Les monstres de Cúcuta 2/12

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Les monstres de Cúcuta 2/12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les monstres de Cúcuta 2/12
Embarquement, vol, tout c'est bien passé, on a dormi un maximum dans l'avion. A l'arrivée le passage en douane s'est fait facilement et nous avons récupéré la voiture de location, un 4x4 dernier cri.
J'étais un peu éberlué devant un tel engin et, quand j'ai fait la réflexion à Louis, il m'a dit que pour faire les 500 km il fallait compter 15 heures d'après le site. Il avait préféré prendre un véhicule adéquat, pensant que la route devait ressembler plus à un chemin.
Mais conduire dans Bogota n'est pas une sinécure. On se plaint de Paris mais ici c'est à se demander s'il existe un permis de conduire, faut foncer a dit Louis!

Deuxième bon point pour mon chéri, la réservation de l'hôtel avait bien été retenue et nous avions hâte de nous coucher même si on n'avait rien fait de la journée.
On a dîné rapidement dans un petit restaurant, et fait un tour dans le quartier. J'ai essayé de joindre les minets de Bogota que j'avais connu, mais les numéros étaient inconnus. Il y avait un monde fou et Louis trouvait que tous les garçons étaient beaux!

Beaux je ne sais pas, mais charmants comme les latinos toujours souriants, entraînants. On a l'impression qu'ils ont toujours envie de faire la fête.
Nous sommes allés nous coucher sagement et dormir du sommeil du juste, car le lendemain on partait de Bogota pour Bucaramanga où l'on devait faire une halte, et où Louis avait réservé un hôtel. Mais il fallait sortir de Bogota.

J'aimais voir l'entrain de mon chéri, faire le tour du 4x4 pour voir si tout allait bien, regarder sous le capot. Il n'avait jamais fait ça avec notre voiture et, quand je l'ai vu mettre un chapeau, j'ai failli éclater de rire.
-oh mais tu fais tout à fait Indiana Jones comme ça mon chéri, t'as l'intention qu'on traverse la brousse ou quoi ?
-rigole ignare, tu ferais mieux d'en mettre un toi aussi le soleil cogne fort! c'est marqué dans le prospectus.
Et nous voilà déguisé en aventuriers prêts à tous les exploits.
On a mis un temps fou pour sortir de Bogota on n'en voyait pas la fin de cette grande ville, mais on s'est retrouvé sur une grande route impeccable!!
-si c'est comme ça jusqu'au bout, on est arrivé dans 6 heures dis je me moquant.
Il ne m'a pas répondu, m'a donné son portable ouvert sur la carte avec l'itinéraire qu'il fallait suivre.
-tiens co-pilote, tu vérifies au fur et à mesure.

La belle route n'a pas duré bien longtemps. D'un seul coup tous les véhicules se sont mis à ralentir, le goudron disparaissait de la route de plus en plus et les ornières commençaient à se former. Plus on avançait moins on allait vite pour finalement se caler sur un 50 km/h dans les bons moments.
On s'est regardé en pouffant de rire.

Il fallait être attentionné à la route mais les bus nous doublaient. On voyait les voyageurs faire des bonds à l'intérieur, sautant sur leur siège.
-dis donc les poules doivent être grosses ici vu la taille des nids de poule!
-se sont des autruches oui qu'ils doivent avoir dit un Louis en riant.
Enfin on avançait cahin-caha.
Vers 13 heures on s'est arrêté déjeuner dans un petit restaurant à Tunja.

Depuis quelques kilomètres la forêt était de plus en plus dense. Les véhicules se faisaient de plus en plus rares et l'idée que j'avais en me disant "mais qu'est ce qu'on fout là!!" me traversait souvent l'esprit. Mais de voir Louis si heureux de conduire le 4x4, me sourire, me caresser la cuisse de temps en temps, n'arrêtant pas de me demander "ça va ?" "pas trop secoué?"
Mais j'étais bien content de m'arrêter un peu.

Louis a révisé son espagnol avec les serveuses du restaurant, les faisant rire et on a eu droit à des œillades incendiaires qui nous ont bien fait rire. Mais Louis avait réussi à savoir que nous arriverions à Bucaramanga qu'en fin de journée car la route n'était pas très agréable.
-Eh bien ça promet! m'a dit Louis après la traduction de ce qu'il venait d'apprendre.
Il fallait aussi se faire à la monnaie locale, le peso colombien… 1 euro vaut plus de 5000 pesos colombien.

