Les monstres de Cúcuta 6/12
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 174 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 357 867 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 426 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les monstres de Cúcuta 6/12
Lorsque je me suis réveillé, le soleil passait à travers les rideaux bien épais, une douce chaleur envahissait la chambre.
Toujours nu, j'avais Javier la tête sur mon ventre qui dormait encore tenant ma queue raide en main, le gland posé sur ses lèvres.
Il m'avait fait passer une très bonne nuit le latino. Quel tonus! quel endurance! J'essayais de me souvenir combien de fois j'avais joui dans sa bouche, dans son cul, dans sa main. Ses bisous, ses caresses, sa langue chaude qui passait partout.
Je me souvenais que je m'étais offert à lui, mais qu'il ne voulait que me bouffer le cul, mettre ses doigts pour me caresser l'intérieur en me suçant et m'offrant sa queue.
Ce qu'il adorait c'était se faire sucer et se faire prendre.
Il m'a raconté tout plein d'horreurs qu'il faisait avec ses potes lors de partouzes mémorables.
-le latino aime baiser, aime se faire baiser, se frotter, embrasser… il aime tout! certains sont plus machos que d'autres mais, même s'ils sont actifs ils se laissent mettre une bite dans le cul avait dit un Javier rieur, c'est pour ça qu'on adore faire ça entre nous, y'en a toujours un pour s'offrir aux autres.
Me rappelant tout ça, je sentais ma queue gonfler dans la main de Javier.
Pas un bruit dans les environs. J'ai vu l'heure, il était 14 heures passées mais j'étais bien.
La tête de Javier bouge sur mon ventre. Ses lèvres tètent mon gland. Je tends la main et caresse ses cheveux doucement, il lâche ma queue, se retourne avec un sourire rayonnant aux lèvres, approche sa tête et vient déposer un doux baiser sur mes lèvres.
-mon français préféré a bien dormi ?
-oui mon beau latino je peux dire que tu es vraiment un phénomène! quelle nuit tu m'as fait passer!
Son corps est venu à cheval sur le mien, sa tête juste au dessus.
-toi, si tu vis ici je te kidnappe et je te garde rien que pour moi, j'ai jamais tant aimé me faire baiser par un mec.
-pourtant avec ce que j'ai vu en photos.
-oui mais c'est pas pareil… toi… tu as une façon de faire qu'on a pas, on fait pas pareil tu sais, moi j'ai vu la différence.
-et mon chéri ? t'en fais quoi ?
-oh il pourra voir Léonardo et tous ses copains, que des grosses queues. Il devrait être content.
Je rigole.
-mais tu l'aimes beaucoup Louis ?
-oui énormément, tu sais ça fait un moment qu'on vit tous les deux, et on est vraiment inséparables.
-alors je vais te kidnapper et t'enfermer rien que pour moi.
La pieuvre se répand sur moi, m'enveloppant dans ses bras, sa bouche s'empare de la mienne et je retrouve sa bonne langue qui s'est tellement promenée sur tout mon corps, entrant dans tous les orifices qu'elle a rencontré.
Je le retourne sur le lit pour le bloquer.
-tu sais que j'ai faim ? t'as vu l'heure ? et les autres ils font quoi ?
-tu veux déjà qu'on se sépare ?
Je rigole en lui faisant un bisou.
-j'aimerais bien prendre une douche aussi.
-mais c'est exigeant un français au réveil!!
Il me bouscule pour se lever, me tire par la main et m'emmène dans la douche, fait couler l'eau et me pousse dessous rapidement.
Vu la chaleur, l'eau fraîche me fait du bien et c'est Javier qui se met à me savonner partout des pieds à la tête, prenant son temps avec ma queue et mon cul, me doigtant avec le savon liquide. Je mousse de partout l'eau enlève tout ça et ma queue raide est juste devant la bouche de Javier, qui se précipite pour s'en emparer et me sucer en me tenant les couilles.
Une pipe rapide où ma queue s'enfonce bien au fond de sa gorge qui reçoit sa récompense assez rapidement.
Il se relève, m'embrasse en se collant contre moi.
-je crois que je t'aime dit Javier en me regardant dans les yeux, les siens voient poindre des larmes.
Je caresse sa joue tendrement, pour l'embrasser avec tout le savoir que j'ai, juste avec les lèvres, il tremble dans mes bras.
