Les marchés nocturnes

- Par l'auteur HDS Orangina07 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les marchés nocturnes Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2021 dans la catégorie Plus on est
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Les marchés nocturnes
Les marchés nocturnesPendant les mois de Juillet et Août, tous les mardis soirs il y a un marché nocturne dans le village où je travaille comme cuisinier. C'est aussi le cas dans les villages environnants. Etant aux portes de La Provence, les produits régionaux sont la lavande sous toutes formes, en sachets, en bouquet, en huile essentielles. Il y a aussi de l'huile d'olive, des fromages et autres articles. Les exposants sont installés dans la rue principale du village, fermée à la circulation pour l'occasion.
La rue principale à sens unique de circulation n'est pas large, avec les exposants installés de chaque côté, les touristes doivent parfois attendre plusieurs minutes avant de pouvoir avancer de quelques mètres. Cette situation, ce contact rapproché avec les personnes présentes est une situation idéale pour sentir le parfum de ses femmes autour de moi. C'est aussi parfait pour avoir des petites caresses rapides mais appuyées sur une cuisse nue sous une robe courte ou contre un pantalon en toile, un dos ou une poitrine couverte par un léger tissu fin. Les femmes ainsi effleurées ne réagissent pas ou ne font aucune réflexion misant cela sur le mouvement de la petite foule coincée dans la rue.
A la fin de mon service au restaurant dans lequel je travaille pour la saison, je me dirige vers la rue principale du village. Il fait lourd, l'air suffocante, l'orage n'est pas loin. Les touristes sont présents comme tous les jours et soirs, mais encore plus avec le marché nocturne. Je me faufile entre les personnes, m'arrêtent parfois devant un stand pour discuter avec le commerçant.
Le mouvement des touristes derrière moi s'est arrêté, ils restent sans pouvoir avancer ni reculer. Je continue de discuter avec Bob qui vient depuis des années faire les marchés et qui a un magasin dans la ville à quelques dizaines de kilomètres. C'est un artisan du cuir, il propose des sacs, des ceintures des napperons, des blags à tabac. J'adore cette odeur de cuir et je pourrais rester des heures assis à côté de son étale.
Mais pour le moment je suis debout et je remarque que les touristes sont à l'arrêt, sans pouvoir avancer ni reculer. Je sens aussi une main se poser, passer sur mes fesses et même les presser. Je tourne la tête. Il y a deux femmes derrière moi, un homme et une femme de chaque côté, formant comme un demi-cercle autour de moi.
- " Les touristes sont encore là ce soir " me dit Bob en allumant une cigarette.
- " Oui je vois, comme d'habitude " dis-je " c'est bon pour les affaires tout ça ".
- " Oohh tu sais, c'est la crise comme ils disent. Les touristes sont là mais pas l'argent " ajoute-t-il avant d'aller s'assoir.
Nouvelle caresse un peu plus appuyée d'un avant-bras contre mes fesses. Je me retourne. Toujours les mêmes personnes que précédemment. Personne n'a bougé. Pas de réaction sur les visages. Maintenant que je suis face à la foule, je sens ce bras contre mon short et contre ma bite. Le mouvement du bras se fait de haut en bas, puis sur les côtés. Le bout des doigts caressent ma cuisse. Je baisse les yeux, regarde la main mystérieuse puis monte le long du bras pour savoir à qui il appartient. C'est elle, une femme placée devant moi à côté de l'autre. Elle est debout, son côté droit face à moi. Brune aux cheveux longs, le visage fin avec une bouche aux lèvres pulpeuses. Elle a son bras gauche posé sur l'épaule d'un homme devant elle, sa tête sur l'autre. Les yeux fermés elle attend. Je prends son avant-bras dans ma main. Elle a un petit mouvement de surprise mais ne le retire pas. Je le frotte contre ma bite qui commence à durcir. Je glisse une main sur ses fesses. Le rapprochement entre les personnes est si près que ma main touche aussi le pubis de la femme portant un chapeau de paille derrière la brune. Une léger sourire apparaît sur les lèvres de celle au chapeau. La brune pose à plat sa main sur ma cuisse. La caresse n'est plus involontaire, au contraire. Ses doigts caressent ma cuisse et glissent sous le short. Portant un caleçon sous le short, l'accès à ma bite est libre. Le sens le bout des doigts passer sur les testicules et sur le gland que je décalotte d'un mouvement discret.