On a repris la route et le paysage est devenu de plus en plus magnifique, très dense, mais très vallonné également, avec le soleil et la chaleur, on était bien en vacances.
On roulait plus facilement à 50 km/h, si bien qu'on avait le temps d'admirer le paysage et la surprise de voir des gens marcher le long de la route.
Les bus nous doublaient toujours à pleine vitesse.
Cela faisait un moment qu'on avait pas vu de marcheurs, quand on détour d'un virage un jeune mec, sac à dos, s'est tourné et à fait le geste connu dans le monde entier et Louis s'est arrêté!

Il a commencé à parler en espagnol avec le jeune latino. Je regarde Louis et je vois ses yeux briller. Quel coquin celui-là quand même.
Et, le jeune mec monte à l'arrière, tout sourire parlant en espagnol.
Louis me regarde.
-il va juste dans la même ville que nous, faut bien s'entraider quand même.
-mais oui mon chéri je te crois…!
-oh fait la voix du latino, vous êtes français ?

Si vous aviez vu la tête de Louis, regarder le latino… cela voulait dire quoi ?
-y va pas me dire qu'il est français celui là quand même!
-oui! j'ai répondu à la question du latino et toi ?
-moi je suis colombien, je vais dans ma famille à Bucaramanga pour les vacances.
-tu parles bien le français.
-j'étudie le français à Bogota depuis maintenant 7 ans dont 3 ans à l'université et je suis allé l'année dernière en France pendant deux mois pour me perfectionner. Je suis heureux de vous rencontrer moi c'est Diego!
On a fait les présentations et Diego n'arrêtait pas de parler. On a eu droit à un vrai cours de géo politique, il était vraiment charmant.
On s'est arrêté boire une bière colombienne et continuer de papoter. Quand il a su dans quel hôtel on allait à Bucaramanga, il a éclaté de rire en disant que c'était à 200 mètres de chez ses parents, qu'il allait les prévenir et que ce soir on dînerait chez lui.

J'ai observé Diego avec plus d'attentions pour voir que c'était un beau petit latino de 23 ans, trapu, peau bronzée, cheveux courts noirs comme un corbeau, une petite moustache naissante sous le nez, de belles lèvres. Comme les latinos il était très tactile quand il parlait.
Quand il a su qu'on se rendait à Cúcuta pour passer nos vacances, j'ai vu dans ses yeux un air coquin passer et ses yeux n'arrêtaient pas de nous dévisager, nous détailler, je l'ai surpris à regarder nos entre jambe plusieurs fois, souriant quand il se voyait pris sur le fait.
-toi mon bonhomme j'ai pensé tu dois aimer la bite.

Mais il a continué à parler en français, nous disant que c'était très bon pour lui et nous demander.
-mais vous allez voir quoi à Cúcuta ?
-ça c'est une idée de Louis qui veux vérifier certaines choses sur place dis je malicieusement.
-il veut vérifier quoi ? tu sais dans cette ville, y'a beaucoup de remue ménage compte tenu de sa proximité avec le Venezuela, un brassage de population mais la ville en elle-même est banale dit Diego.

Louis a pris le taureau par les cornes, s'est arrêté le long de la forêt dense.
-je vais te montrer quelque chose dit Louis, je ne sais pas si tu as compris, mais nous sommes gays tous les deux et voilà ce que j'ai trouvé dans une revue française.
Il montre à Diego la page où les sexes démesurés de la ville sont vantés.
Lorsque Diego voit la page, il part d'un grand éclat de rire en regardant Louis.
-et tu l'as cru ?
-justement c'est pour ça qu'on est là ? dit Louis un peu têtu.
-et tu vas faire comment ?
-je sais pas encore mais on verra bien. Mais c'est pas vrai cette histoire?

Il y avait toute la misère du monde dans la question.
-mais Louis tous les latinos ont une grosse bite, il n'y a pas besoin d'aller à Cúcuta dit Diego souriant.
Louis que rien ne démonte.
-alors tu veux nous dire que même toi tu as une grosse queue ?
Et Diego repart à rire en se tordant sur le siège arrière.
-c'est la première fois que je me fais draguer ainsi par un mec, vous êtes impayables tous les deux!
-t'as pas répondu à ma question Diego! dit Louis de son air vicieux.

Diego lui a pris la main et l'a collé sur son entre jambe.
-tiens! touche ça te donnera un aperçu beau français.
Je vois un Louis, se tourner carrément et tâter sans vergogne le pantalon de Diego et l'entre jambe se met à grossir, les yeux de Louis s'arrondissent. Il baisse la fermeture éclair, sa main disparait dans le pantalon et Louis siffle d'admiration en me regardant.
-t'es né à Cúcuta ? demande Louis sérieusement.

