Les lettres d’une libertine – Le pari (partie 3/4)

- Par l'auteur HDS Breizfrissons -
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Récit libertin : Les lettres d’une libertine – Le pari (partie 3/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les lettres d’une libertine – Le pari (partie 3/4)
Je suivais donc, à nouveau le sol balisé par des bougies chauffe-plat. La cuisine était calme et mon majordome spécial était affairé à ouvrir une nouvelle bouteille. Moi qui suis déjà bien désinhibée avec les verres précédents, voilà qui va m’achever !
Je regardais à nouveau la roue et les thèmes qui me restaient à vivre. Il ne restait que« de cuir et de contraintes », « sans les mains », « petites glissades et grands plaisirs » sur la roue. La soirée allait donc finir fort tard au vu de l’approche de l’heure du crime qu’indiquait la pendule à cet instant.
Avec son tablier, mon majordome me remplit un verre d’un excellent vin dont je ne souviens plus le nom et me présentait un plateau de fromages gargantuesque.
Bizarrement j’avais très faim et j’ai goûté à beaucoup d’entre eux avec plusieurs sortes de pain. Il n’y avait pas besoin de parler : après l’effort, viens le temps du réconfort.
- « Tu m’as bien eu avec le dernier thème et j’ai vraiment cru qu’il y avait un autre homme à tes cotés ». Il me dévisagea l’air très satisfait de sa petite farce. « Tu aurais préféré que cela soit une vraie situation ?
Au point où j’en étais, je pouvais lui avouer que la situation m’avait plus que passablement excitée.
- « Oui, car même si j’ai eu des craintes au départ, la suite m’a donné vraiment envie …je l’ai vécu comme si c’était vrai et d’abord, tu sais bien que c’est l’un de mes fantasmes ».
- « OK c’est noté » dit-il simplement.
Le vin m’étourdissait. Il m’invita à me lever pour tourner la roue. Je refusais tout d’abord, lui disant que c’était parfait, que j’étais rassasiée et que j’irais bien au fond du lit piquer un petit somme. Il me rétorqua que Le diner n’était pas terminé et que d’autres surprises m’attendaient.
La roue s’arrêta pile sur le thème que je craignais depuis le début de la soirée : « de cuir et de contrainte ». Moi qui ne suis pas soumise pour deux sous, le moment me promettais bien des choses et dont je ne voulais surtout pas, entre lui et moi. Je ne serais jamais son esclave, y compris par jeu.
Il changea de ton immédiatement et m’ordonna littéralement de rester à ma place en me traitant de « chienne ». Et avant que je puisse rétorquer, il était sorti de la pièce. Au bout de 10 minutes je trouvais le temps vraiment très long et l’ivresse me poussait à monter me coucher.
Je me levais, et passais dans le salon. Celui-ci n’était plus sombre et des bougies noires éclairaient notre table en bois massif recouvert d’une nappe de cuir noir. Un fouet et une cravache trônaient fièrement dessus me glaçant le sang. Non, non et non ! Pas de çà je lui avais déjà dit ma hantise de ce statut de « soumise ».
Je ne l’avais pas entendu revenir, il m’attrapa violemment les mains et je sentis ce refermer l’acier sur mes poignets comme dans les films policiers. Je protestais et suppliais mais rien n’y fit et il m’enfonça de force un bas et me banda la bouche. Puis il me remit le bandeau de soie sur les yeux. J’étais prisonnière de ma fameuse carte blanche et je savais que rien ne le freinerais désormais. Ha ce fichu pari, combien je regrettais cette victoire qui semblait si facile !
Pour la première fois de ma vie, je me suis prostrée et attendu le début du châtiment.
Une douleur vive m’arracha à mon attente. Une pince venait de compresser mon téton et l’autre ne se fit pas attendre. Je gémissais de douleur et les larmes me montèrent aux yeux. Le salaud, pensais-je, il sait que j’ai horreur que l’on me travaille le téton, y compris en les suçant, surtout « à froid ».
Il m’embrassa sur la nuque en me disant des mots doux associés à mon statut de « chienne ». Puis je senti qu’il me mettait un collier comme un chien. J’étais révoltée et me débattais vigoureusement. Une claque sur mon fessier vint me ramener à la raison et une seconde s’abattit … en punition, me dit-il. « ne recommence pas çà où tu vas dérouiller ». Le ton n’était plus au jeu de rôle.
Il prenait très à cœur son rôle. Il valait mieux que j’obéisse, finalement, pour raccourcir ce mauvais moment. Mes tétons étaient douloureux mais bizarrement la douleur devenait aussi chaleur et presque plaisir. Il me retourna et lubrifia mon anus encore bien détendu de la sodomie précédente. Il n’eu pas de mal à m’insérer un petit gode à l’intérieur, que mes sphincters enserrèrent aussitôt.