-moi aussi je t'aime beaucoup Javier tu es un très beau garçon, charmant et c'est vraiment un grand plaisir d'avoir passé une nuit avec toi.
-alors tu seras d'accord pour en passer une deuxième encore ?
-si c'est pour te faire plaisir j'en serais très content!
Sa langue est arrivée au fond de ma gorge, sa salive sentait le sperme. Il gémissait dans mes bras, ronronnait, faisait son câlin, me caressant partout.
-va t'habiller et moi je me prépare.
-tu vas rester comme ça ? dis je en lui prenant la queue raide.
-bien sûr elle va attendre ce soir de te retrouver pour te donner tranquillement sa semence.
Il avait dit cela d'un ton sérieux.
Il m'a poussé de la salle de bains. Le temps que je récupère mes vêtements et que je me rhabille, il sortait nu de la douche, le sexe calmé qui ballotait en venant vers moi. Qu'il était beau ce mec quand même!
Il s'est habillé devant moi, me faisant des sourires et est venu s'asseoir sur mes genoux, m'entourant de son bras, relève mon menton, m'embrasse rapidement.
-je t'aime Fabrice! allez viens on va voir ce que font les autres.
On sort dans le couloir silencieux, Javier s'approche d'une porte, écoute, on entend des voix.
-là c'est ton chéri et Léonardo, ils sont réveillés, je les entends parler.
Il tape à la porte, parlant en espagnol et la porte s'ouvre sur Léonardo en slip toujours aussi rempli. Ils parlent tous les deux et je vois mon chéri, assis sur le lit, tout sourire, il se lève, sort de la chambre et vient dans mes bras me faire un gros bisou.
-je t'ai pas trop manqué mon chéri ?
-bah non pourquoi ? j'ai été bien occupé avec Javier tu sais, sûrement autant que toi avec Léonardo.
Il rigole.
-j'en ai des choses à te raconter..
Il se penche à mon oreille :
-et je suis sûr que ça va t'exciter encore plus.
Léonardo, vient nous prendre dans ses bras, me fait un bisou sur la tempe, la joue et embrasse Louis également et me parle en espagnol faisant rire Louis.
-il a dit quoi ?
-il a dit que tu pouvais rentrer en France, qu'il allait me kidnapper et me garder ici pour lui.
-ah ben dis lui que Javier veut m'en faire autant, alors on se reverra mon chéri.
Le temps de traduire, tout le monde rigolait.
Javier est allé frapper à une autre porte d'où sont sortis Un Diego rayonnant suivi du prénommé Emilio, habillé! cela faisait tout drôle de le voir habillé.
Ils sont venus nous faire la bise, ça parlait en espagnol, je me sentais quand même un peu exclus.
Mais Diego est venu me prendre par la main, mettre sa tête sur mon épaule.
-alors t'as passé de bons moments ?
-oui très bons effectivement et toi avec le beau Emilio ?
-Javier m'a fait obtenir le cadeau que je voulais dit il, je lui avais dit que je trouvais ce mec extra et que j'avais vraiment envie de passer du bon temps avec lui et bien c'est fait!
Il attrape Javier par un bras, l'attirant à lui, l'embrasse en le serrant contre lui et se lance dans une grande diatribe en espagnol qui fait bien rire Javier.
Ils avaient l'air bien complices ces deux là.
On est tous descendu dans la grande salle où avait eu lieu le show hier soir. Salle complètement chamboulée, il n'y avait que des tables pour la restauration et autour d'une grande table il y avait Alexandro, Enrique et Victor qui nous attendaient.
On devait pas avoir l'air si frais que ça vu les remarques qu'ils ont fait. Diego me servait d'interprète.
On s'est mis à table et on a mangé avec appétit. J'étais entouré de Javier et de Diego et mon chéri s'est retrouvé coincé, pour son plus grand plaisir entre Léonardo et le prénommé Enrique.
C'était Louis le centre des conversations. Ils ne voulaient pas croire qu'on avait fait tous ces kilomètres pour venir voir si l'article était vrai ou pas.
Victor a sorti son portable et leur a montré l'article, traduisant en espagnol, ce fut un grand éclat de rire, les réponses fusaient de partout.
Ils sont contents dit Diego, car au départ quand ils ont reçu le journaliste, qu'ils ont su qu'il était gay et surtout passif ils se l'ont refilé et tapé chacun leur tour, lui racontant à chaque fois la même histoire à savoir que c'était à Cúcuta qu'il y avait les plus grosses queues au Monde et, vu ce qu'il avait pris dans son cul, il ne pouvait plus en douter.
