Les monstres de Cúcuta 1/12
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 174 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 358 304 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 351 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les monstres de Cúcuta 1/12
Je pourrais commencer cette histoire comme un conte… une légende.
Il était une fois une petite ville de Colombie du nom de Cúcuta, située à la frontière avec le Venezuela, belle petite ville provinciale qui a attiré mon attention lors de la fuite du peuple vénézuélien vers la Colombie, cette ville était un des points de fuite, comme un des points où la nourriture entre.
J'avais lu des reportages très tristes sur cette situation désolante et des images de familles fuyants un pays, leur pays.
J'avais trouvé les paysages magnifiques et les colombiens interviewés très impliqués dans la situation. Beaucoup de jeunes prenaient soins des vénézuéliens qui arrivaient et j'avais fait la remarque à Louis mon chéri et amant de cœur qui m'avait demandé si les colombiens m'attiraient.
-j'en connais déjà quelques uns mon chéri.
Bien sûr qu'il avait fallu que je lui raconte cette histoire et la Colombie, Cúcuta sont tombés dans l'oubli.
Jusqu'au jour où mon chéri qui lit sur le net une revue gay m'appelle comme si il y avait une catastrophe.
-Fabrice viens voir, c'est fou!
-c'est la guerre ?
-mais non… mais y'a un mois ou deux, c'est bien toi qui m'a parlé de Cúcuta en Colombie ?
-oui la ville de passage des vénézuéliens si je me souviens bien.
-eh bien y'a pas que ça dans cette bonne ville, regarde.
Il avait son sourire coquin et gourmand aux lèvres.
Quand j'ai vu qu'il regardait son magazine gay préféré, je m'attendais à tout sauf à ça.
Il me montre un titre..
"VILLE DE L'ANNEE : CUCUTA, la ville où se trouvent le plus grand nombre de beaux latinos aux sexes démesurés"
J'éclate de rire.
-et tu crois ça ? dis je en riant.
-ben regarde y'a des photos et tu vois bien qu'il n'y a que de belles queues quand même.
Effectivement, les photos qui accompagnaient l'article étaient magnifiques. Ils n'avaient pris que des latinos avec des sexes démesurés et je voyais bien que cela faisait fantasmer Louis.
-qu'est ce qui te dit qu'ils sont tous de la ville ? y'a leur adresse ?
-rho mais t'enlève toute la magie de l'article en disant ça, bien sûr qu'ils sont tous de là-bas, j'en suis sûr…
-eh bien mate mon chéri, c'est moi qui vais en profiter.
Faut dire que Louis est un gourmand, on vit ensemble depuis presque 10 ans maintenant, d'ailleurs on va fêter nos dix ans cette année et j'avais envie qu'on le fête dignement tous les deux. J'avais pensé à un voyage, prendre 15 jours et aller s'aimer encore plus au bout du monde maintenant que ce p... de COVID s'était un peu calmé.
Avoir Louis dans son lit, c'est magique. Je n'ai jamais eu de copain si câlin, si doux, si tendre, si passif, tout ce qu'il aime c'est avoir une queue dans son petit cul gourmand et des grosses de préférence. La mienne lui va bien dit il. Il la vénère tous les soirs me faisant rire. Mais de temps en temps il devient intenable et faut aller draguer un mec pour le mettre entre nous deux. Avoir deux bites pour lui tout seul, c'est un de ses nombreux péchés à mon chéri. Je ne peux pas vous les énumérer tous mais sachez que tous, sont en rapport avec le sexe.
Ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas tous les deux ou à plusieurs.
Je suis un peu fainéant pour organiser un voyage et, depuis quelques temps, je voyais Louis toujours penché sur son ordi qui me cachait ce qu'il faisait quand je m'approchais. Je râlais pour la forme, lui demandant s'il avait un amant.
-ah un amant! et je le verrais quand ce pauvre homme ? dit il en haussant les épaules.
-ben je te vois pas de la journée je te fais remarquer.
-oui peut être, mais c'est pas moi qui sent l'autre mec quand il rentre à la maison.
-oh tu vas pas recommencer j'avais fait la bise à un copain.
-bien sûr et il avait dû tomber dans le flacon de parfum le pauvre!!