Je passe à mon tour une main sous la jupe de la brune et remonte sur la cuisse. Lorsque mes doigts touchent son sexe libre de tout vêtement, je ne rencontre aucun poil. Je sens par contre de l'humidité, de la chaleur entre ses cuisses. Je passe un doigt sur cette fente humide et couverte de jus intime. En appuyant sur le clito que je sens déjà dur, elle ouvre un peu la bouche et souffle lentement. Puis elle se mord la lèvre inférieure. Je pince le clito entre mes doigts. Son souffle devient plus fort. Caressant quelques secondes cet organe sensible, j'enfonce alors deux doigts dans ce sexe aux lèvres gonflées. La pénétration est discrète, lente et profonde. Elle relève la tête et pose sa bouche contre l'épaule de son homme comme pour étouffer un cri. Une fois mes doigts au fond de son intimité, je plaque la paume de ma main sur son pubis et écrase son clito. J'appuie un peu et commence à bouger ma main entre ses cuisses. Son bassin bouge, ondule au rythme de mes doigts en elle.
De son côté la femme au chapeau de paille ne reste pas inactive. Elle tient ma main contre son pubis. Elle se frotte l'entre-jambe à travers son pantalon en toile. C'est aussi chaud. Prenant mes doigts dans les siens elle les appuie contre son sexe que je sens chaud et humide. Elle utilise ma main pour se masturber. Je regarde le visage de ses deux femmes qui essayent de rester calme et sans expression pendant ces caresses intimes. Mais le plaisir est fort et grand. Une main est écrasée contre le sexe de l'une et pendant que l'autre pénètre la fente d'une autre. Je sens ma bite maintenant dure et tendu dans mon short. Elle est écrasée contre la cuisse de la brune. Je sens des contractions sur mes doigts, des petits tremblements de la part de la brune. Puis ses cuisses se resserrent sur ma main. Je sens de la mouille couler sur mes doigts. Elle jouit debout devant moi, contre son homme qui ne remarque rien.
Les touristes commencent à avancer. Mes doigts glissent rapidement hors de cette chatte humide, ma main entre les cuisses de la femme au chapeau de paille est relâchée. Cette dernière me fait un petit clin d'oeil et m'envoie un baiser rapide. Je les regarde s'éloigner, une main couverte de mouille et ma bite encore raide et dure. Je m'éloigne en essayant de cacher mon érection et sans toucher personne. J'arrive dans une ruelle sombre et déserte. Je débande un peu, le gland est décalotté et humide. Avec la main encore couverte de mouille je commence à me masturber, je presse mes couilles pleines de l'autre. Adossé à un mur, les jambes légèrement pliées ma main glisse sur ma bite maintenant dure. Je tourne sur le gland avec mon pouce et mon index en anneau. Puis j'avance le bassin comme si je m'enfonce dans une chatte chaude et humide. J'accélère la masturbation en pensant aux deux femmes que j'ai branlées, à mes doigts fouillant une chatte humide. Je suis sur le point d'éjaculer...
- " Oouuiii c'est ça continue..." dit une voix de femme près de moi.
Pris de panique je m'arrête. La femme au chapeau de paille est debout à côté de moi. La chemise ouverte laisse voir deux énormes seins sans soutien-gorge. Elle se caresse la poitrine et une main glissée dans le pantalon en toile entre ses cuisses.
- " Ne t'arrête pas " ajoute-t-elle en tendant le bras vers moi.
Nos corps sont maintenant l'un contre l'autre. Elle porte sa main sur ma queue qu'elle branle doucement d'abord en décalottant le gland entièrement. Il lui sous la faible lumière venant de la rue principale. Elle crache dans sa main et la porte à nouveau sur ma bite. J'attrape ses seins que je serre l'un contre l'autre. J'embrasse les gros tétons durs et tendus. Elle gémit doucement.
- " Oui vas-y..régale-toi...hhuummmm...ils sont pour toi " dit-elle.
Après quelques minutes elle m'entraîne un peu plus dans l'obscurité de la ruelle. Elle me plaque dos au mur et presse son corps contre la mien. Elle m'embrasse, caresse mon torse avant de glisser à genoux devant moi. Elle alterne son regard entre mon visage et ma bite qui se dresse au-dessus de sa bouche.
- " Tu m'a chauffé tout à l'heure...." ajoute-t-elle en passant sa langue sur ses lèvres.
