Les objets trouvés - histoire érotique

Je dois être inconsciente et tête en l’air. Tête en l’air c’est sur: j’ai perdu les clés de ma voiture au multiplex. J’étais venue en tram pour être tranquille. Quand je reviens au parking je m’aperçois de ma perte. Je voulais gagner du temps: j’en perd en revenant au cinéma. Là je vais dans la cabine des pompiers qui aujourd’hui est tenue par une très jolies femme, belle comme une poupée dans sa tenue de soldate du feu. Les objets perdus y finissent leurs périples jusqu’à ce que les propriétaires viennent chercher leurs objets. Je retrouve facilement les clés et repart en remerciant la responsable. Quand j’entre chez moi, surprise, j’ai oublié de chercher mes clés de l’appartement. Je me traite de bécasse et repart encore une fois au cinéma.
Décidément aujourd’hui n’est pas mon jour, d’autant plus qu’il est tard. Je me demande si j’arriverai à temps, avant la fermeture.
Je suis pile à l’heure: les salles se vident et le pompier de service, toujours cette jolie femme est là. C’est fou le nombre d’objets qu’on peut lui apporter depuis des lunettes (comment font les gens pour oublier des optiques dont elle se servent toujours?) Elle me fait entrer dans sa petite salle de repos pour chercher: elle ferme la porte pour ne pas être dérangée.
Nous ne cherchons pas longtemps dans tout le bazar. Elle trouve mes clés. Comme elle a été très aimable avec moi je veux la récompenser. Dans cette zone de la ville dédiée aux loisirs, presque tout est fermé à 23 heures. Je tiens absolument à lui offrir quelque chose. Elle accepte: le temps de se changer pour devenir une civile et elle arrive. Je reste dans son repaire pendant qu’elle se change. Je vois une véritable beauté sexy. Elle me tourne le dos et je vois des fesses qui si j’étais un homme me forceraient à les caresser. Ses jambes sont parfaites également, surtout bien musclées. Elle porte juste un string. Je ne vois pas de trace de soutien gorge. Cette simple constatation m’attire, et pourtant j’aime les hommes, sauf une fois quand j’étais jeune avec une tendre amie.
Une fois rhabillée avec sa robe légère, elle est sur le coup encore plus sexy. Elle se tourne vers moi, me sourit pour m’entrainer à sortir de son petit chez elle. Nous allons boire une bière dans une brasserie qui ferme relativement tard.
Je la remercie encore une fois, elle en rougirait presque quand j’ajoute que je la trouve jolie et sexy. Elle prend ma main dans la sienne pour, en me regardant dans les yeux, me dire quelle aussi me trouve sexy.
- Si j’osai, je vous inviterai chez moi.
- Vous êtes gentille, pourquoi ?
- Pour vous faire une proposition malhonnête.
- Je la refuserai si elle est malhonnête.
- Malhonnête sans doute mais agréable.
Je pense comprendre ce quelle veut me proposer. Je réfléchis un petit moment pour accepter: je crois savoir qu’elle est sa proposition.
Je lui propose de l’emmener chez elle avec a voiture (depuis que j’ai les clés je me sens presque supérieure aux autres) Elle accepte à condition que je monte avec elle.
Nous entrons dans un appartement au dernier étage des ces immeubles laids comme on en a construit pas mal. Elle allume toutes les lumières de l’entrée et du séjour. Elle m’offre un wisky que j‘accepte. Nous sommes assises pas loin l’une de l’autre. La boisson est à point. Par contre notre conversation devient de plus en plus chaude.
Elle avait un ami, il y a longtemps. Elle s’est fâchée avec lui qui est parti à cause de sa jalousie.
Je lui dit que moi aussi je suis seule, avec de temps en temps un amant de rencontre pour passer une nuit d’amour.
- Que vous est-il arrivée pour qu’il soit jaloux.
- Pas grand chose, il m’a surprise dans les bras d’une autre femme.
- Vous aimez les femmes ?
- Oui, elles sont plus douces que les hommes, même si quelques fois je suis comme vous, il, faut que je tire un coup avec un homme pour m’en mettre plein la chatte.
Elle commence à me plaire. Je comprends maintenant ce qu’elle appelait « malhonnête ». Elle ne me laisse même pas le temps de réfléchir que je sens ses lèvres sur le miennes. Elle semble certaine que je vais accepter ses caresses qui je le crois volontiers doivent être très sensuelles.
Je ne sais pourquoi j’accepte sa bouche et sa langue. Dieu qu’elle embrasse bien. Je fais plus qu’accepter un baiser: j’y participe volontiers avec ma langue. Elle arrête trop vite pour que nous finissions nos verres; Sa langue est à nouveau dans ma bouche. J’ai encore la possibilité de dire non et de partir. Je ne sais ce qui me retiens: sa langue sans doute.
Nous nous levons pour porter les verres à la cuisine. Au retour, dans le corridor, elle m’embrasse encore en me serrant contre elle. Je sens sa poitrine nue qui vient se poser sur la mienne. Elle s’écarte un peu pour passer une main sous mon t-shirt et venir sur mes seins. Elle a ne façon de les caresser qui me fait mouiller. Elle arrive à défaire la fermeture de mon soutien gorge pour avoir ses mains directement sur sa seins. Le plaisir qu’elle me donne est encore meilleur, à croire qu’elle sait que j’adore ce genre de familiarité.