J'aime bien quand il fait son jaloux alors qu'il ne l'est pas du tout.
Mais quelques semaines plus tard, j'ai trouvé au courrier une grosse enveloppe adressée à Louis avec le tampon du Consulat de Colombie à Paris.
J'ai tourné et retourné l'enveloppe en finissant par me dire.
-si ça se trouve il est capable d'avoir écrit au consulat pour savoir si à Cúcuta il y a des beaux mecs!
Je riais tout seul et je laissais l'enveloppe sur la table.
Quand il est rentré, il a pris l'enveloppe sans un mot, en me regardant avec son petit sourire coquin, est venu me faire la bise, parler de notre journée et il a filé prendre une douche sans avoir ouvert l'enveloppe.
Il s'est installé confortablement dans un fauteuil du salon pour ouvrir son enveloppe et lire attentivement tout ce qu'elle contenait. Je faisais semblant de ne pas m'intéresser mais la curiosité me bouffait et je voyais bien qu'il me jetait des coups d'œil et qu'il souriait le bandit.
Ce n'est que le soir en dînant que j'ai posé la question.
-alors tu vas mener l'enquête à Cúcuta ?
-on va mener l'enquête tous les deux mon chéri… que je t'explique tout! dit il en voyant mon air effaré.
-Je sais que tu es déjà aller à Bogota, que ce pays te plait beaucoup car je pense qu'effectivement il y a de beaux latinos. Alors comme on doit fêter quelque chose cette année, j'ai pensé qu'on pourrait aller voir du côté de Cúcuta si les journalistes ne racontent pas de conneries.
-tu veux aller voir dans les slips des colombiens ? dis je en éclatant de rire.
-ceux qui voudront bien nous montrer bien sûr… on va violer personne!
-mais t'es complètement fou, mon mec est fou!
-fou de toi ça c'est sûr, bon de toute façon c'est trop tard.
-comment ça trop tard ?
-tu prends bien, comme moi, tes vacances en juin comme d'habitude ?
-ben oui.
-donc j'ai réservé du 4 au 20 juin et on part, j'ai reçu les visas dans la lettre que tu as vu. Le vol est réservé, la voiture est louée, l'hôtel est réservé, y reste plus qu'à trouver les grosses queues que j'ai vu en photos.
Il éclate de rire devant encore mon air effaré.
-mais... t'aurais pu m'en parler quand même et si j'avais organisé quelque chose sans t'en parler, en douce comme toi ?
-toi en douce ? tu sais pas faire! et il rigole encore en se jetant sur moi.
Il s'assoit sur mes genoux, m'entourant la tête de ses bras.
-t'es content quand même ? hein ?
-bien sûr que je suis content mon bébé mais si y a pas de grosses queues à Cúcuta tu vas être déçu.
-c'est bien pour ça que je veux que tu viennes avec moi comme ça je suis sûr d'en avoir au moins une!!
On s'est embrassé comme des amoureux que l'on est. Je l'ai soulevé dans mes bras, ses pantoufles sont tombées de ses pieds. Je l'ai emmené dans la chambre, jeté sur le lit et je l'ai déshabillé en quatrième vitesse, ça pour aider il m'aidait. Je me suis mis nu également, j'ai pris ses deux jambes, ses pieds que j'ai posé sur ma queue bandée.
Mon colosse caressé par les deux beaux pieds de mon mec. Il adore me faire ça, me branler en serrant ma queue entre la plante de ses pieds. Cette partie est fine, douce, les orteils touchent le gland décalotté et de le voir s'appliquer, la bouche entrouverte, la langue de sortie léchant ses lèvres, les yeux sur ma queue… si vous saviez comme c'est bandant.
Et ce voyou finit toujours par me donner ses pieds à lécher pour que je vois bien sa queue raide couchée sur son ventre entourée de fins poils noirs corbeaux, le gland bien décalotté qui coule dans son nombril car il a une belle queue mon chéri et une belle et bonne queue au jus abondant.
Pendant que je lèche un de ses pieds, ses orteils, l'autre pied me caresse le ventre, monte aux tétons qu'il gratte de son gros orteil et son sourire éternel de coquin vicieux.