Puis elle la pose sur le gland, le lèche avant d'enfoncer ma grosse bite dans sa bouche. Elle l'enfonce la plus loin possible dans sa bouche, dans sa gorge sans pouvoir tout avaler. Elle la ressort et recommence plusieurs fois en laissant couler de la bave sur son menton, entre ses seins dont je pince, tire sur les tétons.
- " Aarrgghh .....Aarrghh..." lance-t-elle pendant que je lui baise la bouche avec rapidité. Je pose les mains sur sa tête pour m'enfonce plus loin et son nez vient buter contre mon pubis à chaque fois. Je sens mes couilles se contracter, ma bite se tendre et gonfler. Elle la recrache et la coince entre ses gros seins qu'elle frotte l'un contre l'autre pour une branlette espagnole incroyable. Je ne tiens pas longtemps et j'éjacule sur et entre ses seins. Quelques gouttes atterrissent sur ses joues et ses lèvres. Elle se redresse, m'embrasse en me souhaitant une bonne nuit et disparaît.
Je profite de ma journée de repos pour aller m'installer au calme au bord d'une rivière. Il fait très chaud cet après-midi. Le chant des cigales raisonne dans l'arbre au-dessus de ma tête. Comme à mon habitude je suis nu sur ma serviette. Je suis réveillé par des voix qui s'approchent. Je ramasse mes affaires et rentre à la maison.
Début du mois d'Août. La fréquentation touristique est toujours importante mais constituée de famille nombreuse. Rares sont les personnes seules mais il y a toujours autant de monde. Les gens se pressent dans les rues, dans les bars et sur les terrasses. Je vois deux petits culs qui avancent devant moi, l'un sous une jupe ultra courte qui descend juste sous les fesses et l'autre moulé dans un short blanc qui entre dans la raie des fesses. Le regard bloqué sur ses fesses je ne remarque pas les gens à l'arrêt devant moi et je les percute.
- " Excusez-moi mesdemoiselles "dis-je avec un large sourire.
Les deux jeunes femmes se retournent et me répondent avec aussi un large sourire- " Oh ce n'est pas grave ! " répond la blonde aux cheveux courts.
- " Vous êtes tout excusé " rétorque sa compagne aux cheveux bruns courts. " Une petite bousculade ne fait pas de mal " ajoute-t-elle en prenant son amie par la taille.
- " Au contraire....on préfère quand ça bouge et bouscule un peu plus fort ! " ajoute la blonde en posant un doigt sur ses lèvres pulpeuses.
Je regarde tour à tour les deux jeunes femmes.
- " Pour t'excuser tu peux nous offrir un verre " répond la brune. " Je suis Rachel et voici Véronica " dit-elle faisant un signe de tête vers sa copine.
Elles font demi-tour et se dirige vers la place centrale du village. De même taille et de même corpulence toutes les deux, elles avancent devant moi en se tenant par la taille ou par la main.
- " Et toi ? " demande Véronica.
- " Quoi moi ? ".
- " comment tu t'appelles ? ";- " Seb " dis-je simplement.
Je remarque des petits gestes entre les deux femmes, des regards soutenus dans l'obscurité de la nuit, des caresses rapides. Chacune porte un débardeur. Rachel porte le short et Véronica la jupe. Nous discutons pendant quelques minutes en buvant, en riant.
- " Si on allait faire un tour j'ai mal aux oreilles avec tout ce bruit " dit Rachel.
Elles marchent à côté de moi. Véronica a glissé sa main dans la poche arrière du short de Rachel. Parfois elles joignent leurs lèvres tout en marchant.
- " On sera bien ici " lance Véronica et s'asseyant près d'une barrière dans l'herbe haute d'un champ. Le son de la musique de l'orchestre nous parvient aux oreilles. Le temps de regarder autour de moi les jeunes se sont assise face à face et s'embrassent à pleine bouche. Leurs langues s'affrontent, se mêlent, se lèchent. Les mains posées sur les genoux de l'autre restent sages sans bouger. Je m'assois dos contre la barrière. J'écarte mon short sur le côté pour sortir ma bite qui commence à durcir. Le sexe en érection, les boules posées sur l'herbe je regarde les deux femmes s'embrasser, se caresser maintenant. Véronica passe le débardeur par-dessus la tête de Rachel qui se retrouve seins nus. Ils sont gros avec de larges auréoles et des petits tétons que Véronica s'empresse de sucer, lécher et embrasser. Rachel pousse des gémissements de plaisirs. Elles ne tardent pas é se retrouver nues pour se frotter l'une contre l'autre, pour empoigner des fesses, pour glisser une main entre les cuisses de l'autre.
