Les monstres de Cúcuta 5/12
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les monstres de Cúcuta 5/12
J'aimais la main chaude de Javier qui serrait la mienne en m'entrainant à l'étage.
Tout semblait prévu, il n'a pas hésité pour entrer dans une pièce, meublé d'un grand lit, lumières tamisées à souhaits.
Il m'attire contre lui, me serre dans ses bras, m'embrasse tendrement de ses belles lèvres chaudes.
-je vais t'avoir uniquement à moi le français, tu peux faire tout ce que tu veux de moi, je t'obéirais en tout ce que tu veux.
J'ai souri d'entendre ces mots avec son accent latino. Ses yeux brillaient dans la pénombre, et je sentais sa queue bander contre mon corps.
Je l'ai déshabillé lentement, comme pour découvrir le cadeau qui s'offrait à mes yeux, voir ce torse de faux maigre, cette peau douce, chaude, imberbe car rasée de près, ses tétons qui pointaient bien durs au centre d'aréoles brunes foncées.
J'ai caressé le torse qu'il bombait sous ma main, touché les tétons, deux minuscules bites raides qui l'ont fait gémir au toucher. Ma main remonte sur son cou, je le serre doucement comme pour l'étrangler. Au lieu de chercher à se sauver il m'offre son cou. Ma main en fait le tour laissant la place à mes lèvres qui lui font des bisous… il commence déjà à gémir.
Mes mains parcourent son dos, le collant à moi, je l'entends soupirer, ses mains me serrent également contre lui et nos lèvres se retrouvent, lentement nos langues viennent se toucher, s'observer, se tâter, se déguster avant d'entamer la danse des diables dans nos bouches.
On gémit tous les deux. Je le pousse doucement vers le lit, sans se détacher on tombe dessus, moi sur lui, ses jambes m'entourent, ses bras me serrent et sa langue aspire la mienne récupérant toute ma salive.
Quel beau bisounours ce Javier.
J'ai eu un mal fou à m'en défaire pour finir de le déshabiller.
Il était déjà pieds nus. J'ai juste eu à enlever le jean, il a soulevé ses fesses pour le laisser passer, me laisser l'admirer. Ses jambes pleines de duvet, des cuisses musclées, et le boxer, digne des mecs qui avaient fait le show ce soir, il devait y avoir un sacré morceau là-dedans.
Quand j'ai retiré ce boxer, soulevant encore ses fesses son sexe magnifique s'est élevé dans les airs. Il bandait comme un jeune cerf, j'avais envie de lui… déjà.
Il s'est tourné sur le ventre, remontant ses petites fesses bronzées naturellement, les bougeant pour me montrer qu'elles étaient souples.
Quand j'ai posé mes mains sur les fesses, son regard de soumis obéissant s'est dessiné sur ses lèvres, ses yeux semblaient m'implorer de le baiser de suite.
Mais j'ai pris mon temps pétrissant les fesses en les écartant pour voir l'anus que j'allais pénétrer. Tout était rasé intégralement, l'anus appelait ma bouche et j'ai été attiré comme un aimant.
Le cul bien tendu, bien ouvert, j'ai fait couler ma salive direct sur l'anus et j'ai léché, léché, resalivé. Qu'il était bon ce cul qui s'ouvrait telle une huitre au soleil. Plus je léchais, plus il s'ouvrait, plus Javier poussait de petits cris en poussant son cul sur ma langue.
Quand j'ai commencé avec un doigt il a gémi encore plus fort. Le gémissement ne sait jamais arrêté surtout que j'ai mis deux doigts rapidement, vissant ce petit cul si doux et chaud.
Même quand je retirais mes doigts, il restait ouvert.
Je n'ai pas mis longtemps à retirer mon jean et boxer. Javier n'a pas regardé ma queue, il a baissé la tête sur le lit, ouvrant ses fesses avec ses mains, attendant.
Ma queue raide, s'était décalottée toute seule.
Quand j'ai posé mon gros gland sur l'entrée, c'était chaud, j'ai vu le cul reculer et Javier s'est mis à parler en espagnol, râlait, gémissait en s'enfonçant tout seul sur ma queue. Je n'avais rien à faire. Je l'ai laissé faire entrer le gland comme il voulait et l'entendre crier très fort, se bloquant comme pour s'habituer.