Je repousse les cuisses sur son torse ouvrant ses belles fesses recouvertes d'un duvet, mais la raie est rasée, toujours impeccable. Faut le voir faire dans la salle de bain, plié en deux se regardant dans la glace.
J'adore lui bouffer son petit cul, sentir l'anus s'ouvrir sous ma langue, il n'a pas les fesses tellement rebondies, si bien que je peux faire entrer ma langue dans son petit trou et caresser l'intérieur sur un bon centimètre. Lécher l'intérieur de son mec, son amant, son amour c'est divin! et sentir qu'il s'offre c'est encore meilleur.
Son anus s'ouvre rapidement comme s'il reconnaissait ma langue. Mes doigts qui l'aident à rester ouvert.
J'ai mal à la queue tellement je bande.
Je pointe mon gland à l'ouverture et fixe Louis dans les yeux qui disent:
-j'attends mec!
Des yeux vicieux que j'adore, une belle couleur marron clair, douce, tendre.
Je m'appuie sur ses cuisses en me penchant sur lui, je sens mon gland avancer lentement et j'investie les lieux qui m'appartiennent quand même un peu maintenant, lentement, dégustant chaque millimètre, et appréciant son regard de mec dominé et qui aime ça.
Quand le gland est entré, sous un petit cri, je donne un bon coup de reins et le monstre se faufile au fond de ce bon cul qu'il connait bien arrachant non pas des cris, mais des gémissements. Louis a fermé les yeux et se lèche les lèvres.
Je le baise comme il aime, vite et profond. Il gémit, râle, cri, gueule, hurle car je ne le ménage pas du tout mais il aime ça ce coquin!
Et je fais durer le plaisir, notre plaisir. Je le vois essayer de venir se toucher la queue, je lui fais les gros yeux, il ferme les siens en souriant et attend le moment où je vais jouir, jouir de longues giclées chaudes au fond de lui et m'écrouler dans ses bras, sentir ses jambes se refermer sur mon corps, ses bras m'envelopper et m'embrasser à perdre haleine et, souvent, comme ce fût le cas ce soir là, il ondule plusieurs fois du bassin en donnant de petits coups de reins et il joui entre nos corps en m'enfonçant sa langue au fond de la gorge.
-je voulais te sucer mon bébé.
-rho mais t'es trop long aussi dit il en riant. Mais tu peux faire le nettoyage si tu veux. Tu sais, tu te mets tête bêche et on fait le nettoyage ensemble, un 69 ça s'appelle. Tu connais bien quand même ? un grand garçon comme toi ?
Sortir de son cul chaud, pour que ma queue retrouve sa bouche. Le lécher partout sur le ventre, et nettoyer sa belle queue. La tenir en main et le sucer méthodiquement pour la sentir se raidir encore plus, la tenir fermement et accentuer la pipe, l'entendre gémir, le piper plus rapidement encore. Voir le gland changer de couleur, raidir. L'enfoncer au fond de ma gorge, serrer les lèvres dessus, entendre Louis crier et recevoir ma récompense du soir pour recommencer le nettoyage pendant qu'il soupire de bonheur me léchant toujours la queue.
Puis c'est le quart d'heure tendresse, serré l'un contre l'autre, on se regarde comme si on se découvrait chaque soir, on se fait des bisous, on se raconte des trucs, on se fait des caresses, les yeux sont doux, tendres, amoureux et, en général on finit par s'endormir.
Mais ce soir là il voulait absolument parler de la Colombie. J'ai dû lui raconter encore une fois mon voyage à Bogota, le faire rêver.
-t'es content que j'ai organisé ça hein mon chéri ?
-bien sûr que je suis content, tu sais que j'irais partout avec toi.
-tu crois qu'on pourra faire des partouzes avec les colombiens ?
-je croyais qu'on allait visiter ?
-oui un peu… mais moi c'est le latino que j'aimerais bien visiter et vérifier l'article du magazine parce que si c'est faux! ils vont m'entendre!
-ton petit cul si accueillant n'a jamais reçu la visite d'une queue latino ?
-ben j'en ai pas le souvenir, en tout cas pas depuis que je te connais.
-eh bien je pense qu'on va pouvoir remédier à ça.
Le mois qui nous séparait du départ est vite passé et le 4 juin au matin on était à l'aéroport prêt pour l'embarquement.