Ils étaient ravis que leur sexe, leur monstre soit vu par des français.
Ils se passaient le portable de Louis pour regarder leurs photos.
Puis c'est Léonardo qui a pris la parole s'adressant à Javier… traduit par Diego.
-Javier il serait temps de raconter aux français ce qui s'est passé avec le journaliste qui s'appelait Fernand. Pour vous le situer, c'est un beau mec de 35 ans, châtain clair, un beau sourire. Bon on voyait bien par contre qu'il aimait les hommes, fallait voir de la manière qu'il nous regardait.
Avec Javier on l'a vu dans la rue, il prenait des photos. Ici personne ne dit rien si on le prend en photos on a pas beaucoup de touristes mais avec Javier on a remarqué qu'il prenait surtout les mecs alors on l'a branché, lui demandant s'il cherchait quelque chose de particulier. Comme il était sympa, on l'a adopté et on lui a fait visiter la ville, on l'a emmené se baigner dans le rio où on s'est mis nus. Il n'a pas été farouche et nous a suivi et il n'a pas mis longtemps à avoir nos queues dans ses trous dit Léonardo en éclatant de rire.
C'est Javier qui l'a sauté en premier, il gueulait qu'il aimait ça et ça se voyait car il fallait le voir m'avaler la queue et on y arrive pas du premier coup en général hein Louis ? dit il en lui caressant la joue. Mais le Fernand il l'a avalé bien à fond et quand Javier a joui, il s'est retourné pour que je l'embroche en me disant "baise moi fort".
Tout le monde rigolait autour de la table. Léonardo est un bon conteur, debout, les gestes suivent ses paroles, il rigole sans arrêt et, dans son jean serré on voit son sexe bander, il s'excite tout seul le garçon.
-alors vous me connaissez tous ici sauf toi Fabrice mais je reste à ta disposition si tu as envie de connaitre le premier monstre de Cúcuta.
Il fait encore rire tout le monde.
-et je l'ai baisé. Vous savez il venait de prendre la dose de Javier et c'est un bon juteur mon pote, si bien que le trou de Fernand était encore ouvert et bien graissé. J'ai juste eu à le prendre par les hanches, pousser doucement et mon monstre est entré. Une vraie sirène le mec! si vous aviez entendu la gueulante! si bien que Javier a dû lui fourrer sa queue dans la bouche et on l'a baisé tous les deux.
Depuis ce jour là il ne nous a plus quitté. Je lui ai fait connaitre Alexandro, puis Victor, puis Enrique et la veille de son départ on l'a pris en partouze. On l'a baisé toute la nuit, et plusieurs fois les mecs! si bien que le matin il ne pouvait plus marcher. On aurait dit qu'il avait vieilli de 50 ans mais il était heureux.
-quand il est parti, il était convaincu qu'il partait de la ville où se trouvent les plus grosses bites du Monde.
Léonardo a été applaudi pour son histoire, tout le monde rigolait.
-c'est quand même pas ce que vous réservez à Louis quand même ? j'ai demandé à Diego.
-tu vois pas qu'ils l'admirent, le vénèrent presque. Ils ont tous envie de faire des trucs avec lui mais c'est Louis qui va décider dit Diego.
-eh bien on est pas parti! dis je en rigolant.
-tu penses qu'il voudra.
-les essayer tous? ça c'est sûr, pour lui Cúcuta c'est le paradis de la queue latino alors tu penses qu'il va vouloir en avoir le plus possible.
Diego rigolait en regardant Louis qui parlait avec tous les mecs, souriant. Il devenait tactile comme les latinos. Ils l'entouraient tous, le caressaient, lui faisaient des bisous. Ils lui posaient tous une question et Louis prenait son temps pour répondre à chacun.
Puis Léonardo a proposé d'aller se baigner dans le rio.
Ce n'était pas le même endroit où nous étions venus. J'ai trouvé cet endroit plus beau, plus calme. Il ne l'a pas été longtemps quand nous sommes arrivés.
-on peut se mettre nus ici ! a crié Léonardo en se déshabillant.
Neuf mecs à poils qui se baignent, chahutent, se caressent, s'embrassent, se frottent, les têtes plongent sous l'eau et sucent les queues raides.