J'en ai profité pour lui enlever les mains de ses fesses et le prendre aux hanches. Il a redressé encore son petit cul et d'un coup de reins j'ai fini de l'investir et les cris en espagnol ont repris.
J'ai caressé ses fesses, son dos et je l'ai baisé. Faire coulisser le monstre français dans le petit cul colombien, l'entendre crier, gueuler, gémir mais s'offrir tout le temps.
Ma queue coulissait facilement en lui, je sentais son conduit se fermer dessus, la serrer. J'y allais doucement, j'appréciais et lui aussi, une bonne vitesse de croisière et j'ai accéléré, à chaque fois que mon pubis frappait ses fesses, nos couilles se télescopaient et Javier poussait un petit cri.
Il a bougé, soulevant une jambe pour que j'aille encore plus profond en lui, s'est retourné sans sortir ma queue. Je n'arrêtais pas de le marteler, ça chauffait. Il râlait mais souriait tout le temps. Je sentais sa queue sur mon ventre qui se frottait.
J'étais au dessus de lui, ses jambes repliées sur son torse, il me tenait par le cou et levait la tête pour me faire des bisous pendant que je martelais de plus en plus fort ce beau cul latino, jusqu'à me bloquer et jouir en lui sentir ma première giclée inonder son conduit. Le voir rester la bouche ouverte, les yeux devenir vitreux et râler en gémissant tout le temps que je me déversais et je lui en ai offert du jus français. Je commençais à retomber sur lui quand j'ai senti son jus chaud se répandre entre nos corps. Il souriait de toutes ses dents en m'attirant à lui pour m'embrasser comme un amoureux.
Ses jambes se sont allongées quand ma queue est sortie, mais il me serrait contre lui avec toujours sa langue dans ma bouche. J'avais droit à des caresses partout. Il m'a fait tourner sur le lit pour se mettre sur moi, me prendre la tête entre ses mains et me faire plein de petits bisous partout.
-maintenant je vais te regarder partout, te découvrir voir cette belle grosse queue qui m'a bien rempli. T'as une très bonne queue le français je le savais! t'es d'accord ?
-bien sûr que je suis d'accord fais de moi ce que tu veux beau latino!
Il rigole et revient m'embrasser.
Pire que Louis dans ses meilleurs moments.
Justement, parlons de Louis… l'explorateur de latinos heureux! il l'avait son nid de latinos à grosses queues.
Il m'a raconté ce qu'il avait fait avec Léonardo, comme il dit, c'était bien la première fois que j'allais coucher avec mec en l'ayant vu à poil en premier.
Les latinos sont des bisounours. Il y en a des tendres et d'autres plus hard mais ils aiment la tendresse, les caresses.
Quand Léonardo m'a entraîné au 1er étage dans une belle chambre dans la pénombre j'avais le cœur qui battait comme un jeune puceau qui va se faire dépuceler. J'étais si content d'avoir ce beau mec rien que pour moi.
Heureusement que je parle espagnol et l'entendre me dire que j'étais un beau mec, en me déshabillant lentement, les bisous pleuvaient, les caresses. J'avais l'impression qu'il avait le double de mains.
Quand je me suis retrouvé nu dans ses bras ses yeux dans les miens, j'ai vu de la douceur, de la tendresse et il m'a dit en espagnol.
-je vais te manger petit français, tu vas être mon deuxième français et j'ai bien aimé le premier. T'es prêt à tout beau mec ?
-avec toi oui mais tu seras doux car j'ai vu en photo ce que tu as entre les jambes. Je crois que tu vas être mon plus gros morceau que j'ai eu.
Il m'a embrassé m'appuyant sur les épaules.
-alors va faire connaissance avec le Monstre de Cúcuta dit Léonardo en riant.
Je me suis retrouvé à genoux devant ce beau mec musclé, des cuisses énormes que j'ai caressé avant d'enlever le mini slip qui ne servait à rien et d'avoir le monstre me tomber sur le nez. La bouche au niveau des couilles, pas vraiment de grosses couilles, elles semblaient compactes.
Mais l'odeur du latino, l'odeur de la queue, des couilles du latino, je vous la conseille.
