Les parents de ma copine
Récit érotique écrit par smileurfred [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les parents de ma copine
Apres avoir lu de belles choses par ici, je me permets de me lancer et retranscrire mon imagination. J'espère que vous aimerez.
L'histoire se passe dans les années 80 dans une ville du centre de la France où je faisais mon service militaire.
Ma copine du moment, locale, blonde pas canon mais bien à mon goût, habitait dans une belle villa qui surplombait la ville. Elle était ambulancière, et nous avions eu l'occasion d'utiliser pour nos ébats, l'ambulance qu'elle conduisait lorsqu'elle était d'astreinte.
C'était une histoire bien sympa avec elle, mais qui s'est corsée un bel après midi d'été.
Comme il y avait un match à la télé elle m'avait proposé de venir le voir dans la maison de ses parents dont je fis connaissance à cette occasion. Lui, Jacques, grand, plutot barraqué, cheveux grisonnants, début de cinquantaine, et elle, Jocelyne, un peu plus jeune, plutôt sexy avec une balle paire de seins, brune, les yeux clairs. Ils allaient très bien ensemble.
La soirée se passe bien, les parents de ma copine qui ne s'intéressaient pas au match passaient leur soirée dans la piscine en contrebas. Avec ma copine nous étions dans le canapé, on se tripotait un peu, gentiment.
Puis le pager de ma copine se mit à sonner (pas de smartphone à l'époque) signifiant comme elle était d'astreinte, qu'elle devait partir urgemment, me laissant seul avec le match.
Quelques minutes plus tard, je vis Jacques et Jocelyne revenir de la piscine habillés de leur peignoirs de bain. Je leur expliquait la situation, et je les vis sourire.
Là Jacques se mit derrière sa femme, en la prenant par les épaules et me demanda :
- "Comment trouves-tu jocelyne ?"
Moi, un peu perplexe mais essayant de montrer que j'ai des bonnes manières, répondit de façon un peu machniale :
- "elle est charmante"
Jacques se mit à ouvrir le peignoir de sa femme et le fit tomber par terre, me permettant de découvrir que Jocelyne avait une superbe poitrine, une chatte "soignée" et aucune trace de bronzage.
- "et là, elle est comment ?"
- "Là c'est sublime je dirait..."
Jocelyne qui jusque là n'avait rien dit, se mit à pousser son mari sur le canapé à coté de moi, et s'agenouillant devant lui, ouvrit son peignoir pour découvrir son anatomie.
- "Ne l'écoute pas, il a oublié de te dire qu'il avait une bite de compétition"
Là je découvris une queue, qui bien que au repos, était d'une taille que l'on ne voit pas tous les jours, (sauf dans quelques films porno). Jocelyne dit alors :
- "Tu ne doit pas avoir vu souvent d'aussi belles queues ?"
Joignant le geste à la parole, elle se mit à branler ce membre énorme. Moi subjugué, je n'en perdais pas une miette.
- "Regarde comme elle grossit...Elle te fait envie n'est ce pas ?"
Je ne savais pas trop quoi répondre, alors elle me pris la main et me la plaça autour de ce chibre, m'invitant à le branler moi aussi.
J'avoue que je commençais sérieusement à avoir la trique
- "Tu peux la sucer aussi, je pense qu'il va aimer..."
Et la je me mis pour la première fois à sucer une bite d'extra terrestre. Je n'en revenais pas.
J'avais du mal à la gober tellement elle était grosse. Je m'y mettais à 2 mains.
Dans un petit moment de lucidité, je me mis à dire :
- " Et vous arrivez à "accueillir" un tel membre ?"
Jocelyne se mit à rigoler
-"Oui bien sur, Jacques, on va lui montrer"
Ni une ni deux, la voila qui commence a enfourcher la grosse bite de son mari et commençait des va et vient et y prenait du plaisir.
N'y tenant plus je me défroquais et entamais une branlette avec mon modeste attirail.
Me voyant ainsi, Jocelyne vint me seconder, puis me sucer et rajouta :
- "Tu va venir prendre mon cul car j'aime ça mais avec l'engin de Jacques c'est difficile"
Me voici derrière la belle qui accueillit ma bite dans son antre, sans forcer...
Jocelyne était aux anges, sans doute plus à cause de son mari mais je n'allais pas faire le difficile...
Elle prenait son pied et mouillait abondemment.
Pour finir, elle à genoux, nous demandait de nous lever tous les deux et à moi de branler sJacques pour qu'il décharge sur son visage. Je ne me faisais pas prier et branlait consciencieusement Jacques qui finit par lui lacher son spreme sur la bouche et le visage.
