Les monstres de Cúcuta 3/12 - histoire érotique

Louis dormait comme un pacha coincé entre nous deux, quand Diego s'est levé me disant qu'il allait chercher ses affaires pour venir avec nous et qu'on partirait assez rapidement car il y avait encore pas mal de chemin à faire, surtout en durée.

Pas le temps de faire un gros câlin, que nous étions en voiture sur la route pour Cúcuta, heureux tous les deux d'être accompagnés de Diego.
C'était vraiment un beau mec ce petit latino, souriant et intéressant dans ses histoires qu'il nous a raconté tout le long du chemin. On était vraiment au cœur de la Colombie, une Colombie rurale aux paysages magnifiques.

On a déjeuné d'espèces de sandwiches colombien à l'ombre d'une tonnelle de petit "restaurant" le long de la route.
Mais il serait temps qu'ils entretiennent un peu mieux leurs routes.
-c'est à cause de la pluie a dit Diego, car là il fait beau mais ça peu changer en peu de temps et il pleut à verse pendant des heures, pour s'arrêter et laisser le soleil revenir.
C'est vrai qu'il faisait chaud, mais pas trop, comme un été en France mais c'était l'humidité qui régnait qui était assez fatigante.

Lorsque nous sommes arrivés à Cúcuta, il faisait nuit et nous sommes allés directement à l'hôtel, un bel hôtel Fenix.
C'est Diego qui a expliqué qu'on était 3 au lieu de 2, mais cela n'a pas eu l'air de déranger l'hôtelier qui a dit que le lit était grand.
Cela allait très bien à Louis qui avait apprécié la nuit précédente.
Nous avons été nous dégourdir les jambes avant de trouver un petit restaurant. Diego n'arrêtait pas de parler prenant Louis par la taille et lui disait des horreurs à l'oreille ce qui le faisait beaucoup rire.

Durant le trajet il avait voulu que Diego regarde bien les photos qui accompagnaient l'article sur Cúcuta. Diego a confirmé qu'il s'agissait bien de latinos colombiens, mais qu'il ne savait pas s'ils étaient vraiment de Cúcuta.
Après dîner on a fait un petit tour en ville, dans le centre ville. Beaucoup de petits bars, en face souvent de petits jardins où l'on voyait des ombres entrer et sortir pas mal de jeunes mecs mais pas que.
On s'était installé, sur les conseils de Diego à la terrasse d'un petit café, buvant un vrai café colombien.
-regardez bien ce qui se passe en face ! dit Diego.

Et, ce que j'avais repéré quelques temps auparavant sur un autre petit jardin était de nouveau là.
Le jardin situé de l'autre côté de la rue était tout petit. Un portail en fer ouvert à moitié laissait entrer et sortir des mecs, que des mecs qui se mataient, se souriaient et finissaient par s'engouffrer dans l'ombre.
-on dirait les Buttes Chaumont un soir d'affluence dit Louis
-oui ou le Labyrinthe des Tuileries dis je en riant.
-oh je suis allé au Labyrinthe dit Diego et je peux vous dire que j'en ai baisé des petits culs parisiens.
-et là c'est pareil ? demande Louis.
-eh oui comme tu vois ça baise dans tous les fourrés dit Diego en rigolant
-faut qu'on aille voir ça de plus près dit Louis pensant se voir déjà à quatre pattes au milieu d'une armée de latinos.
-attend! dit Diego, tu repars pas demain et avant j'aimerais te présenter un copain, je lui ai envoyé un message en lui disant que je serais là ce soir. Il ne devrait pas tarder et, en plus il parle le français moins bien que moi mais il se défend le garçon… tiens le voilà!

Sur le trottoir, arrive vers nous un jeune latino colombien, en claquettes, jean, tee-shirt flottant, des cheveux noirs mi-longs qui flottent en cadence de ses pas, sourire aux lèvres en reconnaissant Diego, qui se lève et les voilà à se faire la bise, se serrant l'un contre l'autre à moultes reprises. Ils parlent en espagnol a une rapidité et je vois Louis qui les regarde ébahi.
-je vous présente Javier, colombien pure souche, beau comme un Dieu. Il connait tout de Cúcuta et sera utile dans tes recherches Louis dit Diego en riant.

Louis tend sa main à Javier.
-Javier je te présente Louis, un beau français pas farouche et son ami très proche Fabrice ici présent.
La poigne de main de Javier est franche et chaude, accompagnant un sourire heureux.
Il s'installe avec nous et mon chéri commence à poser des questions. C'est Javier qui répond, un français hésitant au départ, mais ses leçons doivent lui revenir au fur et à mesure qu'il parle car il devient volubile et, comme Diego très tactile.
Il raconte sans pudeur que Diego et lui sont amants depuis longtemps et qu'il est toujours heureux de le revoir car c'est un amant merveilleux qui sait se servir de ce qu'il a entre les jambes.
-je te confirme a dit Louis avec son sourire vicieux… mais toi ? c'est pareil… ?