Je me suis énivré de la bonne odeur de bite. Elle sentait bon sa bite, les effluves étaient fortes mais très agréables. Je me suis reculé pour admirer ce gros engin. Je suis nul dans les mensurations mais imaginez que cette belle queue faisait la longueur de deux mains et mes doigts n'en faisaient pas le tour, heureusement, si je peux dire, le gland était aussi gros que la hampe.
Elle est bien droite, bien raide. Le prépuce recouvre encore le gland cela m'a fait penser à un rouleau de sopalin. Une main dessus, collée au pubis et l'autre main je décalottais lentement le gland pour le voir apparaitre, voir la peau du prépuce reculer laissant voir la peau plus foncée du gland le méat grand ouvert d'où sortait quelques gouttes de mouilles.
je l'ai caressé tendrement, l'observant comme si je voulais me rappeler de tous les détails de voir la mouille sortir me plaisait énormément. J'ai avancé la pointe de ma langue jusqu'à toucher la peau du gland dur, chaud, et j'ai fait le tour. Sa main est venue se poser sur ma tête et quand ma langue a fait le tour du propriétaire mes lèvres sont entrées en action, aspirant le gland, le léchant, le suçant.
La main de Léonardo s'est posée derrière ma tête, et appuyait doucement.
Je n'ai eu qu'à ouvrir la bouche pour sentir le mandrin latino m'envahir et peu de temps après je sentais le gland se frotter à ma luette. Certes, j'avais l'habitude avec mon chéri mais là il en restait encore autant! jamais je pourrais tout avaler!
Une question d'honneur quand même! un Français ne capitule pas devant une grosse bite!!
Qu'est ce qu'il a été doux Léonardo, il s'y est repris je ne sais combien de fois et combien de temps cela a duré mais d'avoir cette belle queue en bouche, qui mouillait abondamment était un vrai régal.
Après avoir pleuré, toussé, craché, le gland a réussi à s'engouffrer dans ma gorge, heureusement que les voies nasales étaient libres j'étais asphyxié complètement mais quel plaisir.
Je lui ai bouffé les couilles petites couilles mais bien chaudes.
Il m'a relevé, m'a pris dans ses bras, m'a remercié pour avoir si bien avalé sa queue, que peu y arrivait.
-et ton cul de français ? il va y arriver ?
J'ai rien dit, mais j'ai pensé "là y'a pas de problème"
Il m'a retourné, fait mettre à quatre pattes sur le lit et c'est lui qui m'a dégusté.
même mon chéri n'arrive pas à mettre sa langue aussi profond que l'a fait Léonardo.
Pour avoir mon cul de bouffé, ça il a été bouffé!
Je me suis senti m'ouvrir facilement sous ses coups de langue, sentir sa langue lécher l'entrée de l'anus et finalement arriver à entrer, j'avais l'impression qu'il allait très profond et j'ai gueulé, râlé, gémi comme la belle salope que je suis et que je revendique. J'aime la queue dans mon cul et là j'ai été servi.
Mais avant c'est avec deux doigts qu'il a fini de me préparer.
Quand j'ai senti son corps me recouvrir le dos, son gland se positionner, ses lèvres sur mon oreille.
-t'es prêt beau français ? je t'emmène au 7ème ciel latino colombien a dit Léonardo en riant.
Comment vous dire ce que j'ai ressenti. J'ai tellement envie de le garder pour moi, sentir le gros gland qui m'avait investi la gorge, forcer mon anus millimètre par millimètre en même temps que ça entrait en moi, la chaleur m'envahissait.
Il a parlé tout le temps à mon oreille, et me faisait des bisous dans le cou.
-ça va le français ? était son leitmotiv.
Je n'ai pas eu mal lorsque le gland est entré, aussi gros que la queue il a continué son chemin.
Je n'arrêtais pas de gémir de plus en plus fort, sentir ce gros boudin avancer en moi me remplir, remonter le boyau j'avais l'impression qu'il allait arriver à mon estomac.
Je me suis laissé envahir, ce n'était pas le plus dur.
Quand je l'ai entendu soupirer à mon oreille, soupirer de satisfaction car son pubis venait de se coller à mes fesses.
J'ai soufflé, contractant mon conduit sur ce gros machin. J'avais jamais eu de si gros truc en moi.
-t'aimes la queue toi au moins! dit il a mon oreille, voyons comment tu aimes les ramonages.
