanglée dans mon rôle d’hôtesse de l’air, je décidais de subir ce vol turbulent. Je fermais les yeux et m’imaginais vraiment dans le rôle qui était le mien à cet instant, pour un bref rapport sexuel avec le pilote, moment volé à l’arrière de l’avion au risque de se faire surprendre par une collègue ou un passager.
Cette situation fantasmagorique me fit monter sous les coups de butoir de mon amant du jour. J’écartais encore plus les cuisses, les tenant de mes deux mains et me cambrant au maximum pour allonger ma cavité vaginale. Il n’en fallu pas plus pour me faire jouir une nouvelle fois, trempant les testicules de mon partenaires.
Ce fut pour lui le signal de se laisser aller. Il sortit soudainement son membre, en retira le préservatif et éjacula, en une dizaine de jets, sur mes seins. Le sperme ruisselait et il l’étala, de son gland, sur mes tétons avec un air de pilote satisfait de son atterrissage.
Après un brin de toilette rapide au poste d’équipage, je repris mon apparence de jeune bourgeoise classe, dénudée, en lingerie sexy sous son manteau. En reprenant le couloir je m’aperçu que les hublots n’étaient pas obturés, que l’avion était éclairé dans un grand hangar.
A notre sortie, je découvris un deuxième avion situé à une quinzaine de mètres du notre, stationné à l’intérieur d’un hangar manifestement dédié à la maintenance.
Autour de ce second appareil une dizaine d’ouvriers travaillaient dessus.
L’un deux se retourna en nous voyant descendre de la passerelle. Il leva sa main et mit son pouce dans une position qui ne pouvait tromper. Il m’avait vu en pleine action c’est sur ! Il arborait un sourire radieux qu’il dut remballer très rapidement devant la tête furieuse que lui faisait mon commandant de bord. J’étais transporté de plaisir d’avoir pu offrir à un autre homme un brin de plaisir cérébral.
Nous ressortîmes par la petite porte d’acier après un dernier baiser à mon pilote. Son steward n’était, quand à lui, pas réapparu. Mon homme avait lui aussi ce petit sourire de fierté et je dois dire qu’il avait fait très fort cette fois ci.
J’ai découvert, quelques jours après une sélection, des 350 clichés qu’il avait réalisé durant ce vol … au 7ème ciel !
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