On s'est amusé comme des fous jusqu'à la nuit, toutes les queues étaient raides.
Diego avait récupéré Emilio. Ils s'embrassaient à perdre haleine et Alexandro est venu les rejoindre.
Louis était cerné par Léonardo et Victor. Ils se partageaient mon chéri pour son plus grand plaisir.
Javier a pris Enrique par la main et ils sont venus m'entourer.
Pris en sandwich entre deux latinos chauds, quel plaisir.
Javier s'est emparé de ma bouche, collant son sexe le long de mon corps. Enrique s'est mis à genoux et s'est occupé de nos deux queues. Je sentais sa bouche m'envelopper, mon gland se frotter contre celui de Javier, on gémissait tous les deux.
Il avait une bouche chaude Enrique et savait sucer une queue et là il en avait deux et d'un seul coup ils ont changé, Javier a pris sa place et j'ai goûté aux lèvres, à la langue et la salive d'Enrique.
Peau douce et chaude, je caresse son dos, arrivant aux belles fesses bien rebondies. Il les tend à mes caresses et son gémissement se répand dans ma bouche. Il a une manière de lécher ma langue qui me fait bander, d'autant que ma queue est bien accaparée par la bouche gourmande de Javier.
Ma main passe dans la raie, le cul se tend encore plus, je cherche l'anus que je trouve, touche, tâte lentement. La langue d'Enrique s'enfonce encore plus dans ma bouche, il me serre aux épaules et il gémit. Je titille son anus, c'est chaud, c'est doux et c'est souple, à peine j'appuie que mon doigt est avalé. Enrique lâche ma langue pour gémir en fermant les yeux, les ouvre et il parle en espagnol son regard est doux, implorant, quémandeur… mais je n'ai rien compris.
-Il demande si tu veux bien le baiser ! dit Javier en riant.
-alors bouffe lui bien son beau cul et je lui fais sa fête au latino qui réclame.
J'entends Javier rire. Ma queue est libre et je vois la tête de Javier entre les fesses d'Enrique qui ne veut pas me lâcher la bouche mais finit par bien se pencher en avant, ouvrant lui même ses fesses pour que son pote s'en occupe. Lui en profite pour reprendre en bouche ma queue qui n'en demandait pas tant!
Javier a donné quelques claques sur les belles fesses.
-le cul d'Enrique est près pour monsieur le français dit Javier et il répète la phrase en espagnol faisant rire Enrique.
Quel plaisir de baiser ce garçon qui se donne, s'offre et vient s'empaler sur ma queue dans un seul effort commençant un long cri rauque qui sort de sa bouche ouverte, vite comblée par la queue de Javier.
Il n'y a pas que Enrique qui gueule, les deux autres groupes de trois font la même chose et celui du milieu en prend plein le cul et plein la bouche. Je ne vois pas bien dans la nuit qui tombe qui sont les victimes mais dans un groupe je reconnais Louis qui s'offre.
Baiser un mec qui s'offre est toujours un plaisir et de voir en face, un mec qui dit t'aimer, qui sourit en baisant le même mec que toi ça décuple l'excitation. Alors on a malmené, pour son plus grand plaisir, un Enrique gémissant mais qui offrait bien ses trous qui ont été remplis abondamment.
Il s'est redressé pour nous embrasser tous les deux. Je ne sais pas ce qu'il m'a dit, mais il avait l'air content et, avec Javier on s'est partagé sa queue. Une belle queue certes bien moins grosse que celle de Léonardo mais y'avait bien à bouffer pour deux et quand il s'est mis à jouir on a d'abord entendu son cri de délivrance, il hurlait sous le clair de lune avant d'apercevoir son jus gicler sur nous deux réunis et il en avait du bon jus latino notre Enrique.
Il est retombé à genoux et on s'est embrassé tous les trois.
Javier nous a entraîné dans le rio pour se laver au clair de lune.
On a laissé le temps aux autres de se finir, d'aller se baigner avant que Louis se jette sur moi.
-ça c'est des vacances mon chéri. J'ai vu que tu étais bien occupé quand même pour un mec réticent à venir visiter le pays.
-t'es bien le pire des voyous mec! tu vas mal finir toi!
-bah à part une bite dans le cul j'vois pas ce qui pourrait m'arriver de pire.
Il n'a quand même pas oublié de me faire des bisous avant d'aller dans les bras de "son" Léonardo.