Il était une fois une petite ville de Colombie du nom de Cúcuta, située à la frontière avec le Venezuela, belle petite ville provinciale qui a attiré mon attention lors de la fuite du peuple vénézuélien vers la Colombie, cette ville était un des points de fuite, comme un des points où la nourriture entre.
J'avais lu des reportages très tristes sur cette situation désolante et des images de familles fuyants un pays, leur pays.
J'avais trouvé les paysages magnifiques et les colombiens interviewés très impliqués dans la situation. Beaucoup de jeunes prenaient soins des vénézuéliens qui arrivaient et j'avais fait la remarque à Louis mon chéri et amant de cœur qui m'avait demandé si les colombiens m'attiraient.
-j'en connais déjà quelques uns mon chéri.
Bien sûr qu'il avait fallu que je lui raconte cette histoire et la Colombie, Cúcuta sont tombés dans l'oubli.
Jusqu'au jour où mon chéri qui lit sur le net une revue gay m'appelle comme si il y avait une catastrophe.
-Fabrice viens voir, c'est fou!
-c'est la guerre ?
-mais non… mais y'a un mois ou deux, c'est bien toi qui m'a parlé de Cúcuta en Colombie ?
-oui la ville de passage des vénézuéliens si je me souviens bien.
-eh bien y'a pas que ça dans cette bonne ville, regarde.
Il avait son sourire coquin et gourmand aux lèvres.
Quand j'ai vu qu'il regardait son magazine gay préféré, je m'attendais à tout sauf à ça.
Il me montre un titre..
"VILLE DE L'ANNEE : CUCUTA, la ville où se trouvent le plus grand nombre de beaux latinos aux sexes démesurés"
J'éclate de rire.
-et tu crois ça ? dis je en riant.
-ben regarde y'a des photos et tu vois bien qu'il n'y a que de belles queues quand même.
Effectivement, les photos qui accompagnaient l'article étaient magnifiques. Ils n'avaient pris que des latinos avec des sexes démesurés et je voyais bien que cela faisait fantasmer Louis.
-qu'est ce qui te dit qu'ils sont tous de la ville ? y'a leur adresse ?
-rho mais t'enlève toute la magie de l'article en disant ça, bien sûr qu'ils sont tous de là-bas, j'en suis sûr…
-eh bien mate mon chéri, c'est moi qui vais en profiter.
Faut dire que Louis est un gourmand, on vit ensemble depuis presque 10 ans maintenant, d'ailleurs on va fêter nos dix ans cette année et j'avais envie qu'on le fête dignement tous les deux. J'avais pensé à un voyage, prendre 15 jours et aller s'aimer encore plus au bout du monde maintenant que ce p... de COVID s'était un peu calmé.
Avoir Louis dans son lit, c'est magique. Je n'ai jamais eu de copain si câlin, si doux, si tendre, si passif, tout ce qu'il aime c'est avoir une queue dans son petit cul gourmand et des grosses de préférence. La mienne lui va bien dit il. Il la vénère tous les soirs me faisant rire. Mais de temps en temps il devient intenable et faut aller draguer un mec pour le mettre entre nous deux. Avoir deux bites pour lui tout seul, c'est un de ses nombreux péchés à mon chéri. Je ne peux pas vous les énumérer tous mais sachez que tous, sont en rapport avec le sexe.
Ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas tous les deux ou à plusieurs.
Je suis un peu fainéant pour organiser un voyage et, depuis quelques temps, je voyais Louis toujours penché sur son ordi qui me cachait ce qu'il faisait quand je m'approchais. Je râlais pour la forme, lui demandant s'il avait un amant.
-ah un amant! et je le verrais quand ce pauvre homme ? dit il en haussant les épaules.
-ben je te vois pas de la journée je te fais remarquer.
-oui peut être, mais c'est pas moi qui sent l'autre mec quand il rentre à la maison.
-oh tu vas pas recommencer j'avais fait la bise à un copain.
-bien sûr et il avait dû tomber dans le flacon de parfum le pauvre!!
J'aime bien quand il fait son jaloux alors qu'il ne l'est pas du tout.
Mais quelques semaines plus tard, j'ai trouvé au courrier une grosse enveloppe adressée à Louis avec le tampon du Consulat de Colombie à Paris.