J'ai cru que Javier allait être gêné devant la question, mais non, tout sourire.
-moi oh tu sais je pense que je suis comme toi, j'aime trouver des mecs qui ont de grosses bites, c'est bien comme ça qu'on dit en français ? dit il en riant.
-je confirme dit Louis alors tu es le mec que je cherche depuis que nous sommes arrivés.
Là Javier a été étonné..
-moi ? tu me cherchais ?
-oui apparemment tu connais tout dans ta ville… tu parles français, alors voilà je vais te montrer un article de journal paru en France.

Ca pour être tenace, il est tenace mon chéri.
Il cherche sur son portable la page qu'il a mis de côté et tend son portable à Javier, interloqué quand même.
Je vois ses yeux s'éclaircir, un sourire se dessine sur ses lèvres et, comme Diego il part d'un grand éclat de rire.
-pourquoi tu rigoles ? demande Louis quand même un peu vexé.
-eh bien je vais te raconter Louis… je rigole car, quand le journaliste est venu dans notre ville, recherchant les endroits gays de la ville et, ce n'est pas ça qui manque, il est tombé sur Léonardo et moi, Léonardo c'est un ami gay. Il nous a dragué et on l'a baisé, c'est ce qu'il voulait. Il a voulu connaître encore du monde, alors on se l'ai refilé de mecs en mecs et il a avalé toutes les bites latinos. Nous lui avons fait croire que c'était dans notre ville qu'il y avait les plus grosses bites du monde que tous les latinos étaient bien pourvus. Alors il s'est donné à fond dans son enquête et il s'est fait enculer par tous ceux qu'il a rencontré.
-alors les photos de son reportage sont vraies dit Louis en prenant le portable des mains de Javier.
Il fait apparaître les photos et les tend à Javier.
-oh mais c'est mon ami Léonardo là… tu vois Louis comme mon copain est beau! il va être content d'être vu en France.
-tu vois me dis Louis en me tenant la main, j'avais raison!! je suis content…!

Il me saute au cou comme un gamin a qui l'on vient de faire un gros cadeau et me roule une pelle, se tourne vers Diego et lui en fait autant.
-et moi ? dit Javier j'ai droit à rien ?
Il a droit à son bisou également.
-et les autres photos ? tu connais ? demande un Louis encore plus gourmand.
Javier reprend le téléphone et fait défiler les photos.
-oh la la mais se sont tous des mecs d'ici… Alexandro, Enrique, Victor, Emilio ils sont tous là! j'en reviens pas dit Javier.
-et toi ? tu n'y es pas ? demande Louis.
-je n'avais pas voulu me faire prendre en photo, mon cul oui, mais pas de photo dit Javier en riant.
-et... euh… dit Louis que je vois arriver, on peut les voir où ces garçons ?
-vous êtes là pour combien de temps ?
-une bonne semaine dit Louis bavant presque.
-alors Louis, je vais t'organiser ça.
Si vous aviez vu la pelle qu'il a roulé à Javier qui était devenu tout rouge.

Des applaudissements venant des autres tables se sont fait entendre et, sans se démonter, Louis les a regarder, tout sourire, et, comme un comédien les a salué en baissant la tête faisant rire tout le monde.
-t'en fais pas me dit Javier, il n'y a que de bons mecs ici dans ce bar et tous gays ou bi comme beaucoup de latinos peuvent te dire.
-et ce n'est pas vrai ?
-certains si, mais quand ils disent qu'ils sont bi c'est plutôt qu'ils sont passifs et se font baiser le plus souvent possible.
-mais c'est une drôle de ville Cúcuta, dis je.
-et attend si tu vas près de la frontière, vers le rio Pamplonita là ou les vénézuéliens se baignent ils cherchent aussi à se faire baiser sur certaines plages c'est vraiment le bordel à ciel ouvert.
-oh dit Louis qui a suivi la conversation, on ira voir ça ?
-je te le déconseille mon ami, c'est très dangereux. Les vénézuéliens, n'ont rien, pas un sou, sont agressifs et ne cherchent qu'à voler pour survivre. Tu sais ils n'ont plus rien du tout.
Un silence s'était fait.

Diego s'est remis à parler en espagnol avec Javier, qui opinait de la tête puis se tournant vers nous.
-j'ai à faire ce soir mais on se retrouve demain pour dîner Diego vous amènera là où il faut et Louis je te ferais ta première surprise.
Avec Diego on s'est regardé en souriant… de vrais gamins on pensait!
Javier a disparu comme il était arrivé.
-je prendrais bien une douche a dit Diego.
-et moi ta bite dans mon petit cul répond Louis en souriant.
-alors je veux celle de Fabrice répond Diego!
Voilà le menu était fait pour la fin de soirée.