Rachel se dégage de sa copine pour venir vers moi à quatre pattes. Elle ondule des fesses, sa poitrine en forme de pastèque pend sous son buste. Son regard se pose sur ma bite tendue avec le gland décalotté, elle passe sa langue sur les lèvres.
- " Huuummm " dit-elle doucement.
Véronica avance debout derrière elle. Parfois elle donne une petite claque sur les fesses de Rachel qui pousse un petit cri.
- ' ouiii...vas-y continue " ajoute-t-elle en tournant la tête vers elle.
Véronica claque alors chaque fesse l'une après l'autre de plus en plus fort jusqu'à ce que Rachel arrive à ma hauteur.
- " J'aime quand ça claque fooort ! " dit-elle alors qu'elle reçoit une grosse claque sur ses fesses en même temps et projette son corps contre le mien. Véronica les tient fermement dans ses mains, les écarte, les serre l'une contre l'autre. Je lâche ma bite pour l'attraper par les cheveux et le menton. Puis je l'embrasse. Véronica lui attrape aussi la tignasse et l'attire contre elle. Nos bouches sont alors séparées. Rachel se redresse sous la contrainte de sa partenaire qui glisse une main entre les cuisses. Je vois par devant les doigts s'activer contre la chatte poilue de Rachel puis disparaitrent dans la fente. Ils ressortent humide et couverts de mouille. Elle les porte à la bouche de Rachel qui s'empresse de les sucer, les lécher.
- " Tu aimes ça ma petite salope " dit Véronica " tu aimes sucer ta mouille... hein ? " ajoute-t-elle.
- " Oui j'aime " répond Rachel entre deux gémissements.
Je pose mes mains sur ses seins gonflés, je tire sur les tétons, je les pince, je les tords.
- " OOuuiii ...hummm c'est boonn " dit-elle en soufflant fort.
- " Lui aussi va goûter ta mouille de petite salope " lance Véronica.
Elle aide Rachel à se mettre debout, lui pose les mains sur la barrière.
- " Ecarte les pieds " ordonne-t-elle sèchement. Rachel s'exécute.
J'ai au-dessus de la tête l'entrecuisse de Rachel qui s'abaisse sur la pression exercée par Véronica sur ses épaules. Encore quelques millimètres et ma bouche est en contact avec sa chatte odorante. D'abord un léger effleurement puis je glisse ma langue dans cette fente humide et chaude. Rachel remue son bassin sur mon visage ?
- " Hhummmm oouuiiii..." gémit-elle.
Je sens aussi des doigts qui se glissent avec ma langue dans ce sexe maintenant ouvert. Le clito frotte contre mon nez. Rachel pousse un cri lorsque j'entends des claques sur ses fesses. Son corps, ses jambes tremblent, puis son sexe s'ouvre sur ma langue et un liquide me remplit la bouche en plusieurs jets puissants. Rachel est une femme fontaine. Tout mon visage, mon torse est mouillé. Je vois qu'elle ne tient plus sur ses jambes et se laisse tomber sur moi. Avant qu'elle ne soit complètement assise je sens une main qui attrape ma bite en érection pour pénétrer la chatte de Rachel qui, surprise par cette intrusion vaginale, ne peut s'empêcher de pousser un cri.
- " hhummm oouuiiiiiii ".
Elle entoure ses bras autour de mon cou puis commence à bouger en cercle sur ma bite maintenant toute entière en elle. Véronica appuis sur les épaules de Rachel comme si elle veut que j'entre plus loin encore, plus profondément. Rachel monte et descend de plus en plus vite sur ma bite. De la mouille la couvre puis coule sur mes couilles. Rachel se déchaîne sur moi. Ses seins bougent dans tous les sens, Véronica les prends en passant ses bras sous les épaules de Rachel qui se met en appuis le dos contre la poitrine de sa collègue. Dans cette position je vois le gros clito qui bande dans l'épaisse toison brune. Je le prends et le pince entre deux doigts. Le résultat est immédiat. Rachel explose, hurle.
- " AAaah oouuiiiiiiii ! ".