Diego continue de rire, et dégrafe le bouton qui retient son pantalon. La main de Louis enfouie dans le boxer sort la belle queue qui s'étale sous nos yeux.
Diego dépasse largement les 20 cm. Une belle queue bien épaisse, marron claire, au gland pointu, au méat ouvert posée sur l'avant bras de Louis qui la tient par les couilles.
-on devrait passer de bonnes vacances mon chéri dit Louis en me regardant, les lèvres humides par sa langue.
-je peux la goûter demande t-il à Diego en le regardant.
Diego se redresse et tend sa queue vers Louis qui sans façon se penche et lèche de tout son long la belle queue offerte. Comme c'est un gourmand, il ne fait pas que la lécher et l'avale assez rapidement pour entendre Diego gémir de plus en plus fort en fermant les yeux.

Je tends ma main vers sa joue que je caresse, il se laisse faire. Je me mets à genoux sur la banquette et approche sa tête de la mienne. Son sourire est très agréable et nos lèvres se rencontrent pour la première fois, nos langues font connaissance et je reconnais le savoir faire du latino, je me sens transporter quelques années en arrière lors de ma visite à Bogota.
Louis n'arrête pas de pomper le beau Diego qui me donne sa langue à sucer en même temps que sa main me tâte la queue à travers mon jean. Il réussit à me sortir la queue et me branle en cadence.

C'est lui qui jouit le premier dans la bouche de Louis qui se délecte de sa première pipe latino et de voir mon mec heureux, je sens la sève monter rapidement et, en criant je lâche la première giclée qui tombe sur le visage de Louis qui embouche immédiatement ma queue pour ne rien perdre.
Quand il se redresse il a du sperme sur le visage, avec Diego on le lèche et on lui donne nos langues.
-et toi ? demande Diego.
-j'ai eu ce que je voulais mais j'espère que ce soir vous allez vous occuper de moi tous les deux dit Louis sérieusement.
-mais c'est un ogre ton mec! dit Diego en riant. T'as raison, faut se dépêcher quand même car on a encore de la route.

On est arrivé chez les parents de Diego juste pour dîner. On est allé à l'hôtel pour dire qu'on était là, on a mangé de bonnes choses, on a été reçu chaleureusement et Diego nous a accompagné à l'hôtel pour voir si on était bien logé.
Le gardien n'a fait aucune remarque en voyant qu'on était trois.
A peine entrés dans la chambre que Louis était déjà nu se faisant admirer de Diego qui n'en perdait pas une miette.

Il connaissait les français, il connaissait leur gentillesse, leur turpitude en sexe qu'il avait très apprécié lors de sa visite. Il nous avait raconté tout cela lors du voyage.
Mais c'est vrai que de voir Louis nu.
Diego n'a pas mis longtemps à se déshabiller et nous montrer tous ses trésors. Il était beau habillé mais alors nu, un corps trapu, musclé, bronzé naturellement, une chute de reins, avec des fesses fermes et bien bombées comme je les aime. Bien que très brun il était imberbe pratiquement, sauf au sexe où la pilosité était abondante remontant dans la raie des fesses.

C'était Louis qui avait l'air de l'intéresser le plus. Il s'est presque jeté sur lui pour l'embrasser, le caresser, passer ses mains partout.
Je suis venu me coller à eux, avoir Diego au milieu de nous.
J'ai collé ma queue sur ses belles fesses, passant mes mains sur ses tétons qui avaient durci pour les caresser, les pincer, les tourner entre deux doigts, arrachant des gémissements. La bouche de Louis est vite descendue vers la queue de Diego, qui a poussé un long soupir quand sa queue fût au chaud dans la bouche de mon chéri, redressant la tête, pour la coller dans mon cou, m'offrant ses lèvres.

Je faisais bouger ma queue dans sa raie, il ne cherchait pas à l'esquiver.
-tu vas être le premier latino de mon mec je te l'offre comme il s'offre lui-même, baise le comme un vrai latino et moi je te baiserais en même temps… si tu veux bien!
-bien sûr que je veux bien! si son cul est aussi bon que sa bouche.
-encore meilleur Diego! encore meilleur…
Il rigole en m'embrassant.