J'ai tourné et retourné l'enveloppe en finissant par me dire.
-si ça se trouve il est capable d'avoir écrit au consulat pour savoir si à Cúcuta il y a des beaux mecs!
Je riais tout seul et je laissais l'enveloppe sur la table.
Quand il est rentré, il a pris l'enveloppe sans un mot, en me regardant avec son petit sourire coquin, est venu me faire la bise, parler de notre journée et il a filé prendre une douche sans avoir ouvert l'enveloppe.
Il s'est installé confortablement dans un fauteuil du salon pour ouvrir son enveloppe et lire attentivement tout ce qu'elle contenait. Je faisais semblant de ne pas m'intéresser mais la curiosité me bouffait et je voyais bien qu'il me jetait des coups d'œil et qu'il souriait le bandit.
Ce n'est que le soir en dînant que j'ai posé la question.
-alors tu vas mener l'enquête à Cúcuta ?
-on va mener l'enquête tous les deux mon chéri… que je t'explique tout! dit il en voyant mon air effaré.
-Je sais que tu es déjà aller à Bogota, que ce pays te plait beaucoup car je pense qu'effectivement il y a de beaux latinos. Alors comme on doit fêter quelque chose cette année, j'ai pensé qu'on pourrait aller voir du côté de Cúcuta si les journalistes ne racontent pas de conneries.
-tu veux aller voir dans les slips des colombiens ? dis je en éclatant de rire.
-ceux qui voudront bien nous montrer bien sûr… on va violer personne!
-mais t'es complètement fou, mon mec est fou!
-fou de toi ça c'est sûr, bon de toute façon c'est trop tard.
-comment ça trop tard ?
-tu prends bien, comme moi, tes vacances en juin comme d'habitude ?
-ben oui.
-donc j'ai réservé du 4 au 20 juin et on part, j'ai reçu les visas dans la lettre que tu as vu. Le vol est réservé, la voiture est louée, l'hôtel est réservé, y reste plus qu'à trouver les grosses queues que j'ai vu en photos.
Il éclate de rire devant encore mon air effaré.
-mais... t'aurais pu m'en parler quand même et si j'avais organisé quelque chose sans t'en parler, en douce comme toi ?
-toi en douce ? tu sais pas faire! et il rigole encore en se jetant sur moi.
Il s'assoit sur mes genoux, m'entourant la tête de ses bras.
-t'es content quand même ? hein ?
-bien sûr que je suis content mon bébé mais si y a pas de grosses queues à Cúcuta tu vas être déçu.
-c'est bien pour ça que je veux que tu viennes avec moi comme ça je suis sûr d'en avoir au moins une!!
On s'est embrassé comme des amoureux que l'on est. Je l'ai soulevé dans mes bras, ses pantoufles sont tombées de ses pieds. Je l'ai emmené dans la chambre, jeté sur le lit et je l'ai déshabillé en quatrième vitesse, ça pour aider il m'aidait. Je me suis mis nu également, j'ai pris ses deux jambes, ses pieds que j'ai posé sur ma queue bandée.
Mon colosse caressé par les deux beaux pieds de mon mec. Il adore me faire ça, me branler en serrant ma queue entre la plante de ses pieds. Cette partie est fine, douce, les orteils touchent le gland décalotté et de le voir s'appliquer, la bouche entrouverte, la langue de sortie léchant ses lèvres, les yeux sur ma queue… si vous saviez comme c'est bandant.
Et ce voyou finit toujours par me donner ses pieds à lécher pour que je vois bien sa queue raide couchée sur son ventre entourée de fins poils noirs corbeaux, le gland bien décalotté qui coule dans son nombril car il a une belle queue mon chéri et une belle et bonne queue au jus abondant.
Pendant que je lèche un de ses pieds, ses orteils, l'autre pied me caresse le ventre, monte aux tétons qu'il gratte de son gros orteil et son sourire éternel de coquin vicieux.
Je repousse les cuisses sur son torse ouvrant ses belles fesses recouvertes d'un duvet, mais la raie est rasée, toujours impeccable. Faut le voir faire dans la salle de bain, plié en deux se regardant dans la glace.