Véronica plaque ses lèvres contre celle de Rachel pour étouffer son cri. Tout le corps de Rachel est en mouvement, tout commence à trembler. Les muscles de son sexe se contractent sur ma bite. Chaque fois qu'elle se laisse retomber ses fesses claques sur mes cuisses. Elle est en sueur. Dans un dernier mouvement elle n'arrive plus à se contrôler. Elle m'agrippe par le cou et se colle à moi en me serrant fort. Ses jambes sont comme les ailes d'un papillon qui s'ouvrent et se ferment rapidement, son bassin a des mouvements saccadés sur ma bite en elle. De son côté Véronica lui donne de claques de plus en plus fortes et rapides sur les fesses. Après quelques minutes la respiration de Rachel est plus calme et lente. Son corps se détend et se relâche. Véronica m'aide à l'allonger sur l'herbe puis se couche à côté d'elle. Je les entends parler à voix basse. Chacune d'elle me regarde. Véronica s'avance vers moi. Elle m'embrasse puis sa langue descend sur mon torse, passe sur mes tétons qu'elle suce et pince entre ses dents. La descente continue jusqu'à ma bite qu'elle lèche pour en recueillir la mouille de Rachel. Sa bouche s'ouvre pour y enfoncer ma bite encore molle. Son jeu de langue sur et autour du gland lui font vite prendre du volume. Je bande dur et fort. Sa tête monte et descend au rythme de sa fellation rapide. Rachel nous rejoint en se plaçant à côté de Véronica. Les deux jeunes femmes me sucent chacune leur tour ou en même temps. L'une gobe mes couilles alors que l'autre tête le gland. Je ne tarde pas à sentir mes couilles se contracter et j'éjacule en plusieurs jets qui atterrissent sur les joues et les lèvres de mes partenaires du soir. S'ensuit un long baiser entre les deux femmes qui partagent mon sperme ainsi que la mouille de Rachel. On se sépare lorsque le clocher sonne vingt-trois heures.
Fin Septembre. Ce soir c'est le dernier marché nocturne de la saison. Il y a encore beaucoup de touristes dans les rues et sur la place du village. Comme à chaque fois dans ce type de rassemblement la foule est compacte, les gens se frôlent, se touchent et cette situation m'enchante. Ce soir Julia m'accompagne. Elle travaille dans le même hôtel restaurant que moi au service. Nous discutons avec Bob, toujours présent avec ces articles en cuir. Je remarque qu'il regarde souvent Julia. Parfois il fait la moue, le front plissé comme s'il se posait une question ou l'air étonné. Il me regarde et fait un petit signe de tête en direction de Julia. A mon tour je tourne la tête dans sa direction. Elle a les yeux fermés, la bouche entre-ouverte, la tête légèrement en arrière. Les bras tendus et les deux mains posées sur le présentoir devant elle Julia semble être ailleurs.
- " Tout va bien ? " demandais-je.
- " Oouii " répond-elle en gémissant " Super bien " ajoute-t-elle après s'être mordu la lèvre.
Les touristes sont à l'arrêt derrière nous. Je vois des femmes et des hommes collés de dos ou face à nous. Julia commence à respirer fort. Je la vois s'abaisser un peu sur ses jambes et chanceler comme si elle allait s'évanouir. Je la prends aussitôt par la taille pour la soutenir. Elle se laisse faire et passe un bras autour de mes épaules. Il fait chaud, très chaud. Je pense alors qu'elle fait un malaise.
- " Tu veux t'assoir ? " demandais-je.
- " Non...ça va mieux " dit-elle après quelques secondes. Nous suivons le mouvement de la foule dans la rue.
- " J'ai besoin de boire quelque chose ! " dit-elle.
Je me dirige vers la buvette en me faufilant entre les personnes, effleurant une fesse ou un sein au passage, m'arrêtant quelques secondes prétextant ne pas pouvoir avancer pour me frotter contre un cul ou une cuisse. A mon retour, je trouve Julia discutant avec deux hommes. La foule étant très compacte, ils sont obligés d'être collés. L'un des deux hommes, brun, baraqué se tient derrière Julia qui n'a pas le choix que d'avoir son dos contre le torse musclé de cet homme. Elle tourne et lève sa tête vers lui pour lui parler et lui sourire. L'autre avec un physique plus classique se tient contre le côté droit de Julia, frottant ainsi contre sa hanche. A mon arrivée les deux hommes ne sont pas étonnés de me voir.
- " Voici Marco et José " dit Julia me faisant un clin d'oeil et indiquant monsieur muscles d'abord puis l'autre.