Toujours nu, j'avais Javier la tête sur mon ventre qui dormait encore tenant ma queue raide en main, le gland posé sur ses lèvres.
Il m'avait fait passer une très bonne nuit le latino. Quel tonus! quel endurance! J'essayais de me souvenir combien de fois j'avais joui dans sa bouche, dans son cul, dans sa main. Ses bisous, ses caresses, sa langue chaude qui passait partout.
Je me souvenais que je m'étais offert à lui, mais qu'il ne voulait que me bouffer le cul, mettre ses doigts pour me caresser l'intérieur en me suçant et m'offrant sa queue.
Ce qu'il adorait c'était se faire sucer et se faire prendre.
Il m'a raconté tout plein d'horreurs qu'il faisait avec ses potes lors de partouzes mémorables.
-le latino aime baiser, aime se faire baiser, se frotter, embrasser… il aime tout! certains sont plus machos que d'autres mais, même s'ils sont actifs ils se laissent mettre une bite dans le cul avait dit un Javier rieur, c'est pour ça qu'on adore faire ça entre nous, y'en a toujours un pour s'offrir aux autres.
Me rappelant tout ça, je sentais ma queue gonfler dans la main de Javier.
Pas un bruit dans les environs. J'ai vu l'heure, il était 14 heures passées mais j'étais bien.
La tête de Javier bouge sur mon ventre. Ses lèvres tètent mon gland. Je tends la main et caresse ses cheveux doucement, il lâche ma queue, se retourne avec un sourire rayonnant aux lèvres, approche sa tête et vient déposer un doux baiser sur mes lèvres.
-mon français préféré a bien dormi ?
-oui mon beau latino je peux dire que tu es vraiment un phénomène! quelle nuit tu m'as fait passer!
Son corps est venu à cheval sur le mien, sa tête juste au dessus.
-toi, si tu vis ici je te kidnappe et je te garde rien que pour moi, j'ai jamais tant aimé me faire baiser par un mec.
-pourtant avec ce que j'ai vu en photos.
-oui mais c'est pas pareil… toi… tu as une façon de faire qu'on a pas, on fait pas pareil tu sais, moi j'ai vu la différence.
-et mon chéri ? t'en fais quoi ?
-oh il pourra voir Léonardo et tous ses copains, que des grosses queues. Il devrait être content.
Je rigole.
-mais tu l'aimes beaucoup Louis ?
-oui énormément, tu sais ça fait un moment qu'on vit tous les deux, et on est vraiment inséparables.
-alors je vais te kidnapper et t'enfermer rien que pour moi.
La pieuvre se répand sur moi, m'enveloppant dans ses bras, sa bouche s'empare de la mienne et je retrouve sa bonne langue qui s'est tellement promenée sur tout mon corps, entrant dans tous les orifices qu'elle a rencontré.
Je le retourne sur le lit pour le bloquer.
-tu sais que j'ai faim ? t'as vu l'heure ? et les autres ils font quoi ?
-tu veux déjà qu'on se sépare ?
Je rigole en lui faisant un bisou.
-j'aimerais bien prendre une douche aussi.
-mais c'est exigeant un français au réveil!!
Il me bouscule pour se lever, me tire par la main et m'emmène dans la douche, fait couler l'eau et me pousse dessous rapidement.
Vu la chaleur, l'eau fraîche me fait du bien et c'est Javier qui se met à me savonner partout des pieds à la tête, prenant son temps avec ma queue et mon cul, me doigtant avec le savon liquide. Je mousse de partout l'eau enlève tout ça et ma queue raide est juste devant la bouche de Javier, qui se précipite pour s'en emparer et me sucer en me tenant les couilles.
Une pipe rapide où ma queue s'enfonce bien au fond de sa gorge qui reçoit sa récompense assez rapidement.
Il se relève, m'embrasse en se collant contre moi.
-je crois que je t'aime dit Javier en me regardant dans les yeux, les siens voient poindre des larmes.
Je caresse sa joue tendrement, pour l'embrasser avec tout le savoir que j'ai, juste avec les lèvres, il tremble dans mes bras.
-moi aussi je t'aime beaucoup Javier tu es un très beau garçon, charmant et c'est vraiment un grand plaisir d'avoir passé une nuit avec toi.
-alors tu seras d'accord pour en passer une deuxième encore ?
-si c'est pour te faire plaisir j'en serais très content!
