Les lettres d’une libertine – TER Limousin : Un billet en nature (1/1)

- Par l'auteur HDS Breizfrissons -
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Récit libertin : Les lettres d’une libertine –  TER Limousin : Un billet en nature (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2020 dans la catégorie Plus on est
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Les lettres d’une libertine – TER Limousin : Un billet en nature (1/1)
Je voyais bien que mon Homme passait beaucoup de temps ces derniers jours sur le tchat de son site de rencontres libertines habituel. Et cela m’agaçait profondément.
Que de temps perdu pour entendre « ça devient n’importe quoi depuis le placardage en 4X3 en plein Paris » ou bien encore « Métro- boulot-libido …mon cul oui que des affamés hormonés ne respectant pas les codes du libertinage », « Et maintenant c’est les mecs qui vont nous expliquer ce que nous devrions aimer et à quelle heure nous devrions être disponibles ».
Cette sourde colère finie par se transformer, en fin de semaine, en un grand sourire, celui que je lui connaissais bien lorsqu’il avait finalisé une surprise de haute volée.
Je ne fus pas surprise lorsqu’il me remit l’invitation en me disant « Un truc qui rentrera dans le top five des choses les plus insensées ! ». Voilà qui me promettait une jolie excitation qui humidifia immédiatement le fond de lingerie.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------INVITATION AUX PLAISIRS (originaux)Thème : Le conducteur réclamera le prix du voyage en nature, son mécanicien fera une révision en profondeur.
Lieu : LIMOGESConsignes : le silence est d’or, la bouche occupée est d’argent et le plaisir sera principalement de bronze.
Dress-code : A toi de choisir ce qu’il faut pour un grand amateur de lingerie sexy et de femme Date et heure : vendredi à 22h30 sur place – Prévoir 2h45min de trajet.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Cette invitation était pleine d’indices et je me régalais à les interpréter. Cela serait donc 2 hommes se connaissant et donc complices (miam !!), une histoire d’engin(s) était donc la clef de l’originalité, me rappelant cette rencontre extraordinaire dans un avion de ligne en stationnement avec 2 PNC.
Je découvrais le message sibyllin du bronze, me signifiant clairement que mon anneau de bronze serait visité avec profondeur, augurant un sexe particulièrement long pour que mon Homme m’en prévienne.
Je posais auprès de ma cheffe mon après-midi du vendredi pour me préparer et notamment faire l’essentiel pour une visite en profondeur avec confort réciproque.
J’étalais aussi ma garde-robe de lingerie pour choisir ce que j’imaginais plaire le plus à un grand amateur de lingerie et de femme sexy. Fallait affoler l’hormone de ce conducteur exigeant et j’allais m’y employer avec le plus grand plaisir.
J’optais pour robe estivale à tissu léger et volant, des jolies bottes de cuir venant recouvrir un body Lise Charmel fait de dentelles transparentes et ajourées, assorti d’un porte jarretelles de même couleur et des bas sans coutures très fin à pois léger venant donner de la fraîcheur au sexy du body.
Le trajet me sembla une éternité même si nous l’avons agrémenté du petit jeu préféré de mon Homme, à savoir doubler les routiers à faible allures sur les portions de 4 voies, ma robe étant remontée à fond, jambes et bas écartés, moi me doigtant la chatte, seins sortis des balconnets. Pas moins de 5 appels de phares et 2 coups de longs klaxons sont venus apporter la preuve que cela n’avait certainement pas déplu. Quant au clignotant de droite proposant un arrêt à la prochaine aire de repos …. Nous l’avons décliné. Mon coquin du jour n’était donc pas un conducteur de 38 T.
Arrivé sur Limoges mon Homme m’expliqua que l’on ne pourrait pas me bander les yeux avant de monter dans l’engin, le lieu étant public, surveillé et qu’une femme aux yeux bandés ne manquerait pas d’attirer t’attention. Il m’indiqua aussi que je devrais exprimer mes orgasmes dans un silence particulièrement surveillé car une simple vitre nous séparerait du va et vient des personnes fréquentant le lieu.