Tous deux me répondent d'un "salut " couvert par le bruit de la foule et de la musique. Julia prend le verre et le boit d'un seul coup.
- " Oouuaa ça fait du bien " dit-elle.
Elle commence à bouger, à danser, à frotter son dos contre le torse de monsieur muscles qui a les mains posées sur la taille fine de Julia. Elle porte un short en jean et un body moulant sa grosse poitrine dont je peux voir les tétons pointer sous le tissu. L'autre n'a pas les mains dans ses poches non plus. Il a glissé son pouce entre le ventre et le bouton du short de Julia, la main et les doigts plaqués contre sa chatte que j'imagine humide. Elle se penche vers moi.
- " J'ai envie de baiser " me dit-elle à l'oreille. " Avec eux aussi " ajoute-t-elle.
- " Ok " répondis-je en lui prenant la main et l'attirant avec moi au milieu de la foule. " Suivez-nous " dis-je aux deux hommes qui ne se le font pas dire deux fois. Julia avance seule devant nous. Je dis à Marco et José de la rejoindre. Marco pose sa grande main sur le cul du Julia alors que José la prend par la taille. Après quelques rues longées, traversées on arrive dans un champ près d'un lavoir surplombé par le village. Julia rit, gémit avant de s'allonger dans l'herbe.
- " J'aimerais que tu regardes uniquement " me dit-elle en posant un baiser sur mes lèvres. " Ne sois pas déçu " ajoute-t-elle en croisant mon regard " ton tour viendra après ".
Il ne faut pas longtemps aux deux hommes pour se mettre nu sous le regard envieux de Julia à genoux les cuisses écartées avec une main sur sa fente et l'autre sur ses seins dont elle tire, pince les tétons. Je m'éloigne et reste un peu à l'écart, comme me l'a demandé Julia, tout en admirant son corps. Ses gros seins lourds tombent sur son ventre plat, sa chatte totalement rasée sont un appel à l'amour, à la jouissance, aux plaisirs de la chair.
Marco et José se tiennent debout devant elle, la bite déjà tendue et dressée. Chacun expose aux regards de la belle Julia une bite longue au diamètre imposant. Une seule main de Julia ne suffit pas à en faire le tour. Elle a le regard brillant, un large sourire sur les lèvres. Elle se redresse sur ses jambes pour venir donner un coup de langue sur chacune des deux bites devant elle. Les deux hommes lâchent un petit gémissement. Marco ne veut pas en rester là. Il prend la tête de Julia entre ses mains et enfonce sa bite dans cette bouche ouverte. Elle a du mal à recevoir ce monstre de chair. Elle étouffe, suffoque lorsque Marco essai de s'enfoncer plus profond. Après plusieurs minutes Julia arrive enfin à avaler toute la bite de Marco. Elle salive beaucoup, Marco peut alors s'enfoncer dans cette bouche sans ménagement. Il utilise cette bouche comme une chatte dilatée, ouverte pour la baiser à grands coups de reins.
- " AArrggghhh.....Arrgghhhh..." prononce Julia à chaque coup de bite qui n'est plus maîtresse de la situation.
Marco sort sa bite de cet orifice et plaque la bouche de Julia contre ses couilles. Je vois la langue de Julia sortir, lécher les boules. Mais je vois aussi la grosse bite couverte de salive de Marco tendue sur le visage de sa partenaire. Dans cette position, avec le menton posé contre les couilles de Marco, la bite dépasse encore d'au moins 5 centimètres au-dessus du crâne de Julia. C'est incroyable. De son côté José profite de la position à genoux de Julia pour s'enfoncer en elle en levrette. Sa bite, tout aussi grosse que son collègue, glisse entre les lèvres gorgées de sang. Une main posée entre les cuisses de Julia s'active sur le clito dur. Julia ne contrôle rien. Elle gémit, elle crie. J'entends les corps qui se heurtent, les claquements contre les fesses de Julia. C'est excitant. Je bande dur, alors je sors ma bite et je me caresse, je me masturbe au même rythme que José qui maintenant appuis fortement sur les reins de Julia qui n'a d'autre choix que de s'écrouler la tête dans l'herbe et le cul en l'air. Elle râle, laisse échapper de longs gémissements. Après plusieurs minutes de cette baise, José la redresse en la tirant par les épaules. Comme une poupée de chiffon Marco la soulève et la plaque contre lui. Julia entoure alors ses jambes autour de la taille de son athlète. Sa chatte étant déjà bien dilatée et ouverte par les violents coups de reins de José, elle n'a aucun mal à recevoir le monstre de chair de Marco qui se présente. Il laisse Julia retomber de tout son poids sur cette bite qui s'enfonce en elle d'un seul coup jusqu'à la garde. Julia a le souffle coupé, aucun son ne sort de sa gorge. Marco la soulève une nouvelle fois et la laisse retomber.
