Les monstres de Cúcuta 7/12 - histoire érotique

Il fallait que les latinos aillent préparer leur spectacle et on avait dû faire la promesse de revenir le soir car ils avaient encore des surprises pour nous.
Louis et moi on s'est donc retrouvé avec Javier et Diego pour aller dîner tranquillement.
On aurait pu croire que les couples étaient changés; Javier me collait et Diego s'attachait beaucoup à Louis.
Nous avons passé une agréable soirée en attendant l'ouverture de la boite et retrouver nos places en bordure de l'estrade.
Regarder ces beaux latinos qui dansaient pour nous, nous faisant des œillades, nous envoyant des bisous. Léonardo venant coller son sexe sous le nez de Louis qui faisait mine de vouloir le saisir.

Il y avait tout pour nous exciter, venir sous notre nez, baisser leurs mini slips et nous montrer de près leurs belles fesses.
Tout était fait dans la bonne humeur, ça riait de partout dans la salle bondée si bien qu'on a eu des admirateurs qui ont voulu s'incruster à notre table. Sûr que c'étaient des beaux mecs et on sentait bien que Louis et moi on avait du succès.
Louis répondait en espagnol et moi je faisais signe que je ne comprenais rien alors certains ont parlé par gestes me montrant qu'ils me sucerait bien, d'autres voulaient me baiser, d'autres m'offrir leur cul.

Même Javier et Diego étaient convoités car les latinos nous voyant par deux, pensaient que les européens avaient chacun leur latino et ils cherchaient à les remplacer.
Quand le show fut terminé on avait une dizaine de jeunes latinos autour de nous, montrant leurs braguettes gonflées, nous faisant toucher, certains avaient même sorti leur sexe et y'avait du beau calibre!
On avait l'impression que cela aurait pu dégénérer en partouze générale.
J'aurais bien aimé voir ça tous les mecs de la boite à poil mais quand Léonardo et ses boys sont revenus dans la salle ce fut comme l'arrêt de la récréation. Ils n'ont rien dit, on pris des chaises et sont venus s'asseoir avec nous grands sourires aux lèvres, montrant qu'on leur appartenait si bien que tout le monde s'est dispersé.

Javier est resté collé à moi mais j'ai eu Victor qui est venu de l'autre côté tout sourire le petit latino qui a fait son câlin en me susurrant des mots espagnols à l'oreille, des mots doux, enchanteurs, cela semblait vicieux, osé ce qu'il disait avec le sourire pendant que Javier se penchait pour essayer d'entendre.
-il me dit quoi ?
-qu'il voudrait te voir tout nu pour te lécher des pieds à la tête… qu'il veut te sentir car il ne t'a vu que de loin à la rivière et surtout il insiste pour te dire qu'il s'offre à toi pour tout ce que tu veux que tu es très beau.

J'ai tourné la tête pour prendre celle de Victor dans ma main et l'embrasser tendrement, lui fourrant ma langue au fond de sa bouche pour sentir sa langue se mélanger avec la mienne, s'enrouler autour, je sentais son souffle sortir par ses narines. J'ai aimé ses lèvres douces, chaudes.
Javier devait être un peu jaloux quand même, car il m'a fait bouger la tête pour m'embrasser lui aussi. J'ai bloqué la tête de Victor et nous avons fait jouer les trois langues ensemble.
Je crois que c'était moi le plus heureux d'avoir ces deux beaux mecs dans mes bras. Je sentais leurs mains me caresser partout et Victor me touchait l'entre jambe comme pour s'assurer que je bandais bien.

Ils ont parlé tous les deux espagnols, en me regardant et, sans me demander mon avis, m'ont pris chacun par une main et nous sommes montés à l'étage.
J'ai juste eu le temps de voir Louis entouré de Léonardo et d'Enrique qui le serraient de près, se roulant des pelles tous les trois.
Il restait Diego qui se faisait bouffer le museau par un Alexandro à cheval sur lui.

A peine arrivés dans la chambre que j'étais déshabillé par quatre mains et caressé partout. Ils se sont mis nus rapidement également. Javier m'avait pris le visage entre ses mains, et me faisaient de petits bisous. Victor, derrière moi, me caressait le dos, descendant sur mes fesses, pour sentir ses mains me les envelopper, les caressant, les malaxant, les ouvrant et ses lèvres sont arrivées à la rescousse, mes fesses n'ont jamais été si bien embrassées.