Et notre voiture se stationna sur le parking de la Gare de Limoges Bénédictins et son magnifique dôme de cuivre vert. Si c’était bien un train coquin qui s’annonçait, j’avoue qu’il avait réussi à organiser un très vieux fantasme et pour le coup mon excitation commença à sourdre.
Nous descendîmes les escaliers vers les quais, marchâmes jusqu’à une partie reculée où se trouvait un TER siglé du symbole du Limousin. Arrivé devant l’une des 2 portes de la rame s’entrouvrit manuellement sur une demi largeur, une main nous faisant signe d’y entrer rapidement.
Mes yeux furent à peine habitués à la pénombre ambiante qui régnait que mon Homme me les banda. J’avais eu le temps de reconnaitre la tenue spécifique du personnel roulant de la SNCF et une tenue plus chantier pour le second.
Mes mains furent portées aux leurs. Et elles m’attirèrent sur un corps à la fragrance fraiche. Des lèvres cherchèrent les miennes, une langue les força et le baiser offert me fit comprendre un désir non dissimulé, que des mains multiples et très curieuses vinrent confirmer quasi immédiatement.
Autant dire que ma robe de tissus volant léger fut rapidement qu’un chiffon parti s’abattre je ne sais où et qu’un sifflement d’admiration est venu fendre l’air. Mes mains furent dirigées vers une barre en inox et je me présentais en levrette debout, croupe cambrée à mes partenaires.
Puis un ordre claque « Pas un bruit, pas de flash tant que le débarquement n’est pas achevé ». Un bruit de crissement de frein retenti, pendant que les mains avaient repris leur ballet sur mon corps et ma lingerie. Le bas du body fut dégrafé, un doigt bien curieux vint lisser ma raie, du sommet jusqu’à mon clito.
Une pression d’air comprimé qui se relâche, des bruits de voix, de roulettes, l’intérieur du TER devint à mes oreilles comme le quai lui-même et j’eue l’impression d’être dénudée et visible au milieu de tous les voyageurs qui descendaient à Limoges. Puis vint l’annonce sonore et en peu de temps le silence repris la scène.
Mes mâles devinrent plus entreprenant et l’un d’entre eux est venu s’asseoir entre mes cuisses et entreprit un cunnilingus démontrant son expérience dans cet art. Mes seins étaient sortis de leur logement et mes tétons subirent le même traitement pendant que mon Homme m’embrassait.
Il n’en fallu pas plus pour m’offrir le premier des orgasmes de la soirée. Ce n’était pas le truc dévastateur mais cela faisait moi l’envie de me laisser aller plus avant. J’avais faim de sexe et l’annonce d’une longue visite anale était une perspective qui ne m’avait pas quitté de la journée.
Le confort de la banquette de velours me fut offert et un deuxième cunniliculteur s’y essaya de sa langue tandis qu’un sexe se présentait à mes lèvres. Ce n’était pas celui sur lequel je fantasmais depuis la lecture de l’invitation mais il était bien fait et de taille honorable. Il se tendait à chaque coup de langue et je le sentais prendre une dureté qui annonçait de jolies sensations entre mes lèvres vaginales.
Une fois bien excitée, c’est moi qui me suis spontanément mise en levrette à genoux sur le velours de la banquette. Croupe tendue je fus investie par celui qui se faisait sucer et qui m’entrepris d’entrée avec un rythme élevé. Il me bourrait littéralement comme pressé d’en finir. Une main de plaça devant ma bouche gémissante ma rappelant immédiatement la consigne donnée par mon mari.
« Fais toi sucer, çà l’empêchera de faire du bruit » indiqua celui que j’identifiais comme le conducteur et qui prenait la direction des choses depuis le début. L’objet de mon désir parvint à mes lèvres et une longue et belle membrure se glissa aussi loin que je puisse le faire dans ma bouche, venant se caler, bien au fond, pendant que j’agitais ma langue dessous. La membrure repartie en arrière mais ne tarda pas à revenir. Le rythme était aussi long que la chose et le mec commençait à me baiser la bouche comme il baisait un vagin. C’était bon et cet investissement de bouche venait me chercher cérébralement. Le rythme fini par s’auto caler entre mon limeur de chatte et mon baiseur de bouche.