C'est vrai que le lit de la chambre était grand, pas autant que la douche si bien qu'on tenait qu'à deux et je me suis retrouvé dessous avec Diego dans les bras m'offrant ses lèvres, sa langue, ondulant de son corps chaud et doux contre le mien, faisant rouler nos queues l'une sur l'autre devant Louis qui était à genoux et nous caressait, les yeux coquins.
On s'est frotté, lavé, rincé et on a laissé la place à Louis. On l'a aidé à laver ses trous. Il tendait bien son petit cul aux doigts de Diego se penche en avant et avale ma queue qui n'avait pas visité son cul depuis deux jours! une éternité quand même!
On s'est séché rapidement pour s'allonger sur le lit. Louis au milieu et on s'est occupé de lui. On l'a bouffé tous les deux ensemble, mordant ses tétons proéminents, les pinçant, léchant son corps, suçant sa queue en se la partageant, bouffant les couilles, le faire mettre à quatre pattes et l'ouvrir de nos doigts, deux doigts chacun, rien que pour l'entendre gueuler.

Diego avait sa belle queue collée aux fesses de Louis. J'ai pris un grand plaisir à lui préparer, l'avaler, la lécher, la sucer et l'entendre gémir pendant qu'il doigtait encore plus profond le cul de Louis.
Puis il avait vraiment faim Diego si bien qu'il a enculé Louis assez rapidement et voir mon chéri se prendre une belle queue, se redresser en hurlant, m'obligeant de mettre ma main sur sa bouche, puis de lui présenter ma queue qu'il a tétée comme un bébé m'avalant toute la tétine.
On l'a baisé en cadence. Je regardais ce beau latino lutiner mon chéri, quelle belle allure il avait quand même ce mec!
Je me suis rappelé ce qu'il voulait mais j'étais bien dans la bouche de Louis.
Se sont les yeux implorants de Diego qui ont raison de moi. Il a souri quand il m'a vu venir derrière lui, me coller à ses fesses, l'embrasser dans le cou, m'offrir ses lèvres en disant "baise moi"!
C'était demandé si gentiment…

Je l'ai fait pencher en avant, lui ouvrant bien ses belles fesses et le même paysage que la veille est apparu. Je l'ai doigté de suite, son cul s'ouvrait bien, à croire qu'il s'était doigté alors j'ai présenté ma grosse queue, posant le gland bien décalotté sur l'anus.
C'est Diego qui a fait tout le travail en gémissant, criant au fur et à mesure que ma queue prenait possession des lieux et quand il fût bien arrimé, je me suis calé en le tenant aux fesses. Il s'est mis à baisé avec force le cul de Louis et revenait s'emmancher sur ma queue toujours bien à fond et, comme la veille, j'avais deux mecs qui gueulaient en même temps.

On était pourtant excité mais Diego a fait durer le plaisir, il s'est redressé pour coller son dos sur mon torse puis a fait se redresser Louis qui gémissait encore de sentir la queue de Diego s'enfoncer encore plus loin.
-demain soir à mon avis Louis, tu vas chanter encore plus fort dit Diego en riant. Tu veux avoir de grosses bites, je pense que Léonardo va te faire plaisir.

Louis gémissait encore plus fort ravi de cette aubaine ma petite salope.
-et toi Fabrice, dit Diego, Javier m'a dit que tu lui plaisais beaucoup, il a voulu savoir tout plein de choses sur toi que j'ai dites d'ailleurs dit Diego en riant.
-mais t'es un voyou le latino colombien, tu nous a vendu alors ? et toi ?
-oh moi je m'en fais pas tu sais, je vais bien baiser et me faire baiser!
-déjà maintenant…!

J'ai saisi les hanches de Diego et j'ai pratiquement sorti ma queue pour la faire revenir d'un coup sec, le projetant encore plus fort dans le cul de Louis qui se retrouve à quatre pattes. J'ai baisé Diego avec force. J'ai aimé son cul, énormément, comme le mec d'ailleurs.
Je donnais de tels coups de reins que j'avais l'impression de baiser les deux en même temps si bien que j'ai joui rapidement dans le cul bien chaud du latino qui a joui en suivant dans celui de Louis, me serrant la queue comme s'il ne voulait pas que je me retire.

C'est Louis qui s'est retiré, pour venir lécher la queue de Diego qui m'a libéré et mon chéri est venu faire le nettoyage avant d'être pris en mains par nous deux et de le faire jouir de tout le bon jus qu'il avait en lui.
On était en nage, les corps collaient. On s'est regardé en riant et les bisous ont repris, les caresses, les queues bandaient encore. On s'est sucé, léché. On a joui encore et encore. On a repris une douche rapide chacun notre tour, tombant dans le lit comme une masse pour s'endormir jusqu'au lendemain.