Sa langue est arrivée au fond de ma gorge, sa salive sentait le sperme. Il gémissait dans mes bras, ronronnait, faisait son câlin, me caressant partout.
-va t'habiller et moi je me prépare.
-tu vas rester comme ça ? dis je en lui prenant la queue raide.
-bien sûr elle va attendre ce soir de te retrouver pour te donner tranquillement sa semence.
Il avait dit cela d'un ton sérieux.
Il m'a poussé de la salle de bains. Le temps que je récupère mes vêtements et que je me rhabille, il sortait nu de la douche, le sexe calmé qui ballotait en venant vers moi. Qu'il était beau ce mec quand même!
Il s'est habillé devant moi, me faisant des sourires et est venu s'asseoir sur mes genoux, m'entourant de son bras, relève mon menton, m'embrasse rapidement.
-je t'aime Fabrice! allez viens on va voir ce que font les autres.
On sort dans le couloir silencieux, Javier s'approche d'une porte, écoute, on entend des voix.
-là c'est ton chéri et Léonardo, ils sont réveillés, je les entends parler.
Il tape à la porte, parlant en espagnol et la porte s'ouvre sur Léonardo en slip toujours aussi rempli. Ils parlent tous les deux et je vois mon chéri, assis sur le lit, tout sourire, il se lève, sort de la chambre et vient dans mes bras me faire un gros bisou.
-je t'ai pas trop manqué mon chéri ?
-bah non pourquoi ? j'ai été bien occupé avec Javier tu sais, sûrement autant que toi avec Léonardo.
Il rigole.
-j'en ai des choses à te raconter..
Il se penche à mon oreille :
-et je suis sûr que ça va t'exciter encore plus.
Léonardo, vient nous prendre dans ses bras, me fait un bisou sur la tempe, la joue et embrasse Louis également et me parle en espagnol faisant rire Louis.
-il a dit quoi ?
-il a dit que tu pouvais rentrer en France, qu'il allait me kidnapper et me garder ici pour lui.
-ah ben dis lui que Javier veut m'en faire autant, alors on se reverra mon chéri.
Le temps de traduire, tout le monde rigolait.
Javier est allé frapper à une autre porte d'où sont sortis Un Diego rayonnant suivi du prénommé Emilio, habillé! cela faisait tout drôle de le voir habillé.
Ils sont venus nous faire la bise, ça parlait en espagnol, je me sentais quand même un peu exclus.
Mais Diego est venu me prendre par la main, mettre sa tête sur mon épaule.
-alors t'as passé de bons moments ?
-oui très bons effectivement et toi avec le beau Emilio ?
-Javier m'a fait obtenir le cadeau que je voulais dit il, je lui avais dit que je trouvais ce mec extra et que j'avais vraiment envie de passer du bon temps avec lui et bien c'est fait!
Il attrape Javier par un bras, l'attirant à lui, l'embrasse en le serrant contre lui et se lance dans une grande diatribe en espagnol qui fait bien rire Javier.
Ils avaient l'air bien complices ces deux là.
On est tous descendu dans la grande salle où avait eu lieu le show hier soir. Salle complètement chamboulée, il n'y avait que des tables pour la restauration et autour d'une grande table il y avait Alexandro, Enrique et Victor qui nous attendaient.
On devait pas avoir l'air si frais que ça vu les remarques qu'ils ont fait. Diego me servait d'interprète.
On s'est mis à table et on a mangé avec appétit. J'étais entouré de Javier et de Diego et mon chéri s'est retrouvé coincé, pour son plus grand plaisir entre Léonardo et le prénommé Enrique.
C'était Louis le centre des conversations. Ils ne voulaient pas croire qu'on avait fait tous ces kilomètres pour venir voir si l'article était vrai ou pas.
Victor a sorti son portable et leur a montré l'article, traduisant en espagnol, ce fut un grand éclat de rire, les réponses fusaient de partout.
Ils sont contents dit Diego, car au départ quand ils ont reçu le journaliste, qu'ils ont su qu'il était gay et surtout passif ils se l'ont refilé et tapé chacun leur tour, lui racontant à chaque fois la même histoire à savoir que c'était à Cúcuta qu'il y avait les plus grosses queues au Monde et, vu ce qu'il avait pris dans son cul, il ne pouvait plus en douter.
Ils étaient ravis que leur sexe, leur monstre soit vu par des français.