Et j’avais bien accompagné cette mise en rythme commune en montant dans les tours de ma jouissance. J’explosais en orgasme en même temps que mon limeur qui remplit sa capote en moi.
De nouveau un signal demandant le plus grand silence et un nouveau train déposa sa horde de voyageurs bruyants, passant devant les vitres de notre rame sans probablement deviner ce qui s’y tramait. Mon mari me racontera, sur le retour, que les rideaux tirés mais perforés de multiples trous permettait de faire voir aux 3 hommes entièrement nus, les voyageurs passant parfois à moins d’un mètre d’eux sans les voir, y compris une fois par un personnel de la SNCF qui s’appuya sur la vitre en attendant la fin d’un débarquement pour siffler le départ.
Des mains me prirent et l’on me demanda de m’asseoir sur l’un des sièges après quelques marches et je fus surprise de découvrir que le siège était déjà occupé. Mes mains rencontrèrent la longue verge dressée vers le haut et le mec la dirigea directement sur mon rondelle indiquant clairement la voie qu’il voulait emprunter sans aiguillage préalable.
Il m’ouvrit avec lenteur, me laissant glisser moi-même le log de cette longue hampe. Elle n’en finissait pas de me remplir et enfin lorsque je me posais sur ses cuisses je ressentais une exploration de terres anales encore vierges. Je restais assise dessus histoire de m’habituer à la chose qui même si elle n’était pas très large, était d’un calibre au-delà de la norme de mon Homme, grand amateur de la même zone.
Il remua son bassin en rond, signe d’impatience, venant travailler l’intérieur. Je pris l’initiative de me relever lentement et refaire le lent parcours vers l’extérieur. Et je replongeais dessus plus rapidement. Joli travail des cuisses et du fessier, le rythme montait et je sentais mes cuisses chauffer de l’effort et mon bas ventre apprécier la chose.
Une main vint me caresser la vulve et des doigts inquisiteurs s’introduirent et vinrent caresser la longue verge de l’intérieur et mon plafond de salle de jeux en alternance.
Je le sentis venir de très loin cet orgasme. De plein de direction mais toutes convergeaient. Et j’éclatais dans un jet puissant et un orgasme intense. « vas-y, vas-y, donne tout ce que tu as, tu peux y aller çà craint rien ». Je n’en finissais pas de me tordre de spasmes et je trempais mon partenaire dessous qui poursuivait ses vas et vient à un rythme parfait pour accompagner dans l’extinction le feu de ma jouissance.
Je me relevais ruisselante, plutôt vannée et me dégageait de mon partenaire qui devait, lui m’en vouloir de cette douche de laquelle il ne pouvait se dégager.
Assise sur la banquette, je retirai mon bandeau pour profiter de ce beau cadeau ferroviaire. La longue bite se positionna devant mon visage, son propriétaire était un très bel homme basané et il se masturba de toute sa hampe à la hauteur de ma bouche. Il ne tint pas longtemps et se déversa sur ma langue et en partie sur ma joue gauche. Je laissais toute la semence couler sur mon mention puis mes seins.
Nous partîmes d’un fou rire commun tellement y’en avait partout, le conducteur appuyant la chose en indiquant qu’il serait obligé de faire le ménage avant le 1er départ du lendemain matin pour éviter les questions du personnel de contrôle.
J’eu le droit à une visite de l’ensemble de l’engin, tous à poil, donnant lieu à quelque photos souvenirs que chacun pu choisir à sa guise avec mon Homme. Ma chatte fut même nettoyée assise sur le siège du conducteur pour que celui-ci puisse conserver toute l’intensité du moment en souvenir à chacun des voyages qu’il ferait les jours prochains.
Nous avons débarqué sur le quai à minuit. Mais il n’y avait ni annonce sonore, ni bruits de voix ou de roulettes pour nous accueillir, ni même un coup de sifflet ou l’alarme sonore de la fermeture des portes ! Juste un petit vent frais passant entre mes bas et ma raie très humide d’avoir été comblée.

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