Je l'entends rigoler en se redressant, ses mains me saisissent en haut des fesses et je sens son engin bouger en moi, il le fait juste bouger comme s'il voulait me soulever, quelle sensation et je le sens reculer laissant du vide. Oh pas longtemps car il revient d'un coup sec!
Me faisant gueuler et il recommence avec de plus en plus d'amplitudes. Je gueule de plus en plus fort, je râle mais putain je me suis offert à ses coups de reins et c'est pas un fainéant Léonardo et en plus c'est un endurant. Il m'a limé à différentes vitesses, j'étais comme anesthésié par sa grosse piqûre.
Quand il m'a redressé contre lui c'est là que j'ai eu le plus mal car son bâton raide s'est avancé encore plus dans mon conduit me coupant le souffle.
Il m'a parlé tellement vite en espagnol que je n'ai pas compris ce qu'il disait.
Il m'a embrassé tendrement en me caressant le torse, passant sur ma queue qu'il a branlé rapidement puis m'a repoussé et, en deux allers retours il a ouvert les vannes. Un karcher sa queue! un karcher qui me remplissait, c'était chaud, c'était agréable comme une pommade cicatrisante et là c'est lui qui gueulait que mon cul était une merveille.
Il a mis un temps fou à se vider en moi avant de m'entraîner sur le lit, sortant lentement de moi, me regardant le trou qui laissait échapper son jus, m'a retourné sur le lit.
Il souriait, il était beau. Il m'a touché la queue, sa main douce l'a enveloppé, caressé, la relevant pour bien la décalotté. Il s'est approché pour l'observer bien en détails voir mon gland plus gros que la tige et d'un seul coup s'est jeté dessus pour l'avaler complètement, je sentais mon gland bousculer sa luette et entrer dans sa gorge et il m'a pipé toujours bien à fond! oh pas longtemps car j'étais tellement excité que j'ai joui rapidement lui offrant tout le bon jus français qui était en moi.
Il est venu sur moi, m'écrasant de son corps pour m'embrasser tel un amant comblé et me dire tout plein de choses gentilles, en espagnol c'est très musical et j'ai reçu plein de caresses, de bisous.
Et l'on s'est endormi comme ça…!
Tout semblait prévu, il n'a pas hésité pour entrer dans une pièce, meublé d'un grand lit, lumières tamisées à souhaits.
Il m'attire contre lui, me serre dans ses bras, m'embrasse tendrement de ses belles lèvres chaudes.
-je vais t'avoir uniquement à moi le français, tu peux faire tout ce que tu veux de moi, je t'obéirais en tout ce que tu veux.
J'ai souri d'entendre ces mots avec son accent latino. Ses yeux brillaient dans la pénombre, et je sentais sa queue bander contre mon corps.
Je l'ai déshabillé lentement, comme pour découvrir le cadeau qui s'offrait à mes yeux, voir ce torse de faux maigre, cette peau douce, chaude, imberbe car rasée de près, ses tétons qui pointaient bien durs au centre d'aréoles brunes foncées.
J'ai caressé le torse qu'il bombait sous ma main, touché les tétons, deux minuscules bites raides qui l'ont fait gémir au toucher. Ma main remonte sur son cou, je le serre doucement comme pour l'étrangler. Au lieu de chercher à se sauver il m'offre son cou. Ma main en fait le tour laissant la place à mes lèvres qui lui font des bisous… il commence déjà à gémir.
Mes mains parcourent son dos, le collant à moi, je l'entends soupirer, ses mains me serrent également contre lui et nos lèvres se retrouvent, lentement nos langues viennent se toucher, s'observer, se tâter, se déguster avant d'entamer la danse des diables dans nos bouches.
On gémit tous les deux. Je le pousse doucement vers le lit, sans se détacher on tombe dessus, moi sur lui, ses jambes m'entourent, ses bras me serrent et sa langue aspire la mienne récupérant toute ma salive.
Quel beau bisounours ce Javier.
J'ai eu un mal fou à m'en défaire pour finir de le déshabiller.
Il était déjà pieds nus. J'ai juste eu à enlever le jean, il a soulevé ses fesses pour le laisser passer, me laisser l'admirer. Ses jambes pleines de duvet, des cuisses musclées, et le boxer, digne des mecs qui avaient fait le show ce soir, il devait y avoir un sacré morceau là-dedans.