Puis Jocelyne vint s'occuper de moi en me prodiguant une pipe magistrale pour laquelle je lui donnais "tout"...
L'histoire se passe dans les années 80 dans une ville du centre de la France où je faisais mon service militaire.
Ma copine du moment, locale, blonde pas canon mais bien à mon goût, habitait dans une belle villa qui surplombait la ville. Elle était ambulancière, et nous avions eu l'occasion d'utiliser pour nos ébats, l'ambulance qu'elle conduisait lorsqu'elle était d'astreinte.
C'était une histoire bien sympa avec elle, mais qui s'est corsée un bel après midi d'été.
Comme il y avait un match à la télé elle m'avait proposé de venir le voir dans la maison de ses parents dont je fis connaissance à cette occasion. Lui, Jacques, grand, plutot barraqué, cheveux grisonnants, début de cinquantaine, et elle, Jocelyne, un peu plus jeune, plutôt sexy avec une balle paire de seins, brune, les yeux clairs. Ils allaient très bien ensemble.
La soirée se passe bien, les parents de ma copine qui ne s'intéressaient pas au match passaient leur soirée dans la piscine en contrebas. Avec ma copine nous étions dans le canapé, on se tripotait un peu, gentiment.
Puis le pager de ma copine se mit à sonner (pas de smartphone à l'époque) signifiant comme elle était d'astreinte, qu'elle devait partir urgemment, me laissant seul avec le match.
Quelques minutes plus tard, je vis Jacques et Jocelyne revenir de la piscine habillés de leur peignoirs de bain. Je leur expliquait la situation, et je les vis sourire.
Là Jacques se mit derrière sa femme, en la prenant par les épaules et me demanda :
- "Comment trouves-tu jocelyne ?"
Moi, un peu perplexe mais essayant de montrer que j'ai des bonnes manières, répondit de façon un peu machniale :
- "elle est charmante"
Jacques se mit à ouvrir le peignoir de sa femme et le fit tomber par terre, me permettant de découvrir que Jocelyne avait une superbe poitrine, une chatte "soignée" et aucune trace de bronzage.
- "et là, elle est comment ?"
- "Là c'est sublime je dirait..."
Jocelyne qui jusque là n'avait rien dit, se mit à pousser son mari sur le canapé à coté de moi, et s'agenouillant devant lui, ouvrit son peignoir pour découvrir son anatomie.
- "Ne l'écoute pas, il a oublié de te dire qu'il avait une bite de compétition"
Là je découvris une queue, qui bien que au repos, était d'une taille que l'on ne voit pas tous les jours, (sauf dans quelques films porno). Jocelyne dit alors :
- "Tu ne doit pas avoir vu souvent d'aussi belles queues ?"
Joignant le geste à la parole, elle se mit à branler ce membre énorme. Moi subjugué, je n'en perdais pas une miette.
- "Regarde comme elle grossit...Elle te fait envie n'est ce pas ?"
Je ne savais pas trop quoi répondre, alors elle me pris la main et me la plaça autour de ce chibre, m'invitant à le branler moi aussi.
J'avoue que je commençais sérieusement à avoir la trique
- "Tu peux la sucer aussi, je pense qu'il va aimer..."
Et la je me mis pour la première fois à sucer une bite d'extra terrestre. Je n'en revenais pas.
J'avais du mal à la gober tellement elle était grosse. Je m'y mettais à 2 mains.
Dans un petit moment de lucidité, je me mis à dire :
- " Et vous arrivez à "accueillir" un tel membre ?"
Jocelyne se mit à rigoler
-"Oui bien sur, Jacques, on va lui montrer"
Ni une ni deux, la voila qui commence a enfourcher la grosse bite de son mari et commençait des va et vient et y prenait du plaisir.
N'y tenant plus je me défroquais et entamais une branlette avec mon modeste attirail.
Me voyant ainsi, Jocelyne vint me seconder, puis me sucer et rajouta :
- "Tu va venir prendre mon cul car j'aime ça mais avec l'engin de Jacques c'est difficile"
Me voici derrière la belle qui accueillit ma bite dans son antre, sans forcer...
Jocelyne était aux anges, sans doute plus à cause de son mari mais je n'allais pas faire le difficile...
Elle prenait son pied et mouillait abondemment.
Pour finir, elle à genoux, nous demandait de nous lever tous les deux et à moi de branler sJacques pour qu'il décharge sur son visage. Je ne me faisais pas prier et branlait consciencieusement Jacques qui finit par lui lacher son spreme sur la bouche et le visage.
Puis Jocelyne vint s'occuper de moi en me prodiguant une pipe magistrale pour laquelle je lui donnais "tout"...
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