Ils se passaient le portable de Louis pour regarder leurs photos.
Puis c'est Léonardo qui a pris la parole s'adressant à Javier… traduit par Diego.
-Javier il serait temps de raconter aux français ce qui s'est passé avec le journaliste qui s'appelait Fernand. Pour vous le situer, c'est un beau mec de 35 ans, châtain clair, un beau sourire. Bon on voyait bien par contre qu'il aimait les hommes, fallait voir de la manière qu'il nous regardait.
Avec Javier on l'a vu dans la rue, il prenait des photos. Ici personne ne dit rien si on le prend en photos on a pas beaucoup de touristes mais avec Javier on a remarqué qu'il prenait surtout les mecs alors on l'a branché, lui demandant s'il cherchait quelque chose de particulier. Comme il était sympa, on l'a adopté et on lui a fait visiter la ville, on l'a emmené se baigner dans le rio où on s'est mis nus. Il n'a pas été farouche et nous a suivi et il n'a pas mis longtemps à avoir nos queues dans ses trous dit Léonardo en éclatant de rire.
C'est Javier qui l'a sauté en premier, il gueulait qu'il aimait ça et ça se voyait car il fallait le voir m'avaler la queue et on y arrive pas du premier coup en général hein Louis ? dit il en lui caressant la joue. Mais le Fernand il l'a avalé bien à fond et quand Javier a joui, il s'est retourné pour que je l'embroche en me disant "baise moi fort".
Tout le monde rigolait autour de la table. Léonardo est un bon conteur, debout, les gestes suivent ses paroles, il rigole sans arrêt et, dans son jean serré on voit son sexe bander, il s'excite tout seul le garçon.
-alors vous me connaissez tous ici sauf toi Fabrice mais je reste à ta disposition si tu as envie de connaitre le premier monstre de Cúcuta.
Il fait encore rire tout le monde.
-et je l'ai baisé. Vous savez il venait de prendre la dose de Javier et c'est un bon juteur mon pote, si bien que le trou de Fernand était encore ouvert et bien graissé. J'ai juste eu à le prendre par les hanches, pousser doucement et mon monstre est entré. Une vraie sirène le mec! si vous aviez entendu la gueulante! si bien que Javier a dû lui fourrer sa queue dans la bouche et on l'a baisé tous les deux.
Depuis ce jour là il ne nous a plus quitté. Je lui ai fait connaitre Alexandro, puis Victor, puis Enrique et la veille de son départ on l'a pris en partouze. On l'a baisé toute la nuit, et plusieurs fois les mecs! si bien que le matin il ne pouvait plus marcher. On aurait dit qu'il avait vieilli de 50 ans mais il était heureux.
-quand il est parti, il était convaincu qu'il partait de la ville où se trouvent les plus grosses bites du Monde.
Léonardo a été applaudi pour son histoire, tout le monde rigolait.
-c'est quand même pas ce que vous réservez à Louis quand même ? j'ai demandé à Diego.
-tu vois pas qu'ils l'admirent, le vénèrent presque. Ils ont tous envie de faire des trucs avec lui mais c'est Louis qui va décider dit Diego.
-eh bien on est pas parti! dis je en rigolant.
-tu penses qu'il voudra.
-les essayer tous? ça c'est sûr, pour lui Cúcuta c'est le paradis de la queue latino alors tu penses qu'il va vouloir en avoir le plus possible.
Diego rigolait en regardant Louis qui parlait avec tous les mecs, souriant. Il devenait tactile comme les latinos. Ils l'entouraient tous, le caressaient, lui faisaient des bisous. Ils lui posaient tous une question et Louis prenait son temps pour répondre à chacun.
Puis Léonardo a proposé d'aller se baigner dans le rio.
Ce n'était pas le même endroit où nous étions venus. J'ai trouvé cet endroit plus beau, plus calme. Il ne l'a pas été longtemps quand nous sommes arrivés.
-on peut se mettre nus ici ! a crié Léonardo en se déshabillant.
Neuf mecs à poils qui se baignent, chahutent, se caressent, s'embrassent, se frottent, les têtes plongent sous l'eau et sucent les queues raides.
On s'est amusé comme des fous jusqu'à la nuit, toutes les queues étaient raides.
Diego avait récupéré Emilio. Ils s'embrassaient à perdre haleine et Alexandro est venu les rejoindre.