Quand j'ai retiré ce boxer, soulevant encore ses fesses son sexe magnifique s'est élevé dans les airs. Il bandait comme un jeune cerf, j'avais envie de lui… déjà.
Il s'est tourné sur le ventre, remontant ses petites fesses bronzées naturellement, les bougeant pour me montrer qu'elles étaient souples.
Quand j'ai posé mes mains sur les fesses, son regard de soumis obéissant s'est dessiné sur ses lèvres, ses yeux semblaient m'implorer de le baiser de suite.
Mais j'ai pris mon temps pétrissant les fesses en les écartant pour voir l'anus que j'allais pénétrer. Tout était rasé intégralement, l'anus appelait ma bouche et j'ai été attiré comme un aimant.
Le cul bien tendu, bien ouvert, j'ai fait couler ma salive direct sur l'anus et j'ai léché, léché, resalivé. Qu'il était bon ce cul qui s'ouvrait telle une huitre au soleil. Plus je léchais, plus il s'ouvrait, plus Javier poussait de petits cris en poussant son cul sur ma langue.
Quand j'ai commencé avec un doigt il a gémi encore plus fort. Le gémissement ne sait jamais arrêté surtout que j'ai mis deux doigts rapidement, vissant ce petit cul si doux et chaud.
Même quand je retirais mes doigts, il restait ouvert.
Je n'ai pas mis longtemps à retirer mon jean et boxer. Javier n'a pas regardé ma queue, il a baissé la tête sur le lit, ouvrant ses fesses avec ses mains, attendant.
Ma queue raide, s'était décalottée toute seule.
Quand j'ai posé mon gros gland sur l'entrée, c'était chaud, j'ai vu le cul reculer et Javier s'est mis à parler en espagnol, râlait, gémissait en s'enfonçant tout seul sur ma queue. Je n'avais rien à faire. Je l'ai laissé faire entrer le gland comme il voulait et l'entendre crier très fort, se bloquant comme pour s'habituer.
J'en ai profité pour lui enlever les mains de ses fesses et le prendre aux hanches. Il a redressé encore son petit cul et d'un coup de reins j'ai fini de l'investir et les cris en espagnol ont repris.
J'ai caressé ses fesses, son dos et je l'ai baisé. Faire coulisser le monstre français dans le petit cul colombien, l'entendre crier, gueuler, gémir mais s'offrir tout le temps.
Ma queue coulissait facilement en lui, je sentais son conduit se fermer dessus, la serrer. J'y allais doucement, j'appréciais et lui aussi, une bonne vitesse de croisière et j'ai accéléré, à chaque fois que mon pubis frappait ses fesses, nos couilles se télescopaient et Javier poussait un petit cri.
Il a bougé, soulevant une jambe pour que j'aille encore plus profond en lui, s'est retourné sans sortir ma queue. Je n'arrêtais pas de le marteler, ça chauffait. Il râlait mais souriait tout le temps. Je sentais sa queue sur mon ventre qui se frottait.
J'étais au dessus de lui, ses jambes repliées sur son torse, il me tenait par le cou et levait la tête pour me faire des bisous pendant que je martelais de plus en plus fort ce beau cul latino, jusqu'à me bloquer et jouir en lui sentir ma première giclée inonder son conduit. Le voir rester la bouche ouverte, les yeux devenir vitreux et râler en gémissant tout le temps que je me déversais et je lui en ai offert du jus français. Je commençais à retomber sur lui quand j'ai senti son jus chaud se répandre entre nos corps. Il souriait de toutes ses dents en m'attirant à lui pour m'embrasser comme un amoureux.
Ses jambes se sont allongées quand ma queue est sortie, mais il me serrait contre lui avec toujours sa langue dans ma bouche. J'avais droit à des caresses partout. Il m'a fait tourner sur le lit pour se mettre sur moi, me prendre la tête entre ses mains et me faire plein de petits bisous partout.
-maintenant je vais te regarder partout, te découvrir voir cette belle grosse queue qui m'a bien rempli. T'as une très bonne queue le français je le savais! t'es d'accord ?
-bien sûr que je suis d'accord fais de moi ce que tu veux beau latino!