J'adore lui bouffer son petit cul, sentir l'anus s'ouvrir sous ma langue, il n'a pas les fesses tellement rebondies, si bien que je peux faire entrer ma langue dans son petit trou et caresser l'intérieur sur un bon centimètre. Lécher l'intérieur de son mec, son amant, son amour c'est divin! et sentir qu'il s'offre c'est encore meilleur.
Son anus s'ouvre rapidement comme s'il reconnaissait ma langue. Mes doigts qui l'aident à rester ouvert.
J'ai mal à la queue tellement je bande.
Je pointe mon gland à l'ouverture et fixe Louis dans les yeux qui disent:
-j'attends mec!
Des yeux vicieux que j'adore, une belle couleur marron clair, douce, tendre.
Je m'appuie sur ses cuisses en me penchant sur lui, je sens mon gland avancer lentement et j'investie les lieux qui m'appartiennent quand même un peu maintenant, lentement, dégustant chaque millimètre, et appréciant son regard de mec dominé et qui aime ça.
Quand le gland est entré, sous un petit cri, je donne un bon coup de reins et le monstre se faufile au fond de ce bon cul qu'il connait bien arrachant non pas des cris, mais des gémissements. Louis a fermé les yeux et se lèche les lèvres.
Je le baise comme il aime, vite et profond. Il gémit, râle, cri, gueule, hurle car je ne le ménage pas du tout mais il aime ça ce coquin!
Et je fais durer le plaisir, notre plaisir. Je le vois essayer de venir se toucher la queue, je lui fais les gros yeux, il ferme les siens en souriant et attend le moment où je vais jouir, jouir de longues giclées chaudes au fond de lui et m'écrouler dans ses bras, sentir ses jambes se refermer sur mon corps, ses bras m'envelopper et m'embrasser à perdre haleine et, souvent, comme ce fût le cas ce soir là, il ondule plusieurs fois du bassin en donnant de petits coups de reins et il joui entre nos corps en m'enfonçant sa langue au fond de la gorge.
-je voulais te sucer mon bébé.
-rho mais t'es trop long aussi dit il en riant. Mais tu peux faire le nettoyage si tu veux. Tu sais, tu te mets tête bêche et on fait le nettoyage ensemble, un 69 ça s'appelle. Tu connais bien quand même ? un grand garçon comme toi ?
Sortir de son cul chaud, pour que ma queue retrouve sa bouche. Le lécher partout sur le ventre, et nettoyer sa belle queue. La tenir en main et le sucer méthodiquement pour la sentir se raidir encore plus, la tenir fermement et accentuer la pipe, l'entendre gémir, le piper plus rapidement encore. Voir le gland changer de couleur, raidir. L'enfoncer au fond de ma gorge, serrer les lèvres dessus, entendre Louis crier et recevoir ma récompense du soir pour recommencer le nettoyage pendant qu'il soupire de bonheur me léchant toujours la queue.
Puis c'est le quart d'heure tendresse, serré l'un contre l'autre, on se regarde comme si on se découvrait chaque soir, on se fait des bisous, on se raconte des trucs, on se fait des caresses, les yeux sont doux, tendres, amoureux et, en général on finit par s'endormir.
Mais ce soir là il voulait absolument parler de la Colombie. J'ai dû lui raconter encore une fois mon voyage à Bogota, le faire rêver.
-t'es content que j'ai organisé ça hein mon chéri ?
-bien sûr que je suis content, tu sais que j'irais partout avec toi.
-tu crois qu'on pourra faire des partouzes avec les colombiens ?
-je croyais qu'on allait visiter ?
-oui un peu… mais moi c'est le latino que j'aimerais bien visiter et vérifier l'article du magazine parce que si c'est faux! ils vont m'entendre!
-ton petit cul si accueillant n'a jamais reçu la visite d'une queue latino ?
-ben j'en ai pas le souvenir, en tout cas pas depuis que je te connais.
-eh bien je pense qu'on va pouvoir remédier à ça.
Le mois qui nous séparait du départ est vite passé et le 4 juin au matin on était à l'aéroport prêt pour l'embarquement.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nico T
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Philus, il y a 12 épisodes épiques lol
Histoire gay et gaie. Le voyage en Colombie risque d'être chaud, on attend la description des queues recherchées.