Louis était cerné par Léonardo et Victor. Ils se partageaient mon chéri pour son plus grand plaisir.
Javier a pris Enrique par la main et ils sont venus m'entourer.
Pris en sandwich entre deux latinos chauds, quel plaisir.
Javier s'est emparé de ma bouche, collant son sexe le long de mon corps. Enrique s'est mis à genoux et s'est occupé de nos deux queues. Je sentais sa bouche m'envelopper, mon gland se frotter contre celui de Javier, on gémissait tous les deux.
Il avait une bouche chaude Enrique et savait sucer une queue et là il en avait deux et d'un seul coup ils ont changé, Javier a pris sa place et j'ai goûté aux lèvres, à la langue et la salive d'Enrique.
Peau douce et chaude, je caresse son dos, arrivant aux belles fesses bien rebondies. Il les tend à mes caresses et son gémissement se répand dans ma bouche. Il a une manière de lécher ma langue qui me fait bander, d'autant que ma queue est bien accaparée par la bouche gourmande de Javier.
Ma main passe dans la raie, le cul se tend encore plus, je cherche l'anus que je trouve, touche, tâte lentement. La langue d'Enrique s'enfonce encore plus dans ma bouche, il me serre aux épaules et il gémit. Je titille son anus, c'est chaud, c'est doux et c'est souple, à peine j'appuie que mon doigt est avalé. Enrique lâche ma langue pour gémir en fermant les yeux, les ouvre et il parle en espagnol son regard est doux, implorant, quémandeur… mais je n'ai rien compris.
-Il demande si tu veux bien le baiser ! dit Javier en riant.
-alors bouffe lui bien son beau cul et je lui fais sa fête au latino qui réclame.
J'entends Javier rire. Ma queue est libre et je vois la tête de Javier entre les fesses d'Enrique qui ne veut pas me lâcher la bouche mais finit par bien se pencher en avant, ouvrant lui même ses fesses pour que son pote s'en occupe. Lui en profite pour reprendre en bouche ma queue qui n'en demandait pas tant!
Javier a donné quelques claques sur les belles fesses.
-le cul d'Enrique est près pour monsieur le français dit Javier et il répète la phrase en espagnol faisant rire Enrique.
Quel plaisir de baiser ce garçon qui se donne, s'offre et vient s'empaler sur ma queue dans un seul effort commençant un long cri rauque qui sort de sa bouche ouverte, vite comblée par la queue de Javier.
Il n'y a pas que Enrique qui gueule, les deux autres groupes de trois font la même chose et celui du milieu en prend plein le cul et plein la bouche. Je ne vois pas bien dans la nuit qui tombe qui sont les victimes mais dans un groupe je reconnais Louis qui s'offre.
Baiser un mec qui s'offre est toujours un plaisir et de voir en face, un mec qui dit t'aimer, qui sourit en baisant le même mec que toi ça décuple l'excitation. Alors on a malmené, pour son plus grand plaisir, un Enrique gémissant mais qui offrait bien ses trous qui ont été remplis abondamment.
Il s'est redressé pour nous embrasser tous les deux. Je ne sais pas ce qu'il m'a dit, mais il avait l'air content et, avec Javier on s'est partagé sa queue. Une belle queue certes bien moins grosse que celle de Léonardo mais y'avait bien à bouffer pour deux et quand il s'est mis à jouir on a d'abord entendu son cri de délivrance, il hurlait sous le clair de lune avant d'apercevoir son jus gicler sur nous deux réunis et il en avait du bon jus latino notre Enrique.
Il est retombé à genoux et on s'est embrassé tous les trois.
Javier nous a entraîné dans le rio pour se laver au clair de lune.
On a laissé le temps aux autres de se finir, d'aller se baigner avant que Louis se jette sur moi.
-ça c'est des vacances mon chéri. J'ai vu que tu étais bien occupé quand même pour un mec réticent à venir visiter le pays.
-t'es bien le pire des voyous mec! tu vas mal finir toi!
-bah à part une bite dans le cul j'vois pas ce qui pourrait m'arriver de pire.
Il n'a quand même pas oublié de me faire des bisous avant d'aller dans les bras de "son" Léonardo.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nico T
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ah ah magnifique, c'est fait pour déformer les slips!
merci et bonne lecture pour la suite
merci et bonne lecture pour la suite
Un vrai plaisir de lire épisode après épisode qui fait un effet dans mon slip et regale l esprit