Il rigole et revient m'embrasser.
Pire que Louis dans ses meilleurs moments.
Justement, parlons de Louis… l'explorateur de latinos heureux! il l'avait son nid de latinos à grosses queues.
Il m'a raconté ce qu'il avait fait avec Léonardo, comme il dit, c'était bien la première fois que j'allais coucher avec mec en l'ayant vu à poil en premier.
Les latinos sont des bisounours. Il y en a des tendres et d'autres plus hard mais ils aiment la tendresse, les caresses.
Quand Léonardo m'a entraîné au 1er étage dans une belle chambre dans la pénombre j'avais le cœur qui battait comme un jeune puceau qui va se faire dépuceler. J'étais si content d'avoir ce beau mec rien que pour moi.
Heureusement que je parle espagnol et l'entendre me dire que j'étais un beau mec, en me déshabillant lentement, les bisous pleuvaient, les caresses. J'avais l'impression qu'il avait le double de mains.
Quand je me suis retrouvé nu dans ses bras ses yeux dans les miens, j'ai vu de la douceur, de la tendresse et il m'a dit en espagnol.
-je vais te manger petit français, tu vas être mon deuxième français et j'ai bien aimé le premier. T'es prêt à tout beau mec ?
-avec toi oui mais tu seras doux car j'ai vu en photo ce que tu as entre les jambes. Je crois que tu vas être mon plus gros morceau que j'ai eu.
Il m'a embrassé m'appuyant sur les épaules.
-alors va faire connaissance avec le Monstre de Cúcuta dit Léonardo en riant.
Je me suis retrouvé à genoux devant ce beau mec musclé, des cuisses énormes que j'ai caressé avant d'enlever le mini slip qui ne servait à rien et d'avoir le monstre me tomber sur le nez. La bouche au niveau des couilles, pas vraiment de grosses couilles, elles semblaient compactes.
Mais l'odeur du latino, l'odeur de la queue, des couilles du latino, je vous la conseille.
Je me suis énivré de la bonne odeur de bite. Elle sentait bon sa bite, les effluves étaient fortes mais très agréables. Je me suis reculé pour admirer ce gros engin. Je suis nul dans les mensurations mais imaginez que cette belle queue faisait la longueur de deux mains et mes doigts n'en faisaient pas le tour, heureusement, si je peux dire, le gland était aussi gros que la hampe.
Elle est bien droite, bien raide. Le prépuce recouvre encore le gland cela m'a fait penser à un rouleau de sopalin. Une main dessus, collée au pubis et l'autre main je décalottais lentement le gland pour le voir apparaitre, voir la peau du prépuce reculer laissant voir la peau plus foncée du gland le méat grand ouvert d'où sortait quelques gouttes de mouilles.
je l'ai caressé tendrement, l'observant comme si je voulais me rappeler de tous les détails de voir la mouille sortir me plaisait énormément. J'ai avancé la pointe de ma langue jusqu'à toucher la peau du gland dur, chaud, et j'ai fait le tour. Sa main est venue se poser sur ma tête et quand ma langue a fait le tour du propriétaire mes lèvres sont entrées en action, aspirant le gland, le léchant, le suçant.
La main de Léonardo s'est posée derrière ma tête, et appuyait doucement.
Je n'ai eu qu'à ouvrir la bouche pour sentir le mandrin latino m'envahir et peu de temps après je sentais le gland se frotter à ma luette. Certes, j'avais l'habitude avec mon chéri mais là il en restait encore autant! jamais je pourrais tout avaler!
Une question d'honneur quand même! un Français ne capitule pas devant une grosse bite!!
Qu'est ce qu'il a été doux Léonardo, il s'y est repris je ne sais combien de fois et combien de temps cela a duré mais d'avoir cette belle queue en bouche, qui mouillait abondamment était un vrai régal.
Après avoir pleuré, toussé, craché, le gland a réussi à s'engouffrer dans ma gorge, heureusement que les voies nasales étaient libres j'étais asphyxié complètement mais quel plaisir.
Je lui ai bouffé les couilles petites couilles mais bien chaudes.
Il m'a relevé, m'a pris dans ses bras, m'a remercié pour avoir si bien avalé sa queue, que peu y arrivait.
-et ton cul de français ? il va y arriver ?