Il me prit dans ses bras et me porta jusque sur la table et m’y assit. Il me détacha une main pour la rattacher immédiatement à un autre lien situé au coin de la table. Au moins, je n’avais plus cet acier qui me broyait le poignet. La seconde eu le même traitement. Puis il m’écarta les pieds en fixant mes chevilles sur un axe que je ne pouvais voir. Là j’étais cuite, à sa totale merci. J’avais beau me dire qu’il était mon mari et que je pouvais avoir confiance, un doute s’installa dans ma tête. Et si sa perversion n’était plus sous contrôle ?
Je sentis sa main ma caresser le minou avec délicatesse. Il avait pris la précaution de se mettre du gel et cela glissait sur ma fente comme lorsque je me masturbais. Oubliant ma situation, je me concentrais sur le plaisir naissant. Il effleura mes tétons compressés et la douleur, un instant vive, fut remplacée par une onde de chaleur. C’était étonnant mais c’était bon et le plaisir montait. Il mit 2 puis rapidement 3 doigts dans ma chatte. Je me liquéfiais de plaisir. Il touchait de temps à autre mes tétons qui relançaient une vague en moi. C’était incroyable la montée était lente mais très intense et je savais que l’orgasme serait dévastateur.
Puis le contact glacé du métal. Il m’introduisait quelque chose dans la chatte en le laissant glisser dans le creux de la paume formé par ses 3 doigts déjà dedans. Au bruit je devinais qu’il s’agissait d’une chaine. Maillon par maillon il m’emplit le minou. C’était horriblement froid mais très excitant. Le poids poussait mes parois vers l’extérieur et il me remplissait de plus en plus.
Il manipulait en même temps mon gode anal et je sentais que la montée vers l’orgasme avait reprit. J’étais remplie coté minou, cela m’appuyait sur la vessie et je sentais le Plug qui cognait sur les chaines au travers de ma paroi vaginale. Humm, c’était divinement bon, froid, insolite mais très très excitant.
Il retira le Plug anal et inséra son sexe très chaud et bien dur à la place. J’ai adoré ! Il commença un va et vient, lent, mais très profond. Son sexe poussait les maillons de la chaine situés au dessus. Quel bonheur, la montée puissante reprenait, je ruisselais de plaisir, gémissais et l’encourageais à venir taper ses couilles sur mon fessier en l’offrant plus en avant. Soumise et bien prise, je n’étais plus qu’une boule de plaisir prête à éclater.
Un des maillons venait littéralement frotter et s’appuyer sur mon point G et cela me provoquait une surexcitation vaginale. Il poussa les pinces sur mes seins et le plaisir augmenta, je ne maîtrisais plus mon corps et des spasmes de bonheur me parcoururent. Il libéra d’un geste habile et rapide mes seins de leur torture et c’est là que l’orgasme éclata. Des spasmes contractaient mon vagin autour de la chaine, je sentais sa queue qui me labourait l’anus et mon clito laissa fuser un jet puissant qui vint le surprendre. Il se retira tout net, interloqué, pendant que je finissais de jouir et rejouir. Mon bas ventre était une convulsion géante.
Il libéra mes membres de leurs attaches. Je m’écroulais à bout de fatigue tellement cela avait été intense. J’étais aussi au pic de la gaité dans l’ivresse. Plus rien n’importait, j’étais comblée jusqu’au plus profond de moi-même.
Il retira bâillon, bas et bandeau et je découvris ce que la colère ne m’avait pas permis de voir. Il s’était fabriqué une tenue faites de lanières de cuir reliées par un savant cloutage et ses bourses étaient enserrées dans un tube de cuir relié à la hampe de la verge par deux anneaux en inox. J’ai adoré ce « costume » et un sourire éclaira mon visage que les traces de rimmel avaient conquis. Il m’a fait mettre à genoux et j’ai obtempérée sans rechigner. Il n’a pas eu besoin de me forcer à le sucer. En soumise que j’avais aimé être, j’ai sucé, nettoyé sa verge de toute mes sécrétions puis je l’ai branlé. Il a joui en très peu de temps, sur ma langue, pendant que je le regardais droit dans les yeux comme dans les pornos, sachant qu’il adorait çà. Il y avait une sacrée dose et je me suis repris à 2 fois pour tout avaler en chienne consciencieuse. Il apprécia et me félicita comme on félicite un chien qui a bien travaillé.
- « Tu n’oublieras pas de retirer toutes tes chaines et rejoins moi dès que possible». Le ton était redevenu celui du majordome du départ.
J’écartais mes cuisses tout en restant à genoux et j’accouchais, dans cette position, d’un bon 2 mètres de chaines en inox à gros maillons. Ce n’était pas vraiment agréable ! Elles étaient ruisselantes d’une mouille épaisse et collante et surtout très chaudes. J’étais soudainement plus légère et filais à la douche laissant cet antre de torture derrière moi.

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