- " AArrghh...! " nouveau cri d'étranglement de Julia.
La cadence devient rapide. A chaque pénétration, les fesses de Julia claquent contre les cuisses puissantes de Marco, les couilles frappent sur les fesses, les seins rebondissent comme des ballons. José veut aussi participer. Il se lève et s'approche du couple et plaque son torse contre le dos de Julia qui s'agrippe avec plus de force autour du cou de Marco. Elle tourne la tête vers José qui approche son visage pour lui dire quelque chose à l'oreille. Elle lui fait un signe de la tête comme pour lui donner son accord et accepter ce qu'il vient de dire.
La bite toujours enfoncée dans la chatte de Julia, Marco la soulève en passant ses bras sous les genoux. Elle resserre son étreinte autour de cou de Marco puis attend. José s'avance la bite dure et dressée, le gland décalotté et couvert de mouille de Julia. Il tape d'abord avec sa queue sur les fesses puis glisse entre comme pour la couvrir de mouille. José plie un peu les genoux, Marco la soulève un peu puis la laisse descendre doucement. Je comprends vite que Julia a accepté une double pénétration. Elle se cramponne avec force lorsqu'elle sent le gland pénétrer son orifice anal. Elle souffle, expulse le maximum d'air pour se vider d'un côté et recevoir cette bite de l'autre. Quelques secondes d'arrêt, Julia s'habitue à la taille des bites qui s'enfoncent en elle. Puis Marco la soulève un peu et la laisse à nouveau descendre. Quelques minutes plus tard Julia se déchaîne sur les deux bites qui s'enfoncent en elle. Son corps rebondit entre les deux hommes. Elle crie, elle râle. Ses trous sont dilatés, pénétrés. Elle avait " envie de baiser ! " voilà qui est fait. Les deux hommes la pénètrent en même temps ou de façon alternée, ce qui donne encore plus de plaisir et de jouissance à Julia qui crie, qui hurle qu'elle en veut encore plus.
Ils allongent Julia dans l'herbe sur le dos. José se mettant au-dessus de la tête de sa partenaire il lui attrape les chevilles et remonte les jambes sur la poitrine relevant ainsi le cul ouvert. Julia a la bite de José sur le visage. Marco pointe sa bite. Elle est énorme, couverte de mouille. Il n'a pas de mal à s'enfoncer dans la chatte couverte de cyprine de sa belle du soir. Ses couilles frappent contre les fesses. Julia ne peut émettre un son car sa bouche est remplie par le bite de José. Marco s'enfonce plus fort et plus vite en elle. Puis il glisse entre les fesses et investit l'anus ouvert. Julia ne contrôle plus son corps qui se met à trembler, le bassin a des mouvements saccadés et dans une dernière pénétration profonde Julia recrache la bite de José et jouit en hurlant. Son corps se tord, se tend, se crispe. Puis elle se laisse tomber dans l'herbe. Ils la redresse et la maintienne à genoux puis chacun se masturbe sur son visage. José est le premier en éjaculer. Du sperme coule dans la bouche ouverte, sur les joues de la belle. Marco suit en enfonçant sa bite au fond de la gorge de Julia pour qu'elle avale tout.
- " C'est la première fois qu'une femme arrive à prendre nos deux bites en même temps ! " me dit José en se rhabillant.
Julia est allongée dans l'herbe, la respiration encore courte et rapide.
- " Merci ! " ajoute Marco avant de s'éloigner avec son collègue.
Je ramasse les vêtements de Julia et l'aide à se lever. Je la raccompagne chez elle.
- " J'ai mal partout...mais c'était bon et excellent. J'ai adoré " dit-elle avant de s'écrouler sur son lit. Je referme la porte derrière moi en rentre me coucher.
Je retrouve la femme avec le chapeau de paille dans un autre marché nocturneSur la petite place devant l'église , banc, contre le platane

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Texte coquin : Les marchés nocturnes
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