J'ai rien dit, mais j'ai pensé "là y'a pas de problème"
Il m'a retourné, fait mettre à quatre pattes sur le lit et c'est lui qui m'a dégusté.
même mon chéri n'arrive pas à mettre sa langue aussi profond que l'a fait Léonardo.
Pour avoir mon cul de bouffé, ça il a été bouffé!
Je me suis senti m'ouvrir facilement sous ses coups de langue, sentir sa langue lécher l'entrée de l'anus et finalement arriver à entrer, j'avais l'impression qu'il allait très profond et j'ai gueulé, râlé, gémi comme la belle salope que je suis et que je revendique. J'aime la queue dans mon cul et là j'ai été servi.
Mais avant c'est avec deux doigts qu'il a fini de me préparer.
Quand j'ai senti son corps me recouvrir le dos, son gland se positionner, ses lèvres sur mon oreille.
-t'es prêt beau français ? je t'emmène au 7ème ciel latino colombien a dit Léonardo en riant.
Comment vous dire ce que j'ai ressenti. J'ai tellement envie de le garder pour moi, sentir le gros gland qui m'avait investi la gorge, forcer mon anus millimètre par millimètre en même temps que ça entrait en moi, la chaleur m'envahissait.
Il a parlé tout le temps à mon oreille, et me faisait des bisous dans le cou.
-ça va le français ? était son leitmotiv.
Je n'ai pas eu mal lorsque le gland est entré, aussi gros que la queue il a continué son chemin.
Je n'arrêtais pas de gémir de plus en plus fort, sentir ce gros boudin avancer en moi me remplir, remonter le boyau j'avais l'impression qu'il allait arriver à mon estomac.
Je me suis laissé envahir, ce n'était pas le plus dur.
Quand je l'ai entendu soupirer à mon oreille, soupirer de satisfaction car son pubis venait de se coller à mes fesses.
J'ai soufflé, contractant mon conduit sur ce gros machin. J'avais jamais eu de si gros truc en moi.
-t'aimes la queue toi au moins! dit il a mon oreille, voyons comment tu aimes les ramonages.
Je l'entends rigoler en se redressant, ses mains me saisissent en haut des fesses et je sens son engin bouger en moi, il le fait juste bouger comme s'il voulait me soulever, quelle sensation et je le sens reculer laissant du vide. Oh pas longtemps car il revient d'un coup sec!
Me faisant gueuler et il recommence avec de plus en plus d'amplitudes. Je gueule de plus en plus fort, je râle mais putain je me suis offert à ses coups de reins et c'est pas un fainéant Léonardo et en plus c'est un endurant. Il m'a limé à différentes vitesses, j'étais comme anesthésié par sa grosse piqûre.
Quand il m'a redressé contre lui c'est là que j'ai eu le plus mal car son bâton raide s'est avancé encore plus dans mon conduit me coupant le souffle.
Il m'a parlé tellement vite en espagnol que je n'ai pas compris ce qu'il disait.
Il m'a embrassé tendrement en me caressant le torse, passant sur ma queue qu'il a branlé rapidement puis m'a repoussé et, en deux allers retours il a ouvert les vannes. Un karcher sa queue! un karcher qui me remplissait, c'était chaud, c'était agréable comme une pommade cicatrisante et là c'est lui qui gueulait que mon cul était une merveille.
Il a mis un temps fou à se vider en moi avant de m'entraîner sur le lit, sortant lentement de moi, me regardant le trou qui laissait échapper son jus, m'a retourné sur le lit.
Il souriait, il était beau. Il m'a touché la queue, sa main douce l'a enveloppé, caressé, la relevant pour bien la décalotté. Il s'est approché pour l'observer bien en détails voir mon gland plus gros que la tige et d'un seul coup s'est jeté dessus pour l'avaler complètement, je sentais mon gland bousculer sa luette et entrer dans sa gorge et il m'a pipé toujours bien à fond! oh pas longtemps car j'étais tellement excité que j'ai joui rapidement lui offrant tout le bon jus français qui était en moi.
Il est venu sur moi, m'écrasant de son corps pour m'embrasser tel un amant comblé et me dire tout plein de choses gentilles, en espagnol c'est très musical et j'ai reçu plein de caresses, de bisous.
Et l'on s'est endormi comme ça…!
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