Javier s'est reculé, m'obligeant à me pencher en avant, m'offrant sa belle queue de latino, bien raide, au gland encore enveloppé, sortant juste un peu de sa cachette, le méat grand ouvert laissait déjà passer des gouttes de mouille.
Au moment où je me suis penché sur la queue de Javier, j'ai senti la langue de Victor commencer à me lécher l'anus. Il écartait fermement mes fesses et inondait mon petit trou serré de sa salive chaude et léchait comme on lèche une glace à grands coups de langue.
Il m'a tellement bien bouffé le cul que je l'ai senti s'ouvrir sous sa langue.

De mes lèvres j'avais fini de décalotter la belle queue de Javier qu'il m'enfonçait tendrement au fond de la gorge. La mouille coulait en abondance.
Un doigt m'a investi le cul, doucement pour me caresser l'intérieur me faisant avaler encore plus profond la queue de Javier.
Je les ai entendu parler tous les deux et ils ont changé de place.
J'ai enfin vu et goûté la queue de Victor plus grosse que Javier mais peut être un peu moins longue, mais elle mouillait autant un coup le gland bien décalotté.

Mon cul était encore une fois bouffé comme il faut, et doigté également, mais d'un doigt.
Tout a cessé d'un coup, ils m'ont fait allonger sur le lit et j'ai été léché, mordu des pieds à la tête par les deux latinos qui m'offraient leur cul, leur queue. A chaque fois que je sentais que j'allais jouir ils cessaient toute activité et venaient me faire des bisous.

Victor m'a offert son beau petit cul que nous avons préparé avec Javier. J'aime lécher un cul avec un autre mec, voir sa langue toucher l'anus, le forcer, l'inonder, laisser la salive pour que je la récupère, s'embrasser et recommencer.
-il t'offre son cul Victor, baise le comme un français, c'est ce qu'il veut!

Javier m'a léché la queue en y mettant tout son cœur pour la positionner devant l'entrée de Victor et me regarder le baiser en me caressant les fesses appuyant dessus.
Il était bon son cul de latino à Victor et j'ai eu grand plaisir de me vider en lui, l'entendre grogner, gémir et crier quand mon bon jus chaud s'est répandu en lui. Il s'est redressé, gardant ma queue en lui pour venir réclamer des bisous. J'en ai profité pour le coller à moi et le branler avec force pendant que Javier venait poser sa langue sur le gland de Victor lorsqu'il apparaissait entre mes doigts et Victor a joui en hurlant. Je n'ai pas vu les giclées car Javier avait posé sa bouche dessus et avalait tout ce qui sortait et quel plaisir j'ai eu de sentir ma queue se faire serrer comme un étau entre les fesses de Victor qui n'arrêtait pas de m'embrasser avant que Javier ne vienne nous rejoindre et nous donner sa langue qui sentait le sperme chaud.

Victor s'est libéré de ma queue, s'est tourné pour me serrer contre lui, m'embrasser tendrement comme s'il faisait un câlin et me dire en français.
-merci!
Tout simplement… tout timidement.
Il a parlé à Javier.
-il dit qu'il doit rejoindre son ami et qu'il nous laisse tous les deux si tu es d'accord.
-il fait comme il veut mais s'il doit rejoindre son ami je ne voudrais pas être la source d'ennuis.
J'ai bien vu que Javier était content et je ne sais pas ce qu'il a traduit à Victor. En tout cas, il s'est rhabillé, nous a fait plein de bisous, caressant nos queues, leur faisant même un bisou et il est sorti de la chambre.
Et Javier s'est jeté sur moi.

Pendant trois jours ce fût le même rituel. Je passais mes nuits avec Javier et un autre latino qui restait ou non jusqu'au matin mais qu'est ce que Javier était content de ne rester que tout seul avec moi.
On avait plus beaucoup d'intimité avec Louis seulement quand on rentrait à l'hôtel pour se changer.
Il me faisait rire disant qu'il n'avait jamais tant baisé. Il m'avait montré son cul pour me faire voir que tout allait bien et me raconter que tous les latinos l'avaient enculé!
-donc on peut rentrer maintenant Louis ? monsieur est satisfait ?
-Léonardo n'est pas content après toi mon chéri.
-pourquoi ? parce qu'il veut me baiser aussi ? tu sais qu'aucun latino n'a pénétré mon petit cul, ça il a été léché et doigté mais c'est tout.
-il m'a dit qu'il voudrait passer une nuit avec toi tout seul.
-mais je parle pas espagnol tu le sais bien.
-c'est ce que je lui ai dit mais il tient à être tout seul avec toi et il dit qu'il va bien s'entendre avec toi sans avoir à parler. Tu verras comme il est doux, gentil. Je l'adore tu sais, c'est vraiment mon préféré je finis tout le temps les nuits tout seul avec lui comme toi avec Javier d'après ce que j'ai entendu.
-ben oui c'est bien de comprendre l'espagnol.
-alors je lui dit quoi à Léonardo ?
-tu lui dis d'accord mais que sa grosse queue latino je ne la vois pas entrer dans mon beau petit cul.