Je me trouve un peu cruche avec elle: je n’ose pas lui rendre les bien fait qu’elle me donne. Elle enlève mon t-shirt et mon soutien gorge. Cette fois sa précision est remarquable. Elle pose ses lèvres sur mes aréoles, lèche mes tétons tout en caressant l’autre sein.
Je mouille de plus en plus. Je ne lui en parle pas par simple pudeur. Elle soulève la jupe cette fois dans le but de me caresser le chatte.
Je me laisse faire tout en ayant l’intention de la caresser à mon tour. J’ouvre le haut de sa robe et y passe ma main qui directement va se loger sous un sein. Elle tend sa poitrine vers moi. Je prends ses seins par-dessous. Je les soupèse un peu avant de les caresser à peu près comme elle m’a fait.
Je sens une main arriver sur ma moule. J’écarte un tout petit peu les jambes pour qu’elle arrive à son but: me faire jouir avec des caresses bien ciblées sur mon clitoris. Eros la guide bien: elle écarte légèrement les lèvres pour faire ressortir le bouton qu’elle caresse aussitôt. Je ne peux retenir un grand soupir d’aise. Je me tortille pendant toute la durée du massage. Je vais en avant pour revenir en arrière. J’éprouve un immense plaisir avec ses doigts agile sur moi. Quand je pars enfin je défaille presque: je ne peux plus rester debout.
Elle me soutiens jusqu’au divan. Elle me déshabille totalement et se montre toute nue elle aussi. Elle est encore plus désirable: j’ai envie d’elle. Il me faut agir Assise je suis bien mieux: je peux maintenant la caresser à ma façon: je pose directement ma main sur son pubis en oubliant volontairement l’intérieur des cuisses, pour descendre rapidement vers son clitoris. Je trouve un grand clito comme je n’en connaissais pas encore. Je suis un peu embarrassée pour le branler. Je prends vite le coup en le prenant comme une bite. Je vais entrer mes doigts directement à la source de sa cyprine: dans son con. Je ne fait qu’entrer en sortir pour revenir sur son bouton. Cette fois les caresses sont plus directes puisque j’arrive à lui donner du plaisir. Je ne la lâche plus, je remets me doigts dans sa chatte et là je le doigte un bon moment, le temps pour elle de jouir plusieurs fois. Elle est lé tête en arrière, la bouche ouverte, les yeux fermés pour profiter de ma main. J’accélère les mouvements
Je sens qu’elle jouit quand les spasmes deviennent rapides.
Et je ne sais ce qui se passe: de dominée, je deviens dominante. Je me mets en face de ses jambes, accroupie, je passe ma tête vers son antre de plaisir. J’invente des caresses que je ne connaissais même pas, sinon par ouïe dire. Je pose ma langue sur son anus. Je force à peine pour entrer dans son cul; ma langue sert de bite: Je la fait jouir. J’ai posé mon nez sur son vagin. Je le rentre à peine pour seulement humer son odeur. Je remonte vers son clitoris pour cette fois je le prendre en entier dans ma bouche: je n’en lèche que le bout dans ma bouche. Elle gémit:
- Oui, continue, n’arrêtes pas: tu me fais jouir, oui, oui, je jouiiiiiiiiiiiis.
- Je vais te faire jouir autrement. Elle descend du divan, je la fait presque s’assoir, je me met en position avec nos jambes enlacées et mon clitoris est vite sur le sien. Je remue mon bas ventre, elle aussi. Nos clitoris se rencontrent souvent tellement que nous jouissons ensemble.
J’arrête tout quand je la sens très fatiguée. Je vais simplement poser ma chatte sur sa bouche: elle n’a pas grand chose à faire que sortir sa langue pour lécher tout mon entrejambes. Elle prend le clitoris pour le lécher simplement. Je passe ma main derrière moi pour me caresser le cul et entrer deux doigts comme quand je me branle.
Maintenant quand je vais au cinéma, je ne mets pas de dessous. Je perd toujours quelque chose d’imaginaire pour aller chercher chez ma petite amie.
Nous baisons souvent ensemble. Elle a repris le dessus et nos scènes d’amour sont dignes d’un film plus que porno. Nous avons maintenant des godemichés vibrants qui nous donne la possibilité de nous passer totalement d’homme. C’est plus agréable entre nous deux seules. La seule chose quoi me manque est un peu de sperme dans la bouche.
Nous nous servons des godemichés quand nous faisons des 69. Elle le préférée dans le con et moi dans le cul. Chacune a ses préférences, c’est normal. En tout cas pour une femme qui m’a levée, j’en suis plus que satisfaite. Nous ne pouvons pas vivre ensemble à cause de son métier. Nous pouvons vivre chez elle en principe pour les veilles de ses jours de repos.
Alors là nous sommes déchaînées. Nous ne vivons que nues pour nous caresser en cas de besoins urgent, ce qui est fréquent. La dernière fois c’est moi qui avait envie de me faire mettre: elle a sorti le gode et alors que j’étais debout, les jambes écartées, elle me l’a mis d’abord dans le con pour le mouiller et ensuite dans le cul. Elle se branlait en regardant de qu’elle me faisait. Pour ajouter à mon plaisir, elle me léchait le clitoris. C’était tout à l’heure avant que j’écrive ce petit récit: il a même fallut que j’arrête pour me mettre le gode dans le con et jouir plusieurs fois