Louis va se mettre à quatre pattes sur le lit, juste au bord et regarde Diego.
-tu vas être mon premier latino Diego, alors fais moi ça bien que je n'oublie jamais.
Quel air vicieux il avait en disant cela! je ne le reconnaissais plus mon Louis.
Il écarte de lui-même ses belles fesses nous montrant son anus déjà ouvert.
-je veux lui manger le cul d'abord dit Diego se penchant en m'offrant le sien.

Le voilà parti de déguster le cul de Louis, qui ne peut s'empêcher de pousser de petits cris en marmonnant que c'est bon.
je prends mon temps avec le cul latino ainsi offert. Des fesses dures, chaudes que j'écarte, pour voir une raie poilue de fins poils noirs laissant voir un anus rosé, plissé qui palpite au milieu de ses belles fesses. Je les écarte, crache sur l'anus et, aussitôt je lèche et j'ai deux mecs qui gémissent ensemble.
Je lèche, je fore, j'inonde, je doigte doucement, puis plus fortement avec deux doigts. Il a déjà pris des bites le mec!
Mais je sens qu'il est impatient d'enculer Louis qui n'attend que ça!

Il se redresse, je laisse deux doigts dans son beau cul et j'avance la tête pour voir sa belle grosse queue qui va faire gueuler un Louis qui s'offre. Son petit cul est bien ouvert, tout humide. Diego décalotte bien sa belle queue et pose le gland pointu devant l'entrée. On se regarde tous les deux… on sourit, je lui fais un clin d'œil et d'un coup de reins, je vois son gland disparaître rapidement dans le cul de Louis qui gueule quand même assez fort.

Je vois que Diego est heureux. Je bouge mes doigts dans son cul, il gémit et continue d'investir le cul de Louis qui ne demande que ça.
Et aussitôt il commence des va-et-vient de plus en plus rapide, s'enculant sur mes doigts. Je le laisse faire pendant un moment et quand je viens derrière lui pour le prendre aux hanches et poser mon monstre sur son anus, il ne bouge plus me laissant l'investir. En fait il se recule sur ma queue et grogne, crie quand elle prend possession des lieux.

il connait la musique Diego. Louis bloqué devant, moi bloqué derrière. C'est lui qui a le plus de plaisir et il ne se fait pas prier plus longtemps, en plus c'est un endurant le mec! autant il ne lésine pas dans ses coups de reins dans Louis qu'il reçoit ma queue de la même façon et ça dure une éternité. Je lui triture les tétons en même temps et de temps en temps je lui mords la nuque.

C'est lui qui joui en premier. Je le comprends quand ses fesses bloquent ma queue comme dans un étau ce qui me fait éjaculer également. Quand j'ai terminé, il reprend ses va-et-vient lentement, puis de plus en plus vite faisant râler Louis, puis gueuler, je le vois s'aplatir encore plus sur le lit, offrant encore plus son petit cul que Diego comble encore tout en se faisant combler le sien par ma queue qui a repris sa vigueur et nous voilà reparti pour la deuxième tournée, qui dure encore très longtemps. On entend plus que les claquements sur les fesses, et les gémissements puis Diego et moi on joui en même temps, il m'offre ses lèvres, j'offre ma langue.
Il se retire de Louis, je me retire de Diego et, ensemble on se jette sur sa queue qui n'arrête pas de couler.
-j'adore la bite française dit Diego en avalant celle de Louis ravi.
On a partagé sa bonne queue et Louis n'a pas tardé à jouir abondamment comme d'habitude pour le plus grand bonheur de Diego qui ne semblait pas vouloir partager le nectar de mon mec.

C'est Louis qui s'est retrouvé avec un mec dans chaque bras, nous faisant des bisous, souriant, heureux le pacha!
-alors monsieur le touriste français ? content de ta première queue latino ? demande Diego en riant.
-y'a rien à dire dit Louis, mais pour être sûr il va falloir que je compare avec d'autres.
-vous restez combien de temps à Cúcuta ?
-une dizaine de jours peut être dit Louis.
-si je viens passer quelques jours avec vous, je connais l'endroit. Je sais où il faut aller pour trouver des mecs, où c'est tranquille, où il ne faut pas mettre les pieds et je connais quelques beaux mecs latinos qui aiment les touristes.
-donc tu ferais notre guide particulier ? demande Louis.
-oui si ça ne vous dérange pas.
-mais on pourra pas te payer.
-mais je me vengerais sur ton cul Louis je l'adore ton beau cul mec! il prend bien la queue latino tu sais!
-je crois que mon cul est universel… dit Louis songeur, en embrassant tendrement un Diego ravi.

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