Les papys sportifs - histoire érotique

Chapitre 3 – LES PAPYS SPORTIFS
Voir chapitre 1 Tennis et chapitre 2 La gym après le tennis
Je ne pouvais pas interrompre ma cotisation d’été comme ça. Le club de sport dans
lequel je joue au tennis est l’un des plus mondains de la région et le prix de la
cotisation représente une somme plus qu’honorable. Un double sentiment naissait en
moi, de la gêne et de l’humiliation bien sûr mais aussi un début d’excitation. Trois
semaines s’étaient écoulées depuis ma dernière aventure avec le prof de gym, un black
fabuleux, sans que rien ne se passe. J’avais cependant remarqué que de plus en plus de
personne me regardaient du coin de l’œil. Ma réputation devait faire son chemin.
Beaucoup s’éloignaient de moi mais qu’importe. Je me dirigeais calmement comme
d’habitude vers mon club. Il faisait une chaleur torride. Un orage d’été venait de
détremper tous les terrains extérieurs. Pas de chance, je devrais jouer à
l’intérieur, j’allais donc souffrir et transpirer un max ! A mon arrivée le club était
vide. Le gars du bar faisait office de réceptionniste en l’absence de la secrétaire
habituelle partie en vacances. Tous les terrains étaient plongés dans le noir. Paul
mon professeur de tennis m’attendait. Il discutait avec 4 types d’un certains âges
pour ne pas dire d’un âge certain. Tous avaient les cheveux blancs mais avaient de
beaux restes. Paul leur indiquait qu’il était impossible de jouer dehors après
l’orage, la terre battue des terrains n’était plus du tout praticable. Je saluai le
petit groupe et parti me changer. Paul me cria qu’on allait jouer à l’intérieur sur le
terrain 7 celui du fond. Dans les vestiaires je quittai rapidement mon costard, ma
chemise, mes chaussettes, mon caleçon pour enfiler un slip ouvert derrière, un joke
strap. Paul entra dans le vestiaire à ce moment.
Paul – Belle vue ! Toujours aussi bandant ton cul !
Arrivé à ma hauteur, il avait déjà sorti sa queue et me demandais sans préambule de le
sucer. J’étais halluciné car je pensais l’affaire derrière moi. Depuis plusieurs
semaines, Paul ne faisait en face de moi plus la moindre illusion à notre aventure.
Devant cette surprise il ajouta
Paul – Et oui mec, suis en manque de meuf pour le moment alors c’est toi qui va
tringler.
Devant son air autoritaire, et son gland turgescent qui pointait déjà le bout, je me
mis à genoux et le suçais consciencieusement. Je dois avouer que cette chaleur me
mettait également dans un état d’excitation assez élevé.
Paul – Lève toi et présente ton cul.
Obéissant, je me lève, je m’appuis sur le banc et cambre un max mon cul. Paul crache
dans sa main. Ses doigts me fouillent déjà le fion élargissant bien ma chatte de mâle.
Paul – Humm bien ouverte la salope ! Ca va entrer tout seul
Ni une ni deux je sens son braquemart pénétrer profond dans mon cul. Je pousse un ouf
de surprise étouffée et très vite je prends du plaisir à sentir ce gourdin coulisser
entre mes fesses. Paul souffle dans mon dos, il rugit, il grogne. Son rythme
s’accélère. Son pubis et ses couilles claques contre mes fesses. Ce bruit de
claquement tellement spécifique et qui me fait grimper au ciel !
Paul – waouh je jouis
Son sexe reste encore dans mon cul. Je le sens se ramollir un peu. Paul m’a inondé les
entrailles ! Il se retire. Va nettoyer sa queue à l’évier puis part en me criant qu’il
m’attend sur le court 7. Il ajoute qu’on va bien s’amuser. Qu’entend-il par là ?
J’essuie un peu le sperme qui coule de mon cul. J’enfile mon short, mon T shirt et me
dirige vers le court. Les 4 vieux ont déjà commencés leur partie. Ils jouent sur le
terrain 6. Tous les autres terrains sont plongés dans le noir. Je me sens observé par
ces 4 vieillards qui jouent plutôt bien. Je tente de les ignorer quand Paul me lance :
Paul – alors ma poule remise de tes émotions dans le vestiaire ? Tu es prête à jouer ?
Je le regarde surpris. Pourquoi parle-t-il si fort et pourquoi utiliser le féminin à
mon attention ? Je décide d’ignorer. Surtout ne pas regarder à gauche sur le court 6
la réaction les papys ! La partie peut commencer. Je joue mal. Je suis pour le moins
troublé. Paul me fait courir de droite à gauche.
Paul – alors ma poule tu courts ? T’es où ?