Louis rigole en se serrant contre moi.
-tu me diras après, si je me trompe mais je crois que le macho de Léonardo veut que tu le baises et il ne veut pas que cela se sache.
-ah oui ! alors il préfère qu'on croit que c'est moi qui me fait baiser.
Louis est plié de rire.
-tu vas pas faire le fier dans un coin où l'on ne reviendra peut être jamais quand même! et si tu baises Léonardo je veux un compte rendu détaillé mon chéri.
-et moi ? quand est ce que je vais retrouver le chemin de ton petit cul ? tu te rends compte que cela fait maintenant 4 jours.
-mais c'est qu'il compte mon chéri, je te manque tant que ça ? pourtant t'arrêtes pas de baiser il parait et ils sont tous contents d'avoir fait ça avec toi et Javier.
-quelle réputation je vais avoir dis je en riant.
Louis me fait tomber à la renverse sur le lit, se serre contre moi, m'embrasse de ses petits bisous que j'aime tant chez lui, son sourire coquin, ses beaux yeux brillants.
-n'oublie pas que je t'aime bébé! tu es à moi! quoique tu fasses avec n'importe qui! car je vais te ramener à Paris bientôt!
Je rigole.
-moi aussi je t'aime tant mon amour alors n'abîme pas trop ton petit cul que j'aime tant.

On était encore les quatre mêmes pour dîner le soir. On était bien tous les quatre, j'aimais cette situation où Javier faisait son amoureux avec moi et Diego avec Louis.
-il parait, me dit Javier à l'oreille, que ce soir tu es réservé par le grand chef Léonardo.
-il parait qu'il voudrait bien me voir , mais tout seul t'en penses quoi ?
-tu ne peux pas contrarier Léonardo tu sais.
-t'es déçu mon petit chéri ?
-non pas déçu mais jaloux tu sais.
-pourquoi tu serais jaloux ?
-parce qu'il va te baiser, tiens!
-ben t'as jamais voulu me le faire et qui te dit qu'il va me baiser ?
-mais c'est ce qu'il fait habituellement avec les mecs qu'il prend dans sa chambre.

Je passe mon bras autour du cou de Javier, collant mes lèvres à son oreille.
-alors ça pourrait peut être changer ce soir.
Il me regarde étonné, rigole.
-tu me raconteras alors?
-on verra, tu sais j'ai pas l'habitude de raconter ces choses là surtout si le mec veut faire croire le contraire.
-oui c'est vrai t'as raison tu me diras juste s'il t'a baisé alors.
-coquin de latino!

Comme tous les soirs on a assisté au spectacle avec toujours la même ambiance dans la salle, toujours les mecs qui venaient tenter leur chance auprès de nous. Mais ce soir là, il y a eu de l'étonnement lorsque Léonardo et ses boys sont revenus dans la salle.
Tout le monde avait l'habitude de le voir venir s'asseoir près de Louis et de l'embrasser pendant que les autres se partageaient entre nous.

Là, il est venu près de moi, me fixant de son regard vicieux de prédateur. Sourire aux lèvres, a pris une chaise, s'est assis près de moi, m'a pris par le cou, tendrement, et sa bouche est venue se poser sur la mienne.
Un vrai baiser tendre avec les lèvres qui bougent sur les miennes et la langue qui arrive doucement à entrer, comme si elle était timide, sa main qui s'affermit sur mon cou, son autre main qui cherche les miennes, en trouve une, la serre et sa langue s'aventure dans ma bouche, touchant délicatement la mienne, se tâtant, s'affrontant, glissant l'une sur l'autre pour finir par s'enrouler ensemble, s'aspirer, avaler la salive qui coulait et nos souffles se mélangeaient à la sortie des narines.
Me tenant toujours par la nuque, il me regarde en souriant et me fait un clin d'œil.
Sa main serre la mienne, son pouce me caressant l'intérieur.
Il me fixe et me parle doucement en espagnol.
Javier traduit.
-il dit que vous devriez passer une très bonne fin de nuit.

Léonardo se lève, me tire à lui, me tient toujours par la main, passe l'autre autour de mes épaules et m'entraîne vers le petit escalier qui monte aux chambres.

Lequel allait bouffer l'autre ? j'ai pensé en souriant.