Je me concentre sur la balle. Je dois la rattraper. Dans un effort surhumain, je la
renvoie de l’autre côté et … émet dans le même temps une énorme flatulence ! Un pet
méga sonore comme seul un pédé qui vient de se faire mettre peut émettre ! Les 4
joueurs voisins ont stoppé leur jeu. Tous les regards convergent vers moi. Je ne sais
ou me mettre. Je devrais fuir. Je suis tétanisé. Paul rie.
Paul – Et ma poule ce n’est rien ! On est entre homme ici !
Il s’approche de moi, me prend par les épaules me dirige vers le banc. Je sanglote. Je
ne sais pas quoi faire.
Paul (toujours aussi fort et alors que les 4 papys murmurent sans avoir repris leur
jeu). – Faut pas avoir honte, tu sais après l’enculade que tu as subi de ma part dans
les vestiaires, le muscle de ta rondelle est encore souple et le moindre petit pet se
transforme en énorme prout ! ahahaha Ces messieurs (dit-il en regardant les 4
compères) ont déjà surement entendu ce bruit après avoir sodomisé leur épouse ! Pas
vrai les gars ?
Un murmure d’approbation …
Paul – Ce qui est plus embêtant, c’est que tu as mouillé ton short ! T’as recraché un
peu de mon sperme ! Ton short est trempé à la hauteur du cul ! Ce n'est pas très
propre ! Va falloir retirer ça.
Ni une ni deux, Paul a retiré mon short. JE suis rouge de honte mais n’ai aucune
réaction. Mes voisins n’ont toujours pas repris leur jeu. Paul essuie avec mon short
les restes de spermes qui coulent de mon anus. Je bande à moitié. Paul l’a remarqué.
Paul – L’un de vous veut se faire sucer ou essayer ce superbe cul ?
Moi tout bas – T’es fou ?
Paul tonitruant – Mais tu bandes ma poule alors ne fait pas ta sainte nitouche.
Je n’ose regarder derrière moi ce qui se passe. Je regarde Paul qui me fait fasse. Des
mais se posent déjà sur mes fesses. Les vieux sont excités. Silence dans ce
gigantesque hall de sport vide. Les mains glissent sur mes fesses, des doigts se font
plus inquisiteurs et glissent le long de ma fente puis un doigt vient taper sur ma
rondelle et entre très rapidement et très facilement.
Paul – Je vous avais prévenu que c’est une bonne petite salope soumise. Elle adore se
faire mettre et sucer. Elle ne trouve son bonheur qu’une bite dans tous ses trous.
Très vite, je sens déjà une queue se frayer un chemin entre mes fesses. Paul
interpelle un autre gars et lui propose de se faire sucer. Il me prend par la nuque et
alors que mon premier assaillant s’enfonce facilement en moi, Paul me force à me
pencher pour sucer la queue d’un des vieillards ! Je me retrouve face à une queue pas
trop grande mais avec un gland en forme de champignon ! Un énorme gland duquel perle
déjà une goûte de précum. Je dois ouvrir une grande bouche pour engloutir ce gland qui
une fois enfoncé commence à me limer la gueule manquant de me faire vomir à chaque
fois qu’il cogne ma glotte. J’ai les larmes aux yeux, mes assaillants jouissent
rapidement l’un m’inondant le cul et l’autre la bouche. Paul me gratifie d’une tape
sur les fesses avant qu’un troisième compère ne trouve le chemin de mon trou chaud et
humide. Quant au 4ième larron, il a juste le temps de poser son gland sur mon visage
que déjà il éjacule à grands jets noyant ma bouche et mes joues dans un flot de
sperme chaud ! Il s’en excuse tout penaud. Paul en profite pour se faire sucer une
seconde fois pendant que mon enculeur jouit. Les 4 mecs remettent leur short en place
comme si de rien n’était et Paul propose que les parties engagées continuent comme
avant. Puis il me dit
Paul – Toi reste à poil pour jouer c’est mieux.
Que peut-il m’arriver de pire ? C’est ainsi que j’ai terminé ma partie de tennis
complètement à poils avec du sperme qui coulait le long de mes jambes. Mes voisins
avaient parfois un regard de bonté pour moi. Je crois que ces hommes bien élevés
avaient un peu honte de leur comportement. Mais ce qui était arrivé ne pouvait être
changé. L’un d’eux, style aristo me faisait parfois un clin d’œil d’encouragement.
Histoire de dire ‘ça va allez petit’. De mon côté je reprenais de l’assurance et mon
jeu s’affirmait. Cette fois c’est Paul qui courrait. Ca le faisait rire. Il continuait
à se toucher la queue régulièrement. Il bandait encore ! A la fin de la partie, Paul
me congratulât pour mon excellent jeu vers la fin du jeu et surtout pour le plaisir
que j’avais donné à tous.
Etrangement, je me sentais de mieux en mieux dans ce rôle de pute et cela n’était pas
passé inaperçu chez Paul...
La suite un de ces 4 …